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tl:ins un mure. Celui dont ia liroiellioii cA nulle , pent re-
iclaincr contre fes vcciix durant le terme de cinq ans. Üu-
vr.ii;es à consulter. Danger que courent les fouverams dans
les états defqucls font établis des ordies de religieux dont
les chefs réftdent à Rome. Caufe pliyfi(]uc qui porte les
jeunes fiiles ik garçons dans les pays chauds à cinbraffcr
rétatreligieux.//’t.f. i. Moine.
Relkmeux , adj. ( Gramm. ) cérémonie religieufe. II.
839. a. choies reügicufes. lU. 375. i. Lieu religieux. 433.
a. Congrégation rcligieule. 86y. a. Paix religieufe. IV. 71.
h. Dotation religieufe. V . 63. b. LfVet de la coinradiflion
entre les principes religieux Sc politiques. V I . 399. b. Habit
religieux. VIH. 16. b. Indifférence religieufe. 676. <1.
Loix rcligieufes. IX. 659. a. Mélancolie religieufe. X. 308.
a. Profeffion religieufe. XIII. 426. i . Statues rcligieufes. X V.
498, a. Intervention des médecins pour décider de l’incompatibilité
de certains devoirs religieux avec les befoins
& les inlirmités de la nature humaine. Suppl. III. 888. a , b.
RE L IG IO N , Devotion , Ptetê , ( Synon. ) XII. 601. a.
R e ligion , ( r/iéu/oç. ) fondement de toute rc'igioii. On
la diftiiigue en naturel'lc & en relevée. X IV . 78. b. Ob-
fervations qui montrent la iiéceAité d’une révélation. Principales
religions qui ont régné ou rognent encore dans le
monde. Differemes acceptions du mot religion dans l’écriture
fainte. Jbiii. 79. .j.
R e l ig io n naturelle , ( Morale ) elle confiAe dans l’ac-
compliffemcnt de ces trois devoirs envers D ie u , l’amour,
la rcconnoiilancc , Sc les hommages. Principes de ramour. Ce
n'cft pas précifémem parce que Dieu cA tout-pulAant, qu’il
eA grand , qu’il eA fag e , que nous devons l’aimer ; c’eA
parce qu’il eA bon , parce qu’il nous aime, & qu’il nous
en donne des témoignages à cliaqne inAant. Dans le commerce
des hommes , l’amour 6c la reconnoiffancc font deux
fentimens diAinéls. Mais par rapport à Dieu , ces deux
fentimens font inféparables , parce que Dieu cA tout-à-la
fois un être aimable 8c bienfaifant. X IV. 79. h. Enfin ce
n’eA pas précifément parce que Dieu cA grand que nous
lui devons des hommages , c’eA parce que nous fommesics
vaffaiix, 6c qu’il cA notre fouverain maître. Jbitl. 80. a.
Ces hommages font de deux forte.s, l'un intérieur 6c l'autre
extérieur. Le premier eA le feul qui honore Dieu , 6c c’eA
aiiAi celui que Jefus-ChtiA eA venu fnbAituer aux cérémonies
judaïques. Réponfe à ceux qui croient que Dieu étant
intinimem au-deffiis de nous , n’a aucun befoin de notre
cuite. Ibid. b. Néceflité d'un culte extérieur. Il cA évident
qu’il coule nécoAaircment du culte intérieur. Ibid. 81. b.
Mais outre cela , il cA fondé fur l’obligation indifpenfabie
oil nous famines de nous édifier mntuclleinenc , 6c en fécond
lieu fur la nature de l’homme. Ibid. 82. a. Aiifli voyons-
nous qtic tous les peuples qui ont adoré quelque divinité ,
ont fixé leur culte à quelques démonffrations extérieures
qu'on nomme des cérémonies. Ibid. b.
Religion. Idée de la religion. XI. 731. b. Elle cA confidé-
fé e coininc principe des loix naturelles. 46. a. Elle peut
être regardée comme l’affemblage de toutes les loix. IX.
649. a. La pratique de fes devoirs ne doit point infpirer la
triAcffe. XII. 690. a , b. InconAance des idées des hommes
en matière de religion. 422. b. D e la religion , felon Hobbes.
