
• i^.J.
,f ■
; iK'
;1;
7 1 4 s u e tifs. XI. 196. j . Examen tic laqiicflion, fi les adjetflifsSc les
rubftamifs doivent être regardés comme deux parties d’oraifon
difFéreiucs. VII. ^91. Acciclens du iubUaiuif. I. 70. a. La
poruioii de I’ndjciiif détermine Ibiivem la valeur du fubidan-
tif. 136. ij. Le liil)Aantit'qui énonce une qualité, ne doit pas
être pris pour un adjeffif. 137. a. Trois fortes de mots qu’un
fuLiAaïuif peut déterminer; favoir un autre nom, un verbe
& une pré[Jofiiicn. IV. 86. h. D u verbe fubAantif. X. 737. a.
XVII. 31. n , h.
SUB STANT IVEM ENT . ( Gramm.) Des cas oti un adjectif
eft pris fubllaïuivemcnt , & devient un véritable noiti,
l'oit en françois Ibit en latin. X V . 388. b.
S U B S T IT U T , [Jurifpr.) on confoiuloit anciemiemetule
titre de fubAitut avec celui de lieutenant. Article aa de l’or-
donnance de 1302, qui déclare en quels cas les fénécliaux,
bailiifs, viguiers, ikc. pourront commettre en leur place des
fubAitiits ou lietitcnaiis. X V . 389. a. Officiers .auxquels on
donne atijourd'luii le nom de J'iibJliiurs. laid. b.
Subjlituts du procureur général du roi. Anciennement il n’en
avoir point d'ordinaire. Dans la fuite il commit plufrenrs
l'ubftituts pour l’aider dans fes fondions. Création de ces fub-
Aituts en titre d’office en 1586. Leur nombre dans les différentes
cours du royaume. Leurs fonéUons. Le procureur
général qualifie aufli de fes fubOitucs les procureurs du roi
des ficges du reAort de la cour. X V. 389.
Siibjlicuu du piücurcur durai. Anciennement les procureurs
du roi n’avoient pas la faculté de fe nommer des lubAicuts.
X V . 389. b. Création de ces AibAitiits par l'édit de 1386, Si
par un autre de i6y6. Leurs Ibnétions. Jbid. 390. a.
SuhjVuuts des procureurs au parlement. Obligation des procureurs
de nommer chacun pour leurs fiibAituts deux de
leurs confreres. Ouvrage à confulrer. X V . 390. a.
SU B S T ITU T IO N , {Algeb.) celle d'une quantité à une
autre. X V. 390. a.
Su b s t itu t io n s , {Calcul intégral) la méthode des fubfti-
tutlons confiAc en général à fiibAituer dans une équation
différentielle propoféeàla place des variables qui y entrent,
d’autres variables égales à des fonélions des premieres, 8c
telles, (ju’aprés la lubAitution , la propofée devienne d’une
forme donnée, & pour laquelle on ait une méthode paici-
ciiliere d'intégrer. Obfervations fur cette méthode & fur fes
différens ufages. Suppl. IV. 833. b.
Su b s t itu t io n , {Jnrifpr.) inAitution d’un fécond, troi-
fieme ou autre héritier , pour recueillir au défaut d’un autre
héritier, ou après lui. X V . 390. a. Dans notre ufage, on fe
fert également du teime de fiibAitution, pour déligner les
fidei-commis ,8c les fiibAilutlons vulgaires. Regies desfubAi-
tutions fidei-commiffaires. Ibid. b. Ouvrages à confulter.
Jbid. 392. a.
SubjTuution , aAe par lequel quelqu’un fubAirue un autre
en fa place. IV. 779. b. SubAirution d’héritier. VIII. 164. b.
Degrés des fuhAitiuions ; différentes parties de la duree des
fubiliiutions. IV. 767. æ. SubAitutions fidei-commiffaires. V I.
6S'3.n, b. Infinuation des fubAitutions. VIII. 790. i. Tranf-
milnon de fubAituiion. X V I . 337. b. Tuteur à la fubAitiuion.
766. b.
