.'f
‘I •
,
U C
Moyen artthmaïquc, /''ci^fjMiLlEU,
MuVtN , terme, (^PhyjUj. ty Jjiron. MILIEU,
Mo'iZympropo/iionnelle, ( Gtom. ) moy^june ])ioportion-
relle arichinctique. Moyenne ijroportionneile gcomctriciuc.X.
S 4 4 - i . ToyLq Pr o po r t io n 6-Pro po r t io n n e l .
Moyenne & extrême riiifon , ligne tliviiée Icloil cette proportion,
V I. 3 58. a.
M oyen , ( Junfpr. ') moyen jnflicier. Moyen fjgnifie quelquefois/
«t/tV//. Suceéderpar moyen, dans les coutumes d Anjou
âc du Maine. Moyens , preuves que l’on emploie dans un
mémoire ou plaidoyer. Moyens d’appel. X. 844.^ h.
Moyens. Danger d'en employer de mauvais. Suppl. I. 816.
Ä. Moyens lublidiaires. X V . 382. a. Moyens licis-décifoires..
IV. 680. a. l’article V o ie .
Moyenne jurifprudcnce. IX. 83. a. Juftice moyenne. 96. a.
M oyennes idées, ( Lop,iq.) exemple de la maniéré dont
elles lient une conl'équence médiate avec fon principe. III.
892. U. Leur omifllon rend difficile à faifir laüailonde deux
propofitions. Ibid. b. Les idées moyennes rendent nos con-
noiflances intuitives. IbiJ. Sc 893. n. D e la difpofition du
terme moyen du fyllogifme avec les deux autres termes. V L
7 7 2 .0 , b.
MO YEN V i e , ( Géo-^r. ) dans le pays de Salins. Suppl. IV.
750. b. Saline de ce lieu : fon produit , abattues de cette fa-
linc. I. l î . i. Sa l in e . X IV . 531- j , b , &c.
M O YSE , fjuvé des eaux , ( Hiß. facr. ) Icgiflatcur des
Juifs, fris d'Amrain & de Jocabcd, de la tribu de Levi.
HiAoirc de fa vie Si de fon minillere. Suppl.Wl. b. Livres
facrés qu’il a écrits. Ibid. 973. b.
Moyfe , légiflateur des Juifs. Etymologie de ce nom. VIII.
89. b. Femme de Moyfe. Suppl. IV. 779. b. 780- a. Comment
ce légiflateur gouverna Si jugea Ifraèl. IX. 90. a,
EtablilTement des premiers magifirats Hébreux par Moyfe.
836. <t, b. Des livres de cet écrivain facré. X ll. 313. b.
Par qui ces livres fe font confervas. VIII. 86. a. Comment
la langue de Moyfe s’eft .altérée. 84. b. — 86. a , b. Con-
noilîancc de Moyfe dans r.allronomie. I. 784. i. Sentiment
de Pic de la Mimndoie fur la fource d’où Moyfe tira fes
lumières pour la compofition de fa loi. V llI . 750. a. Syftè-
mes des difféiens auteurs pour expliquer l’origine des cho-
fes d’après les livres de Moyfe. X. 742. b , ô’c. Livre des
Juifs qui contient des explications cabaliftiquos fur les livres
de cet écr;vain facré. X V II . 723. a. Du récit delà mort de
Moyfe contenu dans le Deutéronome. IV . 924. a.
Moyfe, faux meffie de ce nom. X. 406. b.
M O Z AM B IQ U E , {Géogr') ville fur la côte orientale
iPAfrique. Importance de cette place pour les Portugais qui
l ’ont bâtie. X. 8I43. a.
MoiamL-ique. Canal Sc iJle de ce nom. ProduéUons de l'ifle.
Obfervations fur les naturels du pays. X . 841.4.
Mozambique. Defcription des peuples de ce pays. VII I.
347. a.
M O ZA R A B IQ U E , mcjfe , étymologie du mot mozsrabi-
que. X . 399. b. 91 1 .4.
M U
MUANCES ou Mutations, {^Mußq. anc.') détînitionsque
les anciens en ont données. Cinq efpcces principales de muances.
