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608 R O S
R O S A L G A T E , cjp de ( Géo^r. ) dllîercncc entre la mer
voifinc de ce cap & celle d’Orimis. VII. <fZ2. b.
RO SAL IE i répciifioii d’un palfage , & c . Un
compofiteiir doit s’cti iervir rarement. Rofalie qu’il faut abl'o-
Imnent éviter. Quelle ell In plus cxciifable, Suppl. IV. 679^ a. 4k celle dont 011 peut fe fervir fans fcrupiile. IbiJ. b.
R O S A T , huiU ou onguent, ( Phaim. ) pourquoi on le co lore,
III. 6^8. il. Sucre rofat. X V . 617. b.
KO SC IA lo i IX, 669. il.
R O S C IU S , afteur romain, paiement qu'il rcce^oit. XV.
447. it.
R O S E , ( Botan. ) caraélercs de ce genre de plante. Sa
defeription. Rofe faiivagc , É g l a n t ie r . Exemples de
quelques jeux de la nature que préfentent les rôles. XIV.
563. b.
Rose.s , cjjhiccde. ( AridiflilLu. ) Moyen qu’a trouvé M.
Homberg, pour augmenter la quantité do cette clTcnce dans
la dirtillation. Autre expédient qu’ont encore adopté les parfumeurs
dans cette opération. X IV . 363. b.
Rose, ( mèdic.) dill'crentes préparations qu’on tire
des rofes. Leurs ufages. X IV . 364. u.
Rofe, conicrve de rofes. IV . 43. u. Préparations officinales
Oil entrent les rôles rouges. 930. b. Pain de rofes. XI.
73a. U, é.
R ose , ( Jardin fieurifle. ) noms particuliers dont fes dilîé-
t'entes parties ont été décorées. X IV . 364. a.
Rose de Jéricho, i^Botan. ) defeription de cette plante.
Lieux où elle croit. Propriété fabulcufc qii'on lui atiribuoit
autrefois. X IV . 364. a. Voye^^ JÉRICHO.
Rose d'Inde , ( Jardin. ) Sa defeription. X IV . 364. a. Manière
de la cultiver. Ibid. b.
Rose d'outre-mer , {^Botan. ) voyf{ T rÉNIERE, ROSE.
R ose TRÉMERE, voyq T r ÉNIERE, rose.
Rose , ( Poéfie, Myih. ) tleur confacrée à Vénus , célébrée
par les poètes. Origine de la ro fe , felon la fable. Hymne qu’a
faite fur ce fiijet l’auteur du Pervigilium Veneris. Les poètes fe
font plaints du peu de durée de cette aimable fleur. Exemples.
X IV . 364. b. Goût lingulier que les Romains avoient
pour les rofes. Les couronnes de rofes étoiem la marque du
plaifir & de la galanterie. Ibid. 363, a.
Rofe , eloge de cette fleur. Sijppl. II. 24. b.
Rose , ( BLifon ) manière de la repréfemer. Email de cctic
fleur. Rôle ligéo Sc feuillée. Signification de cette figure fym-
bolique. Suppl. IV . 679. b.
Rofe pcßerol, O rtie de MER.
Rose blanche , roj'e ronge , ( Hiß. d’Angl. ) on a donné ces
noms aux deux maifons d’Yorck Ôc de Lancaftre. Üriçine de
cette maniéré de les dillinguer. Bataille qui mit fin aux défo-
îations dont ces maifons rivales avoient rempli l’Angleterre.
Obfervations fur le regne de Henri VII. X IV . 363. a.
Roses , préfent.icion des ( Hiß. de France. ) cérémonie pratiquée
dans le parlement. X L 760. b.
Rose de vent, {^Marine) defeription de cette partie de la
•boulTole. Noms des rliumbs de v en t, tels qu’ils font connus
fur rOccan. X IV . 363. a.
Rose , ( Archlt. ) rofe de compartiment. Rofe de moderne.
Rofe de pavé. X IV . 363. b.
Rofe , terme en ufage dans quelques arts & métiers. X IV .
3 6 ;. b.
