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7 0 8 S T H Stérilhi. DiiVércnce ciui'c l'impnifl'.incc &. la ftcrllîté dii
i'Jiomme. VIU . 6-54. ■ !. Elle palToir niiciciincinciit pour une
forte (rinf.imie. 11. Soz. -J. L,i flciiüté ètoit en opprobre
c lic i les Juifs. V. 656. */. XI. 181. l>. Les fleurs lilanches,
caiife de flcrilité cliez les femmes. V î . 862. b. Comment
les femmes llérilcs omoîeiu les hennés de Priape. .VUI.
i6S.^.
STiiiilLiT^:, {A^fic. J.train.') dans la femence des végé-
tau.x , vey-'î Scmcncc, Fécondation. Caiife de la llcrilité des
terres qui ont ])orté plufiours récoltes fucceffives de même
'clpece. Suppl. 111. 490. a.
St£RIL1TÉ {^Bcllcs-leti.) de penfees dans un difeours. Suppl.
I. î î . b.
ÿT R ill.lN G , (^Monn.dc compte d AngUt.) étym. de cc
mot. X V . 513.^.
St e r l in g , (GJoçr. ) province d’Écoffe : fes bornes, fon
étendue, fes rivieres, ikc. Murailles des Romains entre certe
provinte iSc la Lothiane, ProduêHon du p.iys. Situation de
la v.Jle capitale. X V . 513, i. Cette ville étoit une des bornes
de l’empire romain dans la giande Bret.agne. Mine de
cuivre à deux milles au nord de Sterling. Anecdote fur Marie
Lainbnin, née dans ccitc ville. IbiJ. 314- a.
ST E R X O , [A/ijtom.) noms de quelques mufcles. 5/rr«j-
tnajloidicn. Sicir.o - ccjlaux. Sterno-hyoïdien. Sterno - thyroïde.
Sterno-lhyiO-pbiiiyii^ten. X V . 314. t.
S T E R N U M , {Anatom.) os de la poitrine. S.a defciiption.
Jeux de la nature obiervés tiaiis cet os. X V . 313.
Sternum. Deleription de ce: os. VIII. apo. i. Mufcle tvlan-
gulaiie du flenuim. XVI, 617. Trou du llcrnum par oii
paflcnt dans c;.rrains fiijets les vaifîcaux inaimiKiires internes.
XVII. 636. a. Cartilage .xiplioide du flernum.
IbiJ.
StLRyUM , fraïlure du , ( M.i'.td. chirwg. ) figncs de CCtte
frafliire. Rédufliondu lleruum. De la carie de cet os. XV.
31s. b.
STE R N U T A T IO N , ( Phyfiol. ) voye{ Eternument.
Explication des caidcs de l.i llernutatioii îk de la maniéré
dont elle le fait. X V. 313. b. Pourquoi Ton éternue en regardant
le foloil .M.atieres qui excitent réternuinent. D'où
viennent les matieves qui font rejettées en éternuant. Il/d.
316. rf. iMoycn d'arrêter la fternucation. En quoi elle dif-
fu'o de la toux. Les étcrmimens conficlérés comme pro-
gnoliics dans différentes maladies. Comment on fait celTer
les èternumens provoqués par des matières âcres & ca-
tlinrreufes. En quels cas on doit les exciter. En quels cas
ils peuvent produire de tàcheux effets. Rcmedes dans les
Renuitations violentes & répétées. Ibid. b. Utilité de Téier-
munent ordinaire. Ibid. 317. a.
STERNU T A TO IR E , ( précautions àobferver
dan.s Tadminifirarion de.s ffermitatoires confidérations qui indiquent
leur uTige. Tous les émétiques & les purgatifs forts,
font en même teins fiernutatoires & faiivans. X V . 31-’ . a. Re-
mecles tirés, la plupart, (ies végétaux , dont la vertu llerniita-
foire parole tlvolr quelque choie de rpéeiiaquc , ou du moins
dont la qualité émétique ou purgative n’eft point conftatée.
l^üiirans Hernutatoires, tirés de la chiffe des émétiques & des
'purgatifs forts. Compofitiori d’une poudre ffernutatoire , de la
phar.macopce de Paris, iéic/. b.
