• ' M M II / . ,1 V ,
832 V E I
Caufo de îa formation des bourgeons latéraux. Différentes
fortes de jiroduaions que fait l'organe du livre , dilaté dans
quelque partie par la furabondnucc de la feve nourricière,
rroduéilon des parties de la fruélifîcation. Les botaniftes dif-
lingucnt fept fortes de parties qui concourent à la fruftifi-
cation; lavoir, le calice , la corolle , les étamines, le p iflil,
le fruit, la femence , & le fupport, ou la bafe de toutes ces
parties. Ibid. b. Defeription & ulagcs de chacune de ces parties.
Leur formation. Ibid. 962. a. Fécondation des embryons
des fcmences. Caufes de la chute des feuilles. Celles qui
terminent eiirin la végétation de l’arbre dans fa vieiüeffc &
le font périr. Ibid. b.
Vé^éution : importance & utilité de la connoiflance de la
végétation des plantes. Auteurs qui s’y font appliqués. Etat
d’imperfeâioii où cette partie de la botanique fe trouve
encore. Suppl. II. 28. Des principes d’où émanent tous les
phénomènes de la végétation. Suppl. III. 213./’. Méchanilme
de la végétation , ibid. Defeription de celle d’une graine.
VII . 646. U, b. Caufes de la végétation. I. 233. u. Explication
de l’économie végétale. XII. 712. i , & c . Expérience
qui tend à découvrir les principes de la végétation. XVI.
182. i. Faculté que les plantes ont de convertir les fels en
celui qui leur efî propre , Ibid. Examen de la végétation des
plantes céréales, Si. particuliérement de celle du froment. Suppl. III. 207. i l , b y Sec. Les anciens atiribuoient à un grain
de femence la propriété de changer en une fubftancc qui lui
eA propre , le lue que la terre lui fournit. VI. 316. b. Principe
q u i, felon quelques anciens, détermine chaque végétation
en fon efpece. I. 610. u. Mammelons intercutanés d’où
fe forment, felon les circonftances, des branches ou des
racines. Suppl. IL 45. b. D e la nutrition des plantes. I. 187. b.
5S3. b. XI. 290. b. x m . 746. a , b. P'oye^ Se v E & CIRCULATION
/eve. Tranfpiration des plantes. L'oyej T ran s p ir
a t io n . NécelTué de l’eau pour la végétation, 111. 218.
b. Ui'iige des feuilles dans la végétation. V L 633. b.
V É G É T A U X , ( Jardin. ) divifions & fubdivifions des
végétaux. X V I . 872. a. Les plantes terreAres Sc aquatiques
fuixlivifées en plantes ligneufes, en bulbeufes, & en fibreu-
fes. Plantes annuelles , pérennelles , parafites. Parties des
plante«;. Ibid. b.
VÉGÉTAUX , {^Jardin. ) de leur multiplication. X. 859. b.
Dépenfe d’eau néceffaire pour leur entretien. V IL 89. b.
Effets de la gelée fur les végétaux. 340. b. Voye^ Plan te .
VÉGÉTAUX, nat.') divifton des végétaux en deux
clalTes , ceux à qui il ne manque rien des caraéleres de plante
, 6c ceux à qui il en manque quelques-uns. X V I . 724. a.
Obfervations microfeopiques des végétaux. XI. 723. é. Leur
germination. VII. 646.^1. Caufe de La circulation des fluides
dans les végétaux. L 233. a. Comment leurs qualités peuvent
varier felon les tems & les lieux. 109. a. Baumes & huiles
contenues dans les végétaux. Suppl. II, 436. b. Tout eA
graine, femence ou germe dans les végétaux. Suppl. III.
212. b. Organes fexuels des végétaux. 221. j . Les végétaux
ont une forte de migration qui les fait paûer d’un pays dans
un autre , à mefure qu’ils fe trouvent contrariés par diverfes
caufes. 1 I!> 237. b. Couches de végétaux dans la terre. VIL
614. a. X. 92. b. X VI. 469. a. Reproduélion des végétaux.
V i l . 360. .1. 368. b. Foye:^ PlANTE.
