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la plus grande. Caiifcs qui font varier !:i latitude dc la hine
-dans lès llmiccs. Suppl. 111. 748. a.
L im it i s , (Aliieb.) Deux quantités entre lefqiicUcs fc
trouvent les racines réelles d’une équation. Limites d'un pro-
jiléine. Les problèmes iiuléicrmincs ont l'ouvent des limites.
IX. 542. b.
L iaut is ) Efpace que Solon avoir é'tabli entre
les limites. Cette difpofition d’abord adoptée chez les Romains,
fut eiiAiitc négligée'. Comment alors on mar<|ua les limites.
IX. 542./'. Freies Ar vales qui connoilîbient des limites. Arpen-
teiii.s ebez les Romains. Ouvrages à condiltcr. Ibi^. ^43.
Li/uites : difference entre limites , bornes, 8c termes. II.
336. a. Limites d’un héritage, III. 8 5 1. , l>. Procès-verbaux
pour reconnoitre 8c conllater les limites d'une jiiUii.e. 315, a.
Des méthodes prifes pour garantir la limitation des terres.
Suppl, ill. 184. t i , b.
LI.MMA, {Mtijiq.) Le limma cil moindre d’un comma
que le femi-ton majeur. Divifion du ton majeur felon les
Grecs. La génération du limma, en commençant par ut, le
trouve ;i !.a cinquième quinte fi. Divifion pythagorique du
Jiniina. LX. 543. u.
L IM N A D E S , N.ïi.idcs. X L 7.
L IM NÆ , ( Geog/-. .me.) rlciix villes de ce nom , l’une
en Thrace, l’autre dans le Péioponntfe. Temple de Diane
Letnnéenne : crime que les Mclléniuis y commirent. Lmina
quartier d’une tribu de l'A ttique. IX. 343. .1. Temple de Bacchus
dans ce lieu. C e qui s’y pvatiqiioit. h'ïd. b.
LI.VlüGES , ( Gco‘^r. ) ville capitale du Limoiifui Ses révolutions.
Son nom latin. Sa fituation. Elle eft la jiatrie de
M. le chancelier d'Aguel'i'eau [^Ham-Fruncois'), 6c d’Honoré
de Sninre Marie , carme déchaull'é : fes oiiviages. IX. ^43. b.
L im o g e s , {^jean de) augullin. Suppl. 111. 748. b.
LIMON , ( Hijl. nul. ) C c f l un melange de terres de differentes
elpeces, 8c ce mélange doit nécellaircinent varier.
Clu'.ngcmcns qui arrivent au limon des rivieres , felon les
terres qu’elles charrient, à celui des marais, des lacs , 6c tic
la mer même. IX. 343. b. D ’oii vient la partie vifqiieufc 6c la
couleur noire du limon. Origine de la partie lerrugincufc. Le
limon que dépofent les rivieres mérite toute l’attention des
naturalises. Obfervations faites par M. Schober fur le limon
que dépofe la Sala. Ibid. 344. j . Ce que devient le limon
qu’entraînent les grandes rivieres. Dlftérentes couches qu'il
forme dans les plaines qui ont été inondées. Souvent il cn-
grailTc les terres fur leTquellcs il fe répand. D ’autres fois il nuit
à leur fertilité. Ibid. h.
Ltmon. qui fe trouve au fond de la me r, appelle terre acia-
mique. I. 126. b. Fertilité que le limon procure à la terre.
Suppl. IV . 420. b.
L im o n , l^Mcdcc. Phurm. Cuifim. Arts) Fruit du llmonnier.
Huile dont l’écorce des limons eft remplie. Comment on fait
l’eau de limon. Limonade à l’angloife. Tilanne laxative où
l’on fait entrer le fuc de limon. IX. 344. h. Gargarifme où il
efl employé pour les gencives dans le feorbut. Les iiinoiis
font plus rafraichiffans que les oranges 6c les citrons; ils abondent
dans les deux Indes. Ufages qu'en font les Tunquinois.
Uliigc qu’en font nos teinturiers. Encre fymphatique avec Je
fuc dc limon. Auteurs à conliiher. Ibid. 343. .7.
Limon : préparation du fyrop de limon. III. 492. a.
L im o n , {^Charron) Defeription des limons d’une charrette.
Limons dc traverfe. IX. 343. a.
