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A!i,L;lercrrc ont voulu .Tfiorvir i’é;»nii: ;i l’état. Le f.iUit clcj
âmes n ’eft ni l;i caiilé ni L Inic de rinllitucion des Ibciétés
civiles. D'où il luit que la cioiiiiiic & la mor.alc rcligieufe
ne ibnr point du dillriél du magidrar. ibhi. h. Differentes
circonflances ont contribué à faire croire que les loins en
niagillrat s’étendoieni naturellement à la religion , en tant
qu'elle concerne le l'ahit des âmes. Mais on ne doit pas re-
jeteer ce faux jugement fur la religion chrétienne; il fuit
rartribiicr à la nature de la religion juive , où les deux
Ibciétés civiles & religicuCes écoienten quelque maniéré incorporées
eiilemble. C c d à cela qu’il faut attribuer les en eufs
des proreflans l'ur la rét'ormaiioii des états, la tête de leius
premiers chefs fe trouvant remplie des idées de l’ccoHomio
jmlaiquc. Ibid. j . La fociété religieufo ayant donc un but
difliné't & indépendant de celui de la fociété civile , il
s’enfuit néceffairement qu’elle en efl indépendante , bc par
conl'éqncnc elle cft Ibuverainc en Ion el'pece. Ibid. b. L'.id-
miratlon de l’aine agit dans une fplierc fl éloignée de l’aut
re , qn’clle’S ne peuvenc jamais le cioiivcr oppolécs, ciiloi ie
que la nécelflté d’état quiexigeoic que les loix de la nation
miflent l’une dans la dépendance de l’aune , ne faiiroit avoir
lieu. Nous pofons donc comme maxime fondamentale , que
la fociété veligienl’e n’a aucun pouvoir coaélif femblable .ï
celui qui cft entre les mains de la focLré civile. II n’en e;t
qu'un d entelle peut nfe r, c’efl celui que lui donne le druic
d’excommunication. Ibid. ajS.
S ociété , ( Moral. Droit n.itnr. ) Origine des fociciés.
i8. a. Toute fociété politique a deux origines , l’ims phi-
lofopbique , & l’autre hiftoriqne. 111. 4S5. b. Diverlés liy-
pocliefes fur la premiere. 486. Hifloire hypothétique de
l'origine des Ibciétés. XI. 367. , b , ikc. Elles font fondées
fur le befoin naturel que les hommes ont les uns des autres.
X V II . 836. a. Origine des fodérés par ralTociation de quelques
familles. V IL 7S8. a , b. L ’iiifloire Ck la philofojjhie
l'ont d’accord fur l;i premiere inititntion des fociétés, lU.
4S6. a. De leur origine hiftoriqne. lîl. 648. b. Multitude
de petites Ibciétés formées par les émigrations. VII. 789.
b. CoLONlE. Origine 3c la fociété felon Vitruve. IX.
803. L On ne fauroit imaginer rétabüfl'ement delà premiere
fociété & de la premiere langue par des voies fimplement h u maines.
IX. 25a. b. Néceffiié d’établir des chefs à la formation
des fociétés. 853. b. Drti'it public établi pour leur ufi-
lité commune. V . 135. a , b. Tableau des changemens qui
ariiveiu dans les 0])inions 8e les moeurs , à mefure que la
fociété s'éloigne de l’état de nature. VIII. 289. v. Devoirs
rèjukans de iéiat de fociété. XVII . 8 ,6 . a. Vertus les plus
eftimées dans les fociétés qui fe rapprochent le plus de l’état
de nature. VIII. 289. b. Engageniens de trois elpeces clans
lafociéré. IX. 649. a. La fociété doit à la bienveillance lés liens
les plus doux & les plus forts. If. 2.45. b. Obligation de
fe foiinieitre aux loix qui y font établies. Les fociétés particulières
réunies cntr’elles doivent anlfl reconnoitre la même
fiibordinatioii. II. 486. .r. Caraftere d’efprit qui fait l’anic &
l ’agrément des fociétés. Suppl. II. 147. a. Avantages & incon-
vé/tiens de l'état de fociété. Etat miférable de l’homme qui vi-
vioit feul & abandonné à lui-méme. X V . 325. b. La focié-
lé augineme nos befoins 8c en rend le feniiment plus vif.
