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716 S U D Sucre; (^Phamac. MiU. medic.) affinité entre le fu c re&
le tartre. X V I I . 297, l>. D e l’nfap^e du fucre dans les remedes.
X V. 776. a. Des moyens de faire du vin avec du fucrc.
X V II . 193. b. 2C)4. ü , b. Sucre vermifuge. X. 37^. *1. Sucre
tic lait. IX. 209. /'. Scc.
Sucres tirés dt diféreiis vcgéi.nix. Celui qu'on a retiré de I.1
pl.nme appellee chervi. III. 299. a. Sucre du vin de palmier
ou cocotier. V I ll, 43 4. b. Sucre de bambou, voyr^; T.\baxir.
.Sucre de f j lum c , IChym.) XII. 77^. d.
S ucre des Arubes. (A/ut. midïc. des Arab.) Les Arabes
ont fait mention de trois efpcccs de fucre, qui font 1“ . le
j'.icchara-ur.dineum , 2° , le tabaxir , defeription de cette plante
: prl.x de ce fucre. X V. 614. a , b. 3". Le facclur alhuffer,
fa dclcription 6c celle de la plante d’oii on le tire. Ibid. 613.
a. Divers ufages qu’on tire de cette plante en Egypte.
Ibid. b.
Sucre anti-fcorbuiique , ( Médec. ) manière de le préparer.
X V . 613. b.
Sucre candi, {^Hip. mod. des drog.) Etymologie de fon
nom. Deux qualités différentes de ce fucre. Maniéré de le
faire. X V . 615. b. Comment on fait le fucrc candi rouge.
Defeription du fucre candi blanc de France , 6c du rouge
ou roux. Divers ufages du fucre candi. Ibid. 616. a. Voye^^
Suppl. IL 199. a.
Sucre d’ciabu ,{^Hip.nat.) c(^tcçs d’érable qui fournif-
fent du fucre. Lieux oîi Us croiffient. Maniéré dont les faii-
vages de l'Amérique fepteturionale , 6c les François s’y
prennent pour faire le fucre d’érable. X V . 616. a. Qualités
6c divers ufages de ce lucre. Aliment compofé avec ce fucre
8c de la farine. Efpece de fyrcp fait avec la liqueur qui
découle de l’érable. Obfervaiions fur cette liqueur. Ibid. b.
Autres .arbres & plantes dont on obtient encore du fucre.
Ibid. 617. J. Expériences par lefquclles M. M arggraf a tiré du
fucre de quelques racines communes en Europe. Efpece de
lyrop quoi) tire du;panuis en Thuringe. Ibid. b. Sucre perlé. {Ph.irm.) X V . 617. b.
Sucre .i Li plume, (^Conf.fcur) ufige qu’en font les con-
fifeurs 6c les apocicaires. X V . 617. b.
Sucre d'or^^e, {Epicerie) voyt^ O rge MONDÉ 6cPÉNID£.
Sucre rojat. {Epicerie) X V . 617. b.
Sucre rouge. {Pharm. ) X V . 618. a.
Sucre royal. \Confifeur) X V. 618. .r.
Sucre tapé. {^SucTerie)'yi^. 618. a.
Sucre tors , {Pharm.) maniéré de le préparer. X V . 618.
a. l ’oye^ O rGE MONDÉ.
SUCRERIE , {Edifice) fa defeription. X V . 618. a.
Sucrerie, {Habitation) defeription du terrein d’une fu-
crerie 6c de la manière de l’employer. Du nombre & des
divers emplois des efclaves negres nécelTaires pour exploiter
une habiratiou d’une grandeur moyenne. DomefUques de la
liiailbn. Econome fous la régie duquel font les efclaves. Traitement
des negres en cas de maladie. Ibid. b. Traitement
par lequel on doit éprouver les negres qui fe difent malades.
Ménagement donc les maîtres doivent ufer envers leurs
efclaves. D u revenu annuel d’une fucrerie. Deux fortes d’ouvriers
dans les fucreries , diftingiiés par les noms de fucriers
6c de rafiineurs. Ibid. 619. a, Eoye^ Negres des colonies.
