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tio:is pratiquées clans la nouvelle Aiiglctcri e. loi J. i>. Ses fiiccos
tlans la Caroline méridionale , &. en d'.uttres cnclroits d’Amérique.
Cette pratique pcrt'eélionnée enluice en Angleterre. Premiere
inoculation t'aiie dans l’Europe elirétlcnne-, liors des ifles
britanniques. ïnocuhtions de M. Tronchin faites dans Geneve.
Succès de cette inéiliode en Hollande, par les foins de M.
Sdiwenke. L'inoculation répandue en Alleinagne Si dans le
nc'vd. Exemple donné à la France par M. le duc d'Orléans.
Des premieres opérations en ce genre faites par des femmes
Grecques. 770. a. Comment la iiipciAition contribue
parmi les Grecs à rétablilTement de l’inoculation. Defeription
de la maniéré dont 011 la pratiqiioit. Do la méthode par incifioix
Son auteur. Cette méthode adoptée à Londres. Ses inconvé-
niens. ibUI. h. L'inoculation aux jambes, préférable à celle qu’on
fait aux bras. Comment elle doit être pratiquée à l’égat;^ des
adultes, 8: l’égard des cnfaiis. Canfe des premiers accidcns
de rinociilaiioii en Angleterre, Ih'ul. 7 7 1 . Réflexions fur les
obicélions des anri-inoculiflcs. Ih'iJ. b.
Ino cui-ATIOn , {M^J. % j / - ) H ell arrivé fur l’inocula-
lion ce qifon a toujours vu dans les découvertes utiles : les
doélcurs fe difputoiem , les intrigues, les cabales , la mauvailé
foi étoient tour-à-tour employées : les fages s’inflruilbient en
filence. Ün homme de génie a fiibfliiiié aux déclamations ])cu
Taifonnéos, la rigourenfe analyfe des faits. La méthode s’eft
perfeé'cioiinée , c i enfln l'on eft parvenu à moins redouter les
inconvéniens que l'inoculation préiêntoit au premier abord.
Piufleitrs accidcns ont été l'effet ou de la précipitation avec
laquelle on l'c décidoit, ou du peu d’expérience. Suppl. III.
602. h. On ne peut forcer un particniier à fubir l'inoculation
; il doit s’y réfoudre volontairement. Pourquoi s’étonner
qu’un pere & qu'tinc mere délibèrent fur celle de leur
enfant ? L'amour p.aterncl , de tous les fentlmcns le plus
piofond , ne fait point calculer. Ibid. 603. a. Mais comme
parmi les objets de femiment , il en ell beaucoup dont les
nuances le lient à l’opinion ou au préjugé , il e(l important
d’éclairer les hommes fur leurs vrais intérêts. Cette entreprife
ne doit être l’e ffet, ni de la force, ni du fimj)le rnifonnernent;
elle ne peut reuflir que par l’exemple & le courage. Difliculté
avec laqix'ltc de nouveau.x ulagcs de la plus grande utilité s'in-
troduifent en France. Reponfc à cette objeéfion, qu’en inoculant
la petite vérole à un entant lain , on peut aufli lui communiquer
les dilVèrens virus on les vices onginaires qu’ont ceux
fur lelquels on a pris la matière de rinoculafion. Ibid. b. Ré-
ponfe à cette quoflion , fi le peu de boutons qui fuivent quel-
quelois rinoculation , conflituent une vraie petite vérole , &
fi elle met à l’abri du retour. Ibid. 604. a. Réflexions fur ces
prétendues récidives de la petite vérole , tant naturelle qu’artificielle
, rapportées par les auteurs qui ont écrit contre l’inoculation.
Ibid. b. Quel peut avoir été le vrai motif de l’arrêt
q^ui défend au peuple d’ufer de la méthode de l’inoculation.
Examen de deux fortes de railons, les unes thcologiques , les
autres piiies dans la médecine même, qui portèrent l'autorité
à regarder l’inoculation comme pernieieufe. S'il off vrai que
l’inoculation admife dans une ville étend & multiplie la contagion
du virus variolique. Ibid. 6 0 5 . Epidémies de petite v é role
nanirclle, frequentes & meurtricres , qu'on ne fimroit
attribuer à l'inoculation, ( eue fùliitaii e méthode eft de toutes
les barrières, la plus puilliuue que l’on piiillé oppofer aux progrès
de la contagion nauirdle. Contradiftions manifelles dans
les principes Sc la conduite des médecins anti-inoculatcurs.
