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538 P U I
Noms paiticullcrs donnés aux difTcrcmes piiiiTaiices. X lîl.
5^6. */. CaraéK'rcs par Icfqiieis on Jcs déiigne. Ce qu’on
entend par élever une cjuaniité à une piiilî'ance donnée. Les
puillances du même degré font l’une à l’autre dans le rapport
de leurs racines , iiuilti])!iées autant de fois que leur ex-
pofaiu contient d'unités. D ’une puill'ance donnée , extraire la
racine. Méiliode pour multiplier ou divifer une puiirance
quelconque par une autre tie même racine. Quantités eom-
incnfurablc.s on pniHance. Puilfance d’une hyperbole équi-
lacere dans les levions conique.s. Puilïances des lignes. Ibid. b.
P u is s a n c e , {A!^eb.~) la clitFcrence premiere des nombres
naturels cil confiante & = i : e.xpofant de cette puif-
fimec. L.i dificrence fécondé des quarrés ou fécondés puif-
l.mci s des nombres naturels cfi confiante & n : 2. Produit
de 1 cxpolant de ja fécondé piiiiTance par l’expofant 1 de la
premie re. La diflérence troificme des cubes, Démonf-
iratioii de ce théorème. Suppl. IV. 531. b.
PtiifJ'ducc. E.xpolant d’une puifiance. VI, 3 1 1 . a. Propriétés
de deux puillances de la même racine. 313. j . Elever
une racine queicon<|ue à une puifiance donnée. V . 307. .1.
VIII. 38a. é. Cinquième puilfance d'un nombre. X V . 696. é.
Commenfurablc en puifiance. Ul, 6yo. a,
PuissA.vCE divine, ( T/ieohg.MéinphyJ'. ) preuve de cette
puilTance. IV. 980. Il y a un feus très-raifonnable dans
lequel on peut dire qu’elle n’efi pas illimitée. VIII. 5^6. ,t.
C e n cfi point la borner que de dire qu’elle ne s’exerce pas fur
l'inipolTible abfolii. 6cx>. A.
Puissance , ( /jjr. poUtiq.) difTérens fens de ce
mot. La puifiance d’un état ell toujours relative à celle des
états avec qui il a des rapports, au nombre de fes fujets,
létendue de les limites, à la nature de fes produélions,
à 1 indufitie des habitans , à la bonté de fon gouvernement.
XIII. 556. b. C efi de l’elpric dont un fouverain fait animer
fes peuples que de[>end fa vraie puifilince. Ibid, 337. a.
Souvent pour faire une vainc parade de puHrance , on épuilé
des forces réelles qui devroient être réfervées pour le fou-*
tien de la nation. Ibid. h.
Puissance UgiflMive, exécutrice Sc de juger, (Ge«v. Polit.)
trois fortes de piiilfances difiinguées dans un état. Il vau-
droïc niieux qu’il n’y eût point de liberté , que fi elle fe bor-
noit à certajnes perlbnnes. On ne rifque pas tant de la
perdre , lorlquc la puifiance Icgifiative efi entre les mains
de plulîeur^ perfonnes qui dift'erent par le rang 8c par leurs
interets. Polybe 8c Cicéron donnent la préférence an gon-
vcrnemenc conipofé de trois co rps , du monarchique, de
1 ariliocratique 8c du populaire. Ces trois puifi'ances n’étoient
cependant pas fi difiinéles à Rome qu'elles le font dans le
gouvernement de la Grande-Bretagne, ibid. b. La liberté
efi perdue lorl'que ces trois ptiilfances fe trouvent réunies
dans le même homme ou dans le Voyelle même corps. Ibid. a. Pouvoir.
PuiJJ.ince légifiative Sc exécutrice , attributions du fouverain.
X V . 414. a.
Püis.SANCE, ( Jtirifpr. ) oii en diftingue deux fortes ; la
temporelle Sc la fpiritiielle. On divife la premiere eft pulf-
fatice publique & particulière de phifieurs efpeces. Subdivi-
fion de la piiiiTance publique ; fon objet : fes droits. Tous
les ordres émanent de cette puilTance. X III. 538. a. D e voir
de tous ceux qui y ont quelque part. Ouvrages à conful-
ter. Ibid. b.