L imon , ( Coupe des pierres) IX. 345. a.
L im o n , Iciurpente) Définition. Faux limon. IX, 343. tf.
L IM O N A D E , [P/iurm. AJui. medic. Dicte) Manière de
faire dc la bonne limonade 6c de l’aromatifcr. IX. 443. b.
Limonade. Comment on la parfume. VIII. 333. h. Limonade
faite d'eau , de fucre , 6c d’acide vitriolique. X VII . 366. b.
Ll.MONADIER , ( Comm.) Détails fur la communauté des
limonadiers dc Paris. IX. 343. b.
LI.MONIER , ( 5 of. ) Carafleres de ce genre de plante.
........... '■ - ' t arbre croit naturellement. Sa defeription. IX.
ill
JfLîi
343. b. Maniéré de le nnikiplicr , 6c de le cultiver. Elpeces
de limoniers les pins remarquables. Ouvrage à confulter. Ibid.
Limonier des Indes nommé moul-ila. X. 792. a. Autre efpece
dite pommier d’Adam. XIII. 7. a.
Limonier , cheval qui eft feul entre les deux limons
d’une voiture. Vol. IL des planch. Bourrelier , pl, 7.
L IM O U S IN , (Gèogr.) province de France. Obfervation
fur l’ancien peuple appellé Lcmovices. Defeription du haut 6c
du bas-Limoiifin. Produélions 6c commerce du pays. Trois
grands fiefs dc cette province. Hommes diftingucs originaires
de cette province : Martial d’Auvergne , d’Aurat, Merlin ,
Montmaur , 6c le pape Grégoire XI. Obfervations liifloriques
fur chacun d’eux , 6c fur les ouvrages des quatre premiers. IX.
346. b.
L imousin, (Gr'ci^r. ) Enumération de pluficurs hommes
célébrés nés dans cette province. Suppl. Ill, 748. b.
Limoufiin. Ouvrages qui fe fabriquent dans cette province.
I. 4Û6. a. Danfc qui s’y pratiquoit le jour de S. Martial. IL
497. a. Etats duLlmoufin tenus en 1333. V I . 23. a.
L I N
L IM O U S IN A G E , voyc^ Maçonnerie, IX. Î06. b.
LIMYRE , (Ge’yg/-. anc.) ville d’.'^fie dans la L ycio , connue
p.iv la mon de Caius C é la r , fils d'Agrippa , petit-fils d’Au-
gulfe. Obfervations fur ce prince, IX. 347. a.
LIN , {B o t.) Cnraéleresde cegcnrede plante. Defeription
dc l’efpece la plus conimune. IX. 347. a. Ufages de cette
plante qui en rendent la culture précieufe. Ibid. b.
j.mvage purpatif, i^Boi.) Sa defeription. Terreins qui
lui conviennent. Principes que cette plante contient. D c l’iilage
de ce lin en médecine. IX. 347. b.
Lin incombuflible, {Hiß. run.) voye^ AmianTE. Sa defeription.
IX. 347. b. Lieux d’où les anciens le tiroient. Ceux
üli les modernes en ont trouvé. La maniéré de filer ce lia
étoit un teeret pour les 11 mains 6c pour les Grecs. Charles-
Qiiint avoir pluficurs ferviettes de ce lin. JeanJuftin Ciampini
a la gloire de nous avoir appris le premier l’art de le filer.
Poye{ fa mcihode au mot Amiante. Defeription d e là maniéré
dont M. Mahudel l'a perfeélionnée. Ibid. 338. </. Ou-
viagcs cjii'on fait aéluelicmenc aux Pyrénées avèc ce fil. Les
toiles faites avec cc minéral ne poiiiroient être d’un long fer-
vice. L'nfage qu’on en faifoit au brûlement des morts, ne
s’übfervoii qu’.à l’égard des rois. Obfi-rvations fur l’ufage de
former avec cc 1 n des mèches perpéiudles. Ibid. b. Efpece de
papier perpétuel qu’on en peur fabriquer. Prétendues venus
médicinales aitribuées au lin incombuflible. L’abefte c i lle feul
lin incombuflible dont on peut faire des toiles 6c du papier.
Ibid. 349. iJ.
Lin , {Hiß. a/ic.) Du fil des anciens : UïSSUS. Ea
quel tems commença à Rome l’ufage des tuniques de lin.
V llI , 14. <7.
