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Mihhir- DitYérence de iVifon entre la côte de Malabar
8c celle de Coromandel. V i l. 522. ù. 625. b. XVII. 727.
a. Pluie qui tombe anmiellemcm dans ce pays. Suppl, ly -
418. b. OWervations fur les liabitans du Malabar. V l l l .
•J4<r, b. Maladie cndéiniciiic de ces contrées , nominee pi-
t.70. Suppl, i. 792. Calles ou tribus des Indiens de cotte
côte. XI. 7. X \ ll- 761. J. Naires ou nobles du Malabar.
XI. i6 " . U. Droit des femmes de ces nobles. 106. b.
O rcuell de la iiaillance chez, les nobles. XL S. u , b. ClalTc
dcs^milirairos. IbiJ. Obfervations fur deux dalles dliommcs
trè'-tnénrifés dans ce pays. X llI . 203- 1 remier
ordre du cleraé chez les Malabarcs. X L i i . .1. Preires du
fécond ordre.'XV. 14Ö. b. Arbres que les gentils du Malabar
adorent. Suppl. I. 544- 770. b. Canots dont les habitans
font ufage. 770. b. Ufages qu’ils tirent d’une efpece
de palmier appelle coJd.ipuna. Suppl. IL 486. b. Vente qu ils
font de leurs enfaiis d.tns les teins de dilette. Suppl. IV .
(St'’ .-J b. Les Malabares font déflorer les femmes par les
ccrâiigcrs. IV. 750. u. La polyandrie établie chez eux. XII.
931;, 7’. Papier fur lequel on écrit dans le Malabar. XI. 84Ô.
b. Caraéleres malabares , vol. II des planclics, Caraéleres,
planche 20. Chrétiens du Malabar. X V I . 281. é.
M A L A B A R E S , philojophi^ des , ( H ijl de b philofoph. )
c’ell des miflionnaires que nous tenons le peu de lumières
que nous avons fur objet. I.X. 1^21. b. Lcs^ peuples du Malabar
dilliibués en tribus ou familles , & ces tribus en
aur.rnt de fea-es , dont on dÜlingue quatre principales ,
p:irini lefqudles celle dos bramines cil la plus confidera-
b!e. Car.iéleres du vrai fage , l'cloii ces bramines. Vêtement
de ceux de cette fcéle. Leur maniéré de vivre, ils paroil-
fent avoir une même origine avec les Thérapeutes d Egypte.
Ibid. 922, J. Livre du Vedu qu'il efl permis à eux feuls de
lire. Traités contenus dans le \'cda. Privileges des bramines.
11 y a encore dans le Malabar deux cfpeces d'hommes
qu'on peut ranger parmi les philofophes , favoir les
iogigiieles ôc les ('.uàniguclcs. Quiétifme ablurdc des pre-
iniei^. bagelLe des‘'feconcls. La phllofophie ties bramines di-
a-cii‘.fice à l'infini. Ibid. b. Poëme publié dans le Malabar
en f iv .u r de l’.tthéifme. L’Impiété de l'athélfme caufée par
h fuperilition. Notions de médecine, d’aflrologie 6c de ma-
thém.nitiues parmi les bramines. Théologie des peuples du
Mabibar. Ibid. 923. Leur phylique. Leur morale. îbtd.
924. il . b.
M.-ILAB.4T I IR UM , ( Botan. exot. ) oit feuille indienne.
Sa defeription. Il ell dilhcil-i de décider il notre feuille in dienne
cil la même que celle des anciens. Pourquoi cette
fcmlle cft appellee fyrienne. Arbre qui porte le malaba-
thrum. Scs noms botaniques 6c fa dclcripcion. Lieux ou il
croi- 1X . 9--3.U. /bye^ T.aM.i l .^P.^TRA.
N IA L A C A , (Geügr.) au'jourd’luii M.d.ip. Célèbre botanilLe
arabe, né dans cette vdle. HL 835. L
M A L A C A S S A , {M n c r .il) détails fur cette cfpcce d'or
qui fe trouve dans l'.lie de Madagafcar. IX. 925. b.
M-5>L.ACC.A, ( G % r . ) royaume de ce nom dans les Indes
o ’ ieniales. M .ib.'c.i, capitale de ce royaume. Scs habitans.
