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PeinîS c/i^j Us Romulns. ( Jurifpr. rom.') Les pelncs ufitées
chez ce peuple , t cgircloient ou les biens, comme l’amende ;
ou le corps , comme la ptifon , le fouet, ou la peine du
talion ; ou le droit , comme l'ignominie , l'exil & la fervi-
-tiule ; enfin quelques-uns étoient punis de mort. Détails fur
chacun de ces objets. X lî. 250. u. Supplices des efclaves.
Jbid. h.
Peine, fervitude de peine chez les Romains. X . 727. b.
Peines milit.ùrcs chei Us Romains, {Arc mUit. des Rom.')
O lîjckrs à qui appartenoit le pouvoir de punir. En quoi
■ conliftoient les peines afiliflives & celles d’ignominie dont ou
puniiïbitles foldats. XII. 250. b. Voye:^ Punition.
Peines milic.ùres chez les Romains. 111. 250. a. X.- ^13. i-
Pour quels crimes on décimoit les foldars. IV. 670. a , b.
Trois ibrtes de peines •ufitées comte les loldats qui avoient
■ démérité. 759. a.
Peines mihi.iircs, ufitées parmi nous, voyc^^HATlMENS
mditaires , DÉ&KAD.^TlON , DÉSERTION , DISCIPLINE ,
Maraude.
Peines purifiantes. {Crhiq. fiacr.) L’opinion qu’il y a des
peines purifiantes après la mo rt, Sc que Platon a établie ,
le communiqua d’alîez bonne heure aux peres. Ce tte opinion
reçue par Clément d’Alexandrie. Origene rcconnoit
auffi un feu purgatif.. Dodrine de ce pere fur ce feu. Ouvrage
à confilher. XII. 231. a.
Peines cccléjiafiitpies , AnatHEME , CENSURE ,
Excond>iunication.
Peine .ijjUR:%'c ou corporelle : lorfqu'une procédure a été
civiliicc, le juge ne peut plus prononcer de peine affliélive.
Exception. Ordre des peines affliélives félon rordomiance
-de 1670. XII. 231. .J.
Peine d'amc.nde. XII. 251../.
Peine arbicrai.-c. XII. 251. a.
Peine c.iph.de. XII. 231.*.’.
Peine comminatoire. XII. 231. i .
Peine du compromis. XII. 231, b.
Peine corporelle. XII. 231. b.
Peine de corps. XIL 231. é.
Peine du double, du triple , du quadruple. XII. 251. b.
Peine de faux. XII. 231. b.
Peine gr.voe. XII. 231. b.
Peine injdmanie. XII. 231. b.
Peine légale. X ll. 231. b.
Peine légère. XII. 231. b.
Peine de mon. XII. 232. e.
Peine de nuUilé. XII. 232. a.
Peine pécuniaire. XII. 232. a.
Peine du quadruple. XII. 232. a.
Peine du talion, X ll. 232. a.
peine des téméraires plaideurs. X ll. 232. a.
Peine du triple. X ll. 232. a.
PEIN TAD E , poule de Guinée, perdrix de Terre-Neuve.
{Ornitirol.) Defeription de cet oifeau. X ll. 232. a. Foyc^
P intade.
P EIN TRE, {Peinture) réflexions fur c c fe i i de geiue
fans lequel un peintre ne parviendra jamais au lublime de
l’art. Outre le génie , il finît encore au peintre l’exercice &
l’adrefle de la main, & un oeil accoutume à juger de l’effet
des diverfes produfLions de l’art. Etude néceffaire pour per-
feélionner l’oeil & la main. Quel eft le fcul teins de la vie
propre à cette étude. Un peintre doit connoitre à quel genre
de peinture il ell propre , & fe borner à ce genre. XII. 252.
b. Les jeunes peintres qui ont à coeur de réiiiTir, doivent^cn-
corc fe garder des paitions violentes , en particulier de l’impatience
, de la précipitation & du dégoût. Eftimc diftinguée
que les Grecs accordoient aux peintres célébrés & à leurs
ouvrages. Combien cette diftinfHon étoit capable de foute-
nir l’ardeur d’un artiffe. Stiffrages dont dépend la réputation
du peintre. Il ell des licu.x & des tems où le mérite d’un
peintre cft plutôt reconnu qifailleurs. Les Romains modernes
boas juges en fait de peinture. Ibid. 233. a. Ce qui
relTerre quelquefois les talens des peintres, bc ce qui fem-
bleroit devoir les éteindre , c’eft la manière qu’ils prennent
dans les académies d’après ceux qui préficlcnt à cet art.
