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184 N E O
NÉM'-ZE , cstte foi et appellee .Uahrehus. X . 631. h.
">J£MEENS , ji- u x , ( Hifl. .inc. ) ilivcrs fentimens lur leur
infHtmion. XI. 89. b. Comment s’en failoit l’ouvemire. Teins
auijiiel on les célebroir. Eigcs de ces jeux. Quels étoient
ceux qui y étoiïiit admis. Couronne que recovoiem les vainqueurs.
ihiJ. b.
NÉMESES , ( Myth. ) divinités qu'on doit mettre au rang
des Euménides. Leurs toiiflions. Comment on les repréfen-
îoit. XI. <;o. J.
NF.MESi ANUS,poète : carafiere de Tes ouvrages. XIT. i
NEjVlÉSlS, ( Myth. ) crimes que vengeoit cette divinité.
Ses attributs. XI. 90. u. Leur lignihcatioii. Platon nous dit ,
que cette déclTe a une inTpcition f'pcciale lur les ofler.Ies
•faites .nix pères par leurs cnfaiis. Origine de cette divinité.
Scs autres noms. Sacrifice que lui oiîVoient les Romains prêts
à partir pour la guerre. XI. yo. b.
NÉAiilsts , furnommée R h d m n u fid : fon temple près de
Rliamnus. X IV . Î43. b. Ruines de ce temple. X V. 944. é.
Comment on reprélentoit cette divinité. 731. b. Hymne à
Némclis, vol. V i l. des plancli. Mnlique , pl. 3.
NÉMLSJUS , 1a phyiiologie. Suppl. IV. 348. a.
NEM OU RS , ( Gècgr. ) ville de France. Pourquoi elle fut
appellee JVemus. Situation de cette ville. Son origine. Princes
auxquels elle a appartenu. Titre qu’elle a reçu. ObCervations
fur la vie üc les ouvrages de François Hédcliu, né à Nemours.
XI. p i.tf.
N emo u rs. Pofition géographique de cette ville. Ohferva-
tions hifloriques fur ce lieu. Son éroéiion en duché-pairie.
Dernier due de Nemours. Adniiniüration de la jufiiee. /urif-
diélion du bailliage. Correélion à ce qui eü dit dans l’article
Nemours de l’Encyclopédie , lur la patrie de François Héde-
An. Obfervations iiir Joleph Olivier , principal du petit colle ge
de Nemours. Lieux remarquables dans le voifinage de
cette ville. Suppl. IV. 25. b.
NÉNIES, {blijï. une.) chant lugubre dans les funérailles.
Obfervations fur ce qui faifoic la matière de ce chant. Origine
des rrénies. Eryniol. du mot. XI. 91. u. Honneur rendu à la
déelî'e iVx/ii.i. Ibid. b. Vaye^ ce mot & l’article N-lnia'.ion. Suppl.
NÉNUPHAR , ( Eotan. ) caraéleres de ce genre de plante.
Dcfcriptioii des deux efpeces, connues en Europe, le nénuphar
à fleur blanche , Éc le nénuphar à fleur jaune. Lieux oîi
croit cette plante. La n y m p h x u le remarque fouveut fur les
médailles d’Eg ypte, ik l'ur les monumens de ce pays. XI.
<)\. b. Les Egyptiens l’avoient confucrée au fo le il, ik la re-
préfeiuoient fur lu tête de leurs dieux ik de leurs prêtres. Les
rois s’en failbieni aulb des couronnes, & c. Ibid. 92. a.
Nénuphar, le lotus en ell une efpece. IX. 696. a , b. 697. a.
Autres efpeces, nommées ambel. Suppl, I. 338. é & citam-
bd. Suppl. II. 444. a.
N lNUI^HAR, [ P h a rm . 6 ’ M a t. m cdlc. ) qualités & ufages
de la racine & des fleurs de cette plante. Sirop de nénuphar.
Inconvénient des remedes tirés du nénuphar. Coiifervc qu’on
prépare avec les fleurs. XI. 92. Eau diftillée 6c huile de
nénuplur, Miel de nénupliar. Ibid, b.
Nénuphar, fon iifage contre rimpuifTancc. VIII. 632. k
N É O C O R A T ou N eOCORIE , ( Arc numijni. ) époque
qu’on trouve lur les médailles des villes grecques foumifes à
l’empire romain. Titre de né:or.t[ dont ces villes étoient jalou-
fes. X L 92. b.
