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brillriiues & ])liis diftiiifles dans un toms que dans un autre.
Altcvanon clans la figtiro circulaire; dos pianotes Ck des otoi*
k s fixes, lorlqu’c lk s paroiiieiu près de l'on limbe. Ibid. 733.
,r. Montagnes & vallées de la lime. Divcrfités de lennmens
Air les parties de la lune cju'on a cru être des mers. Atmo-
fjjhctc de cet allie. Anneau luiuiiiaix dont on l’a vu couronné
dans quelques éclipfcs rondes de ibleil. Uid. i>. Railons
pour &. comre l’iumofphere de la lune. Analogie entre la lune
S', la tone. Ibid. 734. d. Moyen de mclurer la li.uiteur
tics uicmagnc.s de la lune. Figures gravées de h lune dans
les féléncgiaphies de quelques allronomes. Dos noms donnés
au.v: principales taches. Quelles Ibiu les meilleures repré-
J'uitations de la lune, Iclon M. le Momiier. Celles quille
trouvent dans (es inÜiuuions adronomiques. Ibid. b. D e l'in-
Àueiice de la lune fur les corps tcrrellres. Ouvrage du do-
éleiir Méad , intitulé de imfcrio Jolis itc luiuz in corporc hunutno.
T l ut ce qui précédé a été tiré a peu près de I’Encyclopedie
anglüile, Nouvc.itix détails jur ce ijue Us J.iv.ins de notre J;e-
cle ont ajouté à la théorie de Newton. Problème fondamental,
nécelTaire pour trouver les dirt'érentes irrégularités
de la lune : il conlble à déterminer, au moins par appro.xi-
maiion , l'équation de l’orbite que la lune décrit amour de 1,1 terre, ruye^ PkOBLÛME DES TROIS CORPS. Ibid. 735. a.
Géometres qui en ont donné la iblution, Théorie de M.
Filler, fu r ie mouvement de lalune. Tables do M.Mayer.
Celles de M. Ciairaut. Ibid. b. Celles de M. d'A lembett. Corn-
iiicm ces dernières ont été drefTées. Ibid. 736. a. Eloge de
la méchoclc dont M. Euler intégré réquation de l’orbite lunaire.
IbuL b. üj)feiV:iiions d'une période de 223 lunaifbns
commencées par M. HaUey & continuées par M. le Mon-
nior. Ces deniieres obfei vaiions déjà publiées en partie. Utilité
qu'on en poutra tlier. Recherches de quelques géome-
rres fur la malTe de la lune. Mouvement que l'aélion du
folcil & de la terre doit produire dans l’axe de la lune. De
la non-fphériclté de la Unie. Ibid. 73-’ , b.
Lune (^Ajlron.) on donne ici les équations de tous les
ïnouveinens de la lune, telles qu'elles réfultcm des nouvelles
tables de .Mayer, les meilleures que l'oii ait faites juf-
qu'à prelcnt. Elles l'ont au nombre de quatorze. Suppl. III.
S i 2. il. Iiidiuaifon &. noeuds de l’orbite lunaire. Mouvement
rétrograde des noeuds. Maniéré de l’obfetver. Inégalité de
ce mouvement. Ibid. b. Equations de latitude. Variations dans
le diameme apparent de la lune. Maniéré la plus Ample de
le mcfurcr. Ibid. 318. et.
Lune, des caLlies qu’oii obferve fur fon difque. X V , 814.
if. Repréfcination du difque de la lune avec fes taches. V.
vol, des plancli. Adronomie. pl. 2. Figures de la lune : ob-
fervations l'iir l'es montagnes, fes mers, fon atmofpherc.
Suppl. IV. 76}. a , é. De la lumière de cet adre. Suppl. III.
8 11 . b. Cette imniere calculée. IV . 632. a , b. Pourquoi
la lumière de la lune ne donne aucune chaleur fenfible.
I. 626. b. V i , 602. U. Phénomènes de la hmc. Ses phafes. XII.
493. a , b. Nouvelle lune. XI. 266. b. CONJONCTION.
Pleine lime. XII. 756. b. Ses quadratures. X lll. 641. b. 684.
if. IV. 955. a. Inllexion des rayons folaires autour de fou
dirqiie dans les celipfes du folcil, Suppl. III. 601. a. Limuere
cendrée de la lune. 811. b. Pourquoi l'on apperçoit le globe
entier de la lime , lorfqu’elic n’cd encore que dans fon croif-
fant. IV. 508. b. AlUonomie phyfique de la lune. Sa denfué.