Subflituiion abrégée, bréviloque, caduque, commune, com-
pendieufe, conditionnelle , contraftuelle, conventionnelle,
direAc, X V . 392. b. double, éteinte , exemplaire ou juAi-
nienne , ou quafi-pupillaire, fidei-commiffairc , finie ., graduelle
, indireile ou oblique, jiiAinienne , linéale, littéraire 8c
formelle, mafculine, Ibid. 393. a. officieufe, ouverte, particulière
, perpétuelle , précaire ou fidci-commiffaire , pupillaire
, Ibid. b. îéciproque, retardée ou graduelle retardée,
Ample , tacite , viniverfelle , vulgaire ou commune. Ibid. 594. a.
SU B T IL E , maûere , {Philofoph.) X. 191. a.
Subtiles , {Ornuh.) efpece de corneilles de la nouvelle
Efpagne. Leur defeription. Obfervation fur leurs nids. X V .
594.1^.
SU B T IL IT É , Fineffe, {Synon.) VI. 816. n.
SU B V EN T IO N , {Jnrifpr.) collcAeurs des liibventions.
III. 631. E Subventions du clergé, voye^ D é c im e , D on
gratuit. Edit de la fubvemion des procès. V, 396. a. Subventions
qui fe levoient par le miniüere des élus. 460. I». ïmpo-
Ation en Lorraine appellee fubvemion. VIII. 399. a ,
SUBUR, {Géogr. anc.) t". fleuve de la Mauritanie tin"i-
tane. Delcriprion de fon cours. X V . 394. b. 2°. Ville de l’Ef-
pagiie tarragonoife. Infcription où fes habitans font nommés
fuburitani. Ibid. 393. a.
S U B U R A ,( Topos, de T anc. Rome) quartier des courti-
fannes dans Rome, raffage de Perfe 8c d’Horace où il en
eA parlé. X V . 393. a.
SUBURBA N U M , {L in .) outre leurs maifons de campagne
, les fénateurs en avoient aux portes de Rome d’autres
moins confidérablcs, qu’ils appclloient fuburlana. X V . 593. a.
SUBURBICAIRE , {Jurifpr.) provinces 8c églifes fubur-
bicaires de Rome. X V. 393. a.
SUC. {Auacom.) Suc nerveux, pancréatique, gaArique,
S U C nourricier. Effets de la dépravation du Aie nourricier. Sa
cure thérapeutique. XV . 393. b. Voyc[ NOURRISSANT.
Suc moelleux, AibAance huileufe qui fe trouve répandue
dans les cellules des os. ü n donne le nom de moelle à celle
qui le trouve raflcmblée dans les grandes cavités, cylindriques
des os longs. Le Aie moelleux eA plus abondant que
la moelle; & l’un &. l’autre Airpaffe en quantité tome la fiibf-
tance de l’os pris en généra! ; ce qui eA démontré par quelques
expériences très-iléraillées dans cet article, que l’aiueur
a faites fur deux tibia d'un cadavre humain. Le but de ces
expériences eA de démontrer encore , de quelle manière perf-
pirent le Aie moelleux 8c la moelle dans les os encore frais
des cadavres humains ; quelle impieffion l’air fait fur eux , 8c
la quantité d’humidité atmofphéiique qu’ils abforbent. Suppl.
IV, 836.
S u c , {Pharm.) le fuc qui fe tire des végétaux par inci-
Aon , cA meilleur que celui qui fe tire par cxpreflîon. Comment
on le tire de ces deux maniérés. M.miere de préparer
les fucs en liqueur pi'ur les garder. X V . 393. h.
Suc , plantes médicinales qu’on ne prépare que fous la
forme de Aie. V llI . 741. a. Divers Aies des plantes dont les
noms tirés du g r e c , commencent par les fyllabes opo. XI.
310.6-— 312. ij. Art de tirer le fuc des arbres en les perçant.
X V L 132. a, b. Différentes efpeccs de fucs contenus
d.ans les arbres : différentes maniérés de les tirer. Ibid. Les
fucs qui coulent d’eux-mêmes préférés à ceux qu’on tire
en chymie. Ibid. b. Sucs contenus d.ms les vaiffeaux propres
des plantes. X V I. 937. b. Suc extravafé. Suppl. IL 928. b. Sucs
de différens végétaux dont on peut faire du vin. XVII . 293.
b. Procédé pour réduire les Aies des végétaux dans un état
propre à fournir du vin , du vinaigre, de l’eau-de-vie ; divers
avantages de cette expérience. 294. a. Nature des fucs des
fruits d’été. X V II . 297. b. Suc vineux des plantes. 509. a. Propriété
de la clxaux à inanifeAer les fds neutres contenus dans
les Aies des plantes. III. 268, a. Clarification do ces fucs. 503.