Ibid. b.
Inocul.ition. Obffacics qu’a cpioiivcs rétabliffemcm de cette
méthode : fes heuixitx effets. XIII. ço. b.
In o c u l a t io n , ( C/;<r. Aib/cc.) Extrait d'un ouvrage de
M. JDimsdale, où l’on iroiive c.xpofée la nouvelle méthode
d’inoculer, pratiquée en Angleterre , par iMM. Sutton. Suppl. 111. 606. U. Des fujets qu'on peut inoculer. D e la faifon la plus
propre à cette opération. En quoi confifte la préparation. Maniéré
de pratiquer l'infenion. Ibid. b. Du choix de la matière.
Defeription du cours ordinaire de la maladie , & du traitement
employé par M. Dimsdale. Ibid. 607. a. Symptômes irréguliers
qui peuvent furvenir. Coiuluite du médecin à cet égard.
Ibid. L Avantages de cette nouvelle méthode. Ibid. 608. a.
IN O F F lC Iü S n É , plahiie d ' , ( Droit rom. ) Effets de cette
plainte lorfqu’elle fe trouvoit fondée. V lII . 771. a. Tournure
que prenoient les enfans déshérités, pour adoucir ce que cette
plainte renfermoit d’injurieux à la mémoire du teflateiir. A u teurs
à confulter. Ib/d. 772. u.
Inofftciofité, pUinte d'. V o y ez fur ce fujet, XII. 686. b. X V I .
192. a. 193. .7.
IN O N D A T IO N , ( PhyJIq. ) Prefque tous les pays arrofés
par de grands fleuves font fujets à des inondations périodiques.
Inondarions du Nil, Ses einhouchures. Canaux que les anciens
oivoient faits pour la diüribution de fes eaux. Ses inondations
plus petite-, aiijourd’liiii qu’aurrefois. Quelle en peut être la
caufe. Inondations du Pégii. Avantages que les Indiens en retirent.
V 111. 772. û. Des inondations qui ne font pas foiimifes
à un retour périodique. Ibid. b.
Inondations caufées par i’affaiffement de quelques mon-
I N S I N S 43 'tagnes. IL 786. h. Couches de limon formées par les iiiond^“
tiens des fleuves. IX. ^ 44. b. Comment on fait écouler les eauît
ffagiurntcs après une inoiulat'ion. X. 66. a. Des montagnes formées
par des inondations, 674- a. Lieux à fee autrefois , &
inondés aujourd'hui par l'Océan. XI. 336. u , b. Nom que les
Indiens domient aux inondations qui arrivent chez eux dans un
certain tems de l’ aimée. X ll 2-27. Changcmeiis arrivés fur
la terre par les inondations. X\'I, 164, b. 170. b. Suppl. IV.
78. b. Momiinens de grande inondation qu’a fouft'erte l’Amérique.
Suppl. 1. 348. a. Pourquoi les inondations font anjoiir-
d’iiiii moins fréquentes & moins étendues que les tremble-
mens de terre. Suppl. IV . 79. a. Inondations de flible. X V .
370. b. XVI. 163. a. Couches que forme L tuf dans plulîenrs
endroits qui ont été inondés par les eaux. 737. b. yoyer DÉBORDEMENT.
IN OSARCIO N , ( Hiß. -nat. ) nom donné à une cfpcce
d’émeraude par les anciens naturaliües. Sa defeription. VIII.
772. b.
IN P A C E , ( Hiß. ccd. ) prifon oii l’on enferme les moines
qui ont commis quelque grande faute. Diverlés autres acceptions
de ces mots. V l l l . 772. b.
IN Q U A N T , cndicre, (ju rifp r.) Origine de cette expref-
fion. V l l l . 772. b.
înquant. Criées ajTpellées de ce nom. IV . 464. </.
IN Q U A R T , ( Docimaf. ) départ par la voie humide , où
l’or cil à la opiamité de l'argent comme un cft à trois. Conditions
recjiiifes pour que cette opération l euliill'e. VIII. 772. b.
Voyc^ Q uartation , D épart.