Suppl. 11. 698. a. 't'ems qu’elle metrroit à tomber fur la
terre. 703. a. Sa didance à la terre. 730. b. Supp. III. 172.
a y b. Âliérations que la fpliéricitc de fon globe a fouft'ertes.
Suppl. III. 740, a. Pefanteur des corps fur fa furfacc. Suppl.
IV . 308. F Force qui retient cet adre dairs fon orbite. IV.
874. b. VIL S74. h. XI. 123. b. Expérience qui fert à expliquer
le mouvement de la lune autour de la terre. XVII.
614, a. Effet de la réddancc de l’ether fur fes mouvemeiis,
felon M. Euler. Suppl. II. 886. Caiife des inégalités do les
mouvemens. XI. 123- a. On tire de la nutation de l’axe
de la terre une méthode pour déterminer la maile de la lune.
286. a. AéUon de la Urne fur les eaux de la mer. V I . 904.
tt. AJîronomie péomcirique de la lune. Mois lynodique & périodique
de la lune , voye-^ M o is, Moyen de trouver l’<âge
de la lune. V . 742. a. Hypoihefcs de quelques adronomes
modernes fur fes mouvemens. 786. a ,b. übfervations à l’égard
des inégalités de ces mouvemens. 837. a. Ces inégalités
au nombre de quatorze. Suppl. \. 5 5 3 - Inégalité appellee
éveidion. Suppl, li. 906. b. Excentricité de la lune.
909. h. Apogée 8é périgée de la lune. I. 530. a , b. XII.
3 37. b. Ses noeuds. XI. 184. b. Suppl. IV . 37. b. Inclinaifon
de fon orbite : mouvement de fes noeuds. XII. 692. a. Pourquoi
nous voyons toujours à-peu-près le même coté de la
lune. Suppl. III. 739. b. Son mouvement de libration. IX.
479. a , b. SuppUM. 739. b. 6-f. Sa parallaxe. XI. 903. a ,
b. 904. b. Suppl. IV. 2;6. a. Son diamètre. IV. 942. a , b.
Suppl. \\. 713. a. 72 1. b. Pourquoi elle paroit plus grande
à l’horizon qu’au méridien. Suppl. III. 232. a. Ri.niarquc fur
fon dlanicue dans les éclipfcs annulaires. Suppl. 1. 446. b.
Son mouvement moyen. Suppl. 111. 972. a,-b. Recherche du
lieu moyen de la lune par l’obfervailon. Suppl. II. S31. a.
Sa parallaxe. Suppl. IV. 236. a. Ouvrage à coiifulter pour
léduire le lieu apparcMit de la lune à fon lieu vrai , & con-
noitre la parallaxe. IX. 687. a. Inégalité découverte par
T'alio , lorl'quc la lune cd dans les oélans. XL 339. b. Ufage
qu'on a préreiidii tirer de l’obfevvation de fes quadratures.
IV. 933. a. Inégalité de lalune appcllée rétlexion & v a riation.
XIII 890. a. X V I . 840 b. De la iimo dans les fy z y -
gies. X V . 782. a, b. Divers ufages qu'on peut tirer des ob-
i'ervations de la lune pour les longiiudes terredres. Suppl.
III. 773. b. 774. il. De la métluidc de découvrir les longitudes
, par le moyen du lieu de la lune dans le zodiaque.
IX. 686. a. Par les occultaiions des étoiles fixes par la lune ,
Sc enfin par fa fiuiation à l'égard de deux étoiles. Ibid. b.
Du pad'age de la lune auprès d'une étoile. Suppl. I. 498.
b. Du lever 8c du coucher de cet adre. Suppl, lll, 736. a,
b. Übfervations que Galilée dt de la tune. 173. b. Des tables
doles mouvemens. T ables. Des erreurs de ces tables.
Suppl. II, S67, b. Ouvrages atlronoiniqucs fur la lune. Suppl.
1.664. , h.66’ÿ.a yb.Suppl. IV. 334, u.Sur la hme,vuyc^
l’ariiclc PLANETE. De l ’hijiuer.ce de la lune. Celle que les
anciens lui ont attribuée dans les m.dadles. IV. 4-73. , t. D e
l’influence morale, phydqiie 8c méchuniciue de la lune (iules
corps terredres 8c fur les hommes. V l l l . 729. é. 733.
736. rf , b. 737. .r.
