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MrRlDIFK , p‘\d'‘iç.i (^un ajlre a n ) iV . ^49. b. Vovc^
P a s saGF. D l* hi hauteur dii foleii ait méridien. SuppL i l l .
j i i . a. Hauteur méridienne de quelque étoile. Suppl. II.
Sy.f. P'oyc^ Hau t e u r .
ÀIÉRIDIEN , ( Geo^r. ) Il y 3 pluficurs lieux Tous le même
méridien. Tous ces lieux ont midi au même inilaut. X.
383. rf. 11 y a amant de méridiens, que de points fur l’é-
quaretir. D e la détermination du premier inci'idieii. Ordonnance
de Louis X lll. fur ce fujer. L ’obfervatoire de Paris
pris aujourd’hui pour point rixe par pliifieurs nllronomcs &
géographes, qui comptent de ce lieu la longitude orientale &
occidentale. Lrreur de i’ iolomée fur la pofitionSc le nombre
des ifles Canaries appellees fortunées par les anciens. Ibid. b.
Ll^ngiIude de fille de Fer. Les aftronomes clioirilTent pour
premier méridien , celui du lieu où ils fontlcuis oblervaiions.
C e ll au méridien que les allies font dans leur plus grande
liaïueur Sc dans leur plus grand abailTemenc. Üblervations
qui ponem à loupçonner que les méridiens varient à la longue.
Catil'c de cette variation. Obfervacions qui tendent à
détruire ce foitpçon. Ibid. 384. a.
Méridien , c’ell fur ce cercle qu'on mefurc la latitude d’un
lieu. IX. 302. b. Degrés du méridien. IV. 762. u , b. Inégalités
de ces degrés, voyf^ F igu r e DE LA t erre . Rétlexions
fur la maniéré la plus commode &. la plus fùrc de rîxer un
premier méridien. VIII. 922. b. DitTérens lieux par lefquels
on i’a fait palTer. V I. 301. a. üblervations fur le premier
méridien. IX. 685. a , b. Premier méridien des Portugais.
X V I , 147. J. Maniéré de mclùrer un degré du méridien.
IX. 302. b.
Aleridun du globe ou de la fphere artificielle. On trace
ordmairement irentc-fix méridiens fur les globes. Ulages du
méridien. X. 384. b.
Méridienne., ligne; méridienne tracée par M. Cafiinifur
le pavé de fégUfe de Ste. Pétrone à Boulogne. Quelles
font les plus célébrés méridiennes de cette efpecc à Paris.
Defeription des gnomons des modernes & de ceux des anciens.
X. 384. b. Defeription de la méridienne que M. le
Monnicr a tracée dans féglife de S. Sulpice. Ulages allrono-
miques de cette méridienne. Ibid. 383. a. Suite de fa defeription.
Ibid. b. Maolcre de tracer une méridienne. Ibid.
386. a. Quelques-uns de fes ufages. Ibid. b.
Méridienne, ligne, fa defeription. XI. 460. a. Efpece de
cadran fola'ire au moyen duquel on trace aifément une méridienne.
Suppl. 1. 737. a. Méridiens à gnomon. Foye:^ ce
dernier mot.
Mèiidien d’un câdran. X. 386. b.
Méridien m.ignérUjue. Hauteur nicridienne d'un afire. Manière
de prendre les hauteurs avec le quart de cercle. X.
386. b.
M éridienn e, (A/tVtcm. /jygic/?.)!’ nlage de cefommcilque
l ’on prend après-midi eA très-ancien. Peuples & ordres religieux
quil’om adopté. Pluficurs perlonncs ont éprouve que ce
lommei! contribuoit à leur faute. Diltérens fentimens fur fon
utilité. D e felFet qu'il produit, reJativemem à la digtltion.
Suppl. Ill, 903. b. Quelle doit être fa durée pour qu’il foil
falutaire. Des perlbnnes auxquelles il convient. Ibid. 904. a.
