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S c .m M y m , !i::ncsde.{M-!rjlhug.) Nature de ces mmes
^'or & d’ari^cnt. Manière dom ou fait l’épreuve d'une mine
nouvelle. X ÎV. 7^1. l>- Commetuon purifie l’or qui fc trouve
dans les veines d'argent. Delcriptiou des deux principales
mines de Schenmitz ; celle de Wiiidfcliaclit & de la T r inité.
IL'U- 7Ö2. a.
SCH EM -PAR IT I, cfpece de plante. Snppl.l. a ^ b.
SCH E R O IN , (Sebjßie/i) général célébré. X IV . 778. b.
SCHERFER , {le P .) jéfuite : fon ouvrage fur les couleurs
accidentelles. Suppl. 11. 636. a , é. & c.
SCHERU-C .4 DELARI , efpcce de plante. Suppl. II.
04. a , b.
.SCHESTAROW , fon voyage au nord do l’Afie. Suppl.
I. 638. b.
SCH E T L A N D , ißes de. ( Geo^r. ) obfervations fur ces ifles,
X IV . 762. b. Sc particuliéreirtent fur celles que les habi-
tans appellent MMr..ind Si. Thu!:. Produits des illes de Schet-
land. Habitans de ces iOcs. Leur langue , leurs inaifons ,
leur commerce, leur maniéré de fe nourrir, &lc. Ibid. 763.
a. Été & liiver de ces climats. Ibid. b.
SCH LU CH Z E R , {J. J.icqucs & J. Gufp.ird) pe_re& fils.
X V I I . 747. a. Sentiment de Sclicuchzer fur la formation
des monraetnes. X. 67s. u.
SCHIAIS , Schiaiu ovi Schïac, {H iß . mod.) k Ù t des
Mahometans de P erfe, ennemis de celle des Sunuis ou Ma-
Ijométans turcs. Leur opinion fur les premiers fuccefTcius
do Mahomet. Mailbiis qu’ils laiireut par tefiament pour le
fervice du dernier de leurs douze prophètes loriqu’il reviendra
au monde. Les Schiais fe contentent de pratiquer la lettre
de la loi. X IV . 763. b. — J'oyei SCHllTES.
S C H IA V O N E , {André U) peintre célébré. X IV . 833..:.
S CH IB BO LE TH , {Critiq. facr.) c'eft à la prononciation
de ce mot que les Galnïtes dilHuguoienc les Ephraimites leurs
ennemis, Si en faifoient un indigne maflacre. X IV . 763. b.
SCH ID O N E , ( Bartholoiitco ) peintre. V . 326. b.
SCHIEVELBEIN , (Geogr.) ville de la haute-Saxe. C e r cle
auquel elle donne fon nom. Seigneurs auxquels il appartient.
Suppl. IV . 754. a. ^
S CH IL L IN G , {Chriflophe) auteur de poéfies grecques &
latines. VII. 284. b.
Sch il lin g , {Disbold) aiuenr d’une hiftoirc de la guerre
des SuilTes, contre Charlcs-lc-HarcU. X V . 319. a.
SCHIRACH , {Adam Gûulicb) Ses ouvrages phyfiologi-
cnies. Suppl. IV . 364. a.
SCHIRAS oti ScAlRAZ, ( Cebgr.) ville de Perfe. Ses révolutions.
Sa deferiprion. Procluéîions de fon terroir. XIV.
764. b. Oblérvations fur le poète Saddi, né dans cette v ille ,
& fur fes ouvrages. Ibid. 7Ö5. a.
SCH IR L, {H ß . U.U.) fubfiauce ferrugineufe & arféni-
cale qui accompagne fouvent les mines detain. XIV. 765. a.
S CH IR V A N , ( Gc.'bgr. ) province de Perfe. Ses bornes.
Ses principales villes. Son étendue. Qualité de l’air 8c du
climat de ce pays. X IV. 763. n.
SCHISME , ( Théotop. ) Éiym. de ce mot. Les trois fehif-
mes les plus fameux dans la religion chrétienne, font, le
fchifme des Grec s, je grand fdûl'me d'Occident, ik. le fehif-
me d'Angleterre, La féparation des proiefians d’avec l’é-
glife romaine , eft aufiî un vrai fehifine. DilllDélion établie
par quelques-uns entre febifme aelif 8c fchifme pafllf. XIV.
