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P hOENIX, ( Art numifm.) mcdaiUiis où I’on volt la reprt;-
fentation de cet oifeau. XIV'. 230. l>. X V . 734. a.
Phoe n ix , (Botiin.) carafteies de ce genre de plaine. XU.
^^^PHÉNOMENE, {Phyfiq.) étymologie de ce mot. Caufe
générale de tout phénomène (elon les Newtoniens. XII. 300. a.
PHENOMENE, {Phyfiq.) Les philotbphes appellent de ce
nom tout ce que nous découvrons dans les corps à l’aide des
feus. Plus une hypothefe explique de phénomènes, plus fa
probabilité augmente. Regies qu’a données Newton pour l’explication
des phénomènes de la nature. Premiere regie. On ne
doit admenre pour véritables caufes des phénomènes de la •
nature, que celles que l’on connoîc pour être véritables,
dont la vérité eft démontrée par des expériences, par des
obfervations plufieurs fois réitérées, & de différentes manières,
& qui fufttfcnt pour rendre raifon des phénomènes que
l ’on doit expliquer. Caraéleres auxquels on reconnoit qu’une
caufe eft véritable.Su/’pA IV . 319. b. Etat de doutedanslequel
on doit demeurer, lorfque la nature dérobe à nos recherches les
caufes des efléts quelle nous permet de confidérer. Ibid.
320 a. Danger des hypothefes. Les obfervations & expé-
nences regardées comme les feuls fondemens do la phyfi-
que. Caufes des difficultés infurmomables qui nous anèteiit
à chaque inftant dans la recherche des caufes des diiferens
phénomènes de la nature. Ibid. b. Seconde regie. Les phéno-
ntanes ou les effets de la nature qui font du même genre ,
reconnoiflent les mêmes caufes. Cependant quand les effets
font compofés, ces caufes peuvent être differentes, & on
peut parvenir à les découvrir par une obfervation attentive.
Jroijicme regU. Les qualités des corps qui ne fouffrerit ni
du plus ni du moins, & qui conviennent à tous les corps,
que nous pouvons foumettre à l’expérience , doivent être
regardées comme des qualités générales des corps. Application
de cette regie à l’étendue, ibid. 321. j . & à la gravitation
des corps. Des propriétés qui s’anoiblilTent 8c diminuent
avec le tems. Quatrième regie. Los propofitions que l on déduit
des phénomènes que l’on obferve dans la philofophie expérimentale
, peuvent être regardées comme abl'olumcm vraies,
ou an moins comme approchant très-fort de la vérité , nonob-
liant les opinions c-otitraires qui paroiffent les détruire , juf-
qu’.à ce qu’on ait découvert de nouveaux phénomènes qui
concourent à les établir pins folidement, ou qui indiquent
les exceptions qu’il y faut faire. — Ufage de la méthode analytique
dans la recherche des caufes des phénomènes naturels,
//vi. b. En quels cas la méthode fynthétique doit être
employée. Des raifonnemens par analogie : de leur ufage en
phyfique, ibid:t,z^. a. 8c de la prudence avec laquelle on doit
les employer. Ibid. b.
Phénomènes quo le phyficien doit fur-tout s’appliquer à
connoître. VI. 301. a. KDyrj; Ph y sic ien , Ph y s ic o -M a t h é matiques
, & P h y siq u e .
PHLRECIDE, obfervations fur les ouvrages 8c la philofophie
de Plierccide de Scyros. X llI . 614. b. X IV . 847. a.
Il fut le premier qui foutint l'éternité des âmes. I. 329. b.
338. b.
PHI ou ç , ( Lang, grecq. ) obfervations fur cette lettre. VI.
341. a.
PH IA L E ,( ij/tc.) fignification propre de ce mot. Ce
nom donné à différens lieux ; 1". à une fontaine d’où le Jourdain
prend fa fourcc. Defeription qu’en donne Jofephe.
Comment on découvrit que ce lac fonrniffoit fes eaux au
Jourdain; XII, >^oo.b. 2“. à un lieu d’Egypte fur le Nil;
3°. à un lieu de la ville d’Alexandrie; 4'’. à la fource du
N il; 30. à une ville d’Arcadie. 7é;ù. 301. u.