Nature du climat. Diverfes autres obfervations lur cette ville,
^^ÔU^LACCA , pbiufule de, ( Gbgr. ) fa longueur. Royaume
quelle renferme. Defeription des habitans. Detroit de Malacca.
IX. 926.12.
M.ilaccu. Obfervations fur les Itabiians de cette prcl-
qu'ifle. V m . 343. b. Qualité du climat. XVII. 727. u.
M a l a y s . , ^ ^ , ,, ,
M A LA CH B E LU S , {Mythol.) faiiiTe divmite des Palmy-
réniens. Inferipcion urée d’un monument tranfporté de Pal-
mvre à Rome , par lequel on voit qu’Aglibelus 8c Malach-
Lc'lus étoient les dieux d c 'c e pays. Ce que repréfeme le
bas-relief fur ce monument. IX. 926. lî. Q uelles font ces di vinités
nommées Aglibclus Si Muîachbelus. Ibid. b. Origine
du nom A'E/iog.U'jle, donné à l’ompcreur Marc-Aurele Antonius
Varius. Diverfes obfervations fur le dieu Bahul ,
dont les noms Àgiibclus Sc M M M elu s paroilTent formés.
Ibid. 927. a. Les prêtres de Balul confondus par Elle. L’idole
de Bahal détruite par Joas. Ibid. b. Le nom de Ba/ial
fe remarque dans les noms des princes Carthaginois. Pourquoi
il elf fouvent parlé dans l’écriture de Bahal au pluriel.
Très-louvent les 70 interprètes défigneiu ce dieu comme
une déelïc. Les oaiens croyoient honorer leurs dieux en
leur attribuant lès deux fexes. Ibid. 928. <j. Obfervations
qui démontrent que Malachbelus efi Icfoleil. Le foleil adoré
fous le nom d'H ercule par les Tyriens. Ibid. b. Temple du
foleil à Palmyre. Auteurs qui en ont donné la defeription.
Ibid. 929. a.
M A L A C IE , {Médcc.) appétit déprave. Etymologie du
mot. Quelques auteurs confondent cette maladie avec une
autre appellée ple.7. Caufe de la malade. Quelles font les
perfonucs qui en font le plus ordinairement attaquées. IX.
.929. Sur le traitement, E nvie & G rossesse.
M.7lucie, Obfervations fur cette maladie. X il. 546.13. b.
M A LA CH ITE ou Mohehite , ( Minéralog. ) fubflance minérale.
Nature de cette fubflance. Sentiinens de P line, de
Wailcrius, de M. P o t t , de Boeiius de Boot , & de M. de
JufH fur la malachite. Il s’en trouve dans beaucoup de
mines de cuivre. De fon ufage en médecine. IX. 929. b.
M.AL ACU B I, ( Uifl. nai. ) efpece de terre dans le voifi-
nage d’Agrigeme en Sicile. Phénomsncs qu’oii y obferve.
IX. 929. b.
M.ALADE. Alimens les plus convenables à un malade. I.
166. b. V . 198. .1. Préparation de farine d’orge pour nourrir
les malades. Suppl. IH. 7. u. Leurs bizarreries. Suppl. T.
905. J , i>. H faut avoir égard aux fantaifies des malades
pour certains alimens. VL 738. n. Faux malades qui cherchent
à tromper. V l l l . 601. a. Les malades l'ont moins mal
le matin que le foir. X. 196. b. D e l’ancienne couiume
d’expofer les malades fur les places publiques. 264 b. Efpece
de clercs qui fe dévouoient au fervice des malades.
XI. 883. U. Pefer les malades, couiume fiiperflitieiife autrefois
pratiquée en Angleterre. XII. 450. a. Soin c(u on doit
avoir de renouveller 6c rafraichir l’air de la chambre d’im
malade. XIII. 757. b. Conduite que les malades doivent tenir,
ou que l’on doit tenir à leur égard, tant par rapport
aux alimens Sc à la bollfon , que par rapport aux qualités
de l’air qui leur conviennent, 8c aux différentes fmiations
dans Icfquclles. ils doivent fe tenir , relativement au repos
ou au mouvement du corps. XIV'. 14 .U , h. — 16. u .O b ligation
des médecins d’avenir les malades ou leurs parens,
lorfqu’ils font en danger de mort. Suppl. 111. 888. b.
