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SHIRE , ( Gouvir. d'Ar.?J. ) voyc^ CoMTÉ. Diviùon qii’Al-
fred rit ile I Angleterre cii midies, centaines , dixaincs. XVII .
587- I’-
SHllEWSRURIf j oaS/irops,':ir! , (^Gcogr. ) provinced'Ar.-
gleterrc. Ses bornes. Son étendue. Ses principaux bourgs &
églifes.Scs rivieres. X V . 142, ^.Anciens peuples de cctie province.
IbU. 143. Voyei;^ SHROPSHIRE.
.Shrewsbury , ( Geop-.'^ ou Salop, ville d’Angleterre.
S.1 ilcfcripiion ; Ion commerceS: les manutaÔures. X V . 14 1..;.
SHROPSHIRE, {Geogr. ) province d’Angleterre , autrement
nonimce Shrewsbury. Obl'ervaiions fur la vie , le
tnrniR’rc & les ouvrages des grands pcrlbnnages qu’elle a
produiis dans les Icionces. Richard Baxter, théologien. Guillaume
Baxter , neveu du précédent, e.xcellent critique &
giaminairicn. X V . 143. a. Robert Brooke, jurilconfulte. T h o mas
Gataker, dilangiié par l'on érudition. Und. b. Thomas
Hydc , favant dans les langues orientales. Edouard Litiie-
toii , garde du grand Iccau d’Angleterre. Adam Littleton,
plitlologille liabilo. Ibid. 144. a. Arthur Maymvaring, écrivain
politique. Benjamin Wliichcot , auteur de quelques fermons
imprimés avec une [iréfacc , du comte de Shaftesbury:
analyle de cct:e préiacc ék réflexions fur les eft'cts de la
prcdicacio_ii , ik fur runion de la politique avec la théologie.
Ibid. b. (juillaume Wyche rley , poète comique. Anecdote
fur la v ie , détails fur l'es ouvrages , fon caraélere ik fur
fes talens. Ibid. 145. b,
SHGDDERH RS, ou Chuderers, {H iß . rnod.) prêtres du
fécond ordie dans Je Malabar, X V . 146. b.
S I SI 011 K A K I , ( SüU„. ) arbrs du Japon. Sa dcfcripiion.
X V . 146. b. ‘
S i , { Mufuj. ) inventeur de ce nom de note. Inconvénient
attache a la gamme de G u y Arecin, qui n’avoit inventé que
lixlyllabcs , quoique cette gamme fût compoféc de fept notes.
Divers noms qu'on avoii donnés à la note dcfignée aiiiour-
d ’iuii pary7. X V . 147. <7.
S i , b mol. II. 2. a , b.
S IA K A , religion de ( Hiß. mod. Superß. ) religion établie au
Japon , autrement nommée Budsdoijme. Son orioine Hif-
loire de Siaka. Doétrine que fuivent fes difciples. X V . 147. b
Boiues ou moines de cette religion. Etpece de fanatiques
parmi les leAuteiirs d e S ia k i ,q u i fe donnent une mort v o lontaire.
Fêtes mfluuées dans le budsdoïi'me. Eccléfiafliques &
leiigicux établis dans cette religion. îbid. 148. a.
Si.ika, Xaca , ou Xekia, plii'lofoplie Indien. Dogmes de
fa philofophie. I. 753. b. 734. a. 111. 3. b. VII. 41. b. Dottri-
ne cfoténque & exorérique de Siaka. VIII. 673. é. Sa doctrine
reçue dans le Japon. VIII. 43Ö. a , b. &c. voyer BuDS-
dojs.me , Sommona-Kodom.
S lA K Ü ,o i i Xaco, fotiverain pontife du Budfdoïfme. Son
autorité Sc fes privileges. X V. 148. a.
SIA.L.AGÜGüES , {Médec.') voyei Masticatoires.
SIAM , Royaume de ( Géogr. ) royaume d’Afic. Sou étendue
& fes bornes. Sa population. Gouvernement de fe.s provinces.
Langues en ufage dans ce royaume. On prétend que
les loix des Siamois leur vienncntdu pays de Laos. X V . 148.
A Figure des Siamois. Leur religion &. leur culte. Principes de
leur morale. Und. 149. .7. Eccléfialliqucs & moines de Siam.
Fetes qu ils célèbrent. Leur maniéré de compter les années.
