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les cgUfes proteftantes dc S\iiiTe & d’A llemagne, IbU. ^^7- a.
Sc les collegians de Rinsburg. Sentiment des frétés Moraves
fur h communion. Do fliine dc l’églife catholique fur le même
fnjet. ('elles de Luther, de Zwiiigle & dc Calvin. Obferva-
îions fur la liturgie attribuée à faint Jacques , fur celle qu'on
attribue à faint Pierre , fur la melTe des Ethiopiens, appellee
liturgie de faint Mathieu. Ibi(b. b. Liturgie de l’églife latine.
Quatre liturgies de l’églife grecque. Autres obfervations fur
les liturgies de faint Marc & dc faint Jacques ; liturgies des
Arméniens, des Cophtes, &>c. celles des chrétiens dc Syrie.
Liturgie des Neftoriens en ufage parmi les chrétiens des Indes,
qu'on appelle de faint Thomas. Origine de ce chriftianifme
indien. Ancienne liturgie d'Illande , écrite fur une peau de
poilTon. Ibid. 598. .r. Obfervations fur les liturgies des pro-
tednns : la meilleure liturgie proteAante, eft l’anglicane. Seéle
chrétienne fans liturgie. Les liturgies ont une intime relation
avec les livres fymboliques, voye^ Symbole. D c l'origine du
chant dans le fervice des églifes. Le chant a été chez tous les
peuples, le langage de la dévotion. Ibid, b. Premiere fignifi-
cation des mots Xt/T8p7»ç 8c XuVspTÎa (dans les auteurs grecs.
Guerres fanglantes que les différentes liturgies ont caufées.
Caufes de la mort de Barnewcldt, & de Charles I , roi d’A ngleterre.
Regies à fuivre dans l’établiffement des liturgies. Ibid. 599.yi.
Liturgie, livres de liturgie. IX. 603. b. Livres de liturgie
grecque. I. 496. b. ^41. c. V lI I . 31 1 . b. Liturgies cophtiques.
IV . 173. é. Liturgie gallicane. V l l . 430. a. Livre de liturgie
angloife , nommhordinal. X L 381.^. Comment Alphonfe , roi
de Caftille , choifit entre la liturgie mofarabique & l’office
romain. III. 66'X.’a.
L IT U U S , (L i t t .') bâton augurai. Ce bâton inflitué par
Romulus pour marque de dignité des augures. Le bâton
augurai gardé dans le capitole aVec beaucoup de foin. Inffru-
ment de guerre que les Romains nommoient auffi Utuus. IX.
599-^-
Lituus , ( Mufîij. inftr. des Ane. ) obfervations fur le cor &
le liruus des anciens. Suppl. III. 764. a. Voye:^ Luth, planch. 2.
Suppl.
Limus,voye[ fur ce bâton augurai, II. 144. a. & fur l’inftai-
ment de guerre appelle de ce nom. X V I. 694. b.
L IV A D IA , ( Geogr. ) ville de la Turquie européenne. IX.
599. a. Pays appelle \3.\L'ivadie. Lac de Livaciie i fes divers
noms. Obfervations fur ce lac. Ibid. b.
L lU B A o z iL iu vA I , {H iJ ï.d’E fpjgn.) roi des Vifigoths,
Defeription de fon régné. Suppl. III. 764. a.
Liuba ou Liüva I I , roi des. Vifigoths. Tableau de fon régné.
Suppl. III. 744. b.
L IV ECH E , (iJtifrf/r.) caraéleres d cc e genre déplanté. D e feription
de l’efpece la plus commune. IX. 599. b.
LiveCHE ou ache de montugne y {^Mat.midic.') propriétés &
tifages en médecine de la racine Sc de la femence. Dofes de la
racine 6c de la graine : propriété du fuc des feuilles fraîches
IX . 600. U.
L IV E N 'V A E T , ( Gto^r. ) autrefois Leva fanum.Suppl.TW.
753.
L IV ID IT É , celle qui fe forme apres la fuccion d’une partie
vafculeufe. X V . 639. a , b. Lividité, figne de gangrene, voy«ç
ce mot.