• i, 6. Précaution à prendre pour confetver certains fucs. IV.
4t. b.
S u c s arfénic.2ux, {Chym.) affinité de ces fortes de fubf-
tances avec le foiifre , & avec les métaux,paniculiéremenc
avec le mercure. X V . 396. a.
Sucs bitumineux. XV. 396. a.
SU C C É D E R , {Jurifpr.) convenance de fuccéder. IV.
161, a. Convention de fuccéder. 164. <t. Etre en même degré
de fuccéder. 763. a , b. Degrés de fuccéder. 767. b. Voye^
Suc cession.
SU C C EN TU R IA U X , reins , { Anatom. ) X IV . 47. b. Suppl.
IV . 602. b.
SU'CCÈS , réflexions Air les fuccés des entreprifes humaines.
X V . 396. b.
Succès: différence entre réuflite 8c fuccès. X IV . 239. b.
Repréfentation du dieu Bon-fueds. X IV . 820. b. X V I .
69.
SUCCESSEUR , ( Jurifpr.) terme générique qui comprend
’différentes forces de perfonnes qui fuccedent à des titres 6c
à des objets différens. X V . 596. b.
SUCCESSIF , {Métapliyf)i£txii fucceffif. V I. 76. u. Quantité
Aicceffive. XIII. 633. b.
Suc ces s iv e , condition, {Jurifpr.) III. 839. a.
SUC CE S S IO N , {Philofoph.) comment nous acquérons
l’idée de la fucceffion. Quand la fucecfllon de nos idées ceffe,
nous n’avons pius de perception du tems ni de fa durée. X V .
596. i. Succi lequel ils fe Aiivent. XV
Succession , ( Jurijpr. ) différentes acceptions de ce mot.
Les fucceffions aux biens 6c droits d’un défunt, font légitimes
ou teAamentaires. Une fucceffion peut être fans biens.
Charges des fucceffions. De l’acceptation de la fucceffion. X V .
397. a. Partage des biens delà lùccefTion. Trois ordres différens
pour les fucceffions légitimes ou ab intejlat ; celui des
defeendans, celui des afeendans, 6c celui des collatéraux.
Ouvrages .à confulter. Ibid. b.
Succefjlon : différence encre la fucceffion 8c la démifflon des
bien.s. IV . 814. b. Succeffion tertyilienne chez les Romains.
XVI. 186. b. Loi de fucceirion autrefois établie en Angleterre.
X V . 887. a , b. Des droits à la fuccelTion pour les enfans
ciiez les Turcs. X. 116. a. Du droit de fucceffion des concubines
félon l’ancien droit romain. III. 830. b. De la Aiccef-
Aon à la terre falique chez les Francs. XL 671. a. Comiuciit
fe réglé la fucceffion du fief. V L 697. b. D e la fuccciAon des
femmes aux grands fiefs. XL 739. Succeffion aux grandes
fetgneuries accordée aujourd’hui aux femmes. XIV. 898. rf.
Comment les loix politiques règlent les fucceffions des particuliers.
IX. 667. b. Les fucceliioiis diAinguées en direAes
6c collatérales. 111. 622. a. Côté paternel 6c maternel diAin-
gué dans les fucceffions. IV. 303. b. Dans quelques coutumes,
on ne fuccede qu’au feptiemc degré ; i'uivanc le droit
commun on fuccede à l’infini. 763. b. Jufqu’à quel degré de
parenté le droit de fuccéderpeut avoir lieu. XI. 937. b. Porr
b
s UC tion virile dans la fucceffion. XIII. 1.19. b. XVII . 330. <t. D e
la fucceffion aux propres. X lll. 48S. a. Regle de Aicccffion ,
paterna paternis , materna matc.-ms. XIV. 24. b. Partage d’une
fucceffion par le fort ou par lots. XV. 376. a. Succeffion
p.ir tête 6c par fouchc. XVI. 200. a. Succeffion à quelque
droit du défunt. 337. b. Regle établie lorfqu’d s’agit du partage
d’une Aicccinon où un abfèiit a intérêt. I. 40. a. Succeffion
par dévolution, fucceffion dévolue. IV . 920. j , b.