NÉOCORE , ( Antiq. grecq. ) on appelloit néûcores chez les
G rec s , ceux qui étoient cliargés de la garde & de la propreté
des temples. Comment cet emploi bas dans fon origine fe
releva infenfiblement. XI. 92. b. Pourquoi certains peuples
grecs fe difoient néocores , pour la fécondé la troifieme & la
quatrième fois. DilTertntions de MM. Vaillant 6c de Valois
fo rce fnjet. Deux fonétions particulières des néocorcs. Villes
grecques qui portent le plus foiivent ce titre dans les médailles.
Ibid. 93. a.
Néocore , ce titre donné à Smyrne fous divers empereurs.
X V . 243. m
N ÉO G R AD , Novigrad, ou Nograd , ( Géogr. ) comté de
la balTe-Hongrie. Ses bornes & fon étendue. Scs produélions.
Principales rivieres. Habitans. Divifton eccléfialliqueik civile.
Population 8c lieux principaux. Suppl. IV. 26. a.
N ÉO G R A PH E , celui qui affeite une maniéré d'écrire
nouvelle. XI. 93. .2. Exemples de néographifme dans les écrits
de MM. de Voltaire , du M.arfais Ôc Duclos. Ibid. b.
NÉOGRAPHISME , ( OnAoq.) étymologie du mot. Obfer-
ration de l’abbé Desfoniaines fur le néographifme. Les néo-
graphes ne prennent pour regie de leur maniéré d’écrire ,
que la prononciation autorifée par l'ufage. Les néographes
violent les loix de l’ufage , dans le tenis même qu’ils aneaent
d’en confulter les déeifions & d’en reconnoitre l’aiuorité.
Examen du prétexte liir lequel les néographes fc fondent,
qui ert , que les lettres étant inrtituées pour repréfenter les
éléinens de la voix , l’écriture doit fe conformer à la prononciation.
XI. 93. b. Réflexions fur la prétendue réforme fuc-
cedive 6c ente que les néographes fe propofent d’apporter
dans la manière d’éuirc. C e l î lé faire jllufion que d« çroire
N E P
l ’honneur de notre langue iinércffé au fuccés de toutes les
réformes qu’on imagine. Il n'y a peut-être pas une laiu^'uc
qui n ait de ces irrégularités, que les n-éogniphcs prétendent
corriger. Ibid. 94. a.
I\cog)-,ip/iiJme, Précis de deux ouvrages où il eR attanué.'
XI. 669. b. ® ‘
NLOLÜ G IQ U E . Obferv.2tions fur le diélionnaîre néologique
de 1 ahbe üesiontaines. Utilité qu’il y auroit à donner
de cems en ceins un diflionnaire néologitiue. XI. 04. a.
NÉOLOGISME. Etymologie du mot. Ouvrage du P.
Bouhours, dans lequel il a relevé le néologifme des écrivains
de P. R. Circonfpeélion d’un auteur qui connoit les
droits 6c les déeifions de l’ufage. Sorte de hardiefle permife
dans le fiyle. D e rarchaïfme, oppofé au néologifme. XI.
94./’.£tyinoIogie _du mot. Définition du néologifme. /Wj'. 95.//.
Ncoloc^ifuic, figure de grammaire. V I . 769. a. Regle que
doit obfervcr l’auteur d’un didionnaire de langue par rapport
au néologifme. IV. 961. b. Oblervaiions fur le néologifme.
XII. 329. a , b. Suppl. IV. 534. a. La création des mots ou des
plir.tfes nouvelles, efltoujours affujettie aux loix de l’aualo-
gie. X V ll. 519. b. Les bons auteurs ^doivent être en garde
contre le néologifme. 317. b.
NEOM l NIÉS , ( Antiq. 6* L u t.) étymologie du mot :
fêtes que les anciens célébtoient à diaqtie nouvelle lune-
Divers peuples qui les ont pratiquéçs. Cérémonies ufitées
dans les néoménies des Juifs. XI. 93. a. Néoménies des
Egyptiens, des Grecs 6c des Romains. Ibid. b.
Néoménies des anciens Juifs. VIII. 343. é. XII. 113. a.