X. 843. h.
Mu a n c e s , {^Maßq.mod.) diverfes maniérés d’appliquer
aux notes les fyllabes ut , re, mi, fa , & c. félon les diverfes
pofitions des deux femi-tons de l’o ftavc. Les muances devenues
inutiles par l'addition de la fyllabe fi aux fix premieres de
la gamme de î’Arétin. X. 843. i.
M U C H L I , ( Géogr. ) autrefois Tegée. X VI. 3. a.
M U C ID E , p4r;/e. Dans les alimens c’ell la feule alimentaire.
XI. 221. a. Voye^ MuQUEUX.
M U C IL A G E , ( Chym. Pharm. & Mat. médic.'j fubftances
dans lefquelles le mucilage réfide. Propriétés & u lag e médicinal
des mucilages, tant à rextèrieur qu’à l’intérieur. Emploi
du mucilage fous confiflunce de gelée. Opération pharmaceutique
qui confiflc à réduire le mucilage en gelée. X.
842. 4.
^ Mucilage. Emplâtre de mucilage. V . 389.4. Tirer le mucil.ige
d’une gomme. V IL 736.4, Les dlllolutions de mucilage font peu
durables.XV. jy ^ b . MUCILAGINEÜSES, /^/74f£>fft. ) elles font ou
conglobées ou conglomérées. Leur defcription, leurs fitua-
tions , leurs ufages. X. 846. b. Voyez Havériennes ,
GLANDES.
M U C O S IT É , tous les couloirs , conduits &
réfervoirs font enduits d’une Inmieur nniqueufc. X. 846. b.
C ’efl principalement cette humeur qui fournit la matière des
tumeurs que les anciens ont appellees tumeins froides. Pourquoi
&. comment ces tumeurs nailTent dans les glandes. Caufe
de leur fuppuration ou dégénération en ulcere. DiflinéHon
entre ces tumeurs froides , & un autre genre de tumeurs cwni
V i U E
nues fous les noms de fléatomes , atèromrs , tnéliccris , 8cc.
IbtJ. 847. 4.
Mucofué. La imicofité animale eft au fond une même
ftibllance que les parties organiques des animaux. X V . 383.
b. Miicüfité dans les articulations. Suppl. III. 234. b. Comment
les imicofités peuvent être portées dans les imellins. IV.
947. b. Mu q u eu x (S'M ucus.
Mucosité du nez, comment elle fe forme.
Glandes dont l’enveloppe membraneufe qui revêt l’intérieur
du nez, eft remplie. X. 847. a. Maladies de cette membrane.
Caufe de l ’abondance de la liqueur muqnciife des narines dans
les rhumes. Comment le froid & la chaleur produifeiu ce
même effor. Pourquoi , lorfqne récoulement ceO'c, l’on ne
peut fe moucher qu’avec difficulté. Pourquoi l’iifage de quelÎ
Liepoudre âcre & fubtile fait couler la imicofité des narines.
aiife de l’abondance de nuicofité entraînée par rétermiment.
Il eft impoflîblc que U pituite tombe du cerveau , comme
quelques-uns l’ont cru. Ibid. b. U tilité de l’humeur muqueufe du
nez , & en général de celles qui fe filtrent dau.s tous les conduits
& réfervoirs du corps de l’animal. Ibid. 848. a.
Mucofué du nez. Diverfes obfervations fiir ce fujet. XII.
664. a fb. &c. Suppl. IV. 13.4. 104.4. Maladies qui proviennent
de faqiialitéviciée.XI. i i j .b .
MUCUS , qu’on apperçoit dans tous les endroits ou l’épiderme
fe détache. IV . 382.4. VIII. 263. a. Voyez Mucosité
& Muqueux.
M U D D EM üR G , mine de diamant dans ce lieu. IV.
939.4.
M U D ER IS , ( Hifl. mod. ) doéleurs chez les Turcs chargés
d’enfeignerralcoran& les loix du pays. Leurs appointemens.
MUE , ( Ornithol. ) caufe de la mue des oifeaux. X . 848. a.