II. 213. a. Elle a multiplié nos paffions , nos plaifirs Sc nos
maux. VIII. 276. a , b. Exercice continuel de la méchanceté
dans la fociété humaine. 277. a , b. Tous les avantages de
la fociété font pour le riche. V . 347. a. Plaifirs des fociétés
d’hommes dont l’efprit efl cultivé. Suppl, l i. 4^3. a. Ef-
prit d’obfervr.tion qu’on acquiert dans la fociété. 434. a.
Société , ( Jurfpr. ) Différentes fortes de fociétés formées
entre les hommes. Maximes qui doivent s’obferver dans les
fociétés qui fe contraélent entre marchands ou entre parii-
jrulicrs. Ouvrages à confulter. X V . 258. b.
Sociétés particulières , {Jurifpr.) Leur caraélere. II, 666.
b. Elles modifient de mille maniérés les apparences de la
volonté générale, parl’influence de la leur. V . 338. b. Celles
qui doivent être bannies de l’état. X V i. 394. é. T o yq A ss
o c ia t io n , C ommu nauté.
Sociétés de commerce , {Jurifpr.) III. 739. b. Sociétés en
participation. XII. 99. a. en commendite. III. 688. a , b.
Un négociant prudent doit exadement s’informer des clian-
gcinens qui arrivent dans les fociétés de fes correfpondans.
é. Convenance de fucccdcr entre aflbciés. IV. 161. a.
Nom focial dans une fociété. XI. 201. b. Raifon d'une fo-
ciécé. XIH. 776. b.
Sociétés érablies pour encourager l’économie. V . 730, a.
Sociétés littéraires dont l’objet a été la perfedion de l’auri-
culture. Suppl. 1. 221. a , b. 222: a , b. Projet d’une fociété
deflinée à la perfedion de la botanique. Suppl. IV . 969. b.
Société anonyme, civile, X V . 259. a. en nom colleélif, en
commande, en commandite , léonuie, par participation, tacite,
d'Edimbourg, Ibid. b.
U Londres , ( Hifl. des academ. modern.")
Hifloire de l’étabUfTement & des progrès d« cette fociété.
Ouvrage à confulter. X V . '259. b.
S O E
SoCiÉTK royale de Londres , i^Hifl. Litt.") Réglement de
cette fociété fur l’éleélion des étrangers. Suppl. IV . 804. b.
Société royale des fcicnces, fondée à Mûiupeilier en 1706.
Motifs qui engagèrent à ter établiflement. Union que le roi
établit entre cette fociété 8c l’académie royale des fciences.
Progrès des fcicnces dans la fociété royale de Montpellier.
X V . 260. *7. / r
SOC IN . Obfervations fur quelques hommes de lettres de
ce nom. X V . 179. b. 180. a. Précis de la vie de Lcelius 8c
de F.-uifle Socin. XVII . 400. b.
SÜCINIENS , {Idiß. cccléf.) Lifte des principaux Soci-
iiiens donnée par Sandius. 1. 517. b. Lieu de la petite Pologne
où les Sociniens ont eu une école. X ii l. 7 5 1. s. D'o'i
ils ont pris le nom de freres polonois. VII, 302. a. L’article
du focinianifme traité dans l’Encyclopédie fous le mot un'i-
taires. XVII . 387. b. 401. .1. Rapport entre les Sociniens &i
les Alogiens. I. 292. b. Sentiment des Sociniens fur i ’auic-
riié de l’écriture. V. 367. b. Sur la nature & la durée des
peines de l'ciu'er. V . 668. b. X ll. 249. a. Sur la qualité
de fils de Dieu donnée à Jefus-Chrift. V I . 806. b. 807. a.
Sur l’iinmenfué de Dieu. VIII. 575. a. Comment iis prétendent
prouver que le dogme de la triniré s’cfl introduit
dans l’églife par une luite de l’attachement des porcs à la
doclrine de Platon. XII. 732. b. Doftrine des Sociniens fur
les lacreinens. X IV . 477. b. Sur la fatisfaécion de Jefus-Chrift.
690. b. 691. a.
SO C ûT P I-B ÉN O TH , {Critiq. f ie r .) idole des Babyloniens
donc il eû fait inentiOH IV . rois. ch. xvij. 30. Ce
moifocoth-bénoth, figifilie tabernacle des filles ; Sc les meilleurs
Critiques croient que c’efl le nom du temple de Vénus babylonienne
, où les fiiles s’alTenibloient pour fe proftituer.