Efter.s du double lien dans les fucceffions. V. 73. a , b. — 78. b.
Succeffion p.ir égalité. 414. a , b. Droits de fucceffion des
frères 6c feeurs. Vil. 299. b. Règles de fucceffion par rapport
aux afeendans. I. 748.6. SiiccelAon des auiix 6c aïeules
à leurs petits enfans. 909. 6. D e la AtcceAion de la mere à fes
enlans, 8c des enfans à la mere. X. 380. a , 6. Edit qui regie
la fucceffion des meres. V. 393. a. Succeffion des bâtards.
II. 138. a, b. Succeffion des caJots. 313. 6. Des fucceffions
par moyen dans les coutumes du M.ùnc 6c d’Anjou. X. S44.
6. D e la léfion en maticre de fucceffion. IX. 401. a. Curateur
à la fucceffion vacante. 371. 6. Dettes de Aicceffioii. 906.
6. Partage de fucceffion. XII. 83. 6. Propre de fucceffion.
XIII. 490. <1. Rappel à fucceffion. 793, a , b. Rapport à l'uc-
ceffion. 800. a , 6. Relief de fucceihon. XIV'. 67. 6. Charges
d’une fucceffion. III. 200. a. Inventaire fFune fucceffion.
VIII. 847. J , b. Des perfonnes incapables de Atccéder. 162.
a. — Sur les fucceffions, voye^ Héddité, Héritier, Part &
Succéder.
SucceJJîon abandonnée, ab inteßat affranchis, des acq
uêts , des agiiats, ancienne, anomale ou irrégulière , anticipée
, appréhendée, afeendante , bénéficiaire, en c.aiifc.de
cognats, XV. 598. a. collatérale , contraAiielle, coutuinicre,
dclcendantc , déférée ou dé vo lue , des propres , dlreéle,
direAe afeendante, dircAe defcend.amc , droite , du life ,
échue, en droite ligne , Ibid. b. en propre , féodale , fidei-
commilTaire, fiduciaire , future, jacente , immobiliaire , incli-
v ife , légitime, luAueufe , Ibid. 399. Main-rnortable , maternelle
, des meres, des meubles 6c acquêts, miférable, mo-
biliaire, nob le , Ibid. b. O b é rée , ouverte, paternelle , pré-
lorienne , par repréfentation , répudiée, roturière , pari'ou-
cites , par tètes, par tiges , par vente folemnelle , îbid.
600. u.teAamcnt.airc, vacance; fucceffion«/id'cv/>(S'«2;c)r,/6i(/. 6.
Succession à la couronne. {Droit polit.) La loi qui regle
ht fucceffion dans une monardiie, appartient au droit politique
, qui a pour objet l’avantage 8c la coiifervation de
i’écat. Quand cette loi nuit au corps politique pour lequel
elle a été faite , une autre loi politique peut changer l’ordre
que la premiere a établi. X V . 600. 6.
Succeffion à la couronne. Loix Air la fucceffion à la monarchie.
IX. 667. 6. D e la Aicceffion agnatique 6c cognatique
d.ins une monarchie. III. 604. a , b. De la maniéré de fuc-
téder dans le royaume de France. IX. 671. 6. Quelle fut la
manière de fuccéder au trône fous les deux premieres races.
V . 633. 6. Comment la couronne devint héréditaire en
France. V I . 691. 6. Le droit d’aineffe établi dans cette Aic-
cdAon. 692. a. Réflexions contre le prétendu pouvoir d'aliéner
la couronne. XIV. 418. 6. 8cc. Obfervations fur la coutume
qui exclut les femmes de la Aicceffion à la couronne
de France. 369. 6. Succeffion à l’empire dans un état def-
potique. IV. 887. a.
SUC CIN , ou ambre jaune. {H:{1. nat. Mineral. Chym.)
