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600 R I O
monde , eft un homme d’un mérite fupérieiir Se prefque unique.
Principes géncrau.x fur la rime. Ibid. 294. a.
Rime, orig ine de la rime. VIH. 89. b. X IV; 436. b. Ufage
que les anciens en ont fait. Suppl. IV. 984. u. Origine de
cet ufage dans no.s vers. IbiJ. b. Les troubadours turent les
premiers qui (irent fenrir à l’oreille les avantages de la rime.
X V I . 7 1 1 . b. Sorte de rimes appellees bouts-rimés. II. 379.
a , b. Efpece de poéfie appellee monorime. X. 669. u. Regie
fur la rime. IV . 985. u , L Méthode de Boileau ,
tic faire le fécond vers de la rime avant le premier. IV .
io 6o. L Réflexions furies diétionnaires de rimes. 964. b. La
rime en profe c-ft une cacophonie. II. ^10. a.
Rime , e.xplication des noms des rimes inventées par nos
anciens poètes. Chacune de ces e.xplications eft accompagnée
d’exemples. X IV . 292. a.
Rime , a/inexce. X IV . 292. a.
Rime, bàielée , brifée , couronnée , enipéricre
m o t ) , enchaînée, équivoque , fraterniféc. X IV. 292. b.
Rime, kirielle, rétrograde, fénée , féminine, mafculinc ,
normande, redoublée. X IV . 293. u. Rici'.e fufHfante : rimes
croifées, mêlées, plates, iiniiTonnes. Ibid. b.
Rime, mafeuline Sc féminine. V I . 468. b Suppl. IV . 985.
a. Rimes croifccs , ibid. Rimes mariées. X. 121. a.
R im e , ( Poéjie ) regies fur la rime dans la verlîficatlon
françoife. Suppl. IV . 649. Différentes fortes de rimes. L icences
p.ir Icfqtielles on s’eft permis quelquefois des rimes
que l’oeil ou l’oreille défavoue. Ibid. 6^0. S'il eft vrai que le
travail de rimer foit 1a plus baffe des fondions de la méchani-
que de la poéfie. Plaifirs que peut caufer la rime. Elle plait
par le feiuiment de la confonnance ; elle aide la mémoire ;
elle offre un plaifir à l’efprit par la furprife qu’elle caufe. Ce
plaiiîr eft d’aut.anc plus v i f , que la rime eft à la fois plus
rare Si. plus heureufement trouvée. A in fi, grace à la variété
de nos défmances ,1a rime doit fur-tout plaire dans les vers
François. Ibid. b. Elle donne à l’efprit, à l’imagination , Si
au feiuiment plus d’ardeur Si d’aftivité , par l’aiguillon de la
difficulté , qui à chaque inftaot les prefte Si les anime. On
doit à la recherche de la rime plufieiirs traits [ntéreffans ,
plufieurs exprelîions de génie. Si la rime eft trop commune
ou trop finguliere elle n’a plus fon effet. Rien n’cft plus facile
que les rimes biz.arrcs , Si rien ne feroit de plus mauvais
goût dans un poème férieux. — Quel eft le plus grand
mérite de la rime. — A mefure qu'un poème a par Ion ca-
ratlere plus de beautés fupèrieures , le mérite de la rime
devient plus frivole Si moins digne d’attention. Ibid. i.
R ime léonine, {Poéfie latin.') IX. 390. b. 391. a.
R ime , ( Afjwi« ) longue rime, bonne rime. X IV . 294. .7.
R IM IN I, ( Géûgr. mod. ) ville d’Italie. Sou hiftoire. Ses
antiquités. Son état préfent. übfervations fur Marc Baita-
g lin i, évêque de Céfèiie, né à Rimini, Si fur l'es ouvrages.
X IV . 294. a.
Rimini: cornes d’Ammon qui fe trouvent dans le fable de
Rimini. IX. 386. a. Pont 'qu’Augiifte fit bâtir dans certe
ville. XIII- 71 . b. D e la pluie qui y tombe annuellement.
Suppl. IV. 418. a.