763. b.
Schifme d'Avignon. X L 297. b. Sclufine d’Angleterre.
Schifme des protellaus. Voyei R e fo rm a t io n .
SCHiSME des G'CCS. ( Hiji. eccléfiajiiq. ) Hifioire de ce
fchifme, tirée de l’auteur moderne de l’hUloire imlverfelle.
X IV . 7 6 6 .0 , b.
SCF IISTE, on pierre feuilletée , {Minérolog.) Différentes
efpeces de fchlfies. Origine des fehiftes ou ardoifes felon
quelques naturalifies. X IV . 767. b. Deferiptions des lirs d’ar-
doifes. C’eft ordinairement dans ces lits de pierres teuiilcrées
t[ue l’on rencontre les empreintes de plantes ou de poifibus.
Les mines de charbon de terre font ordinairement accompagnées
de fdiifte. Souvent le fehifte eft entremêlé de pyrites
ék d’alun. Ibid. 768. a.
S CH IT T iM , l’acacia défigné fous ce nom dans récriture.
Suppl. I. 82. b.
SCHL ICH ou Chliqiie, ( Métaîl. & Minéral. )' minéral écrafé
fous Je bocard & lavé. Pourquoi ce minerai ne doit point
tu e réduit en une poudre trop fine. X IV . 768. a.
SCH L IC T IN G , {Jean Daniel ) anatomifte. Suppl. I.
410. b.
SCHL IEN G EN, {Géopr.) bailliage de l’évèclié de Bafle.
Comment l’évêque l’a obtenu. Procluflion du pays. Prieuré
d’iftein. SuppLVd. 734. b.
SCHLUSSELBOU RG, {Géopr.) fortereffe de la Ruftie
européenne, dans l’Ingric. Son ancien nom. Sa defeription.
Perfonnages fameux qui y font morts prifonniers.- Suppl.
IV . 734. b.
S CH LU T T E R , {Chrßophe-Andre) Scs ouvrages en métallurgie.
V . 990. a. V IL 248. 8. b. X. 433. b.
S C H
Sch l u t t e r , artifte allemand, dont les ouvrages fc dif-
tinguent par la beauté 8c la force de l’expreftion. Suppl. U
92 1.^.
S C H M ID T , {Jean-André) théologien. X V II . 642. a.
SCHM IED E L , {C.ifimir-Chriflophe) anatomifte. Supp. I,
410. b.
SCHNEIDER , {Conrad-Viéîor) anatomifte. Suppl. I,
397. -î.
SCHN EID EWIN , ( Jean ) jurifeonfuhe. X V . 533. b.
SCHOEFFER , {Pierre) inventeur des caraéleres jettes en
fonte. VU I. 608. a. 628. b.
SCHCENANTHE, ( Botan.) ou jonc odorant. Sa defeription.
Lieux où croit cette plante. Etym. du mot fchoename
X IV . 768. b.
ScHiENANTHE : ccttc plante appellee teuchltes par quelques
anciens. X V I . 213. a.
SCHO EN E d'Epypte, {Mefure itiner. anc.) mcfiire appellee
en grec Xaùcj, qui fignifie fu nis, un cordeau. Origine
de cette exprelTion employée pour défigner une mefure.
Les ouvrages des anciens rendent très-importante l’évaluation
du fchoeiie d’Egypte. Hérodote l’évalue à foixaine fta-
des. X IV . 768. b. Moyen qu’a trouvé M. D.mville de reconnoitre
la mefure du fehoene, bc de l’évaluer. Pline dit
que le fehoene eft compofé de trente-deux ftades romains,
ou de quatre milles, d'où il fuit que le fch.oene revient à
trente mille vingt-quatre toifes. Ibid. 769. a.
Schoene, voye^ fur cette mefure itinéraire. X L 922. b.
S CHOE N O B A T E , {Jeu fcénique des Grecs & des Romains)
Etym. de ce mot : v o ye z Danfeur de corde. Goût des Romains
pour les fchoenobates. X IV . 769. a. Divers exercices dont
ces danisurs amufoient le peuple. Précaution que fit prendre
Marc-Aurele pour les préferver de tout accident. Eléphans
qui furent dreffés aux mêmes «xercices. Ibid. b.