Nouvelles obfervations fur cette fubAance , qui paroiffent
avoir été méconnues de la plupart des naturallAes. Situation
dans laquelle on la trouve dans le fein de la terre 8c en plu-
Acurs eudroiis , 6c fur-tout dans le royaume de Pruff'e, Air
les bords de la mer Baltique. Le fuctin qui fe t;-onve dans
la mer paroît être de même nature 6c avoir la même origine
que le Aiccin foffile. Defeription du terrein où l’on découvrit
en 17 3 1 , dans le voifinage de Preefeh en Saxe , une
mille de fuccin. XV. 601. a. Nature de cette fubAance : c’eA
une vraie réfine , qui tire fon origine du regne végétal , 6c
qui vient des arbres rélineux, qui par quelque révolution
du globe, ont été enfevelis dans le fein d e là terre. Conjectures
fur les arbres qui ont produit cette réfiiie. InfeAes ,
bois 6c feuilles qui fe trouvent quelquefois renfermés dans
le fuccin. Ibid. 6. Art de réunir enfomble pliiAeiirs petits
morceaux de fuccin. Divers lieux où l’on a trouvé du fuccin
fijffilc. Différentes couleurs de cette fubAance. E.xpéricn-
ces des chymiAes pour en découvrir la nature, Ibid. 602.
a ,b .8 c en particulier fur le fcl qu'on en tire par la diAillation.
Ibid. 603. 6. ReAificafion de Ijiuiilede fuccin. Propriétés de
cette huile. Jbid. 604. 6. Emploi qu’on fait en médecine du
fuccin 6c de fes différens produits. Ibid. 603. a. Defeription
de la teinture de Aiccin d’Hoft'man. Ihi4- 6. Syrop de karabé ,
dans la compoAtion duquel entre le Aiccin. Defeription de
ce fyrop félon la pharmacopée de Paris. Différentes compoA-
lions où le fuccin eA employé. Mélange connu fous le nom
d ‘cau-de-luce. Jbid. 606. a. A la leAui e de cet article joignez
celle de l’article Ambre jaune.
SU C C IO N , {Bhyfolog.) méchanifme par lequel s’opère
la fucdoii des fluides 6c des liqueurs. X V . 606. d.
S U C 7M Succion. De l'organe de la Juccion. Les quadrupèdes ont
fculs des mamelles. Le nombre des mamelles eA toujours
proportionné au nombre des Axtiis de chaque animal. L’tiomme
c'effiiie à marcher droit, a les niamelL’S placées fur la poitrine.
Suppl. IV, 838. a. Emplacement de celles de l'éléphant.
Mamelles des mâles dans l’clpece humaine 8c dans
les quadrupèdes. Leurs iifagcs. Difl'érence dans la AniAure
de celles de l’homme Sc des animaux. Cctlulofité dans les
plans lés plus intérieurs de la peau des mamelles. Giarffc
placée en abondaace luus la peau. Glande de la mamelie.
Ibid. b. Comluits laiteux. Par où le fait la refforption du lait
dans le fang, Defeription du mamelon. Caiifes de fon érection.
Ibul. 839. a. Aréole qui l’entoure. V.iiffjaux artériels
6c veineux des mamelles. Leurs nerA. Ibid. 6. (ionflemenc
des mamelles dans la grclTeffc. De l'.iclion p.ir laijuetle U
Juccion s'opère. DifpoAcioii de l’enfant qui allaiie. Le luccment
d’un enfant peut faire naître le lait dans les perfonnes des
deux fexes à; de diff'érens âges. Ce lait eA p-irfaiicmein lem-
blablc à celui qui fuit l’accouchcmuu. Influence d'une légère
irritation fur les mamelles. Caiifes qui peuvent, en un moment,
fupprimer le lait dans les nourrices. Des caufes qui
augmentent la formation du luit dans la groffeffe 6c après
raccouchemcnt. Ibtd. 840. a.
Succion, manière de boire en fiiçant. Tl. 296. u.Tachc que
laifl'e la fuccion d’une p.uiie v.ifculcufe. X V . 639. a, b.
Succion, obfervations fur h méthode employée par quelques
(oldats de guérir les plaies par la fiiccion, ce qu’ils appellent
du fccret. XV. 606. b. En quels cas la méthode
de Aicer pourroit être bonne. Moyen imaginé par M. A n d
pour fucer les plaies fans fe fervir de la bouche. Suite du
traitement de lu plaie après l’avoir fiicéc. Ibid. 607. a. Foye^
Sucement.
