78 KA T KEN
K
K!
Ü M
((7r.imw. ) Cette lettre eft clans 1 origine
le Kappa des Grecs. Un certain
Silviiis introdiiifit le K dans l’orto-
e^-aphe latine, où il fut vu dans la fuite
de inauvais oeil. Quelquefois on lern-
ployoit fans voyelle , lorfque la v o ye lle
fuivantc devoit être un A. Autres
confoniies que les anciens écrivolent
_____ quelquefois fans v o y e lle , lorfque la
vo ye lle fuivante étoit celle qui entroit dans la prononciation
de leur nom. Le K inutile en latin, ne fert pas davantage
en françois. Ufage que les Bretons en font. Anciennement
on en ufoit plus coimminéinent en françois. K confi-
dérè comme lettre numérale. IX. 105. a. Monnoie de France
marquée d’un K. IKd. b. _
K, cette lettre confondue avec le C par les premiers Ro-
maius. II. 473. b. On imprimoit cette lettre lur le front
d’un calomniateur. IX, b.
K J ( Gèogr. ) cette lettre en géographie cft très - familière
aux étrangers , mais les François lui préfèrent volontiers
le C. IX. 105. b.
K K K , {^écntiirc') Formation de cette lettre dans les differentes
fortes crècricures. IX. 105. b. K A
K A A L IN G , ( Ornith. ) efpece d’étourneau commun à la
Chine. Sa tlelcription. IX. 103. b,
F .A A T H , voyei C a c h o u .
K A A U W , {Abraham) anatontifte, I. 409- ^
phyfiologifte. Suppl. W . a.
K A B A A de la M ecque : vénération des Arabes pour ce lieu
facré. XII. 28-;. -7. ve/i'f C a a b a . , , ,, j
K AB E L JAW S , faSion formée autrefois en Hollande.
V l l l . 243. b.
R A B IN , mo i.) mariage contraélé chez les Mahometans
pour un certain tems. Juge devant lequel ce mariage
fe fait. IX. t o v b.
K A B L K L A K E , {H lp . ) infcéle de Surinam. Comment
il renferme fes oeufs. Préjudice qu’il caufe. IX. 106. a.
K A B E SQ U I , petite monnoie des Perfans. XIII. ^64. b.
ICACKEKLÂC , ( ) efpcce de fearabé des Indes
orientales. Matières qu’il attaque Sc qu’il ronge. IX.
306. a.
Kackerlac, infe^e d’Amériqtie. XIII. 832. a.
K A D A L I , (B o / . ) efpece de ce genre appellee bcn-kadali.
Suppl. 1. 876. a , b.
K AD ER , calife. Suppl. II. 131- a.
K A D E SA D E L IT E S , {H p .m o d .) Se ae de Mahometans.
Cérémonie que fait le prêtre lorfcjifon prie pour les aines
des morts. Les Rii/Î'es, K c. attachés à cette fcéle. IX. ïo6. a.
K AD R I , Hifl. mod.) moine» Turcs. IX, 106. a. Aullé-
rltés qu'ils pratiquent. Le grand vifir Kuproli fu fupprimer
cette fe ae . Mais après fa mort elle reprit vigueur. IX.
*°KÆFERNBOÜ RG , ( G % r . ) grand bailliage d'A llema-
gue , dans la haute Saxo. Château qu’on y remarque, Fayence
& porcelaine qu’on y fabrique. Suppl. III. 680. a.
K AHLEBERG , ( Geogr. ) chaîne de montagnes en Alle magne.
Leurs pointes les plus élevées. Vin qui croît au pied
du mont Jofeph. Étendue du pays qu’on découvre fur fon
fommet. Suppl. III. 680. a.
K A IA , (jffûf.) force d’if du Japon. Sa defeription. Huile
que les bonzes tirent de fon fruit ; fon ufage : qualités du
kuit. Ufage que l'on tire du noyau pour la compofition d’une
forte d’encre. IX. 106. b.
K A IEM , calife. Suppl. I. 16. u.
K A K A E , efpece de plante. Suppl. 1. 862. b.
R A LA I. {Fortif. turq.) C e m o t, qui fignifie fortereffe,
efl celui que les Turcs ont employé lorfqu’ils ont forrifié
leurs palanqiies en Hongrie. En quoi confilloit cette fortification.
Suppl. III. 680. a. Voyti pl. I. Art. milit. Milice des
Turcs. Suppl.
K ALEMBO URG ou Calembour, ( Gramm?) Abus que l’on
fait d’un mot fiifceptible de plufieurs interprétations. Exemples.