I-’dfiage d’Herodote où nous apprenons les particularités de
ces ptollitutions. Le récit d’Hérodote confirmé par Strabou.
Allufion cjue fait Banich à cette pratique infâme. X V ,
260. b.
S O C O T O R A , {Géogr.) Voyei ZOCOTORA.
SO CQ U E S des Récollets , ( Hijl. eccl. ) III. 260. b.
S O C R A T E , pinlofophc célébré. Obfervations fur fon ca-
raélere , fa vie 8c fit pliüofopliie. X V . nûi. a , b. Socrate
joué en plein théâtre. III. 667. u. Socrate confidèré comme
orateur. XI. 360. a. Ouvrages de fculpiure de ce philofophe.
X IV . 827. a. Réflexions fur le démon de Socrate. IV . 821.
a. X V I . 153. b. 254. a. Son doute phitofophique. I. 30. a.
Fables de Socrate. V I . 333. a. Son amitié pour Alcibiade.
Suppl. I. 239. ^.'Comment il confondoit les fophiftes. Suppl.
II. 686. a. C e philofoplic aceufé d’aihéil’me. VIII. 391. a.
La morale fur l’objet particulier de fa philofophic. X. 70c.
b. Manteau flinebre qu’Apollodore lui apporta dans fa pri-
l'on. XI. 657. a. Calife particulière de fa condamnation. X IV .
133. e , b. Parole de Socrate dans fa prifon à la leéliire
d’un vers d'Homere. X V . 377. b. Obfervatioti fur la coupe
de ciguë que but ce philofophe. III. 430. a. Sens de l’ordre
qu’il donna d’immoler un coq à Efculapc. IV . 179. a. P.i-
rallele de Socrate & de Caton. V . 341. b.
Socrate, peintre. XII. 264. b. Socrate, fculpteur de Tliebes.
X IV . 827. e.
Socrate hiflorien : fon témoignage fur la vifion célefle ds
Conflamin. X V II . 348. b.
SO C R A T IQ U E , PhilofophU , ( Hiß. de la philofophie )
Le fyftème du monde Sc les phénomènes de la nature ,
avoient été , jiifqu’à Socrate, l’objet de la méditation des
philofophes. C e fa g e , né avec une grande ame 8c un grand
jugement, vit qu’il falloit travailler à rendre les hommes
bons, avant que de commencer à les rendre favans. Intrépidité
de ce philofophe dans l’exécution du projet qu’il avoit
formé de tirer les hommes de la poufliere , & d’en faire
des citoyens. X V . 261. a. Auteurs qui ont écrit fon hifloire.
Précis de fa vie. Son caraélere. Sa maniéré de philofopher.
Ibid. b. Sentimens de Socrate fur la divinité , Ibid. 263. a.
fur les efprits , fur l’ame. Ses principes de philofophie morale.
Ibid. b. Principes de fa prudence politique. Obfervations fur
fesdifciples. Xénophon. Ibi'd. 264. b. Efchine. Criton. Simon.
Cebès. Ibid. 263. a. Principes fùppofés dans fon ouvrage,
connu fous le nom de tableau de Cebès. Timon le mifantrope.
Ibid. b.
Socratique, philofophie. VII. 910. i. Lettres focr.atIqucs, IX.
412. a , b.
SO D O M E , ( Géogr. anc. & facr. ) ville capitale de la Pen-
tapolc. Cette ville ruinée par le feu du ciel. Strabbn parle de
fes ruines. Cependant on ne peut révoquer en doute qu’elle
n’ait été rétablie , 8c qu’elle ne foit devenue même une ville
épifcopale. X V . 266. a.
SOD OMIE , {Jarifpr.) peine des fodomifles prononcée
par les loix divines 8c humaines. Auteurs à confulter. XV.
266. a.
SOEN , Soun ou Tffonn, ( Marine ) nom qu’on donne à la
Chine aux principaux 8c aux plus ordinaires vaiffeaiix marchands
ou de guerre. Defeription détaillée de ces bâtimens.
X V , 266, b. Foyeq^ JONQUE.