PH1D1.\S , ouvrages de ce fcnlpteur. X IV. 823. f». 824. a.
PHID IT IES, ( Antiq. grecq. & de Lacedim. ) repas publics
inftitucs par Lycurgue, kéglemens de ce lègillateur fur ccc
objet. Defeription de ces repas. Comment on procédoit à
l ’éleélion de celui qui vouloit erre reçu à une table. XII.
301. a. Il n’étoit pas permis de fc f.tire éclairer pour retourner
chez foi en fortant du repas. Effet de cette infliiution par
rapport aux moeurs. Comment Lycurgue fc vengea du mauvais
traitement qu’il reçut d’un jeune homme. Les repas
publics fort en ufage parmi les philofophes de la Grece. D e feription
de ces repas. Obfervations fur les agapes des premiers
chrétiens. O uvrage à confulier fur les phtdities. Ibid. b.
PH ID O LA S, fa cavale obtient la viéloire. Suppl. II,
’ ’ Ù iÎ g a l e , (Gèogr.) culte qu’on rendoit à Ccrès dans
cette ville. IL 839. b. X IV . 823. a.
PHILACTERES des Juifs. Voyei Phyla ctères.
PHILADELPHIE, ( Géogr. one. & mod. ) ville de l’Afie
mineure. Origine de Ion nom, Cette ville célébré par fes
jeux publics. Ses noms modernes. Comment les Turcs s’er
emparerent. Eglifes 8c population de Philadelphie. Autres v illes
anciennes de ce nom. XII. 302. a.
Philadelphie, ce nom donné à une ville anciennement appel-
lée Rabbath des Ammonites. Suppl. IV. 563. a.
Ph ilad el phie , {Géogr.) ville de l’Amérique. Son état
P H I
florllTant. Defeription de cette ville. XII. 302. a. Avantages
de fa pofitioii. Ibid. b.
P h il a d e l p h ie , ( Géogr.) progrésde cette ville. L’amour fraternel
eft fon unique loi fondamentale. Efpeces d'hommes qui
en font exclus. Obfervations fur les Trembleurs & les
Q uak ers , premiers habltans de cette v ille , 8c fur Guillaume
Pent! qui en fut le fondateur. OEuvres de M. Franklin, dont
clic eu la patrie. Suppl. IV . 322. b.
Philadelphie, fondation de cett« ville. XlII. 649. b.
P h ila d e lph ies , {Liciér.& an nitmifim.) ]cux inllitués à
Sardes pour célébrer runion de Caracalhi 8c de Gcta. Ces
jeux nommés pythiens fur une médaille de Pcrlnthe. Ils furent
célébrés en même tems que les jeux auguftaux. Obfervations
fur les médailles qui en ont confacréla mémoire. Geta poignardé
par fon frère. Caraélere de Caracalla. Sa mort 6c fon
apothéofe. XII. 302. b.
P h il a d e l p h ie , pierres de {Hifi. nai.) obfervations fur
la pierre dont les murs de Plùladelphie en Afie ont été bâtis.
XII. 303. a.
PHILAGIENS, {Géogr.) culte qu’ils rendoient à Cérès.
Suppl. II. 291. b.
PH IL A L l, {Antiq. grecq.) nom que les Grecs modernes
donnent à la priibn publique de Miftira, la même oit Agis
finit fes jours. Auteurs qui en ont parlé. Lieu où elle eü fuuée.
Comment Ulyffe rendit ce lieu célébré. XII. 303. a.
PHILANDRE. O po ssum , {Zoolog.) animal d’A mérique.
Sa defeription. XII. 503. a. Particularités fur la
femelle. Defeription de la poche finguliere dans laquelle
l’opofTum renferme fes petits. Mauvaife odeur de cet animal.
Ibid. b. Ouvrage à confulter. Il y a plufieurs efpeces de
philandres que l’on a réunies fous un même genre. Leurs
caraéleres communs. Enumération de ces efpeces. Leur defeription.
Ibid. 304. a.
PHILANDRIER, ( Guillaume ) architefte. Suppl. IL 374. b.
PHILANTRO PIE, ( AJor^/r) defeription de cctie vertu.