Lune. Etymologie de ce mot. 1. 733- a.
Lune , nouvelle , Fêtes des nouvelles lunes chez
pludenrs peuples de l’antiquité. XL 93. a.
Lune, ( Lh-. onol. j Du mois lun.üre. De quel mois de l’année
folaire chaque mois lunaire doit prendre fon nom. Divi-i ' len-
timens (iir ce liijct. Le feiitiment le mieux fondé d t qu’il faut
donner au mois lunaire le nom du mois où la lune (mit. Suppl.
1 1 1 ,8 1 3 ..:.
Lune , ayjlaux, ( Chymie ) pierre infernale formée de ces
crylLiUX. IX. 737.
Lune , ( Chym. ) Supplément de Particle ARGENT. Nature Sc
propriétés de l'argent. Ditfèremes formes fous Idcjiiellos l’argent
Ce monire dans le l'dii de la icrre. d . Diftérentes forme»
Ibus kfquellcs r.irgein vierge ou natif Ce trouve. 2°.^ Mine
d’argent vitrculc. 3'’. Mine d'argent rouge. 4 ’. Mine d’argent
cornée. IX. 737. b. 3'-’. Mine d’argent blanche. 6°. Mine d’argent
en plumes. 7". Mine d’argent de la couleur de merde
d’oie. Ce métal fe trouve encore dans les mines d’autres mc-
t.nux. Différcus lieux do la terre oii fe trouvent aujourd'hui, Si
oti fe Ibnt trouvées autrefoi.s des minc.s d’argent. Ibid. 738. a.
ElTais par kl'quels on peut s’alTurcr de la quantité d’argent contenu
dans une mine. Trois maniérés de traiter en grand les
mines d’ai rrenr. D e l’ufagc de chacune de ces méthodes. Ibid. K
Dernières puriticaiions de l’argent, par la coupelle, par le
fo u fre , par le nitre, Sc par l’antimoine criid. Ibid. 739. a.
Moyen de s’afl'urer fi l’argent cfi pur. Pourquoi dans les ouvrages
d'orfèvrerie , on allie coimiumémcnc l’argent avec du
cuivre. Moyen dont fe fervent les orfèvres pour blanchir leurs
pieces d’argent. Du titre de l’argent. Manière très-peu exaéfe
dont les orfèvres s’en alTurcnt. Comment on l'ait perdre ii
l’argent fon phlogilliquc , Sc on le réduit en diaux. Ibid. b.
Déchet que peut IbutTrir l’argent par une longue aélion du feu.
Acides qui le diilblvcnt. Moyen de le faire diffoiidrc dans
l'acide nitroux. Les acides, foit vitrlolique , foit du fel marin ,
s’unilleiit plus volontiers avec l’argent que l’acide nitreux.
.Moyen de purifier Lcaii-forte de divers acides. 'Moyen de con-
noitre fi une eau minérale contient du fd (‘éléniteiix. Manière
de former des delfins l'ur l’agaihe 8c le caillou. Comment
on forme des cryflaux de lime , & les cryllaux nommés-
fe l metallonim. Ibid. 74O. a. Manière de paroiire convertir le
plomb en argent. Formation de 1 arbre de Diane. Liqueur qui
teint les clievcux en noir. Moyen de faire la pierre infernale,
ou le cauflique lunaire. Mafl'c tenace d’im rouge de f-mg que
l’on peut plier comme un fil autour du doigt. Comment fe fait
la précipitation d-e l’argent dillbus dans l’acide nitreux. Di(Tü-
iution de l’argent dans l’acide vitrlolique. Procédé de K u nck cl,
par lequel on donne à l'argent la confiftance tl’une pierre qui
deviendra rouge 8c malléable. Manière de faire la lune cornée»
Ibtd. b. Propriétés de cette niatiere. Moyen de la réduire. Effet
de l’union du foufre avec l’argent. Maniéré de len dégager.
Divers nom.s que les alchymilks ont donnés à ! argent. Frin-
cijies dont ce métal eft compole lelon les chymifles. A 1 exception
de la pierreinfernale , l’argent n ’eR d’auciui iilage dans
la médecine. Maniéré d’argenter une piece à froid. Ibid.
^"*Lune cornée, {Chym. Métall.) Procédés par lefqucls on
fait cette fubUance. Opinion de M. Flenckel l'ur le verre malléable
des anciens. Moyen le plus Ifir d’avoir de l’argent bien
pur. Comment fe fait la rédiiéiion de la lune coince. IX.
