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Liîi.; 5 i M '
M ÉD ISAN C E, {Mor.7lc.) nicdlrc cH ime afîlon d i fol-
incmc inditTùrcmc. Eii qucE c.is la mcdiranco crt pci milu.
Diiréiomcs Ibrtcs dc nicdWaiiccs criminelles. Les cartes ont
|)liis lanvi: du rcputaiions <|iie n'ci'ir |
iiiiirimiiiaircs attaclio? •' li.-i- rontr
"lire une Ics’.ion de
xlicr comro la mcdil.incc. X. 299-
. . ., .r M i'ch an c e tL
M ÉD ITA T IO N , ( 6V.,-mw. ) état de I’liomnic en meditation.
11 faut que la méditation nous dilpole à ag ir, on c cfi im
exercice niéprilable, L'iuimcur & la mélancolie l'ont compagnes
tic la méditation liabitiiclle. Didércnce que mettent les
dévots entre la méditation & h contuitplation. X. 299. .1.
Dift'ércnce entre méditer un projet Si méditer liir nn projet.
l iU b.
Mc</ir.:tion, état de Lame dofigné par ce mot, Suppl. 1.
bSq. -I. El'pcco d'abAinenco qui dil'polé à la médittition. 65../.
État d’un homme qui médite très-profondément. I. 4“ i. c.
Dilîérence entre l;i méditation Se la coniemplatioii. W . i i i. /a
L ’anie trouve la méditation pénible ; moyen trapprendre à
méditer. V, 694. .1. Quels l'ont les objets les plus don.': à
méditer. V l l l . 806. rf. Méditations philofophiques. XVII.
742. , b. Méditation rcqnile avant d’entreprendre aucun
J)lan fur le fujet ([u'on veut traiter. Si/ppl. II. 452. b. .Médt-
laiions dc Defeartes. IL 721. e , b. Sur la méditation , voyci
R éflexion , A t tent ion.
M ÉD ITERR AN ÉE, {Gt-ogr. ) Comment elle s’ap-
pelioit tiutrefois. Divifionsde cette mer. X. 299. b. Sitr la corn-
jmmication tic l'Océan avec la Méditerrtmée , C an a l
AlVTiriC'.EL.
Mi\iiiar.iiice,m<;r. X. 366. </. Pourquoi elle n’a pas de marée
fcnfible. VI. 906. <t. X. 9A. a. Proportion entre l'évaporation
de fes eaux Sc la quantité d’eau qu’elle reçoit des fleuves.
VI]. 89. .J. Conjcélnrcs fur l’origine dc la mer Méditerranée.
X V I. 164. <7. Tercr Mer & O c e an .
MÉDITRIN ÀLES , {M ij l arc. ) fèces que les Romains
célébrotent en automne. Fornnilc dont on fe fervoit la premiere
fois qu’on buvoic du vin nouveau. X. 299. b.
M ÉD O C , (Geogr. ) contrée dc France , entre l'O céan & 5c la Garonne. Huîtres de cette contrée, en réputation du
tems dos Romains. Village oîi on les pêche. Principal lieu de
ce pays. Cailloux de Médoc. X. 300. u.
M ÉD U L LA IR E , /mi/c, (^rator/i.) partie la plus fubtlle
dc la moelle des os. Comment elle palfe dans les os 5c dans
leurs articulations. X. 300. a. Ufage do cette huile. SubAance
médullaire du cerveau. Ibid. b.
M ÉD U L LE , le mont, ( Geogr. aric. ) montagne d’Efpagnc.
•Mort tragique des barbares aillégés par les Romains fur le
mont Mediillc. X. 300. b.
M ÉD U SE, (Myt/!.) une des trois Gorgones. Différentes
manières dont les peintres & les Icnlpteurs ont repréienté
Médufe. X. 300. b.
Mèdufc. l’anicle GoRCONES. Cheveux de Médufe
dans un temple de Minerve. XIL 904.«. C e qu’étoit Médufe
félon M. Fonnnont. .
Medufe, ute de , ( Hijl. /ut. ) étoile de mer. Vol. \ I. des
p). Règne animal, pi. <^3.
M E D W A Y , ( Geogr. ) riviere d'Angleterre. Peinture
qu’en fait le chevalier Rlackmorc. On le fert de cette riviere
pour mettre en fureté les gros vaiffeaux en hiver.
