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7 1 0 \S T R S rR A T IO T E S ,{ Bi>t.) caraéîeres de ce genre de plante.
X V. ^44. L
S t r a t io t e s , ( Bor. exor. ) plante d’Egypte , qui croît dans
le tenis des inoiidacions du Nil. X V . Ç44. b.
S TR A T ü C L È S. Rufe qu’il employa pour donner aux
At'iénicns vaincus dans uncbataille, toute la joie de la vidoire.
XI. l 66. ‘i.()<,7-b-
STR.ATON de L.impf.!i!uc. Athéifine de ce philofopne. I.
C(<i. a , V !IÎ. 39i./>.Xll. a v i. «t. X V . 4(>3. rf.
.STRATONICIE , ( ) 1 ■. ville de l’Aile mineure
dans la Carie. Temple de Jupiter ciii yfaoréen auprès de
cette ville. a '.V i lle de l’Afie mineure, près du mont Taurus.
X V . 344. b.
STRATOPED.'^RCHA , {Hiß. da emper. pries) clief de
la garde que les fucccifeurs de Conliantin entrccenoient auprès
de leur perfonne. X V . 343.*r.
STR A TO R , ( Antiq. rom. ) différentes fignilicaiions de ce
mo t.XV. 343. â.
S T R A T O S , ( Géogr.anc. ) i®. Ville de Grcce dans l’Acar-
nanie. 2'^. Fleuve derHircanie. X V . 343..':.
STREEN-STURE , adminiffrateur de la Suede. Il fait le
fiege de Stockholm. Suppl. II. 416. Hiffoire de fa femme
Chriffine. Ibid..t, b.
STR EET , tubUs Carolines de , ( Aßror.om. ) Siippl.W h.
STR E L IT S , {H iß . de R u ß e) milice autrefois établie en
Ruliie. Cruauté que le czar Pierre I e.serçafuv elle lorlqu'il
l ’abolit. X V . 545. b.
Siriins. Obfervaclon fur cette ancienne milice rulTe. X iV .
443.
S T R EO N , général anglots dutems de Canut le grand. Sz/rW.
IL 2 1S.
STRIGELLIUS , ( ViHorinus ) théologien. IX. 1 13.
S lR IG lL E , {Gymnaß.) inllrument avec lequel les anciens
le décraffoient le corps. Sa defeription. X V . 5 46. a. Son
ulàge. ß/.t'. b. Cbyc-^; Etrilles.
S TR IGM EN TUM , {Gy^nnafliq.) ordure & cralTe qu’on
enlevoit de dvifiis les corps dans les bains 6c les gymnafes ,
6c de tleU'usles ffatties.XV'. 346.^.
Saigmencum : on appelloit ainfi une efpece de croûte qui fe
formoit fur le corps des athletes. XI. 45 3. i. ---
S T R IX , ( Lut. ) efpece d’oifeau de nuit dont parlent
les anciens. Nos auteurs traduifent//r/A-par c.éetzc/z«. X V . 346.
b. Les poètes font entrer les oeul's & les entrailles de cet
oifeau dans toutes les coinpofitlons que faifoient les magiciennes.
Les détails de forcellerie plaifoient beaucoup aux anciens
poètes./iiè. 347. J.
STROE.M , ( Chrétien) phyfiologiäe. IV. 333. «r.
STR OM B ITE S ou Turbinites, ( Ilifl. nat. ) vol. VI des
planches, Coquillesfoffîles, piandiei.
^^'ROAIBOLI , ( Geogr.) ifle au nord de la Sicile. Hoyc^
ceMrcicledans leDiiffioniiaire Encyclopédique. Combat iraval
qui fe donna près <le cette ille en 1676 , entre la flotte de la
France & celle de Hollande. Suppl. IV. 832. a.
S TR O N G IL IO N , fculpteur ancien. X IV . 827. a.
STR OPHAD ES , ißes, { Géogr. anc. ) illes de la mer Io nienne
fur la côte du Péloponnele, Virgile les dit habitées par
la cruelle Celoeno 6c par les Havpyes. Origine de leur nom.
Elles furent anciennement appellees Plote:. Les Grecs 6c les
Italiens les nomment Strofadiou Strïv.iLi. X V . 347. b. Sources
qu’oii trouve en abondance dans la plus grande. H.ibiians de
ces iiîes. Ibid. 348. a.