D e la lituation que l’on doit garder, & de la maniéré donc on
doit être couché pendant ce fommeil. Ibid. b. On no doit
pas éveiller brufquement ceux qui font la méridienne, Ouvrages
à confiiher. Ibid. 903. a. ,
M E R ID IO N A L , {^Gèogr. & ^Jlron.) dlAance méridionale
en navigation. Parties , milles ou minutes méridionales
en navigation. Les parties ou milles méridionales croif-
fent à chaque degré de latitude , en rail'on des fécantes de
l’arc compris entre cetre latitude Sc le cercle équinoxial.
X . 386. b. Comment on forme les tables des parties méridionales
dans les livres de navigation, üfages de ces tables.
Ibid. 387. a.
MER IND O UL , ( Géogr. ) village de Provence au diocefe
tic Cavaillon. Co lieu , ainfi que Cabrieres, ctoit haliicé par des
feilairos des anciens Vaudois. MaiTacre de ces infortunés
fous le régné de François I , en 1345. Stip/i/. III. 903. a.
MLRIÔNETSHIRE , {Géogr.) province d'Angleterre.
Ses bornes 6c fon étendue. Produétion particulière du pays.
La plus haute montagne d'Angleterre eft dans cette province.
X. 837. a.
MER IMER, {B o r .) efpece de cerificr fauvage à fruit
noir. X. 387. a. Defeription de cet arbre 8c de fon fruit.
Divers ulages des merife.. ^oyei C erisier. X. 387. b.
Alerijlcr, grand arbre qui lé trouve dans les bois des pays
tempérés de l’Europe, au MilTifiipi , au Canada, 8cc. Sa
dcLription. M erilierà fruit m ir. Mcrifier à fruit rouge. Lieux
ou ces arbres i'e plaifent. Maniéré de les multiplier & de les
cultiver. Age de leur perfection. X. 387, b. Le merificrcft peut-
être l'arbre qui rtulTit le mieux à la tranfplantation pour former
du bois Ce pour garnir des places vuides. Qualités du fruit
de ect ai Dre. Üolervations fur fon bois , fes qualités 8c Ion
iil.ige. Variété eu meriller, qu’on peur employer dans les
bolquccs. Mauicre de la multipl'icr. Ibid, 388, a.
M E R
MÉRITE , ( Droit nafur. ) notions du mérite 8c du démérite.
La louange ik le blâme fuivcnc toujours la qualité des
aciions, fuivaiit qu'elles loin moialcmcnt bonnc.s eu inau-
vailes. X. 388. J. Le mcrlte 8c le démérite ont leurs déf
ié s , 8c il faut avoir égard à ces diirércnces , quaiulil s’agit
de déterminer à quel point on doit imputer une aétioii
a quelqu’un. Nous femmes faits de maniéré que la perfeétion
8c l’ordrenous piaifem par tux-memes , 8c que le défordre
6cc. nous déplaic naturelkment. C ’efi-hi le loiulcmcr.t de
l’approbation que nous accordons au mérité, 8cc. D e deux
hommes égakinem vertueux , c’eA a celui dont la coiicii-
tion eft plus élevée que nous devons donner la piélérence
de nos l'uft'rages. X. 388^ i>.
Mérite, de l’homme de mérite élevé aux grandeurs. V IL
836. U, b.
M é r it e , ( Théolog.) bonté morale des aélions des hommes.
Deux fortes de mérites félon les fcholaliiques ; 1 un
de congruité, raiitve de coudignité. X. 38S. b. Les réformés
n'admettent point ce dernier. Conditions qii c.xlgent ces
deux fortes de mérites, tant du coté de la peifonne qui
mérite, que du côté de l’aéle méritoire 8c de la part de
Dieu qui récompcnle. X. 389. a.
Mentes de Jejus-Chrift. i l l . 836. a. D e leur imputation.
V I lI . 640. a.
M érite militaire, { l ’Ordre du) fon inftltution. Ses principaux
officiers. Marque de l'ordre— Suppl. 111. 903. a.
^oyr^vol. H. des pl. iilafon. pl. 23.
MER LAN ,{ k h ih y y l.) poiflon de la mer occane. Sa def*
ciiption. Qualité de fa chair. X. 389. a.
MERLE , ( Orniih. ) defeription de cec oifeau. X. 389. a.
Diverfes obfervations f'ur la confit uélion de (on nid , la
ponte de fes oeufs , 8cc. Lieux où l’on trouve des merles
blancs. Ibid. b.
