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PRO
curcur du rol .r.i chacclct. IIL 56. •/. Procureur du roi pour
l, 1 chambre des uionnoies. X. 658. a.
Procureur Ju roi cu la cour d'églife. But de rétablUTemciic
de CCS odiciers. Quelles étoient leurs tbiic^lions. Hiiloiro
de cet olHcc. X lll. 410. b. , ^ Procureurs du ro'i en cour d’c^life : inllltutioii de CCS officiers
: qiielc{ues'iincs de leurs lon£Uons. X l i l . 447. b.
Procureur du roi de police. X lll. 421. a.
Procureur du toi fyndic. XIII. 421. a.
Procureur JubßUuc. XIII. 421. a.
Procureur fyndic. X l l l . 421. u.
Procureur tiers. XIII. 421. a.
PR O C YO N , ( AJlron.) ou le petit clûen. Suppl. II. 566.
a. Heures de fou pallagc au méridien. 894. a.
P R O D IC T A TH U R , {N ijl rom.) ofHcicr qui avoit le
meme pouvoir que le diél.ueur. Eu quelle circondance cette
m. igiilraturc fut créée. XIII. 421. a.
f*R Ü I )lG A L IT É , ( A/era/<r) Peines infligées aux prodigues
cher, les Grecs. Plaifameries de quel |ues philofophes
l'ur leur compte. X lll. 421. a. La dépouille des nations pro-
duilit dans Rome tous les excès de la prodigalité. Les rois
doivent fc précautiomier contre la prodigalité, parce que
lagénérofiié bien pl.icée ell une venu royale. Confeils d’é-
couomie que doime la reine J'éritc ii Cliarlcs V I . dans le fonoe du
vieux pèlerin.
Procligaliiè, en quoi elle différé de la libéralité. IX. 46t.
<1. Réflexions fur la p'-odigalité. V . 745. b.
PllODlGALlTÉ , ( Diftéreiice entre rincapacitc
qui vient du vice de prodigalité , & celle qui vient de la
fureur ou imbécillité. Iiuerdiélion d’un prodigue. XIII.
PRODIGE phyßque , {H iß. des predig, des anc.) Ccs
prodiges rangés fous deux clalTes , dont la première com-
preud les taux miracles du paganifme , XIII. 422. a. & la
iécondc , des effets purement naturels, qui à caufe de leur
rareté ont été attribués à nue caule fiirnacurelle. Oblerva-
tions fur ces tftux claffcs do prodiges. Ibid. b. Avantages
que ceux qui goiivernoient les peuples tiroient de ces pie-
tendus prodiges. On reproche aux anciens hifloriens d'avoir
rapporté ces prodiges comme étant perluadés de Lur v é rité
&. de leur liaifoii avec les évéuemcns hifloriques. Ré-
ponfe à cette critique. Ibid. 4 13 .0 . Oigueil philolophique
des auteurs modernes, qui les porte k nier fans diftinfUon
tout ce qu’ils ne peuvent expliquer ou comprendre. Ibid. b.
Prodige. Dlfpute entre Cicéron & fon frere fur le pyr-
rhonifmc clans lequel le pliilofophe doit fe renfermer à l’égard
des prodiges : Réflexion fur ce fiij'ct. II. 144. a. E.x-
piation qui avoit lieu dans l’apparition de quelque prodige
extraordinaire. VI. 303. a. Jours de finies auxquels ces expiations
fe faifoient. 308. a. Le fanatifme éclatoit plus dans
les prodiges que la Grece cito it, que dans ceux de Rome.
X IV . S6~b. 87. rt. Faux prodiges d’Alexandre de Paphlago-*
nie. Suppl, l. 272. a , b.
PRO D IGU E , (/«n/pr. ) Curateur d’un prodigue. IV . 571.
b. 372. a.
P R O D U C T IO N . Il n’y a proprement clans la nature aucune
produflion ni deffruélion abfoluc, aucun commencement
, ni aucune tin. XIII, 424. a.
Prodiiâions d’un pays font de deux fortes, naturelles ou
fruit d’induflrie. 1 1 1 . 690. b. Avantages d’un peuple dont le
pays produit les chofes qui fervent à fes commodités &c à
fon luxe. 696. a.