SCHCEPFLIN , {Jean-Daniel) antiquaire de Strasbourg.
Son ouvrage fur les Tribocs. X V I . 618. a , b. Ses recherches
fur les momioies, appellees braftéates. X. 653. b. Son
ouvrage fm-rAiface. Supp. IV. 831, b.
SCH O ER L o u Schorl, {Minéral.) forte de pierre dure qui
fe trouve en cryftaux prifmatiques d’ime grandeur extraordinaire.
Autres noms donnés à cette pierre. X IV . 769. b.
Le pavé des géans en Irlande eft de la nature de cette pierre.
Ibid. 770. a.
S CH O L A R IT É , ( 7«r//pr.) privileges de fcholarité : leur
origine. X IV . 770. a.
Scholarité, lettres de. IX. 419. a,
S CH O L A S T IQ U E S , Philojbphie des, {H iß . de la Philo-^
foph.) Cette phitolüphie a régné depuis les onze ou douzième
hecles, ju fq u ’à la renaiffance des lettres. Différentes acceptions
qu a eues le mot fcholajiique chez les Romains.
Premiere origine de la théologie fcholaftique. X IV . 770. b.
Son hiftoire divifée en trois périodes. Premiere période qui
commence à Lanfranc ou Abélard, & Pierre le Lombard,
fon difciple, 8c qui comprend la moitié du douzième fie-
cle. Obfervations fur les favans qui fe diftinguerenc dans
cette période. Guillaume des Champeaux. Pierre Abélard.
Ibid. 77 1 . a y b. Pierre le Lombard. Robert Pulleyn. Gilbert
de 1?. Porée. Pierre Comeftor. Jean de Sarisberi. Ibid. 772. b.
Alexandre de Haies. Alain d’ifte. Vincent de Beauvais. Guillaume
d’Averne. Alfred. Ibid. 773. a. Robert Capiton, ou
Grofle-tête. Ibid. b.
Seconde période de la philofophie fcholaftique, qui commence
en 1220 , Sc qui finit à Durand de S. Porcien. Sa-
vans qui fe diftinguerent dans cette période. A!bert-le-grand.
Thomas d’Aquin. Bonaventure-le-francifcain. Ses principes
philofoplilqiies 8c théologiques. Ibid. 773. b. Pierre d’Efpa-
gne. Roger Bacon. IbiJ. 774. b. Gilles Colonne. Jean-Duns
Scot. Simon de Tournai. Pierre d’Apono ou d’Abano. Ibid.
773. a. Robert Sorboii. Pierre de Tarentaife. Gilillaumc Durand.
Jean de Paris, ou Quidort. Jean de Naples, François
de Mayronis, Jean de Baffolis. Arnaud de Villeneuve Ibid,
b. Conrad d’Halbcrftad. Bibiach. Eccard. Pierre de Dace.
Alphonfe X , roi de Caftille.
Troifieme période de la philofoplile fcholaftique. Guillaume
Durand. Occam. Ridiard SiiilTct. Buridan. Marfile d’In-
ghen. Gautier Buley. Pierre de AlHac. Ibid. jy6. a , b. Jena
WelTel Gansfort. Gabriel Biel. Fâcheux effets de la philofo-
phie fcholaftique. Ibid. 777. a. Cette philofophie, qui a été
une des plus grandes plaies de l’efprit humain, eft encore
enfeignée aujourd’hui dans les colleges. Ibid. b.
Scholafliques, philofophie des. Son origine. X. 701. b. Di-
vifion des philofophes fcholaftiques en réaiix & nominaux.
XI. 212. b. 213. a. Scholaftiques ariftotéliciens. I. 662. h.
Scotiftes. X IV . 8 11. a , b. Scholaftiques qui vivoient vers
le tems du concile de Trente. I. 663. a. Scholaftiques de
l’ordre des Dominicains , de celui de S. François. Ibid. b.
De la théologie des fcholaftiques : fon o r ig in eiX I. *13 .^ .
fon apologie. I. 664. b. Réflexions fur cette théologie. XVI.