V l i l . 236. b. 238. b. Quelle eA la meilleure religion
fiiivant les fociniens. X VII . 393. a. Nécejfué de la religion.
Une religion ne peut être utile qu’à titre de religion révélée.
111. 383. b. Néccffité des principes religieux pour porter
les Iioinmes à la vertu. I. 673. a. 806. b. & c . 813.
b. XIII. 400. b. X V . 234. b.— 236. a. X V II . 180. a , b.
18 1. a ^ b. Cependant la religion n’eA pas un frein toujours
affez piiiffant contre les crimes que les loix ne puniffent
pas. V i l. 189. a. Avantages 6c confolations que la religion
procure à l’homme. XIII. 88. b. X V I . 243. b. La religion
confidcrée dans /on rapport avec la politique. Il n’eA pas vrai
que le légiAateur foit le premier iiiAitnteur de la religion.
IV . 977. b. XII. 933. a. 963. b. De rimioii de la politique
avec la religion. X V . 236. b. C ’eA une maxime fauffe 6c
dangereufe qu’une religion fondée fur l’erreur foit jamais la
meilleure pour la nation qui l’a adoptée. III. 383. b. Si la
religion nationale cA mauvaife , fon vice intérieur influe fur
la conAitiition même de l’état à laquelle elle fe lie. La religion
doit être plus réprimante où la nature du climat
fcmblc favoriler certains vices 6c y difpofer le coeur. 387.
ex. Manière dont on doit établir une religion pour éviter les
inconvéniens qui réfultent du changement. 386. b. Examen
de la queAion , fi un légiAateur doit faire iifage de la
religion comme d’un reffort principal dans la machine du
gouvernement. IX. 339. b. Avantages de la religion dans
fétat. I. 812. <i, 6 — 814. i . X V I. 243. a , b. Néceffité de
la religion chez les grands. VII. 793. a. Examen de laqiief-
tion s’il ne doit y avoir qu’une religion dans l’état. X V I.
394. b. Fondions de la police par rapport à la religion.
XII. 9 1 1. b. Conduite que doit tenir un miniAre dans les
querelles qui la concernent. V II . 183. b. Des crimes qui
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iiitéreffcnt la religion , 8c de la manière do les punir. IV.
466. b. IX. 638. a. Attaque & defen/é de la religion. Etonnante
contradiiAion entre le refpcél aveugle qu’on a eu pour
AriAote 6c la liberté d’cxamcn qu’on s’eA penn’is en m.v
tiere de religion. 1. 668, b. Les préjuges religieux font ceux
dont nous nous dépouillons le plus difiicilcmcnt : ufage de
la liberté de penfer en matière de religion. IX. 472./’. 473.
a. La religion a toujours moins eu à fouffrir de la hardicAé
de I’efprit que de la corruption du coeur. II. 738. h. IX.
473. a. Emprelïcment à acheter les livres qui attaquent la
religion. I. 669. Danger de la défendre par de niau-
vaifes réponfes. Il, 862. Des leçons de religion. Premieres
leçons qu’on doit en donner à un enfant. VII, 783. L
Maniéré de l’inlpircr à un jeune homme. VII. 793. a , b.
Excès où tombent les mairres qui l’ciifciguent aux jeunes gens.
111.633./>. C ulte.
Religion. Syftême particulier de créance qui a lien dans
tel ou tel pays, 6’c. Réflexion du miniAre Claude fur l’indiAé-
rentifme des religions. Quelle eA la religion des princes, des
grands , dequelques philofophcs , 6’c. X IV . 83. a.
Religion. Il n’y a prefqiic point eu de peuple dont la
religion n’ait été inhumaine 6c fanghinte. X V ll. 241.
S’il y a des peuples fans religion. I. 799. a. Los religions européennes
contraires à la population. X n i .9 3 . Les religions
anciennes lui étoient favorables. Ibid. b.