N tO P H Y lE S , {Hiß. ecd.) étymologie du inor. Néo-~
phytes de la primitive églife. Néoplivies dans le Japon. Prêtres
néophytes. S. Paul ne veut pas c[u'on élevé les néopiiytes
aux (U'dres Incrés. XI. 93. .1. Koyet(_ Lamprophüue.
N É Ü R IT ID E , {Géogr. anc.) pays d’Afie. Les Néorites
fournis par Alexandre. Funérailles qui croient pratiquées par
ces peuples. XI. 93.
NÉPENTHÈS, ( Botan. ) caradercs de ce genre de plante.
XI. 96. a.
NÉPENTHÈS, {Linér.) étymologie du mot. Sorte de drogue
dont fe fervir Hélene pour charmer la mélancolie de
iélémaque. Anciens anteurs qui parlent du népenriiés comme
d une plante d’Egypte. Recherches des favans modernes
fur le nepenthes, donc Hélene fu ufage. DiiTertation à con-
fulter. XI. 96../. °
Népenth'es. Ufage qu’en faifoient les anclenspourfe donner
de la^gaiccé. Suppl. I. 793. a.
N tFER , b.2guciccs on bâtons de, ( Arithrn. ) infiniment par
lequel on peut faire la imiltiplicntioii 6c la divifion des grands
nombres. XL 96. .i. ConRruélion de cet inllrument. Son ufage.
Autre méthode pour faire la multiplication 6c la divifion paB
de nouvelles baguettes. Ibid, b.
Néper, baron écolTois , inventeur des logarithmes. IX .
630. b. Bétons de N éper, vol. V . des planch. Algèbre , pl. I.
N E PH ES-OGL I, {terme de relation. ) ce nom figiiifie parmi
les T u rc s , f i l s du S.iini-Ej'prit, 6c on le donne à certaines
gens que 1 on croit nés d’une mere vierge. JMceurs £c ufages
de cette forte de vierges. XI. 97. a.
N É PH R É T IQ U E , {Médec.) différentes parties fujettesJt
cette maladie. Différentes efpeces de néphrétique. Remedes
néphrétiques. X L 97. b. — Colique.
Néphréticjue, bois. XI. 97. b. Voye^ B o is NÉPHRÉTIQUE.
NEPHRETIQUE, pierre, ( Minér. ) divers femimens des
naturalifles fur cctic pierre. Origine du nom qu’elle porte.
Réflexion fur l’ufage médicinal auquel on l’applique. XI. 97.
b. — V o y e ^ J a d e .
NÉ PH ROTOM IE, ( Chir. ) opération par laquelle on tire
la pierre du rein. Etymologie du mot. Obfervations fur Icf-
qiiellcs on a cru cette opération ])ofiiblo. En quel cas elle eft
pratiqunhle. Exemple de cette opération. X I. 08. j .
N E P O S , ( Cornélius ) X V II . 86. m
N É PO T ISM E , {Hifl. mod. ) crédit 8c pouvoir que les
papes accordent à leurs neveux 6c à leurs parens. Abus que
ces gens-là ont fouvent fait de leur autorité. XI. 98. a.
_ NEl’T U N E , {M yth.) ce que les poètes racontent ftlr ce
dieu. XI. 98. a. Beau pafiage de l’Iliade , traduit par Del-
preaux , où Neptune en courroux répand l’épouvante jufques
dans les enfers. Fondement de cette fifHon. Fêtes célébrées
en fon honneur. Temple qu’il avoir dans l’illc Atlantique.
Statue qui lui fut érigée prés de riftl-ime de Corinthe.
Divers princes auxquels les poètes ont donné le nom de
Neptune. Obfervation fur i’étymologic du mot Neptune, que
donnoii l’épicurien Balbus. XI. 98. b.
Neptune , fon nom grec. XIII. 1 39. u , b. C e dieu nommé
Profclyfiius par les Argiens. 493. a. Temples de Neptune.
XI. 99. b. X V I . 77. a. A Herculanum. VIII. 132. h. Dans
l’iRhine de Corinthe. 930. æ. Sur le promontoire de Ténare.
