Ir' i
s 111
I f
II
5 9 0 R E T
7 1 7 XI. 88. b. Exemples de noyés ramenés à la vie.
XI. 160. .2, b. Secours i donner à ceux qui paroiffenc avoir
perdu la vie d.ms les eaux. a68. b.
Réfurrccnon,ou régénéradon appellee palmge.ief.e
ce mot. Réflexion lur la rélurreélion des plantes ik des animaux
de leurs cendres. 11. 8 1 4 - , ,
R Ê T A B L lS S EM tN T , ( A W . ) difference entre le reta-
bliffemcnt des forces & la convalefcence. X IV . 197. b.
RéTABLlSSF-MENT, Uures de {lurijpr.) IX. 428. â.
RETAILLÉ (C/nr.) celui qui a fourieri une operation dans
h vuü de recouvrer le prcinicc qui lui rnanquoit. Quelles
font les perfonnes for qui cette operation cft plus aiIee.
Méthodes d'opérer que Cuire propole pour ceux qui ont le
larapliimofis naturel, & pour ceux qui ont été circoncis.
Icflexions lur ces operations. X IV . iy8. a.
R E T A R D , {Norlog. ) partie d’une montre qui fert a retarder
ou avancer fon mouvement. Delcription des pieces qui
concourent à cette opération. Ces pieces exigeiu beaucoup
de précifion. ConRruéHon mile en pratique par Beeckaerr,
par laquelle il évite les inconvéniens attachés à la conllni-
lion ordinaire. X IV. 198. J.
R E T A R D A T IO N , (P h y f.) caufe de la retardation des
corps en mouvement. Par rapport à différens corps, la
même réfiftance produit différentes retardations. Retardations
qu’éprouvent dans un même fluide deux corps de volumes
égaux & de denfité diflerente, & deux corps de volumes
inégaux & de même denfité. X IV . 198. b. Retardations de
deux corps égaux en denfité, mais qui fe meuvent dans
différens fluides, & celles de deux corps égaux en denfité
& en vo lume , & qui fe meuvent dans un même fluide
avec des viteffes difierentes. Pourquoi tous les corps ne
defeendent pas également vite dans l’air. Retardation des
corps qu’on lance en haut. Proportions des retardations qui
proviennent de la réfiflunce des fluides. Auteurs qui ont écrit
fur la retardation du mouvement des corps. Ibid. 199.
Comment il ell prouvé que les cometes 6c les planètes fe
meuvent clans un efpace non réfiftant. Elpace que le corps
parcourt fi fon mouvement eü retardé uniformément. Efpa-
ces décrits en teins égaux, par un mouvement retardé uniformément.
Ibid. b.
Retardation du mouvement. X. 837. a , h. «S-c. Vîteffe
retardée. X VII . 360. a. l^oye^ Résistance.
R E T EN IR , (_Logiq.) deux moyens de retenir fes idées.
Quelles font les idées qui font en nous les impreffions les
plus durables. NécelTité deles renouvelLer de temsen teins.
5a V . 200.
Retenir, (Jurifpr.) retenir la connoiffance d'une caufe
ou d'un procès , en parlant d’un juge. X IV . 200. a.
Retenir, terme de quelques arts & .métiers. X IV . 200. a.
R E T EN T IO N , {Médcc.) Rétention néceffaire à la famé.
Retention vicieufe. L’évacuation des matières qui doivent
être retenues, & la rétention de celles qui doivent être évacuées,
font les caufes les plus ordinaires de l ’altération de
la famé. X IV . 200. b.
Rétention d'urine, ( CAir.) fymptomes de cette maladie.
Défordres qu’elle produit. X IV . zoo. b. Ses caufes. Divers
moyens à employer dans le traitement, avant que d’en venir
à une opération pour vuider la veffie. Différentes méthodes
indiquées pour cette opération. Caufes de la paralyfie
qui furvient à la veffie. Comment la rétention d’urine eft
un fymptôme de cette paralyfie. Ibid. 201. a. Ecoulement
involontaire de l’urine dans cette maladie. Corps étrangers
dans la v c ffic , qui forment la fécondé claffe des caufes de
la rétention d’urine. D e la p ierre, voye^ Lithotomie. Remèdes
à employer. Des excrolffances charnues dans la veffie.