Production , {Jurifpr.) Inventaire de produftion que
fait le procureur. Produftlon principale. Produclioti nouvelle.
D u terme où l’on doit fournir les, procluélions. XIII.
424. a.
ProduBion. Contredits de produélion. IV. 133. a. Inventaire
de produéKon. V llI . 848. a. Emploi dans uii inventaire
de produélion , ou dans une requête de prodùiRion nouvelle.
V . 392. h.
P R O D U IT , terme crarùlimétiqiie & de géométrie , de
chym ie , de finances Sc. de fermes du ro i, de commerce. XIII.
424. b.
PROED RE, {Antiq. grecq.) fénateur d’Athenes. Origine
ce ce nom, XIII. 424. b.
Proëdre. Quels étoient ceux des prytanes qu’on nominoit
ainfi. V .s8 i6 . a. Amende à laquelle ils étoient condamnés
lorfqu’ils manquoient à certains devoirs de leur charge.
X V I . 64. A
PRÜEME, { Belles-lelt.) en latin preurmium. Outre les autres
fignirications de ce mo t, il fe prend encore pour une
forte d’hymne adreffée aux dieux. Obfervations fur ccs cantiques.
XIII. 424. b.
PROETIDES , {Myrftûl.) filles de Proetus. Manie dont
elles furent attaquées. Comment elles en guérirent. XIII.
4 ^3 -
P R O F A N A T IO N , Sacrilege. Profanation des
Rames. X V . 30C3. b.
P R O F A N E . ( c Æ , . ƒ<£..) mot oppofé à iniiié. Paroles
PRO
que les Grecs & les Latins crioient dans les cultes publics,
pour éloigner les profanes. X lll. 423. a. C e mot le prend
aiilfi pour celui qui méprife les chofes faintes. Efaù appelle
profane. Les Efl'cniens ne piononçoleiit aucune parole profane.
D.ins le vieux tellameiic ce mot fignifioit un homme
impur. Ibid. b.
Pkov.^nes, {Hi[}.aric.)cci)K que les anciens éloignoicnt
des autels S: des facrificcs. X iV , 482. a.
PROFE SSEUR, {Hifl. L ia .) Fonélions des profeffeiirs
dans les uiilverlitcs. Difléreiues lortcs de proLlTeurs en
Angleterre. Profeffeiir émérite dans runiverlîte de Paris. Honoraires
fixes ailignés aux pvofell'eui-s en 1719. X l l l . 423. b.
Profifeurs royaux. Rois de Fiance qui ont fondé dc.s
chaires de profeffeurs. Nombre des profelleurs royaux dans
. le college ro y a l, en Sorbonne , & au college de Navarre.
Chaires fondées en Angleterre par Fleuri VIII, XIII.
426. a.
Profejfeur. On donnoic anciennement ce nom k celui qui
fe préfentoit de lui-même au martyre. III. 848. a. Protefleurs
en droit ; noblefic qu’iis acquièrent. X L 173. a. Profefleur
émérite. V . 363. a. Q u el cil le préféré de plufieurs pro-
fclîcurs en concurrence pour un bénéfice. VU . 810. a.
PROFESSSION , {Goiivernem.) Dilféreiites caufes qui
détcrniiucnt les hommes à prendre une profdîion. Prolel-
fions glorieufes. Profelllons honnêtes. Proleilions bafles.
Chaque profeflion a fon lot. Devoirs des pores &L des eii-
fans dans le choix d’une profelTion pour ceux-ci. XIII. 426.
a. Examen de la quefiion, s’il cil bon dans un état, d’obliger
les enfans à fuivre la profeffion de leur pere. Ibid. b.
Profcjfion: dcs communautés de profelllons. III. 724. rf,
i . Réflexions contre les inaîcrifes des profelfions. IX. 9 1 1.
a , b. — 913. b. XIII. 390. *i, b.
Profession en religion. {Jurifpr.) Conditions ncceflaires
pour que la profeflion foit valable. XIII. 426. b.
Profeffion en religion. X. 639. b. Dot que l’on donne à un
nionallcre pour y faire profeflion. V . 63. b. Si les aucieos
moines faifoient une profeflion & des voeux. X. 618. a.