So e s t , ( Géùgr. ) vllle de Wcflphalic. Obfervations fur
deux hommes de lettres de cette ville 3 Alfelman , théologien
modéré , 8c Jean Cropper , controverfitj du feizieme fiede.
X V . 267.^.
SCEUR , (^Jurifpr.) Soeur germaine, foeur confanguine,
feeur utérine. X V . i6-j.a,
Soe uk' ( Critiq. jacr. ) acceptions de cc nio: dans récriture
fain'te. X V . 267. a.
Soeur co/tvii/c, {Hiß, eccl.) IX. ly^.b.
SO F A , ceux qu'on voit dans les apjiariemens des Turcs.
Maniéré dont les Turcs s’affeyent 8c prennent leurs repas.
X V . 2,67. .n
S ü f i s , repréfentésvol. VII, des pl. Menuiferie en meubles,
pl. 9 .8c v ol. IX. des planches. Tapillier , pl. 12.
SO FA LA , ( Géogr. ) royaume d’Afrique. Ses bornes , fes
rivieres. X V . 267. a. Habitans du pays. Ses prodiiélions. O b fervations
fur fa capitale. Ibid. b.
Sûfila , defeription des peuples de ce pays. VIII. 347. a.
SOFFÉ , Sofi.ih ou Sophie, {Géogr.) capitale de J.a Bulgarie.
Sa defeription. Couverlion des Bulgares au chriflia-
ïiifmc. La ville de Sophie devenue archt-vcché. X V .
:z6y. b.
S O F I , fignification de ce mot. Il fert à défigner un religieux
mahométan. Quelques hifloriens donnent aulfi ce nom
au roi de P(.rfe. X V . 267. b. Voye^ SOPHI.
S O F IT E , renfoncement de {A rchit.) X IV . loS. a.
S O C D , {Géogr.) campagne dans le pays des Usbecks.
X . 214. a.
SO G D IAN E , {Géogr. anc.) contrée d’A fie, Scs bornes.
Noms donnés à fes peuples. X V . 268. a.
SOIE, ( Hifl. nat. ) Les anciens connoiflbient peu les uftiges
de la foie , 8c la maniéré de la travailler. C ’eft dans l’ifle de
Cos que l’art de façonner la foie a été d’abord inventé. X V .
â 68. a. Mais cotte marchandife fut très-rare 6c précieiife ciicz
les Romains , pendant plufleurs fiecles. Premieres manufactures
de fcùe. Hifloire naturelle du v er qui la produit. Ibid,
b. Quelles font les coques que l’on doit conferver. Précaution
à prendre pour quelles fc confervenr. Diffêremes fortes de
coques. Différentes préparations que la foie doit recevoir
avant que d’etre propre à être employée dans les manufa-
ftures. Noms que l’on donne à la foie , fuivant fes difFéreiis
états. Soie crue. Soie boiiHIie, Ibid. 269. a. Soie torfe 8c re-
lorfe. Soie plate. Soie des Indes orientales. Soie de France.
Soies qui entrent dans Lyon chaque année. Nombre des métiers
établis à Lyon 8c à Tours. Soies de Sicile. Par qui s’en
fait le commerce. Ibid. b. Soies d’Italie. Soies d’Efpagne. Soies
de Turquie : villes d’où on les rire. Caravannes qui les apportent
à Smyrne. Provinces de Perfe d’où elles viennent en
plus grande quantité. Efforts inutika de quelques puifl’ances
pour détourner de Smyrne le commerce des foies. Soies de la
Chine 8c du Japon. Ibid. 270. a. Soies des états du grand
Mogol. Tirage de la foie : premiere opération de cette matière.
Ibid. b. 6* fuiv. Obfervations fur l’art de tirer ia foie de deffus
le cocon , où l’on démontre l’importance de cet a r t , 6c que
lu machine dont fe fervent les Piémontois pour k tirage , eli
la feule quiy convienne, 272. & fuiv. Obfervations fur
quelques machines nouvellement inventées l’une par le fleur
,V... l ’autre par le fleur R... fabriquant en bas , 8c la troifle.Tie
par le fleur M... infpeifleur des manufaélures de Languedoc.