SU C I IO , {Géogr. anc.) fleuve 6c ville de ce nom en
Efpagne. Defeription du cours du fleuve , aujourd’hui
nommé le Xucar, Bataille donnée auprès du Sucro. XV.
619. a.
S U D , {Géogr.) différentes plages marquées du nom de
fud fur le compas de mer. X V . 619. é.
Su d , mer du Sud.X. 368. b. Grande diverfité qu’on remarque
dans les habitans des terres de la mer du Sud. Suppl.
IV . 713. b. Obfervation fur le paffage de la mer du Sud
fans doubler le cap Horn. X V L 181. a. Sur le paffage dans
la mer du Sud par le nord - e fl 6c par le nord - oueft, voye^
Passage. Vents du fud. X V I!. 21. b. Vents de la mer du
Sud. !. 271. a. Caufe de la chaleur du vent du fud. VIL
3 1 3. i . Circonflances qui peuvent le rafraîchir. 316. b.
Sud , compagnie du ÇComm.) voye^ COMPAGNIE.
Sud , compagnie angloife du ( Comm. &.H ifi mod. d’Angl. )
Précis de l’hiftoire de cette compagnie. X V . 619. b.
Co.MPAGNiE ij/2g/oi/î des Indes ,{Comm.)\ii(io\rz abrégée
de cette compagnie. X V . 620. a. Ses principaux établiffe-
mens aux Indes. Détails fur fon commerce, Sc fur fa police.
Réflexion fur les compagnies que la Grande-Bretagne a établies
pour l'Amérique. Fruits de ces établiffemens. Ibid. h.
SU D AM IN A , {Médec, anc.) petites rougeurs qui viennent
fur la peau des jeunesgens. Caufes de cespuflules. Remèdes
à employer. X V . 621. a. Voye^ DÉSUDATIon.
S U D A T O IR E , _^rvre, {Médec.) V I .739. A
SÜDERMANIE ou Suderman-land, {Géogr.) province de
Suède. Ses homes 6c fon étendue. Ses produélions. Ses principales
villes. X V . 621. «t.
SUD O RIF IQ UE 8c Sueur artificielle, ( Thérapeut.) deux
fortes d’évacuations cutanées diflinguées par les noms de
tranfpiration & de fiteur ; les remedes qui excitent la pre-
S U E mîeré font appelles diaphorétiques 8c diapnoiques , & ceux
qui excitent, la lueur , font appelles fudorfiques & hydrotiques.
Mais les mêmes remedes font capables de ces deux
eftets qui ne difterent que par le clegié. Différence entre
la matière de la tranfpiration 6c celle de la fiieur. Inllucnce
coiifidcrable de la tranfpiration fur la famé. L’évacuation
critique la plus générale 6t la plus sûre dans les maladies
aiguës, c ’eft la fueur. Utilité de cette évacuation dausplu-
fieurs autres maladies. En quels c.as les fudoriflques doivent
être employés. Ces remedes confidérés très-généralement,
different beaucoup cnti’eux. 1°. D e la fueur excitée par
l’exercice. ^°. Difterens moyens extérieurs, Ibid. 622. a. 8c
médicamens intérieurs propres à l’exciter. Maniéré de les
aclminillrer. Ibid. b. Des précautions à obferver dans leur
ufage. Ibid. 623. rt.
Sudorifique. Ufage du bézoar-minéral d’antimoine comme
fuclorifique. IL 221. h. Ufage de la valériane. X V I. 8i6.^.
Les (udorifiqiies moins efficaces que le mercure dans les maux
vénériens. X IV . 372. a.
SU D S E T E T E , ( Critiq.facr. ) mot grec qui fignifie rechercheur.
Explication d’un paffage des épitres de S. Paul ou il eft
employé : I. Cor. I. 20. Juifs fydfetetes. X V . 623. a.
SUD V /IC en Poméranie, {Géogr,) mines d’ambre jaune
furfes côtes. I. 325. b.
SUE , ( 5 , Jofeph ) anatomifte. Suppl. I. 4 11. è.
SU E D E , ( Géogr. ) étendue 8c bornes de ce royaume.'
Température du p.^ys : obfervations fur fon climat. X V .
623. a. Précautions qu’on y prend contre le froid. Provinces
de la Suede. Ses produétions dans les trois règnes. Hif-
toire abrégée de ce royaume. Ibid. b. Son gouvernement.