D e l’âge auquel on peut faire profclTion. X L iOo. a. —
Fbyr^ Vesux.
P R O F IL , {A rchh.) coupe d’un bâtiment i contour d’un
membre d’architcélure. On doit avoir de grandes attentions
àdoiinerde jufles & agréables proportions aux profils. X l l l .
426. b. Il faut éviter de railler des profils lur des pierres
ou marbres colorés. Ibid. 427. a.
Profil, {Fortifie.) deflln d'une coupe verticale de quelque
ouvrage. Maniéré de décrire le pro fil, ou deflln de la
coupe du rempart, du fofle, du chemin cou v e r t, & du
glacis d’une place fortifiée. XIII. 427. a , b.
Profil. {Peinture) XIII. 428. a.
Profil (A terre. {Jardinage) XIII. 428. a.
P R O F IT , Gain, Lucre, Emolument, Bénéfice, {Synori.)
différences dans l’uûge & le fens de ces mots. XIII. 428.
a. Voyei BÉNÉFICE.
Profit, Av.2ntage, Utilité. (Synon.)I. 86a. a. XVII . 3 38. b^
Profits de fie f, {Jurifpr.) On dit communément que les
profits de fief font réels. XIII. 428. b.
Profit , ( Comm. ) compte de profits & pertes. III. 780. b.
Profit aventureux. { Marine) XIII. 428. b.
P R O F O N D , ( Critiq. facr. ) Différentes acceptions de ce
mot dans l’écriture fainte. XIII. 428. b.
Profond , ( yV/onz/. ) Un homme profond efl impénétrable
à un homme fin; mais l’homme profond ell quelquefois
furpris par l’homme fin. V I. 816. b.
Profonde , {A nat.) branche de la crurale. Suppl.
II. 637. b.
PR O FO N D EU R , {Géom.) méthode pour mefurcr les
profondeurs par le quart de cercle. XIII. 663. b.
PROGALL INSEC TE , {^Hifi.nat.) différence entre les
gallinfeéles 8i les progallinleftes. VU . 446. a. Poye^ Co chenille
DE Pologne.
P RO G N É , {M yth.) voyq Philomels.
P R O G N O S T IC , {Médecin. Sèméioiiq.) étym. de ce moE
Le prognoflic cft la partie la plus brillante de la médeci.nc,
8c la plus favorable pour la réputation du praticien. XIII.
429. a. Avantages que le malade en retire C e n’cfl que par
une étude promgieufe de l’homme dans l’état fain & malade,
qu’on peut acquérir la fcience des prognoflics. Auteurs
qui ont fait fur cette partie des ouvrages dignes d'etre con-
lultés. Ibid. h. La fcience du prognoflic , fondée fur la con-
noiflance particulière de chaque homme, nous feroit aulH
prévoir en morale les événemens à venir. Ibid. 430. a,
Prognoflic , principes d’après lefquels un médecin peut prévoir
l’événement d’une maladie. VI. 138. h. Connoiflances
fur Icfquelles efl fondé l’art de prédire cet événement. V IL
124. h. Signes prognoflics. X V . 188. b. Comment le méde-,
cin juge du danger d’une maladie. IV . 622. a. Danger des
maladies qui n’ont été jugées qu’imparfaitement. Suppl. 1 .'
153. a. Prognoflics fur les maladies des enfans. V . 660. b.
Ouvrage de Profper Alpin à confulter fur U feméiotique.
P R O
V I . î 38. h. Obfervations fur les prognoflics qu’Hlppôcratea
donnés. VU. n i . a.Prognojlics tirés de l'injpuhon des difé-
rentes parties du corps 6' de divtrfes clreonfi.inces ob/ervees dans
les Prognoflics tirés des mouv’cmens convulfifs. XV .