249. b. 230. a y b. Doftrine des fcholaftiques fur la gracs
fufEfante. X V . 634. b. De la piùiofopliie fcholaftique : des
S C I
lenïics concrets felon ces philofophes. I. 43. b. Leur tllco-
rie de la chaleur. 111. 29. b. Leur doftrine fur les formes
fubftaniiellcs. VII. 176. b. Sur la vilion. XV II . 340. ay b.
Examen de leur monde. X. 701. b. Combien la philofo-
phic fcholaftique a nui aux progrès delà vraie pliilofophie. I.
xxiij. Difc. prélirn. Suppl. I. 96. b. Cette philolbphierenver-
fée par le principe de la raifon fulfifaïue. X V . 633. <*, b.
Sc h o l a s t iq u e , {Hijl.anc. & moi/.) titre de dignité qui
a été en ufage en divers tems pour diverfes perfoniies , 6c
dans un fens différent, comme il paroit par les déta-ils où eft
entré l'auteiir de cet article. XIV, 777. b.
•SCHÜLIASTE, {Belles - letc.) écrivain qui commente
ou exjilique l’ouvrage d’un autre. Etym. du mot. Sclioliaftes
anciens. X IV . 778. a.
SCH O NÆ U S, {Corneille) hollandois, auteur de poéfies
latines. V IL 730. b.
SCH O O C K lU S , ( Martin ) favant hollandois. XVII .
363. a.
S CH O O U B ÎA R , {Hi(l. mod.) fefte qui s’eft élevée chez
les mufulmans , 8c fe diftingue par fes nrincipes de tolérance.
X IV . 778. b.
S CH O T ; ( Gafpard ) obfervations fur ce favant. IX.
233. a.
SCKRCEDER , {Georpe - Philippe) phyfiologifte. Suppl.
IV . 36a. <2.'
SCHREIBER , {Frédéric) nndiXom\ù.c,Suppl, l. 408. a. 8c
phyfiologifte. Suppl. IV. 368. a.
S C H R Y A R I , ( Luth. ) eipece d’inftrument à vent , dont
en fe fervoit dans les feiziemc 8c dix-feptieme ficelés. Sa
defeription. Suppl. IV. 734. b.
SCH U LEM BO U R G , {Mathias-Jean , comte de) attaque
qu’il foutint contre Charles X l l , roi de Suede. Suppl. II.
703. b. *
S CH U L T EN S , {Albert) favant dans les langues orientales.
V i l . 932. a.
S CH U L Z E , {J.-Hcnri) p h y f i o l o g i f t e . I V . 336.
SCH U N D IL A , ( Bot. ) efpcce de bananier. Suppl. I.
783. a.
S C H W A R T Z , {Derthold) moine né àFribourg en Alle magne
, inventeur de la poudre à canon. VU . 306. a. XIII.
190. b. •
S c h w a r t z , {Benjamin) p h y f i o l o g i f t e . I V . ^fo.b.
SCHW E IT Z ER . {Jean-G.ifpard) XV II . 747. /t.
S CH W E N C F E LD , {Gafpard d e ) efpece de fanatique
né à Lignitz. IX. 327. b.
SCH 'W ENK E, {M .) contribue à établir l’inoculation en
Hollande. VIII. 770. a. Ses ouvrages. Suppl. I. 403. b. Suppl.
IV. 333.
SCH V /E RD ER , ( Conrad- ViÜor ) phyfiologifte. Suppl, IV .
330. a.
S CH W IT Z , {Géopr.) canton qui a donné fon nom à
toute la Suiffe. Événement qui y donna lieu. Les habitans
de ce canton pouvroient avoir été clans l’origine une peuplade
de Gohts. Bornes 8c principal lieu de ce canton. XIV.
780. a.
SchwitZy lieu mémorable dans ce canton , nommé Hole-
galT. V I I I . 244. b.
S C IA G E , bois de. II, 307. a.
S C IAM A CH IE , {Gyum. médicin.) exercice qui confiftoit
dans des agitations des bras. Dolcription de cet exercice.
S. Paul y 'fait allufion, I. Cor. ix. 26. Quelle en étoit l ’u-
tilité. XTV. 780. b.