FLiyr^ au mot ÉCOLE , la lifte générale de peintres modernes
des différentes écoles. Jbid. b.
Peintre, confeils aux jeunes peintres. Suppl. III. 319, a.
Suelles doivent être les études, les ol)fervations, les re-
crdies d'iin artifte en peinture IV. 493. Connoifiances
anatomiques q\fil doit acquérir. VI. 774. b. 780. è. La fcience
du coftiime néceffaire au peintre. V . 107. b. loS, a. Danger
d'une imitation trop fer^•ile des ouvrages d'un maicrc. 333. i.
La connoifiance de la phyfiqiie ;iéccir?.i_rc au peintre. 878.
a. Les avtiftes doivent s’occuper férieulément de l’équilibre
Se de la pondération des corps. 880. a. Man qu’ils doivent
fuivre pour parvenir à l’exprefflon des caraéleres. Suppl.W.
230. a. Régies prcix)fées fur l’art des carnations. 243. b.
Etudes néceffaires pour l’intelligence du clair-ofifcur. 430.1».
Leçons fur le coloris. 5 1 1. a , b. D e la co.nnoiffance que le
peintre doit avoir de la matière de fes couleurs. 632. i :
Art des couleurs qu’il doit pofféder. 633. a , b. 634. a , b.
Confeil aux peintres de voyager en Italie: lieux qu’ils doivent
y vifiter. Suppl. 1. 91. a , b. Importance du coup-
ü’ccil dans l’artifte. Suppl. II. 64T. a. Secours que tireroient
les peintres de l’étude des poètes. III. 774. es. Avantages
d'un peintre qui joint l’élégance à la correéiion. V . 483.a ,
b. De renthoufiafme du peintre. XVII . 770. b. Principe du
feu qu’on voit briller dans les efquiffes des peintres de
génie. V . 981. b. D e la maniéré dans les peintres. X. 37.
b. Du talent des peintres anciens dans fa perfpeélive. X fl,
437. a , b. &c. Les grands peintres auffi rares chez les anciens
que parmi nous. Suppl. III. 336. æ. Caraélere & défauts
des peintres de l’école tofeane. Suppl. II. 904. a, b.
Suppl. III. 33. b. Obfcrvations fur les ardftes de l’école
romaine. Suppl. II. 243. b. Suppl. III. 257. a. Enumération
de quelques chefs-d’oeuvre des peintres italiens. Suppl. I.
91. a. 92. a. Des peintres de genre. V IL 397. b. Peintres
qui fe font diftingués dans le nud, XI. 273. b. dans les
carnations. Suppl.W. 243. é. Peintres payfagiftes. XII. 21a.
a. Peintre à talent. X V . 864. a. Peintres topographes. X V I.
420. a. Voyci Peinture & A rtistes.
Peintres grecs, ( Peint. Amiq. ) Peintres de la Grèce qui
ont pr.atiqué les premiers cet art. Du tems auquel vivotent
Ludius, peintre d’Ardéa, Bularque, Panée ou Panænus, 6c
Polygnote de Thafos. Xll- 233. b. Lifte chronologique des
principaux peintres qui ont illullré la Grece. Après les avoir
fait connoitre felon l’ordre des tems ou ils ont v é c u , l’auteur
entre dans de plus intérelïans détails fur leurs caractères,
leurs talens & leurs ouvrages, en les préfentant,
pour la commodité des le ftcu is , dans l’ordre alphabétique.
Ibid. 234. b. Ætion. Defeription du fameux tableau de ce
peintre, qui repréfentoic le mariage d’Alexandre & de Ro-
xane. IbiJ. b. Agatharque de Samos. Aglaophon : deux tableaux
de ce peintre. Ainidotus. Antipliile : tableau de nuit
qui lui acquit beaucoup de gloire. Il a été l’inventeur du
grotcfque , 6c repréfenta dans ce goût Gryllus , dont le nom
lût confervé dans la fuite à tous les tableaux que l’on voyoit
à Rome, 6c dont l’objet pouvoir être plaifiint ou ridicule.