St;rniit.itoires. But de CCS remedes. II. 832. a. Pourquoi
leur mage fait couler la mucofitc des narines. X. 847. b.
Poudre ilcnnitatoire. XIII. 188. b. Pourquoi les plus forts
odorifér.ans font éternuer, XI. 337. b. H^rbe à étcnuicr.
\ III. 146. b. L’euphorbe, puliTanc fternutaioire. V I . 210.
b. Celui qu’on fait avec la poudre de gayac. VU . 331. b.
Scernurarolre de ffeurs de muguet. X. 832. b. Ptarmique ,
plante qui fait éternuer. XIII. 343. b. Foyi;^Er rh in .s.
S T É S Y CH O R E , pcëte grec. VIII. 209. a , b. 11 eft le
premier qui ait ccmpol'é des palinodies, XI. 785. b. & des épi-
thalames. V , 8t8. é.
ST É T iN , ( ) ville d’.A.llemagne. Etabliffemcm du
chrifÜaniime dans cette ville au treizième fiecle. Evcneinens
lemarquahles qui la concernent. ObTervations fur deux
Iiommes de lettres nommés Kirjlenius, Tun (Geoige'), né
à Steiin, l’antre ( .Michel), né en Moravie. X V . 31-’ . b.
STEUCH US , ( Ausufiir, ) théologien. VII. 978. b.
S T E V IN , ( i/'irton ) ir.arliématicieii de Bruges. Son fyf-
tême de fortification. '\U1. !r>3. , [>.
S T E nv'A R T , Great, { fd:j!. d'Anklet.) c’éfl-n-dire gowJ
jenéJi.tl, lequel feui pouvott prononcer l’arrêt de mort contre
impair aceufé de haute trahifon. Cette charge n’a plus
lien que par inicrim. Génêrofitc de la comtelVe de Nithifcl.-Ie
envers Ion mari ii la veille d'être exécuté à mort. XV.
5 .8 . . . .
S T E V A R T ÎA , ( Boiar. ) caraiSerc de ce genre de plamo.
'Suppl. Ivh 831. a. Defeription 5c culture de cct arbriiTcau.
Sb:d. b.
STHLiNTENS,yetrx , {Antitj. grecej.) leur infUîmlon. A u teurs
qui en ont parlé. Autel de Jupiter fihéiiien, auffi appel'é
la roche de Thejee. Il ne fâm: point confondre ces jeux avec
S T O les •fêtes de femmes d’Athencs nommée (Hiénics. X V 5 .s.
s n C O .M ANT IE , ( Lilt. ) étymologie du mo t, par lequel
on eiiteiul, l'art de deviner par le moyen des vers. Comment
s ’exécutoit cette divination. X V . 318. b.
S I 1ER , {Bahhajar Adam) anatomiHe. 5«pp/. I. 414. rf.
STIl-'EL , {Michel) auteuralgcbrille.I. 260. *j.
S T IGM A T E S , {InfcHol.) organes extérieurs de la ref-
piration de phifieurs inl'cfles. Defeription des lligmates des
clienilles. Expériences de MM. Malpiglû 5c de Réaumur fur la
rcfpiraiion de cos infeéles. X V . 3 i8 .é.
Siigriutes des clicnilles. III. 292. a.
St igm a t e s , ( Hiß. anc. ) caracleres dont on marquoit ordinairement
les ofclaves qui avoient été fugitifs. Quelques-uns
ont cru qu'on imprimoit aufli des carafferes fur les mains ,
les bras ou les épaules des foldats chez les Romains. XV.
319.
Stigm.4TES , ( Thcolog.) marques que les païens fe faifoient
enThonnour de quelque faudé divinité. Allufion à cette coutume
dans TApocalypfe &. dans Tépître aux Galates. Cette
coutume imitée par Ic.s clirétiens. X V . 319. u.
St igm a t e s , ( Thèolog. ) marques que Notre-Seigneur imprima
, félon les Francifeains, fur le corps do S. François
d’AlTife. Relation de cet événement par M. T.ibbé Fleury.
XV. 319../. Témoignages fur lelqucls la certitude de ce tnira-
do ell appuvée. Fête 5c confrérie iiiflituécs à cette occafion.
Ibid. b.
Sriiynates de S. François. X V . 79. a.