Obfervafions fur les règles du calembour &. fur ce qui
peut le rendre intéreflant. Différentes formes fous lefquellcs
on le préfente. Suppl. III. 680. b. Exemples de calembours
piquans. Il n’y a point de langue qui prête plus à ces jeux
de mots que la françoife. Ibid? 681. a. D e l’étymologie du
mot c.ilemLour. Autres rébus connus fous le nom de charade
£c de contrepecterie. Ibid. b.
K A L I , (.Bom/t. ) caraflerc de ce genre de plante. Les Tels
fixes que l’on tire de tette plante font connus fous le nom
KAN
de fonde. La différence dit produit de certe plante , quand
elle efl verte ou feche, cft étonnante clans les procédés cliy-
miques. D étail de ces procédés. Cette herbe fraîche contient
environ une cinquième partie de fon poids de fel commun.
Nature du fel volatil qui s'en éleve par le feu. Beau bleu
qu’on peut former avec cette plante. IX. 187. b. Suite des
opérations chymiciues fur le kali. Ouvrage d’où ces détails
ont été tirés. Ibid. 108. a.
Kali D’AuCANtE, ( Bou ) c’ell de cette efpece do
kali qu’on tire la meilleure fonde. Commenr M. de Jiiffieu
caraftérife cette plante. Sa defeription. IX. 108. Pourquoi
on la nomme kali d’Alicante. La fonde qu’on en tire fate
une partie confidérable de commerce, l'crreins oii croît
cette eipece de kati. Comment 011 fait la récolte. Comment
on la biCite pour en rirer la fonde. La plante kalî
étoit autrefois très-cultivée en Languedoc. Ibid. b. Ufàgc
que les Arabes tirent du kali qui «o it en abondance prés
de la mer Morte Cn Judée. L’herbe borith dont il ell parlé
dans Jérém. ch. H,'ÿ'. 22,paroit être le kali. Ouvrages à con-
fulicr fur cette plante appellee Origine & fgnificatioii
propre du mot kali. Ibid, 109. a.
K a l i , plante de Syrie Si d’Egypte dont on tire la cendre
de roquette. II. 815. d. Kali donc on tire le fel de foude
X V . 387. b. Odeur du kali. 388. a. Eljîece de kaü appelle
traquai Kali fpinofum , fi'c. X V I . 522. a ,b.
K A L IM B O U R G , { Géogr.) ville de Danemarck , dans
le château de laquelle finit fes jours Chriiliem I I , roi de
Danemarck. Cruautés de ce roi. Sa dépofition. Sa mort.
IX. lOy. a.
K A L LAH OM , ( /f/j?. moiJ. ) un des premiers officiers du
royaume de Siam. Ses pouvoirs Si fonélions. Nombre des
éléphans des armées du roi. IX. 109. a.
K ALM IA , {Bot. Jardin.) caraéiere de ce genre de plante. 5uy;i/. III. Ö81. 3. Defeription de deux efpcces de kalmia.
Lieux où elles croiffent. Leur culture. Ibid. 682. a.
K AM A K U R A , {Geogr.) ifle du Japon , oii l'on exile
les grands qui ont fait quelque faute confidérable. Côtes el-,
carpées de cette iflc. IX. 109. b.
K AM E L -V ISCH , efpece cie poiffon. Suppl. IL 31^. a.
KAMEN , { f lip , mod.) Ce mot ruffe lignifie roche. Ref-
pcél que les nations tartai es & païennes de Sibérie ont pour
les roches. IX. 109. b.
KA.MENAlO M A S L O , {Minér.ü.) ou Kamira rnaßal
Subfiancc minérale onflueufe ôc grafie au toucher, qui f<*
trouve cn plufieurs endroits de la Sibérie. On l’appelle en
allemanc],y?Li«éi7//cT. Premier auteur qui en a parlé. Recherches
fur la nature de cette fubflance. IX. 109. b.
K A.MTSCHADALI , ( Géogr. ) nation tarcare qui habite
prés du golphe de Kamtschatka au nord de la Sibérie. Leur
maniéré de fe v ê t ir , de lé domicilier S: de fe nourrir. IX.
110 a.
K AM T S CH A T K A , ( Géogr.) grande prcfqu’ifle au nord-
efl de l'Afie. Diverfes nations qui I’lnibitent. IX. 110. a. D eux
routes différences par lefquelles fe fait le co.mmerce entre
la Sibérie & le Kamtschatka. Détroit tjui fépare le Kamtf-
chatka du Japon. Iflcs fituées dans ce détroit. Belle découverte
géographique faite par les Ruffes en 1751 , d’une communication
entre la mer glaciale & la mer du fud , par un détroit
qui fépare l’Afie de l’Amérique feptcntrionalc. IX. 110.