Puijfunce publique. V. 133. b. L'ctyrr Pouvoir (S' A utorité.
Puiffunce de fief. XIII. 338. A.
Puijfiance des muitres fur leurs domefiiques. Devoirs mutuels
des uns 8c des autres. Puifi'ance des maîtres fur leurs
efclaves. XIII. 338. b. Voye^ A ffranchissement Esclave,
’
Puiffance maritulc. Etat de dépendance où étoieni les
femmes chez les Romains. Tuteurs des femmes 8: des pupilles.
La maniéré la plus parfaite de contraéler mariage,
etoit celle où la fitinmc pafibit en la main de fon mari!
X liI . 558. b. Caufe de l’afibibliiTcment de la puifiance maritale
chez les Romains. En quoi confifie cette puilTance
parmi nous , 6c quels en font les effets./Aiif. 3^0 a Vaver Po u v o ir .
Puissance papale , I^Gouv. eceUf.) On ne fauroit con-
liderer fans etonnement que le chef de Téglife ait pu afpi-
rer a dominer fur les rois de la terre, Sc qu’il y ait réuf-
fi. Tout le monde a fait cette obfervation ; mais Bayle Ta
démontrée contre l’auteur de l'efprn des cours de l ’Europe
qui prétendit, dans le dernier fiecle , que la puiff.uice papale
ne fi pas une chofe bien merveilleufe, &. que leurs
conquêtes, dans certains tems , n’ont pas dù être difficiles.
E'.xpoliiioa (le ces raifons 6c des réponfes do Bayle XIII
559- Pouvoir Ecclésiastique. P ’iijjance p.iternelle y ou en tiiiHngue deux fortes ; l’iine accordée
par les lo.x , 8c l’autre qui efi de droit naturel. X III.
500. b. Cette puiffance efi la plus ancienne fur la terre:8c
P U L
le droit divin lui a donné- dans le décaloguc une nouvelle
force. On doit, relativement à la puiffance paternelle, diftin-
guer trois â g e s, celui de l’enfance , celui de puberté , Sc
celui où les entans ont coutume de s’établir : chacun de ces
âges modifie diftéreinment cette puilTance. Etendue de cette
puiffance chez les anciens Romains. Ibid. 361. a Rcllrifiions
qu elle foufirit. Etat préfent de cette puiffance félon le droit
civil ; Tes principaux effets. Ibid. b. Moyens qui font finir
ht puiffance paternelle. Auteurs qui ont regardé cette pui(-
faiice comme extrêmement afibiblie en France. Ibid, 362.
a. En quoi elle coiififie.dans la coutume de Berri , dans celle
de Moncargis, dans celles de Ch.ilons 8c de Rhenns, celles
de Bretagne , de Poitou & d’Auvergne. Ouvrages à con-
fulrer. Ibid., b. Voye^ Pouvoir paternel.
Puifiance royale. XIII, 363.
Puissance Jacrée , ( Hiß. romain. ) Les tribuns du peupla
étoiciit des magifirats faci ès. Abus qu’ils firent de leur puiffance
facrée. XIII. 363, a.
Puissance.s, ( Théolog. ) anges du fécond ordre. XIII.563. »7,
Puissances, h.unes • {H fi. mod.) Epoques auxquelles
les états des Provinces-Unies ont été qualifiés de hautes-
puifi'ances. Souverains de l’Europe qui ne leur donnent point
ce titre. XIII. 363. a.
PU IS SA N T , Grand, (Synon.) VII. 848.
PUIT S , ( Arc/iic. hydraiil. ) Comment fe fait la confiru-
éfion d un puits. Quelle efi la meilleure lituation dans une
maifon. Puits commun , tic carricie , décore , foré. Conf-
irufiion de cette derniere forte. Difi'érens lieux où il y a
des puits forés. XIII. 363. b. Puits perdu. Ibid. 364. a.
Puits y eau.x (les puits naturels : conllméHon des puits artificiels.