L IV O N IE , (Gt'ogr.) province de l’empire prufficn ; fon
étendue : auteurs à confuker fur l’hiftoire 6c la divifion de ce
pays. En quel tems on vint à pénétrer en Livonie, HiAoire
des révolutions de cette province , jnfqu’à la bataille de Pul-
tava. Divers pays 8c lieux compris dans la Livonie. IX. 600. u.
Diverfes produAions du pays. Etat des payfans de Livonie.
Ibid. b.
Livonie , terre , ( Hljl.nat. ) efpece de terre bolaire. On
en diAlngue de deux qualités; nations qui en font ufage. Forme
fous laquelle on la vend. Elle paroîc avoir du rapport avec la
terre lemnienne. IX. 600. b.
Livonie , ( l'Ordre de ) dit des Freres de ChriJ} de l ’èpée , ou
Freres porce-gluives. InAitution, confirmation & durée de cet
ordre. Marque des chevaliers. III. 764. é.
L IV O U R N E , ( Gêogr. ) ville d’Italie : franchife de fon
commerce. Diverfes caufes de l’étendue de ce commerce.
Obfervations fur les écus de Livourne. Avantages de cette
ville. HiAoire des commcncemens de cette v ille , dont Corne I ,
grand duc de Tofeane , a été le fondateur. Précautions des
navigateurs en abordant à Livourne. Situation de cette ville
IX. 600. b.
Livourne. MagiArat de cette v ille , nommé provéditeur de la
douane. Nombre de vaiffeaiix qui arrivent communément
chaque année en tems de paix. XIII. 309. a.
LIVRE , (^Litt.) diAinélion que met Ifidore entre liber Sc
codex. Définition de plufieurs termes relatifs au mot livre. Des
meilleurs livres de quelques auteurs anciens. IX. 601. a. Ouvrage
à confulrer pour connnoître les ouvrages des plus con-
lidérables écrivains & des meilleurs auteurs. Dc la maniéré
de juger de la qualité d’un bon livre : en quoi confiAe le corps
dun livre. DiAinftion entre les inddens atcclToires Sc le
L I V fujet principal d’un livre. On attribue aux Allemands rinven-
tion des hiAoires littéraires. Différens auteurs qui ont donné
l’hiAoire des livres. Ibid, b. D e l’ufage établi chez les Romains
de condamner les livres au feu. Un certain Labienus
fut le premier contre lequel on fevit de la forte. Différentes
matières fucceffivement employées pour les livres avant l’invention
du papier. Origine des mots jJ/jSxcf folium , tabula ,
liber. IX. 602. a. Bibliothèque trouvée chez les Tartares Kal-
mouks , dont les livres étoient d’une forme extraoi tlinaire.
Les premiers livres étoient en forme de bloc 6c dc tables.
Quand les anciens avoient des matières un peu longues
à traiter, ils fe fervoient de feuilles ou de peaux
coulues enfcmble, qu’on nommoit rouleaux. La forme des
livres préfentement quarrée , compofés de plufieurs feuilles ,
a voir été inventée par Attale , roi de Pergame. Maniéré dont
les anciens rouloient leurs volumes : longueur 6c largeur
ordin.ùre d’un volume déployé. A la forme des liv re s , appartient
l’arrangement de leur partie intérieure, ou l’ordre &
la difpofition des points ou matières , 6c des lettres en lignes
6c en pages, avec des marges 6c d’autres dépendances. O b fervations
liiAoriques lur les différentes variations par rapport
à cet ordre. Ibid. b. Comment on préferv'oit les livres de la
corruption. Des formules ufitées quelquefois à la fin 6c' au
commencement des livres. Livres diAingués en facrés ou divins
, 6c livres humains. Cent quatre livres reconnus pour
divins par les Mahometans. Carailere auquel ils rcconnoilFcnc
la divinité d’un livre. Livres fibyllins , Ibid. 603. a. canoniques
, apocryphes, authentiques , auxiliaires , élémentaires j
livres de bibliothèque, livres exotériques, acroamatiques ,
défendus , publics; livres d’églife , de plain-chant, de liturgie
; livres d'églife eu Angleterre , qui étoient en ufage dès
le iiiiUeu du dixième fiecle. Ibid. b. Livres d’églife chez les
Juifs. DiAinélion des livres en hiAoriques, hiAorio-dogmati-
ques & fciemifico-dogmatiques ; livres pontificaux parmi les
Romains ; livres rituels, des augures , des arufpices ; livres
achcronciques, fulminans , Ibid. 604, a. fatals ou des dcAins ;
livres noirs ; bons liv r e s , felon le langage de la dévotion;
bons livres , felon le langage des libraires , felon les curieux ,
lelon un homme de fens ; livres fpiritucls ; livres profanes.