R IM O C A S T R I , ( Géogr. ) village de la Béoiie. Sa def-
cription. X IV. 294. b.
RIMO GNE , ardoifitric de , vol. V I . des planch, vers la
fin.
RINAIRES , vers {Médec. ) X V II . 43. .7.
RIO LAN , ( Jean ) le fils. Son antropographie. T. 497. b.
Confidéré comme anatomifte Si phyfiologifte. 5/.^?;.’/.I. 39^.
b. Suppl. IV . 349. a.
RIOM , {Gèogr. ) ville de France en Auvergne. Philippe
A uguftes’en rendit maître, Si elle devint fort peuplée fous
les ducs d’Auvergne. Divers objets qui 1a rendent aujourd’hui
confidérable. La ville de Riom a été le berceau de
quelques perfonnes illuftres par leur favoir ou par leur
cfprit: tels font, Grégoire de T o u r s ,X IV . 295. b. Gilbert
Génébrard , religieux de C h ign y , Si qui devint archevêque
d'Aix -, Antoine de Couriin , fecrétaire des commandemens
de la reine Chriftme de Suede; Antoine Danchet, poète
François, vers de ce poète intitulés les cinq fens ; Pierre
T a y d it, connu par la fingularité de fes opinions. XIV. 296.
a. Jacques Sinnond, jéftiiie, Si don Antoine-Auguftin
Toiiffée , de la congrégation de S. Maur Ibid. b.
Riom. Comment cette ville eft devenue confidérable.
Hommes illuftres à ajouter à ceux dont il eft parlé dans
cet article de l’Encyclopéclie. Suppl. IV. 651. b.
RIO-NEGRO , (Géogr.) grande riviere de l’Amérique
méridionale. Établiffemens des Portugais fur cette riviere.
Loi qu’ils font obligés de fuivre dans leur commerce d'ef-
claves. Obfcrvntlons fnr le cours de Rio-négro. X IV. 296. b.
RIOS-ANDRÉ , {Géogr. ) riviere d’Afrique dans la Giii-
Jiéc. Beauté du pays qu’elle arrofe. Obfervations fur fes
habitans. X IV. 296. b.
R lü -SEX TO S , {Géogr.~) riviere d’Afrique dans la Guinée.
Ce fut fur i'es côtes que les Portugais virent pour la
j^remiere fois du petit poivre , ou graine de paradis, ou mani-
R I T
guette. Marcliandifes qu’on tire de ces côtes. X IV . 297. a.
R IO X A , {Géogr.) province d’Efpagne. Scs principaux
lieux. Obfervations fur Jean Spinofa qui naquit dans cette
province, & fur fes ouvrages, X IV . 297. a.
RIPARFON r . ( Etienne de Gab/iau de ) Suppl. IV. 469. a.
R IP EN , ville de Danemarck. Son évêché. Profit que*
fes habitans tirent des prairies des environs. Obfervations
fur quelques hommes célèbres nés dans cette ville. Olaiis
Borricliiiis, l’im des plus favans perfonnages du noid. XIV.
297. b. Nicolas Cragiiis, & Mous, ce magiftrat intrépide,
qui eut le courage de porter à Chriftiem II fa fentence de
depofition prononcée par les états de Jutland, X IV . 298. a.
K 19Ï K I .{Jean-Piene-François de) feisneur de Mondar.
Suppl. III. 9^4. b.
RIPLÉE , auteur alchymifte. VIII. 170. a , b.
R IPO S T E , veyr^ planch. 7 , 8 , 9. d’eferime, vol. IV.
RIPUAIRES , ( Geogr. ) peuple.s donc lieft plus aifé de dire
ce qu’ils n’ont pas été, que qui ils ctoient.XIV. 298. a. Quelques
uns croient que les Riparii étoient un compofé de différentes
nations au-delà du Rhin , qui vinrent Vétablir en
deçà de ce fieuve 8c fur fes bords. Jodoce Coccius d’.Vlface
fait mention d’un peuple de ce nom, voifm de l’Alltice
& qui demeuroit entre la B lieff, la Sare & la Mofelle. Du
lems de Louis le Débonnaire, il y avoit au-delà du Rhin
un p.iys nommé Riparia. X IV . 298. b.