X V I. 127. b. Neptune honoré à Tenos. 336. b. Les poètes
l’ont fait eréateur du cheval. Supnl. II. 391. a. Suppl. IlL 376,
b. Neptune cqueftre. Suppl. II. 840. rf. Fêtes en riionneur de
Neptune équdUe. V III, 210. é.Fèiescoi^fuales cnriionnem-
N E R
de ce dieu.IV. 100. a , b. Fête que lui confacroit toute l’Ionie.
XI. 819. b. Celles dont il étoit l’objet à Cyfique. X V .
941. a. 944- Sacrifice du thon , que les Romains lui
offroient. X V I . 296. é. 311. rt. Chevaux de Neptune. Suppl.
III. 376. b. Son trident. X V I . 637. b.
N e ptu n e , {Antiq.grccq. 6rom.) différentes maniérés dont
on le trouve repréfenté dans les monumens antiques. XL 98.
b. Belle defeription que Virgile nous fait du cortege de ce
dieu , quand il va fur l’élément qui lui eff fournis. Ibid.
99. m
N e ptu n e , bonnet de , ( Eotan. ) efpece remarquable de
champignon de mer. Sa defeription. Variétés dans cette efpece
de végétation marine. XI. 99. a.
N e ptu n e , temple de, ( Géogr. ) différens lieux de la G rece
où ce dieu avoit des tem ples. X L 99. b. Foye^ ci-deffus l’article
N e pt u n e .
N e ptu n e , montagne de , ( Géogr. anc. ) montagne de
Sicile. XI. 99. b.
N e p t u n e , ( Conehyliol.) manchette de Neptune. V . 242.
a. Cerveau de Neptune. X. 219. a. — Voye:^ vol. VI. des
planch. Rcgne animal, ]>1. 92.
NERA , ( Eotan. ) efpece de bananier. Suppl. I. 780. b.
NERE , ( Chronograph. ) efpace de tems dont les Chaldéens
...... ufage dans leur chronologie. Us divifoient le teins
en fares, neres & fofes. Comment il faut entendre ccsefpa-
ces de tems pour concilier la cliroiioloeie des Chaldéens avec
telle dc^Moife. XI. 99. b.
NÉRHE , ( Myth. ) dieu marin. Ce que les poètes nous en
racontent. Sentimens des mythologifles fur l’origine de ce
dieu. XI. 99. b.
N É R É ID E S , {M y th .) divinités marines. Leur nombre.
Obfervations fur les noms que les poètes leur ont donnés.
Quelques-unes d’entr'elles ont exifté vérirahlemenr. Origine
des fiitions des poètes fur les Néréides. Culte de cette lone
de divinités. Poiffons pris pour des néréides par quelques
anciens. Comment on repréfentoit les néréides. XI. 100. a.
Nereides , quelle en étoit la plus belle. XVI. 278. a.
NERF , ( Anal. ) définition. X. loo. a. Origine, fiibffancc ,
enveloppes des nerfs. Leurs extrémités. Obferv.itions qui
prouvent que les fibres nerveufes tirent de la moelle du
cerveau un fuc qu’elles iranfmettent à chacun des points de
tout le corps , &. par le moyen duquel elles exécutent tontes
leurs fonélions. Ibid. b. Hypotliele qui admet une cavité
dans les nerfs. Autre hypothefe peu vraifemblable, par
laquelle on prétend que les nerfs exécutent leurs opérations
par la vibration des fibrilles tendues. Obfervations qui rendent
très-probable l’exiftencc du fuc nervi.ux 8c des efprits
animaux , qui montrent quelle doit être la ténuité des
fibrilles nerveufes, 6c comment elles compofem le tiffu de
toutes les parties Iblides du corps liumain. Ibid. l o i . a. Enumeration
des différentes paires de nerfs, diftinguées par les
anatomiltes modernes, 6c de leurs principales ramifications.
Ouvrages à confulter. Ibid. b.
N e r f , {A n a t.) les nerfs ne font pas abfolument nécef-
faircs à l’animal. Différentes fignifications que les anciens ont
données au mot nerj. Defeription de ces organes La moèlle
en ell l’effence. Suppl. IV. 26. a. Leurs enveloppes. Paquets
médullaires. Cellulofité qui les réunir. VaiiTeaux rouges qui
rampent dans les intervalles de ces paquets. La dure-mere
ne s’attache jamais au ne r f, 6c ne lui Ért jamais de gaine.