Traitement de cette maladie. La troifieme claffe des caufes de
la rétention d’uiine comprend les chofes extérieures à la veflîe.
Méthode curative, /é/4. b. La quatrième claffe comprend les
•vices de l’iiretre, voye:^ Carnosité. Traitement. Obferva-
tions qui fuppléent ce qui a été dit à l'article Boutonnière qu’il
faut confulter. X IV. 202. a.
Rétention d’urine .^zxnz\s fur ce fujet. X VII . 506. æ, b. 307.
a , h. Des caufes de cette maladie. X V l l . 206. b. 207. a , b.
X IV . 46. b. Rétention caufée par des carnofités. IL 691. a, b.
Caufe des mouvemens convulfifs que fait éprouver la difficulté
d’uriner. X V . 739. a. Trois degrés dans cette maladie,
v o jq Dysurie, Strangurie, Ischurie. La fiipprcfiion
d’urine peut caufer une liernic de la veflie. X V II . 207. b.
Des remedes propres à faire couler les urines. IV . 1083.
<z, i>. Ufage du bois néphrétique, II. 309. a. de la racine
appellee parcira brava, XI. 935. b. Manière de fonder pour
la rétention d'iirinp. II. 777. a , b. Opération de la boutonniere
dans cette maladie. IL 383. b , &c. Suppl. lU. 686. b.
Rétention d'unne, {Marcch.) Suppl. III. 422. a.
R E T E N T IR , {Phyfuj.') ondulations de l’air par lefquel-
les tous les fous arrivent à nos oreilles. X IV . 202. a. Moyen
fort lingulicr de difpofcr quelques perlbnnes raffemblées dans
un -/ppurtement à chanter tel ou tel air, fi elles le fa v en t ,
Ôç s’il leur prend envie de chanter. Ibid. b.
R E T
R E T EN TU M , {JuriJ'pr.)c<î qui efl retenu//? menu judl-
c i j, 6c qui n’ell pas exprimé dans le difpolitif d’un jugement.
Ccs fortes de retentum ne font guete ulités qu’en iiiatieie
cri.ninelle. Ancienneté de cet ulage. Les cours fouveraines
font les feules qui peuvent mettre des retentum à leurs juge-
mens. X lV . 202. b.
RET LN Ü,^A ij«fg . ) cheval retenu. Cheval qui fe retient.
V . 332. b.
R t - fE N U E , {Gramm.) à qui elle convient particuliére-
meiiL. Oittéreiice encre honnêteté , raodeüie, retenue. X lV .
202. i>.
Retenue, CirconfpeÜion , Égards ^ Confidéraiion , Ménage-
mens. {Synon.) 111. 463. b.
Retenue, f^Junjpr.) dift'éientes acceptions de ce mot.
Brevet de reccmie. Chambre retenue au parlement de Tou-
loufe. X lV . 201. b.
Retenue, dixième de. IV . 1090. b.
Retenue, autres fignifications de ce mot. XIV. 102. h.
KETEPOREi», {c itji. nat.) efpeces de polypiers, vol.
V I des planches, régné animal, pi. 92.
R t T r iE L , ( Gro^r. ) ville de Champagne. Ancienneté de
la ville bc du comté de Rhetel. Son èreétion en duché. Bornes
du Rhételois. Produélions du pays. Ses villes principales.
X IV . 203. U.
Rethel, {Géogr.) erreur à corriger dans cet article de
l’Encyclopédie. Principal commerce des habitans de Rcthcl.
Suppl. IV . 613. b.
RET IAIRE , d/7C. ) forte de gladiateur. Ses armes.
Origine de ce genre de combat. X lV . 203. a.
Re t i c e n c e , figure de rhétorique. X IV .
203. a. Exemple tué d’Athalie. A posiopese. Autre
forte de réticence appellee pretérition, 6c prétermijjlon. Ibid. b,
R E T IC U L A IR E , {^dnatom.) premiere découverte du
corps réticulaire. Divers fentimens fur fa nature. X IV . 203. b.