RiPUAIRES , ( Géogr. ) loi des ripuaires. IX, 668. i.L c iir loi
fur la maniéré de décider les affaires par la preuve du ferment.
69. b. Enfeignes ou drapeaux des ripuaires. V. 710. a.
R IQ U E T , {Pierre Paul d e ) auteur du projet du grand
canal de Languedoc, enfuite exécuté par fes fils. IX. 273.
b. 274. a. Suppl. II. 17a. b, &c.
RIQ UIER , Saint-, ( Géogr. ) ville de France en Picardie.
Précis de fon hiftoire. X IV . 298. b.
RIS ou rire, (,PiyJ?o!og.)[e rire eft le propre de l’homme
, en tant qu’un être penfant, & l’eff’et de la conformation
des mufcles de fon vifage. X IV . 298. b. Explication phy-
fiologique des différens phénomènes que préfente ce moii-
vemenr, & de fes principaux effets. Ibid. 199. a. Avantages
que tout le corps retire des ris modérés. Caufes du rire
à la comédie. Différentes efpeces de ris. Les anciens tiroient
d’heureux préiages du rire des ctifans au moment de leur
naiffance. Ibid. b. Jefus-Chrift n’a pas condamné le rire fans
exception, comme l ’a cru S. Bafile. Lycurgue confacra des
ftatues du ris dans toutes les failes des fpcélaclcs. Auteurs
qui out écrit fur le ris. Ibid. 300. a.
Ris. Pourquoi l’on toulTc lorlqu’on rit beaucoup ; rapport
entre l'aélion de rire & celle do louffer. XVI. 499. a. Maladie
do la rate qui porte à rire. X V . 479. a. Ris immodéré
dans la paraplircnéfie. XL 921. a.
R is , ( Morale ) caufe du rire. Suppl. IV. 620. u. Des différentes
caufes qui font rire les hommes, félon leurs diffé-
rens degrés d’ofprit Si. de lumière. Suppl. II. ^70. b. Des con-
traftes qui excitent le r ire , ibid, & ^71. a.
R is Jartloniguc, ( Médec. ) ris involontaire & convulfif.
Origine du moi fi,trdonitjue. Pourquoi on aanffi donné à ce ris
le nom de fp.]fimc cynique. Symptômes de cette maladie. X IV .
300. a. Ses différentes caufes. Danger de s’y méprendre dans
les cas particuliers. Moyeu de s’eu inftruire. Prognoftics fur
cette maladie. Ibid. b. Son traitement. Ibid. 30z. a. Voyez
D is t o r s io n & Sa r d o n ie .
Ris jardonique, quel eft le plus puiffant fecours contre
cette m.ila'lie. Suppl. IV. 808. b.
Rts Jardonique , fe prend dans le figuré pour exprimer un
ris qu’on eft obligé d’affcâer fans en avoir lemoindre fiijet ou
lorfqii’on atiroit plutôt lieu d’être trifte ou en colere. Exemples.
XIV, 301. a.
RISDALER , voye^ R ic h e d a l e r .
RISIBILITÉ. Examen de la queftion, fi la faculté de rire
n’appartient qu’à l’homme. XIV. 301. b.
RISQUE , ( Gr.imm. ) étymologie de ce mot. Réflexions
fur les polices d’affurance , par lefquelles on prévient le rifque
que les marchandifes courent fur mer. X IV . 301. é.
Péril, Danger , {Synon.) IV. 6^l. a. XIL 3Î 9. i.
R IT , ( Théolog.) des différens rlts des égides chrétiennes.
X IV . 301.
Rit grégorien , amhrofien , mofarabiqiie , veyrç ces mots.
R IT E S , Tribun,tl des , { Hiß. mod.) tribunal compofé de
mandarins & de lettrés chitiois , dont la deftinarion eft de
veiller fur les affaires qui regardent la religion, & d’empé-
dier qu’il ne s’introciuife dans le royaume de la Chine ,
les fupcrftitions & innovations que l’on voiidroit v urccbcr
XIV. 302.«.
R u e s, congrégation des. Celle qui fixe les cérémonies ec-
cléfiafiiques dans toute l’étendue de la catholicité. Affem-
blécs cxtraordinaire.s qui fe tiennent dans cette congrégation ,
lorfcju’il s’agit de traiter de la canonilàtion de cruelque faint.