R eligion des Grecs & des Romains , ( Tlicolog. païen. )
c’eA la même religion ; la grecque eA la mere , 6c la romaine
cA la fille. X IV . 83. a. On prétend que Nmna donna
la religion à Rome : c’cA confondre les ornemens d’un édifice
avec la conAruélion. Les additions 6c les rciranchemcn.s
(|ue les Romains firent à la religion grecque , peuvent ,
felon M. l’abbé Co y e r , fe préfenter fous quatre fices. Ibid.
b. 1“. Rome en adoptant la religion grecque, voulut des
dieux plus rcfpcélablcs , c’cA-à-dire des dieux dégagés de
la matière, Ibid. 84. a. des dieux fans foibleffc, des dieux
fages, Ibid. b. 6c des dieux miles. 2”. Les dogmes qu’elle
adopta fuient plus fenfes. Scion les G rec s, les dieux cn-
chaînoient les événcinens , 6c ils pouAoient les bonuncs au
crime. Ibid. 83. a. La religion romaine au contraire ne
propofoit riiucrvcntion des dieux qu’en ce qui étoit bou 6c
honnête. La religion grecque après avoir creufé le tartare
pour y punir des vicieux fans crime , les condamnoit à
des tonnnens éternels. Mais l’enfer des Romains laiffe cch.ap-
per lés viéfimcs, 8c ne retient que des fcélérats du premier
ordre. L'élyfée des Grecs étoit un féiour iriAc. Celui des
Romains ne refpire que délices 8c volupté. Ibid. b. 3“. Le
merveilleux que les Romains réfonnerent fut moins fanatique.
Les fonges faifoient cliez les Grecs un merveilleux cirentiel
à leur religion , un reffort à leur gouvernement. Au lieu que
les Romains ne donnoient dans les fonges, que comme
tome autre nation qui s'en affcfleroit p eu , qui ne les nic-
roit pas abfolunietit , mais qui 11’y croiroit que rarement ,
6c toujours avec crainte de tomber dans le faux. Le fana-
tifme des oracles qui fut fi grand parmi les Grec s, fut très-
petit à Rome. Ibid. 86. a. Chez les Romains, ruugurat fut
un établiAémcnt en regie , une dignité , un pouvoir ,
qu’on ne poiivoit exercer fans être avoué de l’état : au lieu
que dans la Grece , un fanatique , un charlatan , s’érigeoii
de lui-même en augure. Enfin le fanatifmc éclatoit encore
plus dans les prodiges que la Grece choit que dans ceux
de Rome. Ibid. b. 4". Le culte des Romains fut plus fage.
Les fêtes grecques portoienc une empreinte d'extravagance,
qui ne convenoit pas à la fageffe romaine. Ibid. 87. La
licence l’einportoit encore fur l’extravagance, au lieu qu'à
Rome on vouloir que le culte portât im caraélere de décence
8c d’honnêteté. Les jeux entroient dans les fêtes:mais
il paroît que les Grecs les profanèrent beaucoup plus que
les Romains. Ibid. b. Les facririces faifoient la partie la plus
cffcntiellc du culte ; ils furent fouvent barbares chez les
G r e c s , accoutumés à offrir à leurs dieux dans certaine.s cir-
conAances des vlélimes humaines. Rome n’cm pas la peine de
les proferire , elle n’en offrit jamais. Ibid. 88. a.
Religion des Grecs & des Romains. DiAinétion de deux
fortes de religions chez ces peuples , l’une particulière ,
l’autre publique. XII. 964. a , b. ho. premiere heure de la
journée étoit deAinée chez les Romains aux devoirs de la
religion. XVII . 233. j.Affemblêes oii ils traitaient les affaires
de la religion. X V I . 621. a. 623. é. Cérémonies rcligieufes
où les tribus étoient néccffaircs. 623. b.
Religion chrétienne, CHRISTIANISME. La religioneff
le lien qui attache l’homme à Dieu 8c à l’obfervation de fes
loix. La religion chrétienne a en particulier jiour objet U
félicité d’une autre vie , 8c fait notre bonheur dans celle-ci.
X IV . 88. é.
R e l ig io n , (^Hifl.mod. ) t ”. Ordre militaire compofé de
chevaliers qui viv ent fous quelque regie certaine. 2''. Couvent
ou ordre monaAique. 3°. Le mot religion pris d’une
maniéré abfolue, dénote en France lareligio.n réformée. XIV.
R E M
RELIGIONNAIRES , voyer R éfo rm é s Sc C a lv in ist e s .
Synodes des religionnaircs. X V . 736. a , b.