741. b.
Lune cornée. I. 64 1 -1- Bézonrd de lune. IL 221. h. Lait de
lune. VU . 1000. a.
Lune , ( Mythol. ) Cultes que les orientaux lui ont rendus.
Mactübe a prétendu que routes les diviuités des païens pou-
LUN LUS vUient fe rapporter au foleil Sc à la lune. IX. 741. l. Origine
tîo Lidolâirie. Origine des conjurations des magiciennes. Céfar
ne donna point d’autres divinités aux peuples du nord , que le
feu , le foleil,8c la lune. Oracle de la lune dans l’ifle de Sain,
orès'des côtes de Bretagne. Opinion de quelques anciens phi-
îofophes fur la lune. Ibid. je ,i. a. royei^iuilïi l’article Lu s u s .
Lune. Divers noms fous lefqucls elle ctoit adorée chez
différentes nations. I. 77Ö. a. Nom d’Mécate donne u la lune.
VIII. 93. û , i. D u culte qu’on lui rendoit. X f l. 937. u. La lune
appellee reine du ciel. XIV. 4 8 . , /■ - 30. a. T emple des Péruviens
qui lui étoit confacré. XVI. 84- b.
LU N E BO U R G , (Geogr.) ville d’Allemagne. Salines de
Limeboiirg. Origine du mat j'al.iire. Situation de cette ville.
Ouvrages de Gafpard Sagittarius, né a Lunebourg. IX. 742. a.
LU N EL , {Géogr.) ville .ancienne du Languedoc. Qualité
8c prodnaion du terroir de fes environs. Synagogue 8c école
de .luifs à Luncl dans les 1 2^= 8c 13'; ficelés. Cette ville louflrit
beaucoup dans les guerres de religion. En quel ceins elle fut
unie au domaine. Suppl. III. 813. b.
LUNETIER. Uefeription des opérations pour la fabrication
des verres de lunettes d’approche. X V i l. 94. a , b. — c,-. a.
Baflîns pour les verres convexes. 11. 123. Boule ou (jrhere,
outil du lunetier, 362. a. gravoir. XU. 876. b. Moules pour
drelLcr les tubes des lunetres. X. 7S9. a. Maniéré de cencier
les verres de lunettes. II. 828. a. V o y e z les planches du Lunetie
r, vol. V , 8e l’article Lunette.
L U N E T T E , {Dioptr.) Difl'éremes efpeccs de lunettes.
Invemeur des béiicks. Les anciens n’ont point connu la propriété
des verres lenticulaires , de grollir les objets. Teins qui
s'efl écoulé depuis l’invention des lunettes fmiplcs, jiifqu’à
celle des lunettes à plufieurs verres. Lunettes improprement
appellees conjerves. Aloyens de remédier aux variations que
M. Büuguer a obfervécs dans le foyer des grandes lunettes.
IX. 742. b.
Lunettes , {Hijl. des invent, mod.) L'invention des lunettes
«ft abl'olument d-iie aux modernes. Ouvriers qui (ail'oient des
y eu x de différentes matières pour les (latues des dieux. Monu-
niens qu’on en a confervés. Diverfes obfcrvarions lihloriqucs
fur la découverte des lunettes fimplcs. IX. 743. a.
Lunette d'app.'-oche {Uijl. des invent, mod. )Ttcms auquel
cec inflrument a commencé à cire connu. Ufage que lesafiro-
nomes f'aifoiciu de tubes avant cecte invention. Hilioire de la
découverte desluneties d’approche. IX. 745. b. Divers auteurs
qui écrivirent fur cette découverte , Sc travaillèrent à la per-
feélionner. Ibid. 744. a.
Lunettes achromaiiqucs, ( Optiq. j Principale caiife de l’im-
perfeflion des lunettes o rdinaires, dans la différence des foyers
des rayons de diverfes couleurs. Moyen propofé par Newton ,
pour diminuer ce défaut. Suppl. 111. 813. é. Celui qu’a trouvé
M. Euler. Reclierchcs de M. Jean Doliond jiDur le même
objet. Ces recherches reélifiées par M. Klinginfiicrna , inatlié-
maticicn Suédois. Formules données par M. Ciairaut , pour
l ’analyfe des courbures les plus propres à corriger la différente
réfrangibilité. Lunette de M. Antheaume couflruite (ur les principes
de M. Ciairaut. Ibid. 814. a. Lunettes achromatiques de
XL Doliond le fils. Théorie donnée par M. d’Alembert. Le
niémefujct traité par M. Euler dans fon ouvrage de dioptriqiie.