X. 301. a.
M Ë FA IR E , { Droit couium. fra n c .) explication que
M. le FevreChantereau donne de ce vieux terme. X. 301.
M É F IAN C E , {Gramm.) Difterence entre la méfiance
5c la défiance. X. 301..:.
MÉFIEIR fe , je défier , ( Sy/ion. ) différences dans la figni-
ficaiion 5c l'ufage dc ces deux cxprelïions. Suppl. III.
891. a.
M ÉGABISE , fa révolte contre le roi de Perfe. Suppl. I.
598. b.
MÉG A LE S IE, ( Ant'iq. rom. ) fêtes célébrées à Rome
en l’honneur de Cybele. A quelle occafion la Aatue de
cette déeffe fut apportée à Rome 8c fa fête inûiiuée. X.
301. b.
MÉGALESIENS , jeux , ( A/itiq. rom. ) pourquoi on
les nommoit les grands jeux. Comment on les céléLroit. X.
2 0 1 .b.
M ÉG A LO PO L IS , ( Géügr. arc. ) ville du Péloponnefe.
Comment 5c à ([ucllc occafion elle fe forma. Nom moderne
de cette ville. HiAoire dc Philopccmcn 5c de Po-
lybe fon cieve , l’un Sc l’autre nés à Megalopolis. X.
301. b. Obfervations fur les ouvrages dc Polybe. Ibid.
302. a.
MÉGA.METRE, {A fr o n .) inArument propre à mefurcr
les diAanecs de phificurs degrés entre lesaArcs. Autour qui
en a donné la defcript'ion. 11 ne différé pas fenftblunent
de riiéliomctre imaginé par M. Bougucr. Son ufage. Suppl.
HL 891. b.
jMÉGARA , {Geogr. anc. ) cinq villes de ce nom. X.
302. .J.
M ÉGARE , {Giogr. anc.) ville de Grèce, Situation de
Mcgare étendue do fon territoire. Fondaiion de la ville
(le CO nom en Sicile. Médailles de la colonie dc cette fécondé
Mégare. Obfervations fur les liabltans de Mégarc
en Achui'e. Du fondateur de cette ville. X. 302. b. O iig iae
dc Ion nom. Céiébiité du temple de Gérés Jiati ;i Mégare
Fundenieiit du bon mot dc D iog c iie, qui difoit qu’il aime-
roit mieux être belier d'un troupeau d’uit megarien , que
d’être fon fils. Temple de Diane bâti à Mégaie. Rois du
royaume de Mégaridc. Diverics révolutions qu éprouvèrent
les Mégariens. Canfes de la guerre du PéIü])onnc(e , 5c de la rupture des Athéniens avec les Mégariens. JlnJ.
303. a. Epoque à laquelle la ville de Mégare cm une
coufiAance décidée. Idées qu'on nous a laiA'ées des Mé-
gariens. Des monumens qu’ils avoient élevés à l'honneur
des dieux 5c des licros. Les beaux arts cultivés à Mégare.
Pcrfoimagcs diAingués clans la pliilofopjiie & dans les arts
auxquels cette ville a donné le jour, i hcocofme , fculp-
tcur. Ibid. b. Tliéo gnis, poete. Éuclldc , fondateur de la
l'célc mégarique. Sou amour pour Socrate. Mot de ce phi-
lofophe c[ui peint une aine tciulve 6c fenfible. Eubulido ,
fucccAeur d'F.uclide. Stilpon. Oblervatious lur ce pliilof'o-
pite. Etat préléiu de la ville de Mégare, de fon territoire
5c de fes habitans. Ibid. 304. a.
Mégare. L:i rcAitution des ufurcs orcloniiéc par les Mégariens.
XL 786. il. Dialeélique mcgaiicnue. IV . 934. b.
M é g a r e , pierrede , {H j î . rut. ) X. 304. a.
M É G A R IQ U E , jé a e , {H ijU e la phHoj'ophie) <on fondateur.
Jugunem porté fur les philofophcs dc cette école.
Principaux d’entr'eu.x. HiAoire d'Euclidc le Mégarlcn. Ses
principes p!iilolb])hiques. Eubulide le Miléiien. X. 304. b.
