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nttaqiiées. Signes de cette maladie. Ses pronoftics. Son traitement.
Ibid. b.
Tympanuc , difîerencc entre cette maladie & l’hydropifie,
V l l l . 37y. II. 379. J. entre cette maladie & la groireffc. ÜuppL
III. 273. .î.
T YM PAN O N , ( Luther. ) l PsALTÉRiON.
TY.MPANUM desHebreux, {Mujiq. A f ) defcription
de cet indrument. X VI. 777. b. Dd'crlption du tympariuin des
Romains. Etymologie du mot. L’origine de cer inllniment cil
lyrienne. Il étoit en iilage dans les fêtes de Bacchus Sc de
Cybele. Ouvrage à confulter. Ibid. 778. a.
T ympanum, (///y?. ) i'oite de lupplice. X V . 673. b.
T Y N D A R ID E S , { Mythol. ) Caftor Sc Pollux, tils de
Léda & de Tyndare. Exercices dans lefqiicls ils excellèrent.
L'immortalité partagée entr’eiix. Place qu’ils occupent dans
le firmament. X V I . 778. a. Voyc7i_ DiOSCURES.
T Y P E , ( T/icolog. ) lignifications Sc iifages de ce terme.
Tondement des types. Les types dillingués en hilloriqiies Sc
en prophétiques. Les anciens peres de l’é g lifc , aufll bien
que les critiques modernes, ibnr extrèineinent partagés lur
la nature Sc i’ufage des types. X VI. 778. b. Regie à fiiivre à
cet égard. Un auteur moderne foiuknt que noii-feuleinent
les peres de l’eglii'e , mais S. Paul lui-méme, étaient d'opinion
que toute la religion chrétienne étoit connue dans l’ancien
teflament , Sc accomplie dans l’hUloire 6c la loi des Juifs ;
& que ce tellamcnt Sc cette loi ne dévoient être regardés
que comme les types du chrillianiliTie. Abus que cet auteur
fait de l’écriture pour foutenir ce lentiment. L’excès où tombent
les figurifles, nuiroic à la religion, fi d'ailleurs elle
n’étoic pas fondée fur les preuves les plus folides. Types dont
ou ne peut nier la réalité, à moins qu’on ne veuille s’aveugler
foi-même. Ibid. y-jc). j . Méthode qu’ont fuivie les apôtres,
en appliquant à jefus-Chriil plufieurs pafîages de l'ancienne
loi. Quatre différentes maniérés dont les prophéties
ont etc accomplies en la perfonne du Fils de Dieu. Ibid. b.
Obfcrvations fur les mots tuttcj Sc ai-r/Ti-Trof, Autres termes
donc l’écriture fe fert pour marquer qu'im événement a été
figuré d’avance par quelque choie qui a précédé. To ut n’efl
pas type fous l’ancienne loi : nouvelles obfervations qui le
confirment. De tout ce qui précédé on conclut, 1 ’ . que
d'argumenter des types , c’eff argumenter trés-fouvent
d’exemples Sc de fimilitudes. Ibid. 780. a. 2°. Q u e l’on ne fau-
roit prouver que toutes les cérémonies de la loi aient jamais
été defl'mées àfign'ificr des événemens futurs fous le régné
du MelTie. Plufieurs types allégués dans le nouveau tella-
ment , ne font que des fimilitudes ou des allufions, Sc n’ont
été employés que dans ce fens par les apôtres. Ibid. b. Voyc^
Figure , ( Théoto^. ).
Type, voycç FiGURE. V I . 762. d , b , Scc. Prophéties typiques.
XIII. 463. .1.
T ype, ( Théolog. ) édit de l’empereur Confians I I , publié
en 648, pour impofer un filence général aux orthodoxes Sc
aux monochélites fur la queffion qui les divifoit. X V I. 780. b.
Pourquoi on l’appella type. Réflexions fur cet édit & fur les
circonflanccs qui donnèrent lieu à fa publication. Ibid. 781. a.
T ype , ( A n numifm. ) empreinte marquée fur la tète Sc le
revers des médailles. X V I . 781. a.
Type ou jymbole. X. 239. i>. X V . 72 8 ..^,^, Scc. La figure
de la viftoire cfl un dos types les plus fréquens fur les médailles
des enipereias. X V II . 246. u.