Principaux magiffrats ou officiers de l’état. Ibid. 624. a. Des
revenus tlu roi de "Suede. Adminiffration de la juflice. D e
la religion 6c des eccléfiafliques. i/'ij'. Les titres de comte,
de marquis, de baron , introduits en Suede par le roi Eric,
vers l’an 1561. Dépofition de ce roi. Forces militaires du
royaume. Fonds établis pour leur entretien. Obfervations fur
les Suédois. Les lettres 6c les fciences encouragées parmi eux,
Ibid.h's.e^.a.
Suede. Obfervations fur les mers de Suede, qui prouvent
que ce pays n’eft pas fort ancien. X . 359. a , b. Des montagnes
glacées de ce pays. Suppl. 111. 232. a. Pluies fréquentes
en Suede : comment on y a remédié. Suppl. IV .
417. a. Alines de fer qu’on y trouve , -voye^ AcibR. Ces
mines plus ellimées que toutes les autres. V I . 193. b.Mx-
nes d'argent dans ce pays. I. 639. b. Toits des maifons du-
nord de la Suede. Suppl. U. 644. b. Premieres canes géographiques
' de la Suede. VII. 612. a. Converfion de la
Suede au chrillianifme. Suppl. I. 896. b. Droit de Suctlc;
Idée des loix qui gouvernent ce royaume. V . 141, b. Du
corps des reprélentans. X IV . 143. b. Quatre états en Suede,
la iiobleffe, le c le rg é , les bourgeois Ôc les payfans. VI. 21.
a. Pourquoi un roi de Suede ne pouvoir entrer dans im
légifiat fans garde. IX. 333. b. Armes du r o i, planche 15
du blafon , vol. II. Chancelier de Suede. III. 106. é. Sénateurs.
X V . 8. a. Exhortation adreffée par un féuatcur de
Suede au gouverneur de riiériticr de la couronne. IX. 360,
a. Eloge de l’académie de Suede toute vouée à l'utile. V .
730. a. Obfervations fur les Suédois , VIII. 346. a. leurs
progrès dans l’aflronomie , I. 791. b. leur goût pour la métallurgie.
X. 43 4. b. D e la prononciation de la langue fuédoife.
XIII.438.é.
SU E L , {Géogr. anc.) ville de l’Efpagne Bétique. Iiifcrip-
tion relative à cette ville. X V . 623. .7.
SUEN O N , ( H f i. de Danem. ) roi de Dnnemarck, fils &
fucceffeur de Harald. Defeription de fon régné. Suppl. IV ,
840. b. SuENON I I , {Hifi.de Dan.6>d’Anglet.) roi de Danemarck
8c d’Angleterre , fils d’ü lp h ', 8c fucceffeur de fon oncle
Canut I du nom. Principaux événemens de fon reene. Suppl.
IV. 840. b.
SüENON IL Affaires entre ce roi 8c Herald, prince de Nor-
wege. Suppl. III. 290. a.
S^UENON I I I , furnommé Gratenkede , fils naturel 6c fucceffeur
d’Eric Einund. Hifioire abrégée de fon régné. Suppl.
IV. 841.^.
SuENON III. Canut Alagmiffon lui difpute la couronne.
Stfppl. II. 220. b.
SUER, {Jardin.) blés 8c foins en fueur. X V . 623.i.
Suer, {Fabriq.de tabac) comment on fait ftier les feuilles
de tabac. Bâtiment appelle fuerie , oû les plantes de tabac
font apportées pour le faire fermenter. X V . 623. b.
SUERCHER I , (îfty?. de Suede) roi de Suede. Caraélerc
de ce prince8c de fon tz^ne.Suppl. IV. 841. b. SuERCHER I I , roi de Suede, fils de Charles Suercherfon ,
6c fucceffeur de Canut Eriefon. Principaux événemens de fon
régné. Suppl. IV. 841. b.