Strophades. Origine du nom de ces ifles. XVII . 708. a. Fontaine
dans l’une de ces ifles, qui paroît tirer fa fource du Pélo-
ponnefe. VII. 94../.
STROPHE , {Poéf.grecq. & latin.) étymologie de ce mot.
Nombre de vers que peut contenir une flrophe dans notre poé-
fio lyriquc.XV.3 48.^. ^
Strophes & amifirophes. I. 316. b. II. 43. a. Comment
elles fe chantoiem. V . 823. a. Vers foibles dans une ffro-
phe: on les excufoltdu temsde Malherbe.XVII. 16 1. b. Voyez
&TANCE. ^
S T R O Z Z I , ( Cyriacus) phllofüphe péripatéticien. l.CCo.a.
STR U E E R TA R II , {Aniiq.rorn.) Felhis nommoit ainlî
les freres Arvaux , qui étoient employés à purifier les arbres
foudroyés. X V . 348. a. Termes dans lefquels cette cérémonie
eff décrite fur une table de bronze auiiquc. Ibid. b.
STRUND-JAGER , {H iß . nac. ) oifeau du Spitzberg.
Sa defeription. X V . 348. b.
S i RUTHÎUM ,{ß u t . anc. ) sfpcce de chardon ou de plante
epineufe. X V . 348. Z>.
STRUTOPHAGES , (Géogr. anc.) peuple de l’Ethiopie ,
fous l’Egypte, Origine de fon nom. X V . 348. b.
S T R Ü v E , {Giorge Adam) jurifconfulte. IX. 846. .i.
S T R YM E , ( Céugr. anc. ) ville de Thrace. Relation entre
les habitaiis de Maronée & ceux deStrym e.X V . 349. a.
S TR I tM O N , {Géogr.anc.) fleuve qui fervoit de borne
entic la Thrscc 6c la Macédoine. Il y avolt nombre de grues
fur fes bords. Ce fut auprès de ce fleuve qu’une poignée d'A-
tkeniens triompha desMedes, X V . 349.0.
S T Y I STU A R T . Du tems pendant lequel cette maifoii a régné
en EcolTe. Suppl. IV . 736. a.
Stu a r t , {Alexandre) anatoniifle, Suppl. 1.4 0 8 .0 . &
phyfiologiffe. Suppl. IV . 338. a.
STU C ou Marbrefaélice, {A r t méch. ) compofition dont
le plâtre fait toute la bale. X V . 349. a. Do la calcination
qu’il faut donner au plâtre pour lui procurer la dureté convenable.
Méthode qu’ou fuit à cet égard pour le plâtre de
P.aris. Eqiece de colle dont on détrempe enfuitc ce plâtre.
Maniéré d’employer le Rue dans les ouvrages qui doivent
être faits de cette matière. Comment on le polit. Ibid. b.
Comment on lui donne un fond de couleur. Maniéré d’imiter
par les couleurs un marbre quelconque, & de re-
préfenrer fur uii fond de couleur difi^èrentes fortes d’objets.
Ibid. 330. a. Choix du plâtre 8c des couleurs les plus propres
à ces opérations./âhé b.
Stuc , pour les mofaïques. X. 746. b.
S T U D E R E , { Lang, lat.) pourquoi ce v erbe régit le datif.
IV .^37. b.
S TU D IO LO , ( Hiß. nat.) c’ell aiiifiqu’on nomme àRome
un alTortiment de différentes cfpecesde marbres, tant uutiques
que modernes. X V . 3 3 1.
S TU K K L E Y , anatomiffe. I. 406.^7.
STU P EU R , (M é d c c .) E ngourdissement. Sui-
pciir gravative. V. 83.^. Stupeur dans les membres, caufe de
gangrene. VII. 470. i.
STU PID ITÉ , Démence., {Médec.) caufes de la flupidité.
Rouie des indiqués dans la flupidité & la démence. X V . 3 31 - ‘z.
Stupidité. fa caiifc. IV. 783. b. Suppl, l. 6 j.a ,
STURMIUS , {Jean) littérateur 6c philogogue. X V . 238.
b. 749. b.
St u r m iu s , {Lconard-Chrißophe) fon fyftêmede fortification.
Suppl. III. 89. h.