Leurs mois & jours du mois. Etat & température de leurs
iaifons. Monnoies du royaume de Siam. Ses produflions,
mines. A.-i. 150. j . Bois & plantes particulières à ce pays.
Qualité du terroir. Ibid. b. Animaux domeftiques. Boifl'oii
des Siamois. Leur maniéré de fe vêtir & de fe loger. Leur
nourriture. Conudérations fur leurs mariages 8c leurs familles.
Tribunaux de judicature. Ibid. 15 1. Gouvernement
du roy.aume. Comment les Siamois font la guerre. Revenus
du roi, Loix l'ur la fuccelHon à la couronne. Grands officiers
de la cour. Noms que portent les particuliers. Avantages
8c deiavantages attachés aux emplois 8c dignités de
Und. b. Comment les arnbaffadeurs étrangers y font
con’ icieres OC reçus. Relations que nous avons fur le royaume
de Siam. loid. 132. a.
57J777. Obfervations fur les peuples de ce royaume. VII I 345- b. Difierens ordres de noblelTc parmi eux. XI. 730 b
Magtflrat de Siam à qui les gouverneurs des provinces ren-
dent wmpte. a V. 140.^7. Officiers qui commandent aux troupes.
XI. 64. b. Pouvoir Inrnaturel que les Siamois attribuent
a leurs fouverains. 378. b. Leurs connoiffances d.ins l’aftro-
nomie. I. 791, b. Ere des Siamois. Suppl. IV. 810. a. Leur
doctrine îk celle des braniines Siamois fur la conflagration
du monde. 111 856. ƒ . Ce qu’ils pcniênt de l’état des âmes
apres la mort. XI. 146. b. Papier tics Siamois. 846. b Leurs
•nflrtimens (le mufique. Suppl. IV . 256. «. 948. b. Leurs
tambours. A eyeç ce met.
, ) .«pitale du royaume de Siam. Sa defjpiiOn.
alais du roi. X V . i j z . j . Quartier de la ville del'-
S I B
MC 3UX étrangers Temples tie Siam. Statues Je Sommona-
Khodum. Ibtd. b. Habit de fes prêtres. Ecole publique des
menés. V,liage autour Je la ville. Pyramide remarquable
auprès de Siam. Ibid. 153. a. ^
Sum , vUU J,. Pt,lais du roi. X IlI. a j , . b. Quartier que
les Stamots afl.gnen, aux etrajtgers. 11. 76. u. Religion de
Xae.a dans Siam. III. 3. b. 1 erfonn.age fameux, objet de la
veneration 8c du culte des Siamois. X V . 340. u Prètresde
Siam ou talapoms. 860 .7 , Jeunes enfans confacrés au
lcrvicc des prêtres. XI. 91. a.
Siam , maladie de ( Médeo. ) fymptômes de la maladie k
aquelie ()ii donne ce nom 8c qui attaque les nouveaux débarques
dans quelques endroits des Indes. Traitement de
cette maladie. X V . 133. b.
SIBARIS , ( Géop. ) Voyc:^ Sybaris.
S ÎM R IE , ( Geogr. ) contrée de l’empifc Ruffien. Scs bornes
ÖC fon etendue. Caufes du froid rigoureux qui reene
dans ce pays. Cette contrée produit les plus riches fou^u-
i^s,8c. ceR ce qui lervit à en faire la découverte en 1363
X V . 134. .7. Habitans de la Sibérie. Ibid. b. Scs produeffions
Le commerce des pelleteries interdit aux habitans. Gouvernement
de la Sibérie. Anciens peuples de ce pays O u vrages
à confultor. Ibid. 133. a. r / •
S lM R I I , ( Gtogr.) tombeaux ou tertres qiti fe trouvent
en pluf.eurs endroits de l’extrémité tnérij.onale de ce pays,
éepp/ IV . 788. b. O r , argent, & différentes armures que
les habitans y ont trouvées parmi les cendres Se les os des
cadavres. Dclcnpfion du tombeau le plus remarquable qui
fut ouvert Se vifité par un officier général, envoyé dans
ce heu avec un corps de troupes par la cour de Riiffic O uvrages
a coiifulter. Ces tombeaux paroiffent être cetix d’anciens
héros Tariares morts dans les combats : mais on ignore
I époque & Ihiftoire de ces évenemens. Proportioii des
naihanccs Se des morts en Sibérie, tirée des regiftres de
Kufarao Rapport dans lequel la population y a augmenté
dans 1 clpace de trente ans. Proportion des naiffanccs Se des
morts dans la paroifle de Sodankile. Ibid. 789. a
S/fc'.-ie , rcchercbes fur les côtes orientales de ce pays
de ce pays’,
’ ’ ï- Moniiisne de jalbe
en îiibcue. V l l l . 467. 77. Phénomènes remarquables de qucl-
ques lacs cUi pays. IX. 131. 77. Foffiles trouves en Sibérie.
