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H l:i culmre <le celles-ci. Ibid, 477. a. Leur (ecoïKllté. Pom-
TTf's de terre de la baire-AHacc. /bid. b. Oblcrvadons liir
|)liificurs cCpcccs de ce t'riiit, que rameur a tirées de divers
pays i furjeiirs qualités, leur ciduire, &c. Ibid. 478. a , b. D étails
plus particuliers lur la m.miere de cultiver ces plantes.
Terroir qui leur convient. ib J . 479. b. Maniéré de le préparer.
/bld. 480. ,1. Lngr.iis. }bi,l. a. Labour. Ibid. 481. .1.
Dillancc ù laquelle il taut les planter. Ibid. b. Différentes manières
tie planter les pommes do terre. Ibid. 48a. a. Cbuix
des plus propres à être plantées. D e Tillage de planter ce
trnir en- morceau. Ce qu’on entend par morceaux 6c yeux.
Ibid. h. Avantage qu'on peut tirer de la plantation des germes.
Jbid. 483. Mxcnijiles de la force végétative de ce fruit.
La pomme de terre peut être conlidérée comme une efpece
t!e polype végétal, qui coupé 6c partagé de toute façon pof-
fib le, produit également des plantes 8c des fruits. De la nniU
tipiication par graine. Jbid. b. Du teins de planter les pom-
ities de terre, ibid. 484. b. Culture ultérieure. Ibid. 483.
Te-ms dt maniéré de les ramaffer. Ibid. h. Maniéré de les
conlcrvcr. Ibid. 486. Produit de leur ciiliurc. Ibid. i . llé-
ponfe à deux objections coutro leur ufage ; Tune tirée de la
préteiKlue degeneration du terrein defliné à leur culture , Tnii-
tre de leur iniahibriié. Ibid. 487. , i , b. Exemple qui démontre
leur propriété fjlutaire dans certaines maladies. Ibid. 488. b.
Utilité générale Si particulière de ce fruit. Obl'ervations fur
les diflércines méthodes de l’employer pour le pain, en mettant
fa farine avec celle du blé. Ibid. 489. .2, b. Maniéré de
fabriquer de bons fromages au moyeu des pommes de terre.
Succès de quelques tentatives faites pour tirer de Teaii-de-
v led e ce fruit, yéo/. 490. . t ,é . Méthode à fiiivrc pour rénlTir
dniis cciie opération. Jbid. 49t. j . l.)e Tillage dos pommes
de terre pour la nonrritnre 6c Tengrais du bétail. Ibid. 492.
r.,b. D e la manière qui s’introduit de pins en pins en Alle magne,
de s’en fervir en guile de café. Nouveaux détails fur
la maniéré de faire du pain de pommes de terre, lb:J. 493.
a, Sc lur les inftinmens que cette nouvelle méiliode cxi^e.
Jbid. b. °
Pomme de terre, ( Diac ) provinces de France où elle eff
particiiliérement cultivée. Différentes maniérés Je Tappreter.
Ses qualités. X llI . 4. u.
Pomme d 'A d jm , ( An.uom. ) XIII. 4. b. Voye^^ Lap.ynx
& ScuriFORMc.
Po.MMES de pin., {^Litter.') ufage que les anciens en fai-
foient dans la religion. X llI . 4. b.
■ Pommes de pin, Irnit de Tarbie nommé pin.
Maniéré de la repréfenter. Stipp!. IV . 473. b.
Po.MMES de pin, [Arc/iit.) ornement de fciilpnire. X llI .
4. b.
Pommes d'ambre, {Parfum.) comment on les fait. XIII.
4. b.
Pommes. ( M.irinc) Pommes de flammes. Pommes de girouettes.
Pomme de pavillon. Pommes de raque. X llI . 4. b.
Po.MME , ( CVff/f _/jcr. ) divers ulages de ce mot dans Té-
critiirc. X I ll. 4. b.
J’om.me, {Blafon) fruit du pommier. Maniéré de la repré-
fciner. Suppl. IV. 473. b.
POM M ELLE, { Bonneti.) défenfe aux fouleurs Sc appré-
îciir d’ouvrages en laine, de fc fervir de pommelle. XIII.
I*ommclle, terme de carrier. XIII. 3. a.