STHS , ( Lang, latin. ) de la tctmiiialfon enßus de quelques
mots latins. VII. 173. b.
S TU TG A R D , ( Géogr. ) ville d’Allemagne , oîi naquirent
MartinBorrhaus, 6c Jean W olfgang Jceger, théologiens. Leurs
ouvrages.XV. 331. h.
S T û C K IU S , {Jean-Guillaume) de Zurich. XV II . 447. i.
S I Y L E , ( Gramm. Rhét. Eloq. Belles-lett. ) fignification propre
, & acception la plus ufitée de ce m o t.X V . 3 3 i .i '.T ro is
fortes de flyies ; le limple , le moyen 6c le fublime. Un
même ouvrage admet fouvent ces trois différentes fortes de
flyles. Différences entre le rtyle profaïque 6c le poétique.
Ibid. 332. a. Qualités du rtyle épique, (lu dramatique, du
lyrique, du rtyle bucolique, de celui de l’apologue. Du
rtyle de la profe. Style périodique. Style coupé. Ibid. b.
Chaque genre d’ouvr.ige profaique demandant le rtyle qui
lui ert propre , ou dirtingue en conféq-uence le rtyle oratoire
, le rtyle liirtorique , 8c le rtyle épiftolaire. Ibid. 333.
<7. Qualités générales que doit avoir toute efpece de rty le;
la cla rté, la noblcffe 6c l’éclat, des ornemens ménages avec
ndreffe , un rtyle qui revête la couleur du fentlnient , &
enfin la naïveté. Il paroit delà que les plus grands défauts
du rtyle, font d'être obfcur, Ibid. />. bas, empoulé, froid ou
toujours uniforme. Moyens de fe former le rtyle. Ibid.
3 34. .7.
S ty le , étymologie de ce mot. X. 467. æ , E C e qu’on
entend par diélion & flyle. IV. 938. a. V. 320. b. Quali-
l'.tés générales du ßylc. IV . 938. a. Pureté du flyle. SuppU
IV. 334. a. De la corrertion 8c de la clarté qui lui con-
viennint. IV. 271. a. V. 323. b. Abondance dans le rtyle.
Suppl. I. 3 a. d , b. Aménité. 343. b. Unité de ton 6c de
couleur. 383./z, b. Variété. Ibt'J. b. D u rtyle brillant. Suppl.
II. 33. a. De l’art des contraftes dans le rtyle. 370. a , b.
D e l’élégance. 783. b. De la grace. Suppl, ill. 248. P. Du
rtyle périodique & fouteuu, 11. 31a. b. X ll. 361. b. 363. b.
Suppl, llf, 307, b. mélodieux, X. 320. a. nombreux. XI. ao8.
b. 209. a. Suppl. IIL 306. b. 307. a. , i , Du rliythme dans
le rtyle. X IV . 267. b. Style ferme. V I . 527. a. De la convenance
du rtyle avec le fiijet. V . 324. a , b. U q la propriété
du rtyle. Suppl. IV . 339, b. &c. D e l’harmonie du
rtyle. V . 324 b. 323. b. V m . 3 2 .^ ,/ .. X L 374 .F XII.
848. a. Suppl. III. 304. a , b. 309. b. Style coupé. IV. 83.
a. Suppl. III. 307. b. ferré & concis. V . 323. b. XIV. 217.
a. facile , V . 326. a. figuré, V I . 763. b. 783. a , b. XVI.
1 37. a , b. fleuri, VI. 863. b. doux. Ibid. Voyc{ aufîi D o u x ,
D ur 6c D ureté. Gravité dans le rtyle. VIII. 863. b. Naïveté.
XI. 10. b. Noblefîè. V . 524. a. Suppl. IV. 33. b. Simplicité.
X V . 203. a , b. Des images dans le rtyle. Suppl. III.
362. a , b. particuliérement dans le rtyle poétique. 564. b ,
&c. Mouvemens du rtyle : art de l’animer. 970. b. 972. a.
Du rtyle fublime. X V . 368. b. Suppl. IV. 833. b. Partage
de Pétrone fur les qualités du rtyle , où il a donné lout-à-
la-fois le précepte & l’exemple. V. 648. a. Un des moyens
les plus propres pour fe former le rtyle 8c le goût , ert de
travailler fur des matières philofophiques. IV . 961. a. Urî-
lité de s’exercer à la poéfie pour fe former le rtyle. Suppl.