Clinomaqiie : celui-ci partagea la cliaire d’Lubulide avec
Alexinus. Eupliantc. Diodorc f'urnommé Cronus. Iduias.
Stilpon. Ibid. 305. Sa philofophic. Ibid. b. Sur la dialefti-
que mégarique , voyc:^ DIALECTIQUE.
MÉGERE, (M'f/t. ) une des furies. Scs fouélions. E ty mologie
5c fignirication de fon nom, Lorfqu'il s’agiffoir de
faire mourir quelqu'un , les dieux fc fervoieiu ordinairement
de Mégère. X. 306. a. Voye\_ FuKiES.
MÉGER1-;, ( Comm.) mef'ure dc grains.X.306. a.
MÉGILLO TH. Paraphrafes chaldaiqucs qui portent ce
nom citez les Juifs. X V . 912. b.
MÉGISSIER , ( A n méeluru ) ouvrages des mcgifficrs.
Statuts des mégiffters dc la communauté de P.aris, X. 306. a.
Mégijjter : différence entre le mégifiier 5c le chamoileur :
manccuvres du mcgiAîcr. III. 73. b. Patron des méglAiers.
Suppl. IV. 238. b.
MF. HER CULES , ( HiÇt. anc. ) jurement des hommes
par Hercule. Pourquoi les femmes ne juroient point par ce
dieu. X. 306. b.
MEHUN-/Kr-£ö/«, {Géogr.) ville dc France , patrie de
Guillaume de L on is , &. de Jeun Clopincl ou Jean de Me-
lum , auteurs du roman dc la rofe. X . 306. b.
M éhun -fu r.rcv ,;, [G io p . ) ville dc France. Obfervations
ÖC anecdotes fur Charles V I I mort dans cette ville.
Parallele des événemens de la vie de ce prince avec ceii.x
de la vie dc Henri IV. X. 306. b. Ouvrages dc François
Ragnenu , né à Mehun-fur-Yevre. Ibid. 307. a.
MEIBOMIENNES , glandes , ( Anat. ) leur ufage. X IV .
832. a. Elles tirent leur nom dc Henri Meibomiiis, médecin
allemand : ouvrages de cet auteur. IX. 709. a. Suppl. I.
399-
MEILLEUR , étymologie de ce mot. III. 749. b.
M E IN , l e , {Géogr.) riviere d'A llemagne. Sources Sc
cours de cette riviere. X. 3 07. a.
MEINUNGEN ou Meiningen, { Géogr.) ville d’Allemagne
dans le cercle dc Franconie. Etahliffemcns 5c fondations
dans ce lieu. Contributions que paient ;'i l’empire les poffeA'curs
de cette ville 5c de fes bailliages. Suppl. 111. 891. f.
MEISSEN , ( Géogr. ) ville d’Allemagne. Obfervations fur
fon évèchc. Fondateur dc Melircn. Origine de fon nom. Sa
fuuation. X. 307. a.
M EISTER, phyfiologiAe. Suppl. IV. 362-/'.
MEL.A ou Mella, ( Géogr. ) rivière de la Gaule tranfpadane;
DiAique de C atulle fur c ciic riviere, üefeription dc fon cours.
X. 307. b.
M ê l a , {Géogr.) ancienne ville d’Afrique. Conciles qui
s’y font tenus. Obfervations fur S. O p tâ t , évêque dc Mêla ,
5c fur fes ouvrages. X. 3 07. b.
MÉLAMPE, médecin 8c philofophc grec. VII. 907. b.
Guérifons qu’il opéra.X. z 6 i .a ,b .
M É L AN CO L IE , {Econ.anim.) la plus groffierc dc toutes
nos hi.incurs. X. 307. b.
M é l a n c o l i e , {Morale) (<cnûmG\n habituel de notre im-
perfeélion, Caufes de ce fentiment. Exercices qui j)laifcnt à la
mélancolie. X. 307. b. Affeélions qui lui fout agréables. D ivers
emblèmes l'oiis lefc|uels on l’a repréfentée. Ibid. 308. a.
Mélancolie religieufe , ( Théolog. ) rriAcA'e née de la
fauffe idée que la religion proferit les plaifirs innocens. Caufes
de cette triAeffe. Semimens qu’elle inipire en matieie
M E L
J . religion. Réflexions propres à les coml>attrc. X. 30S. a.