SYIL de grain , ( Peint. ) l'orte de pâte dont on fe fort en
peinture. Mauicre de la préparer. XV. 319. b. Ufuges qu'on
en tire en la mêlant à d'autres couleurs. IbiJ. 320. a.
S T IL E , {Botan.) diflércnce entre le ïlüe 6c le piAil ,
feion Bradley. X V . 320. .7.
St il e , {Cri/iq. f.icr.) inArument deffiné à former des lettres
lur une tablette enduite de cire. Ufages de ce mot dans
l’ancien ccAament. X V . 320. <r. St y l e .
St il e , {d u r .) defeription & iilage de cet iiiArument.XV.
320. ^7.
Stile . ( Gnomon. ) voyci G no.mon.
S T I L L T , force de poignard. Siilet des chirurgiens. X V .
3 20.Î-.
STILJCONIS vallum , ( Giogr. anc. ) X V I . 824. a.
S T IL L ^ A R D , Cümp.ignie de , { Hiß. du comm. anglais ) (oil
inAitution 5c fa durée. X V . 3 20. b.
S T iL O , (Gfogr. ) bourg d’Italie au royaume de Naples-
Oblcrvations lur la vie & les ouvrages de Thomas Campa-
nelia , né dans ce lieu. X V . 320. b.
STILPÜN , pbilofophe de Mégare. X . 304. ^7. 303.U , é.
S T IM U L A N T , {Médcc.) douleur Aimulante. Remedes
Aimulans. Leurs ufages. XV. 321. a.
S T lN K E R K E , (Afi'<Av ) forte de mmicboir ds cou. Evénement
qui donna lieu ii cet objet de mode. X V . 321. .7.
S T IO R O , ( Arpentage ) mefure de Florence. 5üppA I. <^66. b.
S T IP E N D IU M , paie des foldats romains. X. 312. b.
STÎPU L.AT iO N , {Jiirijpr.) étymologie du mot. Comment
fe formoit autrefois cette maniéré d’obligation. Diffé-r
rentes fortes de Aipulations chez les anciens, t ie qu’on entend
aujourd'hui fiipulation. Ouvrage à confulter. X V ,
321. b. V o y e z Accord, Contrat, Convention, Claufe , Obligation
, P .’Rc.
S T IQ Ü E , ( Criiiq.ßicr.) en latin Verfus. Ces deux mots
dans leur origine , figniffoiem fimplement /r/if ligne ou une ran-
g-A.Xy. 52i,é.
S T IP .l, ( Géogr.) montagne de la Turquie européenne. Mon.
îAere iur cette montagne. X V . 322. a.
ST L 'IÎE, ( Géogr. ) province d’Allemagne. Ses bornes.
Précis de fon liiAoire. Qualité & produétions du pays. XV-
322. .7.
St'irie. Ses peuples anciennement nommés Taurifei. X \ .
944. a.
S T iR IS , (Géogr. <7 77c. ) ville de la Phocide. Les Stirites fe
vantoient d'être Athéniens d’origine. Inconvénient de la
fmiation de leur ville par rapport à l’eau. Temple de Cérès à
.Stiris. X V . 322. a. Chemin de Stiris à Ambryiluni. Etat pré-
lent de Stiris. Ibid. b.
S T O B I , (Géogr. jno. ) ville de Macédoine. Diverfes ob-
fervatinns qui la concci nent. X V . 322./’.
S T O C A D E , cfpccc ancienne. Suppl. IL 814. b.
S T O C K H O LM , (Géogr.) ville Capirah; du royaume de
Suede. Sa Atuarion 5c fa defeription. X V . 322. b. MaiTacre
du fénat de Suede exécuté par les ordres de CiirlAicrn en
1320. Origine de Stockholm & du nom domic à cette
ville. Son commerce. Son gouvernement. Ibid. 323. a. Ca ractère
de ChriAine, reine de Suède. Principaux évenemens
de fa l 'ic. Ibid. b.
S TO E CH AD E S , ißes ,■ { Géogr. anc. ) au voifinage de
Marfcillc. Noms & dcîcnption de ces ifles au nombre de trois ,
que nous nommons auionrd’!-.ui/fSi)iCj.^é’/V;ovT. Noms modernes
de chacune d'elles. X^'. 324. a.
S TOE C H A S ,
S T O
STCECHAS, ( Botan. ) carafteres de ce genre de plante.
