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P L A N C H E T T E , (^Géomcr.) defcriptioii de cet inftru-
Ttieiu. XII.69C;. b. Ses ufages. 1". Prendre un angle avec la
.p!anclicttc,ou bien trouver ladiftance de deux endroits par
une feule & même flation. 2'. Trouver avec la planchette la
dilhince de deux endroits, dont l'im cÜ inacccfliblc. IbiJ. 700.
U. 3^^. Trouver la diftance de deux endroits inacceflibles.
4“. Lever le plan d’un champ par une feule Hation, d’où
l'on puiflê voir tous les angles. Lever le plan d’un champ,
d ’un bois, en allant tout autour. Maniéré de changer le papier
qui e/l fur la planchette. Ibid. i . Ufage de la planchette quand
on veut s’enfervir comme d’un grapliometre ou d’un demi-
cercle. Manière de prendre un angle avec la planchette ,con-
fidéréc comme un cercle entier; confidéréecomme un demi-
cercle; confulérée comme une écpierre d’arpcntcur,& garnie
d’une houlTole, ou comme une planchette ronde. Ibid. 701. a.
Planchette ronde, )defcriptlond'un inllrument
de cette cfpcce. Ufage de cet inllruinent. Voye^ D emi-cercle
, ik ce qui eft dit dans ranicle précédent de la planchette
conlldérée comme pLinclictie ronde. X ll. 701. b.
PLirtcharc, terme de fellicr, de tilTiuier-rubannier, de
tourneur & de vannier. XII. 701. h.
P L A N CU S , {Luetiis Munacius^ fondateur de Lyon. IX.
776. h.
P LA N E , {Inflr. d'ûuvr.) inflruincnt qui fert à préparer,
unir & polir le bois, ou d'autres matières. XII. 701. é. Plane
ordinaire à un ou à deux tranchans. Planes des plombiers,
de trois fortes, la plane de cuivre , la plane droite 8c la
ronde. Plane des arqnebufiers. On parle des autres planes aux
articles des métaux pour lefquels on les emploie , ou des
•ouvriers qui s’en fervent. Ibid. 702. a.
deferiprions de celles de divers métiers, des arque-
btiftersjdes boiireiicrs , des charpentiers, des charrons, des
fermiers, XII. 702. u. des plombiers 6c des potiers de terre.
Ibid. b.
des chapeliers. 111. 161. a.
P L A N E R , explications des opérations défignécs par ce
mot dans divers arts 6c métiers. XII. 702. b.
PL.ANÉTAIRE , ( Ajlron. ) lyllèmc planétaire, heures planétaires
, jours planétaires, années planétaires, quarrés planétaires.
X ll. 703. il.
P l a n é t a ir e , (^Ajlron.) Inllrument qui repréfente le mouvement
des planètes. Piaiiétairos les plus connus. Efpeces de
pendules auxquelles on peut donner ce nom. SuppL. IV . 398.
a. Ouvrage à confulter pour cette dernière forte de machine.
Ibid. b.
P L A N E T E , [Ajlron.') étymologie de ce mot. Dillinéiion
des planètes, en principales 8c en fecondaircs. La terre mife
au nombre des planètes. XII. 703. a. Defcripiion du mouvement
(le ces Corps d.in- leurs orbite«. Les planètes principales
diOinguées en fnjjérieuros 8c en inferieures. Le fyllénîc
découvert par Copernic avoir été enfeigné par Pvthagore.
Mais le commun des philofophes cmbralfa enfuite 'celui qui
luppofe 1 immobilité de la terre. Enfin Copernic eft venu
tirer de l'oubli l’ancien fyflême de Pythagore, Funique 8c
vrai fyflême du monde. Ibid. b. Oblervations fur chaque
planete en particulier. Nature de.s planètes. Elles font des
corps opaques, fphériques, éclairés par le fo le il,d e même
que la terre. Oblervations qui le démontrent. Ibid. 704. ,7.