V E G G IA , ou f^eglia , ( Géo^r. ) iAe du Golfe de Venife.
Sa grandeur. Ses produéHons. Sa capitale. HiAoire de ceita
IAe. X VI, 872. b.
V É H IE R , ( officier qu’on appelle en Dauphiné
vehier, 6c ailleurs viguier, c’étoit leTieutenant du feigneur.
D eu x fortes de véhiers , les uns eccléfiaAiques, les autres
laïques. Q uel cioit le véhier eccléfiaAique de Romans.
Fonélions qu’avoient le mitral de Vienne Sc le véhier de
Romans. Fonéfions du véhier laïque. Véhier du dauphin,
établi à Romans. La plupart des véhéries ayant été inféodées
, ont confervé leurs droits , mais perdu leurs fonélions.
Véhéries qu’il y avoir à Grenoble. X V I , 873. a. Véhèrie de
Bernin. Droit de ce véhier fur les petits bans. Véhérie de
Moirene. Véhérie de Payrins. Ouvrages à confulter. é.
F üw ç V ic a ir e , V ig u ie r , V igu erie .
V e IES , ( Géogr. anc. ) ville d’Italie dans l’Etrurie. Son
hiAoire. X V I. 873. b.
VeùSy évocation des dieux de cette ville par Camille. V I
16 1 . b.
V É JETON , ( Fabricius ) fes libelles recherchés dans
Rome. IX. 460. a,
V E IL L E , {Phyfiolog.'S Agnes qui caraéfèrifent la veille.
X V I . 874. n.
VeilU y différence entre la veille 8c le fommeil dans l’ordre
des idées. XI. 596. a , b. Moyen de diAinguer l’une de l’autre.
X V . 337. a. De la veille 6c du fommeil par rapport à la
famé. X L 223. a.
V eille , {u4ntiq. rom.) divifion de la nuit chez les Romains,
en quatre parties égales, appellees veilles. X VI. 874. n.
V eilles , lampe de, (£/«. ) IX. 233. b.
V eille, {H ijl. ecçl. ) c’étoit autrefois la nuit pendant
V E L
laquelle les chrétiens veilloient fur les tombeaux des martyrs ,
dont on devoir folemnifer la fête le lendemain. En quel
tems on commença les veilles des fêtes des faims. Comment
fe failbit la publication de la fête d’un martyr. Affemblées
tenues principalement la nuit. Les veilles iioihirnes défendues
dans le fepiieine fiecle. X V I . 874. i,. Voyei V igiles.
V eille des armes, ( Hifl. de la cheval. ) X V l. 874. b.
V eille , {Marine ) Vellle-la-driAe. Veille-l’écoute-de-
hune. Veilles-les-himieres. X V I. 874. b. Veille. Foyer
Q uart.
V E IL LE R , {Jurifpr.) être attentif à la confervation de
fes droits. Tant que le vaffal d o r t, le feigneur veille Sc
vice versa. X V I . 875.,,.
V eiller , ( Marine ) veiller les mâts 8c non le côté. Ancre
à la veille. Bouée à la veille. X V I . 873. a.
VE ILLEUSE, {M enuif.) ouvrage repréfenté , vol. V II .
des planch. Menullerie en meubles, pl. i i .
V E IN E , { Anatom.) ttonzi que les veines forment en
s’approchant du coeur. L’anaAomofe des veines 8c des arteres
obiervée dans quelques animaux. Tuniques des veines X V I.
875. a. Mouvement périAaltique des veines , fans battement.
Valvules dans les veines. DiAinétion des veines par
rapport à leur fituation. DiA'érens noms des v ein e s , tirés des
parties où elles fe trouvent. Les veines diAinguées à raifon
de leurs fonélions particulières. Ibid. b.
Veine. Obfervations fur les veine s, leurs membranes,
leurs valvules : cinq tuyaux communs auxquels elles vont
fe rendre. VIII. 262. b. X V I . 800. a , b. Valvules dans les.
veines. 826. b. — 818. a. AnaAomofes des veines. Suppl. I.