M A LA D IE , ( Mèdec. ) en quoi confifle la vie 8c la fauté.
En quoi confille l’état de maladie, IX. 930. 0. Difterentes
définitions de la maladie données par les médecins. Ibid. b.
L'homme ne jouit jamais d’une famé parfaite, maisiln'eft
pas aulTi difpofé qu’on pourroit fe l’imaginer à ce qui peut
caufer des troubles dans l’économie animale. D ’où dépend
la connoilTance d’une maladie. Ibid. 931. u. Objet de la pathologie.
Ce qu’on entend dans les écoles par caufe de maladie.
Idée générale de toutes les diflérences caufes de maladie.
C e qu’on entend par fymptôme./iiif. Moyens pro-
poi'és pour établir une méthode qui indique U maniéré de
dillinguer les diftérens caraéleres des maladies, tant généraux
que particuliers. Obfervations fur trois différentes méthodes
, l’alphabétique , l’aiiiologique 8c l’anatomique. Q u a trième
méthode dclignée fous le nom d’ordre fymptomati-
q u e , à laquelle l’auteur donne la préférence. Maladies dif-
tinguées en internes ou médicinales , 6c externes ou cln-
rurgicales. Ibid. 932. a. La méthode fymptomatique comparée
à celle que fuivent les botanilles dans la dülributioa
des plantes. Des dllférences principales des maladies. Ces
différences font effemielles ou accidentelles. Les circoiiftan-
ces accidentelles réduites à huit fortes , par rapport au mouvement,
k la durée , Ibid. b. à l’intenfué, au caraftere , à
l’événement, au fuje t, Ibid. 933. a. à la caufe 8c au lieu.
Différences accidentelles tirées des différentes faifons , des
différens âges, Ibid. b. 8c de la dillintlion des maladies en
aélives Si en pafiives, établie par les flaclüiens. Analogie
entre les maladies 8c les plantes. Des différences elTentielles
entre les maladies : celles qui regardent les vices des foli-
d e s, celles qui affei^ent les fluides, Ibid. 934. u. 8c celles
qui attaquent en même tems les fluides 8c les folides. Eu
quoi confille la méthode fymptomatique. Dans cette méthode,
toutes les maladies font dillinguées en aigues,, en
chroniques, 8c en chirurgicales. Ces trois fortes de maladies
flillribuées en'd ix claffes, favo ir; i . les maladies febriles
fimples , Ibid. b. 2. les maladies febriles compofées ou
inflammatoires, 3. les maladies convulfives ou fpafniodi-
qties; Ibid. 935. a. les maladies paralytiques; 5. les maladies
dolorifiques ; 6. les maladies qui afteélenc l’efprit. Ibid,
b. les maladies évacuatoires ; 8. les maladies cadieéliques j
Ibid. 936. a. 9. les affeélions fuperffcielles , la premiere
des deux claffes des maladies chirurgicales ; 10. les maladies
dialytlques , fécondé claffe des chirurgicales. Ibid. b.
En fiiivant la méthode qui vient d’être indiquée , 011 peut
traiter Lhiftoire des maladies avec prefqti’autant de préci-
fion que la botanique. Quoique cette méthode ait été approuvée
par la plupart des grands maîtres de lare , e ilen a
été encore qu’ébauchée par un fetil, par M. de Sauvages,
profeffeur de Montpellier. Ouvrage de cet auteur qu’il importe
dcconfulcer, 6c où l’on trouvera des détails qui n’ont
pu entrer dans cet article de l’Encyclopédie. Ibid. 937. a.
Nombre des efpeces des maladies , caraélérifées par des
figues qui paroiffenc coiiftamment , toutes les fois que la
meme caufe eff fubfiftante dans les mêmes circonftanccs.
Quoique le caraflere connu de chaque efpece de maladie
ne puiffe changer effenticllement , ü arrive quelquefois
qu’il change par fubftitmion ou par addition , ce qui eff
félon les Grecs , par méiaptofe 8c par épigenefe. Ibid. b.
Traités à confulter./éit/.938. J.