Jbid. ly ^ .a , b. & fuiv. Autres obfervations fur le tirage des
fo'cs. Projet d’un ordre à établir en France pour parvenir
à la perfedion par rapport à ce tirage. Ibid. 276. b. 6’ Juiv. Du
moulinage des Ibies. Ibid. 278. a,b.&fniv. Explication du moulin
à filer la foie. Ibid. 280. a , b. Explication de l’ovale. Extrait
du réglement publié à Turin , concernant le tirage 8c
le filage des foies , le 8 avril 1 7 2 4 , 8c obfervations fur les
articles de ce réglement. Ibid. 2S1. a , b. & fuiv. Mouliniers
ou lileurs de foie ; regies qu’ils doivent obferver, Ibid. 283.
l . D e la fabrication des étoffes en foie. Ibid. 284. b. Opérations
préliminaires. D e l’oiirdifl'age des chaînes. Ibid. 283.
a. D e la leéture du delTm. Des delTms répétés. Ibid. b.
Exemple furun deffuien petit. 286. a. Des cordelines. Ibid. b.
Cordelincs pour les damas. D e là différence des damas de Lyon
8c de Gènes. Ibid. 287. b. Différence dans la façon dont les
damas font travaillés en France 8c à Genes. Ibid. 288. b. D ifficulté
que peuvent alléguer les François pour ne pas fe
conformer à la maxime des Italiens dans la fabrication des
damas. Examen de cette difficulté. Ibid. 289. a. Des étoffes
riches en 800. Ibid. b. fuiv. Modele d’nn deflin .à répétition.
Fonds d’or ou d'.irgcnt. IbiJ. 291. b. Etoffes à la broche. Ibid.
292. b. Etoffes riches fabriquées à Lyon, auxquelles les ouvriers
ont donné k nom d’étoffes à l.r broche , qui dans le commerce
n'ont d’autre dénomination que celle de fonds d'or ou
d’argent riches. Ibid. 293. Etoffes riches qui ne peuvent
Te faire que l’endroit deffus. Ibid. 294. b. Des fonds or gnil-
lochés. Ibid. 293. b. & J'uiv. Nouvelle forte d’étoffe dont la
dorure efl guillochée , lâns qu’elle foit travaillée à ia broche,
ou que le métier foit monté avec un double corps. Ibid. 297.
i . & fu iv .D c quelques étoffes omifes jufqu’ic i , telles que
Ö l 687
les ùatay.’a , îes brocatelks , îb'td. 299. a. les florentines à
lonneues. Ibid. b. Machines inventées pour faciliter la fa-
brication des étoffes. Ibid. 300. b. & fuiv. Modele d’im métier
d'étoffes fabriquant feul un damas à fleurs. Ibid. 302. /v. 5oie , de la foie de Céos. X V II . 7 1 1 . a. Soie lé g i l IX,
337. a. Soies du pays de Murcie. X. 867. b. Soie perfienne.
X L . 428. b. Examen du prix différent des foies de Piémonr
(fl. de celles de France. XVI. 906. b. T o ile de foie. 379. b.
Effets de l’air de certains pays fur les foies. I. 236. a. In-^
troduCftion des habits de foie a Rome. V l î l . 14. d. Premiers
bas de foie qui ont été portés en France. Ibid. b. Du travail
& des ouvrages en foie. Métier en foie , voyer MÉTIE.R. A r mure
dans les manufaiffures en foie. I. 699. a , b. Banc. H.
34. b. Papier réglé. XI. 862. a , b. DcfTm. IV. 892. b. Premiers
femme qui dévida la foie. I ll, 334. a. Fil de lacs ,
fil de rcmiffe. VI. 790. b. Aiguiller la foie. I. 207. b. Soie^
crues & décrues. IV . 727. b. Dégorger les foies. 736. b.
Luflrage do h foie. IX. 749. b. Mettre en main h foie. X.
474. b. Ourdùtage de foies. XI. 713. a , b. Remonter les
foies. X IV . 97. a , b. Arc de les blanchir. Suppl. L 906. b.
Blanchilfage des foies par le foiifre. X V . 402. a. D e lu teinture
des foies. X V I . 29. a , /..Petite tire dans le travail de
la foie. 340. b. Planc'ncs de foieric nu nombre de 138 dans
le vol. X I , divilées en cinq feéUons. Lu premiere comient
les apprêts que la loie doit recevoir avant d’étre employée
à former une étoffe. La deuxieme renferme les ulanches
relatives à la fabrication des étoffes en plein ou unies. La
troifleme , celles qui fe rapportent aux étoffes biocliécs 8c
figurées. La quutrk.me concerne la fibrication des differens
velours. La cinquième contient la manière de ciriner, les
dift’érentes fortes de cal.mdres 8c la fabrication des liffes.