438. b. De la chaleur fébrile. HL 37. a. b. Marques de coe-
non de la m.uicrc morbifique, figne d'une liourculé u.rmi-
naifon. 363. a. b. Ou doit toujours craindre lorfqu’il n’y a
que des Agnes de crudité, quand ib Ici oient inèute accompagnés
des meilleurs figues. Ibtd. b. Prognoflics tirés de l’iiif-
pcélion du c o u , IV. 3 19. a. de la niairerc dont les ni.ilades
je tiennent couchés, 310./». des crachats, 426. a , b. des
délires, 78 6 .^ ,^ . des étcrmimens, X V . 459. a , h. 316. b.
des difl'éremes excrétions critiques, fV, 472. a. de la qualité
écumeufè des diflerciites humeurs, V. 378. b. de l’infpec-
tion (les extrémités du corps iuimain, V L 339. a , b. des
matières fécales, IV. 772. a , b. de la faim des malades,
VI. 376. b. de lu fièvre, 72 t. b. des griiicemcns ik craque-
meub de dents, IV. 840. a. de l’état des hypocondres ,
VIII. 408. b. des hémorrhagies par le ne z, X V . 306. b. du
hoquet, V i l l . 296. a. de ruiquiétude des malades dans le
l i t , 431. i. De l’inlomnie fébrile. 792. b. de l'inlp..élion de la
langue, IX. 247. b. &c. Du larmoiement. 296. b. Des laf-
fitiides. 299. b. De la noirceur qui v.cnt d’une caufe morb.fi-
que. XI. 189. b. D e Todorat qii’éprouvcnt les malades. 338.
a. D e l'état des oreilles. 620. a , b. D e ta dépiavi.tion de
l’oiilc. 709. a. Des douleurs d’orcilie. X V . 737. a. Piogiiof-
tics qu’on peut tirer du pouls, t'". félon les Galcnifles, X lll.
2 1 1. b. 2". félon les méch.miuens, i i j . b. 3 . félon les médecins
chinois , 223. i2, b. 4". félon M. Bordeu , 231. b. ibic.
Prognoflics f'ur un pouls qui va r^lguliércmcnt en diiiuniiant,
& qui fc Vi-tire enfuite. X . 385. «r. Ceux qu’on tire de l'état de
la peau ,X l l . iu ). a,b. n o . a. Deschangemens dans la couleur
<ie la peau, IV. 333. b. des différentes fortes de refpir.iiicns
v id é e s , X IV . 183. a , b. des rê v e s, 225. b. de la faliva-
tion. 373. b. C ’ell un mauvais ligne que de n’avoir pas loif
dans les maladies fort aigues. X V . 306. b. Des (u<.uis. XV.
628. h. D e la furdité. 686. b. Des thangemens du v ifa g e ,
XVII . 336. b. de la v o ix , 434./». des urines, 5C0. , A 303.
b. 668. b.
PROGRÈS de la Philofoplùe , des Arts & des Sciences.
{Pkilojoph.) Divers âges des letire.s. X V ll, 238. a. Pourquoi
les plus beaux ouvrages ont ordinairem>.iit paru chez une
nation dans les preinicis tents où l’art y a fleuri. buppL IV.
so. a. Il vaut mieux que les fcicnces les arts s’avanecnt
chez un peuple par des progrès infcufibles, que fi un homme
de génie les amenoit tout-à-coup à un certain degié de
perfeétion. V . 644. c. L'origine 6c les premiers progrès d'un
art demeurent ordinairement cachés. 647. a. Les progrès des
feienecs vont d’un pas égal avec celui des lettres. IX. 409.
21.410. a, b. Lenteur avec laquelle les découvertes lontper-
Feétionnées. X. 488. b. Combien la fdiolafliqiic a nui aux
progrès de nos connoHrances. Suppl. I. 96. b. Comment l’ef-
prli philüfaphique a nui & fervi au progrès des lettres. L
xxxj, Dtjc. prèlim. Enumération des caujes qui empêchent les
progrès des lettres, de la pliilojop/ue & des arts. 1 '. L’amour
du faux bel-efprit. 1 . xxxij. Dije. prüm. 2". L’ufage des
abrégés dans les divers genres de httératuve , I. 33. b, de
même que les diélionnaircs 8c les joutuaux. Suppl. 1 , 97.
b. 3“. La facilité de fe donner des titres au-dcirus de ceux
qiT'on mérite. V. 389. b. 4". L’ignorance de nos forces. L
043. a. 3“. La ciiverfué de langues 8c de caraéKres d’écriture
: divers projets pour remédier à cet incoiivémen;. H.