REL IQUE , {N tj}.eccl.& prof. on penfa dans le qiia-
irieme fiecle d’avoir des reliques des martyrs, fous les autels,
dans tomes les églffcs. Origine de c a te coutume. Importance
qu’il y a d’arrêter de bonne heure des pratiques
Inimaines qui le rapportent à la religion , quelque innocentes
quelles paroifient dans leur fource. XIV, 89. a. Scandale
que conçut Vigilance à l’occafion du culte fiiperAiticux
que le vulgaire rendoit aux reliques des martyrs. Tranfpori
que l’empereur Arcadius fit faire des prétendus os de Samuel
, de Judée à ConAantinoplc. Comment l’intérêt fou-
lint 8c encouragea la fuperAitioii à l’égard des reliques. Les
impofiurcs commilés à l’occafion des reliques , réjjrimécs
par l’empereur Theodofe 6c par le cinquième concile de Carthage.
Ibid. b. Mérite qu’acquirent les reliques dans l’cfprit des
peuples 6c des rois. Faiiflés reliques découvertes. Ibid. 90.
a. Auteurs à confulter fur ce fiqet. Lorfqii’on voit phificurs
villes fe glorifier de la poffcAîon d’une même relique, c’cA
une très-forte prefomption que toutes s’en vantent à faux.
Exemple cité par M. de Marollcs à l’occafion de la tète
de Jean-BaptiAe, ([ue diverfes églifes fe vantent de poffé-
der. Ibid. b. Ouvrages de M. Thiers 8c du P. Mabillon, fur
le difeernement des reliques. Réfiexion fage de M. l’abbé
Fleury fur les reliques. Ibid. 91. a.
Reliques, linceul de foie ou de lin dont on les envclop-
poit. II. 396. b. Châffe où on les renfermoit. I. 363. a. VI.
719. b. Reliques tirées des catacombes. II. 738. b. Combien
les reliques furent honorées dans les fieclcs de barbarie. XII.
387. a. Des miracles des reliques. X IV . 321. b. Serment fur
les reliipies. X V . 104.^.
R E L O C A T IO N , {Jurifpr. ) divers cas auxquels ce terme
peut s’appliquer. X lV . 91. a. D e la relocation en maiiere
tie contrats pignoratifs mêlés de vente. Ouvrages à confulter.
Ibid. b. f’^oyc^ RECONDUCTION,
R E L O U A G E , (Pà//e de hareng) faifon en laquelle ce
poiffon fraie. Les Anglois en défendent la pèche en ce
tems. Mais les François if i ifu n pas de la même précaution.
X IV . 91. b.
REM AN IER, {Imprimeur) remanier la compofitioii. Remanier
le papier. Explication de ces deux opérations. XIV.
92. a.
R EM A R Q U E R , Obferver, {S ynon.) différence dans la
figùu'ication 6c l’ufage de ces mots. X IV . 92. a.
Reinar.juer, étymologie de ce mot. X V I . 701. é.
REM13R A N T , ( ) peintre, V . 323. é. 6c graveur.
V i l . 869. b. Obl'ervations fur fes tableaux. 11. 244. a.
REM ED E, ( ) différence entre remede 8c médicament.
A.1V. 93. a.
Remede, divifion pharmaceutique des remèdes. XII. 492.
U. Les reinedcs diAinguesen deux claA'cs, les altérans Sc les
évacuans. V I . i \ i . a ,b . Remecics pour les maladies des dif-
férens âges. I. 170. b. Choix des remedes propres aux vieillards.
X V i l 239. a. De l ’ujage des remedes : danger de leur
fiÇquencc. VÜI. 387. a. Modération dans leur ufage. XI. 224.
Opfervations uir leurs effets. 323. a , b. X V . 44. a. Les
fetoui s qu’on en peut tirer fe reduifent en général à peu de
chofe. Ibid. b. Impoffibilicc d’expliquer l’aélion mechanique des
remedes dont l’effet eA fubic. Suppl. 1, 323. a. Comment
agiffeiu en général les remedes externes. X V . 48. a. EAimation
des remedes par experts. III. 880. a. 883. b. De l ’ad-
xninijlration des remedes. La plupart des externes peuvent s’appliquer
par fomentation. V l l . 4 8 . -u. Deux vues générales
à remplir dans la prefeription des remedes. 186. b. Nature de
ceux (ju’employolt Hippocrate. V l l l . 212. b. Attention aux
périodes de la banc dans leur adminiAration. 737. a. Des
heures propres à prendre les remedes. X. 297. a. Des correctifs
dans les remedes. IV. 271. b. D e leur dole. V. 6o.b. Ufage
de là glace employée comme remede. VII. 686. a. Foye^
M é d ic a m e n t , T r a it em e n t .