Soie des araignées. X V . 303. é.
Soie. Ouvrage de foie d’araignée. I. 374. b. Poiflbilité de
faire du papier avec la foie de la chenille commune. X L
847- a.
Soi^. { Confidérac. poiitiq.) Préjudice que les nianufaélu-
res de foie peuvent faire à l’agriculture. V î i, 366. a. Ce
quepcnfoitSuüy des manufaélures de foie d.ins le roy'aume de
France. XIII. 100. b. Principes de Colbert fur le même fu je t ,
voye z l’artide de cc miniflrc.
'■ Soie , ( Hifl. mod. ) nisblelfe de foie dans l’état de Florence.
XL 173. b.
So ie s , {Médec.) vers d e c s nom qui s’engendrent dans le
corps humain. X V II . 44. b.
Soie , ( Chym. Ph.irm. Mat. mèdic. ) la nature chymiqne de
la foie efl fpécialcnient expofée à l’article Substance a n i ma
le . Erreurs de quelques pharmacologifles fur les vertus
attribuées à la foie. X V . 306. a.
S o ie, terme de coutelier, 8c de vergetier. X V , 306. n.
S O IF , {Phyfiolog.) origine de la foif. X V . 306. «t. Caufe
de cette fenfacion dans les fièvres , 8c dans l’hydropifie.
C ’efl un mauvais figne que de n’avoir pas fo if dans les*ma-
ladies fort aiguës. Caiife finale de la foif. Pourquoi le chameau
peut fe paffer de boire pendant plufienrs jours. Maux
que caufe la lo if lorfqu’on manque de moyens pour l’ap-
paifer. Emotion que la vu e d’une cafeade donne à ceux qui
ont long-teins fouft'erc la foif. Ibid. b.
Soif. Caufe de cette fenliuion dans le mélange de la bile avec
la fallve. li. 232. b.
So i f , {Lang, franc. ) ufage de cc mot au figuré. XV. 367. a.
SO IR , {Médec.) attencion que mérite de la part des médecins
ce tems de la journée , fon par rapport aux changemens
qui arrivent alors dans les maladies, foie à c.aufe des
remedes qu'il convient de preferire ou d’éviter. Redoublement
de la plupart des fievres k foir. Chez ceux qui ont
renverfé l’ordre naturel de la vie 8c qui font de la nuit
le jour , 8c du jour la nuit , les redonblenicns fe font
plus fouvent fencir le matin. XV . 307. a. Lorfquo la né-
celfité n’efl pas preffante, k médecin preferit fes remedes
8c fur-toiit les purgatifs, ordinairement le matin. Secours
qui fcmblcnt plus appropriés k foir. Ib'id. b.
S o ir , ( Litt. ) comment les anciens le repréfentoienr.
VIII. 891. b. Pourquoi les Juifs commencent leur jour le
foir. X. 196. L Occupation des anciens Roinani« ch:ujuc foir.
XV II . 223. b. Defeription poétique du f> 1. . „ . •
SOISSO NS, {Géogr.) ville de Fr.mc,' é-uelcripiion. D e
l’évêché de Soilfons. X V . 307. b. emciens noms de cette
ville, Obfervations fur quelques gens de lettres qui y fonr
nés. Julien 8c Louis de Héricourt; P.nch ife Ri-bert , abbé
de Corbie; Jacques Robbe ; Hubert Sufannau. Caraflere
de Charles de Lorraine, duc de Mayenne , qui mourut à
Soilfons en i6 i i. Parallele entre ce prince 8c fon frere Henri,
duede Guife. Ibid. 308.«z.
SoijfoTfs, anciens peuples de fon diocefe. XV. 626. b.
, académie de, {Hifl. Ir.t.) état de ««rcre académie
avant qu’elle eût reçu une forme munie de l'autorité
royale en 1674. X V . 308. a. Statuts 8c ufages de cette fo-
cièté. Objets de fes études. Sa devife. Prix fondé en 1734 pa»
M. de Laubrieres. Ibid. b.