Merles , c/iujfe aux. III. vol. des planch. ChalTc. Pl. 16.
AA-;7<; bleu , OU moineau foliiaiic. Sa defeription. X. 389. b.
AJerle à collier ; fa delciiption. X. 389. b.
Alerte d’eau ; fa defeription. X. 389. b.
Merle couleur de roje ; defcript'ion de cet oifeau. X. 390. a.
Alerte , T■ jut d, Rochau , { khtliy ol. ) Defeription de Ce poif-
fon de mer. X. 390. a.
Aierle, efpece de merles appellés baniahbou. Suppl. I.
794. a. Palinifte. Suppl. IV . 224. a.
MER LET TES , {B iafon) dütinguées des alérions. L
MERLIN , ( Jacques ) düéleur de Sorbonne. IX. 346. b.
Merlin , cfpccc dc corde. IV. 205. a. 217. a. 218. a.
M E R L iN E R , aiguille à {Alarinc ) Suppl. I. 231. a.
MERLON , ( FJinjle. ) pai t'io du parapet entre dc ux em-
hrafures. V. 361. a.
MLRLUS , {Ichthyol. ) defeription dece poiflon de mer.
X. 39c. a. Qualité de fa chair. Ibid b.
M erlus , latte d'un {Science rnicrofeop. ) Obfervations 8c
calculs dc M. Leuwenho ck, d’oii il conclut que le fernc/i
d’im merlus v iv ant, contient plus d'auimalciiles qu'il n’y a
d’bommes aéluellemcnc vivans fur la terre. Comment U
trouva la grandeur comparative de ces petits animaux. X.
390. b. Lorfque la fcmence était exhalée , les petits corps
de ces animalcules fe mcitoient en pieces , ce qui n'arrivolr
point à cctix de la fcmence d'tm belier. X. 39t. a.
M er lu s , {Pèche) cette jiêche fe pratique dans la baie
d’Aiidierne. Qualité de la chair de ce poiflon. Comnuinc
oa f,de & l’on fait fécher le merlus. X. 391. a.
M ER LUSIN E, comeeffe de ce nom. Suppl. H. 84. b.
M e r lu s in e , {B iafon) fyrene dans une cuve. Elle
fcrc de cimier à quelques maifons. Origine dc ce cimier.
Suppl. 111. 903. b.
M ÉR O É , ifle de, {Géog. anc. ) ou plutôt prefqii’ific dc
la haute Egypte. ConnoilTance que nous en donnent les anciens
géographes. Rien de plus célébré que cette ifle dans
les écrits des anciens. X. 391. a. Rien de plus diindle à
trouver p ar les modernes. Cotijcélures des PP. défuites qui
ont été eu Ethiopie, fur cette ifle. Celles üeM .D c liflc. Ibid. b.
M£ROS , ( Ichthyol. ) delcription d'un grand poilPon d’A mérique
défigiié par ce nom. X. 391- b.
M éros , {Géogr. anc. ) m-.ntagne de l'Inde. X. 391. b.
MEROU , ( Géogr. ) ville d'Afic eh Perfe. Diverfes
confidérations qui la rendent remarquable. Sa fituaiion. X.
391. b. Infcription du tombeau dc Alp-Arllan , fécond ful-
tan de la dynalUc des Selgincidcs , mort dans cette ville.
Ibid. 392. a.
MERÜU ÉE, {H ifi.d e France) troificme roi de France,
fticceircur dc Clodion. On lui domioit pour pore une divinité
de la mer , 8c là mere ctoit féimuc de Clodion. Réflexions
fur cette origine fabuleufe. Principaux évéïiemens
dfe ftm règne. Suppl. III. 905. b.
M erou ée, fils de Cililpéric : ufage qu’il fit du fort. X V .
379. a ,h.
AIERO V IN G IEN , {Hifl. de France.) premiere race des
rois d cE taR ce , appciiéc Metovingiennc. Durée du règne de
cette
MER race Etymologie du mot Mérovingien. Difpiue entre
MM Frcretik Gibert fur l’origine de ce nom. X. 392. a.
Mérovingiens , obfervations fur la duree de leur regne.
Suppl- n i . 794- Conduite des maires du palais fous ces rois.