Réticulaire, corps. V i i l . 263. a. X V . 820. a.
R É l iC U L E , ( ) machine qui fert à inefurer exaéfement
la quantité des éclipfes. Dans l’affronomie, la maniéré
d'obferver qui n’eff que le fondement de la fcience ,
ell elle-même une grande fcience. Delcription & ufage du
réticule. X lV . 203. b. Imperfcélions de cet inflrument. Comment
M. de la Hire a trouvé le fecretd’y remédier.7é/fl'.204. a.
Reticule, {A jlron.) inflrument qui fe place au foyer
d’une limette pour mefurer les diamètres des afires, ou
pour obferver les différences de leurs paffages. Defci iption
du réticule de 45 degrés. Son ufage pour trouver la différence
d’afeenfion droite & de déclinailbn de deux affres.
Suppl. IV. 623. é. Inconvéniens de ce réticule, auquel on
a liibflitué le réticule rhomboïde. Sa defeription. Maniéré
d’en faire ufage pour les obfervations dont on vient de parler.
Ibid. 624. U.
Réticule, {Aflron.) conftellation auffrale iniroduice par
M. de la Caille. Sa lituation. Afeenfion droite & déclinailbn
de fa principale étoile. Suppl. IV . 624. a.
R L T I l V L U M , {Litter.) différentes fignifications de ce
m o t, parmi lefquelles fe trouve celle de jac dréfeaux.Lzui
ufage écoit fort ordinaire en Grece & à Rome. X lV . 204. a.
Sac à réfeauxdont Verrès fe l'ervoit dans les feffins. Différentes
fortes de facs à réfeaux chez les anciens. Ibid. b.
RÉTLF , ( Maneg.) cheval rétif fur les voltes. V . 723. a.
R É T IN E , (/sf/iaio/A.) delcription de cette tunique de l’oeil.
On a cru communément qu’elle étoit le principal organe de
la vifion. Cependant quelques membres de l’academie royale
des fciences ont été partagés fur cette opinion. X IV . 204. b.
Obfervations 6c expériences en couféquence defquelles MM.
Mariotte 6c Méry ont attribué cette fonftion à la choroïde
( V yye^; ce mot. ). Ulage de ta rétine felon ce nouveau fyffê-
me. Ibid. 206. a. Elpcce d’ondes obfervèes fur la rétine par
Ruyfth. Caufe de ce phénomène. Ibid. b.
Rétine, fa delcription. Suppl. IV . 1 1 1 . E Image des objets
peinte fur la rétine. XV II . 343./>.
Rétine, {Anat. Phyjiol.) l’ouverture de la prunelle ne
change jamais, quelle que Ibit l’irritation qu’on fait fouffrir
à l'iris, Ibit avec l’aiguillc, foit avec tel autre corps pointu,
ou liqueur âcre que ce fuit. Examen de la queftion fi l’jris
eft irritable par In lumière. Suppl. IV. 624. b. Obfervations
contre l'hypoihefe de M. Mariotte , qui prétend que
l’iris ell une pioduétion de la choroïde, 6c qu’elle en tire fa
fenfibilité. Expériences que l’auteur a faites pour s’aflur^r fi
l’iris dans fon état naturel eft irritable ou non, par l’effet de
la lumière. Ibid. 625. a , b. Leur réfultac a été que l'iris n’eft
pas irricaUle par la plus v iv e lumière extérieure, mais qu’il
le meut uniquement, quand la lumière, par la prunelle, va
jufqii’au fond de l’oeil; qu’ainfi tous les mouvemens de l’iris
qui fe remarquent en conléquencc de la lumière , naiffem do
fon aélion fur l’inrime organe de la vue. C e principe lert à
expliquer l’infenfibilué de l’iris dans ces maladies de l’oe il,
où la lumière ne parvient plus à la rétine comme dan.sla
cataraéle & le glaucome , 6c dans cdles où le nerf optique
tombe en parajylic, comme dans la goutte-lercine. Ibid. 6 a6.4.