Pommelle, {Corroierie) trois fortes de pommelles ; leur
defeription 6c leurs ulages. XIII. 3. n.
Pommelle, terme de plombier Sc do ferrurier. XIII. 3. a.
Pommelle , ( 5cmtr.) efpece de pemure. XVII . 823. b.
P OM M E llA Y E , {J ean) de Rouen. Suppl. IV . 683. b.
PO.MMETTE ; terme de botanique, voye^ AzEROLlER ;
terme d’anatomie, os do hi face ; terme de médecine, maladie
de Tccil : terme d’arquebufier : terme de lingere. XIII. 3, .2.
PÜ.MMETTER, ou Plyeter, {Pbc/ie) terme iilité dans
le relTûrt de Tamiraiité de la Rochelle. Comment fe pratique
la pèche défignée par ce mot. XIII. 3. b.
POM MIER, {Bot. Jard. ) caraélercs de ce genre de plante.
Defeription du pommier. XIII. 3. b. Avantages du pommier
Ôc de fon fru it , fur le poirier. Maniérés de multiplier le premier.
D e la greffe de cet arbre. Terroirs Sc expofuions qui
lui conviennent. Divers réfultats que donnent les greffes fû tes
fur différens fujets. Jbid. 6. a. Clioix des pommiers que
Ton tire des pépinières pour les planter ù demeure. Obfer-
vaiioiis fur la transplantation. Efpace qui leur convient. Taille
du pommier. La culture dangereufe à cet arbre. Différons
cidres de pomme. Jbid. b. Qualités 6c ufages du bois de pommier
faiivage, 6c du pommier franc. Différentes qualités de
pommes. El'peces de pommiers intèrelTans pour l’agrément
Jbid. 7. a.
Pommier, fon caraftere générique. IV. 493, b. Diftinélioii
de quatre efpcces de pommier : leur defeription Sc
culture : leurs qualités 6c ufages. Itid. 496 ..;, b. Variétés îles
pommes à manger crues ou cuites. Ibid. 497. a , b. Obl'erva-
lions fur les clpeces de pommes qui fc trouvent dans ie
traite des arbres fruitiers de M. Duhamel du Moncèaii
portées dans Ténumération fuivante, oii elles l'on raiieées f .
Ion 1 ordre de maturité. Calville cTcté. Poflophe d’été
pomme rouge._ Ibid. 498. Rnmbour franc. Pigeoniet. Reinette
(.lime iiative. Reinette roiiffe , ou reinerte •‘■ 's carmes
Fenouillct jaune, ou drap dor. Reinette de B-etagne. Calville
rouge. Calville blanche d'hiver, ou ro’R’ tte à côtes.
A nis , ou fcnoiiillet gris. Ibid. b. Fenoiiiller roug e, bardin.
Loiirpendii de la Quiminie. Doux-doux i> irochet. Pigeon.
Coeur de pigeon. Jerulalem. Gorge de pig.on. Vrai drap-d’or.
Gio s faros. Jbid. 499. it. Petit f.iros. Rcirwtte dorée. Reinette
jaune tarclive. Grolîe reineite d’Angleterre. Francatii. Api.
Api noir Reinette - nain. Reinette bhnclie. Jbid, Non-pareille.
Capendu. Haute-bonté. Pom-ne noire. Pomme d’or.
Reinette cl Angleterre. Golden pipie. Reinette grife de Cliam-
pagne. PoiiiiiK-poire. Tramparoue : Pomme de glace. Pomme
figue. JbiJ. 3 0 0 . RcIik ti5 rouge. Reinette cTliiver. Ram-
boiir d’iiiver. Vioietic. Pomme de role. Palfe-rofe plate. Pomme
etoiiée- Foiniue d'éto.'ic. Pomme blanclie l'iiiffe. Ibid. k.
Reinette grife. Polloplie d’iiiver. Reinette franche. Pomme
appellee moyenne daiu le pays Meliin, où elle cfl fort cultivée.
Détails lur la culture , la taille 6c Tentrctien du pommier.
Terruii le plus convenable. Diliance à mettre entre
les arbres dans les vergers. Engrais le plus jirolitablc aux pommiers.
Ibid. 301. a. Des iiiieétes auxquels ils font cxpol'és.