Rofe. Obfervations fur le préfident Rofe. Suppl. IV . 342.
RoSE-cro/v, foclété des freres delà {H iß . des impoßures
humaines.) {ociéié imaginaire, & néanmoins célébré par les
faufles conjeéhires qu’elle a faitnaiire. Dés qu’on commença
à entendre parler de cette fociété , tous les alcbymiftes prétendirent
en être. Fable qu’on débitolt fur un certain Chrif-
tian Rofcncreuz , à qui l’on en actribuoit l’origine. Ouvrages
qu’on mit au jo u r , contenant les myflcres de la fociété.
X IV . 366. a. Effets que produifircnt ces ouvrages. On n’entendit
plus parler de cette fociété , dés que ceux qui l’avoieiu
mile fur le tapis gardèrent le filencc & necrivirenc plus.
Q u el eft celui qu’on Ibupçonna le premier auteur de cette
comédie. Le nom de freres de la rofe-croix efl refté aux para-
celfiics & aux alcbymifles, dont on appelle le fylléme théo-
fophie. Ibid. b.
RoJ'e-croix. Obfervations fur cette fociété. X V I . 261. a.
Rose d o r , { H iß. de h cour de Rome. ) rofe d’o r , faite par
un orfevre Italien , bénie par le pape , pour en faire pré-
fe n t , en certaines conjonétnres, à quelque eglife , prince ou
princeffe. Obfervations fu r ie jour où le fait cette bénédiction.
Extrait d'une lettre d’Alexandre I I I , à Louis le jeune ,
roi de France, en lui envoyant la rofe d’or. XIV. 366. b.
Dans la fuite, les papes n’envoyerent la rofe d’or aux fouve-
rains, que pour leur témoigner qu’ils les rcconnoiffoienc
comme tels. Exemples. Ibid. 367. a.
R O S E A U , {Botan. ) caraéleres de ce genre de plante.
Defeription du rofeau de marais & du rofeaii cultivé. XIV.
367. J.
Rojeau des Indes orientales , nommé nuayhas. XI, 276.
R O S a , h. Barques des Indes conflriiites d’un fenl rofeaii. II, 89.
Rofeanx monflrucux qu’Alcxandre avoit vus dans les Indes.
Suppl, l. 770. b.
IlosEAU , ou canne , ( Al.ii. médic. ) Vertus attribuées à la
racine du rofeaii. X IV . 367.
Ro.seau à écrire , {Botan. ) defeription (le ccttc cfpece de
canne. Origine de fon nom. XIV. 367. n. — /byq Canne
A ÉCRIRE.
Roseau , on baguette d'E^ccInel, ( T/iéobig. ) mefiire dont
il cft parlé dans récritiire. X IV . 367. a. DilHcnlté d’en bien
conftater la longueur. Ibid. b.
Rofeau , terme d’archiceélurc , de batteur d’or de verge-
tier. X IV . 367. b.
Roseaux , ( ro'us de ) Suppl. IL 644. 646. b.
ROSEBEC , ( Géogr. ) détails remarquables fur la viéloire
que les François & les Bourguignons remporierent à llofcbee
fur les Flamands, fous le regne de Cliarlcs VII. Suppl. IV.
679. b.
RO S E E , ( Phyfq. ) trois cfpeces de rofée ; celle qui s’élève
dans l’a ir , celle qui retombe de l’air, celle que l'on appcrçoli
fous la forme do gouttes fur les feuilles des plantes, i". La
rofée s’élève de la terre par l’aélion du foleil. Manière de la
ramalTor. X IV . 367. b. Elle devient liir-tout fenfiblc en campagne
, lorfqu’à une journée chaude fucccdc une foirée froide.
La rofée qui s’élève n’cfl point de même naiiire dans les differentes
contrées de la terre. Elle ne monte point toujours à la
môme li.iuteiir. 2". D e la chute de la rofée : M. Muffdicm-
bioeck a fait diverfes expériences qui ne permettent pas d’en
douter. La rofée ne tombe pas indiftéremment fur tontes
fortes de corps. Certaines couleurs l’attirent plus que d’autres.