Succions mifes par des autours au nombre des remedes
épifpaAiqucs. XVTI. 2üO. 6.
SUCCU BE {Dh'lnat.) démon,qui fous la figure d’une
femme , a commerce avec un homme. Différence entre
incube 6c fuccitbe. D d r io prouve férieiifement qu’un Aicciibe
ne fauroit ni concevo ir, ni engendrer. X V . 607. b.
SUCCURRERE. {Lang. /.m'/j._) Pourquoi ce verbe régit
le datif. IV. 637. a.
SUCEMENT des pitiés. {Médec.) Réputation qu’avoient
autrefois les'pfyiles de guérir la morfure des ferpens par la
fuccion. Ils furent inutilement employés en faveur de Cléopâtre.
Toute perfonne dont la bouche eA faine, peut fans
danger, fucer ime plaie produite parla morfure du ferpent.
Les femmes 8c les meres de Germains fuçoient les hleffures
de leurs maris 6c de leurs enfans. X V . 60S. a. Foye^
Su c c io n .
SU C E R , voye\^ SucciON.
SUCFIUEN, {Géogr.) province de la Chine. Ses bornes.
Sa divifion. Ses prodiiAions. Ses villes. X V . 608. a.
SU C R E , ( H if. nat. Arts) les anciens l’ont connu , mais
ils ont ignoré l'art de le préparer. Defeription des cannes à
Aicre. Culture de ces cannes. X V , 608. 6. DeIcrij)tion des
moulins a écrafer les cannes. Ibid. 609. a. Sucrerie, ( édifice )
Purgerie, Etuve, ces anicles à leurs lettres. Cal'es à
bagaffes. UAenAlcs de Aicrerie. InArumens néccll'aircs pour
le travail qui fe fait dans la purgerie. Ingrediens donc en
fe feit pour la fabriqué du Aicre. Ibid. b. Préparation de la
Icffivc l'ervant à purifier le Aicre. Procédés cencernant la
fabrique des Aicrcs. Ibid. 610. a , 6, Travail du Aicre dans la
purgerie fulvam la capacité de l’étuve. Ibid, 61 1 .Raf f inage
du Aicre à la façon des ifles. Jbid. b. Obfervations elTciuicllcs
Air les travaux prccédens./6/i. 612. a , 6. Raffinage du Aicre
dans nos raffineries. Ibid. 613. a ,b .
Sucre, cannes à Aicre, voye:^ C annes. Ravages que font
les rats dans les plantations de Aicre. XIII. 823. .7. Détails
fur les fucreries. X V . 618. a , b. Bâtiment appelle purgerie
deffiné au raffinage du Aicre. 380. 6. Ce qu’on entend par
tracas dans les fucreries. X V L 302.6. Etuve qii'on y établit.
VI. 97. 6. UAenAlcs des fucreries. 609. 6. Chaudières. III.
233. a, 6. X V . yy6. a. Table du moulin. 802. 6. Cvümlre
qui fort à écrafer les cannes. 877. a , b. BalTins des rafiineins.
IL 123. 6. Bâton de preuve. 143.6. Blanchec. 272. 6. Couteaux.
IV. 409. a. Crochets. 300. a. Formes. VII. 181. 6.
Fourneau. 233.6. Tire-piece. XVI. 343. a. 1 r.avatix des nègres
dans les fucreries. XI. 81. 6. XV. 618. b. Différentes
opérations du raffinage des fucres. XIII. 735. b. Maniéré de
les clarifier. III. 303. 6. Pétrifier le Aicre en clairée. IV. 337.
a. Faire des écumes. V . 379. a. Comment on remplit les
cavités qiii fe forment dans la pâte du pain de Aicre. VII.
103. a. Terre des .Antilles propre à blanchir le fuccre. X V I.
137. 6. 178. 6. Tome l’étude d’un raflîneur cA de faire de
belles têtes .au Aicre après le raffinage. 204. 6. Matière grai^
feufe & huileufe qu’on tire du Aicre après le raffinage. X .
311. 6.Sucres nommés bâtardes. II. 139. 6. Sucres qiiepro-
diiifent les fyrops des b.âtardes. XV II . 66. a. Caffonade. II.
748.Sucretap6.XV. 618. U. 893. J. Planches de fucrcrie, elles
font contenues dans le vol. I.