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rMILOSOr’HC. Fr.cillti d’acqi;:rir aiijonrcVIuil ce titre. C;i-
rai^cre dit vrai philoloplic. XII. 509. l>.
l'/iilofoplie, les Grecs 6c les Romains qui penfoicnt par
<iii.v-ménics mcntoieiic i'culs le nom de phlloloplies. III. 11 .
Pliiblbphcs que le pbile anima. VU. ^85. l>. Iiulépen-
daiice du philolbphe. V'ill. 671. i. Son indiBéiemitme. 67b.
U. JuAe milieu qu’il doit tenir entre le icepticUme & la
crodiiÜtc. X. -r4i. u , L.e devoir du philülbpho cA de bannir
t.i liiperAition du monde. IV. 1075. e. Accul'ation peu
im poitamc tinte aux pliilolbphcs. \ ’ II. 42S. .1. Portrait du
philolbjihc on du liige. X IV. 494. b. Eloge du vrai philolbphe.'
V. a -o .M e n lio d e par laquelle il parvient à former
un tout Iblidc des vérités qu’il déeouvre. 271. u._ Avantages
qui rél'ulteroient de l’accueil que les princes fevoient aux
philoibphes. 1. 670. .1. Conicils aux pliilofoplics modernes.
V . 284. b. Ingr.uiuulc de ceux qui méprileut les beaux-arts.
S::pp!. I. ^89. b. Des anciens phihfophcs. S’il eA raifonnable
de penfer que les premiers hommes aient été phitofophes.
I. 494. 495! Rej>as publics en ulage parmi les philoibphes
de la Grèce. XII. 501. b. Lâcheté des phllofoplics à com-
batcic l'idolànle. X ll. 962. 963. u. C e ll fur les théâtres
c|iie les philofü[)hes alioient expliquer quelquefois leur doctrine
à leurs écoliers. X VI. 257. Des philofop/ies modernes.
Quelle fu t , à l’époque du renouvellemein des lettres, la pvin-
cip.de occupation des philofophes. V. 283. b. Avantages
des pliilolbidies des derniers fiedes fur les anciens. 918. u-
RéAexion fur les grands philofophes d’entre les modernes.
IX. 369. b. Oigueil des philofoplies de nos jours , qui les
porte à nier ce qu'ils ne peuvent expliquer ou comprendre.
XIII. 423. b. Des .barines des philojopitcs. Comment les anciens
& les modernes ont pu fe rencontrer en queUjues
points. V. 273. J. Deux fortes de doflrincs des anciens
philofophes / l'une publique Jk l’autre fecretc. XI. 273. h.
Doclrine des anciens philofophes fur Dieu. V llI . 396. ei.
Leur doclrine bien pénétrée étoic l'éponge de toute religion.
XIII. 311. Les phibfophes athées ne font point en A grand
nombre que le fuppofent certaines perfonnes. I. 801. a , b.
Comment quelques philofoplies ont pu tomber dans ruihéifme.
I. 800. b. Sentiment dos philolojilies pai'ens fur les dieux.
XII. 960. i , &c. fur la providence, X ill. 511.^. fur l'ame,
fur le inonde, & c. Doye^ ces articles particuliers.