Par rapport à leurs auteurs , on dlAingue les livres en anonymes
, cryptonymes , pfeudonymes , poAhumes, v ra is , fup-
pofés , falTifiés ; par rapport à leurs qualités , on peut les
diAinguer en clairs 6c détaillés, obfciirs, prolixes .u t i le s ,
complets , incomplets. Ibid. b. D'après la matière dont les
livres font compofés , on peut les diAinguer en livres en papier
, en parchemin, en toile , en cuir, en bois, en c ire , en
ivoire. Par rapport à leur mamifafture , ou au commerce
qu’on en fait, on peut diAinguer les livres en manuferits ,
Ibid. 603, a. imprimés , livres en blanc , in-folio , in-quarto,
&c. Par rapport aux circonAances , ou aux accidens des livres’
on peut les divifer en Livres perdus , promis, imaginaires.
Livres A'anaik à'am i, voye^ ces mots. Du but ou du deffein
des livres. Des ufages des livres. Eloges qu’on a donnés aux
livres. Ibid. b. AffecAion que les plus grands hommes dans tous
les ages ont eue pour les livres. Des mauvais effets qu’on
peut imputer aux livres. Ibid. 606. a. Des regies de l’art dc
compoler des livres. Des qualités que l’on exige d’un livre.
Des écrivains féconds en produAions. Des auteurs enfans qui
ont publics des livres dès qu’ils ont été en âge de parler.
Ibid. é. M. Cornet difoit que pour écrire un liv r e , il falloir
être très-fou ou trés-fage. Attention extrême que les anciens
apportoient à tout ce qui regarde la compofition d’un livre.
Excès oppofé , où font tombés quelques modernes. Un auteur
moderne a penfé qu’en traitant un fuje t, il étoit quelquefois
permis dc faifir les occafions de détailler les autres connoif-
faiices qu’on peut avoir , 6c les ramener à fon deffein. Ibid.
607. a. Critique de certaines maniérés de compofer des li-
y e s ; critique de l’ouvrage de Nicolai fur l’iifage 6c l’abus
des gants. La forme ou la méthode d’un livre dépend de
1 efpric 8c du deffein de l’auteur , qui lui applique des com-
paraifons fingulieres: l’un compare fon livre à un chandelier
, l’autre à une p o r te , un troificme à une boutique, un
quatrième à un arbre , 6ec. Ibid. b. De la premiere origine
des livres. D u livre d’Enoch , cité dans l’épître dc S. Jude;
Les poèmes d’Homere font de tous les livres profanes les
plus anciens qui fo-.ent parvenus jufqu’à nous. Livres antérieurs
à ceux d’Hoinerc, dont les auteurs grecs font mention.
Opinion finguliere d’Hardouin, fur les livres grecs 6c
latins , réputés anciens. Le.'; plus anciens livres des Grecs font
en vers ; le même ufage obfervé chez prefqiie toutes les nations.
Ibid. 608. a. De la multitude prociigieufe des livres.