IN QU IÉTUD E. Difterentes canfes de cette forte d'agitation.
VIII. 773. a.
Inquiéiude, voyc^ CRAINTE. Inquiétude qui naît dn ddlr.
IV. 883. b. Inquiétudes dans les maladies. 'VI. 724. b. VIII.
431. b.
INQU ISITEUR , ( Hifl. ccd. ) Il y en a de généraux 8c
de particulievs. S. Dominique premier inqiiifitcur général
commis contre les Albigeois. Les généraux des Dominicains
ont été long-teins comme inquifitcurs nés dans la chrétienté.
Inquifiteiirs généraux de la ville de Rome. Grand inquifiteiir
d'Llpagne. Les inquifitcurs fuppliés do lire les remontrances
que M. de Montcfquieu leur a faites. VIII. 773. a.
Inquisiteur d’lTAT. {H iß . de l'cnife.) Tribunal des inquifitcurs
d'état. Pouvoir dont il eft revêtu. Ses executions.
Cette magiürature eff peinuincnre &. cachée. VIII. 773 b.
Voyci D i x , {C o r fd ld c s )
IN Q U IS IT IO N , {H iß . c cd .) Son Infloire. Ereélion de
ce tribunal contre les Albigeois en 1200. Pouvoir de ces premiers
inquifitcurs. VIII. 773. b. L ’empereur Frédéric 11 déclaré
leur proteéleur. L’inquifition établie en France par le
pape Alexandre III. Ufage que les papes firent de l’inquifition
contre les partilans de l’empire. Etabliffement Sc pouvoir de
rinquifition à Venife. Pourquoi elle ne s’cll point établie dans
le royaume de Naples. Ibid. 774. a. Comment elle fut autori-
fée en Sicile. Rigueur de ce tribunal en Efpagne. Les Maures
& les Juifs pcrfécutcs par l’inquilition. ErTets de cette perfé-
cution. Cruautés du grand iiiquifiieur Torquemada. Ibid. b.
Les rigueurs de l’inquiliiion exercées contre les EQagnols eux-
mêmes. Forme des procédures de ce tribunal. Défiance qu’elle
a infpirée de toute part. Autres malheureux effets de cet etabliffement.
Defeription des auto-da-fé. Etabliffement de l’inquifition
dans le Portugal. Ibid. 773. a. A ile s qui maïquenc
combien les inquifitcurs s’étoient rendus redoutables en Efpagne
& en Portugal. L ’inquifition établie en Amérique ôc à
Goa. CoHiment le roi de Portugal en a finalement Iccoué la
joug. Maux que ce tribunal doit néccffiiirement caufer clans
toute elpece de goiiveraemcnt. Ibid. b. Eloignement de l'égllfe
Romaine oii il tient les proteftans. Combien il deshonore noire
fiecle. Ibid. 776. a.
Inquisition , {H iß . mod. ) Réflexions de M, l'abbé Coti-
turier fur l’éreélion de ce tribunal en France du tems de S,
Louis. Suppl. IH. 608. <t.
Inquißcion, v o ye z Congrégation du S. Office. XI.
419. a. Les frères inendians ch.rrgés de ce tribunal. 600. b.
Officiers de l’inquifuion. III. 868. b. Parrains dans celle de
Goa. XII. 82. a. üfiiciors du S. Office appelles qualificateurs.
XIII. 630. rf,f>.Le prifonnier doit s’aceufer lui mêm«
félon les loix de l’inquilition. I. 93. a. Defeription de la torture
que ce tribunal fait fouffrir. X V I. 631. a. Bonnet &
fcapulaire que portent ceux qu’il condamne au ftipplice. II.
324. b. XIV. 392. b. Iniquités de ce tribunal, X. 362. b. Edit
de Romorantin, qui avoir pour objet d’empêcher l'on établif-
fement en France. V . 393. b. Les abus de l’inquifition ne
font produits que par rigiioraiice. V IL 628. b. Réflexions
fur \ltndex expurgatoire de Madrid. X III, 699. b. Le tribunal
de rinquifition comparé .à celui qui fut établi en Allemagne
fous le nom de tribunal fecret de Weffphaüc. X V I . 630. a.
Inquifition de Sicile. X V . 165. b. Inqnifuion de Touloufc.