T Y P É E , ( Gécgr. anc. ) montagne du Péloponnefe dans
FElide. Loi des Eloeris qui ordonnoic de précipiter du haut
de ce rocher, toute femme qui feroit furprife aflîfler aux
jeux olympiques. La mere de Pifidore , vainqueur à ces
jeux , viole cette lo i , Sc obtient fa grace. X VI. y S i. a.
T Y P H O É E , ( Mythol. ) monflre né de l’alliance de la
Terre avec le Tanare. Sa defeription. XVI. 781. <r. Puiffance
Sc majeflé du fouverain des dieux, foudroyant ce monflre.
D e Typhoc e font nés les vents nuifibles aux mortels , Sc
difféfens de Noms , de Borée , Sc de Zéphire. Ibid, b,
T yphoée , {Mythol.) géant de ce nom. Suppl. III. 190.^:.
Cavernes fulfureufes fous lefquelles ce monflre fut précipité.
VIII. 9 1 1. a.
T Y PH OM AN IE , ( Médec. ) efpece de phrénefie Sc de
léthargie compliquée. Etymologie du mot. On l’appelle aiifli
com.i vigil. X V I. 781. b.
T Y PH O N , ( Phyfiq. ) vent v éhément, qui fouffle de
tous les points, varie de tous les côtés, Sc communément
vient d’en liaut. Il eft fréquent dans la mer orientale , Sc y
rend la navigation dangereufe. Defeription de ce météore.
Saifon dans laquelle il eft le plus fréquent. Il exerce fa furie
fur terre comme fur mer. X V I . 781. b. Sa defeription. D e feription
poétique qu’en fait le peintre des faifons. Ibid, 782. a.
Voyei^ (Eil de boeuf Sc T rombe.
Typhon. Obfervations fur ce vent dangereux qui fouffle en
Egypte. Suppl. III. 189. é.
T yphon , ( Mythol. ) origine de la fable de ce monflre
égyptien. Suppl. 111, 189. b. 190. a. Brai de ce monflre.
192. a.
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T yphon , ( Géogr. ) ville d’Egypte. XII. 662. b.
T Y PH Ö S , ( Médec. anc.) maladie décrite par Hippocrate.
Defeription de cinq dift'ércnies efpeces de cette maladie , que
cet auteur ditlingue. X V I . 782. a.
T Y P O G R A PH IQ U E , a n , voyc^ ImpRI.merie. Erreurs
typographiques. V . 910.
T ' ïP O L i r E S , ou pierres .Z empreintes, {Minéral. ) c’efl
ordinaircjaent dans des pierres feuilletées qu’on trouve ces empreintes.
11 importe d’obfcrver que les plantes Sc les animaux
dont on trouve les empreintes fur des pierres de nos contrées,
i'ont fouvent tout-à-fait étrangères à nos climats , Sc
que leurs analogues vivans ne fe rencontrent que dans d’autres
parties du monde. Raifons qui iie permettent pas de
croire que le déluge ait caufé ces iraiifports. 11 ne faut point
confondre avec les typolitos, les empreintes qui fe trouvent
dans le tu f, Sc qui ne font produites que par iiicruflatioii.
Parmi les pierres qui portent des empreintes d’animaux , les
plus ordinaires font celles fur lefquelles on voit des poifi'ons.
XVI. 782. b. Voye^ FIGURÉES , PlERRLS , & PhYTOLITES.
T Y R , ( Géogr. anc.) ville d'Alle dans la Phénicie. Q uelques
Critiques prétendent qu’il y avolt deux villes de T y r ,
l’une pltis ancienne que l’autre. C'efl dans la ju cmierc qu’étoir
le temple d’Hcrculc , où Alexandre voulut facrifier. La
fécondé étoit dans une ifle vis-à-vis l’ancienne. Alexandre
combla l’efpace qui feparoit ces villes. Variations fur le nom
de Tyr. Les Tyriens paffoienr pour être les inventeurs du
commerce Sc de la navigation. Livre de Bochart fur les colonies
des Tyriens. Réflexions fur le commerce de ces peuples.
XVI. 783. a. Grandeur à laquelle ils parvinrent. Progrès
du chriflianifme dans T y r . Malures de cette ville , dans ie f - .
quelles on trouve à peine aujourd’hui quelques traces de fou
ancienne i'plendeur. Sieges Sc révolutions qu’elle a effuyés.