Suppl. III. 470. a. D e la qualité des eaux de pii;ts.
V . 192, b. Moyen d'employer les féaux pour liror l’eau
d un puits , de manière que l'aélion de l’homme qui tircr.i le
leau ne foie pas plus péijible au commencement qu’à l.i lin.
IV. 208. b. Efpece de puits creuiés d.uis les balfes-cours
pour y recevoir les eaux. II. 217. a.
P uits falans, { Hifi. nat.) L’eau du puits des PP. Cordeliers
de Salins acquit en 1736 un degré conüdéiablc de
faltne , en même tems que les fources de la grande 6c de
la petite faline fe trouvèrent diminuées. L'objet de cet article
cil de rendre compte de cet événement 8c de fes cir-
conftances. Ün y trouve l’extrait de l’un des p ro c è s-v er baux
qui fut drelTé à.ce tte occafion. Suppl. IV. 532. a , A,
Puits, mines) Foye:^ BuRRE 8c ChuC.
Puits , Guerre des fieges , Arclller. ) puits deflincs à citer-*
cher les mines de l'ennemi. Puits pratiqués devant les lignes
de circonvallation pour en empéclier 1 accès. Delcripcion de
ceux de la circonvallation de Philipsbourg en 1734 , éC d'Arras
en 1654. Origine de cette lorte de torniicaiion, X l i l .
364. a.
Puits , ( Marine) XIII. 364. a.
Puits, \ jardin.) XIII. 564. a.
VviTS de Plougafiel y {H ijl. nai.) puits fingulier en France
dans la Bretagne. L’eau y monte quand la mer delcend ,
elle y defeend quand la mer monte. Explication de ce phénomène.
XIII. 564. a.
P uits ( Cmiq. Jacr. ) Dans l’Arabie on cachoit & on cache
encijre foigneufenient les puits. Difpuies qu'il y avoir quelquefois
pour des puits chez les anciens Juifs. Différentes acceptions
du mot puits dans l’écriture. XÜI. 364. A,
PU IX , mines du banc du Puix en Alface. I. 300. A.
P U L A T J ( Bot. ) Foyei Ampulat.
PULCHERIE , foeur de l’empereur Théodofe : part qu'elle
avoir au gouvernement. III. 384. a.
PULLARIUS , (yHifl. anc.) celui des augures qui avoir
foin des poulets facrés , 8cc. XIII. 365. a.
P U L L A T A vefiis y {L u ü r.) liabit de deuil. VIII. 13. a.
PUL LEYN , ( Robert ) philofophe fcholafiique, X IV , 771. A.
PU L L IN G I , {Geogr.) montagne de la Laponie fuédoife
à 15 lieues de Torneo. Sa defeription. V u e dont on jouit au
fomniet de cette montagne. X l i l . 363. a.
PULMON AIRE , {^Botan.) Caraifieres de ce genre de
plante. Ses efpeces. Defeription de la grande pulmonaire.
Lieux où elle croit. XIII. 363. a.
Pulmonaire , (M î t . médic. ) Propriétés & ufages médicinaux
de la grande 6c de la petite pulmonaire , 8c de la
pulmonaire des François. XIII. 363. A.
Pulmonaire de chêne, i^Boi.) efpece de lichen. Sa def-
cripcion. Lieux où on la trouve. Son analyfe. Ses Drooriétés-
XUI. 363. A. J V V
Pulmonaires, vaiJfcauxy^Anat. ) XII. 242. A. Suppl. XV.
323. a , b. Diamètre refpeétit des artères 8c veines pulmonaires.
621, A. 622. a.
Pulmonaires , va':Jfe.iux , ( An.;tom. ) defeription de
Tariere 8c de la veine pulmonaires. Xlil. 24a. A.
Pulmonaire. Valvules de Tariere imlmonaire.'xiV. 8S9. A.
P U LM O N IE , (Alaréch.) maladie du cheval. Suppl. IH-
420. a.
P U N
J 'UI.O-CON DOR , ( Geogr. ) petit archipel de la mer
des Indes. Defcriinion itc la plus grande de fes ifios,8c de
(es h.ibitans. X Iü . 3''>6. ,r.