Dans les p oules, les approclies, la durée & la fuite de la mue,
fufpend leur ponte. C e n’efi donc pas le froid de l ’iiiv e r , qui
empêche les poules de pondre. Singularité obfervée d.nns les
moineaux de la côte de Bengale ,appellés bengalis : fouvent ils
fo n t , après la mue, d’une couleur difTéreine de celle qu’ils
avoient auparavant. Parmi nos poules , la couleur du |)ln-
mage fouffre quelquefois des changemens dans la mue. Ibid. b.
M u e , (Jurifpr.) X. 848,i.
M u e , ( VarinierS X. 848. è.
M u e , ( forte de piege , vol. III des planch, ChafTe,
pi. 2 1 .— 23.
M U E T . Divers auteurs & favans qui fe font occupés de
l’arc d’apprendre à parler aux muets. Premier inventeur de
cette méthode. X. 849. a.
Muet. Pourquoi certaines blelTures à l’épaule ont tout-à-
coup fait perdre la parole. V . 737. b. L’organe de la parole
demeure oifif s'il n’efi mis en jeu par les impreflïons
de l’ouie. IX. 232. b. Voyez Surdité. D e l’art d'apf
rendre aux muets à parler , à lire & à écrire. IV . 31. Suppl,
V . 330. ^.332.4. 333.i.
M uet , Gramm. ) i . Des confonnes appellees muettes. Di-
vifion commune des confonnes en muettes & demi-voyelles.
Cette divifion abandonnée. To ute confonne efl muette par fa
nature. IL Des lettres muettes dans Vorthogr-tphe. X, 849. 4. On
a autrefois prononcé des lettres qui ne fe prononcent plus .aujourd’hui.
Il ell vraifemblable aufli que les favans fe font piiis à
introduire des lettres muettes dans un grand nombre de mots ,
pour en montrer la relation avec la langue latine 3 ou pour rendre
plus fenfîble l’analogie de certains mots avec d’autres mots
François. Ibid. b. Mais les écriv.ains modernes ont fupprioié 6c
proferit une quantité de ces lettres. Cependant il s’en faut
encore beaucoup qu’on les ait toutes abandonnées. Lettres
muettes qu’une nouvelle orthographe poiirroit fupprimer fans
défigurer la langue, & fans en détruire l’économie. Ibid. 830.
4. Autres lettres muettes, qui probablement ne difparoîtront
jamais de l’écriture , l’a après le ^ , cette même lettre après •
le g & le c , pour en rendre la prononciation dure , 6c l'e
après le g pour en adoucir la prononciation dans certaines fy l-
labcs. Ibid. b. Inconvéniens de l’e 6c de 1’« , placés après le
g 6c le c , comme dans le mot George, que la lettre e induit à
prononcer comme dans géographe , 6c dans le mot aiguille ,
qu’on efl tenté de prononcer comme dans anguille, 6cc. Ibid.
831. 4.
Muet , ( Jurifpr. ) comment fe font les procédures à l’égard
d’un aceufé qui efl muet par nature, 6c à l’egard d’un
muet volontaire. X . 8 31.4.
Muet. Teflament d'un muet.XVL 193. b.
Muets, {Hifl.mod.turq.') deux fortes de gens qui fervent
à divertir lesfiihans, favoir les muets 6c les nains. Langue inventée
par les muets, 6c que ceux qui vtrulent faire leur cour
apprennentavec foin. X . 8 31.
Afattj du grand'feigneur. IL 2 6 8 .4 , i . IV . looy. a. Suppl.
IL 601. 4.
Muet, vin. X V I I . 300. b.
M U E T T E ( My/A.) déefTedu filence.X, 831.^.
M u e t t e , {^Vénerie) deux acceptions de ce mot.
8 31.«.
M U E Z IN ,
W:
il
M U L
MU EZIN , (Hiß. )homine qui convoque lesmahomé-
taiis à 1.1 pricre. ParoIe.s qu’il crie. Comment les 'l'tircs fe moquent
du babil des Grecs. Comment le peuple de Sétines renie
le.s interval!esdefajournée.X.83£.Â.