IV . 334. b. Des défauts à éviter darts le ßylc, Affcflation. I.
S T Y i f y . a. Suppl. I. 180. b , 8cc. Elle doit fur tout être bannie
de tout grand ouvrage. V. 647. d. Style ampoulé. Suppl.
T. 372. E 373* Y . 673. b. Rien n’infpire plus de dégoût
que des idees communes exprimées avec recherche. VII. 768.
b. Artonnances & confonnanccs dans le flyle. I. 773. a. )Y .
49. a , b. Difcoiivenance du rtyle avec le fujer. IV . jo - * '
a. Du rtyle chargé d'ornemen». V. 326. rf. D e l’enllme du
rtyle. 673. Voye:^ Ampoulé. Style froid , VH. 3 32. j ,/>.
igrmble, y i l l . 349. prolixe. XIII. 442. b. Sécherdfe dans
Ui\y\e Suppl, l 32. Défauts qui miifent à la clarté.
Suppl. II. 433. <2. Du rtyle dur, voye^ D o u x , D ur 6c D u-
RETE, Des mots ou des tours nouveaux que quelques écrivains
fe permettent. XI. 94. a , i>. Défauts de rtyle dont on
trouve des exemples danj, les éenvuins même du fiecle de
Jules Cefar 6c d’Augurte. X V î . 703. b. Du flyle propre à
chaque genre d'écrire. VII. 394. b. 6cc. Différence du rtyle de
Ja profe & de celui des vers. Suppl. iV . 933. b. Style poé-
iiquc. XII. 849. a. D u rtyle de l’épopée. V. 829. b. Suppl.
tragédie. IV . 682. .1. D e la poéfie lyrique.
AU. «27. a. Style pindarique. 639. b. Style de la poéfie pa-
rtorslc. V. 4^7 i . 430. t. XII. .5 7 . b. ,58. D e la fable.
VI. 343. a. Du rtyle propre à l’hiftoire. V l i l . 223. b. Du rtyle
propre aux ouvrages philofophiques 6c à rhiitoire. Suppl.
vn 'r lapidaire.
\ . 777. a , b. Style propre à un ouvrage tel que l’Encydopet
,e. V. 647. c, d. Du flyle épiftolaire , V. »16. a. orien-
Ml. VI. 7 6 ;. é. 7S3. b. X V . 534. b. macaronique , IX. 78e. b.
juaiotiqiie. X. 133. a , b, Suppl. III. S58. a. Imitation du
tyle ancien. I. 333, b. Style plaifailt. XII. 688. b.
OUI quoi le flyle de certains auteurs a moins vieilli que celui
(le leurs contemporains. Suppl. II. 784. a.
St y l e , ( Logtq. ) règles particulières au flyle des logiciens
S id e s p h ilo fo p h e s .X V :5 3 i^ . ^
| z y / foW .z / ; avantages de cette forte de rtyle. X V . 334.E
TYLE, du {Poéfie) La poéfie du rtyle comprend les
peiil^s , les mots , les tours 6c l’harmonie. En quoi elle
comtlte. Qualités particulières que chaque genre de poème
doit avoir dans la poéfie de fon rtyle. XV, 334. b. La poé-
le du rtyle fait la plus grande différence qui foit entre les
Vtrs & la profe. M.iis elle ert la partie la plus difficile de
a poefie , comme elle en ert la plus importante. Ibid. 333.
U. c caraaere de la poéfie du rtyle a toujours décidé du
. mauvais fuccès des poèmes , comme on le voit particulièrement
par quelques pieces de Corneille, 8c par les
denx poèmes épiques italiens, la Jèrufalem délivrée , Ôc le
Roland furieux. Ib 'id. b.
■ ^ ) Style ferme 6c rtyle p o li, dans l’exéctition
d’un tableau. X V . 336.-7.
St y l e , {Mujiq.) DiH'érentes fortes de rtyles dans la mu-
lique. Diverfes épithètes qui les dirtinguent. X V . 336. <7.
Stv LE, ( Littéral.) inllruinent donc les anciens fe fervoient
pour ecHre fur des tablettes enduites de cire. Coufeil donne
par Quintilien pour apprendre aux enfans à écrire. XV.