Deux maniérés de s’attacher aux hommes, l’ime par fes vertus,
l’autre par la flatterie. Dans cette dernière pratique, ce
n’cft pas les hommes qu’on aime jC’cft foi-même. X ll. 504.0.
PHILELPHE, {François) littérateur du quinzième fiecle.
XVI. 389. é. 390. .r.
PHILEMON 8c Baucis, {Mythol.)v oyei Ba u CIS. Fable
fur ce fiijet par Luc Rotgans Hollaudois. Suppl. III. 442. b.
PHILF.NES, autel des {Géogr.) Suppl. 1. 510. b.
PHILL TÆRE, {Antiq. grecq.) fociété des phileteres à
Cyfique. Obfervations fur les monnoies des rois de Pergame
fur lefqiielies ou lit le nom de Plulcnere. XII. 304. b.
PH IL F T A S, poète & grammairien grec. V . 488. a.
PHILINUS de Cos, médecin. X. 289. b. Sa doéirine fur
h fnigncc. XIV. 301. b.
PHILIPPE,( AJéùn///.) les philippes d'or croient célébrés
dans l’antiquité. Poids de quelques-unes de cesmonnoies. XII.
304. b.
P h il ip p e ,yù;/î/- ( GJygr. ) fortereffe de l’ifleMinorque.XII.
504. b.
P h il ip p e ,( AJyn/z. ) monnoies d’or 8c d’argent de ce nom.
Valeur qu’avoieni en Allemagne les philippes d’Efpagne. XIL
504. b.
Ph il ip p e s , bataille de {Hiß. rom.) fuite de cette bataille
dans laquelle périrent Brutus oC Calhus. Deux batailles données
dans le même p a y s , fatales à la liberté des Romains.
XII. 303.^.
Ph il ip p e s , {Géogr. anc.) ville de la Macédoine ou de
Tlirace. Antres noms quelle avoir eus. Le titre de colonie
romaine donné à cette ville. Deux événemens qui l’ont rendue
célèbre. Service que rendit Brutus à D cjotarus,par lequel
on petit connoître le caraftere de ce romain, qui fe donna
la mort après la bataille de Philippes. XII. 303. u.
P h il ip p e , (5'./i/2/-) apôtre de J. C .S a vocation à l’apoflo-
lat. Ce que l’évangile l i o n s apprend de lui. Autres traits de
fa vie que les auteurs eccléfialliqiies nous ont fait connoître.
Suj^l. IV. 322, b.
P h il ip p e , {Saint-) apôtre. Ouvrage apocryplie qu’on
lui a attribué fous le nom d'évangile de S. Philippe. VI. 118. a.
P h il ip p e , ( A/i/Z./ùc/-. ) l’un des fept diacres que les apôtres
choifirent après l’afcenfion de J. C,.. Principaux événemens
de fa vie contenus dans le livre des afles des apôtres.
Suppl. IV . 323. a.
Ph il ip p e , tetrarqne de l’Intrée, du tems de Jean-Bapiiflc.
VIII. 936. a.
P h il ip p e I I , {Hiß. anc.) fils d’Amyntas, roi de Macédoine.
Hiflüire de fa vie 8c de fon regne. Suppl. IV. 513. a.
CaraiSere de ce prince. Ibid. 323. b.
P h il ip p e I I , roi de Macédoine : Iiiftoire de fon regne.
VII. 914. a. Guerre qu'il fitaux Scythes. Suppl. I. 669. b.
Pourquoi il choiftc LarilTe pour demeure. IX. 294. b. Choix
qu’il fit d'Ariflote pour l’cdtication d’Alexandre. I. 653. b.
Lettre Îqu’ il lui écrivit à ce fujet. IX. 410. b. Siege de Métlionc iar Philippe. X. 462. b. Conduite de ce prince contre k s
’hocidiens, fur la fin de la guerre facrée. XII. 522- 1 , préfidence
P PI I
préfidence des jeux pythiques ufurpée par Philippe. XIIÎ.
632. a. Son portrait. XII. 283. b.
P h il ip p e V. roi de Macédoine, fils de Demérrius, 8c
fucceffeur d’Antigone. Hilloirc de fa vie 6c de fon regne.