MU rF LE , nom d’une plante , terme de vénerie, ornement
d'architeéhire, X . 8 31. é.
M uffle de Uon, ( Botan.') 1. 496.4.
M U i'T l , voyiqMupElTI.
MUGE NOIR, (Ichthyol.) defcription de ce poifTon. X.83 2,4.
Muge voLini. Defcription de ce poifTon. X. 8‘r 2. a. Voyez
Suppl. 1.793.^.
Muges jcfpeces appellees fume, X IV . <<)6. a. 6c vandoife
XVI. 830.4. •'
M U G U E T , ( Botan. ) caraiRcres de ce genre de plante.
( , ’d l la prineip.de efpeee du vrai lis des vallées. 6a defei iption.
X .S 3 2 .4 .
MuGUET,ptW,ou des bois, ) fa defcription. X. 83 2.4.
M uG U p , (thym. M.U.medic. ) propriétés dedlciirs de cette
plante. C e ll fous forme d’eau clléniielle qu'on doit réduire le
imiguvit pour i'iifage. Maladies auxquelles cette eau peutcon-
veu:r. .Mi.nle're de l’employer. Eau Ipiritiieufe de flairs de nni-
gtict. Siernutaroire fait de ces fleurs fcdiées. D.verCcs préparations
auxquelles le muguet efl employé. X. 83 2. b.
M U ID , ( Comm. ) mefui c idéale fort en ufage en Fi ance.
Muid de froment. Muitl d'avoine. Muid de charbon. Muid
de vin. X. 833. 4.
M uid d 'e a u , ( Hydr.)i\ contient luiit pieds cubes, la toife
cube vingr-lept m u id ', le pied cube iremc-fix pintes, 6c le
pouce ciiDe la quaraïue-huiiicinc partie d’une pinte. X.833.4.
MU LATR.il, (Tame de voyag.) qui font ceux que les
Lfpagnols appellent/«4/4I4, ÖC ceux que les Portugais appellent
metis &Ljumbos.^a{zn5 appelles/««hd/cs dans les iiles tran-
çoifes. Loi de Louis X IV cumie les François qui feroieiu
convaincus détre peres de mulâtres. Inconvéniens tic cette
loi. X. 853. b.
M u l a t iu s , avantages qui font réftiliés pour les colonies
du comme'rce des Européens avec les négrellés, 6c de l'exi-
fle’ nce des mulâtres. Suppl. III. 973. b.
MULGIBER, ( Myihot.) furnom de Vulcaiii. Defcription
de la chiuc des mauvais anges par Milton. X. 834. 4.
MOLE tr.ivcrjine. (Alaréch.) éiuppl. III. 412. 4.
M u l e , (Cordon.) travail de cette elpece de chaufTiire.
Supi'l. IV . 814. é. 813.
MULET ou cabot, ( Ichthyol. ) defcription de ce poiflbn
Comment il fe noim it Qualité de la ehair des mulets de mer
6c de ceux d étang. X. 834. a.
Mulet des Mohiqiies nommé blanak. Suppl. I. ço6. a.
M u le ts , (Hijl. nai.) voyez -^um a r t . Mulets du re'^iie
anmi. l 6c du legiie végétal. Ibid. Origine des plantes mulets
Suppl. IV. 78S.
M ulet. (Maréch.) X. 834. a.
Mulet. Ferrure des mulets. V I. 334. b. Organes de leur
VOIX. XVII . 434. b.
M u l e t , (Jardin, maniéré de former des plantes-mulets.
Opération par laquelle on n«.ur altérer le coût 6é eliancer les
pioprictés d'un finit, X. 834. l.
* Mu l e t , ( P clIic) defciiption du filet employé à la pêche
du mulet, 6,- de lamanieie donc fe fuit cette pèche. X. Sta.
.MULErié-REb , (Bcc/ic ) forte de filet, maniéré d’en faire
ufage. X. 834. b.
Mu/eikres flottées 8c pierrées, vol. VIII. des planch Pêche
pl. 14.