XV. 3 24. a. Ses efpeces. Defeription de la principale. Lieux où
elle croît. Sa culture. Huile eA'enrieUe qu’on tire de fes Ibinmi-
tés. Autre plante nommée dans les boutiques fioecàas citrin.
Ibid. b. Vo‘yeç_ LavandE.
StoeCHAS ou ßcechas arabique , ( Mat. médic. ) propriétés
médicinales de cette plante ; divers ufages qu’on en retire.
Defeription du fyrop de Aoechas , compofé d’après la pharmacopée
de Paris. Ses ufages. X V . 323. a.
Stcechas. Préparation du fyrop de ce nom. X V . y jq .a , b.
S TO ÏC IE N , Stoïque , {Synon. )dift'érences entre ces mots.
XV. 323. b.
STOÏCISME ou feEie Stoïcienne , ou Zénonifme , ( Hiß. delà
Phtlofoph.)\ï\^o\rcAÿ Zénon , fondateur de lalééte.XV. 3 23. é.
Réflexions fur la philofophie Aoïcieniie. Ibid. 326. a. Principes
généraux de cette philofophie. Logique des Aoïciens.
Ibtd. h. Leur phyfiologie. Ibid. 327. b. Leur doélrine anthropologique
ou fur l’homme. Ibid. 329. b. Leur philofophie
morale. Ibid. 330. a , b. Des difciples 5c des fuccelfeurs de
Zénon. Les principaux dont il eu parlé dans cet article ,
font Perfée, AriAon de Clno , EratoAhene de Cyrene , Ibid.
33 i.é. Hérille de Carthage, Sphoertis le boryAhéniie, Clêamlie,
Chryfippc de T a r fe , Ibid. 332. a. Diogene le baDylomen,
Panætius de Rhodes, 8c Pofidonlus d’Apamée. Des reAaura-
teiirs de la philofophie Aoïcienne parmi les modernes. Principaux
d’entr’eux 3 JuAe Lipfe , Ibid. b. Gafpard Scioppius 3
Daniel Heinfuis 5c Gataker. lbid.e,'i,\.b.
Stolcifme. Définition du Dieu des Aoïciens. VIII. 370. b.
Leur opinion Au la nature divine. 371. a. Comment ils
défiiùAbient la nature. X L 41. a. Les Aoïciens admettoiem
la providence : preuve qu’on en donne , tirée de deux paf-
fages de Seneque. X V . 463. a, b. DeAin des Aoïciens. IV.
89Ö. a , b. Leur doélrine du fataiifme. X llI . 278. b. Us fem-
blent avoir reconnu le verbe divin. X V 11. 32. b. Leur fen-
liment fur l’origine de l’ame , l. 329. a. 5c fur fa deAinée
à venir. 339. b. Leur fyAéme fur la liberté. IX. 462. b. Leur
morale. X. 7O0. b. Comment ils portoient l’homme au bien.
Suppl. I. 390. a. D e l'apatliie Aoïcienne. VIII. 576. a. 787.
b. Combien le Tage infenfible eA éloigné de la perfeélion du
vrai philofophe. XII. 310. é. Eloge du fage des Aoïciens
par Horace. X ll. 663. b. 666. a. Le chagrin condamné par
les Aoïciens. HL 4. b. Leur fentimeni fur le lïucide A V.
640. Leur doétrine fur l'hofjiitaUié. V l l l . 314. b. Leurs
vertus deAituées du fentimenc de l’immortaluè étaient in-
fenfées & ridicules. X IV . 496. b. a. Dialeélique des
Aoïciens! IV. 933. J Raifonnement par lequel ils préten-
doient prouver qu’il n’y a point de mots de^honnètes. X V I .
137. i . , Leur fyAême fur la vifion. XV II . 344. a. Progrès
du Aoïcifme à Rome , avantages qu’en retira l’empire. X lV .
335- . .
STOÏQUE,5rt)tc«7: , ( 5'y;ton. ) différences entre ces mots.
X V . 323.Z-.
STO LBE RG , ( Géogr.) petite ville d’Allemagne. Comté
demémenom. ObfeivationsfurLaurent Riiodoman, littérateur
, 8c Jean Scbneidcwin , jurifcoofulte, fiés dans le comté
d eSto lb e re .X V . 333.E
■ STO LE , ( Antiq. rom. ) robe des dames romaines. X V .