Divers eft'ers des vents fur la rofée. Ibid. 368. a. Obfer-
vatioiis fur la rofée du mois de mai. Erreur des aheiens fur la
caufe de la chute de la rofée pendant la nuit. Différence entre
l’cnii de pluie & l’eau de rofée. 3”. La troifieme cfpece de
rofée porte ce nom abufivcnient. Cette rofée eff proprcnicnc
la fucur (les plantes qui fort de leurs vaiffeaux excrétoires.
Origine de cette ro fé e , felon M. Muffchembrocck. Ibid. b.
Les médecins attribuent à certaines rofées diverfes maladies.
Vnffuis avertit de ne pas mener paître les troupeaux dans le*
champs couverts de rofée. Avis de Pline pour empêcher la
rofée d’etre nuifible aux terres enfemencées. On dit la rofée
oléagineufe mal-faine , & qu'elle annonce la ffèrllité. Ib'iJ.
360. a.
Ro-SÉe , ( Agr'icult. ) propriété qu’elle a de fertilifer la terre.
Suppl. III. 30. a.
R o.sée, {Cbym. & Mcdec. ) doéirine & expériences des
chymiffes fur la rofée. X IV . 369. a. Effet do la rofée ou dn
Éoreiii fur le corps animal. Elle doit être regardée comme
nuifible aux corps foibles 6c non accoutumés à Ion a>ffion.
Ibid. b.
Rosée , ( Criilj. fu r . ) acceptions de ce mot dans l’écriture.
X IV . 369. b.
Rosée , ( Marèch. ) X IV . 369. h.
Rosée du foleil ( Botan. ) cfpeces de ce genre de pîanrc.
Defeription de 'a principale. Lieux où elle vient. Scs propriétés.
X IV . 369. b.— f 'y v q Ros s o n s .
ROSELE'T' voye^ Hermine.
ROSEMOi D E , tombeau 8c épitaphe de cette femme
célébré par fa beaiué. X V l l . 63 3. b.
ROSEN , ( .'/icolas ) anatomifie. Suppl. 1. 408. a.,
ROSENCREUZ , ( Chrißian ) prétendu fondateur de la
fociété des rofe-croix. X IV . 366. a. X V I . 261. a.
ROSES , ( Géogr. ) ville d’Efpagne. Son origine. Sa ficua-
tlon. X IV . 370. a.
RO S E T T E , terme en ufage dans quelques arts Sc métiers.
X IV . 370. U.
Rosette, cuivre de ( Métall.) enivre pur. X IV . 370. a.
moyen dont on s’affnre fi ce métal eff parfaitement dans cet
état. Ibid. b.
Rosette, d.ms les montres, {Horlog.) petit cadran, an
moyen duquel on fait avancer ou retarder la montre. Explication
du principe fur lequel cette opération cft fondée , Sc
de la maniéré dont elle s’exécute. X IV . 370. b. Dans les
montres angloifes, au lien d'une aiguille, on fait tourner le
cadran lui-même. On ne peut déterminer par aucune regle
fix e , de combien de divifions il faut tourner raignillc de
rofette , pour changer le mouvement de la montre, (clou tel
nombre de minutes demandé : mais l’expérience peut fiip-
pléer à cette incertitude. Ibid. 371. a.
Rosette , ( Peinture. ) forte de craie rougeân-e. |Dcux
efpcccs de rofette. XIV. 371. a.
Ro.sette, (Grogr.) ville d’Egypte. Son ancienneté. Obfervations
fur fon commerce. F.fpcce de bâtiment où réfidc dans
cette ville le vlce-confiil deFrance. XIV. 371. b.
ROj E T T I , fon fyftême de fortification. Suppl. III.
U . a , b.
R O SH ASÇ AN A , ( Hiß. des Juifs ) ce mot fc trouve dans
les livres des Juifs, 8c fignifie le commencemenr de l’année,
c’eft pour eux un jour de fête, Sentiment reçu parmi eux fur
R O S
le mois de l’année où le monde a commencé. En quel tems
commencent leur année ecclcfiaftique , 6c leur année civile.
Comment on célébré le r<)bhalç.sna. XIV. 371, b.