Kainifckatha , peuple qui en habite la partie méridionale.
IX. 139. b. Gale endémique dans le Kamcfcliatka. X V . 608.
а. Comment les habitans de ce pays préparent leur poiffon,
950. b. Efpece de rats fort finguliers de ces contrées.XVI.
б. a. Nourriture Ordinaire des habitans. XVII . 671. a.
K AM U S CH IN K A , ( Geugr. ) riviere du royaume d’Aflracan
entre le Don Si le Volga. Projet que forma Pierre le
Grand , de faire une communication entre la mer Cafpienne
Si la mer Noire. Utilité & facilité de fon exécution. IX. 110. b.
K A N , {Hip .dcs Tartar.) titre de grande dignité chez les
Tartares. Réflexions fur la dépendance & la dcflinée ordinaire
des kans de Crim-ée. XI. i i o . b. La famille des kans
de Crimée refpeélable an grand feigneur lui-même. Indépendance
du kan des Tartares-Roubuns, Le kan des Tartares
Mongulcs protégé & refpeélé tout à la fois par l’empereur
de la Chine. Le kan dos Tartares du Dagheflan peu obéi
de fes fiijets. Kan des lartares de la C.afaflchia. Divers
kans des Tartares CircalTes. Le titre de kan en Perle répond
à celui de gouverneur en Europe , & fignifie luaut & puif-
fanc feigneur. Ibid. m . a.
Kan , voyei Chain : en quoi confiftcnr la rlcheffe & la
puilTance d’un kan clos Tartares. X. 877. a. X V . 923. b.
Kan des Tartares Circaffes. X IV . 761. b.
K ANAKO-JURI. ( Botan. ) efpece de lys du Japon. Sa
defeription. Les Japoiiois mangent fa racine. IX. u t .^ .
KANARTNS, peuples de I’lndoffan : leur principale divinité.
XIII. 787. b.
K AN D U LÆ S SA , efpece de plante. I. 309. b.
K A N G U E , {rJp. mod.) fupplice en ufage à la Chine. En
quoi il coniUle. IX. i i i . b.
K AN -JA , ( Flip. mod. ) fête qui fe célèbre au Tonejuin ,
par laquelle le foiiveraia veut ini'pirer à fes fujccs le foin de
i’agriciiiture. IX. 211. b.
K A N N A - G H Ü R A K A , efpece de plante. Suppl. II.
48 s- b.
K A N O , {U p - mod. Superp.) nom fous lequel quelques
ncg.esd’A*n.|ue dcfigneni l’Être fiiprème. Idée qu’ils s’en forment.
IX. M l. b. Culte qu’ils rendent à des elpritsoii rc-
ven iiH qu’ils iiijinment Sannanius. Ibid. 112. b.— F ce mot.
K A N T y R E ,ü u (Géu^>r.) prefqu’ifle de l’Écoilé
du milieu. Suppl. III. ùSi. b.
K A N U N , {H ill, mod.) repas que les Ruffes font tous
les ans fur te> tombeaux de leurs parens. K.inun lignifie aiilfi
la veille d'une grande fête. Cérémonie qui s’y pratique. Les
Sibériens croient ne pouvoir fe difpenlér de s’enivrer cn
cette occaiion. iX. 12. a.
K A O L IN , {Minéral.) C ’eft ainfi que les Chinois nomment
une fubllance terreulé blanche ou jaunâtre. Sa defeription.
Ufage de cette terre dans la compofition donc fe
fait la porcelaine. Terre femblable qui fe trouve en France.
Les Anglois cn emploient auffi dans leur porcelaine. Expériences
de M. de Reaumur fur cette rubfiancc. IX. 112. a.
Conjeclures fur h maniéré dont elle lé forme. Ibid. b.
Kaolin , voy«^ fur cette efpece de terre. X llI . 107. a ,
b. î i y . a.
K AP E L LEN D O R F , ou K.tpelndorf, {Géogr.) bailliage
de la principauté de V/eimar dans le cercle de h.iUte-Saxe.
Obfervations fur le village dont il porte le nom. Suppl.
111. 681. h. '
K APIG ILAR KEA.TASSI,( Jïiy?. moi/.) général des gardes
du grand feigneur. Son olîice. Son habit de cérémonie. IX.
112. h.
K AR A B É . prop de. X V . 606. a.
K A R A L -H (E B O , efpece de plante. Suppl. TI. 94. b.
K.ARA-.MUSTAPHA, Siege de Vienne qu’il fi: en 1683.
X V li. 2Ö2. b.