X V I . 431. a. Inquifition de Venife. XV II . 14. b. Inquifition
de Florence. Suppl. III. 34. b.
IN SA L IT A , {Hiß. nat.) corps étranger au regne miné-
, qifûn tfouvè quelquefois dans la terre , pénétrés de fuis
minéraux. Exemple d’une telle découverte allez fina;uliere.
VIII, 776.
IN SCRIPTION, ( Li//. Antiq. AUdaill.) moiiumcns matériels
en ufage chez les anciens pour conlcrver le fouvenir
des faits mémorables. On fe contenta dans les ficelés g reffiers
de dreffer en colonnade des monceaux de pierres. Exemples.
VIII. 776. a. Comment on fit enfuite parler ces pierres
même. Peuples anciens chez Icfquels fe pratiqua la coutume
de graver fur des pierres, Ufage établi d’écrire fur des
colonnes 8c des tables, les loix religieiifes 6c les ordonnances
Civiles. Enfin l’on grava fur la pierre, le bronze 8c le bois,
rhiftoire du pays, le culte des dieux, les principes des feien-
c e s , les traites, les alliances, les époques, tous les fûts
mémorables ou inftruélifs. b. Le nombre des inferiptions
de la Gi cce 8c de Rome fur des colonnes, fur des pierres,
fur des médailles, fur des monnoies, fur des tables de bois
8c d’airain, eft prefque infini , Sc ce fout les plus lù.lcles
monumens de l’hiiloii e. D ’ailleurs la nobleffc des penfées ,
la pureté du ffy le , la b r iè ve té, la fimpliciié, la clarté qui y
régnent, concooieiit encore à nous les rendre préciciifes.
Exemples de la fimpUcité de ces inferiptions. Ibid. 777. a.
Les langues grecque Sc latine ont une énergie qu’il ell difficile
d’atteindre dans nos langues vivantes, du moins dans la
langue fran(,oife. Cara<Sere des épitaphes des anciens. Parallèle
de ces épitaphes avec les nôtres. Soins des aniiqtiaires
à recueillir 8c à expliquer les inferiptions. Ibid. b. Comme
bien des gens regardent les inferiptions qu'on a recueillies
comme des monumens hlfloriques, dont l’autoi ité doit aller
de pair avec celle des médailles qu’on poffede, rauieiir s’applique
à difciiter jufqu’où ce femiment peut erre vrai. Faiif-
fes inferiptions compofées par quelques iavans vers la fin du
quinzième fiecle , 8c an comniencemenr du feizicmc. Antiquaires
n-ompés par cette forte de fraude. Inferiptions défigurées
par l’ignorance ou la précipitation de ceux qui les ont
copiées. Ibid. 778. a. De l’.irt de lire les inferiptions. Cara-
éleres par lefquels les anciens exprimoient mil. Ibid. b.
injeription, différence entre les mots épigraphe , in/erip-
tion , écriteau. V . 337. b. Caraéleres 8c abréviations ufitées
dans les anciennes inferiptions. II. 630. a. Suppl. I. 37. u ,
b , &c. X V . 817. a. Signirication des lettres initiales qu’oa y
cmjiloyoit. P'oyc^ l’article particulier de chaque lettre. Recueil
d’inferiptions en bouitrophedon, II. 379. a. Des_ inferiptions
fur la façade des édifices. V . 794. a. Des inferip-
tions de l ’ancienne Étiurie. VIII. 193. Inferiptions des
monumensreffitués; infeription de la colonne miUiaire qu’on
vo yo it fur le chemin de Nîmes, Sc celle du pont Fabrieius
à Rome. X. 230. b. Lettres de bronze donc fe fervoient les
Romains pour les inferiptions des grands édifices. X L 130. u.
Lettres onciales dans les inferiptions. 473. a. XVII . 379. a.
Inferiptions des trophées. X V I . 705. a. Utilité des inferip-
tions au bas des tableaux d’iiiffoire. X IV . 4 1 1. b.
Inscriptions , ( A n mimtj'm. ) lettres ou paroles qui tiennent
lieu de revers , 8c qui chargent le champ de la médaille
au lieu de figures. Différentes forces d’infcriptioiis. Abréviations
qui y font employées. VIII. 778. b. Goût différent
des anciens 6c des modernes pour les inferiptions. Ibid.