536. b. Vuye^ Stile,
St yle , ( chronolog. ) Vieux 8c nouveau rtyle. La diffé-
lence entre i un 6c l’autre va toujours en augmentant. Le
nouveau rtyle établi maintenant dans prel’que tous les états
de 1 Europe. X V . 336. b. Voye^ No u v e au .
^ ) Style des notaires. Claufes qui ne font
que de rtyle. X y . 336. b. D u flyle judiciaire. Uniformité de
liyle quoi! a tâché d’établir en France dans les procédures.
Styles anciens 6c nouveaux , ou inrtruélioiis fur la maniéré
de procéder dans chaque tribunal, ouvrages à confulter. Ibid.
St yle mercantile, {Comm.) X V . 337, a.
S T Y L IT E S , {H ijt.eccl.) folitaires qui paflbient leur vie
lui- le fommet d’une colonne. Quelle était la forme du haut
de CCS colonnes. S. Stméon Stylite. XV, 337. a.
{Anatom.) Deferiptions de quelques mufclcs
ddignes par les noms l'uivans ; iinifcles rtyloliyoidiens , fly-
lo-gioifes , X V . 337. J, rtylo-kerato-hyoïdiens 8c rtylo-pha-
ryngiens. Ibid. b. J r
Stylo-pharyngien, mufcle. Suppl. III. 708. a. Nerf. Suppl. IV. 39’
S T I M M A T A , ( P/iarm. anc. ) Etym. du mot. Onguens
lolides des anciens. Ingrcdiens par lelquels ils leur donnoient
de la folidité. X V . 337. b.
STYMPHALE , ( Géogr.anc.) v'iWe du Péioponnefe. Montagne
, lac , 8c fleuve de même nom. Obfervations fur les
peuples de Stympbale. Leur origine. Temples que Temenus
avoit bâtis a Junon dans l’ancienne Stympbale. X V eey
b. Fontaine remarquable de cette ville. Oifeaux qu’Hcreiile
tua fur les bords du Scymphaie. Oifeaux nommés ftympha-
iKles qui fo trouvoient, felon Paufanias , dans les défèrts
dArabie. Temple de Diane à Stymphale , flatue de la déeffe.
Evénement qui reveilU le zele pour le culte de la Diane de
Stymphale. Obfervations faites par M. Foiirmont dans les
environs (le cette v ille , nommée aujourd’hui Viceffe ou Vul-
iulbid.
S U H 711
Stymphale, temple de Junon dans cette ville. IX. 60. b.
STYMPHAL ID ES , ozyé-zzza: (Myz/io/.) Defeription de ces
oifeaux qu’Herculc détruifit. Explication de cette fable X V
338. A
S T Y P T IQ U E , {Phyjîolog. Chirurg.) Les rtyptiques font
des remedes propres à arrêter les hémorrhagies. Grumeau de
fang qui le forme au moyen des rtyptiques à l’orific'* du
vairteau d’où fortoit le fang. Lorfqu'on u(è de rtypr-qu-.'s &
d’efearotiques, le grumeau fe forme plus vite que quîmd on
n’emploie que des abforbans ou de fimplcs altringcns. De
tous les ftyptiques , le plus ordinaire 8c peut-être le meilleur
, c ert 1 alcohol ou l’efprit de vin pur. Autres rtviniciues
renommés. XV. 338. b.
Stypttque. Remedes de cc genre appellés ftegnotiques. X V
307. A La vefcc-de-loup, puiffantftyptique.XVII. 191. a. En
queds cas on emploie les remedes rtyptiques. Suppl, I. 662. a,
S T Y R A X , {B o t.) Noms de cette plame en difflrentes
l.ingucs, foil carnélere générique. Defeription de cet arbre.
Dirferens lieux où il croit. Gomme réfuie qu’on en tire. Ses
ulages en inedscine. Différence entre celle qu'on tire d’A mérique
6c celle d’Oriem. Suppl. IV . 832. A D e la culture
du rtyrax. Ibid. 833. a.
S T Y X , {M ytkol.) fleuve d’enfor. Serment par les eaux
du ftyx. Le rtyx étoit une fontaine d’Arcadie. Defeription
qu’en donne M. Foiirmont. XV. 339. a.