391. b. D e la maniéré dont le fang palTe des arteies dans les
veines. I. 408. a. III. 468. b. Suppl. I. 392. a. Parenchyme
que les anciens admettoient entre les veines 8c les arteres.
Suppl. IV. 238. i . Pourquoi les veines paroilTent de couleur
bleue. II. 281. b. Obfervation fur les troncs des veines des
extrémités. Suppl. I. 823. b. Veines coronaires, innominées,
8c autres petites qui appartiennent au coeur. Suppl. II, 492. a.
Infenfibilité des veines. Suppl. IV. 778. b. Jeux de la nature
fur les veines. X V I. 801. b.
Feine-cave. II. 784. a , b. Obfervations fur la valvule qui
eA à l ’oriAce du tronc inférieur de ce vailfeaii, près de
l’oreillette droite du coeur. X V I . 828. b. Foyer Cave ,
( Feine- ).
Feine-porte. XIII. 137. a yb. Suppl. II. 227. a , b. Suppl. III.
76. b. 77. a y b. Cette veine prend la form^d’artere 8c en
exerce les fondions. VII. 30. a. Capfule qui l’enveloppe. Suppl. II. 227. b. Sang de la veine-porte. Suppl. IV . 720. b.
Ufage du fâiig de ce vallfeau dans la formation de la bile.
VU . 33. a , b. Suppl. III. $0. b. Pourquoi Srahl a dit de ce
vaiffeau, venu porta , porta malorum. VU . 38. b. Fuyez PoRTE {Feine-). ^
V eines du cheval, ( Maréch. ) Suppl. III. 391. h.
V e in e s , {Litkolog.) caufe des veines dans les pierres^
XVI. 873. b.
V e in e , {Minéralog. ) Tavernier donne une defeription
des veines qui font dans les mines de diamans de Golconde ,
avec la maniéré de les tirer. — Veines métalliques. X V I .
873. é. F ilo n . - 5*
V eine , ( Archii. ) veine de bo is , de marbre , de pierre.
X V I. 876. ‘
V eines d'eau, ( Archit. hydrauliq. ) X V I . 876. a.
V E IN E U X , fang, ( Phyfiol. ) 1 . 720. b.
VEISSIERES, ( Mat/iurin de la Croze de ) obfervations fiif
cet homme de lettres 6c fur fes ouvrages. XL 14. b.
V E LA , (/o/f/jA) jiirifconfülte efpagnol. X L 777. b.
V É LA BRE , ( Topogr. de Rome ) lieu de Rome proche 1 «
quartier des Tofeans, Étymologie du mot Fèlabre. X V I . 876.
a. Comment Tarquin l’ancien remédia aux inondations que
foufïroit le Vélabre. Ibid. b.
V É LA R , ou Tortelle, ( Botan. ) caraéleres de ce genre de
plante. Defeription de l’efpece commune, appellée eryfimum
vulgare. Lieux où elle fe trouve. Ses propriétés médicinales.
X V I . 876. b.
VÉLAR, {M at. médic. fi* Pharm.) cette plante eA de la
claffie des crucifères de Tournefort. XVI. 876. b. Ses vertus
8c ufages en médecine. Préparation du fyrop de vélar on
fyrop du chantre. Dofe de ce fyrop. Ibid. 877. a.
V E L A Y , le y {Gèogr.) contrée de France, d-ans le gouvernement
militaire de Languedoc. Ses bornes. Capitale du
Vé lay . HiAoire de ce pays. X V I . 877. b.
V E L E T T E , ( Ichthyol. ) nom que donnent les Provençaux
à un petit poiffbn fort fingulier , qui Aorte par milliers fur la
furface de la Méditerranée. Sa defeription. XVI. 877. b.
F E LIA y ( Géogr. anc. ) ville de la Lucanie, dans le golfe
Eléate. Elle fe nomme aujourd’hui Pifciota. Les auteurs grecs
t’ont appellée EU a, d’où s’eA formé le nom Velia. X V I .
878. a , b. Obfervar.ons fur Zenon E léate, philofophe , né dans
cette ville. Ibid, b.^
Fe u a , {Topogr-de Rome) lieu de l’ancienne Rome. Origine
de fon nom. Trait de la vie ds Yakrius Publicola à
l’occaAon
V E L
i'occaAon de la maifon qu’il bâtit fur cette colline. X V L
*78- A.