643. b. 6". Le défaut de bons livres élémentaires. V 496. b.
7'". Le luxe. IX. 763. b.6cc. XIV. 789. a , b. Effet particulier
du luxe qui a contribué dans Pans à la décadence des
lettres. IL 703. a. 8“. Vices dans l’inftitmion de nos académies
, qui s'oppofent au progrès de nos connoiflances.
XIV. 789. a , b. 9". La foumiüion aveugle à l’autorité de
ceux qui nous enfeignent. X il. 314 a , b. 10’. Le goût des
hypothefes, Sc l’efprit de l'yltéme, w y q ces mots. n " . Cau-
i'es qui retardent particuliéiemcm les progrès de la philofo-
phic. V . 284. a. XII. 499. b. i l '. Il y a dans les l'cienccs un
terme au-delà duquel il ne leur cft prcfque pas accordé de
paffer. V . 637. a. Des moyens d'avancer Us progrès des lettres,
de la philofoplùe 6* des arts. Utilité des académies. I.
xxxij. Dife. pré'in:, Supp’. I. 93. b. — 99. a. Le.s diélionnaires
ont contribué aux lumières générales qui le font répandues
dans la fociéié. I xxxjv. Avamages que les lettres retire-
roient , fi le.s auteurs, blanchis d.m> de favantes veilles,
daignoient préfuler aux effais des jeunes gens, 8c les guider
dans la cairiere. IV 497. a , b. Comnient les phiolb-
phes modernes doivent travailler à la perteélion des arts, V.
284. b. 6i le gouvernement les encour.iger. 283. a. Comment
les Grecs encoiirageoient les .ariifies. V II . 918. a , b.
Encouragemens que les grands talens reçoivent en Angleterre.
X V II . 632. ù. Sociétés ét..biics dans ce but en Angleterre
, Ecoffe 8c Irlande. V . 730. a. Progrès de la pliilofo-
phie en France. "VIL 287. a. Le lems oes guerres civiles
femble avoir été toujours favorable aux Iciences 8c aux arts. Tomt IJ,
PRO 5 2 3
VIII, 2 i i . b. Cbrref])ondaiice qui dcvroit s’établir entre les
favans pour éicndie l’empire des fcicnces XVII . 730. é.
Moyens de connoiire les progrès d’un peiipic en différons
tems par le ton des aurciirs conremjKjrains. V. 637. e. Réflexion
pliilofophiqiie fur les progrès de refprlt luimain.
V i l, 119./>. Combien il importe aux fouverains ti’eiicoiira-
ger les arts 8t les feiences. IV. 726. a, h. Effets du piog-ès
(les feiences en Europe. IX. 362. ^Voyez LtîTRts , Littérature
, Philosophie,
PRO(>Rl:.SSI(JN. {Mui/iém.) Progreffion arithmétique. Ÿro-
priétés (le cette forte de progreffion. XIII. 430. a, b. Son
iifàge e.xpliqué |>ar quelques exemples, i. Emrc d,iix nombres
donnés, trouver un nombre (iiii.lc'm jue de moyens
jzroportiOhiKls arithmétiques. 2. Deux voyag.urs partent au
tiiémc inftant de deux termes oppo'és, diftans de 133 lieues,
8( vi>.im(;üt à la rencontre l'un de l'.au'te , la marche des
deux voyageurs étant bien réglée fur des termes différcns
de progrcilions connue- , on. dem.inJc quel jour il, fe ren-
coutreroiir. 3. Si les deux v..ya e. urs réglant leur mar.lie fur
deux pi'ogrcfllons tl fî'ércntes, dont les termes femiu connus
, partoient du même lieu pour aller vcr.s le même côté,
on demande les jours precis de l’arrivée de l’un 8c de l’autre.
!b:d. 432. a. 4. Deux cfcl.ivcs fugitUs font pourfiii-
vis ; le degré de leur marche, celui des poiirruivans, 8c
le chemin qu’ils ont k faire pour arriver à l’afyle le plus
prndi.ain , étant connus, on demande s’ils feront repris j
quel jour ils le feront, 8c à quelle diflance de l’afyle où
ils vouloient arriver. Ibid. b.