ROSICLE , {i\'itnéralog.) minéral noir que l’on tire des
mines du Chily 8c du Pérou. R.dioffe de ce minéral par la
qualité de l’argent qu’on eu tire. Il jiaioit qu'il contient dn
viinol cuivreux. Il ne f.iut point coiilondre ccttc mine avec
la mine d’argent rouge, XIV. 372. a.
ROSIER , {.Bot. Jardin. ) caraéleres de ce genre de plante.
Defeription de cet arbriffeaii. Son éloge. Oblervations fur la
maniéré de le cultiver. X IV . 372. a. Dos moyens de le multiplier
& de le greffer. Variétés tlu rofier. Divers ulâges auxquels
on peut l’employer dans les jardins. Utilités que la
jnétleclne en tire. Ibid. b.
Rofer fauvage. V. 419. a , b.
liojier de Bourgogne, ou rofer à pompons. Defeription de
cet arbriffeaii. Ufage qu’on en peut tirer dans un jardin.
Moyen de remédier à fon épiiifemem , caufé quelquefois
par l’abondance de fleurs qu’il produit. Comment cette cfpece
de rofier a été découverte. XIV, 373. a.
ROSIERES, ( Géogr. ) ville de Lorraine : fes falines. X IV .
336.^. — 558. ,i. Vol. VI. des planches, Travail du fel. Exliahi-
loircs do fes lalincs. VI. 233. b.
R Ü SK O LN IK I , fede des { Relig. chrétien. ) fc^e qui s’eft
établie de bonne heure en Ruilie , mais qui y règne paifi-
blemcnt, & qui n’a point produit de tumulte. Etendue 8c
ancienneté de cette feifte. Doéirine & moeurs de ceux qui
Tone embraffée. Calomnies ik pcrfécutions dont ils ont été
les objets. X IV . 373. a.
R O SN C A TH , mailon de campagne en Ecoffe. Echo dans
ce lieu. Suppl. II. 752. a.
RO SN Y , ( Géogr. ) bourgade de France , en Normandie.
Détails fur la perfonne, le caniélcrc, le niiniftcre , les ouvrages
de Maximilien de Béthune, duc de S u lly , né à Rofny
en 1339. X IV . 373. h.
RO SOIR , ( Luth. ) outil dont on fe fert pour percer dans
les tables des clavecins 8c des épinettes , les trous où on
met la role. Defeription de cet outil. Maniéré de s’en fervir
XIV. 374.
R o s s , ( Géogr. ) province de l’Ecoffe feptentrionale.
Obfervations fur Jean Leftey , célébré écrivain , né à Rolf
en 13 2 7 , X IV . 374. 8t. fur les o u v r a g e s . b.
R ü S SA L , ( Géogr. ) bourg de la province de Lancaftre.
Obfervations fur le caraétere Si la vie de Guillaume Allen
ou Allyn , né à Roffal dans le fcizieinc ficelé. X IV . 374, b.
R O S SA N O , {Géogr. ) ville du royaume de Naples, où
naquit l’anti-pape Jean X V I I , auquel rempereur üthon III
fit couper les mains 8c les oreilles, 8c arracher les yeux. X IV .
374. b.
R O S S I , ( Dcmo'ifelle Propertia ) diftinguée dans la fculptu-
re. X IV . 832. b.
R O S S IG N O L , ( Onnthol. ) defeription de cet oifeau. L’auteur
du traité du rofignol fr.inc, pretend que cet oifeau ne
difparoit en h iv er , que parce qu’il fe tient caché. Moeurs dn
roftigiiol. Conftruélion de fon nid. Ponte de la fenieile. XIV.
373. rfi Maniéré d’élever les petits, privés des foins de leur
mere. Différence entre le mâle 8c la femelle. Alimens dont
on nourrit cet oifeau. Soins qu’on doit prendre d’un roffignol
qui a été pris au trébucher ou au petit rets. Manière de faire
la pâte dont on le nourrit. Maladies au.vquetles les roffignols
font fujets. Remedes. Roffignol d'une couleur extraordinaire
dont Pline fait mention. Ibid. b.