VÉLIN. L’invention du véiln attribuée à Crates le grammairien,
contemporain d’A ttalus, 8c fon ambaffadeur à Rome.
X V I. 879. a.
VÉLIN. {Doreurs) X V L 879. n.
VÉLIN , {Manuftél. ) point royal ou point de France. La
manufafttire de ce véhn a été inventée dans la ville d’A lençon.
Fil à v élin , aiguilles à vélin. X V I. 879. a.
V élin. (Peint.) D e fon ufage pour la miniature. X .
551- 552. «ï.
VÉ LINO , le ( Géogr. ) riviere d’Italie. Son cours. Caf-
cade du Vélino. X V I . 879. a.
FELÎNU S y lacus , {Géogr, anc.) lac d’Italie chez les
Sabins, préfentement Lago di • Rivieres qui lui appartiennent.
XVI. 879. a. Eiiviro.is de ce lac. ibid. b.
V É L IT E S , {A rt m i^. des Rom. ) l’iine des quatre fortes
de foldats qui corSpofoient les légions. On les nom-
moit quelquefois antefignati. Leurs armes. Manoeuvres des
vélites armés de frondes. Ufages qu'on tiroit des vélites.
Epoque de leur établiffemcnt. Comment ils étoient diAri-
bués dansles légions. Trois fortes de v élites, les frondeurs,
les dardeurs 8c les archers. X V I. 879. b.
Féiues dans les troupes grecques. Suppl. IV . 316. b. Des
vélites lomains. 673. a. Diverfes obfervations fur ces foldats.
IX. 336. b. Leurs armes. I. 686. b. X. 307. b. Leur
dlAribution dans les corps des haAaires, des princes 6c des
iriaires dans le camp des Romains. IX. 635. b. Leur place
dans l’ordre de bataille. Suppl. IV. 174. b.
F E L IT RÆ , ( Géogr. anc. ) ville d’Italie dans le Lr.tium,
& la capitale des Volfques, aujourd’hui Fclitri ou Feiletri.
HiAoire de cette ville. X V l. 880. a.
F E L LA U N O D U N Ü M , {Géogr. anc.) ville d e là Gaule
celtique ou lyonnoife. Divers fentimens des géographes
fur le nom moderne de cette ville. Le plus grand nombre
penfe, avec Vigenere, que ce peut être Chàteau-Landon,
à quatre lieues de Montargls. XVI. 8S0. b.
VELLEIEN. {Jurijpr.) Séiiatus-confulte Vellcïcn. D étails
lur la maniéré dont les loix romaines avoient pourvu
ù la lûreté des biens dotaux des femmes, jufqu’au tems où
ce décret fut rendu. X V l. 880. b. L’objet de ce décret
rendu fous le confulat de M. Silanus 8c de Villéius T u to r ,
du tems de l’empereur Claude, eA de reAituer les femmes
contre toutes les obligations qu ’elles aoroient contraélees
pour autrui , 8c qu’on auroit extorquées d’elles par violence,
par autorité ôc par furprife , pourvu qu’il n’y eût eu aucune'fraude
de leur part. Obfervations des jurifconfulres
fur cette loi. Loix de JuAinien en interprétation du féna-
tus-conlùlce Velléïen. Ibid. 881. a. DifpoAtions des loix de
Franc e, par rapport aux obligations que peuvent contracter
les femmes pour autrui, 8c fur-tout pour leurs maris.
Comment le ïénatu>-confulte Velléien cA reçu dans ce
royaume. Ibid. b. Auteurs à coiifulter. Ibid. 882. a. — Voyet^
Sénatus-Consulte.
V E L L É IT É , (Morale) définition. Le plusfouvent nous
ne manquons de fuccès, que parce que nous u’uvoiis pref-
que point eu de volonté. Le fecret de devenir pape, difent
les Italiens, c’êA de le vouloir. XVI. 882. a.
V E L LE TR I ou Felitri , (Géogr.) autrefois Felitres, ancienne
ville d’Italie , dans la Campagne de Rome. Son état
préfent. X V I. 882. a.