Progreffion arithmétique, appellee fuite des impairs. VIII.
382. «Voyez Echelle Arithmétique.
Progreffion géométrique. Ses propriétés. XIII. 43 a. b. Son
lif.ige exjdiqué par quelques exemples, i. Entre deux nom-
bies donnés , trouver un nombre qiiclconr|iie de moyens
ptiînonioiiiiels gcoinéiriques 2. Un harril efl rempli d’un
nombre de purs de vin ; chaque jour un valet fripon en
tire un par la c le f, qu’il remplace d'un pot d’enu qu'il verfe
par la bonde; on demande combien, au bout d’un nombre
de jours déterminé, il reliera de vin dans le harril. Ibid.
434. .1. 3. Trouvvr U fomme de la orogrcflîon infinie,
(_ F "ÏT fiippofe J <[ i, 4. E.xciiiple pour donner
une idée des accrolffemens rapides que reçoit la fomme
d’une progreffion gé-ometrique, au bout d’un nombre, même
affez médiocre , de termes. Ibid. b.
pROGRES,SlON afcciu!a.me. {Géom.) Suppl. I, 627. b.
Prog'djion, folutioii d’une difficulté élcm.ntairc fur la
fomme des progrcflions géométriques. Suprl. I\'. 333, a.
Progression des animaux, {pnyfique) Différentes cfpe-
ces de progreflions. Roulement des hiiitrcs. Traînement des
limaçons 8c des vers de terre. R.impcment des ferpens. XIII.
433. a. AitraéUon des polypes 8c des feches. Mouvement
progrcfilf des animaux terreflres : iifages qu’ils tirent de leurs
pié.s. Aurenrs qui ont écrit fur CC fujct. Ibid. b. — Voyc^
Mouvement Progressif.
pROGRE.S,SION des injccles, (H iß. nat. des InfeB.) elle cft
variée fu'ivant l’éléinent qu'ils habitent. Progreffion des in-
fcélcs at|uatiqnes. XÜI. 433. b. Progreffion des tnfeftes qui
vivent fur terre. Ibid. 436. a. Progreffion de ceux qui v o lent.
Réflexion fur la progreffion des in fcflcs en général :
fagefl'e admirable avec laquelle leurs membres 8c leurs organes
font proportionnés au mouvement qu'ils doivent exécuter.
hid. b.
Progreffion des ferpens, des chenilles , des vers de terre.
XIII. 787. a. Piogrcffion des reptiles. XIV. 130. a , b.
Progression , ( ) figure de rhétorique. Exemple
tiré de l’oraifon fimebre de iVl. de Turenne par M. Fié-
chier. XÜl, 437. <7.
Progression, {Mafiq.) les fuites d’iinervaîles égaux
font toutes en progreffion. Identification des termes voifins
des difléreutes progrcffuins , au moyen du tempérament,
Suppl. IV. 333. a. Voye[ PROPORTION.
P ROH IBÉ, {Jiirijpr.) différence entre défendu 8c prohibé.
IV. 733. a. Convention prohibée. 164.^7.
PR OH IB IT IF , {Junfpr.) enipêclienieus prohibitifs du
mariage. V. 374. b. Termes prohibitif. XVI. 139. 17.
PR O H IB IT IO N , {Comm.) par rapport à l'entrée ou à
1.1 fortie des marchandifes. P'oyci Entrée, Sortie, Con-
TRf bande.
PROJECTILE , ( Diverfes explications que
les philofoplics ont données de la caufe de l i continuation
du mouvement dan.s les corps, lorfque la premiere caufe
a ceffé d’aL’ iv. C e fl un principe aujourd’hui gciicraiement
avoué, que lorfcpi'im mobile a reçu quelque impulfion, il
doit continuer à fe mouvoir toii|our.s iinifonnémcut, 6c en
ligne (Ireéle, tant que rien ne l'en empêche. Loixdu nioii-
vement des projeftiies. 1. Un corps pel-mt, jette dans une
direffion perpendiciih.ire , continuera de le mouvoir per-
pendiculairenienr. 2. Un corps pelant, jette horizontalement,
décrira par fon mouvement un® parabole, fuppofé que le
R R R r r r
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