SU E S SA -A R U N C A , ( Géogr. anc. ) ville d’Italie dans la
Campanie, qu’il faut difiinguer de Suejfia Pometia (V o y e z
PoMETiJ. ). Eloge que Cicéron fait de cette v ille , gui de
il ■ : \ ■
S U E fon tems avoir le titre de municipe. Elle devint colonie ro
maine en deux époques dlffércmes , favoir l’an 440 c
Rome , 8c fous le régné d’Augufie. X V . 623. b. Obfer
varions fur la v ie 6c les ouvrages tic Caïus Lucilius, chevalie
romain 6c poète latin , né à Sueffa l’an 603 de Rome. Ibid
626. a.
SuESSA-PoMETiÀ,{Géogr. anc.) ville d’Italie dans IcLa
tium. Précis de fon hilloire. X V . 626. é. V o y e z P o.m e t ia .
SU E S S IO N E S , {Géogr. anc.) peuples de la Gaule bel
gique. Céfar les met fous les Rhemi. Le nom de ces peu
pips eff différemment écrit par les anciens. Il paroît qu’il
habitoient le pays connu préfemement fous le nom de diocefc
de Soiffons. XV. 626. b.
SÜE SSITAINS, le s , {Géogr. anc.) peuples de l’Efpagne
citérieure. Ils paroiffent être les mêmes que les Cocerani
Tite-Live leur donne pour villes Vergium 6c Corbio. X V .
627. a.
SU E T E , {Médec.) voyo[ Sueurangloise.
S U E T O L T , BU FO L 't', {Ichthyol.) poiffon de mer. Sa
defeription. Q ualité de fa chair. X V . 627. a.
SU E V E S , les , {Géogr. anc.) peuples de la Germanie.
Divers peuples ont porté ce nom. X V . 627. a. Depuis le
cinquième fiecle , les Sueves ne paroiffent plus avoir été
qu’un peuple particulier, fixé dans le pays des anciens Her-
munduri. Ils s’étendirent peu-à-peu jufqu’aux fources du Danube
8c j ufqu’au lac de Confiance , 6c donnèrent leur nomà
tout ce pays. X V . 627. b. Foye^ Sua b e .
Sueves, Obfervation fur leur hifioire. Suppl. II. 230. a.
Chevaux qu’ils nourriffoient pour en tirer des préfages.
389. b. Comment le culte de la deeffe Ifis fut établi parmi
eux. V I lI .9 i4 .é .
SUEUR, ( Phyfiol. ) raifons qui perfuadent que la fueur
eft une liqueur abfolument artérielle. Il eft conftant qu’elle
différé félon les variétés de l'air , du climat , du fexe , de
l ’àge , ^c. Nature de cette liqueur. Divers phénomènes fur
l ’écoulement de la fueur. X V . 627. b. Mauvais effets des
Tueurs abondantes. Sueurs critiques ôc falutaires. Ibtd.6i^.b,
Sueur. Le fonds de cette excrétion eft une vapeur exhalante,
qui fort d’un nombre infini d’arteres , dont les orifices
font ouverts de tous côtés dans la peau. Secrétion
glanduleufe qui fe mêle à la fueur. Comment h graiffe y
contribue. Caufes de la fueur. Parties du corps où cette
excrétion fe fait en plus grande abondance. Caul'es qui influent
fur fa couleur 6c fur fon odeur, Sueur critique. Sueur
purement fymptomatique dans les commencemens des fievres
6c dans leur crudité. IV . 842. a.
Vaiffeauxquila fourniffent. .Sitp/i/. IV. 263. b. 264. b.
Sueur jaune des Perfans. VIII. 477. a. Les chats 8c les
chiens ne fiient jamais. IV . 383. b. Il eft convenable ,
avant de changer de linge dans les Tueurs, de fe faire frotter
modérément. V II. 3 07. b.
Sueur , ( Médec. Séméiotiq. ) prognoftics que l'on peut
tirer des Tueurs dans différentes maladies. X V . 628. b. On
peut dans les Tueurs , coufidérer la quantité , la qualité,
les parties par où elle fe fa it , le tems de la maladie auquel
elle a lieu , 6c l’état du malade qui l’éprouve : ce font-là
les principales fources d’où découlent tous les fignes qui fe
tirentde la fueur. i. Sueurs qu’on doit en général regarder
comme avaiitageufes. Ibid. 629. a , b. 2. Sueurs qui font
craindre quelque fymptôme fâcheux déterminé. 3. Sueurs
qui fourniffent un prognoftic fâcheux, ou même qui donnent
lieu de craindre la mort. Ibid. 630. a , b.