Maladie. Il y a , à-peu-près, toujours la même fomme
de maladies. IX, 394. a. Des précautions à employer lorfmfon
en eff menacé. VHI. 387. u. XIV. 13, A Des cet'^cs
X 193- -.b. Caufe interne mimediarc de
! ' nvilaciie 1 99- Enumération de différentes caiiies :
" '. .» . . v 'A t a . cIc l'rùr, I. » 5 ,. *. , 4.1.5 alimens,
U b. les alkalis; 275. .2. une cohelion trop forte ou
tro ) foible dans les fluides 8c dans les lolides , lil-
u n 'v ic e de conformation; 85S. u, i ’ la maiivaife lame des
parons, VIII. .56. 4. le froid , VU . 528. 4. la ol.alcnr
XIII. 87. a. lu dérangement de la lenfibihte. X V . 41.^6.
AT. a Sentiment des médecins chyniiflcs fur les cames
desmâladies. v m , 710. b. Ohferv.itionspatho^hjucs Jur les ma-
hdies. Leurs caraéleres. Suppl. 11. 229. a. Ce qu on entend par
rhilloire des maladies. V l l l . 230. .2 , b. Quelle doit être
la fùçon de procéder dans l’examen 6c la divifion des maladies
XL 232. U. Voyei particuliéremcut larncle O bserv
a t io n Pourquoi l’on fait toujours beaucoup d’attention
à l’état des premieres voies. V . 168. u. Pourquoi les anciens
examinoicnr l'état des hypocondres dans le cours des maladies
V l l l . 408. rt. Combien l'état de lair influe lur quelques
malades. 738. u. De rinffuencc des affres dans les maladies.
729. L — 758. b. Le tems du manu plus favorable
aux malades que les autres parties du jour. X. 196. b. Trois
tems dans les maladies : différences que ces trois tems apportent
dans le pouls. XUl. 231. a. Delcnption de l’état
fpafmodiqurc des organes afTeffés pendant le cours d’une
maladie. X V . 437. a. D u changement qui furvient dans les
maladies. X. 441. a , b, 8cc. D e leurs criles. IV . 471. />.
489. a. Comment le médecin juge du danger. IV. 6 z i.a .
III. 565. b. Sipnes d’une lieurcufe terminaifon. Ibid. a. D é clin
de la maladie. IV . 693. b. Détails lur les moyens de
juger de l’événeinent d’une maladie à l’article Pr o g n o s t ic .
Détails fur le traitement des maiadic-s à 1 article T r a i tement.
Diftinllior. générale des maladies en nerveufes 6c
humorales. XV. 436. b. Maladies avives 6c paffivcs. Suppl.
11. 229, a. Maladies qui produifent dans lliomnie vivant
un très-grand degré d’àcreté 8c d’alkalefcence. Suppl. IV.
724. b. Maladies des différens â g e s, L ’24.difl 170. â. de 1 enfance ,
'V. 657. b. de la jeimefle VÏÏI.' 54L de la vicillcffe.
X V l l . 258. b. Maladies aiguës, vpyr;c;e dernier mot. Maladies
chirurgicales , 111. 350. b. chroniques. 388. b. Des
différens climars, 536. a. compliquées, 765. â. compofées,
Suppl. IL 534. i. contagieufes , IV . n o . u , i . connées, VIII.
156. b. convulfives, X V . 438. a. deiucropathiques, XUL
C08. a. endémiques , V . 649. <2. épidémiques, 788. æ , i. XUL
87. b. Maladies de l’efprit. V . 401. b. celles qui viennent
ou qui font accompagnées de quelque agitation de 1 ame.
XII. 149. b. .Maladies héréditaires, VU l. 156. b. humorales
, voye^ ce mot ; idiopathiques, 496. b. 497. a. inflammatoires,
720. b , ô’c. intermittentes , ce mot. Maladies
légitimes. IX. 367. a. Maladies accompagnées de malignité,
946. b. Suppl. TI. 229. a. nerveufes, X L 105 ..z. protopathyques,
X UL 508. a. régulières 8c irrégulières. Suppl. IL 229. a.
Maladies des différentes faifons ; vo ye z les articles particuliers
de chaque faifon. Maladies fpafmodiques, X V , 438.
U. Iporadiques , 481. Z>. fubites, XL 33-2. b. fympathiques,
v o y e z ce mot. Des impollures en maladie. VU L 601. a.