VELLEIUS - PATERCULUS. Obfervations fur la vie
de cet auteur , 8c fur ce qui nous rcAe de fes ouvrages.
XI. 17. b. 18. a. Figure de rhétorique qui lui eA familière.
' V . 809. b.
VE LOURS. { Manufaél.) Comment fe fait le velours uni.
Differentes fortes de velours. Maniéré dont on travaille le v e lours
cifelé .X V l. 882. A. Cet article traite, i l des parties en
bois du métier, 8c de leur aAembia^. 2". Des parties en fil, en
fo ie, en ficelle, 6c autres matières : de leur difpofuion 6c
de leur ufage® 3 °. Des outils, de leurs noms, 6c de la maniéré
de s'en fervir. 4". l.')e la main-d’oe u v re , du dtffin,
<lc la leflure, 8c de la maniéré de travailler. Ibid. 883. a,
i>. Tnivail du velours cifelé à fond or. Ibid. 900. b. Travail
du velours uni. Ibid. 901. a. Velours cifelés de Lyon. État
de cette fabrique ; moyens d'encouragemens qu’on lui a fournis.
Détails fur le travail de cette qualité de velours. Ibid,
h. Étoffe à la broche. Obfervations fur l’article vij , du titre
8 du réglement du 19 juin 17 4 4 , qui déclare que dans le
cas où les velours unis feront fabriqués avec de l’organfin ,
monte à trois brins, chaque fil de poil fera compté pour
un fil & demi, 8c le velours pourra être marqué lur ce pié
à la lifiere , 8c vendu pour velours à trois poils, quoiqu'il ne
folt qu'à deux., Ibid. 903. a , b. Examen des caufes qui ont
empêché jufqu’ici que les velours fabriqués en Fiance , fuf-
fent auffi beaux que ceux qui fe fabriquent à Tu rin, Gênes,
6c autres .villes d'Italie. Ibid. 903. a. Impcrfcélion qui fc
trouve dans la main-d’oeuvre de ceux qui fc font à Lyon.
VEN 8 3 3
Ibid. b. Façon des travailler des Génois , différente de celle
qu’on fuit en France. Ibid. 906. a. Des moyens de faire
eiiforte que l'on pût fc paffer des Génois pour la confom-
niatioii du velours qui fe fait dans le royaume. Examen du
prix différent des 'foies de Piémont, d’avec celui de France.
Ibid. b. Obfervations fur un écliantillon de velours noir^
compofé de fil 8c de co ton, fabriqué par le fieur Fonro-
b c r i, fabriquant de Lyon , préfenté au bureau de commerce,
le jeudi 28 janvier 1 7 3 1 , par le fieur Padier,inf-
pcéleur général des manufaftures. Explication de la maniéré
dont cette forte de velours, 8c celui qu’on appelle velours
de gueux-, font travaillés. Ibid. 907. a. Bonté 8c durée du
premier. Ciette étoffe plus avantaeeufe à l’état que les né-
îuches. Ibid. b.
Fclours. Enfuple du méfiera velours. V. 714. b. Maniéré
d’nppréccr les petits - velours. I. 336. a. Du chiner des v e lours.
ni. 339. b. Gaufrure de quelques velours. VII. 323.
a. Travail du velours reprefemé vol. XI des plaiidi. Soierie,
feélion quatrième.
V E LO U T É E , étoffe, appellée tripe. XVI. 637. a.
V eloutée, (Anatom.) membrane veloutée de l’eAomac.
X V l. 907. b.
Fdoutée, tunique des inteflins. Premiere tunique interne
des inrcAins grêles , dans laquelle le chyle cA renfermé.
Poils dont elle paroit couverte. Defeription 6c ufige de
ccite tunique. Mucoficé dont elle eA enduite. EpaiffiA'cment
de cette tunique , iorlqu’un corps dur eA loge pendant long-
tems dans quelque endroit particulier de ce conduit. X V l.
908. a. Voyei^ Suppl. III. 633. a , b.
V E LU M , (Littér.) rideau ou portiere. XVI. 908. b.