Suppl. IV . 6^ t. b.
RITM EYE R de Helmftadt. VIII, loy .b.
RITOURNELLES,
R I Z RîTD Ü R N E L LE S , {M if iq .) elle.s nuifeyit quelquefois à
la chaleur de l’aéliom Suppl.l. 239. é. De la ritournelle qui précédé
l’aria. ^^4. d.
RITUE L , ( Théolog. ) livre d’eglife, qui enfeigne l’ordre
&: la forme des cérémonies du culte. Rituels des Emiriens
ou Tofeans, parmi les païens. Rituel des anciens Hébreux.
Anciens rituels des chrétiens. Obfervaiion fnr ces rituels.
X IV . 302. é.
R it u el d j4Ut, ( Theol. ) Suppl. I. 264. a.
R it u e l s , livres. {Hijl.ànc.) des anciens Romains. IX.
604. JR
IV A , {Géogr.) rivière d’Anato lie , autrefois Rhebas.
XIV. 2 45.^, b.
R IV A G E , {Géogr.) Voyc:^C?)T^S.
R IV A L , ( Gramm. ) étymologie de ce mot. X IV . 303. a.
Rival. Etymologie de ce mot. X V I . 701. b. Moyen employé
dans une monarchie pour exclure un rival ou concurrent
en charge. XI. 213. b. Corrival. IV . 273. b. 274.
a , b. Pourquoi des hommes qui ont des prétentions communes
feinblent quelquefois dans un état de paix. VIII.
276. b.
R IV A U L T , {D .tv id ) liomme de lettres. IX. 308. a.
R IV AZ . Pendule àcquation de M. Rivaz. V . 858.u. 860.4.
Cadratiire d’équation par le même. 863. a.
R IV ER , bancà, {Horlog.) II, 33.é.
R IV E T , {André ) miniftre réformé. IX. 916. 4.
R iv e t de la Grange, ( Antoine D . ) favant bénédiélin.
Suppl. II. 5 44. a. Suppl. IV. 469. 4.
RJUGAN ou Djugan, Djugannuki, ( Botan. ) arbriffeau
du Japon. Defcriptioii de fon fruit. X IV . 303. é.
RIV IERE, {Géogr.) ce qu’on entend par une riviere
marchande. XIV. 303. h. Quelle eft la droite & la gauche
d une riviere. Table des principales rivières du monde ,
leurs noms modernes, leurs noms anciens, & la dircélion
de leurs cours. Ibid. 304. a , b. Branches remarquables des rivieres
d’Europe. Ilid. 303. rf. Entreprifes projettées ou exécutées
par différens princes , de former par des canaux la
jonétlon des mers & des rivieres pour la facilité du commerce.
Ibid. b.
Riviere. Dift'éreiice entre fleuve & riviere. V I . 867. b.
S68. a. D e la qualité de l’eau de riviere. V . 193. a. Utilité
des rivieres pour le commerce. II. 382. b. Dircélion
& vîreffe de deux rivieres après leur jontSion. III. 837. a ,
h. Des dift'érens moyens inventés pour iraverfer les rivieres.
Suppl. I. 813. b. Principales rivieres de la ter re , voye^ les
articles de chaque partie du monde. Voye^ F leu v e.
R iv ie r e du nord, ( Géogr. ) Rio-del-Norte , riviere de
l’Amérique fcptentrionale. X IV . 303. é.
RiviERE-roH^e, ( Géogr. ) riviere d’Afrique dans la Guinée.
X IV . 305. b.
Kiviv.RE-vcrdun,{ Géogr. ) pays de France dans l’Armagnac.
X IV . 303. b.
R iv ie r e , ( Jurifpr. ) à qui appartiennent les rivieres
navigables & les petites rivieres. X IV . 303. b. Voyez ÿ .
ao6. J.