Apaturius. Ibid. 253. a. Apelle : ü contribua lui fcul plus
que tous les autres artiftes enfemble , à la perfeélion de la
peinture , par fes ouvrages 6c par fes écrits. Honneurs que
rendirent à fa mémoire les habitans de Pergame. Paffage de
Pline fur ce peintre 6c fur fes ouvrages. Ibid. b. Apollo-
dore. Ibid. 236. Arcéfilas de Paros. Ariftide de Thebes,
contemporain d’Apellc. Prix de fes ouvrages. Son tableau,
de Bacchus. Auire tableau où il avoic repréfenté dans le
fac d'une v ille une femme qui expire d’un coup de poignard
dans le lein. Ibid. b. Arillolaüs. Afclcpiodore : prix
de fes ouvrages. Athénien de Maronée. Bularque : ce fut
ce peintre qui le premier introcluifit l’iifage de plufieurs
couleurs dans un feul ouvrage. Tems auquel on doit placée
l’époque de la peinture polychrome. Caladès. Ibid. 237. a.
Calliclès. Cimon Cléopien ; il trouva la maniéré de faire
voir les figures en raccourci, 6c de varier les attitudes des
tètes: il fut auffi le premier qui repréfenta les jointures des
membres, les veines du corps , & les diflérens plis des
draperies. Ibid. b. Cléophante de Corinthe, inventeur delà
peinture monochrome. Cléfidès : anecdote fur un de fes tableaux
repréfentant Stratonice, femme d’Antloclnis I , roi de
S y r ie , entre les bras d’un pêcheur. Ibid. 238. a. Craterus
d’Athenes. Ctéfiloque , difciple d’Apelle ; fon tableau de
Jupiter accouchant de Bacchus. Cydias de Cytnos. Damo-
phile 8c Gorgafus. Démon d’Athenes. Denis ou Dionyfius
de Colophone. Ibid. b. Erigonus. Enmarus d’Athenes , peintre
monochrome. Euphranor : il fut le premier qui donna
dans fes tableaux un air frappant de grandeur à fes têtes de
héros 8c à toute leur perfoime , 6c le premier qui employa
dans l’cncauftique la jufteffe des proportions que Panhafius
avoir introduite dans la peinture ordinaire. Gorgafus 8c Da-
mophile. Ibid. 259. a. Ludius d’Ardea. Lyfippe d’Eginc , obfcrvations
fur une infeription d’un de fes tableaux qu’o a
voyoit à Rome. Mécliopane , éleve de Paufias. Ibid. b. Mé-
hnthius : anecdote fur un des tableaux de ce peintre , que
Arr.tus de Sycione vouloir détruire. Metrodorc, philofopiiu
8c artifte, envoyé à Paul-Emile par les Aibénicns, pour
l’éducation de les enfans. Micon. Néalcès. Ibid. 260. a. Ni-
clas d’Atlienes : prix de fes tableaux. Cas que Praxitèle
faifüit de la compofition qu’il appliquoit fur les ftatues de
marbre. Son talent à peindre les qu:idrui>cdes 6c les chiens.
Honneurs que lui rendirent les Athéniens. Nicomaque.
b. Nico])hancs. Pamphile de Macédoine ; le premier peintre
verfé dans tous les genres de fcience 6c de littérature. Académie
pour les beaux arts qu’il établit à Sicyone 6c enfuite
dans toute la Grece. Ibid. 261. .1. A quel prix il prenoit
des élèves. Scs principaux tableaux. Panée ou Panænus : fou
tableau de la journée de Marathon. Prix de la peinture établis
de fon tems à Corinthe 6c à Delplies. Il peignit à Elis
la partis concave du bouclier d’une Minerve.'Ses autres ou-
P E I
■ wages. 7ii.y.-é. Pan-hafius , natif d'Ephefe. Son tableau allégorique
dn peuple d’Athenes. Sa peinture liceneieul'e d'Ata-
laiite avec Méléagre fon époux. Orgueil 6c préiomption
üifon lui reproche. Ibid. 262. a. Paufias de Sicyoue. Tableau
de fa main reprcfeiitanc uu facrifice d i boeufs. Celui
de Glycere compol.mc une couronne de fleur:; prix de ce
t-nbleau. Chef-d’oeuvre de Paufias. Ibid. b. Pliiloch.irès : tableau
de cet artifte, où l'on voit la reffemblance d'un fils
encore jeune avec fon pere déjà vieux , malgré la différence
des âges clairement exprimée. Pliiloxenc d’Érythrce. Polygnote
de Thafe : ce fut lui le premier qui employa quatre
couleurs dans un même ouvrage. Piivilegcs que lui accordèrent
les Athéniens. Ibid. 263. a. Tableau de ce peintre
repréfentant un jeune homme armé de fon bouclier, dans
une attitude qui laiffoit en doute s’il niontoit ou defeendoir.