Autres relfemblances des planètes à la terre. On a lieu de pen-
fer qu’elles ont leur atmofpherc propre, des montagnes ,
des eaux, des mers, 6’c. auiri-bien que des terreins fees:
]iar conféquent, rien ne nous empêche de croire, felon plii-
lieiirs philofophes, que les planètes font habitée«. Ouvrage
de M. de Fontendle fur la pluralité des mondes. Preuve fmgu-
liere que donne M. Wolf de la taille gigantefquc qu’il fiip-
polé aux habitans de Jupiter. Ibid. 703. a. Il va jufqu’à
déterminer que cette taille doit être de 14 f de piés. Oblervations
fur le railbnncmcnt de M. Wolf. M. de Fontenelle
penfe au contraire que nous ne pouvons avoir aucune idée
de 1a figure des habitans des planètes, 6c il a])puie cette opinion
par des raifons très-lngénicufes. .Mouvoueiis des planètes.
Phafes Sc autres phénomènes qui en dépendent. Irrégularités
apparentes de ce.s moiivemens , caufées par la pofi-
lion Sc le mouvement de la terre. Ibid. b. Nature de la
courbe des orbites des planètes. Inclinaifons de ces orbites.
Ligne des noeuds. Excentricité des planètes. Explication pliy-
hque de leur mouvement. Ibid. 706. b. D'oii ('épend la
forme des orbites planétaires. Les mouvemens des planeies
clans leurs orbites ne font pas uniformes ; mais leurs irrc»u-
laricés fuivent une loi certaine. Explication de cette loi ,
dànontrée premièrement par Kepler, 6c enfuite expliquée
par Newton. Ibid. y a j. a. Selon ce dernier, il n y a aucune
ration inéchanique de la dirc'clion générale du intmvemciu
des planètes d’occident en orient, de leur mouvement de
rotation, 6c de l’inclinaifon de leurs orbites: ce philofophe
n’en donne d'autre niilon que la volonté du Créateur. L’hy-
pothefe des tourbillons renverfée. Explication ingénieiife
que donne .vl. DernoiiI!i du mouvement de rotation. Ob'e-
ct«)n des Csrtéfiens ccuure le Nevtonianiluie ; fi le fo le il,
P L A
difcnt-ils, auiroit les planètes, elles devroienc s’en approcher
faris cclTo, au Uéit que tantôt elles s'en approchent,
tantôt elles s'eu cloignept. Réponfe à cette obj.céltou. Calcul
du mouvement 8c du lieu d'une planète. Ibid. b. Proportion
entre les périodes des planètes 6c leurs dillances du folei].
Anomalie d’une planète. Son mouvement eu lougiiude ,
diftingué .en «loyen 6c en vrai. Comment on peut trouver
Je lieu d’une planète dans fon orbite, fincervallc de lems
depuis qu'elle a pallc par fon aphélie étant dovmé. Phénomènes
du inpuvcirem des planètes. Proportions génénücs,
diamètres, 6c dillances des diftéremesplauctes. Configuration
des planètes. Ibid. 7.08. a.
PLANETES, [Ajlron.) des caraéJeres par Iclcf^iiets on les
repréfento. Ouvrage à cqnlulter fur ce fiijct. (fionnoinancc
que les anciens curent de La planete venus. Comment les
Grecs parvinrent à connoitre les autres planètes. De la maniéré
de les difiinguer des éxoiles fi.xes. Suppl. IV. 398. b.
D e leurs révolutions St des inégalités qu'on y obfervc. Principal
problème de l’allronomie à l’égard des plancres. Table
de leurs longitudes moycnucs poiirle premier janvier 1772 à
midi moyen au méridien de Paris. Calcul de la longitude
héliocentriquc réduite à l'ccliptiquc. Ibid. 399. a. Sur la maniéré
d'en conclure la longitude géocemrique, voye^ l’article
L o n gitud e . Suppl. Des tables des mouvemens des planètes,
6c de leur milité. Articles principaux que renferment
celles qui fervent à calculer le lieu d'une planete pour un
tems quelconque. Allronomes qui ont publié des tables du
mouvement des planètes. Des perturbations que les planètes
éprouvent. Leurs parallaxes annuelles par lefquciles on a
trouvé leurs dillances. D e leurs eUametres appareils. Ibid. b.
Méthode pour avoir leurs diametres en lieues. Méthode par
laquelle Newton cA parvenu à connoitre leur niafl'e. Table
qui ctsniient le réfultat des obfervations les plus récentes fur
les révolutions, les grandeurs 6c les dlAancesdcs planeies.