Les livres élémentaires fcmblcnt être ceux qui fe font le
moms multipliés. Livres élémentaires publiés en France dans
le cours de trente ans. Projets formidables au public , formés
par quelques auteurs. Ibid. b. Du petit nombre de livres qui
méritent d’être foignciifement étudiés. D u choix des meilleurs
livres auquel on peut fe borner. Avantages qu'on peut retirer
de plufieurs livres écriis fur le meme fujet. Ibid. 609. a. Des
qualité« néceffaircs pour conAituer la bonté d’un livre. De-
L I V puis la décadence dc la langue latine , les auteurs fembleiu
être moins curieux de bien écrire , que d’écrire de bonnes
chofes. Réflexions fur certe parole dc Pline l’ancien , qu’il n’y
.a point de livre , quelque mauvais qu’il fo it, qui ne renferme
quelque chofe de bon. Confeil de lire , non pas beaucoup dc
ciiofes, mais beaucoup. Réglés pour juger des liv re s , foit par
préfomptidn , foit par la leAiire. Ibid. b. Marques plus particulières
de la bonté d’im livre ; 1“. fi l’auteur excelle dans la
partie abfoluinent néceffaire pour bien traiter tel ou tel fujet
qu'il a choifi , ou s’il a déjà publié quelque ouvrage eAimé
dans le même genre ; 2®. fi le livre roule fur une matière qui
demande une grande leAure ; 3°. fi l’auteur a donné beaucoup
de tems à la compofition de fon livre. Ibid. 610. a. Diverfes
obfervations fur les ouvrages auxquels on a confacré un tems
cojifulorable. 4°. Les livres qui traitent de doéiriiie , doivent
être compofés par des auteurs défintéreffés. 3°. Confidération
de l’âge de l’auteur. 6°. De fon état 8c de fa condition. Ibid. b.
7°. Du tems & du fiecle auquel il a vécu. D e la réglé déjuger
d'im livre par fa groffeur. Remède fort aifé contre l’immen-
fité d'un livre. La brièveté d’im livre eA une préfomption de
fa bonté. Auteurs à confiiltcr fur ce qui concerne les livres.
Ibid. 6 1 1. U. Le mot livre fignifie particuliérement une divifion
ou feélion dc vo lume , voyei Se c t io n . Il fignifie quelquefois
un catalogue qui renferme le nom de plufieurs perl'onnes. L ivres
des cenfeurs./W<^i b.
Livre. Origine de cc mot. IX. 460. b. Etuis dans lefquels
les Romains mettoient leurs livres. 627. b. Livres faits de
papyrus 6c de feuilles de parchemin entremêlées. XI. 849. a.
Forme qu’avoient les livres des anciens. X IV . 410. a. Pratique
des anciens pour conferver leurs livres. X V I I . 437. b.
Livres trouvés dans Herculanuin , voye^ Manuscrits. D e
la méthode que l’auteur d’un livre doit obferver. X. 460. a , b.
Autres obfervations fur l’art de compofer des livres , voyeç
O uvrage. Du titre des livres. X V I . 3 39. a. D e leur dédicace.
V , 822. a. Obfervations fur les préfaces des livres. V llI . 280.
l . Des livres qui fe rapportent à la religion : réflexion fur la
défenfede lire les livres des hérétiques. VIII. 139. b. D e l’u-
fage de brûler les livres des incrédules. 397. b. Cenfure de
livres en matière d e re lig io n .il. 819. b. Des livres contre
les dogmes religieux. 738. b. En quelle langue les incrédules
devroient écrire leurs livres. 1. 241. a. Conduite qu’un gouverneur
doit tenir à l’égard des mauvais livres qui tombent entre
les mains de fon éleve. V II . 797. a. Congrégation établie à
Rome pour examiner les livres. V I lI . 673. a. Caufe des faux
jugemens que le commun des leAeurs porte fur les livres. IX.
333. a , b. Singulière prévention où l’on eA à Paris contre
le s livres auxquels on a ajouté un carton. II. 731. a. Homme
poffédé de la fureur des livres. II. 228. a. Plans méthodiques
•Jùr lefquels un homme dc -lettres doit difpofer fes livres. 739.
h. Catalogue raifonné des livres difficiles à trouver. 763. b.
Cenfeur de livres. 8 1 8 . , b. Privilège delivres.XIII. 3 9 1 .é.
Enterreur de livres.XV II. y^y.b.
Livres dc compte des Romains. X V . 8 1 1 . i.