PULO-TLVK)N^, (Geo g r.) une des plus grandes ifics li-
tuées prés de la côte de MiiLica. Scs gouverneurs. Moeurs
81 ufage lies liabitans. X l i l . 566. a. Defeription de cotte ific.
Jb.-d. b.
PULPE , ( Ph.irmac. ) Méthode i>our tirer les pulpes des
fruits. a 1 !J. 3^6. A.
PULPITU.M, ( Lin. lîifi. anc. ) partie du théâtre des Romains.
XÜl. 3f:6. A.
P u L P O , ( /J.;/.) animai du Chily. Sa defeription. X III.
PUI.Q UE ou putc’e y (H iß . nat. Dicte) efpece de vin
Cl) ulage au Mexique. X l i l . 567. a. Foye;^ M etl.
FU L S A T IV E , douleur, ( Meu\c. ) V, 85.
PUL liA F lL LE , (Bor.tn.) Llpecc-. <lc;e g 'iu e de plante.
Defeription de la puliaiille à grande ficur. Lieux où elle croît.
X lil. 367.
PU L SA T IO N , ( ) iinprefilon dont un milieu cfi
aficél^ par le mouvement de la Uimiore, du fon , 8.c. Vî-
lelfc des pulfailûns dans un tUiido. X lil. 367..;.
l\'LSATioN , (Phyliolog.) Caufe Oc la puifaiion dans le
mouvcineiu du fang. IV. 932. a. PulCatioiis du coeur ; km
eftet l'ur les parties lolides. Suppl. IV. 71. .v. Piiliieion des artères.
VIII. 262. A. Piilfpiion forte tics cariHide:-. IV . 319.
A. Pourquoi les pii’.lailuiis lont pins lentes dans lea femelles
dc.s aiiiinanx que iJan> les mtUes, 8c dans les grands animaux
que clan;, les petits. V I. 742. A.
PuLS.VTîON, (Médec.) violeiue agit.atioa du coeur & des
rrtcrcs , qtii réiiond cependant au pouls naturel. Ses cr.tifes.
x m . 3^7 A.
PU LM L üG E , (Mé.lec.) infirumenc propre à repréfen-
ter les di-.Iéremc; modifications du pouls. SanéTot ins s'efi vanté
de potTeder un tel infirumeiit ; mais il ne Ta clé-ette inilie
pai r. Service tpie reiidroitàla médecine celui qui Texécuteroit.
Pulfilogc de M. de Sauvages. X llI . 367. A.
PULSIM.A.NTIE , (Médcc. Séméiotiq.) partb de la fé-
inciütique qui tire fes figues dc.s dilFérenccs mollifications du
pouls. De tout teins elle a etc recomm imiée avec les pies
gv.tnds éloges par les médecins. Elle ell Li b.ifc de la médecine
clnnolfc. Auteurs qui Tom mile fous un nouvea'.i
jour. X l i l . 568. a. Foye^ PouLS.
PULSION , ( Phyfitp ) propagation du niouveinent dans
un milieu fluide 8c clafiiqiie. Mouvement excité par k s pul-
fions dans les petites particules d’un fluide. VitelTe des pul-
fions. Cette matière traitée dans un difeours de M. Jean
Bernoulli le fils -, fur la proi>agation de la lumière. X lil.
368. a.
P U L T A W A , (Géogr.) place fortifiée de l’Ukraine. D é faite
Charles XII à Pulcawa par le czar Pierre. Cette
bataille cfi la feule qui , au lieu de ne jiroduire que la dc-
firuélion , ait fervi à l’avantage du Nord. XIII. 3()8. A. Foyer
Suppl. IL 366. a.
PULTIER j (Bot. Jardin.) noms de cette plante en différentes
langues. Son caraélere générique. Emunéraiion de
trois efpeces de ce genre. Lieux où elks croilTent. Leurs
defeription 8c ciiltuie. Leurs qualliés 8c ufages. Suppl. IV.