Port de T y r . Courte récapitulation des viciffitudes de cette
ville. Ibid. b. Auteur qui en avolt écrit l’hiftolrc , mais dont
Pouviage eft perdu. Obi'erv.acions fur la vie Sc les ouvrages
de Porphyre, plùlofophe platonicien, né à T y r . Ibid.
784. a.
Tyr. Royaume de T y r . X IV . 420. b. Splendeur de la première
ville de T y r . Supériorité de la féconde fur la prenviere.
III. 692. a. Temples d’Hercule dans cette ville. IX. 928. b.
X V I . 72. b. Temple d’Aflarté. Suppl. I. 660. b, Defeription
de fes ports. X l i l . 130. i . Obfervations fur les colonies des
Tyriens. 111. 649. b. Leur habileté à teindre la pourpre.
X llI . 246. a. Jeux quinquennaux célébrés à T y r . 716. a.
Dieu des T y r ie n s , nommé Melacarthus. X. 312. a. Comment
les T y r iens , afliégés par Alexandre, retinrent Apollon
dans leur ville. VI. 162. .-i. Paffage d’Ezéchiel, qui lemble
prouver que les fujets du roi de T y r lui rendaient, même
durant fa v ie , un culte idolâtre. XII, 938. b. Autre pallage
de ce prophète fur la fplendeur de cette ville. XIII. 391. b.
Ruines de T y r . X V . 412. a.
T yr , ( Calendr. ) nom du cinquième mois de l’année éthiopienne.
X V I . 784. a.
T y r , {M yth o l.) divinité celtique. Le troifieme jour d»
la fomaine lui étoit confacré. X V I . 784. a.
T y r , marbre de, ( Hi(l. nat. ) forte de marbre blanc.
X V I , 784. <7.
T Y R A N , ( Politiq. & Morale ) ce terme employé aujourd’hui
dans un fens différent de celui qu’on lui donnoit autrefois.
Portrait d’un tyran. Sort malheureux d’un tel homme.
X V I. 784. b.
Tyran, voyet^ OPPRESSEUR. Les tyrans font cruels &
fanguinaires pour pourvoir à leur confervation. IV . 318. a.
T y r an s , les trente, {Hifi. grecq.) ils furent établis dans
Atiiencs par les Lacédémoniens , & ils en furent chaffés par
Thrafybule. X V I . 784. b.
TYIRANNICIDÉ : l’aflaffm d’un tyran étoit autrefois regardé
comme un homme vertueux. 1. 766. a. La doélrine du
lyrannicide établie par le fanatifme. V I . 397. a.
T Y R A N N IE , {Gouvem. Politiq. )'A paroîr que les Grecs
8c les Romains diflinguoient deux fortes de tyrannies , uue
réelle , 8c une d’opinion. Les Romains, fous les confuls, ne
vouloient point de r o i, parce qu’ils n’en pouvoient foufirir
les maniérés. Du tems d’Augufle ils fentoient plus vivement
la tyrannie lorfqu’on chaffoit un baladin, que lorflju’on leur
ôtoit toutes leurs loix. Définition de la tyrannie. Toutes le^
formes de gouvernement font fujettes à la tyrannie. X V I .
783. a. Sentimens généreux de Catou d’Utique , lorfque
n’étant encore qu’enfant, il eut été témoin des aéles tyranniques
du diélateur Sylla. La cliofe qui paroiflbit la plus
furprenante à Th aïes , étoit un vieux tyran. Devoir facré des .
rois de la Grande-Bretagne, de maintenir la liberté de la
conftitution, à la tête de laquelle ils font'placés. Sentimens
du roi Jacques à cet égard. Examen de la queftion , fi le
peuple peut fe fouflraire à l’autorité d’un tyran. Ibid, b, R
faut bien diflinguer, entre un abusrextrême de la fouve-
raincté, qui dégénéré ouvertement en tyrannie, Scun abus
médiocre, tel qu’on peut l’attribuer ù la foiblelTe humaine.
Au premier ca s, U paroit que les peuples oitt tout droit de
reprentirç
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reprendre la fouveralncté qu’ils ont confiée à leurs conducteurs.
Les peuples même ne font pas obligés pour cela d’attendre
que leurs iouveraiiis aient entièrement forgé les fers
de la tyrannie. Il fuffic que toutes les démarches de leurs
conduéteurs tendent manifeflement à les opprimer. Dans le
fécond ca s , il eft abfolument du devoir des peuples defouf-
frir quelque chofe , plutôt que de s’élever par la force contre
leur fouverain. Ibid. 786. a.