ü n y trouve leurs révolutions tropiques, fydéréales ôcfyno-
diques : leurs diamètres en minutes 8c fécondés tels qu’ils
paroîtroient fi les piaiietes étoient toutes à la diftance du
foleil à la terre. Leurs diametres en lieues, 8c leurs diamètres
par rapport à la terre. Leur grolî'cur ou volume 8c leur den-
fité : leur mafl'e : la vitelTe des graves à leur furface ; 8c enfin
leur difiance moyenne à la terre./éii/. 400. , i . Obfervation
fur le ealcul de cette table, 8c fur Ibn ufage. Eloge de
l'hypothefe de M. de Buffon fur la formation dos planètes.
Ibid. 401. il.
Phnctc. Ces afires diftingucs des autres. Suppl. I. 663. a.
Moyen de les diftingucr dans le ciel. Ibid. b. Les planètes
difiinguées en premieres, XIII. 289. a. Sc fecondaires.
Satellites. Leurs diametres appareils. IV. 942. a. Suppl,
II. 712. b. 6c ïidis.- ibid. Leurs hémifpheres. Suppl. 111.
322. é. D e leur denlité. SuppL\\.6c)y. Manière de la déterminer.
VII. S73. rf. XI. 124. é. Applaiilfemeiit des planètes
vers leurs poles. XI. 123. j . D e la pefameur dans chaque
planete. Suppl. IV . 308. a , h. D e leurs fâches. X V . 814. a.
Seniimens de MM. de Fontenelle 6c Huyghens fur les habitans
des planctes. X. 640. b. D e la gravitation qu’elles exercent
réciproquement eutr’elles 6c le Ibleil. V IL 871. c , b,& c.
Perturbations caufées par leur attraftion réciproque. Suppl,
IV . 305. b. 333. b. Centre de gravité coinnum du foleil 8c
des planètes. XL 124. b. Orbites qu’elles dccrix’-ent. 576. <r.
Poyc^ Ellipse. Leurs révohition.s. X L 123. a. X IV . 237. b,
Suppl. 1. 663. b. Harmonie entre leurs dillances du foleil 8c
leurs périodes autour de cet afire. XII. 360. b. 361. u. D e
leur mouvement de rotation. Suppl. I. 663. b. Suppl. IV.
Ô79. b, &c. Comment M. de Fontenelle explique leur roulement.
412. a. Milieu clans lequel elles fe meuvent. 111, 442. b,
Mouvemeut diurne d’ime planete , métiiocle pour le trouver.
IV . 1087. il. Excentricité des planètes. Suppl. II. 909. k.
Aphélie des planètes. 1. 523. b. Suppl. I, 482. Aoficles.
I. 561. b. Comparaifon du mouvement d’une planete, d’un
apfidc à l’autre, aux ofcillations d’un pendule. Ibid, irrégularités
apparentes de leurs mouvemens. IV, 1023. b. Leur
rétrogadation. XIV. 218. a. Leur fiation. X V . 493. b. 496.
a , b. Ces irrégularités expliquées par le fyfiême du mouvement
de la terre. XVI. 167. b. Diverfes inégalités dans le
mouvement des planètes. V . 837. u. VIII. 693. h. Suppl. I,
663. b. Leurs aberrations. Suppl. I. 27. a. Rapport entre les
aires parcourues par les planètes 8c les teins employés à les
parccïiirir. I. 238. a. XI, 376. u- Du lieu des planètes. Comment
011 fixe le lieu moyen d’une planete pour un inftant
quelconque. V. 833. b. Moyen de déterminer fon lieu vrai.
857. ,2. Trouver la difiance du lieu vrai d’une planete à fon
aphélie. Ibid. Longitude gcoccntrique des planètes. V IL
606. il. Lcjngitude héüocentrique. VUI. 102. a, b. Moyen
de trouver l'ime 6c l’autre. IX. 683. a. Le mouvement des
planctes rapporté à l’écliptique. Suppl. I. 66). b. Incliiiaifoii
de l'orbite des planètes. V llI . 630. b. XII. 692. a. Suppl-
I. 663. b. Suppl. IIL 570. U, b. Leurs noeuds. XI. 184. b.
Suppl. I. 663. b. Suppl. IV. 36. b. Phénomènes remarquables
lorfqu’elles font dans ces noeuds. IX. 304. a. Latitude géocen-r
hI
P L A
t rip le des phmetes. V II . 606. a. IX. 303. b. Latitude hélio-
ceiurjque. VIII. 102. a , b. IX. 303. b. Difianccs des planètes.