Suppl. IV. 284. a , b, &C.&C.
iVlERS, A , {Géogr.) province d’Ecofle. Ses productions.
Sa fituation. Famille qui jouit dc ce comté. X. 392. a.
MERSBOURG , ( Géogr. ) ancienne ville d’Allemagne. Ses
révolutions. Son évêché. Sa pofition. X. 392. a.
MERSENNE , ( Marin ) religieux : fes ouvrages. lA . 882.
Saliaifon avec Hobbes. V I ll. 232. é. 233. A 234. u. On
lui doit l’invention du télefeope de réflexion. XVI. 43. a , b.
M ER TO LA , ( Géogr.) ancienne v ille de Portugal. Sa force
& fon ancienne opulence. Sa fituation. X. 392. a.
M E R V A N , califes de ce nom. Suppl. II. 128. b. 130.1*.
M ER V E IL LE , {Hifl. anc. Philol.) voye^ M ir a c l e . Sept
merveilles du monde. lÂ. 392. a. Voye^ leurs articles parti-
*^^'mek veilles du Dauphiné, {Hifl. /i4/. ) Réflexion fur ces
merveilles. On en compte fep t , favoir , la fontaine ardente ,
la tour fans venin , la montagne inacceft'ible , ou le mont de
l ’aivuille ( Foye^ X. 679. b. ). Les cuves de SalPenagc , la
manne de Briançon , le pré qui tremble, 8c la grotte de
Notre-Dame de la Bahne ( VII. 969. u .). Obfervations
fur chacun de ces objets. X. 392. b. Aux merveilles dont on
vient de parler , quelques auteurs ajoutent, la fontaine vi-
neiife , le ruifTeau de Barberon , 8c les eaii.x clicrmales de la
Motte. Ibid. 393. a.
M erveille , pomme d e , {Botan. ) X . 634. A 63 3. a. Efpece
tic ce genre, nommée bcmpavel. Suppl. I. 870. b.
M ER V EIL LEU X , ( Ltitér. ) fixions hardies dans la poéfie
épique , qui étant hors du cercle des idées communes, écon-
iiem l’efpric. i^. Il y -a dans le merveilleux une certaine dif-
cretion à garder, Si des convenances à obferver ; car le
merveilleux varie félon les cems. X. 393. a. Quant aux êtres
perfonnifiés, une regle à fiiivrc feroit de ne jamais entrelacer
des êtres réels avec des êtres moraux ou métapliyfiqucs.
a “. Obfervations fur cette foricdedifparare choquante où font
tombés les poètes modernes, qui perfuadé*s de l’abAirclité du
pagauilîne , n'out pas laifTc d’en alfociet les dieux dans leurs
poeities, au vrai Dieu. Ibid. 394. a. Examen de la qticftion ,
s’il n’eft pas permis d’introduire dans les jx)èmes modernes,
des anges , les faints, les démons , d’y mêler mé*ine certaines
traditions, ou fabuleufes, ou fiifpeéles, mais pourtant com-
iminément reçues. Sentimens dc M. de Voltaire fur ce fujet.
Ibid. b. Mcivcilleux employé dans la Hcm iade. L’illufioii ne
peut être complecte qu’autant que la poéfie fe renferme dans
la créance commune 8c dans les opinions nationales. C e n’eft
plus dans la poéfie moderne qu'il faut chercher le mervcil-
ie u x , i l y feroit déplacé; 8c le feiil qu’on y peut admettre
réduit aux paflîoiis humaines perfonniriées, eft plutôt une
allégorie qu’un merveilleux proprement dit. Ibid. 393. a.