S C IAM A N C IE , {D iv in a t.) i’ ivination qui confiftoit à
évoquer les âmes des morts, pCftr apprendre d’eux l’avenir.
Etym. du mot. Quelle étoit la partie de l’homine, felonies
anciens, qui étoit évoquée. X IV .781. rf. rù y c ç S c io -
MANCIE.
S C IA T IQ U E . ( Anatom. ) Defeription du nerf fciatiqiie.
X IV . 781.
Sc ia t iq u e , {Médecine) efpcce de goutte qui a fon fiege
à la hanche. Etym. du mot. Symptômes de cette maladie,
les caufes éloignées. X IV . 781. b. Elles ne font que mettre
en jeu une difpofition héréditaire , coinnninitiuée par des
parens fiijets a cette maladie. Mais en ouoi confifte cette
difpofition ; c’eft une qneftion qui n’a jamais été réfolue
d’une maniéré fatisfailante. Divers fentimens des médecins
fur ce fujet. Ibid. 782. *1. Nous ne tirons de robfervation
des cadavres prcfqu’aiicuii èclairciffcment fur ce qui reg.irde
cette maladie. C e n’eft que fur des conjeftures, qu'on .a
établi que le fiege de la feiatique devoit être dans le muf-
cle aponêvrotique , placé à la partie fupéricure interas de
la cuiffe. Cette maladie eft plus familière aux hommes qu’aux
femmes , & plus particuliérement reforvée aux vieillards.
Ibid. b. La feiatique eft plus incommode que dangereufe.
Autres maladies qu’elle accompagne prefque ordinairement.
Le feul danger auquelelle cxpol'e, c’eft que la tête du fé-
imir, forte de l’articulation, & rende boiteux. D e toutes les
efpeces de gouttes, la feiatique eft unanimement regardée
comme la plus opiniâtre & l,i plus rebelle aux fecoujs de
S C I 647
la médecine. Ibid. 783. a. Enumération de tous les moyens
qui ont etc inutilement tentés contre cette maladie. Con-
^ils les plus faluiaires à ceux qui en font attaqués. Ibid.-b.
eonleils que donne la goutte ou la feiatiaue dans le dif-
coiirs lenle que Lucien lui fait tenir. Ibid 784 a
Sciatique: cantere aftuel employé par Hippocrate dans
cnS x " 3 8 '; '
S C rÀ T T Â , ( iftede l’Archipel, autrefois Schiatos
Situation & deicription de cette ifte. Obfervations hiftori-
ques. X IV . 784. a.
S C IE , {Ichthyol.) defeription du poiffon auquel on a
donne ce nom. X IV . 784. a. ^ i
Sc i e , la {Géopr.) rivière de France, XIV. 7S4. .7.
b c iE , ( Mechaniq. ) J’mvcnnon de la fd c attribuée à Icare.
Ouvriers qui fe fervent de cet inftrument, Mamcre d’affu-
ter 8c de limer les dents des grandes feies. Marchands uni
vendem des faes ik des feuilles de feie. X IV . 784 b
de ftre.' x v i ' ‘ j3
, ohfcrvatlons critiques, qui tendeur
a juftifier les Hebreux de l’impuration qui leur a été faite
que le fupplice de la fcie ctoir ufité parmi eux, Exemple
de ce lupphce employe par un roi de Perfe. X IV 784 b
Sc i e , fupphce de U. {H ß . anc.) XV. 676. a.
f defeription nés-détailléc ' & ufage de la
Icie deitinee a 1 amputation des membres. X IV . 7S4. h.
S e i t , (A n s & métiers) defeription & ufages des diffé-
remes i^Qcces do feie en uftge chez diveis artiftes & ouvriers.
XIV. 786. 4, é.
Sc,c , madlines à feier les pieux, le marbre, voyez ces
de. mers mots. Monlm à fder les |)lcrrcs , voye^ les plailches
d,arcl..,eaure dans le vol. I. Des feies d l L n u 'l ie r , X
X *81 ’ t ‘‘ ‘ / ' “" i’ “ “ " - 7°- ->• Mo.,lin à l'dcr le bois.