Tyrannie, économie tyrannique. V . 339. a. Maux qu’elle
calife à l’humanité. X llL 93. a , b. 96. a. Peine de celui qui
afpiroit à la tyrannie chez les Romains. 814. a. Impudence
de la flatterie fous le régné des tyrans. VI. 846. a. Obferva-
lions fur les maximes de Grotius 8c Je Hobbes, favorables
à la tyrannie. X V II . 861. b. 862. a. 863. a , b. — Voycr
Usurpation. • ^
T Y K A N N U S , prêtre de Saturne à Alexandrie , fon aventure
malheureufe. XI. 357. a.
T Y R A S , ( Géogr. anc. ) fleuve de la Sarmatie européenne,
aujourd’iim le Nieller ou Dnieiler, Il fervoit de bornes entre
la Dace 8c la Sarmatie. Ville de même nom fur le bord de
ce fleuve. X V I . 786. b.
T Y R E -Y , ( Géogr. ) ifle Weflerne : remarque fur fa population.
Suppl 11. 302. é.
T} K M ID Æ , ( Geogr. anc. ) nom d’une partie de la tribu
Onéide dans Athènes, 8c d’un bourg de cette même tribu.
Infcriptioti où il e n e llfa it mention. XVI, 785. é.
T Y R O T A R ICH U S , ( Lutér. ) mets grollier des gens de
la campagne. Cicéron emploie ce mot pour défiener une
table frugale. X V I. 787. / r 6 =
T Y R RH EN E S , {Géogr. anc.) cz nom d’abord particulier
aux habitans d’une partie de la Macédoine, devint enfuire
fynonyme du nom Pélafge. Des Pélafges de la Grece , il
palfa bieritôt à ceux d’Italie, qu’on no.nmoit, tantôt/r.H/o-
tes tantôt Tyrrhenes. Ce nom palfa même à tous les peuples
Tûfcans , 8c delà l’erreur de ceux qui leur donnoieiu à tous,
fans exception, uns origine grecque. Les Argylbens font
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X v7 " 7 '8 7 " 1 ‘ Tyrrhenes par les écrivains grecs.
T YRRH EN ICA s t a g n a , fGc„gr. nm. ) on croit nue
ces mors deftpen, la partie do la mfr Méditerranée qni
ell vers I e.nbouchure de l’Ebrc. X V I 787 k ^
T Y R T É E , Athénien. Suppl. \. q , , . a ir r e ço it le titre
de citoyen de Lacédémone. XVII . 632.
T Y R US , ( Géogr. anc ) ifl ; nommée aulTi Tylus , dans la
mer Ronge on dans le golfe Perf.que, a- I fl! fur’ |a eflte
T Y S IPH O V E ? " ! ; ' “ nom, XVI. ,8 7 . é,
’ (Afv^Ao/. ) voye^ FuRIES.
I Y S O N , . * , ( Auuipm. ) Tyfpu , profcffeiir d’anatomie,
dont on a donne le nom à quelques glandes. XVI. 787
k. V o y ez fur fes ouvrages. Suppl. 1. 400. i. Suppl. IV . 3 5 !. i .
T Z
X V I ^ ^ ^ ‘^'^'’ ’ érique. Sa defeription!
TZAN IENS , ( Géogr. anc. ) peuples voifins de l’Arménie.
Leurs moeurs. X V I . 787. b.
^ ^ d’Amérique. Sa defeription.
TZÉLAFÉE , ( Calend. perfan ) ere ou époque des Per-
laus. Aiijourd but cette époque ne fubfifle plus. X v '1. 788 a
T Z E L T Z E L IM , ( Mujiq. mjïr. d-.s L b r . ) efpeces de
cymbales. Defeription de deux fortes d’inflrumeu.s de ce
nom , anpdlés cymbales fonores 8c cymbales des tub,lacions.
Suppl. IV. 982. b.
T Z IC A L T IN , ( Ophiolog. ) ferpent de l’Amérique méti-
dioiiaie. S-i defeription. XVI. 788. b.
TZ IN IT Z IAN , {O n ith o l.) oifeau d'Amérique , fuperbe
par la variété 8c la richeffe de fes couleurs. Sa defeription.
X V I . 788. b.
T Z T A C r Z O N , { 0 -nithol.) efpece de canard d’Araén-
que. Sa defeription. Lieux où il fe trouve. X V I , 788, b.
Tome 7^ X Y Y Y y y y y y