M er v e il le u x , {BclUs-Leiir.) deux dpeces de merveille
u x ; 1°. le merveilleux naturel eft p r i s s ’il eft permis de
parler ainfi, fur la dernière limite des pofl'ibles : la vérité y
peut atteindre , Sc la fimplc rnifbn peut y ajouter foi. Divers
exemples d’événemens merveilleux dans le phyfiquc 8c dans
le moral. III. 906. a. 2''. Merveilleux fiirnaturel. Obfervations
fur ce qui eft dit dans l’Encyclopédie , que ïilluflon
ne peut être completie , qu autant que la poéfie fc renferme dans
la cTe'j/;a' commune fy dans les opinions nationales. Cette affer-
tion eft fondée fur une faufl'e fuppofition ; favo ir, que la
poéfie , pour produire fon effet, demande une illiifion com-
plettc, — Le leéleur ou le fpeilatcur n’a pas befoiii que le
merveilleux foit pour lui un objet de créance , mais un objet
d’opinion hypothétique 8c palTagere. Tout ce tjti’on exige en
poéfie , ce font les convenances ou la vérité relative ; 8c
celle-ci confifte à 11e fiippofer dans un fujet que le merveilleux
, reçu dans l’opinion du tems 8c du pays où l’aélion s’oft
paflee. Ibid. b. La feule attention qu'ou doit a v o ir , eft de
dliifir bien au jufte l'opinion des peuples h la place defquels
on veut nous mettre , afin de ne pas faire du merveilleux un
ufage dont eux-mêmes fcroicnt blcfles. — Quoique dans les
fiijèts modernes , le mi;rvcilleux ancien ne puifTe être férieu-
femeiit employé, il ne fuit pas de-là que notre merveilleux
foit réduit à l'allégoiie des pafl'ions humaines perfonniriées :
avec de l’art 8c du goCit, nos proplietes, nos anges, nos
faints peuvent agir décemment 8c dignement dans un poème;
mais ce qui manque au merveilleux moderne, c’efi d’être
paflionné. Nos démons , il eft v r a i, font fufceptibles dc paf-
rions ; mais fans mélange de bonté ni de vertu. Les deux magies
rapproclient un peu plus le inervcillcux de la religion 8c
celui de la fable ; mais les magiciens eux-mêmes font décidés
■ bons ou médians, par cela f'eiil que le ciel ou l’enfer les
féconde. Ibùl, 907.1*. — Vers de l’aini-lucreee , où l’avaniage
du fyftcme poétique ancien fur le moderne eft élégamment
exprimé. — Quant aux perfonnages allégoriques, il faut renoncer
à en faire jamais la machine d’un poème léricux. On
pourra bien les y iinroduire en épil'odes palfagers, fna'is Oü
Tome II.
MES 2 1 7
ne fauroit en faire les mobiles de l'afHon. Ils ont en général
deux défauts; l’iin d’aVoir en eux-mêmes trop de fmqflicitc
decaraéfere, l’autre de n’avoir pas affez de confiftance dans
l’opinion. Ibid. b. Moyens qui nous refteut d’introduire le
merveilleux dans l’épopée. Ibid. 908. a.
Merveilleux. En quoi il confifte dans le moral 8c dans la
beauté phyfiquc. Suppl. IV . 998. b. D ’où dépend fa vrai-
femblance. Ibid. b. Du merveilleux qu’on peut tirer de l'hif-
toire des animaux. 1002. a , b. Du merveilleux dans certains
coups de la deftinée , éloigné dc l’ordre des diofcs : de»
moyens de le rendre vraifemblablc. 999. b. Dans le merveilleux
, le vraifemblablc a fes bornes. IX. 798. b. Du merveilleux
furnaturel. Suppl. IV. 1000. a , b. Difficulté d’employer
avec décence le merveilleux , tiré de notre religion.
1001. a. Des moyens dc donner aux merveilleux des caracr
teres de vraifcmblance, & à des phéiioincnes naturels le
caraélere du merveilleux. 997. b. 998. a. Quel eft eu général
le grand art de rendre le merveilleux vraif'emblable. 1003. a.
Origine 8c développement de tout le merveilleux de la iny-
thologie. 1001. a , b. Règles fur l’ufagc du merveilleux de la
mythologie pour qu’il foit vialfcmblable. 1002. a. Le merveilleux
des anciens ne conviendroit peut-être pas à un poème
moderne. IX. 798. b. 799. a. Du merveilleux dans l’épopée.
I. 122. a. Le Tafle le regardoit dans l’épopée comme la
fource du pathétique. Suppl, l. 139. b. Merveilleux qui naît
des perfonnages allégoriques. 300. b. D e l'iifage 8c de l’emploi
du merveilleux, tiré de rallégorle. Suppl. IV. 1002. A
En quoi confifte le merveilleux naturel qui convient à l’époy
pée Sc à la tragédie. Suppl. III. 949. a. Un poème ne doit
pas être une fuite d'événemens tous merveilleux. Suppl. IV.