Riviere. Des chofes trourées abandonnées fur les rivieres.
V . 7 3 3 .L
R iv ie r e s , du pajfi.tge des, ( A n mllit. ) XII. 117. ^ , é,
— 119./1. Des moyens de l’empêcher. 119. u , é,
R iv ie r e , la Belle- {Géogr. ) dansl’Amériqnefeptentrionalc'.
Suppl. 1.359. b.
R iv ie r e s , U s , ( Géogr. ) petit canton de France , vis-à-vis
l’ifle de Guernefey. X IV . 303. b.
R iv ie r e , {Comm, des hois) courant d’eau fuffifant pour
amener les bois en trains. Enumération des principales. XIV.
303.L
RIV INU S , ( Augufiin - Qulrin ) anatomifle. Suppl. I.
400. b.
R IV O L I , {Géogr.) ville du Piémont. Le roi de Sardaigne
y a un beau palais. Obfervations fur Charles Emmanuel I , duc
de Savoie , né à Rivoli en 1 362. X IV . 306. a.
R IV U R E , {Horlog.) maniéré de bien river. X IV . 306. a.
R IX D A L E R , voyi'^ R ichedaler.
R IZ , {fiotan.') caraftercs de ce genre de plante. Sa def-
cnption. Lieux où on cultive le riz. Inftnuftions fur la manière
de le cultiver en Europe. X IV . 306. b. Defeription
de la culture de cette plante par les Chinois. Ibid. 307. a.
Avantages de cette culture dans le rapport qu’elle peut
«voir avec le nombre des habitans. Pourquoi elle a été défendue
5 il y a 35 à 40 ans, dans le Rouftillon. Ibid. b. Maniéré
d’accommoder le riz , de façon qu’avec dix livres de
r iz , dix livres de pain, dix pintes de lait, & foixante pintes
d eau, 70 perfonnes fe font trouvées nourries parfaitement
pendant 24 heures. Méthode de faire la foupe au riz
pour 30 perfonnes. Jé/;/. 308. ,2. Méthode de faire la bouillie
au HZ» au beu de farine, pour les petits enfans. Ibid. b.
R i z , {Bot. Eeonom. domejl.) choix du meilleur. Liqueurs
Ipiritueufes quon en tire. Culture du riz dans les Indes.
I^iagequ en font les Indiens. Il préferve les gens de m er du
R O 6oî
fcorbiit. Vente que les liabitans dn Malabar fofit de leurs en-
'■ '2 y eft devenu cher.
‘^ppl. IV . 652. a. Le riz eft une bonne marclianciife dans
pays des Indes où l’on n’y en cultive point. Excellent
riz du Japon, Eau de cancigi que font les Indiens par le
moyen de cette plante : fes ufages. Produit du commerce
(II. cette denree que les Anglois tirci • • - -
Ibid. b. Caroline,
Tnfes' Jaï°6^ g p r é p a r a t i o n s de riz en ufage chez les
RIZIERE , ( Agriculc. ) terre enfemencée de riz. lieu x
propres aux rizières. Celles d’Imlie. Pourquoi les Indes orientales
lont particuliérement fécondes en riz. X IV . 308. b.
R O
R O B , {Pharmac. ) fuc des fruits dépurés & cuits, juf-
qu a la confomption des deux tiers de leur humidité. Différens
fruits dont on fait des robs. R obde rib é. Sue de raifinsdépu-
res. Origine du mot rob. Ouvrage à confiiltcr.XI V. 200..7.
r o b b e , {Jacques) géographe. X V . 308.^.
ROBE , ( Hiß, mod. ) différentes fortes de robes que por-
gsns de loi , les dofteurs, les théologiens, C-c
&c. Officiers d'e robe longue , 8c de robe courte. Barbiers*
de robe courte. Famille de robe, Nobleffe de robe X IV
309. rf.
Robe. Gens de robe, confidération fur leur rang Scieur
nobleffe. VI. 26. a , b. 27. a , b. Juge de robe courte ; juge
de robe longue. IX. 13. b. Nobleffe de robe. XI. 179. d , b.