" Melaacolie rciigieufc. HiAnirc d’une fille tombée dans cette
d'cfpr.. 1. 343- C “ ': "'aa<li= p i epp"!«--
ibis un fymptôme de fanatilme. IV. 821. b. VI. 398.
Mé lan c o l ie , (M/./fc ) étymologie de ce mot. Detcrlp-
tioii de cette m.Aad:e, X. 308. a. Si de fes différentes efpeccs,
Caufes dc la mélancolie. Révolutions étonnantes que font
dans les efprits foibles certains prédicateuis outrés. Ibid. b.
Mélancolie fiiigulicrc où tombèrent les foldats d'Antoine après
avoir mangé d'une certaine lieri)c. L’o[)ératiün dn démon
comptée par quelques mauvais philofophcs parmi les caulès
de la mélancolie. Obfeivaiion des cadavres de ceux qui
font morts de cette maladie : caufe immédia-.c de la mélancolie
dcdiiite dc cette obfervacion. /âid'. 309. a. Divers faits
qui femblcnt prouver que la bile noire que les anciens
troyoicut embarraA’ée d.ins le hypocondres, n’eA pas uiilfi
ridieule que les modernes l’ont peiilé. Sy'uptômes qui pré-
tcdeiK 5l annoncent la mélancolie. Elle eli rarement dan-
gereu'.e , elle peut être incommode ou au contraire agréable 5: plaifante. Exemples de cette derniere clpece. Ibid. b. Suites
à craindre des délires triAes on inquiets. De la curation de
cerie mahtdie. Divers artifices que doit employer le médecin intelligent,
felon le genre dc déliré dont le mélancolique cA
■ .xKotte. Ibid. 310. a. Secours les mieux conAatés pour ce qui
regarde le corjrs. Ibid. b.
^Méla/tcolie. Différence entre la mélancolie Sc la folie,
VH. 44. a. entre les maniaque^ 5c les mélancoliques. X.
31. b. 33. a. Caufe de la mélancolie. IV . 783. f .X I ll . 138.
,1. Mélancolie avec abcès dans le diaphragme. Suppl. \\. 819.
a. Efjjece de mélancolie appelléc démonomanie ; Jivélancolie
fanatique. IV . 811. i. Extafe , affcélion mélancolique. V i .
324. b. Crachats de quelques mélancoliques. IV. 416. b.
La mélancolie confidéréc comme étant quelquefois caufe, 5c quelquefois cAét de l’épilepfic. V. 79Ö. b. Mélancolie
érotique. 909. a , b. VII. 378. a. AAeéHon mélancolique
appellee phrontis. XII. 33 t. a. Influence de la lune fur quelques
mélancoliques. VIII. 733. a. Défordres noiAurnesaiix-
quels ces malades font fujets. XL 183. b. Ufage d clamii-
fiquc contre la mélancolie. X. 906. b. L’équit.aticii utile dans
cette maladie. IL 848. u , b. 5cc.
M É L AN CO L IQ U E , tempér.iment. En quoi les anciens le
faifoient confiAcr. Suppl. V I . 726. a. Son regime. X IV . 11.
b. T empérament. Difpolliion des perfoniics mélancoliques
pour les arts. Suppl. II. 901. b. ^
M É L AN CH TÜ N , ( Philippe ) théologien. I. 670. h. Suppl.
ï. 338. b.
MÉLAN D RIN , ( H if. nai. ) poiffon de mer. Sa doferip-
tion. En quoi il diffère du largo. Qualité de fa chair. X.
311. a.
M É L AN G E , {Pharm.) analogie que doivent avoir les mé-
dicamens dont on fait mélange. X. 3 11. a.
Mé l a n g e , ( Phyfiq. Chym.p/urm.) Caufe du mélange (le
divers fluides. 1. 230. a. Tous les fels fe mêlent plus aifé-
ment dans un air épais Sc humide. 235. b. Du plus petit
degré de mélange des parties d’un mixte. III. 868. b. Mélanges
qui font le fujet des diilillations chymiques. IV.