Maladie des comices. Pourquoi ce nom a été donné à l’épi-
lepfie. IX. 938. a.
M.iLidie herculéenne. L'cpilepffe défignée encore par ce nom.
ÎX.938..2.
Maladie bongroife. Son figne caraflénffique. En quel
tems elle paroît. Elle eff contagieufe 8c frequente d.ans les
Ermées. Traité à confuker. Caufes de cette fievre. XL 938. a.
Grife qui en procure la guérifon. Méthode curative. Ibid- b-
Maladie imaginaire.' Réflexions fur cette maladie. IX.
938. b.
Maladie noire. Defeription tirée d’Hippocrate. IX. 938. b.
Quelles font les perfonnes que cette maladie attaque principalement.
D e fes caufes. Obfervations faites dans les cadavres
des perfonnes mortes de cette maladie. Ibid. 939- Erreurs
de quelques auteurs fur la maladie noire. Excrémens que rendent
les malades qui en font atteints. Prognoffic. Ibid. b. Des
remedes à adminillrer. Ibid. 940. a.
M.iladie du p a ys , voye^ Hem vÉ, NOSTALGIE 6 ’ N a t a l .
M a l a d IE.S du grain en herbe, ( Bot. Agric. ) M. Adanfon les
diffingiie en internes de huit efpeces, 6c en externes de quinze,
i" . Maladies dues à des caufes externes : la brCilure ou le
b lanc , Suppl. III. 835. b. la panachure 8c la jauniffe , le
givre , la rouille , le charbon , l’ergot ou le c lo u , l'éciole-
me iit, la mouffe , les yerfes 6ccadmns, la roulure, la diam-
pUire , la gelivurc , l’cxfoltation , les gales. 2“. Maladies dues
à des c.uims internes : la déCtiriatlon, Ibid. 836. a. la fullonu-
n ie , le dépôt, l’exoffofe , la pourriture, la carie ou moififfure ,
les chancres ou ulcérés coulans, mort fiibite. Caufes générales
des maladies des plantes. Ibid. b.
M aladies des plantes , ( Agric. Jardin.') voyr^j Plante &
'V ég é t au x . Maladies qui viennent de la lubffance altérée des
lobes de la graine. Suppl. IH. 299. a. Maladies des b lés, voyci
Blé.
MA LADRERIE. Peinture qu’en fait la célèbre Milton. IX,
940.U.
Maladrerie, voye? LÉPROSERIE. Chambre des maladreries.
i n , 53. i .
M.ALADRESSE , M.ühabilc.é : différence dans la fignifica-
tion do CCS mots. IX. 940. a.
M A L A G A , raifinsJ'ecs de, X IÎl. 771. a. Cette ville autrefois
nommée MaLica. Suppl. HL 835. b.
M A LAGM E , ( Phaim.ic. ) cft ordinairement fynonyme au
cataplafmc émollicnt.'Ingrédions dont il efl compofé. Malagme
de l’Arahe pour les tumeurs fciophuleufcs 8c pour les iiiber-
culcs. IX. 940. b.
M.ALAGÜ.S , ( Ornith.) defeription de cet oifeaii du cap
de Bonne-Efpéranee. IX. 940. b.
M A L A G U E E T E , ( Géogr. ) pays d’.i\fiiqne , en Ciiin.'e.
Defeription de ce pays 6c de les habitans. Ses produélions. IX.
940. b.
M A LAN D R E , {Maréch.) maladie du cheval, Suppl. IIL
412. a.
M A LAN D RIN , [^Hifl. mod. ) voleurs arabes 6c égyptiens
•du tems des cioll'adcs. Bi igands qiii firent beaucoup de dégâts
fous le roi Jean 6c fous Charles V . Détails fm ces derniers.
Comment la France en fnt délivrée. IX. 941. a,
M.vLANDRINS , ou 'fard-venus , {H iß . de France') X V .
9O4. h.
MALAR. M A T , ( Ichthyol. ) defeription de ce poiffbn. IX,
94t. a.
M A L A S , feuipteur ancien. X IV . 822. a.
M A L A V A L , {Francois') écrivain myffiqiie. VHI. 893. .2.
M A L A U R E , {.Marguerite ) prétendue hermaphrodite. VIH,
166. a.