333. b. Origine de la Aole du grand-prêtre des Juifs. Ibid.
534. A.
Stole, tunique des Romains. VIII. 14. a.
S TO L IT E S , prêtres égyptiens. V . 437. b.
S T O L O N , voyez Licinius.
STOLPEN , (/c , {Ltilwl.) efpece de pierre de touche
ou de bafaltes qui fe trouve en Mifnie. Defeription de fa
mine. Nature de cette pierre. X V . 334. a.
Stolpen. Cette pierre comparée à celle du pavé des géans en
Irlande. XII. 193. b.
Stolpen , {Géogr.) ville 8c riviere de ce nom en Allemagne.
XV. 334-'*•
S TOM A CH IQ U E , {Thérapeut.) des remedes Aomachi-
ques. X V . 334. A. Maladies propres de l’eAomac , auxquelles
ces remedes font confacrés. But ou indication de
ces remedes. De leur adminiAration. Bifarrerie qu’on remarque
quelquefois dans les affeAions de l’eAoniac. Ibid. b.
Les Aomachiques diAingués en toniques 8c en relâchans ou ra-
fraîchiffans. Ibid. 3 3 3 • “î -
Stomachiques les plus propres à fuppléer au défaut de fa-
Hve. V I. 326- b. Teinture Aomachique. X V I . 3 3. a.
STO N EH EN G E , {A n tiq .) monument fingulier qui fe
voit dans les plaines de Salisbury , à environ deux lieues de
cette ville. Sa defeription. ConjeAures fur les ufages auxquels
cet édifice a pu fervir. X V . 3 3 3 • a.
Stonehenge. Ouvrage compofé au fujet de ce monument.
X V . 334- 1. ,
S TO N N E , ( Géogr.) diocefe de Reims ; ancien nom de ce
lieu. 5«pp/. IV . 826.^.
S T O N Y -S T R A T F O R D , ( Geùgr. ) bourg d’Angleterre,
dansBuckingliamshire. Etymologie de fon nom. Autres remarques
fur ce heu. X V . 53 5'^*
Tome II.
S T R 709
STO OR -JÜN KARE, ( Idolâtr. des happons ) dieu des Lap-
pons idolâtres. Culte qu'iis lui rendent. Figure de ce dieu
XV . 333.
S T ü R A X , Styrax , {Botan. ) caraAeres de ce genre de
plante. X V , 536.a.
St o r a x , ( Hiß. des drog. exot. ) deux fortes de Aorax ;
le liquide 8c le folide. 1°. Du ßorax liquide. On en trouve
deux efpeces chez les apoticaires, favoir le pur 8c le grof-
ficr. X V . 336. .;. Le commun des apoticaires lui donne le
nom deß.tae. Divers fentimens des autetirs l'ur fou origine.
Defeription qu’a donnée Jacques- Petiver , apoticaire anglois,
de la maniéré dont on recueille 8c prépare ce A ie , tiré
leion lu i, dim arbre appelle/•r>yA//7j//4ii, qui croît à Cobros,
ifle de la mer Rouge. Propriété de ce fuc. Prix d’tin tonneau
de Ayrax pefunt 400 liv. 2". Du ßorax folide. Deux
efpeces de refines de ce nom , favoir le Aorax calamite ,
ou en larmes, 8c le Aorax ordinaire, ou en maffe. Ibtd. b.
Origine de ces réfines. Pays d’où on les retire. Sciure de bois
appelle farvilles du ßorax. Defeription de l’arbre d’où découle
le Aorax. Ibid. 337. a. Propriétés 8c ufages de cette
réfine. Huile 5c teinture tirées du Aorax. Ibid. b.
STORP!, ( i'fm//-. ) ouvrage de ferrurerie. XV II . 827. a»
vol. IX des planches, Serrurier, planche 42.
STR ABISME, ( Chir.) direAion dépravée du globe de
l ’ceil, qui rend louche, qui fait regarder de travers , foit
en haut , foit en bas, foie fur les côtés. Caufe de cette
indifpofuion. Comment on doit la prévenir ou y remédier dans
les cnfâns. X V . 338. a.