R E T
D e l’état naturel de l’iris , & de la produfllon de fes mmi-
vemens par la Iiimiere qui frappe la rétine. Examen du fenti-
meiic de Morg.igni fur la caule de ces mouvemens. Ibid, b
Diverfes obfervations étant contraires à la conjeélure de cet
anatomiile,!auteur a recours à l’expérience pour découvrir
cor.mirai « [ te connexion & cette analogie entre les motive-
mens d é jà rame & de l’iris peuvent exiffer. Mais auparavant
il salffire par diverfes expériences 6c obfervations, de
létat naturel ou de repos de l'iris. Ibid. 627. a , b. U réfuitat
de ces recherches eft que cet état naturel de l’iris eft fa dilatation,
& que celui de la prunelle eft d’être fermée C ’eft
ce q iiil a conclu d’après l’infpeaion de l’oeil de quelques
animaux endormis. Pourquoi l’iris le maintient convexe
meme dans Ion élargiffemem./Ai//. 628. .2. Cette convexité
s .accroît à mefure que la prunelle fe rétrécit. Defeription
de l ins des chats. Singularités qu’il préfente. Ibid. b. D e la
caufe de la convexité de l’iris dans fa dilatation. Ce n’eft
pas du cryftallin , comme l’a cru Winftow, que vient cette
convexité. Ibtd. 629.//, Entre la rétine 6c l’iris on ne découvre
aucune communication organique, aucun filamentvifi-'
ble, aucun vaiffeau. La caufe des'’moiivemcns de la prunelle
ne peut donc être que dans La volonté. Et c ’eft ce que l’auteur
a fur-tout conclu de diverfes oblcrvacions par lefquelles
il a vu que le rétreciffement de la prunelle d’un animal n’é-
mit point en proportion du degré de lumière qu’on lui pré-
cntoit, lorfque cet animal étoit agité par quelque v iv e paf-
lion, comme la lurpnle, la crainte, l’épouvante. Ibid. b. Il
a aiifli obferyé que dans l’homme, la prunelle fe rétrécit par
la neceilite de mieux voir un petit objet. Puifque la prunelle
le meut en confeqiience de ce que l’animal elt fenfiblc à la
lumière , bc voit les objets extérieurs, il faut que la caufe
de ces mouvemens réfide dans le principe fenfitif. — Pour
appuyer ce qui vient d’être établi, l'auteur obferve encore que
Il la lumière etoit la caufe immédiate des mouvemens de la
prunelle, lin s ne le dilateroit pas , mais plutôt fe rétréci-
roit a l approche de la lumière , & en proportion de fa v iva-
ciic.^ Entm lorfqu on n’expofe à la lumière que l’un des yeux
de I animal, la lumière de l’autre ne fouffriroit aucun reffen-
uinenr, ce qui eft contraire à l’Cxpérience. Ibid. 620 a
Inimobdué de la prunelle à tout effort de lumière, dans les
eyanouiliemens , les apoplexies, les maladies extatiques, fi-c.
Dwerfes caufes qm déterminent la voloiué dans l’aftion
qu elle exerce fur les mouvemens de l’iris. Ibid. b. Par l’éta-
bliffeinent de ce principe , que les mouvemens de l’iris dépendent
immédiatement de la volonté, l’hypothefe de M. Mariotte
qui place le fiege d e là vue dans la choroïde, tombe d’cllc-
méme. Precautions à prendre pour juger de l’immobilité de
ia prunelle dans 1 examen de la cataraéle, de la goutie-fereine
ik. du glaucome. Ibid. 631../. Examen de la queftion fi l’on
TOit les objets par un feul oeil ou par les deux y eu x à la fois.
Exemple üngulier d’un homme qui vo yo it très-bien pendant
c jo u r, & (levenoit aveugle 6c infenfible à toute efpece de
Immcre pendant la nuit. Explications de cet étrange phénomène.