Suppl- IV. 323. é.
Philippe F , roi de Macédoine , fon caraélere. Suppl. I.
140. b. 316. a. Il fait mourir Ai.m:s. 140. b. Sa tyrannie 8c
fes cruautés. 141. n.
Ph il ip p e , Marc Ju k , {Hifl. rom.) fucceffeur de l’empe-
rciir Gordien. Defeription de l’on regne. Suppl. IV . 326. b.
Ph il Ip p C t/« Souabe, {Hiß. ) quinzième roi ou
empereur de Germanie depuis Conrad I. Vingt 8c unième
empereur d’Occident depuis Charlemagne. Principaux évé-
neiiicns de fon regne. Suppl. IV. 326. b.
P h il ip p e l , ( Hiß. de France) i;ot de France. Précis de fon
ragne. Suppl. W . ’^i-j.b. X. 324./>.
Ph il ip p e ü /furnommé Augufle, roi de France. Pri;idp.nix
événemens do loti regne. Suppl. IV. 3 27. h.
Philippe //, dit Augiiße, lieu de fa naill’ancc, titres qui lui
furent donnes. VII. 739. b. Pairs du royaume qui un’ilicrcm
à fou facre. XI. 757. b. Sa défaite prés de Blois par les
Anglois. Suppl. III. 147.^. Lieu de lit fépiiltutc. X. 34. é.
P h il ip p e Ht, furiiommé le Hardi, roi de France, fils 6c
fitcceircur de S. Louis. Principaux événemens de fou regne.
Suppl. IV. 328. a. Foyctç XIL 396. a.
Ph il ip p e IV fumommé le Bel, lils 8c fticceffcitr du précédent.
Principaux événemens de fon regne. Suppl. iW. 3 28. Z-.
Philippe furnomme le B d , tablettes oit l’on voit fes
voyages d'été 8c d'hiver 8c Tetatdo fit dépenfe. X V . 807. b.
Il détruit l’ordre des templiers. X V I. 88. b. Interdit que le
pape lança fur le royaume pendant fon regne. Suppl. III.
627. a , b.
Ph il ip p e V , furnoimné le Long, frère 8c fucceffeur de
Louis X. Principaux événemens de fon regne. Suppl. IV.
3 29.
P h il ip p e V I , {de Valois) fucceffeur de Gharlcs-le-Bel.
Principaux événemens de fon regne, IV. 3 29. a, b. f'oye:^
XL 187. a.
P h il ip p e \ ,{H iß . d’Efip.) luruommh le Beau, ow k B e l,
roi d'Efpagne , fils de rciiipereiir Maximilien 1, & de Marie
de Bourgogne. Courte durée de fon regne. Suppl. IV . 3 30. j .
P h il ip p e II, fils de Ciiarles-Quiiu 8c d’ifaiaellc de Porui-
gal. Précis de fon regne. Suppl. IV. 330. a.
Philippe I I , idée de fon regne. V . 933. b. Ses affaires
avec Elifiibetîi, reine d’Angleterre. Suppl. IL 786. b. 788. a, b.
Flotte qu’il équipa pour la détrôner. VI, 879. b. Fiineffes
effets de fes perféciirions. XIL 423. b. 11 s’empare du Portug
al XIII. 158. a.
P h il ip p e I I I , fils Sc fucceffeur du précédent. Précis de fon
regne. Suppl. IV. 330. a.
Philipp eIIi, év.ii de l'Elpagne fous fon regne. V .9 3 3 . b.
Sa mauvaife politique dans l’e.v.pulllon des Maures. X. 714. b.
Anecdote fur ce prince. XIL 40. b.
Ph il ip p e IV , fils 8c fucce:ffcur du précédent. Précis de
fon regne. Suppl. IV. 330. b.
Philippe I V , malheurs de fon regne. V . 933./». XVT.427. é.
Anecdote fur ce jaiince. X I I .4.7. b. Cuiiimcnc on lui annonça
la perte du Portugal. XIII. 138.. a. X V I . 427. b.
Ph il ip p e V , cjuc d’Anjou, lecond fils de Louis, daupk'n
de France, fucceffeur de Cltarlcs IL Précis de fou règne. Suppl.