IX. 63. a , i . 486. a , b .X . 6. a. Rhubarbe qu’on en tire.
XI. 671. ,7. Deux routes par lefquelles fe fait le commerce
encre ce pays 6< le Kamtschatka. IX. 110. b. Tombe.-uix
découverts près de Tomoskoi en Sibérie. X V I 403 77 Eta
blillement de Pierre le Grand , belong de l ’Irtis, fleii've de
Sibérie, y i l 910....Nations de ce pays, nommés Jakutes.
M i l . 4 ,6 J. Olliaqnes XI. 69a, u , i. Habitations des Tar-
taresde S.berie IX. 84. i Prêtres & jongleurs de Sibérie.
-klV. 759. i . Ulage pratique par l’ancien de l’églifcàla veille
d une grande fete : coutume des Sibériens d l s’enivrer à
cette ocea.fion. K - f ia . a. Maladie nommé woloffez à la-
y ie lle ces peuples font fujets. X V ll. 630. e. Blé de Sibérie.
Suppl. IV . 968. b.
^ de la G aule. X V . 404. n.
SIBY LLE ,(Z?7v/7777r. des Grecs 6- des Rom.) premiere fi-
bylle qui saviia de prononcer des oracles à Delphes. X V
1 35. 77. Etymologie & fignification du motßbylle. Nier qu’ii
y ait eu plufieurs fib y lle s , feroit renverfer tous les témoignages
de antiquité. Mi is il faut remarquer que les anciens
ne s a c co rd ait, ni fur le nombre ni fur la patrie , ni fur le
nom des differentes flbylles. Pour concilier les différentes
opinions , quelques auteurs avoient pris le parti de donner
a la vie de la ftbylle une durée de mille ans. Ibid, b D ’où
venoit i heureux pnvilcge que poffédoienc les fibylles de
prévenir 1 avenir. Collcétions de leurs prophéties. Maniéré
dont elles prophetifoient. Ibid. 136. .7. Antre où h fibylle
avoit rendu fes oracles en Italie. Rcfpefl que les Romains
avoient pour les fibylles. Ibid. b. Du tombeau 8c de l’épitaphe
de la fibylle Eryirce.Ouvragesà confulter./éit/. 1 37. U
Sibylle érytrée. V . 919. fibyüc écrufque nommée
iiigois. 5779j;7i;. 1.891. Grotte de la fibylle. VIL 969 b IX
I^ixieme des fibylles. I. 247. 77.
De linfpiraiion des fibylles. VIII. 793. b.
^ Sibylle de Delphes ,{Am iq . Grecq.) X V . l'^y.a.— voye^
. ^^^Y LUN S, livres ( Hiß. rom.) ceux qui furent appor-
tesàlun clesTarquinspar une vieille femme. Ceslivres brûlés
dans l’incendie du capitole en 671 de Rome. XV. 157.77. A im e
recueil de livres fibyliins qu’Augufte fit mettre fous la bafe
de temple d’ApoUon Palatin , 8c qu’Houorius fit brûler. Réflexions
de M. Freret fur cette maladie incurable de l’efpric
humain, qui toujours avide de connoître l’avenir, change
fans ceffe ^objets , ou déguife fous une forme nouvelle les
anciens objets qu’on veut lui arracher. Différens moyens
qu inventa la fuperffiiion pour déchirer le voile qui nous
cache l’avenir. Ib:d. b. Origine des oracles parlans. Recueils
d’oracles qui furent dreffés pour la conimoclûé de ceux qui
vouloienc
S î c
vOuloient connoître l'avenir. Hifloire des livres fibyliins Con-
fervés à Rome. Ufage qu on en fail'oie. Magiftrats établis pour
les garder. Jé77/. 1 58. Conliiltation de ces livres,faite par l’ordre
d’Aurélien l’an 770 de I .C .lb id . 139. ,7. Remarques fur ce
qu ils contenoient 3 fous quelle forme ils étoient écrits ;ca-
raélere des prédiéHons qu'ils renfermoiem. Ibtd. b. Rufe de
quelques politiques , qui pour couvrir les deffeins de leur
alubition , forgeoient à leur grc des oracles fibyliins. Ibid.