Su e u r , (AJei/rc.) petits boutons caufés par les fueurs
âcres. IV. 889. b. Fievres aiguës accompagnées de fueurs
immodérées. VI. 739. b. Commenr on modéré les fueurs
colliquatives.XII. 333.i . Sueurs ammoniacales dans certaines
fievres. X IV . 913. b.' M oyens d’exciter la Tueur. X V . 621.
b , 8cc.
Svi-VK angloife, { Médec.pratiq.) maladie particulière aux
Ang lois, dont la fueur eft le fymptôme principal 6c l’unique
remede. En quel tems elle a commencé en Angleterre.
Différentes années dans lefquelles elle a exercé Tes ravages ,
X V . 631.^7. foit dans les pays étrangers, foit en Angleterre:
elle n’attaqiioit que les Ang lo is , dans la clerniere épidémie
qui arriva en 1331. Symptômes qui accompagnoient cette
maladie. Perfonnes qui y étoient le plus expofées. Recherches
fur l’origine de cette maladie 6t les caufes de fon iii-
vafion en Angleterre. Ibid. b. Quelles furent les années les
plus meurtrières. Ibid. 632. a. Traitement qui paroitle plus
ialutaire pour cette maladie. Ibid. b.
Sueur , ( Maréch. ) maladies du cheval caufées par la fueur.
Suppl. 111. 409. a. 42Î. b.
Sueur , ( Corroyerie ) ouvrier , qui autrefois travailloitles
cuirs au fortir de la main du tanneur. XV. 633. j .
Sueur , ( Eufiache le ) peintre. V. 321. u. Suppl. Î.90. b.
SU E Z , ( Géogr.) petite ville d’Égypte. Les anciens i’ap-
feMoiencHéréopolis. Défavantagede fa fituation. Mauvais état
de fon port.XV, 633. a.
Suez , golfe de , {Géogr, ) X V . 633. a.
Tumt H.
S U E 717 Suez, fihmede,{ Géogr.) fon étendue. Vains efforts de quelques
rois pour couper cet iftlime. N’ayant pu y réuffir, on fe
contenta de creufer un canal qui joignoit le Nil à la mer
oug e, Sc ce fut alors que les ports de cette inercommcn-
ecrent a être fameux. X V . 633. Projet fingulier que forma
Gleopatre, apres la bataille d’A élium, mais qu’elle n’exécura
pas. Ibid. b.
entreprifes pour le coupee. IL 382.
b U i - l -L l tb , c’étoit les principaux magiftrats
Oicz les CartiMgmois. Durée de leur autorité. Quelles croient
leurs fondions 6cpouvoirs.XV. 632. i. Vo v e rivG ls iX f, „
SU F F ISAN T , SUFFISANCES^ fignifica-’
lions de ces mots. X V . 633. b. ®
Suffisant, Imponam, A .rogm , {S y nm .) différences
dans la lignification de ces mots. X V . 624 a
s u f f i s a m m e n t , (S ;,™ ,,!) différences dans le
lignification 6c 1 ufage de ces mois.XV. 634. u. Voyez A ssez.
SUF F ISANTE, G r ,!« , ( 7'ééoéog'. ) gr.ice qui Cuffit pour
que nous puiffions agir , quoique nous puiffioiis l’avoir fans
agir. Preuves qui etabliffent ce point de doélrine. X V 634
a. Partage entre les théologiens fcholaftiques fur la nature
de cette grâce. Luther, Calvin 6c Janfenius l’ont reiettée
Ibid. b.
Suffisante raifon, ( Mhaphyf. ) tous les hommes fui-
vent naturellement dans leur conduite le principe de la raifon
fuffifante. Si on vouloir nier ce grand principe , on tom-
beroit dans d’étranges coucracliéHons. X V . 634, b. S’il pouvoir
arriver quelque ciiofe fans une raifon fuffifante , il n’y
auroit point de chofes identiques ; on ne pourroit même
plus dire que cet univers n’a pu être produit que par une
fageffe fupréme. Ufage qu'Archimede fit de ce principe dans
la méchaniquc. Ce même principe eft encore le fondement
des regies 6c des coutumes , qui ne font fondées que fur ce
qu’on appelle convenance. Il a banni tous les raifonnemens
à la Icliolaftique. Ibid. 633. a. Argument contre la raifon
fuffifante , tiré de l’exiftence de l’umvers. La plupart des faux
raifonnemens ne viennent que de l’oubli de ce principe. Ibid. b.