1033. a. Etant données, les pefameurs fpceifiqucs de plu-
lieurs chofes mêlées enfemblo , 5c la pefantcur fpécifique
de leur mélange , trouver la proportion des iiigrcdiens dont
le mélange cA compolé. V . 844. a. Divers cActs du mélange
de différens fluides. V I . 284. b. D ivers cAèts du mélange
dc certain,;s drogues ou fubAances pour la compofi-
lioii des remedes. V IL 187. a , b. 18S. a. M ix t io n &
C om b in a iso n .
Mélange, terinc de chapelier , de peintre , Sc de potier. X.
M E L 207
, b. Voyei^
MELAN TIUS , peintre grec. XII. 260. a.
MÊLAS , ( Médec.) tache de la peau. X. 3
Lentilles.
Mêlas , ( Géogr. arc. ) rivières que 1-es anciens ont ap-
pellées de ce nom. Quelle en cA la railbn. Golphe appelle
Sinus mêlas. X. 3 1 1. L
MELASSE, ( Mal. médic. ) matière gruiffeufe Sc huileufe,
qui rcAc du fiicre après le ralfiiitige. Nature de cette matière.
Eau-de-vie^ maî-faine qu’on en a laite. U fages qii’cn ont
fait des empiriques Sc qu’en lont les paylans voifins des
lieux où l'on raffine le lucre. X. 5 1 1. b.
MHLCARTH US, {M yth.) dieu des Tyrlcns. Etymologie
de ce mot. C e dieu nomme Hercule par les Grecs. U
y a beaucoup d'apparence que Melcarthus cA le Baal de l’écriture
, dont Jézabel apporta le culte chez les llrtiélites. Ob-
fervarions qui appuient ce fentiment. X. 312. a.
MELCHISEDECH , rot de jujiice, {H ijt.facr.) roi de Salem
, Sc prôire du très-haut. C e que i’écriture nous apprend
dc cet homme extraordinaire. Suppl. lU .S q i .é .
MELCHISÉÜÉCIENS , {H ijl. ccd.) fedaircs qui éle-
voient Melchifcdech au-deiîus dc toutes les créatures. A u teur
de cette fede. La même héréfie reiiouvellce eii Egypte
fur la fin du troificme lieclc. Autre forte des nielchifédécSefis
plus rtouveaux, qui pai'oiA’ent être une branche de»
manichéens, ü n peut auAi appeller mclchifcdécicns ceux
qui out foutenu que Melchifcdech croit le fils dc Dieu. Auteur
qui les a réfutés. X. 31 2. a.
MELCHITES , (A///?, ecc/. ) fedaires du Levant qui ne
different prcfque des Grecs qu’en ce qu'ils ne parlent poinjt
la langue grecque. Signification de ce mot. Ce nom donné
autrefois aux catholiques hérétiques. Dodrinc des niclchi-
tos du Levant. Livres eccléfiuliiques qu’ils ont traduits en
cet arabe. X. 312. b.
M E L CH T A L , { Arnold d e) un des principaux auteurs de
la liberté helvétique. XVII, 380. a.
M E LD I , {Géogr.) peuples du diocefe de Meaux. I")!-
verfes iiiAruélions que nous tirons des auteurs anciens fur
ces peuples 6c le pays qu’ils occupolent. Bâtimens fabriqués
à Mciiux pour le rranfport des troupes de Céfar. Suppl. III.
892, a. Eoyci M e l t ia s u s P à g u s .
MÉLÉAGRE , auteur dc l’anthologie. L 497. a. V IL
414. b.
MÉLECE ou Mélccey,{ Géogr. ) faute à corriger dans
ccr article de l’Encyclopédie. Suppl. 111. 892. a.
M É L ÉD A , {Géogr.) iAe de D.ilmatic. Etat auquel elle
a])partiem. Ses produdions. Evénement arrivé à S. Paul
dans cette iAe, félon quelques critiques. X. 313. a.
M tX E K , {Géogr.) ville d’Allemagne. Abbaye :i laquelle
clic appartient. Obfervations fur cette abbaye. Mort tragique
de Colmann , prince du fang des rois d’Ecoffe , enlc-
veli flans l’églife de cette abbaye. Situation dc Melek. X.3 i2,/a
MÉLÉLÉVIS , nom donné aux dervis. IV. 870. b.
MÉLEN , e(j)ece de plante. Suppl. I. 786. a , b.