Ibid. b. Faiilfe dillribution que les anciens ont faite des nerfs
en deux clafies ; favoir, des nerfs durs, nés de l’épine
du d o s , dellinés au mouvement, 6c des nerfs mous, prépo-
fes au funimem, qui naifi'ent du cerveau. Les nerfs les plus
(luis deviennent mous, dés qu’ils font à l'abii de tout rifque.
Autre erreur, qui confilloit à confidérer les nerfs comme
des cordes élaltiques 6c vibrantes. Humidité dont le tiffu
cellulaire cil abreuvé dans les nerfs. Ibid. 27. a. Examen de
la quellion, fi les filets médullaires des nerfs font des tuyaux ,
ou du moins remplis d'une cellulofité poreufe , comme les
roleaiix. Les nerfs accompagnent affez généralement les an c r
e s , mais avec liberté. Giolleur relative des artères 6c des
nerfs. Ibid. b. Des parties du corps Inimain qui n’ont point tie
nerf. Les nerfs ne font point irritables. Raifons de croire que
ces organes ne font pas l’élément unique 8c effeiuiel du corps
animal. Différente nature des extrémités des nerfs. Ibid. 28. a.
F o y e ^ N e v r o l o g ie .
N e r f , ( Phy/tolog. ) des fonéfions phyfiologiques des nerfs.
C e l l le nerf fcul qui tranfmet à l’ame le changement arrivé
par le contaél des objets extérieurs. Le nerf irrité excite un
lentiment d’une violence extrême. Suppl. IV. 28. a. Quand
le nerf ell l’organe d’un fens particulier, ce fens eft détruit
léfions du nerf qui en ell le condufletir. Un nerf qui
“ rudement ne fe rétablit point. Les parties ddlituées
de nerfs font deftituées de fentiment. Une partie eâ
peu lenliblc loifque les nerfs y font en petit nombre ; le fen-
timent y ell plus v i f , lorfque les nerfs (ont plus nombreux ,
L’inflammation augmente auffi
la lenlibiUte II y a certains états des nerfs dans lefquels le
N E R 283
fentiment eA finguÜérement exalté. L’envelopire ccllulcufe
du nerf cA infeiifible. Examen de la queAion , fi le fentiment
paUe d un nerf a un autre. Difiérens phénomènes qui indiquent
que non-feulement les nerfs communiquent enrr’ciix ,
mais que par ces mêmes communications , l’efiirit animal
rentre dans les extrémités d’un nerf dont le tronc a été coupe
, 6c lui rend le fentiment que la partie avoit perdu avec
Ion nerf. Ibid. 29. a. Seconde fonélion des nerfs, qui confiAe
a porter au nuilcle un fiircroît de force , qui le fait préva-
ioir fur Ion aiuagoniAe, 6c. le met en mouvemeiu. Si cette
tonthon a heu dans tous les mufcles fans exception. Les
nerfs communiquent au mufcle la puiffance dérivée de la
volonté , 6c cette puiffance ne s’exécute que par le miniAerc
des nerfs. Ibid. b. Le mouvement que le nerf donne au muf-
clc va cil (lefceiidant, c'eft-à-dire , qu’il defeend du cerve au
ou de la moelle de l'épinc au mufde , & il ne remonte pas
du imifclc au cerveau. — Le mouvement pafTe-t il d’un côté
de la moelle a l’autre? EA-il fûr que les nerfs du côté droit
naiffent du côté gauche , 6c les nerfs gaudies du côté droit ?
— Quand l irritation d’un nerf eA violente , elle fe communique
non-lèulemein aux nnifdes voifins , mais à tous les
mufcles de Dinimal, Le fentiment n’a lieu que lorfque le nerf
a conierve fa continuité naturelle avec le cerveau. Mais
pour que rirritaiion du nerf en produife dans le iiu i le , il
neA pas iiecefi'aiie que cette continuité ait lieu. 30. a.
nerfs fur les mufcles , dont le mouvement
n cA point fournis à la volonté. Plufieurs expériences démontrent
que les nerfs n ont pas la même influence fur ce genre
d organes. Difference dans la caufe de la conAruaion des
mufcles vitaux 6c des mufcles volontaires. Ibid. b. Faufî’eté
de 1 h ypothefe, qui a placé dans le cervelet l’origine des
nerfs vitaux. Les plaies du cerv elet, ccdles du corps calleux,
ne font point abfolument ou fubitcmem léthales , 6c n’ont
rien qui les diAingue des léfions des autres parties du cerveau.