M U LE T T E , (/ûrwco/m. ) géfier des oifeaux de proie. Mii-
Ictte enijilottéc; double mulcucj maladie de ces oifeaux.
Comment 011 le.s guérit. X. 833. 4.
M Ü LHAUSEN , (Géogr.) ville impériale d’Atlemagne.
Diverfes calamités qu’elle a ibufîerces. Sa fituaiion. X. 83 5. .r.
M uliiausen ou MuUtüufe, (Géogr. ) ville Capitale d’une
pcmcré'publique d'Allemagne. Son origine. Ses révolutions.
D ü u vient le nom de Mulhavfcn. Sa fitiiation. X. 833.4.
Mulhaujcn , (Géogr.) événement remarquable arrivé dans
ion voifinage. Suppl. III. 974, 4.
MULIER, (/Vc/;e) forte de filet. Manierede s’en fervir
à la [léclie. X, 833. b.
MULLER, fes ouvrages. VII. 943. b,
M u l l er , (Henri) fes ouvrages. IX. 709.4.
Mu l l er , (M. ) académicien Rufîe. Ses ouvrages fur la
Ruflie. IV. 233. 4. ^
M uller, (./4C44c’j ) pliyfiologlfle. IV . 349. 4.
M u l l er , phyfiologific. Suppl. \W. 364. b.
MULLEUS, (H iß. anc.) chauiïure des rois d’A ibe 6c de
6'ir. X. 833. b.
M U LO T , (Hifi. nar.) defcription de cet animal. Lieux
que CS mulots fréquentent. Tems où ils font en plus grand
l P"’ Hifloire naturelle de ces animaux. X. 833. a. Com-
len 1 s ont nuifibies. Ravages qu’ils ont faits en HoUaiule.
egats qu ils firent anciennement à Tenedos. Origine du
urnom c.e minünen donné à Apollon. Médailles'de Tenedos
lur lefqud es des „ „ lo is font g b vé s . lb,d. >S<6. a.
lotnc II. ” ‘
M U N
Mu/ols. Moyens employés pour les foire périr. [.
220. 924. b. 6c pour empêcher leurs dêvallations à l’égard
des jeunes plantes. Suppl. IV. 773.pour les^ détruire. 4. Propriété de la houille V llI . 324. b.
Indes dans les états du
Wogol. Gommercc de la province de ce nom. Revenu que
Icmpereiirdu Mogol en tire. X, 836. a. ^
M U L llN O M E , (Mat/iérn.) méthode pour élever un
mulcmome quelconque infini à une puiflance quelconque, ou
pour en extraire la r.icine quelconque. X. 836. b.
Mulimomc, quantité. Ul. 768. b.
MULTIPLE, (Anihm.) nombre multiple d’un autre. Rai-
Ion niulnple. Nombre fous-multiple. Point multiple en géométrie.
X, 83Ö. b. r h
MtdùpU point muliiplc. XII, 8 71 . i . Quantité, raifon fous-
multiple. XV , 419, 4.
miMiltiUp LicTaItePuLrI 6CcA l eP EmUulRtip, l(ic ^aUndr/e’.O DT.)e qmuaenliqéurée de placer le manière qu’on
mmuelmtiep liper olduuniet. pXar. 8l’3au6.t rbe. trois quantités, elles donneront le
, MU LTIPL ICA l iO N , ( ‘I^rithm. ) comment cetteopératlon
s execute dans l arithmeiiquc vulgaire. Multiplication fimple.
A . 637. a. .Vlultiphcatioii compofée. Ibid. b. Preuve d e là
multiplication en croix. Muhipheation en géométrie. Ibid.
858. 4. Explication 8: démcmftraiion des regies. Ibid. b. Q u elques
réflexions fur la multiplication tant arithmétique que
géométrique. Ibid. 839. 4, Sur la multiplication des frayions,
voyez F r a c t io n 6c D écimale.
7 Pytliagore pour cette opération,
i. 9. X ü i. 614. b. Baguette' de Neper pour le même ufage.