MÊLÉS , ( Géogr. anc. ) rivicrc d’Afie. Grotte dans Liqucllc
on a cru qii’Homere compofa fon Iliade. X, 313. <7.
Mêlés , ce fleuve paffe à Smyrnc. XV'. 244. b.
MÉLESE, { Rot.]/i. ) caraélcres de ce genre de plante.
Lieux où cet arbre fc trouve le plus communémeiu. Sadef-
cription. X. 313. a. Situations 6c terreins qui lui conviennent.
Manière de imiitiplicr Sc dc cultiver ect arbre. Ibid,
b. Différentes qualités 5c iifages dc fon bois. Trois pio-
dudions du mélefe qui le rendent renommé , la manne ,
la réfine 8c l’agaric. Obfervations fur ces trois fubAances.
Ibid. 314. a. Differentes cfi)cces de mélefe : le mélefe à
fruit blanc , le mélefe du Canada ou le mélefe noir , 5c le
méliffc d’Archangcl. Ibid. b.
Mélefe. Noins dc cette plante en différentes langues. Son
caradcrc générique. Suppl. 111. 892. a. Ses efpeccs au nombre
de cinq. Lieux oii elles croiffent. Leur defeription , culture ,
qualités 8c ufages. Ibid. b. Se juiv.
Mélejé , 011'a cm fon bois incombuAiblc. IX. 293. a.
Manne tirée de cet arbre. X. 44- <2. Comment on en tire la
térébenthine. X V I . 148. .7.
MÉLE.SE , {M.ir. médic.) fubAances qu’il fournit pour la
médecine. X. 514. b.
MELF.T ou Saucles, ( Ichthyol. ) defeription de ce poiffon.
Qualité de fa chair. X. 3 14. b.
M É L É TÉ T IQ U E , ( Muftq. b^r. des anc. ) c’ctoit la même
flûte que celle qu’on .appelloit vajca,phonaJca, tonorion. Suppl.
III- 893. a.
.MELIANTHE , ( Boi.m. exot. ) caradercs dc ce genre de
plante. Ses efpeccs. Sa defeription. X. 314. b. Lieux d’où le
mélinnthe eA originaire. Origine de fon nom. Cette plante
cultivée en Eufope./ifù. 3 1 3,0.
MÉLIAPOUR ou Méliapor , ( Géogr. ) ville de l’Iiide.
Obfervations fur cette ville 8c fur celle de S. Thomé qui cA
dans fon voifinage. X .3 i3 .d .
M É L IC A , {Hiß. nat. Bot.) cfpccc de millet. Sa deferip.
tion. Lieux où il fc plait. En quels pays on le cultive. A.
313. a. Ses divers ufages. Ibid. b.
M É L IC E R T E , {M yth.) fils d’Athamas toi dc Theb es,
5c tl'Ino. Ses aventures. Suppl. III. 893. æ.
Méitcenc. Les jeux iAhiniques iiiAitués en fon honneur.
VIII. 930. b. Symbole de Mcliccrtc. XV . 750. a. Foye^
Palém on.
MELIER , forte de raifin. XIII. 768. b.
MÉL IKTU-ZIZIAR ou prince des m.ircb.mds , {Hif.mod.
6- Comm. ) officier eu Perfe. Ses fondions. X. 31 3. />.
M E L IL O T , {Botan.) caradercs de ce genre de plante.
Ses différences efpeces. Defeription du niélilot commun à
fleurs jaunes, qu’on appelle vulgairement m/r/îrot. X. 313.
b. Lieux où il croit. Ses ufages. Ibid. 316. a.
M d ilo i, cfpcce de ce genre nommée lotier-odor.int. IX.
^M élilot ou Mirlilo! , {Plurm. Mat. médic.) laveincns,
fomentations , cataplafmcs faits avec les fommités fleuries dc
niélilot. Ufage des fleurs de mélilot pour les ophthalmics,
Ufage intérieur du mélilot. Eau diflillée de cette plante.
Compofnion de l’emplâtre de mélilot. X. 316. a.
MELINE, ( Hiß. anc. des fojjilcs ) deferiptions que les anciens
ont faites de la inéline. X . 316. <7.
i^IÉLINUM ,{H iß . nat. Peint. ) terre blanche dont les pcia