V E L V O T E , (Botan.) voyci Linaire. Efpece de linai-
r e , appellée vdvote fcmdle. XVI. 908. b.
V elvote du Fcronique femelle. (M at. médic.) Propriétés
8cuf;iges de cette plante en médecine. X V l. 909. a.
V E N A T R E , (Géogr.) ville d'Italie au royaume de Naples.
X V l. 909. a.
I'E N A F R U M , ( Geogr. anc. ) ville d’Italie dans la Campanie
: elle eut le titre de colonie romaine : elle éroit célébré
par la bonté de fon huile d’olives. X V I . 909. a.
VEN A IS S IN , le comtat, ( Géogr. ) pays fitué entre la
Provence, le Datipliiné, la Durance & le Rhône. Diffé-
rens princes qui l’ont poA'édé. X V l. 909. b.
Fenaijfui , le comtat. Comment il eu parvenu au S. Siège.
XI. 836. a , b. Origine de fon nom. Suppl. II. 249. b.
V ÉN A LIT É. (H if.ro m .) Vénalité des charges à Rome.
IX. 293. b. D e la vénalité des fuffiages cliez les Romains.
X IV . 813. b. Précaution que l’on prit contre ce défordre.
IX. 837. a.
VÉNALITÉ des charges. (H ifl. de France) Il n’oA point
queAion ici de la vénalité des charges militaires 6c de finance
, mais feulement de celles de judicature. Comme il
cA iiîtéreffam de connoiirc les époques de la vénalité de
cesdernieres dans le royaume de France ; l’auteur rapporte
ici un morceau également court , précis 8c judicieux, de
l’abrégé de l'hiAoire de France du piéfidcnt Hétiault , où
cette queAion fe trouve difeutée. XVI. 909. b. Il rcfulte de
ce détail, que le régné de François I fut l’époque de la
vcualicc des charges, en ce que ce fut alors qu’une grande
partie de ces charges s’obtint pour de l’argent. Ibid. 910.
a. Mais Charles IX établit enfuite pofitivement cette vénalité
par fes édits. Les charges de finance devinrent vénales
fous Louis X I I , 6c les militaires fous Henri III. RéAexions
fur la vénalité des charges militaires, de finance 6c de ju-
dicauirc. Ibid. b.
Fénalitc des charges en France. XI. 414. b. RéAexions fur
ce fujet. III. 19 7.6 . XVII . 864. ^ , 6. 863. tf. La jouiffânee
des gages pour les confeillers, après vingt ans de fervice ,
n'a plus lieu depuis la vénalité des charges. VII. 419. a.
Gages intermédiaires depuis qu’elle a été établie. liid. b.
F E N A -M E D IN I y (Médec. des Ar.tbes) maladie caufée
par les petits infcéles, nommés dragoneaiix, qui s'enfoncent
dans la chair, 6c y excitent des ulcères. Agatharchidc le cui-
dieu, qui Aeuriffoit fous Ptolomée Philomctor , eu a parlé le
premier. Les peuples qui habitent autour de la mer Roug e ,
fiijcts à cette maladie, félon le rapport de ce philofophe.
Le même infeAeattaque quelques peuples de la Guinée & de
la Perfe. XVI. 9 1 1. a.
V E N C E , (Géogr.) ville de France dans la Provence.
Obfervations fur cette ville 6c fur fon évêché. X V I . 9 1 1.
a. Foyci FiNTlUM,
VEN CE SL AS , empereur dépofe. IV . 72. b.
V E N D A N G E , (U if- Littéral.) fête qu’on célebroit à
Rome pour obtenir imevendange abondante. XVII . 303.(7.
Fête des vendanges en l’iionneur de Bacclius. 306. b. Céréi
monies que les Romains obfervoicnt dans les vendanges.
303. a. Fête que la fociétc de la mere-folle célebroit à Dijon
en tems de vendange. X. 38t. a. Defeription poétique de la
venange. XVII . T)f)-b. Ban de vcruiange. II. 31 a
VENDANGER. ( Critiq. fier. ) X V L 9 1 1. b.
B D B i iB b b l j b b
f t l