M A L A Y 6- M.\l a y -le-Roi , ( Géogr. ) villages dti Seno-
nois. Suppl. III. 859. a , />.
M a l a y .s , ( Géogr. ) peuples d'Afie. Rois dont ils font leurs
mâts. Suppl. 1. 616. a. Plante qui les préferve des attaques
des crocodiles. 767. a. Efpece de tuyaux dans lefqiiels les
femmes vont chercher l’eau. 769. a. Comment ils fe procurent
de la gaieté, du courage , une certaine ivreffe , des
fonges agréables. 792. b. A quoi l’on difliiigue parmi eux les
femmes d’avec les filles. Suppl, il. 290. a, b. Fleurs dont les
femmes ornent leurs cheveux , 6c dont les Malays font deS
guirlandes dans les cérémonies nuptiales. 317. u. Huile dont ils
fe frottent le corps. Ibid. Voye^ M.a laCCa .
M A LBO R O U G , {Milord) voyei CHURCHILL.
M A L C O LM , roi d’Ecoffe. Ses guerres avec Edrcd , roi
d’Angleterre. Suppl. II. 773. b.
M a l co lm ; fes recherches fur l'harmonie des Grecs. VIII.
50. b.
M A L C O N T E N S , ( Hiß. m«d. ) faâion formée fous Charles
IX. IX. 941. b.
M ALD EN , {Géogr. ) ville d'Angleterre. L ’aureiir examine
fl Malden eff le Camulodunum des Trinobantes. Monumens
trouvés dans i’enclroit d’Angleterre appelle Stcrburg-Hill. IX.
941. b.
M.ALDI'\ E S , ( Géo/jr. ) iffes des Indes orientales. Leur
éicndiic. I.X. 941. b. Portugais qui les a découvertes. Divifion
qii’tn ont f.utc les Portugais. Leur nombre. Quelques-unes
l'ont iniutbitees. Leur climat ; leurs produélions. Religion des
MaUtivois. Leur gouvernement. Moyen qu’a un fclgneur mal-
divois difgracié , pour rentrer en grace. Ohl'ervacion hir les
mariages. De l’origine des Maldivois. Ibid. 942. a.
Maldives. Defeription de ces iffes. On croit qu’elles fai-
foient autrefois partie du continent de l'Inde. IV'. 1 13. i, XV'’.
900. a. Obfervations fur les Maldivois. VIH. 3,46. a. Pouvoir
temporel 8c (‘piricuel que les prêtres excrceiu dans cos iffes.
XI. 64. b. La nobleffe par les femmes reconnue 6c ét.iblie aux
Maldives. 181. Papier fur lequel les Maldivois écrivent.
846. b. Lieux confacrés au roi des vents dans les Maldives. IX.
154. ai
M A L E , Phyfiol. ) caraéleres q u i, dans les animaux,
dllllngueiic le mâle de la femelle. Suppl. III. i r . a. Vigueur
que la réforption de la fcmcnce donne aux mâles. Suppl. IV'’.
770. a.
Male , ( Jurifpr.) avantages des enfans mâles dofeendans
des mâles. V. 65 5. b.
MALEBRANCHIS.ME,(/Jt/?.rî'<; la philofoph.) Hiffolre du
P, Malebranchc , de fes opinions 8c de fes ouvrages. Dlfputcs
entre ce pUilofopho 6c Aniauld. IX. 942- b. Autres difputes
entre Regis 8c Malcbranche, Ibid. 943- Tourbillons de notre
pliilofophe. Appréciation de fes ouvrages. Ibid. b.
Malebranchifme. Son fyffême des caufes occafionnelles défendu
, II. 787. b. 788. a. attaqué. VHI. 729. a. Il étoit per-
fiiadé que nous n’avons point de demonffration de l’exiffence
des corps. IV. 262. a , b. Caufe de rélufflcitc , felon ce philo-
fophe. V . 444. b. Son mépris pour la poéfie. VIL 769. a. Service
qu’il a rendu à la phllofophie de Defeartes. Son talent
particulier dans l’art du raifonnemenr. Vrai moyen de réfuter
fes erreurs. IX. 639. a. Doélrine de Malebranche fur la lu-
micre 6c les couleurs. 718. <2, b. Comment il a développé 6c