P h il o s o p h e cAm/cn , {Thblog. Mor.il.) ïhcmicre étude
importante à rhoinme : il doit examiner ce qu’il c A , d’où
il v ient, ce qu’il doit devenir. L a it 6e la beauté du mecha-
nifme de fon corps doit élever fon efprit à rintelligencc fu-
périeure , qui s’eA plu à gr.avcr dans toutes les parties de
fon ouvrage les traits les plus èclatans de fa fagelfe. Des
réflexions plus approfondies fur fa nature lui apprenneut en-
fuite à cliAingucr de cette portion de matière qui lui ajipar-
tient , ce principe qui penfe , qui fent & qui veut , dc»nt
les facultés n’ont rien de commun avec celle d’étre hguré ,
mil , divifé. Suppl. TV. 332. b. Un corps eA un tout com-
pofé de particules accidentellement affodées. Or comme ü
ne peut y avoir d'unité dans la matière , nous ne devons
point y chercher rindividnalitc du fujet auquel appartiennent
les fenfations quinoiis afleflent. Les fenfations nous apprennent
que nous ne voyons point les corps en eux-mêmes, mais
feulement dans les rapports qu’ils ont avec nous, dans leurs
imprtlTions fur nous. AinA les objets que nous appercevons
font réellement diAingués de ceux que. nous croyons apper-
cevoir. Il fuit de-là que nous avons une conviélion plus intime
de l’exiAence de notre aine que de celle des objets extérieurs
&: même de notre propre corps. Ibid. 333. a. C e pendant
par quelle étonnante dil'pofition arrive-t-il que rrous
connoiffons plus notre corps que notre ame ? Pourquoi fam-
il otic nous ignorions ce que nous aurions le plus d’intérêt
dc^connoitre ? Pourquoi Dieu Uii-méme échappe-t-il à nos
recherches } Eclairés fur cc.s importans objets , u’euAlons-
nous pas plus infailliblement atteint le degré de perfeélion
auquel notre condition naturelle nous permet d’nlpirer ? Le
feiil moyen de réfoudre cette cllAiculié , c’eA de convenir
que Dieu ne veut pas fimpleniem que nous foyous parfaits,
il veut encore que nous le devenions avec mérite , que nous
prenions généreiifemcnt le parti de nous dévouer à tout cc
qui peut nous faire entrer dans les vues qu'il a fur nous.
Ibid. b. II. Puifque nous fommes deAiiiés à mériter, nous avons
néceffairement des devoirs à remplir & même des facrifices
à faire. Mais quels font ces devoirs} Ceux au.xquels notre
coeur fe porte , nous les rempliAbns fans mérite, il nous en
coùieroit pour nous y refufer.- Et puifque nous fommes de-
Ainés à mériter, il faut que nous méritions le plus qu’il cA
poAible. Il falloir donc qu’aux loix de la nature Dieu en ajoutât
d'autres, dont l'obfeivance nous coûtât des efforts i il falloir
qu’il fe révélât. J’apprends qu’il l’a fait en faveur d’tili peuple,
auquel il n'accorda des loix que provifionncllemcm , 6c pour
les préparer à une loi plus parfaite. Un meflie leur étoit
promis. Les prophètes l’avoient annoncé fous des carafleres
fl différens , A lumineux , A frappans, que lorfqu’il paroi-
t ro ii, tout homme ami du v r a i, 6c dont le coeur n’aiiroit
H i point corrompu rcfprit , devoit le reconnoitre. Ibid. 334.
Ces prédictions accomplies dans la pcrlonne'de /élus*
CluiA , la grandeur de fes oeuvres, l’éclat de fes vertu s ,
Axent nos regards fur lui feul , 6c foumettent nos coeurs
aux loix divines qu'il vient nous impoier. Ibid. b. lU. Si
maiiitenaiit je conlldcrc la religion chvéticmie avec l’attention
qu’elle me paroît mériter , je découvre que les principes
font parfaitement conformes à ceux de ma railon. Les
faeviflees qu’elle c.vge de la part de mon coeur , de mon
efprit , de mes fens, répondent à cc principe inconieAablc,
([lie puifque nous fommes deAinés à tnéiiter le plus qu'il cÜ
poAible , il ne peut y avoir aticunc forte de facrificc dont
nous ne detbons à Dieu le libre. 6c volontaire hommage.
Si le chrillianifme s’ctcml ;i tout ce que l’iiomme doit .â Dieu ,
il s’étend aulA à tout ce que Dieu fc doit à lui-même. L’union
de fon Als à la nature humaine qui par là fe trouve
annohlie , Jbid. 33 3. .t. le témoignage qu’il rend par fa mort
à la Aiprème majellé de D ieu , à l’etendue de fa jiiAice , à
rimmenfité de l'a niiféricorde , tous les décrets divins en
un mot dont Jefus-Chiill cA l’accompliAcmciit, font éclater
la gloire de Dieu 6c le montrent grand dans toutes fes oeuvres.
Je le demande maintenant : le hafard auroit-il lié les parties
d’un I'yAeme auAî magniAque (pie celui qu'offre la religion
chrétienne ? Ou bien auroit-il été poffible de concevoir un
plan plus digne de D ieu , que celui dont il aiiroit fait choix ?
Ibid. b.
P h il o s o p h e s , (y^/c/iym. 6 -C/iy/n.) adeptes ou poffeffours
de la pierre phllofophalc. Préparations & opérations chy-
iniques qualifiées du nom de philofophes. Huile des philolb-
plies. Edulcoration philofophlque. XII. 5 11. u.