Difl'ertations 8c;iiémoire que le P. Bolchovicli a aiifli publiées
fur cette ('orte de lunettes. Ibid. b. Recherches faites en France
fur les moyens de les perfeélionncr, Ibid. 813.
Lunette d’approche. Chàlle d’une lunette. 111. 229. a. D iaphragme.
Suppl. IL 717. é. Du foyer des grandes lunettes. VII.
263. a. Ce qu’on appelle difque dans les lunettes. IV . 1043.
b. Verres de lunette. XVII . 94. a , b. — 97. a. X L 301. u , b.
-341. b. La grandeur du champ d’une lunette nuit fouvent à la
netteté des objets : moyen d’y remédier. III. 76. b. Principale
caufe de l’imperfeéUon des lunettes d’approche. XIII. 901. a.
"Efpece de lunette d’approche appellee polcmol'cope. XII. 903.
a , b. D e la meilleure conllruélion des lunettes de poche à un
fimple objeélif & un oculaire concave. Suppl, l. 149. a. Impcr-
feéHon des lunettes cauféc par la clii'pei fion des'rayons ; caufes
de cette dii'perfion. 27. a , b. Lunettes achromatiques inventées
pour corriger ce défaut. Ibid. & 146. a , b.— 130. Lunette
parallatiqiie. Suppl. IV. 234. a , b. Du parallélil'me de la lunette
avec le pian du mural ou du grand fcélcur auquel elle efl appliquée.
238. a , b. — royei TÉLESCOPE.
Lunette d'épreuve, {Aflron.) Lunette centrée, contre-
pointéc , qui fert à vérifier divers inflrumens. Exaélitude e.xi-
gee dans fa conllruélion. Son ufage. Suppl. III. 813. .7.
Lunettes à mettre fur le nez. II. 213. a. Lunettes pour les
vues foibles. X V IL 97. i. 98. a. Lunette de montre. IV. 327.
Lunettes , {Fortifie. ) Defeription. De la maniéré de coiif-
truirc cet ouvrage. Grandes lunettes, T enaillons.
Petites lunettes, w y q REDOUTES. IX. 744. h.
Lunette, terme d’hydraulique, terme d'architeéfure. IX.
744. n.
^ Lunette, terme de corroycur , d'horloger, de mavéclval ,
d’orfevre en groiîbrie , dv peauiTier, de touyieur , 8c de
:^erreric. IX. 743. a.
Ï 3 I
i-uhctiès du chamolfeur. III. 72. a , b.
LU N ÉV ILLE , {Conj'eildej IV. 12.
LU N ISO LA IK E , {AJbonom.) Aimée lunifolaire, aufti
nommée période dyonyficnnc. IX. 743. n. Avantage 8c pro»-
priété de cette période. Ibid. b.
L U N N A , ( Geogr. ) Recherches fur la pofuion de ce lien.
Suppl. 111. 813. a.
L'\JIS-fui-rautrc, {B lafon j Animaux pofés run au-deffus
de l’autre. Suppl. III. 813. b.
LU N U L E , {Géomét.j Quadrature de la liimilc, trouvée
par Hippocrate de Chio. Démonllratioii. On peut aiillî qiiarrcr
diflércutes parties de la liiinile ; ouvrage à confulter là-defl'us.
IX. 743. b. Voyei QUADRATURE.
Lunule , ( Litter. ) Ornement que les patriciens portoient
fur leurs (ouliers. D cicription de cet ornement. Ce qu'il figni-
fiüit. IX. 743. b.
LUA’V S , { A n numifrn. ) Defeription de quelques médailles
oîi le dieu Lunus elf roprefenté. IX. 743. b. Ejiithctcs
données à ce dieu. Provinces de roricm où fon culte étoit établi.
Ibid. 746. a.
L u n u s , {Mythol. Littér. Mèd.ùl. ) Divinité qui n’cfl autre
cliofe que la lune. Le nom de cet cfire de différens genres
en différentes langues anciennes. Plufumrs peuples en ont fait
un dieu , d’autres une décile , 8c quelques-uns une divinité
hermaphrodite. Médailles où le dieu Lunus cfl repréfenté.
C.omment il cA repréfenté lur une pierre gvavce du cabinet
du roi. IX. 746.
Lunus. C e dieu adoré d.ans le Pont fous le nom de Pliarnak.