Rofignol, terme de carrier, terme de charpentier, 8c de
ferrurier. XIV. 376. a.
Rossignol , ( Siaréch. ) faire un rofignol fous la queue ,
opération qu’on fait à un cheval poulTif. Maniéré de la pratiquer.
X IV . 376. a.
Rofignol, maître écrivain. IX. 908. b.
ROSSO , { l e ) peintre. V. 3 18. b.
ROS S O L IS , ( Botan. ) caraéicres de ce genre de plante.
Ses propriétés. Defeription du fyrop de roiTolis compofe.
Obfervations fur cette préparation. X IV. 376. a. Loyri^p.osÉE
du soleil.
Ros foils : plante , nommée araca-puda , qui en approche
beaucoup. Suppl. I. 309. a , b.
liqueur d ecenom.Rofiblisdefix graines. X IV. tfjC.b.
RO SSU S, {Géogr. anc.) ville fur la frontière de Syrie 8c
de Cilicic. Obfervations fur un paffage d’Athénée, où cet
auteur dit qu’Alexandre donna le gouvernement de Tarfe
en Syrie à Harpalus. X IV . 376. b.
ROSTEINS , Porte- ( Mamif. en foie. ) XIII. 143. u.
RO STER , ( Boutonnicr ) opération du boutonnier. Sa
defeription. X IV . 376. b.
R O S T O C K , ( Géogr. ) ville d’Allemagne. Commenceraens
& révolutions de cette ville. Son état préfent. Obfcrvation
liir fon univerfité, & fur les ouvrages de Simon Pauli, médecin
, né à Roftock en 1603. X IV . 377. a.
R O S TO F , ( Géogr. ) ville 8c duché de ce nom. Jean Ba-
ffio-witz réunit eu 1366 le duché de Roftof à fon domaine ,
R O 1' 609
après en avoir fait maffacrer le dernier ce pays. XIV. 377. a. duc. Productions de veiRerOaS, TÖCR rI'oißSr,a {nAonvaii.q. rom.) il y avoit deux roftrcs, roßr.t XIV. 377. b. Defeription de ces Ibrtes de bâtimens.
ROSTRÉES cotomus , { Antin. ) III. •?. <2 b ROSWEID , ( Hénbcn ) jcfmtc. 11. 3 14. Jr,
ROTSS-vrau, (Màkc.) endes de ces incommoiliics.
IJmileiirs occafiomiées par h produftion des vents 8c leur
refterreinenc caiifé par des f|>nfmcs. Traitement de cette maFlaldaiteu.
o fiMtéos y, eRnu idlaet iloan sp ,r éCvaernmiri.n aXtiIjVs. . 377. a. Paye- Pents *
ROTATEUR , le { Sculpt. Aniiq. ) c’eft une figure déterrée
dans les fouilles de Rome , 8c tranfportce , il y a près cl’im
fBicecaluet é, ddea ncse lte opuavlraaisg ed.u cXaIl Vd.e 3F7l8o.r ean.ce. Eu quoi clie con/ifte. ROTATION 5 ( Géom. ) M. de Moivre , dans fon effai fur
les iiliiges de la méthode des fluxions, a donné la méthode
pour trouver plufleurs folidcs engendrés par cette rotation.
XIRVo.t a3t7io8n. a. Déi.iils fur ccire inétiiode. Ibid. b. , voyez Roulement. Centre fuontané de rotation.
II. 827. a. Mouvement de rotation. lll. 729. a. Suppl. L
663. b. Diamètre de rotaiion. IV. 942. a. Explication du mou7ve0m7.
e nt de rotaiion des planètes, felon M. Bernoulli, Xil. b. felon M. de Fontencllc. XIV. 412. a.