Lin , culture du , ( Econom. riifliq. ) Dn choix de la graine.
Des qualités qu’elle doit avoir. Son prix. Ce qu’il faut de graine
pour feiner une raefure déterminée de terre. IX. 349. a. D e la
nature dc la terre propre au lin. Préparation de la terre. T ems
de la femaille. Prix de la femaillc. Façon qu’il faut faire au lin
avant la récolte. Quel tems cfl le plus propre à fa culture.
Ibid. b. Tems de la récolte. Maniéré de recueillir. Dn rouir»
Maniéré d’écanguer le lin. Ibid. 330. a. Prix du travail précédent.
Des bottes 6c des graines qu'on retire année commune
d’une portion déterminée de terrein. Du prix du lin 6c des
dirt'erentes maniérés de le vendre. Depenfe du lin fur terre
jufqu’à ce qu’il foit en état d’être vendu. Ibid. b. Détails fur
la culture du lin. Trois fortes de lins , le froid, le cliaiid, ôt
le moyen. Le lin chaud croit le premier. Le froid croît au contraire
fort lentement d’abord. Le moyen participe de Lun &
de l’autre. On ne fait pour avolt la graine de lin froid, que dc
l'atlieter en tonnes de linuife de Riga : mélange de la limiife
avec d'antres fortes dc lins , qui s’augmente à chaque récolte.
On confidere dans le lin la longueur , la fineffe 6c la force.
Moyens de fe procurer par la culture ces différentes qualités,
Ibid. 331. a. D e la récolte du lin. Maniéré de faire fécher la
graine. Du battage de la tige. D e l’opération de rouir. Ibid. b.
Suite des opérations , le mailler, le b rifer, l’écorcher , le plier
jufqu’à ce qu’on veuille le mettre en ouvrage. Du travail
qu’exigent les liens non-ramés. Quand on voudra les filer ,
on fe contentera de les feranner : vo ye z comment on feranne
à l’article Chanvre. Comment 011 prépare les lins fins au
filer. Prix d’un arpent de terre d’un lin ramé f in , 8c de trois
à quatre pies dc luuiteur. Méthode pour préparer le lin d'une
manière qui le rende femblable à du coton. Ibid. 83a. a.
Lin. Maniéré de fécher le chanvre 8c le lin après la récolte.' 111. 8. 77,
Lin , ( Pharm. Mat. médic. ) Ufage de la graine de lin foie
extérieurement , foit à l’intérieur. L ’infufion de graine de lin
cfl excellente contre les poifons corrofifs. D e l'huile tirée dc
la graine de lin par expreflîon. IX. 332. b.
L1N A IR E , {Botan.) Caraéleres de ce genre de plante.
Defeription dc î’efpece de linairc la plus commune. Saveur de
cette plante. Lieux où elle croît. Son ufage extérieur. IX .
333. 71.
Linaire , efpece de ce genre appellee velvote femelle. X V I .
908. b.
Linaire , ( Mat. médic. ) plante prefqu’abfoîumcnt inufitée.
Propriétés que Tournefort lui attribue. Celles de l’onguent
de linaire. IX. 333. a. Maniéré de le préparer. Anecdote à
propos de cet onguent. Ibid. b.
L IN A N T , {Michel) poète. Suppl. III. 810. a. Suppl. IV .
684. <7.
LINCEUL , en latin fimdo : ufages de ce dernier mot dans
l’écriture. X V . 207. b.
L IN C ER TE , {Géogr anc.) qualité enivrante des eaux de
ce fleuve. XVII . 681. j .
LINCOLNSHIRE, {Géogr.) province maritime d’Angleterre.
Son étendue. Ses rivieres. Comment on la divife. Ses
villes principales. La province de Lincoln doit à jamais fe glorifier
d’avoir produit Newton. Obfervations fur cet homme
célébré ; honneurs qu’on lui rendit après fa mort. IX. 333. b.
L IN D AU , ( Géogr. ) ville de la Souabe , avec une célèbre
Abbaye de chanoinefles. Diverfes obfervatk>ns fur cette
abbeyc
L IN Abbaye. Gouvernement cia la ville de Lindau. Sa finiation
âvancageufe. Marchandifes qu’on y apporte. IX. 334. .7.
LiNüAU, ( Gc'i?^.". ) I °. Riviere do la bailè Hongrie. 2”.