779. a.
Infeription, légende, différence entre l’une 8c l’autre. IX.
347. b.
Inscription, {Peint.) les peintres de Grèce ne fe fai-
foieiit point de peine de donner par nnc courte infeription
la connoifi'ance du fujet de leurs tableaux. Celui de Polygnoce
qui repréfencoit la ville de T ro ie , cité en exemple. Uiilitc
de ces inferiptions. C e n’eft que par \ine vanité maLenten-
due qu’un ufage fi commode a ceffé. VIII. 779. a. Pafi'age
tiré de l’ouvrage de M. l’abbé du Bos fur la poéfie 8c la
peinture. Les peintres dovroient toujours accompagner leurs
tableaux d’hilloire d’une courte infeription , fans imiter cependant
l’ufage ridicule des louleaux gothiques. C e qu'ont pratiqué
;V cet égard quelques grands peintres. Ibid. b.
In-scriptions et Belles-lettres, ( Académie royale des)
fondation de cette académie: fes pi-cmicres affemblées: travaux
donc elle s’occupa dans les commencemens. VIII. 779.
h. Quels furent les premiers membres de cette compagnie.
Marques d’affcélion qu’elle reçut de MM. Colbert Sc de
Louvois. Lieux 8c jours des affemblées fixés par ce dernier
minière. Suite de l'hifioire tie cette académie. Ibid. 780. a.
Réglement qu’elle reçut par ordre du roi. Sceau 8c jetton
de cette comp:ignic. Divers fitres qu’elle a pris en différens
lems ; arrêts rendus pour régler la forme de cette compagnie.
Ses ouvrages imprimés. Prix annuel fondé par M. le
préfident Durey de Noinville. Ibid. b. V o y e z Académie
royale des inferiptions & belles-lettres.
Inscription, {Jurifpr.) lorfqu'on écrit fon nom , ou
quelque autre chofe fur un regiffre deffiné à cet ufage. Infeription
des étudians fur les regiffres de la fiiculté où ils étudient.
Infeription des dénonciateurs. Infeription de faux ou
eu faux. Amende qu’il faut confiener avaut de former cette
Infcriptioit en faux. Ordonnance oii eft cxplitpiéc la procédure
que l’on doit tenir pour former l’infcription eu faux.
VIII. 781. .0
INSCRIRE, {Géom.) inferire un polygone régulier dans
un cercle. II. 834./>. III. 463. a. 733. a. Mefure de l’aire
d’une figure régulière inferito dans im cercle. III. 463.
733. a. Inlcrire dans un cercle un ennéagone régulier. V .
692. a. Inferire un polygone dans un cercle ; un cercle dans
un polygone : ce dernier mot. Infeription du quindécagone
dans le cercle. X l l l . 715, a.
IN SE CT E , {H if . nat.) les animaux qui n’ont point de
fang diftingués en grands 8c petits; ceux-ci font les infecle.?.
Combien ce genre eft nombreux 8c diverfifié. Idée des différentes
parties du corps des iiifeéles. Leur jieau. Leur tête.
Leurs antennes. VIII, 781. a. Variétés dans la fituation, ht
forme 8c la couleur des yeux des infcélcs. Defeription de
leur boiidie Sc de fes différentes formes. Leur trompe. Ibid. b.
Le corcelei. Incifioiis ou articulations fur le corps des infeélcs, •
qui fe divifent eu pluficurs anneaux, Ufages de ces anneaii.x.
11 y a prefque autant de différences dans la figure du corps
des infcélcs , qu’il y a d'cfpcces de ces animaux. Partie pofté-
ricnre de leur corps. Des parties do la génération. Quelques
infeéles ont dans la partie poftérieure du corps im aiguillon
qu’ils en font fortir pour différens ufages. Ibid. 782. a. Des
jambes de ces animaux. Leurs ailes. Poils dont plufieiirs
infeéles font couverts. Ibid. b. Cornes qu’on ohforve fur
pluficurs efpcces. Quels font les fens dont les infcélcs font
pourvus. InfeéFes qui jettent de la lumière pendant la nuit.