R o t a t io n , ( Aßron. ) le mouvement de rotaiion des planeres
eft abfohiinem inciépendant de leur mouvement de
révolution. Obfervations de Jean Bernoulli, fur la force de
projcélion qui a pu donner à chaque planere les deux iiioii-
vemens qu’on y obfervc. Suppl. IV. 679. b. Auteurs qui ont
cru trouver des rajiporis néteffaires entre les durées des
rotations 8c celles des révolutions. Mnniere de déterminer
l’axe de rotation d’une planète, 8c fon équateur par l’oblér-
vation des radies. L’auteur donne pour exemple I’obftrvatioii
d une tache du foleil. Ibid, 680. a , b. Mouvement de roiarioii
de ciiaqiie planète , 8c inclinailbii de fon axe. IbiJ. 681.d b. Applatiffemenc de jupiter, caufé par fon nioiiveincm de rotation.
Bandes obfcures fur cette planète. Le mouvement de rotation
de mercure 8c de farurne encore inconnu. Ibid. 6S2. a.
R o t a t io n , {Anatom. ) ce terme ('pécialcment appliqué
aux demi-tours réciproques de la ciiific , eft étendu par M.
Wmflow à tous les autres demi-tours rembl.ibles , qui s’oblér-
vent dans les mouvemens du corps humain. Üblérvaiions fur
la niéchaiiique de ces mouvemens. XIV. 378. b. Comment
sa’poppeclileenntt ple.osn amiioounv 8ecm fuepnisn adte'i onla. îmbiaJi,n 3,7 9t.; u.7e. les anatomillcs
ROTE, {Hiß. mod.) nom d’une jurildiftion particulière
de Rome, qui connoit des matteres bénéflciales des provinces
qui n’ont point d’induit pour les agiter devant leurs propics
juges. Comment cette cour eft compofée. Cniilcs pi-rtces
devant elle. Origine du nom de rote qui lui eft donné. Rétribution
des officiers qui la compofent. Comment les affaires y
font jugées. XIV. 379. a. Jours des audiences. Cérémonies
oIbbifde.r vb.ées à la rentrée de ce tribunal après les vacances. Rote , déclfions de cette cour. IV. 680. a. ROTENBURG, ( Géogr. ) quatre villes de ce nom en
Allemagne. Obfervations fur les ouvrages de Jiifte-Chriftopho
D37ii9h. nhu.r , né à Rotenburg dans le pays de Helle. XIV. ROTERDAM , ( Géogr. ) ville des Pays-Bas. Origine de
fon nom. Avantage de la fituaiion pour le commerce. Defeription
de cette ville. Roterdam cft la patrie d'Erafme , 8c
elle a érigé une ftatue à la mémoire de cet illuilre pcrfonna<'e^
XIV. 380. a. Précis de fa vie. Son éloge. Ibid. b. Obfervations
fur l’épigramme que Beze mit au bas de fon portrait, peint
par Hülbeiii. Ouvr|^es d'Erafme. Principaux événemens de
la vie de Corneille Tromp , un des premiers bomniéS de mer
du dernier fieele , né aulfi à Roterdam./é/V. 381.^2. Obfer-
dvaantiso nces tfrue r mleê cmaera véillelere. I8bci dl.a b.vie du duc de MonmomJi , né Roterdam , boiirfe des marchands de cette ville. II. 373. b. gesR. OSuTpGplA. JNIIS. ,4 3(9 L. uc) poète hollandois : fa vie 8c lés ouvraa
, b — 444. b. ROTHARIS , roi des Lombards , fa loi contre les lépreux.
IX. 596. a. Sa tolérance en fait de religion. 681. b. ROTHENAMER, {Jean) peintre. V. 313.^.
ROTIES, viandes, leur propriété diététique. !. 74. é.
ROTlSSt-UR , ( Corporation ) de la communauté des maîtreRs
ôriôiftcifuferus,rs de Paris. XiV. 382. .1. 238. b. Suint qu’ils ont pris pour patron. Suppl. IV. appRcOlléTs OdeN cDe Eno, m(. AXrIcVh.i î.3 8) 3.d aiv.ers bâtimens qui ont été
R o t o n d e , La {Archit. rom.) nom moderne de l’ancien
pantiîéon. Boniface IV le confacra à la Sainte Vierge , 8c à
tVoouys elie s martyrs, Defeription de ce bâtiment. XlV. 383. .2. R Pa n th é o n . otonde, {Hiß. «ém Ww ) XIV. 383. é.
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