Suppl. IL 730. a , b. Tems qu’elles empioyeroienc à def-
cendre vers le foleil. 703. a. Diirerencc de la difiance d’une
planete au foleil, 6c de la difiance réduite au plan de l’éclip-
liqiie. IV . 579. Afpeéls des planctes. L 756. A D e leurs
coiijonélioijs cntr’elles 6c avec le foleil. IIL 874. a , b. D e
leurs oceuhations pur la lune ou par d’autres planctes. Suppl,
i l. 761. b. Liongatioii des planctes. V . 328. b. Dicreilion
des planctes. Suppl, i l. 721. u. Leur parallaxe. XL 902. b.
&c. Ulage qifon en tire pour connoitre leur difiance à la
terre. Ibid. Tables des planctes. Suppl. IV . <j22 .a,b 6-c.
Auteurs qui ont donné des rhéories des planctes, 6c’ qui oiu
calculé leurs perturbations réciproques. 534. a.
Planete.s , ( l'idol.) elles furent les premiers-objets
des cultes idolatre.s. X V . 203. b.
PLANETES, [Ajîrolo^r,) leurs infiiienccs fur les corps
tcriefires , 6c fur les hommes. VIII. 729. ,2. — 738. a. Les
phmetes difiinguées en mafculines, féminines 8c liermaphro-
dices. X. 171. b. 172. il. D e leurs alpeéls. I. 736, b.
PLANETES, [Akhym .) prétcudue fympathie des olai'ctes
avec ceriums métaux. X V . 866. b. Anciemieté de‘ iufa>'c
des noms des planètes donnés aux métaux. III. 427. .z. °
Plan et e , ( fu/j/imV) defeription de cet infirument XII
708. a.
P LAN IM É TR IE , [Géom.) h planimétric s’exéeme par 1 iiiagi; ^ i e calcul de difierentesmefiires qiiarrée«. X ll. 708. b.
PLANISPHERE, [Ajlronom.) projcitüoit de la fphere 8c
de fes cercles fur une furface plane. Cette projeélion expliquée.
PlaniJ'phere, repréfemation faite fur un plan des orbites
que les planètes décrivent. PUnifpkere , infirument allro-
noimquii di^iuon fe fert pour obfcrvcr les mouvemens des
corps celefies. Pluiiifphores de Ptoléiuéc, de G emma Frifiiis,
^ de Jean de Royas. XII. 708, b. Définit de ces projeétions.
Nouvelle projeélion de la Iphero, imaginée par M. de la
i-fire. Ibid. 709. a.
Plan is ph e re , ajîrolabc, ou andemme, [Ajlron.) infirument
aftroiioniique qui étoit fort en ufage dans le dernier
fieçle.^ Auteurs qui ont écrit fur l’afirol.abe de Gemma Fri-
fius. Suppl. l \ . 401. il. En quoi il confific. Son ufage. Afiro-
labe de 1 lolomee. Celui dont Copernic a donné la deferip-
uon. Ibid. b. Cartes célefios appellees planifpheres. Ibid.
PLinifphere, plan de projeifiion pour les planifpheres. I.
779. b. Efpece de planifphere appelle analcmme , 398. b. Pla-
mfphere mouvant, ouvrage d'horlogerie. V l i l . 303. b.
PLAN-O RBIS, [Conchyl.) coquillage univalve fiuviatile.
Sa dcfcnption. Finit efpeces de ce coquillaire. X ll 700 a
P L A N F A G EN E T E , ( / / ÿ . le s ° c r k i . | „d & 'l«
antjqLiaires n ont jain.ais pn trouver i’oriuine & l'étyniolorie
* ! ce mot. Rois d'Angleterre auxquels ce nom fut donné.
AU. 709. « ü n n ctt point d'accord fur celui qui l'a porté
le prenucr. Origine de ce mot felon Skinner. Son feniimciit
refute. Autre opinion qui n’efi guère mieux fondée, ibid. b.
IL A N T A IN , (i^ata/7.) car.iéieres do ce genre de plante.
Ses elpieecs. a II. 709. b. Defeription de la plus commune.
Lieux ou elle croit. Singularités de i’cfjiece qui croit aux
environs de Paris. Obfervations fur ce genre do plante félon
le fyfiémo de Linnæus. Ibid. 710. .2.