L ivre. {Relieur ) Relicure d'un livre. X IV . 70. b. L1\tc relié
, à lac.tmelote , II. 371. i. à la grecque. VII. 9 io .i.C o u v er -
tiire de livre. IV. 422. é. Fermoirs. VI. 341. a , b. Gouttière
dans un livre relié. VII. 78a.<r.
Livre. Obfervations fur les infcAes qui rongent les livres.
Suppl. III. 764. b. Moyens de les préferver. Lcffive pour nettoyer
les livres. Ibid. 763. a ,b.
L ivre oavcrr, chanter ou jouer à , {Muftq.) il cA rare 8c
prefquc impoffiblc qu’un muficien excite une partie récitante à '
livre ouvert , auffi-bien que s’il l’avoit déjà jouée quelquefois.
Mais il doit pouvoir exécuter une partie de rempliffage comme
il fau t à livre ouvert. Suppl. III. 766. a.
L ivre. ( Comm. j Différens regiAres dans lefquels les marchands
tiennent leurs comptes. Livres de comptes 8c livres patrimoniaux
des anciens. Explication de lamnniere dont les né-
gocians doivent tenir leurs livres. IX. 6 1 1. b. Du livre d’envoi
& de fon ufage. Livre d’un faAeur on courtier. Livre de
comptes courans. Livre d’acceptations. Livre de remife. Ibid.
610./?. Livre de dépenfe. Livre des marchandifes. Livre par
mois. Livre de vaiffeaux. Livre des ouvriers. Livre de cargai-
fon. Livre de banque. Ibid. b. Livre appcllé Amplement de ce
nom. Ce qu’on appelle en Angleterre livre de tarif. Ibid,
(•i-i. ...
Livres , regiAres fur lefquels les ncgocians écrivent toutes
les affaires de leur négoce , 8c même leurs affaires do-
meAiques qui y ont du rapport. Les marchands ne peuvent ab-
foliimcnt fe paffer de ces livres. Nations qui ont inventé la manière
de tenir les livres en parties doubles. D e la maniéré
de tenir les livres en parties Amples. Livres uéeeffaires
Livre mémorial , de la maniéré dc tenir ce' livre. IX.
613./».
Livre journal, ce qu’il doit renfermer , maniéré de le tenir.
Modèle dun article du livre iournal, IX. 613. b. Voyez
Journal. •
L I V 13 S
Livre,grand- Livre d’extrait ou de raifon. ÎX.613./'. D e là
fo rme âcdcrufag ede ceHv rc. Exemples d’un article en débit
6c d'un article en crédit. Table ou repertoire qui fert à faciliter
l’ufage du grand livre. Ibid.Ci^. a.
Livre de caiffe & dc borderaux. Objet de Ce livre. Comment fi;
met le titre de ce livre. Exemple d’un article en débit 6c d’un
article en crédit. IX. 6 14. i.
Livre des échéances. Modèles pour faire comprendre toute la
forme 8c tout l’ufage de ce livre. IX. 6 13. Voye^ Carnet 6»
Bilan.
Livre des numéros. Forme dc ce livre. Maniéré dc le tenir.
Modèles de la page à droite 6c de la page à gauche. IX,
613. b.
Livre des comptes courans. YX.. 616. a.
Livre des ccmmijjions. IX. 6 16. a.
Livre des acceptations OU des traites. IX. 616. a.
Livre desremifes. IX. 616. <7.
Livre dc dépenfe. IX. 616, a.
Livre des copies de lettres. IX. 616. a.
Livre de ports de lettres.YX.GiG. a.
Livredes vaijfeaux. \X.GlG.a.
Livre des ouvriers. IX .616.i.