Art de les tailler. Ouvrages à conlulter fur la culture de ces
arbies. Ibid. 302. a.
Pommier, Culture de cet arbre en pépinière. XII. 322. b.
Expofiiion qu’il dcnuiicic. I. 737. a. Ubl'orvation fur la ma-
iiierc d’engrailfcr les arbres de pommes reinettes du comté
de Kent en Anglererrc. XVII . 300. a.
Po.MMiER d'Adam, {Jardin.) efpece de limonnier ou de
citronnier. Defeription de Ibn fruit. Sa culture. XIII. 7. a.
{B o ia n .) arbre des Indes orientales.
Pommier des Indes, nommé carambolas. II. 671. a. Pom-
niier des Indes orientales , nommé inaiigoullait. X. 20. b. 1 onimier du Malabar, nommé fyalita. X V . 710. n.
^^POMMIER , ( Feihlant. & Poterie ) uAenfiIe de ménage.
PO.VIMIFERE, {B o t.) diftinélion des plantes bacciferes,
Xin^^ pommiteres. Divifioii des elpeces pommiferes.
POSUERIUM ou P r o s im u k iüm , {L in ér.) terrein fi-
cré qui le trouvoit au pied des murs de la ville. Les critiques
loin fort partagés fur fa fitiiatioii. Bornes 6c autels élevés
aux limites du pomoerium de Rome. Pcrfonne ne pouvoir
tranfplanter ces bornes, en vue d’agrandir la ville s’il n’a-
voit étendu celles de l’empire. XIII. j . b. ’ '
P O iV pN E , {M yth o l.) aimable nymphe dont tous les
dieux champêtres temoient la conquête. Comment Vertume
fut la reiKlre fenlible. Q ui ctoit Pomoiie fuivaiu les uiytiio-
logucs. Comment ou la repréfenroit. Culte qu’on lui rJiidoit
;i Rome. X lll. 7. b.
J^ornone, fes temples. X V . 77. b.
POM P E , {Médian.) inventeur des pompes. XIII. - ^
On dillingue les pompes en alpirantes 6c en foulâmes. Structure
6c aélion de ces deux différentes machines. La pompe
foulante eft difficile à reftifier quand e llc .fe der-au-^e D e feription
de la pompe de Ctcfeb es, Athénien , la p°rêmierc
& la plus belle de routes. Ibid. 8. a.
Pompes, calculs des puiffances qui les font agir. VI. 60-
b. Divers problèmes fur les pompes. VI. 608. u , b. Frotte-
niens de Tenu dans ces maciiines. VII. 343, b. Manière h
plus efficace d’employer les hommes à des machines qui pro-
dinlent leur effet par le jeu des pompes. 124. u Pompe fui-
ru le, ou vis d’Archimede. X V II . 332. b. ^ ^
Pompes. ( Hydr.ml. ) Regie qui établit la h.ruteiir de l’af-
piration des pompes. X ili . 8. .n Différentes machines par
Uquelles on peutelever 1 eau. Obfervation fur les pompes
a bras, 6c lur les pompes à cheval. La meilleure manière
d elever les eaux , cil d’employer la force des élémens. Avantages
des moulins conduits à cet ufage, foit de ceux que
tait tourner 1 eau , foit des moulins à vent. Machine à feu
tics Anglois. Obfervations fur la liruaure Sc Tiifagu des pompes
alpirantes, 6c des pompes foulantes. Ibid. b.
C-m.ipages d'niie pompe. V . 883. Balancier de
pompe. Suppl 1 .76 1 . U.Tuyaux de pompe diffintcués par le
non, de (onrcl.es. VU. „ 4 . i. Canfe de l'afecnf.on d^lean
d,ms les pompes afpirantcs. I. ■ ai8. i . Voy,[ auffi dfanfioi,.
Hauteur a laquelle ces ]>ompes afpirent Tcau. I. 762 a.
Conliderations fur le poids de Teau relativement aux pompes.
AU. 831. a , b. Comment on jauge Teau que fournit
une pompe. VIII. 473. b. Delcription de la pompe à bras.
366. b. Evaluation des forces d’un homme 6c d’un cheval
dans le jeu de cette pompe. V I ll. i io . b.~Voyev Madünes
hydraidujiies, ÔC les planclics qui s’y rapportent dans le volume
V.