Remedes abforbans, I. 43. a. agglutinans, 173. a. Suppl. I.
206.<1. alexipbarmaques, I. 236. é. alexitcres , altérans {voyc^
ces mots) analeptiques,!. 3 9 0 . anaplérotiqucs, 407. apéritifs
, 323.d.apbrodifiaques(vt)yf^ ce mot ) , aqueux,I. 363.
a. aAringens, 778. b. atténuans, 843. a. XI. 328. b. attraélifs.
l . 846.^.Remedes balfamiques. II. 49. a. béchiques, 187.^.
caïmans, 362. d. carminatifs ,689. <1. catliérétiques, 776. a.
cicatrifans. IV . 893. a. Remedes compofés, III. 768. a , b. curatifs.
IV. 372. a. Remedes défenfifs, 741. a , i . délayans ,
779. a. demcatifs, 893. a. déterfifs , 902. b. diaphorétiques,
946. b. digeftifs, 998. b. difcuffifs. 1034. b. Remedes échauf-
fans , V . 243. b. émoliiens , 370. b. évacuans , V I . 11%. a, b.
expeaorans. 287. a ,b . Remedes fébrifuges, V I. 461. ^ , b.
fondans » 7 t- b. fortifians. XVII . 338. b. Remedes héroïques
, V l l l . 181. a,b. luimcélans. 348. b. Remedes incarna-
t ifs , 642. b. incraffans. 636. a. Remedes magiAraiix, III. 768.
m IX. 833. a. martiaux. X. 131. é. &C. Remedes narcotiques,
IV > 317- b. officinaux. III. 768. a.
V L 853. a. Remedes p allia tifs,IV. 372. a. peéloraux, XII.
R E M 579
232. a prclcfv.itifs, X III. 316. a , b. purgatifs. 376. a ,b .& c
Remedes r.ifrrucluirans, 736 b. ramolliffans, 783. é. raréfians,'
relachans XIV. 32.^. repcrcufiifs, 1 30. u , reArinétibs,
193. b. rubehans, 423. h. Remedes fédatifs, 883. .7, /'.XVI .
38. />. feptitpies Ôc amifeptiqties, X V .73. ,7, b. Aimulans ,3 2 1 .
a. Aomathiqucs , 334. è-c. Ayptiques , 538. b. fudori-
vTv^ffc 740- b. Remedes lempérans ,
X IV 8 8 3 .« ,/ ..XVI 38 L terreux, 172. b. ly^.b. toniques,
407. b. topiques. 418. />. Remecics véficatoivcs, X V ll. l ' . i . a ,
. 204. Ci. vifceraiix. 337. b. Remèdes prétcmliis univei felsî’
I. 308 .7, A l. 378. Ces remedes regardés comme impoffi-
hks. SuppL 1. 737- b. Remedes utérins. V . 370. a. Remedes 3p]^\\es Ipcei/ii/ues , voyeç^ ce mot.
R emedes de droit. {Jurifpr.) XIV. 93.
R emede. {Monn.) Remede d’aloi. Remede de poids. X lV .
93. a. '
Remede ancien, appelle villain. XVII . 277. a.
REM ENER, A/rr;er, Amener, Ramener, Emmener Remmener.
{Synon.) X. 333.-7. ’
REMES ou R e m it z , {Omith.) oifeau de Sibérie Sc de
Lithuanie. Sa defcnption. Obfervations fur les nids de cette
forte doifi-ati. X IV . 93. b.
REMETTRE. { A n milit.) Remettre un bataillon , remettre
les rangs, remettre les files. Dét.ails fur ecs mouve-
mens. X IV . 93. b.
Remettre , Rendre , Reflituer. { Synon. ) X lV . 106. b.