S^CIÉNCE, (Zoe,-,. * Mitophjf.) défir.itio.1. X IV . -8 7.
n. La Icence fe parmge en <,„at,-c brandies , qui io „ t
linulhgence , ja f.ig effc ,la prudence k i’arr. Ibid 7S8 a
Science, difterencc entre foi & fc ie iic e ,IV . e i6 b XI
503 f. entre fcie.,ce Sc opinion. XI. 507. «. En quoi'con-
hfte la fcieuce. I . - 13 . b. Comment nous raifonnons par analogie
dans les diftsrcntcs feiences. V IH. 687. è. k c Démouf
tracions dont elles font fufccptibles. X V l l . 70 4 b To ut
hoiume eft capable de parvenir à toutes les fcicnces’ dn mon-
d v..ill. ô92- P-U y a dansles fcienccs un terme que riiomme
ne peut paffer. V . 637. a. Une fcience fimple, mais ftable k
certaine , preferable^ à une autre qui feroit incertaine &
vague , quoiquetabhe fur des fonciemens ineénieufement
imagines. Suppl. IV. 320. a. °
SCIESCHS ( Cennoi f . ) L-origine des fcielicos ■
lenr rtatnre leur prom è s , lenr end,aine,nen., font e xp o fe
dans la preface de I Encyclopédie. Eloge des fdences.'Pour
en profiter .agrc.iblement, ,1 £„,t être en même tems homme
ÿ lettres. Les lettres prêtent de I’agrcme.it aux fd en c e s ,
Sc les fcicnces font ncceffaires pour la perleaioil des bellcs-
lctt.;es. Exeniplcs d hommes célèbres de l'amioulté , qui ont
ciiluve a la tais les lettres & les fcienccs. X IV 7S8 Les
Ic.enccs enfcvelies depuis la perte de Rome pendant' douze
hecles. Renaiflance des arts k des fcienccs en Italie Hiftoire
de leurs progrès depuis cette époque. Ibid. b. Ce'ie de H
philofophie moderne. Savans qui ont le plus contribué par
leurs travaux aux progrès des fdences. Leur état au com^
mencement de ce ficelé. Vices atCHchcs à l’iriftiiution denos
aeriennes , qui soppolent au progrès des fcienccs. Ibid. 789.
a. L e 11 eft point au centre du luxe que les fcienccs établiffent
cur domicile, Rétlexions lur fetat d'ignorance oii vit la no-
b le ffe .L amour des Iciences netoit'l'obs Louis XIV qu'une
nouvelle mono ; pciu-etre que dans la révolution des tems
quciqu autre Louis pourra ramener cette mode, & la cliam^er
en gout durable. Ibid. b. °
Science. Amour des fdences. 1. 368. b. Origine des fdences
k des arts : diftcrence entre ces deux chofes. I. 714. a. D e 1 enchaînement^ des fcienccs entr’elles. I. pjp. ] Dije. prélim,
Enchainement, liaifon , rapports des lettres avec les fcienccs j
^ . 409. b. 410. 4 , b. Antiquité des fdences dans l’Inde.
V llI. 661. b. D e la prééminence des anciens Grecs dans les
fdences. VII. 917. a. Mépris des Romains pour elles. 63O.
a , ^b. Califes arabes qui les ont protégées. II. 233. 4, b. Cas
qu’en font les Chinois. 232. b. Hiftoire de leur rérabliffement
en Occident. I. xxiij.— xxxiij. Difc. prélim. Epoque de leur
naiffance en France. VII. 2S2. h. Utilité d e 'leu r hiftoircj
renfermée dans i’Enr.ydopédic. I. xxxviij. DiJe. prélim. D e
lélude des fcienccs. "VL 86. a , b. Cette étude préférée au-
jourdhui a l’érudition. V . 913. h. Des élémens des fdences.
V . 49 t. 4, é. Ce que doit renfermer un cours de fcience
particuliere. IV. 396.4. Projet d’un cours général de fcienccs.
Ibid. b. D e la méthode dans l’art de les enleigiier. X. 460 4 '
b. Des découvertes dans les fdences. IV . 70 3.-é, Une feule
obfcrvation ou expérience donne, fouvent tome une fdçnee.
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