STR AM O N IÙM , {Botan.) douze efpeces de ce genre
de plante. Defeription de celle qui eA à fleurs blanclies 5c
a truit rond épineux. Lieux où elle croit X V . 338. i. Ses
propriétés 5c ufages. Remede contre fes effets vénéneux
lorl'qu’on l’a prile intérieurement. Ibid. 339. a. Foye:^ PoM.ME
ÉPINEUSE.
Stramonium, efpece nomméeca/o dotiro. Suppl. II. 142. a , K
STR AN GHELS , cArAifFew, ,u l. I Id e s planches, Caractère
, planche 2.
S T R AN G U L A T IO N , voycç Pe n d u , Suspension.
S TR AN G Ü R IE , {Médec.) émiflion d’urine , fréquente ,
involontaire , goutte à goutte , accompagnée de douleurs.
Etymologie du mot. Caufe de cette maladie. En quoi elle diffère
de l’incontinence d’urine. Remedes qui lui font appropriés.
X V . 339. A.
Strangurie, ténefme de la veffie •. caufes 8c traitement de.
cette maladie. V . 836. b. X V II . 308. b.
STR ASBO UR G , ( Géogr. ) ville de France , capitale de
l’All'ace. Sa defeription. Sa population. Obfervatlons fur fon
églil'e cathédrale , fur fon évê ch é , 5c fou chapitre. X V .
339. b. Univerfité de cette ville. Confidérations fur Strasbourg
ancienne. Précis de fon hiAoire. Hommes de
dont elle eA la patrie. Jean Gafpard Eifenschinid ; Jacqites
Micylliis j Ibid. 340. A. Ulric Obreclu 3 Jean Scheffer./i/b. i».
Strasbourg. HiAoire de cette ville 8c des peuple-, de i'Al-
fac e, fous les Romains Sc fous les Francs , tirée de l’ouvrage
de M. le profeffeiiv Schoepflin, intitulé : -d//atiA illußrata.
Suppl. IV. 831. b.
Strasbourg. De l’évêque de cette ville. IV . 68. b. Pour
entrer dans la magiArature de Strasbourg , il falloir autrefois
être dans la roture. 9 3 1- î". Horloge de cette ville. VIII,
300. b. Sa cathédrale. Suppl. I. 339. b. Hauteur de fa fléché.
Suppl. IV. 317.
St r a s b o u r g , {Géogr.) petite ville d’Allemagne. X V ,
340. b.
S T R A T A , {H'iß.nat.) lits ou couches de différentes matières
dont le corps de la terre eA compofé. M. Derham a
cru quelles étoient arrangées felon l’ordre de leurs pefan-’
teurs ; mais le doAeur Leigh 8c M. Haiiksbée ont réfuté
ce fentiment par leurs obfervatlons. X V . 340. b. Ordre dans
lequel font difpofées les couches dans le pays de LancaAre,
Ibid. 341. A.
S T R A T A G ÈM E S , ( A n milit. ) voye^ Ruses. \
S TR A T E G E , ( Antiq. grecq. ^ MédaiLl. ) deux fignifica-
tions de ce m o t , l’une militaire 6c l’autre civile. On entendit
d’abord par ßratege , un général d’armée. On donna
enfiiite ce nom à des hommes qui exerçolent des charges
pmement civiles ou facrées. X V . 541. a. Enfin dans les Aecles
ftiivans , on défigna un général d’armée par les mots de
CTpaKpyos itri tSv àTtxw. Le mot de Aratege cA employé
dans les médailles grecques , pour défigner un magiilrat
dont la charge r.èpondoit à celle de préteur. Ibid. b.
S T R A T F O R D , ( Gco^. ) bourg d’Angleterre dans 'W ar-
vick-shire. Obfervatlons fur le célébré poète Guillaume
Sliakefpeare , né à Stratford en 1364 8c fur fes ouvrages. X V .
341. b. & fuiv.
STR A TH , {Géogr.) defeription de deux provinces, l’une
de l’Ecoffe méridionale, appellee Strathem, l’autre de i’Ecoffs
feptentrionale, connue fous le nom de Strath-Navem. Pro-
diiftions , rivieres , habitans de cette derniere province. A u tre
pays d’Ecoffe, appelle SttAtÂ-T/A.XV. 344.A.
R R R R r r r t
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