AUdiOcs de PonfUR ; ce font celles qui fervent i épuifer
P O N
îcsj mines de ce lieu , & à en tirer le minéral. Deferiptions
de'ces machines, tant de celles établies pour épuifer les eaux
de la nouvelle mine, que celles de Tancicnne./itd. 9. i . Machine
pour tirer le minéral. Ibid. II. b.
Pompe à feu. Defeription de cette machine. VI. 602. rt.é.
603- a , b. 604. VIII. 363. a.
Pompe de Aympkenbourg, fa defeription. VII I. 361. b.
Pompede réfervoir de l'égout, fa defeription. VIH. 364. b.
Pompe pour les incendies, la defeription. V l l l . 367. a.
Pompes de la Samaritaine 8c du pont Notre-Dame à Pari.^
V lll. 362. b. IX. 795. a. XIII. 66. b. vol. IL des planch*
CJiarpentcrie, pl. 36— 39.
Pompe appellee chapelet. III. 176. a.
qui élevé l'eau dans un jardin par le moyen d’un
moulin à vent. X. 8 0 3 .^ ,^ , 6'c.
Pompe, {Marine) vo ye z les plancli. de marine dans le
volume V i l . Affranchir ta pompe. I. 163. a. Chevilles de
pompe. Suppl. II. 393. b.
Pompe (/<; mer, ( A/.tri/jf) grolTe colonne d’eau qui paroît
fur la fnrface de la mer. Cette colonne redoutable aux matelots.
XIII. 12. b.Voyer D r a GON , T r oMBE , PuCHOT
Pompe. {Oifelier) XIII. 12, b.
Pompe , ( Gramm. ) réflexion fur les pompes funèbres. XIII.
POMPÉE U grand,{Cneius) précis de fa v ie : fon cara-
éierc. XVI. 668. b. 669. a. Parole remarquable de Pompée
aux cenfetirs. X. 613. a. Guerre dont il fut chargé contre
les pirates. XII. 665. a. Hommage qu'il rendit à Pollldonius.
IX. 487. <ï. Vafes inyrrhins qu’il apporta à Rome, XVI, 833.
b.Sc qu’il confacradans le temple de Jupiter. 834. a. Rupture
de Pompée avec Céfar. 671. a. Affaires entre ces deux
triumvirs. IV. 937.17, b. Obfervations fur la bataille- de Phai-
fale. XII. 494, cl, 6>c. Fuite de Pompée après fa défaite.
IX. 294. b. Lieu où l’on croit qu’il fut inhumé. X. 670. a.
Pourquoi quelques hiftoriens Tont appellé prince du lémtt.
X llI . 372. a. Exemple d’exercices militaires qu’il donnoir à fes
troupes. V I . 239. a , b. Théâtre de Pompée. X V I . 233. b.
Pompée,(A trAiCi/r) fils du précédent. Son accommodement
avec üftave ; trait de générofué de fa part. Suppl i. 707. .1.
H perd la Sicile, Ibid. Sa défaite. X V I . 677. a
POM PE IA, loi. IX. 668..:.
PO.VIPEII, {Géogr. anc.) ancienne ville d’Italie, qui fut
engloutie avec Herculaniim par Teruption du Vé lu v e Tan 76
de Jelhs-Chriff. Fondation de cette ville felon la fable, Rade
6c marais voilins de Pompeii. Ouvrages que Cicéron compola
ibm fj niailbn de piaifance fmiée 'fur la cote de Pompeii.
Pompeii, (Géogr.) cette ancienne ville retrouvée par des
pa^rf.ms près du fleuve Sarno. Tems où Ton a commencé les
fouilles de Pompeii. Infcription d’un petit temple qiTon y a
trouvé entier. Suppl. IV. 302. a. Laves pierreufes 6c vitrifiées
qu’oii remarque dans les bâtimens de cette ville. Val'e
de marbre de Paros trouvé dans ces ruines. Ibid. b.
Pompai, fimation de cette ville : comment elle fut ruinée.
V l l l . 130. a. Obfervation fur centc ville. Suppl III. 349. é.
330. n ,é .