Pliinuin, efpece de ce genre nommée kolojleum. VIII
247- ‘i.
Pl a n t a in , [M .u. médic.) grand, moyen & petit. Ses
propriétés & fes ufages. XII, 710. a. Oofervations fur l’eau
de plantain. Ibid. b.
IL A N T A IR E , [Anatom.) nom d’un mufcle. Sa deferio-
tlon. Aponévrofe plantaire. Arceres plantaires. Nerfs plaii-
lairos. XII.710.Z-. Vo y ez Suppl. II. 6 6 i . a , b.
P L A N T A T IO N , [Morale) vertu morale nécefiaire à la
lociecé, & que tout legillateiir doit preferire. Il n’efi peut-
être point de foin plus utile au public que celui des phmta-
tioiis. X ll. 710. b. 11 y a eu des héros dans ce genre comme
dans l’art de la deflrué'lion des villes. Sage confeil de Platon
par rapportai! foin de planter. Les fages de l’antiquité plan-
coicnt, vivoient dans leurs plantations, 6c en parioient avec
tranfporr. Virgile a écrit un livre entier fur l’art des plantations.
Divers pafTages tirés de fes ouvrages fur ce fiijet, Ibid.
P I. il. Defeription qu’il donne de la vie ruftique d’un vieillard
de la Cilicie. Plaifirs que pi'ocure ramufement des plantations.
On pouncùt charger un domaine entier de plantations
diftéremes, qui unirneroient également au plaifir & au
profit tlu propriétaire. L ’art qui s’ajipllque à fymmétrifer les
plantations à donner aux arbres des formes régulières, ne
ait que gâter la iiatute, au lieu de l’embellir. Ibid, b.* Le
oin de planter confidéré comme une obligation morale. La
^ devoir eft d’autant plus incxcufablc, qu'il
elt iacuc de le remplir. Chez les Tartares du Daghefian ,
nui ne le peut marier, qu'il „'ait planté cent arbres friii-
■ leis. Lcs plantations ahfolumem négligées parmi nous. Vieilicloiit
perle Lafomame qui s’occiipoit à plantée. M i . 713.0.
P L A 4 5 9
Pl a s t a t iON, (Pot./ardin.) plantationsvcrirablcnicnt unies.
AU. 402. a. fünn de muJuplier les bois blancs eu fiiveur
des pauvres habitan.s des campagnes. Caufes du dépérifTc-
ment des bois; combien il importe d’y remédier. Des arbre
dont les fruits fout bons cuits oiifê clié s , ou fervent à faire
Je cidre. Utilités des plantations pour différentes efpeces de
côte dontl’afpeél ne réveille que
J idée affligeante de la fiérilité , enfin pour la beauté du pay-
la g e .le profit, & fur-tout la fiitisfkélion que ragrieuiieur en
retire. Ibid. b. Il s’agit dans cet article de l’art de fixer dans
une nouvelle fituaiion des arbres arrachés d’un autre endroit
ûc de leur procurer la végétation la plus fùrc 6c la plus
prompte. A l’égard de la bonne méihode d'arracher, voyer
T r a n s p l an ta t io n . D u choix du tems 6c d e là fiufon de
planter. Règles a fuivre par rapport à la qualité du fol , à
la profondeur, ibid.40). a. 8c a fa figure. Direélions rd;.-
tivcs au climat 8c a lu faifon. De la ])rofondeiir des trous.
leur largeur 8c de leur difiance. Manière de préparer
les na-mc.s 6c les branches de l'arbre. Ibid. b. Commeiu on
t.oit hu ranger dans le trou , 8c lepiémimir contre l’efi'ort des
ve:its6caur.'es nccidens qui pourroieml’ébranler./Z-irZ 404 a.
Jlantanon, de l’art de planter. Suppl. H. 29. 22. De la
piantaiion des arbres, foins qu'elle exige de la part du jar-
muicr. I. 381. b, 6-c. Opération qui doit précéder la plan-
mtion. V llI . n . a. bur la plantation des b o is , v o y c rB o is ,
FoRÈT:elpcce de cire dont on fc fert dans la pkmmtion des
arbres. X. 634. b. Symmetric des piamations dans les jardins.