XII. 493: b. Comment il eAreprél'entéfur quelques itiédaillcs
de Sardes: furnoms qu’on lui donnoit. IV. 6<^z.b. Comment
011 le rcprél'cntoit. X V , 730. a.
LU P E llC A L , {L it .) grotte où Remus 8c Romulus furent
allaités par une louve. Temple 8c fêtes qu’Evandre avoit établis
prés de cc lieu. IX. 746. b.
LUPERCALES , { L i t . j fête inAituée à Rome en l'honneur
de Pan. Invemeur de cecte fête. Comment elle (’e céié-
broit. College des Luperques établi par Roimiliis. Comment
ils ctoient vetns. Les hipercalcs rcmifes en vigueur par A u -
guAe , 8c maintenues môme fous les empereurs chrétiens. IX.
746. b. Pourquoi les femmes s'expofolciic aux coups de fouet
des Lupe-rques. Etymol. du mot lupercale. Origine de l'ufage
de quelques jeunes gens ([ui comoicm prefquc nuds dans les
lupcrcales. Auteurs -à confulter. Ibid. 747. a.
Lupercales. La pudeur réforma ces fêtes. X IV . 88. a.
LUPERQUES , {^Littér. j Ils pafl'olent pour les plus anciens
prêtres de Rome. Deux communautés de Luperques; cellè
des Quimiliens 8c celle des Fabiens. Troifiemc college qu’établit
C é fa r , fous le nom de Luperques jLiliens : voyei^ ces
mots. Marc-Antoine, quoique conful, fc préfenta au public
habillé en Luperque : reproche que lui eu fit Cicéron. Cérémonie
fmgulicre dans les ('acrifices Luperques. IX. 747. a.
Pourquoi ces prêtres étolent nuds avec une fimple ceinture
pendant le fervice du dieu Pan. Ibid. b.
LUPIN , ( Botan. ) Caraéleres de ce genre de plante. D e feription
de l’efpece la plus commune. Lieux où on la cultive.
IX. 747. b. Ses ufages. Culture des plus belles efpeccs pour
rornement des jardins. Ibid. 748. a.
Lupin, ( L itt.j Ufage qu’on en faifoit pour la table du
teins de Galien. Pourquoi Frotogene ne l'e nourrit peudanr
un certain teins que de lupins. Ufage que les comédiens 8c
les joueurs à Rome faifoient des lupins au lieu d’argent. Pafl'a-
ges d’Horace Sc de Plaute fur ce l'ujct. Loi de JulVmien fur
l'ufage de jouer avec des lupins. D e l’étym. du mot lupin. IX.
748. a.
Lupin, {Mat.médic.j S:v cur de la femencc. IX. 7.>8. a.
Quelques-uns l’ont regardée comme un poifon, ce qui paroîit
peu vraifcmblable. On n’en fait plus aucun ufage intcrieurcr
ment. Propriété du lupin employé extérieuremout. Ibid. b.
LU P IN A STRE , {B o t.) Caraéleres de cc genre de plantc<
Lieux oil elle croit. IX. 748. b.
L U P U S , {Chrétien) X V II . 676. b;
LU R CO N IE N N E , ht. IX. 664. b.,
LURE^ ( Géogr.) abbaye do bènédiélins en Franche-Comté.
Obf'ervations hifloriqiies Air ce monaAere. Suppl. 111. 813. b.
LU SAC E , {Géogr.) piovincc d’Allemagne. Souverains
auxquels elle appartient. Son ancien nom. Celtu que les Allemands
lui doiincnt qiiclquetois. IX. 748. b. Découvertes de
M. de Tl'chirnaiis né dans ccuc province. Obfervations fur
fon ouvrage intitulé : Medecina mentis & co/poris. Ibid.
749. a.
Lu/'.ice, du comté de. IVL 63. b.
LÜSIADE. Obfervations fur ce poème. XII. 820. b. Belle
fiélion qui y eA employée. X. 393. b.
LU S IG N AN , {Géogr.) ville tlcFrancecn Poitou. Obfer-
vntioiis hiAoriques l'ur le château de Liffignan. IX. 749. a.
LU S IT AN IE , ( Géogr. nnc. ) province d’Efpagnc. Ses pro-
duélions. Revenu que les Romains eu tiroient. IX. 749; a. Bas
prix auquel l'e vendoient les viandes ufuelles. C e f : impro-
premem que le Portugal s’appelle eu hiin Lufiunia. Ibu. k-.