K A R A T A , {B ip . n.zt.) efpece d’aloës d’Amérique. D ivers
ufages Ciu’on cn tire. IX. 113.U.
Kar.ua , voye^ fur cette efpece tl'aloës. X V I . 387. a.
K A R A T A S , {B o t.) caraderes de te genre de plante,
qui ell un ananas fauvage. Lieux où elle croit. Ufages qu’on
en rire. IX. 113. a. Acreté de ce fruit. Ibtd.b.
K A llBU S , ( Bot. ) nom qu’on donne d.ans le pays de Ka-
rafmc & chez les Tartares Usbecks , à une efpece de melon
d’ean. Leur defeription. Éloge de ce fruit. Il fe conlérve
très-long teins & on le tranfporte d’Allracan à Petersbourg.
IX. 113. b.
K A R E SM A , ( Hip. des voyag. ) forte d'hôtellerie commune
en Ifoiogne. Dvfcription Lieux où fe trouvent ces
hôtelleries. Comment elles font foiiruies des chofes nécef-
faires. Leurs incommodités. Combien elle font utiles aux
voyageurs. IX. 113. b.
K A R O U A T A , {Botan. ) plante de l’Amérique. Sadeferi-
ptioii. Qualité de fon fruit. IX. 1 1 4. a.
K AS ,{Luth.) infii'iimem de mufique, ou tambour des peuples
d’Angola. Suppl. III. 6S3. a.
KASEMIECH , {Geogr.) riviere de Syrie. Pêche qui s’y
fait de lu morue. Plufieurs prétendent que cette riviere ell
l’Eleutheros des anciens. Ce qu’elle a de remarquu’ole. Elle
ell célébré dans le premier livre des Muchabées. Obfcrva-
rions qui montrent que l’Eleutheros des anciens n’elt point
le Kafemiech, ni aucune riviere connue aiijourd’iuii.lX. 1 14.
K A S IEM A T Z , {Htp.mod. ) quartier des villes du Japon ,
confacré aux courrifannes. Education ' qu’elles y reçoivent. A
qui revient le profit qu’elles font. Facilité avec laquelle elles
peuvent enfuitc fc marier. Les direéleurs des kaficmatz abhorrés
des Japonois. IX, 114.1^.
K A S SU T O , (L11//1.) inftrumcnt de mufique des habitans
du Cot^o. Suppl. III. 683. a.
KA'TAOÈS , efpece d’oifeau repréfenté vol. V I . des
planch. Regne animal, pl. 38.
K A T -CH E R IF , {H ip .mod.) ordonnances émanées dire-
élemcnt du grand-feigiieiir. Par qui elles font écrires. Comment
elles font l'ignces. Cérémonies obfervées avant de les
ouvrir. IX. i I5.n.
K A T IF , c/, ( Géogr.) voyei A l-k a t if ,
K A TO N G -G IN G ', {Botan.) plante parafite du Japon. Sa
defeription. IX.
K A T O U -C O N A , {Botan.) arbre de la côte de Malabar.
Ufages médicinaux auxquels on êmploie fes fleurs Si fon
écorce. IX. 113, æ.
K A TO U - IN D E L , {B o tan .) palmier fauvage du Malabar.
Ufage & propriété de fon fruit. Ufage de lés feuilles. IX.
115. n.
79 K A T O U -K A R N A , ( Botan.) efpece de cannellier, Suppl,
II. 23d.a.
K A T R A C A , ( Ornith. ) faifan d’Amérique. Suppl. III.
K A TU -N A R E G AM , ( Botan.) arbre de l’indollan. Ufages
médicinaux du fiic de fes feuilles. IX, 11 <1.
K A TU T I -JE T T I -PO U , ) plante de l’Indoflan. Ses
propriétés en médecine. IX. 1 1 5.
K AU F FB EU R EN , ( Geogr.) ville libre & impériale
d’Allemagne. Obfervations fur Sirigellius ( Viflorinus ) ,
théologien, né dans cette ville ; ôe fur fes ouvrages. IX.
113. b.
K A V IA C , ( Comm.) oeufs d’ellurgcons mis en galettes,’
6'c. Poiffon donc on fait le meilleur kaviac. Caraftere auquel
on le reconnoit. IX. 1 1 3. />.
K A V R E Y S A O U L , ( Hip. mod.) partie de la garde du roi
de Perle. FonéHons de ces foldats ou liuiffiers. IX. 11 r,
K AY S E R B E R G , ( Gfo^r. ) ville de France, en A.lface,
patrie de Jofeph Langiiis, auteur du Polyanthoea. Différentes
éditions de cet ouvrage. IX. ne,, h.