POM PE ION , {Anriij. grecij.) bâtiment fplendide d’Atlic-
nes. Origine de fon nom. X lll. 13, a.
l'OM l'H O L lX , {Metallurg.) cliaiix de zinc. XVII . 717, b.
^ P O M P lL E , {Ichthyol) poiffon de mer. Sa defeription.
Pü M PO N A , {Boian.) efpece «le vanille. En quoi elle
différé de la commune. Les Indiens la mêlent avec les autres
elpeces. Cette vanille niûfible aux femmes dont les nerfs
loin délicats. XIII. 13. é.
FOiMPONACE, {Pierre) plnlofophe arillotéiicicn. I. 663.
a , b. Ses difciples. 667. a. XII. 373. a.
POiMPONE, obfervations fur cenimiftre d’état. V I I I .73.
POM PT IN , f/ijwp {Hijl.rorn.) certaine étendue du pays
du territoire des Vollqucs, qui donna fon nom à la tribu
pompiine. XIII. 13. b. Efforts du peuple 8c de fes tribuns
pour obtenir le partage du champ pomptin après les conquêtes
de Camille. IbiJ. 14. a.
P OM P T IN A P A L U S , o\\ Pontina palus , {Géogr.anc.)
te marais tiroit fon nom de la ville de Pometia. DelTéche-
meiis de ce marais, premièrement par Céthégus, 8c eiilùite
par Théodoric. Les champs établis dans ce lieu, inondés de
nouveau. XIII. 14. a.
PO N C E , pierre- ( PTiß. nal. ) ariicles fur cette pierre. XII.
378. a. 384. Pierres ponces portées en abondance dans
les hautes mers. VIII. 920. b. X. 96. a.
Ponce , ( Paul) fculpteur. X IV . 831. é.
*1 ^ '^(‘ 'tiure) tes rubans d’Angleterre de cette
couleur c^hniés. Origine du nom donné à cette
PO N C E L E T , {M . T*jWé) obfervations fur fon livre intitule
, la nature dans la reproduElion des êtres vivans. Suppl III.
a i2 , b. Extraits d ecetouv raee 2 1 t a h
‘’ ° ™ , “ ’ ‘‘° “ rroyeur, de pardre-
P O N 4S9
minier, d’orfevre, do deffiiiareur , & de toilerie. X lll. ,4 *
Poncer ua dcITiJi, X V I. 53,. J. '
P O N C I ION , ( CMnir^. ) pojifiion à la trndiée arrcrc. II.
“' r ' ' “ dam l’Iiydropifie du pdricardo. VIII.
30p. U. 1 one),on dans lliydropillc afciic. XI. 88«. i . Pondion
au péruiee, UI. 687 n
des pUnes, ( / .„y,,,. ) XVI. J.
N C T U A T IO N , {Geornrn.) il paroit i]iie l’art de ponctuer
cto,t ignore dans les premiers rems. Cenondant on iioiiye
cl,ms les cents des anciens une fuite de tcinoignagcs nui
prouvent qn on en avoir fenti la néedTuo, & qn’oS avîtit
établi des c.aeaderes pour cette fin. S. Jerûme diftineu.a dans
l.a verl.on de 1 tcritiire fainto les mots, les membres des
piirates, & les vcrleis. Paffages d’ifidorc de S é v i lle , de
v^iceioii SedA r iflo te , fur la ponéfiiaiion. X lll 13 a Pourquoi
les livres faims furent écrits fans difflnaion de jibra-
le s , m meme de mots. Pourquoi le même ufage fut Vuivi
chez k s autres nations. Utilité de la poiiRuat.oii Jbid b
f^arolcs equivoques par défaut de ponftuation. Difficulté de
conllmirc 8c de faire adopter un fyfiéine de poiiéluation.
Laraderes ufiicls de la ponduation. Elle doit fe résler fur
es bcloms de la refpiration , combinés avec les fens partiels
qui conllitucnt les propofitions totales. Ibid. 16. a II
faut de plus prendre garde aux différens ilegrés de fiibor-
dmation a cliacim de ces fens partiels dans Teiifembie
dune propofmon ou d’une période , 8c en tenir compte
dans la ponduation, par une gradation proportionnée dans
i^xamen du fyfléme de ponéfuation de
JVl. labbe Girard, Ibid. b. Sylîéme d e l’aiucur.