St y x , ( Géogr. anç., ) fleuve d’Arcadie , oui fortoit du
lac Phénée. Endroits d’Homerc 8c d’Héfiocle où fl en ert parlé.
X V , 3 39. .7. Qualités des eaux de ce fleuve. Defcnption*qu’en
donne M. Fourmont. Styx , marais de la Tiieflalie. Styx ,
fontaine de la Macédoine. Ibid. b.
S ty x , rocher d’où coulent fes eaux. XII. 498. a.
S U
SUABE , {Géog.'.) un des fix cej-cles de l’empire. Ses
prodiirtions8c fes rivieres. Hirtoirede ce pays Sc des peuples
qui lont habité. X V . 339. A Etats renfennes dans le cercle
de ce nom. DircReurs de cc cercle. Ibid. 360. a.
Suabc. Anciens peuples de ce pays. X V , 627. a , b. Cercle
de Suabc. IV . 70. Suppl. I. 3 1 t. Fin de la maifoii de
Suabepar la mort de Conrad le jeune. Suppl. II. 333.
^ S U A D A , ou Suadela, ( Mythol.) déeffe de la pcvfuafion
6c de l’éloquence. On la faifoit compagne de Vénu>. X V . 360.
a. Voyci Pith o .
SUAIRE , ( Cr'ttiq. facr. ) différens ufages du mot fuda-
rium dans le nouveau teftament. Plufieurs églifes fe tiifnutent
riionneur d’avoir le fuaire du Sauveur. Celui de Tmin 6c
celui de Touloufe , confirmés par plufieurs bulles pour être
le véritable. X V . 360. a.
Suaire: différence entre les fuaires Sc les véroniques, X V I I .
SU AN T E NILSON STÜ RE , {H iß . de Suede) admini-
rtrateur en Suede qui fuccéda à Steenflure I. Hirtoire abrégée
de fon adminiflration. Suppl. IV. 833. a.
SU A R E Z , {François) jêfuite , ns à Grenade. L 664. A
VU. 933 b.
SUAWE,Suavité, {Lang. fir.inç.) iifiige de ces mots.XV.
361.
SU A V IA R I , ofculari, ( Litiér. ) baifer tendrement. Ufao-e
de ces mots dans les lettres d’Atticus Sc de Cicéron. X ^ .
361. a.
SU A Y de Prémonval, {André le ) Ses ouvrages. 5zzzzp/ I l
320.
SUAZZ ARINI , ( Dominico ) fon hirtoire de Venife. XVII.
13. a.
SU B , ( Lang, latine ) Exemples de quelques ufages de cette
prépofition. I. 28. b.
SU B AL TER N E , ( Gouvernement ) Réflexions fur le fecours
que les miniftres d'état peuvent attendre des l’ubalternes. X Y .
361. ,7.
Subalterne , {Jurifipr.) fieffubalteriie. VI, 713. b. Juve
fiibaltcrne. IX. 16. A Jiiflice fubalterne. 100. a. Seigneur
fubalterne. XIV. 893. <7. Seigneurie fiibaicerne. 899. a.
SU B afeia dedkavtt , { L u t .) forte d’infeription qu’on
trouve quelquefois fur les tombe.iux. X V . 361. a. Explication
ingénieufe qu’en donne M. Cliorier. Ibid. A
SUBÜELÉGA r iO N , {Junfpr.) Voye:^ DÉLÉGUÉ , SuB-
DÉLÉGUÉ , C om.MISSAIRE DÉPARTI , &.C. Greffier des fub-
délégations. VIL 928. a.
SÜBD ÉLÉGU É, {Jurifipr.) Autorité du fubdélégué chez
les Romains. IV. 780. a. Délégations 8c fubdélégations autrefois
ufitées en France. Ibid. b. Subdélégués des intendans
des génér;ilité.s. VII I. 808. A Juge lûbdéléeué. IX. 16 b
SU BH A ST A T IO N , {Jurifpr?) étym. de ce mot. X V .
361. A Provinces de France où cette forte de vente ert ufi-
tèe. Ouvrages à confulter. Ibid. 362. a.
SUB JEC T IO N , (Rhét.) figure de rhétorique. Exemple
tiré de Cicéron. X V . 362. a.
SUB INTRANTE , fievre , {Médec, ) V I. 739. A