Livre de banque. Tous ces livres par rapport aux monnoles
ne fe tiennent pas de la même maniéré dans les différentes
villes de commerce de l’Europe. Explication de ces d ifférences,
pa,r rapport aux villes fuivanies. Celles de France 6c de Hollande;
Bcrgame, Boulogne en Italie ; Dantzic 8c toute la Pologne
; Francfort, Nuremberg 6c prefque toute l’Allemagne ;
G en e s, IX. 616. b. Hambourg, Lisbonne, Florence , Livourne
, les villes d’Angleterre , d’Ecoffe 6c d'Irlande ; Madrid
, Cadix , Séville 6c toute rEfpagne ; Mcffmc , Païenne
6c toute la Sicile ; Milan , Rome , Venifi; , Augsbourg, Bolzano
, Naumbourg, Geneve , Raconis, les villes de Savoie
, celles dé Suilî'e, Ancône , Luqties, Ibid. G ij. a. N o v e ,
Malte , les échelles du Levant , les villes de Hongrie, Straf-
bourg , Berlin, Suede, les villes du Danemarck 6c celles de
Mofeovie, Ibid. b.
Livre de bord.YX. 617. h.
Livre de foubord : ordre 6c ufage de ces liv ré s , dans les
vaifl'eaux & le commerce maritime. IX, 617. b. Modelé d’uti
livre de foubord. Ibid. 618. j .
Livre numéraire. ( j\Ionn. Comm. ) Les Juifs 6c les Grecs
ont e u , comme nos nations modernes, des monnoies imaginaires.
Les Romains ont inventé le feAerce. Monnoies fran-
çoifes qui ont juAement valu une livre ou vingt fols. Origine
de la livre françoife 8c des vingt fols qui la compofent.
IX. 618. a. Comment le fol qui étoit à-peu-près ce qii’cA au-
jourdhui un écu d’argent, n’eA plus qu’uue légère piece de
cuivre d’alliage , 6c la livre qui repréfentoit douze onces d’argent
, n’eA plus que le figne repréfentatif de vingt fols de
cuivre. La livre numéraire des Anglois 8c des Hollandois a
moins varié que la notre. Variations auxquelles il faut avoir
égard , quand l ’hiAoire nous parle de livre ancienne.
Ibid. b.
Livre. Parties aliquantes 8c aliqiiotes d’une livre, I. 270. b.
Comptes par liv re s , fols 6c deniers. III. 782. a. Carte dreffée
par M. Derius, où l’on voit la valeur rcfpcélive de la livre
numéraire fous les difi'ércns régnés. V . 938. b. Anciennes livres
romaines.X. 63 i.<i.
Livre rom.iine , {Poids & Mefiire^ poids d’ufage chez les
Romains. Scs parties. Diverfité entre quelques auteurs fur
l’évaluation de la livre romaine. SyAcme de Biidé , celui
d’Agricola ; l’iiypothefe la plus commune aujourd’hui cA
qu’il n’y a que 84 deniers dans cette livre. Preuves de ce
fentiment. IX. 619. a. Comment M. Eifenschmid a mis ces
preuves dans un très-grand jour. Nouvelle hypothefe dc M.
de la B a rre , dans laquelle il foutient que la livre romaine
étoit compofée dc 96 deniers , 6c fon once de 8 deniers.
Preuves de cette hypothefe. Raifonnement dc l’auteur fur
cette matière, tiré des faits memes, qu’aucune opinion ne
peut conteAer ; par où il paroît qu’on ne peut établir fur ce
l'ujct aucun fyllême que fur des opinions qui fe contredifent.
Ibid. b.
L ivre, ( Comm. ) poids d’un certain rapport. Deux différentes
livres en ufage en Angleterre. Livres de France. Celle de
Paris 8c fes divifions. IX. 620. a. C elle de L j ’on. Celle de Ve -
nife. Q uant aux différentes livres des différentes villes 6c pays,
leur proportion, leur réduAion , leur divifion, l’auteur donne
ce qu’en a recueilli dc plus intéreffant M. Savary dans fou
diElionnaire de commerce. Ibid. b.
L iv e y poids : obfervations fur la livre de France, fes fou-
divifions 8c fes différences. XII. 856. b. Livre des apoticaires.
861. a. Livres de divers endroits comparés avec le poids de
Charlemagne. Suppl. IV . 448. a , b.
Liv r e , {Comm.Monn.) monnoie imaginaire ; livre Aer-
ling , livre tournois 6c parifis , évaluation de ces livres. IX,
620. b. T j’ois moyens qu’on avoit anciennement en Angle