1Ö0. a.
Sibyllins , livres ( Hiß. eccl. ) en quoi confiffe l’ouvrage
moderne qui nous elt parvenu fous ce nom. Obfcrvations
qui démontrent que ces livres ne font que i’ouvr.affe de
l’impoflure 8c du menfonge. X V . 1 60. b. .4 utre ouvragc°fibyl-
lin cité par_Jofephc_, 8c qui paroit être la production de
quelque juif platonifaiit. Lorfqu’on acheva fous M. A.ure!e
la compilation des vers fibyliins , il y avoit déjà quelques
teins que le fibylles avoient .acquis un certain crédit parmi
les chrétiens. Epithete de ßbylhßes qui leur fut donné. Ibid.
i6 i . b. Difficulté de convaincre les cliréiiens de la falfifi-
cation des livres des fib ylles, que leur rcprochoieni les
payais. Ufage que les premiers failbient de ces livres contre
leurs ndverfaires. Ibid. 162. a.
SICAMBRES , ( Géogr. anc. ) peuples de la Gernuanie. O rigine
de leur nom. Leur hifioire. Ils quitierenr le nom de
Sicambres vers la décadence de rempirc romain, pour prendre
celui de Francs. X V . 162. b.
Sicambres , leurs enfeignes militaires. V . 710. a. Partie des
Sicambres appellés Teiiéleri. X V I . 128. a. FortereiTe des Sicambres
nommée Alifo. Suppl. 1. 283. b.
S IC A N lE b iS , { Geop. anc. ) peuples de la Sicile. Leur
origine. Pays qu'ils occupoient avant leur rranl'migration
en Sicile. X V . 163. a. En quel lems arriva cettj traufmi-
grarion. Oblcrvation fur quelques endroits de lEneide oii
Virgile donne le nom l'curcs Sicani à (luelciiies pcuulcs
des environs du Tibre. Ibid. b.
S IC C A ; ( Geop. anc. ) ville d’Afrique. Obfcrvations fur
deux hommes de lettres ; Aniobe ScEutychius Prodiis , nés
à Sic ca, 6c fur leurs ouvrages. X V . 163. b. ’
SICELEG , mejine ( Geogr. facr. ) ville de la tribu de
Juda. Ses révolutions. Suppl. W . 789. b.
SICH EM, Sichar, ou Ncapolis , ( Géogr. anc. ) aujoiircrinii
Naploufe, ville de Samaric, Les Juifs l’appelloient par moquerie
Sichar , ou la ville des ivrognes. D.ans fon voifina'’ e
étoient le tombeau de Jofeph Sc le puits de Jacob. Jiiffu
martyr étoit de Sichern : éditions de fes ouvrages. X V . 16.-,. a.
S lC H l , (L u c ) anatomifie. Suppl. IV . 414. .7.
SlCEl, ( -Z.7«7r«/it ) phyfiologirte. Suppl. IV. 363. b.
S IC IL E , ( Géogr. ) ifle de la Méditerranée. Sa fituation &
fon étendue. X V . 164.77. Ses trois caps. Provinces de la Sicile.
Ses villes principales. Qualité du pays. Sa population,
fes rivières, fes montagnes , fes produétions. Hilloire de la
Sicile depuis la décadence de rempirc romain. Ibid. b.
Son gouvernement. Son commerce. Particularités fur qiicJ-
([ues franchifes^ dont jouifl'eut les eccléfiafliques. Afyie des
églifes. Ville où l’on bat monnoie. Ibid. 165. a. Char'^es 8c
offices de l’inquifition établie en Sicile. Afi'reiix tremblement
de terre arrivé dans cette ifle en 1693. Ouvraiics à conl'iil-
tcr. Ibid. h. Voye^ Sic i l i a .
Sicile , cette ifle défolée au neuvième fiecle par les Africains.