IV . 330. b.
Philippe, petit-fils de France, duc d'Orléans, régent du
royaume: fes foins pour réunir l’églilc diviféi;. XVU. 383. b.
384. a. Syfiéme de Law établi fous la rcgeaicc. V . 398. é.
XV, 7S1. rf, k.
Ph il ip p e , duc de Bourgogne, dit le H.irdi, \\. (\w nom:
obfci vations fur ce prince 8c fur fa femme. XII!. 8a. b.
P h il ip p e , duc de Boiiigogne, dit le Bon. XVI. 3S6. b.
P h il ip p e , médecin d’Alexandre le grand. Suppl. I. 267. a.
Ph il ip pe , loi de {Jurij'pr. row. ) IX. 667. é.
PHILIPPINE, {Géogr.) ville d e ,la Flandre hollandoife.
Ses révolutions. Suppl. IV. 330. b.
PHILIPPINES,/ « {Géogr.) fitiiatioii de cesiflesde
la merdes Indes. XIL 303. a. f*ar qui elles fiarent découvertes.
Origine de leur nom. Obfervations fur trois fortes de
peuples que les Efpagnoliy trouvèrent. Pays qu.c ces derniers
y püffedent. Qualité du climat,8c du terroir. 'Volcans qu’on
y trouve. Ibid. b. Animaux communs dans ces Hles. Marclian-
dtfes qii’on en cire. Principales ifles P h i l i p p in e r s . 306.
Philippines, habitans de ces ifles, objets de leur fuperffi-
tion 8c de leur culte. X V I. 313. a. Peuples desPliilippines
nommés Zaïnbales. XVII . 690. a, b.
P h il ip p in e s , Us nouvelles {Géogr.) ifles de la mer des
Indes. Evénement qui les fit découvrir. Nombre de ces ifles.
Obfervations fur leurs habitans. X II. 306. a.
PHILIPPIQUES, {Lin ér.) éloge de ces harangues de
Démoflhene. L’oraübn fur l’Haloncfc mile par Denys d’Ha-
licarnaffe au nombre des philippiqiics, efl regardée ijénérale-
iiient^comme un ouvrage luppolé. Xil. 506. Alueiw auquel
P H I 433
on 1 attribue. XII. 306. a. Obfervations fur la tradnflion des
phiüppiques par M. deTourreil, 8cfnr celle qu’a donnée M. de
Maucroi.x.Oraifons de Cicéron aufli intitulées du nom de Philip-
piques. Ibui.b. Cas qu’en faifoit l’auteur-Ccs pièces coûtcrencla
vie à Cicéron. Libelle contre M. le duc d'Orléans , qui
parut fous le nom de Phillppiques , durant la minorité de
Louis X V . Auteur foupçonné de cet ouvrage. Vers de M. de
Voltaire fur ces philippiqiies. Ibid. 307. a.
P h il ip p iq u e ere, {Chronol.) V . 902. a.
PHILIPPISTES , {Hifl. eccL) Luthériens attachés à Philippe
Melanchton. Par qui ce nom leur fut donne. XII.
307. a-
_ PHILIPPOPOLIS , {Géogr. une.) ville de Thrace. Origine
de fon nom. Etat prélént de cette ville. X ll. ro?. a.
PHILISBOURG , {Géogr,) ville d’Allemagne. .Son origine.
Prince qui la polfedc'. Cette ville fonvent piife 8c re-
prife. XII. 307. b.
Philisbourg , circonvallation de cette ville en 1734. III.
4f>3. a. 466. a. Suppl. 11. 134, U.
PiriiLiSBOURG , (Gro,’ r.) Anecdote fur le P. Gaillard, au
fenuon duquel Louis XIV. affilloit iorfqn’il ap|)iit la reddition
de .cette place. Lettre que le duc de Montaufier écrivit
au Dauphin à cette occalion. Suppl. IV. 330. b.
PHILISTE , hifloricn de Syraciilc. X V . 770. b. 771. a.
PHILIST IN S, Us {Géogr. (lier.) Origine de ces peuples.