Ibid. b. Des expériences qui ont été faites pour déter-
miner combien le lumière du folcil eft plus forte que celle
de la lune. Ces expériences ne peuvent nous apprendre fi
la lumière agit- fur les corps avec une force proportionnée
a fa quantité, & ne fauroient mefurer la fenfaiion que fes
rayons excitent dans notre oeil. Ibtd. 632. a. Réponlè aux
objeftions qui peuvent être faites fur ce qui a été d it , que
1 état naturel de 1 iris eft fa dilatation , & que fes mouvemens
dependent de la volonté. Premiere objeélioii ; la prunelle rétrécie
à une grande lumière, & dilatée à une petite, donne à
croire que le rétrecilfement eft fon état violent. Seconde
ÿ jeé lio n : nous voyons la prunelle irès-dilatée dans les morts
oc dans les animaux tués depuis p eu , d’où l’on doit conclure
que fou état naturel eft fa dilatation. Ibid. b. Troifieme obje-
éhon ; dans toutes les maladies du nerf optique Ôc dans le
glaucome, la prunelle eft dilatée: cependant il paroît qu’elle
devroit être rétrécie, fi c’étoit fon état naturel. Ibid.bin,. a.
Quatrième objeftion : fi la dilatation & le rétrecilfement de
liris étoienc volontaires, on pourroit indépendamment de la
lumière le dilater ou le rétrécir en toute occafion par un feul
aéle de la volonté. Ibid. b. Après avoir fatisfait à ces objeftions,
1 auteur démontre auftlque ia refpiratton,/A/ù. 633. a. 6c l’é-
lernument font des mouvemens fournis à la volonté. Ibid. b.
Reponfê à une cinquième objeclion, tirée de ce qu'il y a eu ,
dit-on, des aveugles par maladie du ne r f, qui pourtant
remuoient les prunelles à la lumière. Ibid. b. Comment fe
font les mouvemens de l’iris. Examen de quelques fentimens
des phyfiologiftes fur ce fujet. Ibid. 638. a. La caufe du reffer-
rement de la prunelle trouvée dans ce qui a été dit ci-delfus,
que tel étoit fon état naturel Obfervations qui prouvent
qu a 11 y a dans I iris aucune forte de muftle. Ibia. b. Il paroit
que le changement par lequel l’iris (e rétrécit, doit être une
tlimunmon 6c un écoulement d’humeuis. Itid. 639. a. Mais
quelle ell la caufe mcchaniquc tic cet écoulement i ou comment
le principe fenfitif Sc aftif qm eft en nous lopere-t-il?
c e l l ce qml eft impoffible d’expliquer. Ibid. b.
R E T 591
Retine , m iU J its de U ( U td ec. ) i". elle grt fojctie 1 fo leparer en partie de la choroïde, a". E lle eft fuiette à imcairo-
phre ou confoniptiou. Signes & caidès de ces maladies. XlV.
C m n ^ ' 7 7 . ' " “';’' ‘I " ' ''•’ i'f'-aux de cette tunique
““ ' ï f e ' s a fotifftir & à produire. XVII. 570. i . ^
K ETO IRE , terme de inaréchalleric. V I 62 a b
RE TO R D R E U fd. VI. 785. *. '
R E T O R D S , chez les pa'lTementicrs, XII. la a a l
chez les rubaniers. X V I. qaa. J. _ 4 pd E J
dies de ces arts dans le volume XL î I
R E T O R T E , ( C/iyrnie) forte de vafe fervant à des opérations
chymiques. Sa defeription & fes ufages. Vafes cvlin-
dnqiies recommandés par Boerhaave dans les diftillation. lentes
qui demandent un teu très-violent. Suppl IV 620 b
f^oye^ COKNUE. ^ ' ‘
R E TO U CH E R , opération de la gravure en bois. Diffé-
rence de la reconcile entre la gravure en bois 6c celle en cuivre.
X lV . 206. b.
, ( Analyfe fublime ) en quoi il confifte.
I - ^ Jurifpr. ) retour conventionnel. Retour
legal : differentes maniérés dont ce dernier fe pratique en
pays de droit écrit, 6c en pays coutumiers. X lV . 207 a
Retour, fie} de, V I . 714. b.