Sons que rendent quelques-uns de ces animaux. (Rieurs qu’ils
répandent. Couleurs dont plufieurs font parés. Changement
que la plupart fubiffent dans leur forme. Quatre l'ortes de
métamorphofes diftingiiécs par Swammerdam. Ibid. 783.
a. C e qu’on entend par nymphe, pur feminymphe, 8c
chryfiilide. indépendamment de ces méiamorpiiofcs, les iiifc-
éles chtingcnt de peau. Ibid. b. 13iffércntcs formes des thry-
falides: leurs couleurs. Lieux à l’abri où elles font cachées-
Différenres formes de coques dont quelques cF.ryfaliclos font
revêtues. Dti tems où les infcéies font dans l’état de cli.'-y-
fiilide ou de nymphe. D e la génération des infeéles. Ibid.
784. a. Différences entre les mâles 8c les femelles dans les
cfpeces d'infeéles qui s’accouplent. Variétés entre leurs ceufs/
Soins qu’ils en prennent. Leur induftvie clans les nids qu’ils fe
bâtiffent. Les infeétes diftribués en fept clafi'cs. Ibid. b.
Premiere claffe ; infeéles coléoptères. Vingt-deux cenres
qu’elle comprend. Ibid. b.
Seconde claffe ; infeéles hémiptères. Elle comprend huit
efpeces. Ibid. b.
Troifieme claffe ; infeéles neuroptercs. Cette claffe comprend
fix genres.
Quatrième claffe ; infeéles lépidoptères. Cette claffe ne
contient que deux genres. Ibid. 786. a.
Cinquième claffe ; infeéles hyménoptères. Cette claffe con'
tient cinq genres.
Sixième claffe; infeéles diptères. Cette claffe contient fept
genres.
. Septième claffe; mfeéles apteres. Elle comprend huit genres.
Ibid. b.
Infeéles. Defeription du corps des infeéles. IV . 264. b. Antennes.
I. 493, a. Bouche. II. 349. a. Cccur. Suppl. IL 490. b-.
Infeéles qui ont plufieurs coeurs. lU . 394. a. Circulation
du fang dans ces infeéles. VU . 4. b. Difpofition dans le
corps des infeéles par laquelle le corps s’enfle dans clia-
que infpiration, & fe refferre d.ins cliaque expiration. III.
396. b. Organes qui leur tiennent lieu de poumons. X l l l .
242. a. Corcclet des infeftes : mfeéles .à deux corcelcis. IV ,
200. A Cerveau. Suppl. II. 299. b. Suppl. III. 943. é. Cernes.
243. b. Jambes. VIÎI. 441. h. 442. a. Yeux. XL 'J94. a ,b .
393.it. Suppl. iV . 106. b. Peau des infeéles. XII. 217. a.
Leurs piés. 337. b. Leurs poils. 864. b. Tenailles. X V I . 123.
b. Tète des infeéles. 199. a. Leur trompe. 693. a. Poyc^
la defeription très-détaillée , Sc l’hiftoire naturelle de la chen
ille , III. 289. b. — 294. b. 8c du papillon. XI. 872. b. 6‘ c.
Diverfes corif dérations fur Us infeéles. De leurs fe x e s , voye z
A ccouplement. Ces animaux fupportent des froids cxcef-
fifs: exemples. III. 37. b. Coques de divers infeéles. IV.
ï8 i . a. D e l'opinion des anciens fur la génération de quelques
infeéles par corruption. 278. a. Infeéles lumineux dans
l’eau de mer. X. 363. b. 364. a. Réflexion fur les infeéles
exccftîvcment petits. 580. h. Belles couleurs que nous devons
à quelques-uns. XI. 192. a. Des oeufs de ces animaux. XI.
409. b. 410. a. Expériences fur les infeéles dans le vwide.
XII. 808. a. XVII. 374. a. Mouvement progreffif de ces
animaux. XIII. 433. b. Dii taél des infeéles. X V . 822. h. Du
fiege de l’ame dans ces animaux. Suppl. II. 142. a. Moyen de
conferver les infeiftes dans l’ambre ou dans quelque amie
réfine. XVII . 78. a. Caufe du fon que rendent différens
infeéles. 432. a. Infeéles coléoptères. Suppl. II. 300. b. 301.
U. Lépidoptères. Suppl. 111. 728. a ,b , &c. Obfervations rnicrof-
copiques des infeéles. XL 723. b. De la diffeéliou de ceux qu’on