PHILOSOPHIE, i''. Origine & différentes ncccptions de cc
terme. Les philofophes décorés autrefois du nom de ftpes.
Il fut prodigué à bien des perfonnes, qui ne niéritoieiit rien
moins que ce titre faAueux. Ce qu’on entendoit alors par
ftgejjc 6c par figes. XII. 311. n. D e fubliines génies pour
fe rendre plus dignes de'ce titre, entreprirent de combattre
6c de fecouer les fiipciAitions vulgaires; mais après avoir
détruit, ils ne purent édiAcr , Sc relTcinblercm à ces con-
quérans qui ne lailTent après eux que des nnnes. Ce n’eA
qu'aprésMvoir paffé par diverfes fortes d’eneurs que nous
pouvons arriver à quelque chofe de raifonnable iùr quelque
matière que ce l'oit. PaA'ngc de M. de Fontcnelle fur
ce fujet. Ouvrages à confulter fur riùAoire de la philofo-
phie. Principaux objets de la philofophic des anciens. En
quoi confiAoit fon excellence. Ibid. b. Comment elle dégénéra.
Pytliagore fubAitua par modeAie le titre de philofopke
à celui de fige ; mais rorgucil philofopltique n’en rabattit
rien. Prétendue doflrine fecrcte que les pliilolbphcs avoienc
en réferve pour fe donner du relief. On découvre dans les
ouvrages des fages de raniiquité les femences de la plupart
des découvertes modernes. Connoiffances qui étoienc com-
prifes dans la vaAe enceinte du nom de philofophic. Ibid.
312. a. DiviAons de la philofopliie. Ibid. b.
2“. Second objet de cct article , fixer le fens du mot phi-
lofophic. Philofopher , c’eA donner ou chercher la raifoa
des chofes. Selon M. W o lf , la philofophie cA la fcicnce
des pojjlbles en tant que pojfibles. Cette définition jiiAifiée.Toutes
les fciences , tous les ans ont leur philofophie. Ibid. b. Di-
vifions de la philofophie , en théologie naturelle , pfycho-
logie 6c phyfique. Maniéré dont M. W o lf amène les fous-
diviAon.s particulières , dans lefquelles font renfermées , la
logique ou l’arc de penfer, la théologie naturelle ou doélrine
de Dieu , la pneumatologie ou doélrine des cfprits, la phy-
Aqiie ou doélrine des corps , Ibid. 513. a. la morale & la
politique , ramhologic , la mètaphyfiquc, 5c les mathématiques.
Véritable ordre dans lequel les parties de la philo-
fopliie doivent être rangées. Autre divifion de la philofophie
en théorique 6c pratique. La philofophie fe prend fou-
vent auffi pour les fyAêmes inventés par les philofophes.
Voye^ là-defftis ,1’originc 6c le dogme de chaque fcAe , à
rarticlc qui lui eA particulier. La philofophie fe prend encore
pour une certaine maniéré de philofopher. Ibid. b. C.a--
raélere qui diAingue le pliilofophe de l’homme vulgaire. Im-
perfeélion néceffairement attachée à la philofophic humaine.
Différence entre l’érudition 6c la philofophie. Deux ohAacles
qui ont arrêté les progrès de cette fcience , l’autorité 8c l’ef-
prit de fyffème. Pourquoi les hommes ont toujours plié fi
aifément fous le joug de l’autorité. Ibid. 314. a. Un bon efprit
cultivé de notre fiecle , eA pour ainll dire coinpofé de
tous les cfprits des fiecles précédens; 6c les vues faines de
tous les bons efprits qui fe fuccéderont, s'ajouteront toujours
les unes aux autres. Réflexions fur nos préjugés ridicules en
faveur des anciens. Combien cet excès d’admiration pour
eux a borné les efprits 6c nui à la philofophie. Ibid. b. Ref-
peél outré des commentateurs pour les ouvrages des anciens
auxquels ils fe font attachés. Réflexions fur l’efprit de
fyflême , fécond obAacle aux progrès de la philofophic-
Ajoutez enfin un troifierae obAacle, les préjugés 6c les pal*
fions. Ibid. b.
P H I Philofophic. La philofophic cA la fcicnce des Atiis. V. 493.