A l. 96. a , b. Multiplication algébrique. 1.676 . 4. Multiplication
des expofans des piiiffimces. VI. 312,6. Miihiplici- une
pmilancc p.ir une autre de même racme.XllI. 336. é. Multiplication
des IraRions, \ ’ I1 263. 4. de, fraélions décimales.
iV . 669. 4. Multiplication dans les calculs des conduaeurs des
mines. VU. 638. b.
PLEMMvELNX\TV. LlCA^^O^S des animaux. (Zoolos.') ACCOUM
ul t ip lic a t io n des plantes, (.J.trdin.) moyens que la
nature leur a donnés de fe reptoduire. Muhiplicaiion imi-
verfeile des végétaux, en joignant l'art à la nature : méthode
t onnée par Ag,nco\iL, AgncuU.p.trfakc, page 220. Expofuion
de cette méthode. X. 859. b.
MultipLicaimn. De i'art de multiplier les plantes. Suppl. IL
29. a. Des dllTérentes maniérés dont cette multiplication fi*
fait. 1. 3 ^t. 4 , b. 322.4. Combien elle efl prodigieufe.
Suppl. II. 43. 4. De la multiplication par boutures, par marcottes
, par femences. Voyez « s mots. Multiplication des plantes
par leurs feuilles, VI, 634 b. de celles que cultivent les
jardiniers fieurifles. 836. b. Obfervations fur la multiplication
des plantes. II. 343, b.
A IU L T ITU D E , méfiez-vous du jugement de h multitude
dans les matières de raifonnement, dans celles qui fuppo-
fent beaucoup de conuoilTances Sc de goût, dans la morale ,
& dans les chofes de léminienr. La multitude n’a raifon qu'au
bütit d’un très-long tems. X. S60. a.
M U L T IV A L V É S , ( Conchyol. ) les coquilles diflribuées en
trois chiles , les univalves, les bivalves Ôc les multivalves.
X. 860. 4. Six familles des multlvalves. Ibid. b.
pont de Rome. XIII. 26.4.
MUMOO-JUMBO , (Hifl. mod.Superfl.)tI^tzt de fantôme
dont les Mandingos, peuple de l'inténeur de l’Afrique, fe
fervent pour tenir leurs femmes dans laf'oumiffion. X. 860. b.
Evenement tragique arrive â l'occafion de l'indifcrécion du
roi de Jagra, qui eut l.i foibleife de révéler à une de fes
femmes tom le fecret de mumbo-jumbo. Ibid. 861. a.
.MÜMMIUS, (Lucius) vainqueur de Corinthe, fair tranf-
porter à Rome de précieux rnonumens de peinture 6e de;
Iculpture. XIV. 837. b.
MUNASCHIS ou hiunafchilcs, ( Hiß. mod. ) fcéle de
mahometans attachés à la mécempfycofe. Expofuion de leur
doariue. Etymologie du nom Munafehis. Lieu où cette fcéle
eil l'u r-touc nombreufe. X, 861.4.
MU NCH ENSTEIN,( Géogr. ) baiili.ige du canton de Bafle.
Comment ce canton en a fait racqulfuion. Obfervation fur
le château & le village de ce nom. Suppl. III. 974. 4.
MG'NDA , (Géogr.') ancienne ville d’Efpagne. Viéloire de
Céfar prés de ce lieu. Mimda n’a confervé ni fon ancienne
grandeur, ni fa dignité. X. 861. a.
M U N D IC K , (Aîinéral.) nom anglois donné à une fub-
france, qui n’efl autre ciiofe qu’une pyrite. Caraéleres du
mundick. X. 861. b.
M U N D IF IC AT IF , emplâtres mundificaiifs : leurs principaux
Ingrediens. Mundificatif d’ache. X .8 6 1 . b.
MUNDINUS , fes connoiflances anatomiques. I. 413. 4.
M U NDUS, (L in .) {qSo que Romulus fit creufer. Comment
il traça l’enceiiue de Rome. X. 8 éi. b.
M Ü NGÔ , (Bot. exot.) graine des Indes. Plante qui la
produit. Ufage de ce légume, X, 861. b.
X x x