K AY SE R S LAU T ER , ( Géügi. ) ville d’Allemagne, patrie
de Jean Braun. Ouvrage de cet auteur. IX. 116. a. K E
K EAJA ou K TAH IA , ( Hiß. mod. ) lieutenant des grands
officiers de la Porte. Signification propre de ce mot, Keaja des
janid'aires, celui des hachas , celui du nniphri. Le plus confidé-
rable ell celui du grand vifir. Importance <ie cette place , à
laquelle le grand-léigneur nomme. Récompenfe qu’il reçoit de
fes lcrvi;es. IX. 1 1 6 ..r.
K £A f lN G , ( Geofroi ) doéleur irlandois. X V I. 339. a.
K tB E R , ( Hiß. mod. ) l'eéfe chez les Perfans. Ce mot fignifie
inpdelc. IX. 1 1 6 . On ne fait s’ils font Perfans originaires.
Comment il> fe diftinguent des autres Perfans. Doßrine fles
kebers. Cérémonies par lefqueiles ils prétendent connoicre
après la mort d’un homme , s’il ell du nombre des prédellinés
ou des réprouvés. Comment ils dilpofent cie fon corps en con-
l'éqiicnce. Ibid. b.
KEBLAH ou K ibl.aH , ( Hiß. orient. ) point du c ie l, vers
lequel le.s orientaux dirigent leur culte. Explication d’im
palfage d’Ezechiel,ch. ifi.Q ucl étoit le keblah de ceux
mii entroient dans le temple de Jérufalem pour adorer Dieu.
Q uel étoit le keblah des mages. Quel ell celui des mahomé-
tans. IX. i t ç . i .
K E D A N G U , ( Botan. ) arbrifféau des Indes orientales.
Ufages médicinaux de fes feuilles Si du l'uc de fes fleurs. IX.
1 16.
K EHDINGEN , {Géogr.) difiriél du duché'de B rème ,
dans le cercle de Baife-Saxe , cn Allemagne. Ses rivieres.
Son étendue. ProduéHons du pays. Scs iiabitans. Aclmini-
flration de la jiillice & de h police. Religion. Suppl. III.
683. b.
KEILL. ( Jean ) La doft l ine de l’atcraélion appi-ofondie par
ce philofophe. I. 830. b.
K eill, ( Jacques) anatomille , Suppl. I, 403. b. Sc phyfio-
logillc. Suppl.lV. 354. b. Ercimation qu’il a faire dei.i force du
coeur. UI, 597. a , b.
K E IR O IO N IE , {L it t .) maniéré de donner fon fuffrage
à Athènes par l’élévation des mains. La même méthode
paiTa cliez les Romains dans plufieurs conjonclures. Les premiers
chrétiens l'i-mployerent dans l'éleélion des prêtres Sc
des évêques. IX. 1 17. a. — Voye^ O piner de la main, Suffrage.
K EISER , dragées i/«. X. 373. a.
K EK K O ou Iv iK lo o ou K ir.akoo , ( Botan. ) plante du
Japon. Sa delcriprion 3 trois efpeces de cette plante. IX.
I l 7-
KELLER , {Jcan-Ealt.i^ar) fculptenr. XIV. 831. a.
K eller j{Jacques) voyct^ Éellariüs.
KEMBERG , ( Géogr. ) ville d’Allemagne, dans laliaute-
Saxe. Ses premiers habitans. Culture du houblon dans fes
environs. Suppl. III. 684. a.
KEMPERKEMS , ( Fauconn. ) oifeaux de paffage dans les
Pays-Bas. Diverfes obfervations fur ces oifeaux. On en dillin-
gue de huit fortes. IX. i i j .b .
KEMPFERA. ( Botan. ) Carafleres de ce genre de plante.
Or igine de fon nom. Lieux où elle croit. IX. i ly.b.
KEMPTEN. ( Géog-. ) Diverfes oblérvatioiis fur cette ville
d’Allemagne.IX. i iy . b.
KEN , {Hiß. mod.) nom de plufieurs mois lunaires qui
compofent le cycle de cinq ans des Chinois. IX. 1 1 8.
Ken , ( Comm. ) mefore des longueurs dont on fe fert à Siam.
Son rapport à une mefure connue. Ses divifions. Mefirres dont
le ken fait partie. IX. 1 18. a.
K E N T , royaume de , {Géogr. FJiß. ) ancien royaume d’Angleterre.
Son premier Sc fon dernier roi. Etendue , bornes ,
Sc principales villes de ce royaume. IX. 118. b.
K EN T ,(G fo g r .) province d’Angleterre. On la divife çn