R emettre , {Comm.) différentes acceptions 6c ufaees de
ce mot. X IV . 93. i . °
m eRnte, m e t t r e ,/«: {Efcrime) maniéré d’exécuter ce m ouveX
IV . 94. a.
R emettre , ( Chandelier) noms donnes aux opérations par
aux cliandcllcs leurs couches de luif.
REMI , ( Géogr. anc. ) peuple de. la Gaule bcîglque.
lùays qu’ils occtipoicnt. Leur capitale. X IV . 94. a. foyer
R//£M/.
R e.mi , fai/it- ( Geogr.) arc de triomphe de cctre ville de
Provence. I. 601. b. /6?/rf^REMy 8c Sa in t -Remi.
RLMINISC.ENCE, ( Metaphyf.) CM quoi elle diffère de la
mémoire, du foiivonir 6c du reffouvenir. X. 326. a. De la
mémoire 8: de l’imagination. 327. a. Elle eA le fondement
de la perfotinalité. Suppl. IV . 303. h. .
REM IREMONT , {Géogr. ) ville de Lorr.ilnc. X lV . 94. a.
Premiere fuuntion de cette ville avant qu’elle eût été ruinée
dans le neuvième fieclc par les Huns. Abbaye de Rcmire-
mont, fondée par Romaric; d’oii cA venu le nom de ce lieu.
Détails lut les chanoinclfes 6c l’abbclfe de Remiremonr.
Ibid. b.
Rerniranont. Fondation religieufe dans ce lieu. Suppl. III,
283. a. Coutume de la Brcffc dans le bailliage de Reinire-
iiiont. V . 130. a. Grand fonrier de l’abbaye de Rcroircmoiit.
X V . 362. m
REMISE , acceptions 6c iifagcs de ce mot en matière de
jiirifpnidence , X IV . 93. a. &c en matière de commerce,
Ibtd. b.
Rcmifc, {Comm. & Jurifpr.) livre de rcmife. IX. 612. a.
616. a. Faire des traites 6ç des rcmifes de place en place.
XII. 674. b. Rcmifc d’un jugement, voye^ A m p l ia t io n .
R emlSE , ( Archil. ) détails fur la conrfriiiAion d'une remife
pour les carroffes. Rcmife de galcre. XlV . 93. b.
Remife, terme de riibanneric , de jeu de quadrille, 8c de
chaffe ou d’agriculture. X lV . 93. h.
REM ISM Ô N D , {H if . d'Ejpagn.) roi des Sueves. Voyez
F r u m a r iu .s.
RÉM ISSION, ( Criiiq. ) rcmife , relâchement , ccfTion de
dettes , do droits . d’impôts , élargiffement, pardon. Exemples
de ces divers fens du mot rcmtjfion dans récriture. X IV ,
96. a.
/?c77j^o/i, explication de ce terme employé en phyfiqiie,
X IV . 96. a. en jurifprudence 8c en médecine.//’ll/, b.
RÉMI.SSION , {Gramm. 6> Jurifpr.) diA'ércncc enirc abfo-
lution , pardon , grace 6c rémiffion. I. 42. a. Suppl. I. 30. a.
Lettres de réinillion. IX. 427. é. 428.-7. G race. VH.
803. a.
REM ITT ENT E , /evre. VI. 737. b.
REMMENER, Mener, Ramener, Amener, Remener, Euir
mener, {Synon.) X. 333.
R EM O N T ER , ( Soierie ) faire fiiccéder de nouvelles foies
pour continuer une piece, lorlqiic celle fur laquelle on travaille
cA entièrement employée. Explication du moyen dont
on life pour cette opération. X lV . 97.-7, b.
R em o n te r . {Fauconn.) XIV. 98. a,
R EM O N TO IR , {Horlog.) montre à remontoir. Rr^on-
loir fe dit auffi de i’affcmblagc des pieces par Icfqudics la
fonncric dans certaines pendules remonte le mouvement.
Remontoir , ajuAement que l’on fait à plufieurs barillets, fur-
tout à ceux des pendules. XIV. 98. a.
R EM ON TRAN C E, {Jurifpr.) droits des cours fouve-
raincs de faire des remontrances au roi. X lV . 98. a. Remoq-
5 ^ 1