Château , ville & bailliage d’Allemagne , d.uis l’clcéiorat de
Brandebourg, pofl'édés par la niaifon d’Anhalt-Zcrbfl. Suppl.
lIL 749. a.
L IN D E S , ( Géogr. anc. ) ancienne ville de rifle de Rhodes.
Fondateur de cette ville. Elle fc glorlfioit dc fon temple
de Minerve, 8c d’être la patrie dcCléobule, l'un des fept
làges. IX. 334. *7.
Lindes , place importante du tems que les chevaliers de S. .
Jean de Jénifalein poffédoiciir l’ifle dc Rhodes. 334. b.
LIN EA , efpece d’habit eccléfiafliquc. \ III. 16. b.
LINÉAIRE, (7V/,77/if/n.) Définition du problème linéaire. Un
problème linéaire n’a véritablement qn’une folution poifible
ou imaginaire , au lieu qu’il y a des problèmes tpii n ont réellement
cju’iine folution poflible , quoiqu’ils cn_ aient plulieurs
imaginaires. Equation linéaire.Quantités linéaires. IX, 334. b.
Liné.iire, nombre incompofé linéaire. XI. 204. .t.
Linéaires, équations , {Calcul intég.) folutions données
par qiielcpies auteurs de quelques équations linéaires de différentes
formes. Suppl. III. 749. a. Réliilrats des confidéra-
lions de rauiciir fur ces équations. Ibid. b. Des équations linéaires
aux différences finies. Ibid. 730. a , b. D ’iinc eipece
d’équations linéaires aux différences finies 6c partielles. Ibid.
73 1 . a. D ’une autre clalfe d’équations linéaires aux différences
finies 6c partielles. Ibid. b. Dos équations linéaires aux
différences partielles. Ibid. 732. a.
L IN G AM , {Hifl. des Indiens,) divinité adorée dans les
Indes, fur-tont au royaume de Carnatc. Image infame qu’elle
offre. Culte que les Bramines lui rendent. Ouvrage à con-
fultcr. IX. 333. a.
Lingam, vo ye z Ruddiren. L'image dn Lingam c f l , felon les
Brachmanes, le fymbole de ta divinité. XIV. 392. a.
L IN G E , manière de le blanchir, i'i//»/’/. L 906. b. dc le
marquer. Suppl. III. 838. a.
LINGEN , Comté de, ( Géogr. ) pays proteflant d’Allemagne
dans le cercle de Wdtplialie. fies bornes 6c fon étendue.
Poffeffcur de ce comté. Frodiiftions du pays. Sa population.
Revenu que le roi de Prufl'e en retire. Son gouvernement.
Suppl. 111. 732. b.
LIN G EN D E S , {Je.m de) poète fratiçois. X. 818. a.
LINGERES, {Comm.) femmes qui font le commerce du linge
& delà dentelle. Régleniens de leur communauté. IX. 333. a.
Lingere, {A n s méchan.Comm.) Explication des difiérens
points de couture. Suppl. III. 732. b. Le furjet. Le point de
coté. L’arricre point. Le point devant. La couture rabattue.
Ibid. 333. a. Le point noué , on point de boutonniere. Le
point de chaînette. Le point croilé.
Des difiérens ouvrages dc lingerie, leur coupe leur fiaçon.
I. Le troujfieau qui renferme tout le linge que le pere é i la
mere donnent à leur fille en la mariant. Ibid. b. La toilette de
ville 8c celle dc campagne, les troulfes ou étuis à peignes ,
le deffus de pelotte , les ferviettes de toiietie , les tabliers de
Toilette , les peignoirs. Ibid. 734. a. Frottoirs, coèftures. Ibid,
b. Le tour dc gorge , fichus , bonnets, la lerviette , grande
coèri'e en moiill'cllne , les taies d'oreiller, les tabliers dc
femme de chambre. Ibid. 733. a. Cliemifes, mouchoirs,
pieces d’eflomac , mantelet de moiiffclinc , Ibid. b. Poches ,
corfets, manchettes.
IL La layenc : linge à l’iifage de la mere pendant les couches
, ou de fenfant nouveau n é , voye:^ Layette. On y
tioiivera l’énnmérailon de toutes les pieces dont on donne
ici la coupe 6c la façon. Piece de fein , goufl'ets dc batifle,
cliemifes de couche, alaifes plates 8c [ililfées, bandes dc
ventre. Ibid. 7^6. a. Cliauffoirs , linge dc l’cnfirnt, béguins,
mouchoirs dc col 8c fichus , couches, bandes de maillots.