Quelle étoit , félon dom Calmée , fille de Caplitor d’où
iiÿ étüicnt venus. Expofition du fyflémc de cet ainciir (ùr
l'origine des Pliiliflins. Anciemieté de leur etabliffement dans
la Palefiinc. Révolutions qu'ils effuyerent. XII. 307. b.
Philiflins , l\;mapole des Pliiliflins. X!I. 513. Leur lii-
floire. Suppl. IL 196. , b. Malheurs qui leur aniverent à
Bcil’.dagon. Suppl. L 883. a. Satrapies de ces peuples. XIV.
692. a. Honneurs qu’ils rendoient à Bcelzebiit. I .ô8 f.
Idole qu’ils adoroiciu fous le nom de Dagon. IV. 6 1 1.
PHILLYREA , {Dot.) Efpeces de ce genre. Defeription
de la plus commune. Lieux où elle croit, übl'crvations fur
fon ufage 8c fii culture. X(I. 308. a.
Pkillyrca , {Bot. Jardin.) Caraélere générique de cette
plaine. Enumeration de huit efpeces. Maniéré de lc.s cultiver.
Leurs iifagcs pour la décoration des bofqucts d’hiver.
Suppl. IV. 331. a.
PHILOCARES , peintre grec. XII. 263. a.
PHILODEMUS , auteur dont les ouvrages ont été trouvés
dans Hereulaiium. Suppl. III. 338. b.
PH ILO G ÉE , {Myihol.) fun des chevaux du foleil. Origine
de ce nom. Deflrription poétique du coucher du foleil.
XII. 308.
PH ILO LA U S , philofophe pythagoricien. XIII. 624. a.
PH ILO LO G IE , {Littér.) Etym. de ce mot. Définition.
XII. 508. b. .
Philologie, objets qn’enibraffent les études philologfqiics.
II. 764. h.
PHILO LO GUE , {Litter.) Premier favant qui porta ce
nom. Philologues fameux de lamiquité. Philologues mo-
denies les plus diflingué.s. XII. 308. b. \
PHILOMELE, {Alythol.) Peu d’uniformité entre lc.s mythologues
dans la manière dont ils ont parlé de la métainor-
phofe de Progné 8c de Philomele. Hifloire de ces deux
foeurs, telle quels débitent les poetes. XII. 308. b. Réflexion
fine 8c )udicieufc que la Fontaine prête à Philomele.
Ibid. 309. a.
PH ILO N , difciplc de Clitomaque, fondateur de I.1 quatrième
académie. 1. 31. a.
Philon , Juif: tems ovi il a vécu. IX.' 36. b. Son fc-nti-
menc fur l’enfer , V. 6(>6. a. fur la grace. IX. 46. a. Son
attachement aux allégories. 29./J Comment il parle de la ver-
fion des Septante. X V . 66. b. 68. a. Ce qu’il dit du verbe
de Dieu. XVII . 32. b. Obfei vations fur cet auteur. Suppl.
III. 192. a.
PHILONIUM , ( Mat. rnédic. anc. ) efpccc d’opiat. Ancienneté
de cette compofition. En quel tems vivoic le médecin
Piiilon , qui l’avoir inventée. Jugement de l’auteur
fur cette forte d’opiat. XII. 309. a.
PHiLOPARABOLOS , {Médec. anc.) En quoi confifloit
la méthode défignée par ce mot , 8t imaginée p.ir Afclé-
piade pour la cure de la plirénéfie. XII. 309. a.
PHILOPOEMEN , {Hiß. anc.) général de la ligue des
Achéens. Hiflüire de cet homme illuftre, auffi diflingué par
fil.philofophie que par fa valeur militaire. 6'«/'/’/. IV . 3 31. é.
Philopeenicn, général des Achéens. X. 301. b. 302. a. Suppl.
I. 140. b. 141. ,1. Son coup d’oeil admirable dans l’art militaire.
IV. 345. />. Son habileté dans la bataille de Mantinée.
VII. 990.'<1.
PHILOPONUS , ( Jean ) Ses erreurs fur la Trinité. X V I .
647. b. 664. a.
PHILOSOPHALE , pierre, ( Alckym. ). XIL 577. h. Voye^
A z o t h . Emblème du travail de la pierre philolbphale, voye^
la planche 18 de chymie. V o l U. tics planches.
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