Robe des Romains, voyeq^ ToGE & Ha b it DES ROMAINS,
Robe des Romains , clic étoit l’habir des hommes libres.
X v l . 743. b. Tronffures des robes, nommet gabienne. V IL
413. é. Robe virile. X V ll. 330. a. Robe appellee caracaUe.
Suppl. II. 228. b.
Kohh confulaire, {H iß . rom.) lieu où les confuls la pre-
noient. Embelliffemens dont ils la chargèrent fous les empereurs,
Honneurs que les empereurs accoidoient à ceux qu’ils
vôiiloient favorifer. X IV, 309. é.
R obe de repas , ( Anna. rom. ) elle étoit le plus fouvent
blanche. Céroit une indilcrétion piiniffable de fe préfenter
dans la falle du feftin fans ccite robe. Exemples. X IV
309, é. _ _
R o be triomphale, ( Antiq. rom. ) perfonnes d’entre les R o mains
qui portèrent cette robe en d’autres circonllanccs que
dans celles du triomphe. XIV. 309. b. Dift'érens noms donnés
à cette robe. Symboles & -figures qu’on y repréfentoit.
La dirtinélion de cette robe avilie par les empereurs roiilains.
Ibid. 310. Æ.
ROBES-«e«v<j , Ç Hiß. de France) X IV . 3 10. .1.
R o b e , {Couturière) maniéré de faire une robe. Suppb,
II. 643. b. Garniture de robe. VII. 3 i8. b.
R obe d’une coquille , ( Conchyl. ) X IV . 3 10.
Robe, terme en ufage dans quelques .arts & métiers X IV
310..;.
RO BERT , herbe à , { Botan. ) VIII. 147. b
R o b e r t , du U Bref, {Hifi. d'A llem.) é leacur Palatin
vingt-cmquieme empereur depuis Conrad I , fiicceffeur de
Ve«ccftas qui avoit été dépofé. Hiftoire abfégée de ton regne.
ÎV.63 2. b.
R o b e r t , dit U Juge,{Hiß. de France ) fils de Hugucs-Capet.
Princip.iuxévéïiemeus de fon regne. Suppl. IV. 633.
Robert, roi de France, fiirnommé le fage. X. 524. b. XI;
632. ;Z,
Robert, frere d’E udes, roi de France. Ses prétentions à
la couronne fous Charles-lc-fimple. Suppl. II. 347, b. &c.
Robert, prince de Salerne.XIV. 541. é.
Robert de la Marck, duc de Bouillon. Suppl. II 36 b
37; tf.
Robert, philofophe théofophe. X V I . 238. a.
R o b e r t , {Nicolas ) peintre. V . 320. b.
R O B E R V A L , voyrç R o b e r v a l ie n n e s, dans l’E ncyclopédie
, 6c R o b e r v a l dans le Suppl.
ROBERVALIENNES , lignes , {Géom.) forte de lignes
courbes qui fervent à transformer les figures. Ouvrage à
confiilter. Inventeur de ces lignes. Particularités fur ce lujet
concernant M. l’abbé Gallois 8c MM. Gregory. XIV. 310. a.
ROBIGALES ou RubigaUs, {Antiq. rom.) fête en l’honneur
du dieu Robigus. Inftitiueur 8c objet de cette fête. T ems
de l’année où on lacélébroit.XIV. 310.^. AVycçRuBiGALiA.
RO BIGU S ou Rubigus, {Mytkol.) dieu de l'agriculture.
Origine de fon nom. Ses facrifices. Son temple à Rome. XIV.
310. b.
RO BIN ET , ( Hydraul. ) obfervations fur le diamètre des
ouvertures des robinets. X lV . 310. b.
ROBINIA , ( Bot. Jardin. ) noms de cet .irbre en diffé-*
rentes langues. Son c.araélere générique. Enumération de
onze efpcces de robinia ou faux acacia. Suppl. IV . '633. b.
Leur defeription. L ieux où elles Cfoiffent. Maifiercde les cul«
tivçr. É<curs qualités '8c ufages. Ibid. 634. a , h.
N N N n n n n