Ibid. b. Langes, ferviettes, un bfais, grande coëfle de moufle-
line , petits bras, cbcinifo de bralliere, la tav ayo le , le bav
o ir , garniture dn berceau.
III, Autres pièces de lingerie tant pour homme que pouificmme ,
qui n entrent point dans le trouß'eau ni dans la layette. On
donne ici la coupe 8c la façon dos pins compliquées. Chaiif-
fette d’enfant. Ibid. 737. u. Chcniife du premier âge, cbe-
mife d'homme. Ibid. b. Garnitures de manchettes Ä du jabot.
Ibid. 738. <7. Les cols , coèft'es de bonnet , chaulions ,
pcignoij-s d'iiommc , tabliers de valet de chambre 6c de cni-
fine. Ibid. b. manchette de botte pour garnir le genou ; coèf-
fiires nommées baignenfes, coèffurcscle deuil, petites coeffii-
res .à la reine, fichus plilfés, manchettes à un 6c deux rangs,
celles dc deuil, cliemifes dc bain , linge dc l i t , draps.
II. Linge d'églific : pieces j)Our l’autel ; les napjies. Ibid. 3^39.
a. Le lavabo , le corporal, la pâlie , le purilicatoiro, les n.ip-
pes de comnninion, — Pieces pour l’ecdcliaflique ; l'aube ,
le fiirplis , le rochet, l’am iil, le tour d'étole. Ibid. b. Le rabat
on petit collet , les manchettes de fomanne ; ouvrage à
confulter, Ibid. 760. a.
LINGCJNS , {Géogr. anc.) ancien peuple de France aii-
joindiuii \o L.mgrcfi. IX. 333. ,7. PiMnict' auteur qui en a
Tome II.
L I O 1 2 9
parlé. Ils étolent alliés des Piomains. A quelle G aule ils uppar-
tenoient. Quelle étoit l'opiilcnce de ce pays. Divers p.iys
qui étoient fous la dépendance des Lingons. Erat préfenr du
Langrcfi. Différence entre les Lingons de la Gaule Belgique
6c ceux de la Gaule Cifpadaiîe. Ibid. b.
Lingons , émigrations de ces peuples. 'V IL 3 28. b.
LIN GOT IERE , {.Orfiévr.) Diverfes obfervations fur cet
inflniment 6c fur la maniéré de s’en fervir. IX. 353. i.
LingotiercA'orlowî , appellee tuile. XVT. 739. b. Maniéré
dc jetter lemétal en fufion dans la iingoticre.i';//!/?/. III. 3 30. b.
L IN G U A L , {Anatom.) artère linguale. Suppl. II. 243. b.
Ne rf lingual. Suppl. IW. 38../.
Lin g u a l, bandage, {Chirurg.) machine pour la réunion
des plaies traiifvcrfalcs de la langue. IX, 3 33./>. Les futures ont
prévalu dans prcfqtie tous les cas fur les autres moyens de
réunion. Ambroife Paré rapporte trois obfervations de plaies
à la langue, auxquelles il a fait la future avec fiiccès. Invention
de M, Pibiac plus avant.ageufe que l’iil'age de la fiiture.
Defeription dc cet infiniment. Direclions l'iir les foins que
l ’utagc de cette macliine exige. Ibid. 336.
LinGUALe.S, articulations, {Gr.unm.) Dans toutes les langues,
les articulations linguales font les plus iiombreufes. Nous
en avons treize en françois. IX. 336. a. Divifion des linguales
en quatre chiffes ; les dentales , les flfflantes, les liquides
6c les mouillées. Obfervations fur les dentales , n , d , t , g.
Et fur le méclianifme de leur articulation. Aiiiaflion entre
l’/7 6c le i , telle qu’cllca été obf'ervéc au mot Lettres , entre
l’/?7 6c le b. Pennuiaiioii de g & lie d. Dos articulations
fifllantes, s , j ,S l ch. Du changement de { en / , 6c dc
ch en J. Ibid. b. Âiiires articulations fifllalires v 6c. J. En quoi
clics different des précédentes. La gutturale /i cfl aiilfi analogue
aux autres articulations fifflaïues. Delà la pollibiliré de
mettre les nues pour les autres. Exemples des aiticul.iiions
liquides / 6c /. Comment s’opèrent ces articulations. Leur
pernuitation refpeflive. Obfervation fur la dénoinin.iiion d’articulation
mouillée. JbiJ. 337. a.