P<i.lQ\iKdevoyage,{Hifi. anc.) cérémonie anciennement
^atiquée par les Grecs dans cette circonftance. V. 776. a.
Retour , ( Comm. ) différentes acceptions de ce mot. X IV .
207. b.
Retour de U tranchée. {Fortifie.) XIV. 207. b.
, d equerre, { Coupe Efjp/rrw ) retourner d’équerre,
c eft faire une ligne ou une furface perpeiuliculaire à une
autre. Procédés des ouvriers pour y parvenir. X lV . 207. b.
R etour de marée. ( Marine ) X lV . 207. b.
Retours , les { TiJJ'utier-Rubannier) c’eft ici ce qu’il y a
de plus difficile à faire comprendre par écrit ; cependant l’auteur
a tâché d’en donner ia defeription ia plus claire aii’il
eft poffiblc. X IV . 207. b.
R E T R A IT , {Jurifpr.) différentes fortes de retraits pratiqués
en Flandres. V . 122. A. Propre de retrait. X llI . 489. A.
Répétition de retrait. X IV . 133. a.
Retrait, {Jurifpr.) retrait de barre ou de cour dans la
coutume de Bretagne. Retrait de bienféance ou de convenance.
Retrait de bourgcoific. Retrait de cohéritier ou de
comperfonnier. X lV . 208. A. Retrait de communion de
frarefehe ou frareufeté. Retrait par confolidation. Retrait conventionnel.
Retrait coutumier. Retrait de débiteur. Retrait
ducal. Retrait cccléfiaftique. Retrait emphytéotique. Ibid.
209. a.
Retrait féodal, ou Retenue féodale. Origine de ce droit. Son
objet. En quels cas il a lieu. En faveur'de qui il eft exercé.
XI V. 209. b. Terme fixé pour l ’exercice de ce droit. Formalités
obfcrvéesdans le retrait féodal. Ouvmt’ es à confulter.
Ibid, 210. a.
Retrait légal ou coutumier. X IV . 210. A.
Retrait lignager. Son origine. Deux fortes de retrait lignager
exercé fous la loi de Moïfe. Droit qui s’exerçoit clicz
les Romains par rapport au retrait lignager. X IV . 210. A.
Hiftoire de ce droit par rapport à ia France. En quels lieux
de ce royaume il eft établi. Ibid. 211. a. Maniéré dont il
s’exerce. Éormalités obfervèes en ce cas. Ouvrages à confulter
Ibid. b.
Retrait lignager. Efpece de retrait lignager qu’on appelle
en Normandie rappel par boiirfe. XIIL 793. a. Confignation
en m.atiere de retrait lignager. IV. 46. A. Greffes inftitiiès
pour la notification des contrats du retrait lignager. VIL
927. h. Immeubles pour lefquels le retrait lignager a lieu.
VII I. 373. A.
Retrait local ou coutumier. X IV . 212. A.
Retrait de mi-denier, efpece de retrait lignager établi par
la coutume de Paris , & par la plupart des autres coutumes.
Origine du nom de ce droit- Détails fur la maniéré dont il
s’obferve. X lV . 212. A.
Retrait partiaire. Retrait de préférence. XIV. 212. A. Retrait
de promeffe. Retrait public. Retrait par puiffance de fief.
Retrait de recouffe. Retrait de fociété ou de convenance.
Retrait volontaire./A/d. 213. a.
Retrait, ( Blajon ) X lV .213.^. Voyei auftî RETRAIT,Suppl.
Retraits, blés, {Agrieult.)h\hs qui étant bien conditionnés
au fortir de la fleur, muriffenc fans fe remplir de
farine. Caufes de cedéfaut, felon M. Duhamel. Selon les principes
de M. T u ll, on peut prévenir en partie quelques-unes
de ces caufes. XIV. 213. a.
R E T R A IT E , ( Morale ) le tems de la vicilleffe eft le vrai
tems de la retraite. X IV . 213. A.
Retraite , voyrç SOLITUDE.
Retraite , ( A n milit. ) fe retirer , c’eft fuir avec a r t , &
même avec un très-grand art. Regies à obferrer dans les