SU F FO C A T IO N , {Phyfiol.) elle procédé de différentes
caufes ; mais on n’explique ici que la fuffocarion qui réfuire,
1 “. delafiibmerfion, XV. 633.^. 2°. de la privation d’air dans
la machine du vuide, 3°. lorfqu’on monte fur des lieux fort
élevés ; Ibid. 636. a. 4“. quand on refpire un air trop chaud ,
co n den fé,ou rempli de vapeurs niiifiblcs aux poumons’.
Bateau que fit Drebel pour aller fous l’eau ; liqueur par
laquelle il prèveiioiiles lùffocatious auxquelles on étoitexpofé
dans cette machine. Ibid. b.
Suffocation. Différence entre le carus Sc la fuffocation
hyftérique. II. 733. b. Suffocation dans le catharre. 772.
a. Angine fuffocatoire. V . 977. a. Caufe de la fuffoéatiori
par la foudre , la vapeur du vin ou du charbon. VJI c •'o j b
Suffocation , ( Médec. légale ) des fuffocations caufées
par certains vices intérieurs , d’où réfulte une mort ftibite.
Caufes extérieures accidentelles de fuffocation. Examen des
cadavres de ceux qui font morts de l.i vapeur du charbon
allumé. D ifficu lt de décider par la foule infeéUon du corps,
fi c’eft à une violence extérieure , ou à cette vapeur, qn’orî
doit attribuer la mort. Suppl. IV . 842. b. Morts fobites caufées
par violence extérieure , fans qu’il paroiffe aucun fi^ne
fur le cadavre, qui puiffe l’indiquer. Caufes légères en apparence
qui peuvent donner la mort felon les différens tem-
péramens ou les diverfes circonftances. Etat des cadavres
de ceux qui ont été fuffoqués par affaffinat ou violence extérieure.
Marques de violence fur le corps , qui rendent
complette la preuve de l’affaffmat. Ibid. 843. a.
SU F FO LK , ( Géogr. ) province maritime d’Angleterre.
Ses bornes 6c fon étendue. Anciens peuples de cette pro.
vince. Hundreds, villes 8c paroilfes qu’elle renferme. Qualité
du pays. Obfervations fur quelques hommes célébrés de
cette province 6c fur leurs ouvrages ; Robert Groffe-tête;
X V . 636. a. Guillaume Alabafter; Jeau Baie; Jean Bo y s;
Ibid.C'^j. a. Jean 6c Laurent Echard; Benjamin Calamy ;
Guillaume Wotton. Ibid. h.
Suffolk. Beurre de cette province. II. 218. a. Ses côtes
expoféesà être fubmergées par le fable. X V . 370. b.
SU F F R A G A N T , {Jurifpr.) évoques fuffragans des mé-'
tropolitaius. X V . 638. a. Voyei^ EvhCHÉ.
Su f f r a g e , (/«/-/(pr.) les fuffrages doivent être libres.
Les fuffrages uniformes de deux proches parens ne font
comptés que pour un. Ouvrages à confulrer. X V . 638. a.
Suffrage, ( Hifi.mod. Jurifpr. ) maniéré de recueillir les
fuffrages dans les conciles. III. 813. b. De la liberté des
fuffrages dans ces affemblées. Ibid. Des fuffrages dans les
affemblées de la dicte d’Allemagne, IV . 974. a , b. dans le
parlement d’Angleterre. XII. 40. a. Maximes fur les fuffrages
dans la démocr,atie. IV. 816. b. 817. a. De la maniéré
de donner fon fuffrage en levant la main. IX. 117. a. Des
fuffrages par ferutins. X IV . 813. b. Sur les fuffrages , voye^
O piner , Opinion , V o i x .
Suffrage, {Antiq.rom.) le peuple donna long-tems fon
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