A. QiieAions qu’il en fiait hîiwn'ir. Ibid. b. Du jnemier principe
de toute connoiflaiite pliilofopliiqiie. XIII. 374. a , b.
Avantages d’un Aecie de pliilofopliie, pour renverfer des
barrières que la raifon n’a point pofées. V. 644. c. L'homme
qui n’eA pas éclairé par 1a pliilofopliie ne peut jouir des avantages
cju’ti pofl'ede. V lI l. 141. a. Sorte de Ibbriété à laquelle
il iauc fe refondre en raifonnant fur des matières philofo-
pliiques. XIII. 613. b. 614. Service que le Sccpcicifme
a rciulu à la philofopliie. 6 1 1. b. Les progrès de la'philofo-
phic perfeélioanciu la langue, V. 637. a. 6c l'étude des
langues fert ii la philofophie. VI. 108. a. Sciences renfermées
dans la philoibphie. I. xlviij. xljx. Difc.préUm. Danger
(le la mêler avec la théologie. 'V. 281. a. X. 741. b , 6cc.
Réflexions lur la philofophie en général. V. 779. b, 6cc. L’cf-
prit de calcul regne peut-être un peu trop aujourd’hui dans
la pliiiolbphie. V l. 890. b. Des caufes qui retardent ou qui
fiavorifent fes pro giés , roye^ ce dernier mot. D e l’ufagc
(l’écrire fur les matières piiilolbphitpies en langue vulgaire. 1. XXX. Difc. prélim. Réflexions fur l’ufage 6c l’abus de la
philofophic en mariere de goût. VU. 767. b. 6cc. D e la phi-
iofopliie fyAénintique , 6c de rexpériniemale. V . 284. a. VI.
298. a, b. Hifoirc de la philofophic. Scs commenceiuens chez
les Chaldéens. III. 20. u. Les Grecs inventeurs de la vraie
pliilofopliie. IL 69. <7. Etat des lettres 6c de la philofophie en
Orient, depuis le huitième fiecle jufqu’au teins de la prife
de CoiiAantinopIe par les Tuics. VIII. 320. a. HiAoire
de la philofophie depuis la rciiaiA'ance des lettres, l. xxiij.
Difc.prélim. Courte liiAoire (le la philolophic moderne. XIV.
789. a. Retablifl'emeiu de la laine pliiJol'opiiie par Defeartes.
V . 304. a. Suppl. 1. 94. i l , b. Pourquoi la philofopliie moderne
s’cA rapprochée en phiAeurs points de cc qu’on a
penlé dans le premier âge de la philolopliie. V . 918, a. Etat
de la philofophie dans l’imiverAté de Paris. VI. 299. b. Progrès
qu’elle a faits en France. VU. 287. a.
Différens jyjlémes de philofophie, diJUngués par leur cataÜere
propre , ou par les noms des peuples ou des phtlojophcs qui
les ont profejfés. Philoibphie ante-diluvienne, I. 493. a , b.
celle des anciens Arabes. L 336. b. Philofophie d A rifiote,
632. è. — 673. a. des Afiatiques.732. b. desAtomiAes, 1. 822.
i . du cliancelicr Bacon. IL 8. b .-~ io . .i. Philofophie des
Juifs cabaliAiques , H. 473. i , 6cc. de Canipanella , 376. E
des Canadiens, 381. b. de Cardan , 675. b. des Celtes , 808.
h. des Chaldéens, III. 20. a , b. des Chinois, 341. /•. — 348.
^l. des Chrétiens. 381. i , 6cc. Philofophic corpul'culairc, X.
223. .2. cynique, LV. 394. b , 6cc. de la feéle cyrénaïqnc.
^04. a , b. Philofophie de Defeartes , II. 716. a , />, 6cc. des
Ecleéliques , V . 270. a , b. des Egyptiens, 434. b. de la
feéle éléatique, 449. a , b. des Epiuunens, 779. b. 6cc. des
Ethiopiens, VI. 33. a , b. des Etrufqiies , XIV. 338. b. de
Gaffendi, voye^ l'article de ce pliilofophe. Philolopliie des
Grecs , VU . 904. b. d’Héraclite, V I ll. 141. a , b. de Hobb
e s , 232. a , b. des Japonnois, 453. b. des Indiens, 674.
i). des Juifs, IX. 23. è,6cc. de la i'eite ionique, VIII. 876.