Autres tableaux de Polygnote. Procogene de Caunium en
Carie : tableau qui lui coûta fept ans de rrav;iil. Réponfe
qu’il fit :i Démétrius, par laquelle il fiuiva Rhodes, que ce
prince affiégeoit. Ibid. b. Tableau qu’Apelle 6c Protog-ene travaillèrent
enfemble , 8c qui périt dans le premier incendie qui
confuma lepalais du temsd’Augufte. Pyreicus./é;</. 264, a. Séra-
pion, peintre de décoration. Socrate ; comment il exprima dans
un tableau, uu négligent qui fait des chofes inutiles.Théom-
nefte : prix confidérable d’un de fes ouvrages. Timagoras
de Chalcidc. Timunthe: fon tableau du facrifice d'Iphigénie.
Ibid. b. Autre tableau de ce peintre qui reprofeinoit le combat
d’Aratus contre les EtoUeiis. Timomaque de Biznuce.
Produélion de cet artifte repréfentant un Ajax 6c une Mc-
dé e, que Jules Célar plaça dans le temple de Vénus. Ses
autres ouvrages. Zeuxis, nutit d’Heraclée. Ibid. 263. j . A foc-
cafion de fou tableau des raiftns , 6c du rideau de Parrha-
fias , l’auteur rapporte quelques exemples de tableaux qui
ont trompé des animaux 6c des hommes. Tableau de Zeuxis
repréfentant Helene. Ses autres ouvrages. Ibid. b. Femmes
grecques qui ont auffi exercé l’.irt de la peinture, entre
lefquelles l'auteur dillingue Lala de Cizique. Ihid.
266. a.
Peintres romains, {Peint. Antiq.) énumération de CCS peintres
dans l’ordre chronologique. AIL 266. a.
Peintres de batailles , ( Peint, mod. ) caraéleres des coin-
pofitions de ce genre. Peintres qui y ont excellé. Valerio Caf-
iclli. Jacques Courtois. XII. 266. a. Michel-Ange des Batailles.
Jofeph Paroccl. Le Primatiee. Salvator Kol'a. Van-
Huehtenburg; dix tableaux de cetaitifte. Giidlaume Van-
der-Veld. Antoine-François Van - der - Mulen. Henri Verf-
«huur. Henri Conieiile Vroom. X ll. 266. b.
Peintre de fleurs 6c de fruits, {Peintre) caraétere des
compoficions de ce genre. XÏI. 266. b. Pruicipaux unlftes qui
s’y font diftingués: Vaii-Huyfum. Mignon.DeHceni. Mario
Nuzzi. Jeaii-Baptifte Moiinoyer. Jean-Baptifte Blain de Fontenay.
Ibid. i6 j . a.
Peintre, ( Communauté) Ouvrages 8c objets de commerce
des maîtres peintres de la communauté de Paris. X îi. 266. a.
PEINTURE , ( Hijl. des beaux Arts ) Origine de la peinture
felon les poètes. X ll. 267. a. Parallele de la poefie 6c de
la peinture. Avantage do celle-ci. Nous regardons avec contentement
des peintures, dont le mérite conftftc à meure
fous nos yeux des aventures fi tunellcs, qu’elles nous au-
roient fait horreur fi nous les avions vues vétitablemnir.
Ibid. b. Impreffton falutaire que fit fur une courfifanne la vue
d’un portrait. Les peintures font une impreiTion plus forte fur
les hommes qui habitent les régions les plus voifines du fo-
leil. Il paroît même que le pouvoir de la peinture eft plus
grand ftir les hommes, que celui de la poéfic. Origine 6c
hiftoire abrégée de la peinture. Articles .à confultcr pour l'ui-
v re cette hiftoire dans quelque détail. Ibid. 268. a.