Linguales, articulations 6c lettres. IV. 33. b. IX. 142. b.
L IN GUM EN , montagne de la Cbiiic , fur laquelle cfl
une bibliothèque. 11. 233. a.
LINIERE ,{François Pajot de) poète francois. X V . 14. b.
LINI.MENT , ( Pharm.tc. ) en quoi il diffère de l’on-
gnent. IX. 337. .7. Quoiqu’il foit prefqiie clVemiel à ce genre
de remede d’être compofé dc inniicres graffes, cependant
on y incorpore quelquefois des liqueurs aqneiifes, pures ou
acidulés. On peut aiiffi difîîpcr par la cuite l'eaii chargée
d’extrait, dc m'ucil.igc, 8cc. Utilité des liqueurs aqueiifcs
dans les linimens. Diverfes poudres que l’on fait aiiffi entrer
dans les linimens 6c les ongtiens ; cet ufage condamné, Ibid. b.
L IN IN G S , (A'.7/i ) nn.uomifle. Suppl. I. 410. b. Et phy-
fiologiflc. Suppl. IV. 339. h.
L IN NÆ U S , célébré nuriiraliflè. Sa diflribiition des animaux.
I. 474. b. des coquilles. IV . 192. a. Des fleurs. VI.
834. b. Parties qu’il diflingue dans les fruits. VII. 3 36. b. Sa
diflribiition des plantes. XII. 719. a , b. VI. vol. des planches.
Régne v ég é ta l, pl. 104. Sa nomenclature des poiffoiis.
XII. 889. a. Remarques fur fbii fyflèmc botanique. Suppl.l.
43 1. .7. 577/>/>/. II. ic/q.b. 293. .7. Suppl.lil.i)-^. b. Suppl. IV .
787. b. 788.-2. Sur fa nomenclature. Suppl. II. 437. b. Sur
fes plirafes. 27. a , b. D e fon hypothefe fur les couches de
la terre, 628. a. Sa clafimcaiion des infeétes lépidoptères.
Suppl. lU. 729. a , b.
LINO , ( Géogr. ) bourg près de Rliclnsberg en Allemagne.
Tiait dc bicnfaifance du prince Henri k l'occafion d’nn incendie
arrivé dans ce lieu. Suppl. III. 760. a.
LINOS , ( Liner. ) efpece dc chanfoii trille en ufage eJiez
les anciens Grecs. Paffage d'Héroclotc fur le lino.s 6c les
différens peuples qui en failoient ufage. Diflérentes idées
que les auteurs en ont données. IX. 338.
L IN O T E , ( Ornith. ) Dcfcrlptien de cet oifeau. .Sa nourriture.
IX. 338. iz. Lieux oîi il niclic. Sa pome. Deux fortes de
linotes rouges , la grande 6c la petite. Ibid. b.
L IN TEMPIUS, écrivain fécond , qui donna 72 volumes
en douze ans, IX. 606. b.
L IN TE RN E , {Geogf. anc.) ancienne ville d’iialie. Retraite
6c mort de Scipion l’Africain à Linterne. l’aiolcs gr.i-
vées fur fa tombe. Tour qii’on érigea fur cc tombeau après
la dcflruélion de Linterne par les Vandales. .Nom donné à
cette tour , à la bourgade Sc ali lac voifln. Ruines de Lin-
terne. IX. 338. b.
Linterne, lieu de la retraite Sc de 1a mort de Scipion l’A fricain.
Momtmem que lui érigea la femme Emilie. Toiir
conflriiite dans le, lieu où étoit ce lépnlcre. Suppl. III. 760. a.
Linterne , pourquoi Scipion clioifit cc lieu pour fa retraite,
IX. 891. b.
LINUS , poète Sc philofophe du premier âge de la Grcce.
Vni.qofi.«/.
LIOMEN ou I.umne. ( OniUhol. ) Defeription de cet oifeau
aquntUjue. Lieux où il paroit. Soin cpi’il prend de fes
oeufs. IX. 339. a.
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