5 5 T ^
PU L V ERISA T ION , (C hym .& Pharmac.) iiifirumens
direéh & ordinaires de la piilvérifation ; mi.nceuvrcs jiar lef-
quelles elle s’opère. XIII, 368. A. Subfianccs fufceprlblcs rie
la porphyrifition. Piilvérifation à l’eau. Vraie pulvcrifation
pliilofophique , qui cfi la diffolution chymlque , fuivic de
la précipitation. Les différentes fortes de calcinations font
encore des cf;)cces de pulvérifations. Ibid. 369. a. Expofi-
tion des règles particulières de manuel fur la piilvérifation
pharmaceutique, Ibid. b. Foye^ TRITURATION & Broye-
MENT,
Pulvérifatior.s chymîques ou philofophiqucs. Corn ment elles
s’exécutent. XIII. 271. A.
PULVÉRISER , Anèniier, Broyer (Synon.) I. 842. A.
PUM D E B IT A , (Géogr.) ville de Méfopotr.mie. Caractère
de fes habitans. Académie de Juifs érigée dans c e lieu.
IX. 37. A. 38. a.
PUNATS , qui a le nez puant. Caufes de cctrc puanteur.
Comment on ])cut la corriger. X l i l . 370. m
PUNAISE , ( Hijl. nul. ) genre d’infefie qui comprend un
très-grand nombre d’efpeces différentes. Dcîcription de la pu -
naife domefiique. Hilloite naturelle de cet infeéle. Négligence
Îni contribue à la mukipiication des punaifes. XIII. 370. a.
nclicution de deux moyens de les détruire > Tun par la vapeur
du (oufre , Tautre par Tufage d’une compofiiion de
M. Salberg. Ibid. 3-71.
Punaifes repréfentées vol. V I. des pkncl). Regne animal,
p 'v c -
P unaises , ( J.irdin. ) Comment on en préferve les oran-
gers. XI. 5 S 7 - O.
P U il 539
Punaise aquatique, (H ijl. des infecl.) Defeription 8c ufage
des (ambes de cette forte de punaife. X llt. 371. a.
PÜNARU , (Ichthyot.) Defeription de ce noilTon du Brc-
fil. X I ll. 371. 1
PUNC.H , büiffon angloifc. Maniéré de faire le punch
fimj)le , le puncli au ruck, 8c le punch cluutl. X l i l . 371,
A. Foyci R a c k .
PU N C T A , ( H fi. .inc. ) incfiire d’eau pour les aqueducs.
Marque dont on fe fervoie ];oiii Ic.s foldats , pour les ouvriers,
6c ;i côté du nom d’un eandid.it. Puntla , coups d’un
infirumem emiiloyé dan,-, ce; tain i'upplice. X ü l. 371. A.
Pnnéla -, les avi- des citoyens dans les t-omiccs CK.lem auffi
appellés XIV. -^n^. A.
PL'l\C-TUM y ( G .iV/7. ) PunéUtm trnnirans j cominuans ,
inhuins. Punclum ex compar.iilone. Pun(hiin lincans. XIII.
5 7 . A.
^'UNl)y^GE, vciycx PONOAGE.
1 U N Cl n \ E , douleur , ( Me.icc. ) V . 83, , A.
PU.N'IQUE . ( H i j l . i n c . ) Rcclierclies liir la langue qu(î
paiioieiu les Cariliaginois. l.:i h.nguc (jiie l’on parle r.niom-
d'iuii dans Tifle de f.ialthe , a b.vjucoiip de rapport -avec la
Lingue punique, XUI. sya. .i. Té.raétere-, gravés (ur les mon-
noles canliuginoile' trouvées en Afpagne 8c u i Sicile. A.
Punique , C.ARTHa GE, Mcoailles punique^. X. 23 3. j .
2 3 6.,Z.
Punique y guene. Hiffoire de ces guerres. Effets que prndui-
fit la ruine de Cauliage dan,. Téiat 6c les nia-urs des Romains.
XIÜ. 372. A.