I. De la virgule. Elle doit être le fctil caradcrc dont oa
lallc ulage par-tout oil Ton ne fait qu’une feule divillon des
lens paniels ,faus aucune foudivifion fiibalterne. Application
de cette regle aux cas particuliers. 1". Les parties limilaircs
dune meme propofmon compofée doivent être féparées par
des virgule.s, pourvu qu’il y en ait plus de deux, Sc qu’aucune
de CCS parties ne Ibit foiidivifée en d’autres parties fubal-
ternes. Ibtd 17. a. 2°. LorlqiTil n’y a que deux parties fimi-
laires II elles ne font que rapprochées fins conjonflion,
elles doivent être féparées par la virgule. Regle de ponéliia-
i!on , loriquc ces deux parties lont liées par une conjoncTioii.
3*’. Ce qui vient d’être dit de deux parties fimilaires d’uiu:
propofmon compofée , doit encore le dire des membres d’une
période qui n’en a que d eu x , lorfque ni Tun ni Tau.tc n’eft
lubilivife en parties liibalterncs qui exigent la virgule. Ibid. b. 4 . Dans le ffyle coupe,où un fens total eff énoncé par plu-
licurs propofitions qui fe fuccedent rapicicment, 6c dont chacune
a un fens fini, 8c qui femble complet, la fimplc virgule
fufht encore pour léparer ces propofitions , fi aucune iTcllcs
n eff divilee en d’autres parties fubaltcrnes qui exigent la virgule.
Ibid. 18 .^ Examen d’une autre regle de ponRuation
prelcrite par M. Reffaut pour ce même cas. Ibid. b. Si une
propofmon eft firajffe 8c fans Iiyperbate. 8c que Tétcndue
nen excede pas la portée commune de la refpiration elle
doit s écrire de fuite fins poiivffuarion. Mais ff cerre étendue
excede la portée ordinaire de la rcipiration, il faut y marquer
des repos par des virgules, qui fervent à diftinguer
quelques-unes des parties conftiiutivcs. Ibid. 19. a. 6° Il faut
mettre eptre deux virgules toute propofition incidente inne-
mont explicative, 8c écrire de fuite fans virgule toute pro-
polition incidente déterminative. Ihtd. b. 7*. Toute addition
mile a la tete ou dans le corps d'une plirale , 8c qui ne
peut être regardée comme faifant partie de fa conffitution
grammaticale, doit être diffinguéc du reffe par une virgule
mile après, fi l’addition eft à la tête ; 8c fi elle eff enclavée
dans le corps de la phrafe, elle doit être entre deux virgules.
Ibid.do. a. Dans une cmiiriération, tous les éniiincratifs
lans exception doivent être diffingués par la virgule.
H. Du point avec une virgule. Lorfüue les parties principales
dans lelquellcs une propofition eff d’ahord p.irmgce, font
loudivifées en parties fubaltcrnes , les parties fiibalternes doivent
etre féparées entr’elles par une fimpie virgule, 6c les
parties principales par un point 8c une virgule, yé/iy. b. Regies
pour les cas particuliers. 1“. Lorfque les parties ûniilai-
rcs d’une propofition compofée, ou les membres d’une période
, ont d autres parties fubaltcrnes diffinguées par la virgule
, ces parties fimilaires ou ces membres doivent être fépa-
res les uns des autres par un point 8c une virgule. 2°. Lorf-
qiie plufieiirs propofitions incidentes font accumulées fur le
meme antécédent, 8c que routes, ou quelques-unes d’en-
tr’elles, font foudivifées par des virgules, il faut les féparer
les unes des autres par iiii point 8c une virgule. Ibid. 21. a.
3’’-,^ans ie ffyle coupé, fi quelqu’une des propofitions ell
divifée en parties fubaltcrnes diffinguées par des virgules
il faut féparer par un point 8c une virgule les propofitions
partielles du fens total. 4®. Dans Ténumération de pluficurs
chofes que Ton compare deux à deux, il faut féparer les
uns des autres par un point 8c une virgule , les membres
de Ténumération qui renferment une comparaifoii.
III. Des deux points, Si la protafe ou Tapodofe d’une
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