Les nerfs ne font point la caufe efficiente du mouvement
mufculaire du coeur. Ibid. 3 i. u.
^ prolongement dans le foetus.
Suppl. I. 129. il. Les nerfs plus gros dans les enfims que dans
k s adultes. %•;>/. IV. 43. b. Obfè rvations anatomiques fur
les nerfs. III. 36. b. Nombre de tous les nerfs, 6c leur
origine. Supol. IV . 43. Centre où ils vont rayonner. Suppl.
III. 36. b. Mammelons pyramid,lux qui terminent les nerfs.
AUI. 394, h. Leur diflribution. On a prétendu que les nerfs
dcftinés au mouvement volontaire , partent du cerveau, 8c
que ceux doù dépendent les mouvemens involontaires par-
lem du cervelet. II. 864. u. Mai. ccue eliftinflion elt regardée
oemrtie purement arbitraire , Ü abfolumcm nulle. X. 721. é.
Suppl. II. 300. a. Les nerfs diAingués par paires. XI. 767. a.
Le mouvement mufculaire vient des nerfs. X. 891.E892.c2.
Diitribiuion des nerfs dans certaines parties, à propoition
du mouvement qu’elles doivent exercer. II. 864. b. Nerfs
cervicaux : leur diAribuiion. 866. a. Nerfs qui aboutiflent au
coeur. Suppl. II. 491. n , b. Nerfs du diaphragme. 713. b.
Nerfs imercoAaux. VIII. 813. b. Suppl. III, 624. b.- Nerfs
vertébraux. XVII . 169. b. N e r f le plus gros du corps hu-
main. Suppl. IV . 43. a. Ganglions formés par quelques nerft.
VH. 466. J , b. Les nerfs font les feules parties fenfiblcs, 6c
le principe du fentiment. II. 864. a. X IV . 873. b. 874 a.
X V . n ) .b .^ \ .a , b. D e la fenfibilité des nerfs. Suppl. IV .
776. a. 779. a. D ’où dépend leur plus ou moins de fenfibilité,
Suppl. I. 733. a. Les nerfs ne font point irritables. Suppl. III. 57- f ' ^^4- É Trois chofes que s’eA propofées la nature dans
la diAribution des nerfs. X V . 736. <2. Communication entre
les nerfs à leur origine, qui donne lieu à un commerce
réciproque de divers mouvemens. 740- a. Suppl. 111. 36. b.
Phénomènes qui femblent prouver qu’il y a des anallomofes
entr eux. III. 38. a. Comment les nerfs communiquent
entr eux pourquoi l’on a cru que le corps des animaux
n étoit qu’un épanouiffement nerveux. V l l l . 262. b. Mouvement
que les objLts excitent dans les nerfi , 6c qui lé com-
niuniquciit à lame. Suppl. III. 36. b. De leur aélion. 664.
a , b. La divcrlité de nos fens n’eA l’cftét que de la différente
difpofition des nerfs. X V . 29. 30- Leur aélion dans les
mouvemens des paffions. 32. Catilé du fommeil dans certaines
difpofitions des nerfi». 331..2, E Quelle eAleui dil'po-
fition pour former le fens du toucher. 820 a. Si les nerfs
aident les mouvemens du coeur. Suppl. II. 494. E D e leur
aélion fur le mouvement du fang. Suppl. IV. 728.12. De leur
influence fur les fecrétions. 760. E Âélion du feu lùr les
nerfs. Suppl.l. 734. b. Effets que produit fur eux la diminution
de chaleur animale. 73 3. a. Des eftéts de l’irritaiion d’un
ne rf fur les ramifications du tronc auquel il appartient. Suppl.
IV. 633. E Exemples qui prouvem qu’on peut réveiller
dans un nerf le lentiment du taél, fans exciter le fentiment
particulier à ce nerf. 637. b. Ouvrages fur les nerfs. XI, 117.
<2, b. Découvertes d’Hérophile 8c d’Eudeme, 1. 4 1 1, a. Anatomie
des nerfs par Willis. XV II . 620. b. — Foyer N e r v
eu x .
Nerfs , *7« U nature fur Us, {Phyflolog.) Difficulté
C C c c