Ir. de Joi d.;n-Briin, 881. i. de Leibnitz, IX. 369. b. des Ma-
îabares, 921. b. de la feéle magarique. X. 304. b. Pliüofo-
phie niofaïque. X. 741. a , b. Philofophie de Newton, XI.
1Z2. è. celle des O rientaux, XI. 641.11. des Péripateticieus,
XII. 363. a , b. des Perfes, 420. b. des Phéniciens, 499. a ,
h. des Platoniciens , 743. b. des Pynhoniens , XIU. 608.
SI, b. des Pythagoriciens, 614. b. des Romains , XIV. 338.
l . de Sanchoiiiaton ,X i I . 499. a. des SdiolaAiques, V. 304.
A. XIV. 770. b. de la feéle Ibcratiquc. X V . 261. a , h. des
Stoïciens, 323. b. dos Thèofophes, XVI. 233. b. de Tho-
mafius. 284. b.
De l étude de la philofophic. Sciences quelle renferme. I.
xlviij. xlix. Difc. prélim. Objets (^u’embraAe l’étude de la philofophie.
IL 763. i. Qualités qu’il faut apporter à cette étude.
^ VU . 383. a. Direélioiis fur la maniéré de s’y livrer. VI. 92.
' 93, <j, i. Comment on l'enfeigne dans les colleges. III. 635.
a ,b .6 -iy .a .
Philofophic hermétique. Suppl. I. 396. b.
Ph il o so ph ie , (Gnuff. d'Imprim.) XII. 513. a. Foyer
C ara ctère.
PHILO SOPHIQU E, , ( Aftira/i') don d e là nature
porfeéllonné par l’an. X ll. 313. a. Effets de l'efprit philo-
Jophique dans l'homine qui le poffede, 6c dans fes ouvrages.
Il n’eA pas nécefl'aire pour le fuccès des lettres, qu’un
ïaient fi rare fe trouve dans tous ceux qui les cultivent i
il Aiffit qu’il rélide avec éclat dans un petit nombre de cens.
Jbid. b. r b
Philofopltique , efprit 6* caraSlere , ce qui le conAime. III.
Qualités de l’efprit qu’exigent les recherches philo-
fophiques. V IL 383. rf. L’efjtrit philofophique doit être dif-
iingue de 1 efprit métapliyfique. VI. 681. b. Son ufage dans
les arts. Ibtd. L’étude de la géométrie prépare les voies à
le fpn t P ..lofophique. V II . 6,8. b. Quanil cet efprit fe
joint au bon so n t , Il forme un littérateur accompli. 399. b.
Comment le fpn t ptilofopliique a contribue au progrès tics
P H L 43 J
lettres. I. xxxj. Difc.prélim. C ’eA l’efprit phüofophlqiie dans
ieqticl un ouvr.tge cA compofé, qui lui affurc une durée
cieindlc. V . 647. c, RéAcxions fur l’iifagc de rcfprit pliilo-
Icrphiquc dans les matières de goût. VU. 767. b. L’efprit
plulofopluqiie effemiel au médecin. Suppl. III. 880. b.
I hdofophiqtie , hymne philolophique. VIII. 393, 39Ö. a.
Du poème plulofophitp.ic. X ll. 836. b. Indepemb.iicc philofophiquc
V U I .6 7 1 . b. Indlfiérence philofophiquc. 673. i.
676. a. Doute jilitlo.fophiqiic. V. 87. b.
r ^ f ^ fEO STO R G E , hiAorien cccléAaAique : fon témoignage
liir 1.1 viAon céleAc de ConAantin. XVII. a
PHILO TL SIE, (L u t .) cérémonie de boire à la famé
l^ewins des autres. Comment les Grues la pi aiiquoiem. XII.
PHILOTIS, femme cfdave : fervicc qifd lc rendit à llome.
U. 639. b.
PHILOXENE, fameux gourmand. VII.739.Z,, Philoxènc
d Lrythree » peintre célébré. X ll. 263. a.
T-i m ^ Etymologie du mot.
DiAinaion des philtres en faux 6c en véritables. Defeription
(les philtres que l'on meitoit au nombre des maléfices parmi
les anciens. X ll, 313. b. DirpoAtions nécelTaires dans la
peifomie a c[ui l'on a donné le philtre, pour rpi’il produife
ion cHet. Obfcrvations fur ce cju’on appelle de véritables
piiiltrcs, qui produifeiit l’aniour par .quekiue moyen naiurd.