X V . 63 3. b. D e la maniéré de planter les plantes qui envoyées
de loin ont poufTé dans la caiil'e. Suppl. IV. 973. b.
Pl a n t a t io n s , [Comm.) colonies fondées principalement
pour la culture. Confeil de commerce des plantations que
le gouvernement de la Granda-Brccagne a établi. Suppl. IV .
404. b.
P L A N T E , ( Botan. ) définition. XII. 712. b. Analogie entre
les parties des plantes 8c celles des corps animés. Panics des
plantes; la racine, le bois, v.nilléaux veineux 6c artériels,
l’ecorcc, la moelle. Ufage des parties des plantes. Explication
abrégée de l’économie végérale. Ibid. b. Recherches de la
cauie par laquelle la racine oblige à monter la liqueur dont
elle s'efi chargée. Le moiivemcm du fuc nourricier des plantes
eft p roduit, (Ximme celui du lang des animaux , par l’aêlion
de l’air. Découverte des tracliées des plantes, 6c d’une efpece
de rcf'piration qui leur cfi propre. Lbïd. 713 . a. De-là naît
une perpétuelle aélion propre à avancer la circulation dans
les plantes. Voyei^ C ir cu l a t io n de l a s.eve. Effets de la
chaleur du jour 6c de la fraidieurde la nuit furies plantes.
Les vailîeaux ou les parties des plantes ne font que de la
terre liée avec une huile. En quoi confifie le fuc nourricier
de la plante. Altération qu’il fubit à mefure qu’il s’élève dans
les yaifîeaux. Ibid. b. Préparation que les feuilles 6c les
différentes parties des fleurs donnent à ce fuc. Analo'ue de la
génération des plantes avec celle des animaux. La fleur paroit
être le piincipal organe de la génération. Struéliire générale
des rieurs des plantes. Ihid. 714. U/âges de leurs parties
pour la generniion. Cau led e la fécondation 6c de l’accroif-
Icnient du fruit. Difpofition du pifiü pour recevoir la pouf-
fierc des étamines. Les plantes font devenues ficrilcs lorf-
qiielepiftil a été coupé avant que d’avoir été imprégné ds
poufuere. De quelle manière s’opère la fceoiu:a:ion dans les
plantes dont les fexes font féparés. Ibid. b. übfervatioii fui-
giiliere qui montre qu’une plante femelle peut être fécondée
par une plaine mâle , quoique placées à pliifieurs lieues de
difiance l'une de l’aune. Opinions de M. Ccofl’roi fur la
maniéré dont la pouffiere rend les plantes fécondes. Obfervations
(les premiers dévcloppcmens du germe./Z-i./. 713. .j.
Manière dont le germe que l’on fuppole contenu dans les
fommets des étamines entre dans la véficnie de la graine^
Explication des diftérens moyens que la nature emploie pour
la génération des végétaux ,par l’e.xemple de ce qui fe paffe
à cet égard dans le melon. Deux fleurs difiinfies dans le
melon, l’une nuâle, l’autre femelle. Leur dcfcripiioii. Caufe
dos variétés fins nombre qii’on obfervc dans les fruits 6c les
rieurs nouvelles que la ten e produit. Ibid. b. Divifionsdes
plantes , eu égarû à la maniéré dont elles fc nourriffent, 6c
à l’élément où elles v iv e n t , eu égard à leur âge ou périodes ;
à leurs dift'érentes grandeurs; ibid. •p\6. a. à certaines qualités
remarquables. Difiribution des plantes félon M. R a y , en
vingt-cinq genres ou claffes. Ibid. b. Quelques natiiralifics
ont remarqué que les propriétés & les vernis des plantes ont
de l’analogie avec leurs formes, 6c que celles de fembiabie
figure ont des vertus femblables. Ibid. y i j . a.
Pl a n t e , [Bot. method.) deux méthodes fondées fur les
différences que préf'entent les parties de la fruéUfication des
plantes. Gelner,mcdecin fuilfe, efi le premier qui en ait eu
l’idée. Obfervations fur la méthode de Cæfalpin 6c fur celle
do Fabius Cohimna. Suppl. IV . 404. b. Réflexions fur lus
méthodes établies felon les différentes vertus des plantes
Expofition de la méthode d cMo rillbii, ibid. 40«: <t & dé
celle de Magnol. Ibid. b. 7 > • uc