IX. 8Ö7. 77. Comment l’iiiquifiiion s’y elt introduite.
V l l l . 774. Des blés de Sicile. Suppl. 1. 921. b. Parlement
de Sicile. XII. 63. b. Des foies qu’on tire de cette ifle. XV'.
269. b. D e rextérieur des Siciliens. VIII. 346. 77. Sicile ancienne
, voyci^ S ic iL iA .
Sicile, mer de {Géogr.) X V . 1Ö3. h.
Sicile, tribunal de la monarchie de {H iß . de Sicile ) jii-
rifdiélion eccléfiaffiqiic 6c temporelle, indépendante de la
cour de Rome, dont joniiTent les rois de Sicile. Origine de
ce privilège. Réflexions fur ce fujer. X V . 163. b.
S IC IL IA , ( Géogr. an:. ) ifle de la mer Méditerranée. Phi-
fienrs anciens ont cru qu’elle avoit été autrefois jointe au
continent. X V . 163. b. Largeur du détroit qui l’en fèpare.
Différens noms fous lefqucls elle a été connue. Divers peuples
qui Font habitée. Langues qu’on y parloit. Avantages
que les Romains tirèrent de cette ifle , lorfqu’ils s’en furent
emparés. Hommes célébrés qui y firent fleurir les arts 6c les
feiences. Ibid. 166. a.
Sicilia, fon ancien nom étoit Trinactt.i. II. 623. a. On
lient qu’elle faifoit partie autrefois du continent de l'Iialie. IV.
113. b. Caps de la Sicile nommés Paciiync, Pélore , 8c Li-
ly b é e , voyc^ ces mots. Monts Héréens dans cette ifle VII.
137. 77, b. Anciens peuples de la Sicile nommés Sic.micns.
X V . 163. a , b. Partage des Sicules dans cette ifle. X V . 167.
^. Population de ce pays avant que les Romains l’euffciit
uibjugué. XIII. 89. E Les Siciliens dn tems d’Aiigufle cxccl-
loient dans 1 art de la cnifine. IV . 538. a. Efeadrons des
anciens Siciliens. Suppl. IL 869. a. Cas que les Siciliens
laifüientdes vers d’Euripide. X IV . 337. b. F ku rc fvmboli-
que de la Sicile. X V . 732. b. 733. b.
Tome II.
I E 677
SlCllvUS , ( Glop. anc. ) ifle de la mer Egée , l'une des
Vyclatles. Avcimires de Fiions , roi de Lemnos, dans l’ifle Si-
emus. Origine du nom de cette ifle. X V . 166. b.
deypoirier du Japon. Foye^ Sik in o .
Dcki-iption lie fon fruit 6c de fes feuilles. X V . 166. é.
■ SICLE, {Monn. des Hébreux) évahmion de cette mon-
noic. Il nous en_ refle encore quelques pieces. XV . 166. b.
C-ominent elle le répandit. Oblcrvation l'ur ce ciu’il ell dit
(le la chevelure d’Ablalon , qu’elle pefoit 200 ficles Ibid
167. a.
SICLER , ( S.bajîlen ) obfcrvntioii fur fa vie, XIV. 383. a.
S ICO R IS , {Géogr. anc.) fleuve d’Eljwgne. Dcfcrlprion
qu en donne Liicain. X V . 167. a.
SICU LE S , les ( Géogr. anc. ) hifloirc de ces peuples originaires
des confins de la Dalmatie. X V . 167. a.
S IC YO N E , ( Géogr. anc. ) ville (lu Pcloponiicfe. Son hif-
roire.^ Progrès de la fculptiire à Sicyone. Culte qu’on y ren-
doit à Bacchus. Souliers des liabirans de cette ville Ob(''r-
vations fur Arauis. X V . 167. b. Sur PrafcyJIa 8c Phylaicjuc
nés à Sicyone. Etat préfent de ce lieu. Ibid. 168. .7,
Sicyone. R(;yaume de ce nom. X IV . 420. Culte eme les
Sicyomens rendoieut aux taries. VII. 382. L\ Statu-''d' bi
Vernis de Sicyone. XIV. 818. b. Souliers Sicyoniens XV
406. 77.