Peinture. De l'Iùfloire de l'art i peinture antique ; peinture
des Grec s, des Romains, 6cc. Voye^ ces articles à la fuite
de celui-ci. Renaiffance de la peinture, lorfque les arts commencèrent
;'i être cultivés en Occident. 1. xxii. DiJ'c. prelim.
De l’état aétuel de la peinture en hrance. Suppl. Ifl. 318. b.
Réflexions fur la peinture. Avantages 6c défiivantages des deux
moyens que les hommes ont inventés pour cranlmetne leurs
idées; Tiin par la peinture, l’autre par les carafteres. V.
638. a. La peinture oft encore au commencement de ih carrière
par rapport à la beauté des ftijets qu’il lui refte à traiter.
V I. 68o. b. Réllcxions fur un des rapports entre la poé-
fie ôc la peinture. VII. 444. a ,b . 398. u , Z>. Comparaifon de la
iculptiire 8c de la peinture. XIV. 833. a, b. Les ouvrages de
peinture s’alterent infenfiblemeur. V . 334. <r. Des curieux
en peinture. IV . 377. b. Études auxquelles il faut fe livrer
pour fe mettre eu état de bien juger des ouvragc.s de l’art.
IV . 4Ç)3. a. Galeries de peinture. VIL 443. b. Maniéré de
traiter en peinture divers genres de poèmes. 444. a. 398. a,b.
De l'étude de la peinture. V I . 97. a. Académie de peluiure
à Paris. I. 36. b. Éleve en peinture. V. 306. b. Écoles de
peinture. V . 314. b. — 333. a. École de peinture que Louis
X IV . a établie à Rome. Suppl. I. 89. b. Confcils du comte
Algarotû pour les progrès «le cet art en Fiance. 90. a , b.
P E I 407
91. a L S:c. Moyens à employer pour les progrès de l'arr.
Suppl. IIL 319. a. Différentes Jortes de peintures. De la peinture
en émail, V. 333. b.%Lc. encauftique 6c en c i r e ,607.
PI b. gouache. 749. b. Peinture à 1 huile. AIL 277. b. Peinture fur toile, voyc^ tuile, en minia-
tu re , A . 348.^. &c, A l’épargne, 331. .j. à une feule couleur,
666. a , b. k deux couleurs, II. 368. b. en inofaïque.
A. 749. b. Peinture en paftd. X ll. 133. b. Peinture fur verre.
X ll. 279. a. Réfiexions fur les peintures coloflaies. V L 214.
b. Des genres en peinture : robfervation tics trois imités n’cft
pas moins effeniiellc dans la peumire hlftorique , que dans la
pocfie dramatique. III. 772. b. De la peinture des fleurs. V I,
839. a , b. Du grotcfque en peinture. V IL 966. L D e l'a l-
Lgüi-ie. Suppl, i. 302. L - 3 0 7 . b. Des operations de l'art,
O- des talens du peintre. Deffription Sc ufiige du chevalet. IIL
311. a. D e la compofition. 111. y jz . a , b. Des couleurs,
voyii ce mot. Des grouppes. V IL 970. a. Sorte de peinture
grolhcrc, appellee patronage. XII. 186. a. Ce qu’on emend
p-r peinture large. IX. 293. b. Peindre flou. V L 880. b. De
1.1 taciiice dans la peinture. 339. a. Peinture fcchc. XIV. 85 3.
b. De ce qui eft dur en peinture. Suppl. II. 746. a. Du coo
ns , n i. 658. L du clair ob fcur, 499. a , b. des lumières.
IA. 724. b. D e l art des carnations. Suppl. IL 243. a , b. 244.
a. Leçons fur l’arc des draperies. V. 107, b. D e l’effet que
doit p^duirc chaque partie de la peinture. 406. b. De
lexpreffion, VI. 319. a. Supp. IL 920. æ , de la perfpec-
l iv c , X ll. 436. b. 6cc. D e l’art du relief. X IV . 67. b. Licences
permiles en peinture. IX. 482. b. D e l’élégance clans
la peinture, V . 483. .3. de la force, VII. i io . j . du goût.