Exemples qui prouvent la réalité de philtres de cette nature.
Lttets de ces philtres fur quelques malades. La paffion amou-
reulc , caufec par de tels moyens, revient quelquefois pério-
diquonicnt : exemple. Ibid. 316. a.
Philtres, obfcrvations fur leur effet. Suppl. IV. 464. <2, i.
Leur examen faifoit autrefois partie des fonélions du mctlc-
cin. Suppl. III. 889. b. Ceux que les anciens faifoient avec
le nuifc. Suppl. I. 307. a.
PHIMOSIS, (Chir.) forte de maladie de !a verge. On
diAingue le pliimoAs en naturel ôi eu accidentel, 6c cdui-ci
en bénin 6c inaiin. En quel cas le phimofis naturel peut
exiger une operation. InArument imaginé pour dilater le prépuce
trop étroit. Moyens à employer lorfque Je phimofis eA
accidentel, avant que d’en venir à une opération. Defeription
de cctçe opération , qu’on doit employer quand les
premiers moyens n’oin pas rciiffi. XII. 316. i. Premier appareil
qui doit fuivre l’opération. Ibid. 317. a.
Phimofs, voyei P r é p u c e : biAouri dont on fe fert dans
l’opération du phimofis. II. 263./-.
P h im o s is . (Alaréch.) Suppl. III. 403. b.
PHINÉE, (My thol.) fils d’Agénor. HiAoire de fa vie
Suppl. IV. 353. é.
ffere de Cepliée. Sa métamorphofe en pierre. Suppl.
PHINÉES,/f2ce de la confiance, (Hifi.fa cr.) fils d’Eléa-
zar, & petit-fils d’A aron, célébré par fon grand zclc pour
la gloire de Dieu. HiAoire de fon facerdoce. Accompliffe-
nient de la promeffe que Dieu lui fit d’établir la facrifica-
ture dans fa famille. Suppl. IV. 336. <2.
P h in ÉES Ophni, (H ifi.fa c r .) s'oyei OpHNI.
PHIOLE clérnentairc, (Phyfiq.) vafe dans lequel on met
divers folides 6c liquides, qui repréfentenr les quatre élé-
inens. Defeription de la meilleure maniéré de faire la phiole
élémentaire. X ll. 317. a. Cette expérience fait voir comment
les corpufcules les plus légers cedent aux plus pefans,
6c paffent réciproquement entre les pores les uns des autres
, pour aller prendre leur place naturelle. Moyen de fé-
parer l’eau du vin après qu’ils ont été confondus cnfemble.
Ibid. b.
Phiole oculaire, Aont on fe fert pour laver l’oeil. II. 124.
b. Phiole lacrymatoire, antiquités. V IL 371. d. Divination
par les phioles pleines d’eau. 321. b.
PH IP P S ,navigateur. Ses obfervaiions près du pole.
IV. 47O. a , b.
PHISON , (Géogr. facr.) un des quatre fleuves
qui .irrofoicnt le parradis terreArc. Divers fentimens des interprètes
fur ce fleuve. Suppl. IV . 336; a.
PHLE BOTOM IE, (M é d e c . Chir.) v o y c i Sa ig née. Etymologie
de ce mot. Expofition de quelques principes fur la
circulation du fang , par lefquels on pourra prendre une
idée des effets de la faignée avec la raifon de fes ufages. XII.
517. i>. Utilité de cette opération, 6c maniéré de la pratiquer
dans dift'érentes circonAances ; par exemple, lorfqu’on
veut empêcher le progrès de quelque humeur, &c. ou faire
couler dans une jambe en un efpace de roms donné , le
moins de fang qu’il eA poflîble ; lorfqu'on veut occafionner
une plus grande dérivation de lang à un membre ; utilité
(le la phlébotomie dans les cas de pléthore , lorfque le
fane coule avec lenteur, ou lorfqu'il eA vifqueux. Ibid.
31 a.
PHLEGMATIQUE. temperament, XVI. 36. b. Son principe.
Suppl. IV. 726. a. Régime qui lui convient. X IV .
11. b.
PHLEGME, ( Médec. ) humeurs qui peuvent dégénérer eq
m