S iC YO N IL , ( Géogr. anc. ) contrée du Peloponnel'e. Hif-
toiie -les Sicyoniens. Mamere dont ils cnterroieiit leurs llluf-
tres morts. X V . 168. a. Procclfions qu’ils faifuiem avec les
Itaiiies des dieux. Temple., de Bacchus , de Diane, de la
déc-ffe de la perfiiufion, élevés à Sycionc. A (pielle occa-
fioii ce dernier fut b:iii. Offrandes remarquables que l’on y
confervoir. Ibid. b. Autrps temples 6c monimicn., iju’cn rc-
marquoit dans cette ville. Ceux (l'Hercule, dEiciilape, de
■ Vénus. Culte qu’on y reiuloit à cette déeffe. Teirmle de
Minerve. Ibid. 169. a. ‘
SIDE ou S ,d .,, ( Gi’opr. ) v lll- de l'Afic ,„;„e„re.
Auteurs qui en parlent. Son état préfent. Autre ville de ce
nom dans le Pcloponnefé. Oblérvaiions fur Euflatliius
patriarche d'Auriodic, nè à .Side en Pamphylie. XV.
169. b.
S ID E R A ou Sidra, {Géogr.) ifle (ie l’ArLidpel. Divinité
qu’on y adoroit. Cette ifle f.uneufe ptir la mort de Démof--
thene. X V . 169. b.
8IDÉRÉALE année, ( Ajlron. ) autrement dite affra-
le , anomaliflique , 8c périodique. Foyer A n.
S ID ER IT IS , {Botan.) voyc^ C r a p a u d in e . Ses efpeces;
Defeription de la plus commune. X V . 170. a,
S ID ER OM AN T IE , {Divinat.) efpcce de divination X V
170. .7.
S ID N E Y , {Philippe) contemporain d’Elizabeth , reine
d’Angleterre. IX. 1 18. b. XII. 3 1 1 . 77.
SIÛ ON , {Géogr. anc.) ville de la Phénicie. Principales
divinités des Sidoniens. Talent de ces peuples pour les ans
mécliamques.Obfervarions fur Zenon,pJjiJofoplie épicurien
qui naquit à Sidon. X V . 170. E Autre philofophe du même’
nom. La ville de Sidon conqulfp par Alexandre: il en donne
la couronneà Abdo lonyme.Ti adiiaion des vers de Cowley
furie bonheur attaché à la vie niftique. Ibid. 1 7 1 .,:. ^
Sidon. Principale divinité des Sidoniens. Suppl. I. 6607
77, b. Défefpoir de ce peuple loriqiie .Mentor le Rhodicn 1 eut livre à Artaxeixes Ochus. 600. b. Etat nrcfenr de la
ville de Sidon. X IV . 892. E
SIECLE : {Chronolog.) le tems divifé par les poètes en
quatre âges ou fiecles. P.ifl'age tl’Hcfiode fur ce fujee XV
17 1. b.
Siecle: dirtérciis efpaccs de tems compris fous ce mot.
X IV . 844. a.
^SIECLES : {Myth.) les quatre fiecles des poètes. Foye^
SIECLE d e fir , {M yth.) tableau de ce fiede. XV. 172. 7?.
SIECLES d'ignorance :{ Hijî. mod.) les neu f, dix 6c onzième
fiecles, font les vrais fiecles d’ignorance. Pourquoi les mariages
d’alors étoient fi fouveiu déclarés nuis. Crédit que prirent
les eccléfiafliques clans les aft'aires. X V . 172.77.
SiECLES, tes quatre, {A n s& Sciences) ceux du regne de
Pliilippc, d’Augufle , de Léon X , 6c de Louis XIV. X V .
172. b.
SIECLE: {Critiq. facr.) acceptions de ce mot dans l'écriture
faintc. XV. 172. i.
S IEG E : {Science étymolog.) étymologie de ce m o t, en
tant qu'il fignilie une dignité, une jurifijiélioii, une place ,
un canton dépendant de quelque prélat. X V . 172. b. ’
S ieges royaux, {Jurifpr.) és pairies. X L 765./>. Confeil- 1ers des fieges royaux. IV. 24. b. Gens du roi dans les fieges
royaux inférieurs, VII. 601. b.
Siege de la table de marbre du palais: trois jurifdiiflions
coniprifcs fous ce titre, ü l , 886. b.
Siege , ( AJlronom.) nom donné à une étoile de la conf-
tellation de pégafe. X'V. 172, b.
SiEGE, le jaint {Hifl.eccl.) l’évêché de Rome. X V . 172.
I l l l i i u