770. b. Corruption du goût en fait d’ornemens. IX. 637./-.
Grace dansla peinture. VIL 803. b. Suppl. L 381. b. Suppl. 111. 248. b. Harmonie. VIII. 31. b. Intércr. Suppl. III. 628.
b. ccc. De la beaute dans les ouvrages de peinture, voyer
Beau. D u beau idéal. Suppl. 111. 514. b. &c. Effets de •1 iinagmation dans cet art. 362. De la vrtiifimblance en
peinture. XVII . 484. b. Défauts choquans dans cet art. Suppl.
i l. 400. b. Defauts de convenance. 383, b. Voyci T a -
Peinture antique. {Hifl. des A n s ) Quoique l’Egypte en
au ece le berceau, elle n’a produit aucun chef-d'oeuvre en
ce genre. Pr.ncipaiix moiceaux qui nous reftciu de la pein-
tute aniique. Ouvrages à coniiil.er. XII. a(5S. k. On ne peut
établir aucun parallele entre la peinture antique & la peinture
moderne , nr décider par les fragmens qui nous relient,
du rang que lenoit entre les penmes de fon tems, l'artifte
qui les ht. 11 leroit temoraire de décider la quell,on de la
proéminence de la pointure antique , fur ce que nos tableaux
ne tont point ces cflets prodigieux, que les tableaux des anciens
peintres paroiffoienc avoir Lits quelquefois. Conjefture
lur le caraitere des ouvrages des peintres Grecs. Ibid. 269.
a. Uuvr.ige de lu tb iill, auteur Anglois, lur U peinture des
anciens. Pour fe fornier une idée diilinéle de la peinture antique,
il faudroit confiderer féparément ce que nous pouvons
lavoir de cci't.ain fur la compofition, fur l’expreffion , & fur
le coloris des peintres de l'amiquité. Obfervarions de l’auteur
lur chacun de ces objets. Ibid. b. Suite du jugement de 1 auteur lur la peinture antique. Ibtd. 27O. a.
Peinture antique, premiers effais de peinture des anciens.
V 60b. a , b. Peinture ancienne d'une feule couleur. X,
666. a yb. Moiceaux qui nous reftent de la peinture an-
ciemie. Comment les regies de la perfpeélive y font obfer-
vees. X ll. 438. a , b. Peinture encaultique des anciens V
607. b. 6CC. Peiiuiires d'Hcrculanum. Suppl, l i l . 333. b. &c.
Peintures a lie fq u e, trouvées dans ce lieu. V l l l . 131. a, b.
' La maniéré de peindre à gouache, eft une des plus anciennes.
V i l . 749. b. Peinture mofaique des anciens. X. 749. b.
Les grands peintres aulîi rares chez les anciens, que parmi
nous. Suppl. 111. 336. a.
P lINTUKE des Grecs. {PcinL Antiq.) Incertitudes fur fon
origine. Ou dit,que les premiers efiais de la peinture furent
le contour d'une figure humaine, tracée autour de l’ombre
d’un corps opaque. A la délinéation du ftmple contour, fuc-
céda une autre peinture liénaire plus parfaite, qui diilingua
par le defliii , & lans aucune couleur, les traits du vilage
renfermés dans linterieiir du contour: elle eut pour inventeur,
Ardices de Corinthe , 6c Teleplnuie de Sicyone. Dans
la fuite , les Grecs employèrent la peinture proprement
dite, la peinture colorée, 6c il paroit qu’cile n'etou point
encore connue dans le tems de la guerre de Troie. Cette
peinture fut appellee monochrome, paree qu’on n’y employa
d’abord qu'une feule coulctir clans duc[us ouvrage. X ll. 270.
É>. .L’auteur de cette méthode fut Cléopiiante de Corinrhe.
Enluite Bularclius, contemporain du roi Camlaiile , intro-
duifit l'ufage de piufieurs couleurs dans un feul ou\ rage. Les
pcintresde l’ancienne Grèce, divifés en fopt «ialffs. Ibid. z -ji.
a. Leurs écoles reçurent d'abord des noms lixes, que l’on
peut comparer à ceux que nous donnons aux écoles modernes
: mais enfuite on ne parla plus que des maîtres en par-
d aiUcrj 6c de leurs élevés. Divers genres de peinture cul