Punique , guene. Opérations que les P.oinains firent fur
les monuoics dans le ' teiri?. des guerri s j^.uiiqijt s. X. ' <0.
a , A. Rebicliement oii ils éfotent lOinbés aiirès la premi>.re
de CCS guerres. VI. 243. A. Lfdave.s qui d.ans la fécondé s’offrirent
à la république romaine pour fervir clans les années.
A \ II. 434, a. Vidoire temarquablc qu’ils rcmportueiu dans
cette iecende guerre. Suppl, lll. 916. A.
PuNigUE , p:t,ie (H fi. nat.) X l i l . 373. a.
J’UNiK , U'.â’ier y (Synoi.ym.) Lfifiérc'i'.ccs dans la figni-
ficati-'ii 6i Tnfùge de ces mots. XIII. 3-;3. a.
P U N IT IO N , (Jurijpr.) à qui appaitii.iu le droit de ptt-
nir. Punition excnipiiTre. XÎII. 373. A.
Pun itions milnai'es . ( HiJ. <vtc. \ Les Carthaginois fai-
foiein crucifier Ic.s g.mcraux qi
qu’inrligcoient les G-auloi . i u
à Tarm-a.. Punifio
fuite devant Tei
Romains à leurs 1
5 7 3 A. Fo • P . C HATIMÇ
eliez le;
chitport
été déf.iit , Punition
U MTivo't le dernier
les Athéni(.iis. In-
: tpii avoient pris la
qiTliilligeoieiu les
1 irs généraux. XUI.
: d’une punition fm-
X Ic' bu ev e s , qui
1;; longueur de 400
nobles ; quant aux
. une félle de clicval.
Punition , (Jun
gullere ufuée aimtfi
conlifioit :'t porter 1111
j>as. Cette jieinc nul
autres, on leur 1 Suppl. IV. 333. b.
PU N T ZU M E T I , (Boun. ) plante de h nouvelleEij>rgne.
Sa defcrijHion. Ufage médicinal de le.s r-euKS. XIII 574, A.
PUPAL , (B o t.) efpece du pupal nommée cnia. Suppl. II.
4 4 «5 . a y b.
PUPiA , loi, IX. 668. U.
PUPILLAIRE/«A/hnmcw , (Jiirifpr.)V l. 684. A. X V .
393. A.
PUPILLE , (An.itom .) ou prunelle. Etréciffement de la
pupille caufé par la lumière. Comment cet étréciffement s’opère.
Variétés dans la figure de la prunelle des différons animaux
, félon les différens ufages qu’ils font de leurs yeux.
XIII. 374. A. l'dyei Prunelle.
Pupille , ( Jur’.fpr. ) Différences admifes dans les pays de
droit écrit entre les pupilles 8c les mineurs. On les confond
en pays coutiiiniers. Le tuteur ne peut époufer l'a pujiille
ni la Élire époufer à fon fils, Ouvrages à coiifuiter. XIII,
373. U.
PU R , (Phyfiq.) hyperbole pure. Mathématiques pures. XIII.
5 7 5 - A.
Pur , pureté y (Critiq. fie r.) But principal des loix que
fit Moife fur la pureté Si 1 impureté par rapport aux hommes ,
aux animaux , aux maifons, 8cc. Eu quoi confifie la vraie
pureté felon les cliréiiens. X îlî . 575. Ai
Purs , (j'/i-K.v , (M y th .) temple des dieu.x purs. X V I .
78. U.
Pu r , (Jtirifpr.) nbfolti , fans refirifiion. XUI. 373. A.
Pu r , (Jardin.) couleur unie dans les fleurs. X llI . 373 A.
PURAN , pouran , pouranum , ( H.fi. mod. Superfl.) Ce mot
dans la langue des idolâtres de Tindofian, fignifie les poèmes.
En quoi confifiem les livres appeliés de ce nom cliez les
Indiens 8c les .Maiaharcs. XIII. 575. A. Voye{ Shaster 8c
V edam.
PURBLK , prefqu'ifle, ( Géogr. ) ancien monument qui s’y
trouve. Suppl. L 203. b.
PURETÉ Je fang, (H fi. d’Efpagne)X \V . 613, A.