13. b. Examen de la queftion, fi cette efpece de merveilleux
qui fait l’ame de l’épopée peut être repiéfenté fu r ie théâtre
lyrique, fans perdre à-peu-prés tout fou prix. XII. 828. a.
D c l’ufagc du merveilleux dans une tragédie , pour en amener
le dénouement. IV. 832. a. Du merveilleux dans les
opéras. V. 619. d , b. V I . 464. b. Son origine. Suppl. IV . 139,
a. Diverfes obfervations fur le merveilleux de l’opéra, Suppl.
III. 823. b , &c. D c l’exagération pour atteindre an merveilleux.
Suppl. IV . 999. b. Faux merveilleux qui confille dans
l’exagération. VI. 681. a , b. Regies fur rufnge du merveilleux
, tiré de la magie. Suppl. IV . 1002. a. Effets merveilleux
des beaux arts. V II . 718. b.
Alervcïlleux, goût dejjhomine pour le merveilleux. XIII.
621. b. Le merveilleux admis dans la religion des Grecs &
des Romains. X IV . 86. a , b.
M E R Y , { Jean ) anatomifte. Suppl. I. 400. b. 8c phyflolo-
gifte. Suppl. IV . 332. b. Son femiment fur la circulation du
fang dans le foetus. 207. a. Auteur qui l'a combattu. Suppl. I.
402. a.
MÉS , particule prépofitive en François. XII. 102. a.
M E SAN G E , AUfarige-nonctte,{ Ornithoi.) Defeription de
cet oifeau. X. 393. h.
Aiéfange bleue. Defeription de cet oifeau. X , 393. E
Méfange des bois. Defeription de cet oifeau. X. 396. a.
Aiéfange huppée. Defeription de cet oifeau. X. 396. a.
Aiéfange de marais, Defeription de cet oifeau. X. 396. b.
Méfange à longue queue. Defeription de cet oifeau. Lieux
qu’il habite. Struéfure de fon nid. Ponte de Ja femelle. X.
396. b.
Aiéfange à tète noire de Canada, vol. V I des planch. Régné
animal, pl J 3-
MESENTERE , ( .^nat. ) corps gras 8c m’embraneux, fitué
au milieu des inteftins, qu’il attache les uns aux autres. Défi-
cription de ce vil'cere. X. 397. a. Son ufage. Ibid. b.
Aléfentcre , mcfcntériqiie. Pour donner une idée diftinfle de
ces parties, l’auteur commence par le méfocolon, procltuftion:
du péritoine, à laquelle eft attaché le gros Inteftin, 8c huit
parle méfeutere, autre produélion du péritoine qui s’attache
aux inteftins grêles. Defeription de ces parties. Suppl. III.
908. a , b. Glandes méfemériques. Vaifleaux qui appartiennent
à cet organe. Ibid. 909. a , b.
Aléfcnterc. Sa defeription. Suppl. II. 614. a. Glandes répandues
entre les deux lames de ce vifeere. III. 406. b. Foyci^
Mésentérique.
M ésentérique , f/exuj , {Anat.) Defeription du grand
plexus méfentérique. X. 597. a.
Méjentériques ou méfaraïqiics. Deux artères de ce nom.
Veine méfentérique. Nerf méfentérique. Omphalo-méfentéri-
que. X. 397. b. Foyei O m ph alo , 8ce.
Méfentérique. Branche dc l’artere méfentérique fupérieure
qui fe répand dans le foie. Suppl. HL 76. **, b. Veines méfen-
tériques. 77. a. Qualité du fang de ces veines. VU . 36. b,
Fievre méfentérique. VIIL 842. a , b. Opiate mefencérique.
X. 373. a.
MESMES, famille de ce nom à Monc-de-Marfan. Suppl.
III. 938. b.
MESMIN, {Saint’ ) abbaye dc Fr.ince. X. 486. é.
M E SO CO L IQ U E , ( Anai.') artere. Suppl. lU. 910.
Veine. 77. a. 910. b.