i6 JET arc attrlbiioieiit au boulet & à la bombe. VIII. 5 1 1 . h. Pria*
cipes de cette Icieuce donnés par Galilée. Moyen de découvrir
la courbe que décrit une bombe , ou autre corps pelant
poufl'é par une force quelconque, dans une direéVion oblique
ou horizontale. Ibid. ^12. n. Maniéré de confidérer & defti-
mer la force d’une charge de poudre fur la bombe. Regies
générales bc particulières du jet des bombes , déduites du
mouvement tics corps pefans. Ibid. b. Maniéré de déterminer
la hauteur, le long de laquelle la bombe doit tomber pour
acquérir la vîtefle nécelTaire pour décrire la ligue de pro-
je ftion, pendant que la pefanteur lui fait décrire la ligne de
chute. Ibid. 523. a. La force du je t , la ligne de projeélion,
& la ligne de cliûie font en proportion continue. Lorfqu’on
connoit l’amplitude de la parabole & l’angle de l’inclinailon
du mortier , on peut trouver la force du jet. Si l’on tire
une bombe avec une charge quelconque, qu’on obferve 1 angle
d’inclinaifon du mortier, 8c la diflance oii la bombe fera
portée , on peut trouver la hauteur d’ou elle auroit dû tomber
pour acquérir une fo r c e , q u i, agilTant fur elle dans la direction
du mortier , foit capable de produite le même effet que
l ’impulfion de la poudre dont il aura été chargé. Ibid. b. Les
principes précédens donnent la réfolution des problèmes qui
concernent le jet des bombes, lorfque le plan ou elles doivent
tomber eft de niveau avec la batterie. Moyen de trouver
l’angle de projeélion qui donne la plus grande portée de la
bombe, foit que le plan fur lequel elle doit tomber , foit élevé
fur l’horizon, ou incliné au- delfous. Problèmes. I. Ayant tirèune
bombe fous un angle de projeélion pris à volonté, 8c connoiffant
la diftance où elle aura été tomber fur un plan horizontal,
trouver la force du jet. Ibid. 524. a. II. La force du jet étant
connue, trouver la plus grande diftance où la bombe peut
être portée fur un plan quelconque. III. La plus grande diftance
où une bombe puiffe aller fur un plan quelconque étant
connue, 8c la force du je t , trouver la diftance où elle ir a ,
tirée fous tel angle de direétion que- l’on v ou d ra , le mortier
étant toujours chargé de la même quantité de poudre,
o u , ce qui eft la même chofe , la force du jet étant toujours
la même. Ibid. 32^. a. IV . La plus grande diftance où une
bombe puiffe aller lur un plan quelconque, étant connue,
& la force du j e t , trouver l’angle de projeétion ou d’incli-
naifon du mortier pour la faire tomber à une diftance donnée.
■ Ibid. b. Cas où la folution du problème eft impoffible. Par
la folution des problèmes précédens, on peut calculer des
tables pour trouver avec toutes les charges de poudre qu on
peut employer , les diftances où les bombes iront tomber,
& les angles d’inclinaifon, lorfque ces diftances font données.
C e t objet rempli en partie par M. Bélidor. Comme il y a deux
angles de projcélion pour chaque amplitude de bombe, 1 auteur
indique les cas où l ’on doit préférer le plus grand, 8c ceux
où l’on doit prendre le petit. Defeription 8c ufage de 1 infiniment
univerlel pour jetter les bombes. Ibid. 5 26. a , b. — Les
articles à confulter fur le fujet qui vient d’être traité , font
Salifie , Bjlipq ue , Catapulte , Projeblile, 8c Table pour le jet
des bombes.
J e t , armes de. Avantages de notre artillerie fur ces armes.
Suppl. I. 610. a.
Jet de vo iles, {Marine) VIII. 527. a.
Jet de feu, {.Anific.) Compofttion 8c différentes grandeurs
de ces jets. V l l l . 347- a.
J et , (Rr.jTrnO VIII. 3^7-/. . , ,
Jets , {Fonderie) tuyaux de cire que Ion pofe fur une
figure après que la cire a été réparée, 8c q u i, étant tondus
dans le moule de terre , laiffent dans le moule repofé des
canaux. Trois différens ufages de ces canaux. Forme 8c
groffeur qu’on donne à ces tuyaux. VIII. 327. A
* Jet , ( Fond, de caraü. d'impnm.) deux pieces du moule a
fondre les carafteres qui forment enfemble le jet. VII I. 527. b.
Jet de moule , ( Monnaie ) aélion de verfer le métal dans
les moules. Maniéré de jetter l 'o r , l'argent & le cuivre. VIII.
P ico t, ou Rets traverfant , {Pèche) mots en ufage
dans le reffort de l’amirauté d’Abbeville. Defeription de ce
rets. VIII. 3 27. b. Maniéré de s'en fervir fur la Somme. Autre
filet du même nom qui différé peu du coleret. Son ufage.
'^^‘fE T^\ jtirifvr.) Sur mer fe dit lorfque, pour foulager le
na vire , on eft obligé de jetter une partie de fa charge. On
entend aufii par ;e r, la contribution que chacun des intéreffés
doit fupporter pour le jet qui a été fait en mer. Avis que
le maître doit recueillir avant de jetter. Choix à faire dans
les chofes qu’on doit jetter les premieres. Déclaration que
le maître doit faire enfuite devant le juge. Autres maximes
de jurifprudence établies fur ce fujet. VIII. 328. a.
Jet, origine du droit de jet. IX. 173. Loi rhodia , de jaèlii.
668. b,
JETÎJEUCU , {So ta n.) plante du Bréfil. Son ufage en
médecine. Ufage qu’en font les Portugais. VIII. 328. b.
JE T T É , {D a nfe) pas qui ne fait que partie d’un autre,
Maniéré de l’exécuter en avant. VIII. 528. b.
J E U Jettes en chassé , ( Danfe ) maniéré de former ces pasf
VIII, 328.
JE T T É E , {Archit. mark.) digue ou muraille qu’on fait
dans la mer. Diverfes utilités des jettées. La tète des jettées
eft fouvent fortifiée d’une batterie. VIII. 329. a.
Jettées , que l’on conftrult ordinairement dans les villes
maritimes. III. 482. a. Voye^ Levée. IX. 438. a.
JE T T E R , ( Marine) Différentes fignlfications de ce terme.
Jetter deliors le fond du hunier. Jetter du blé à la bande.
Jetter un v.ailTcau fur des roches ou à la côte. Peines infligées
au pilote qui échoue par ignorance. VIII. 529. a.
Jetter en soie, {Boutonn.) VIII. 329. a.
Jetter l'o r , targent ou U cuivre en lames, {Monn.) Comment
fe fait cette opération. Suppl. III. 330. b.
Jetter les figures de plomb, {Fonderie) Maniéré de préparer
le moule , 8c de couler enfuite le plomb. V IIL
329. b.
Jetter U plomb fur to ile, {Plombier) La maniéré en eft
décrite à l’article Plombier. Elle eft défendue en général, à
'exception de certains ouvrages. Les fadeurs d’orgue jettent
fur toile l'étain, &c. VII I. 529. b.
Jetter en sable, {Fond.) VIII. 329. b.
Jetter les draperies , {Peint. 6* Sculpt.) A rt avec lequel
elles doivent être jettées. VIII. 329. b.
Jetter sur la piece , {Potier d'étain) Jetter une anfe
en moule fur un pot à vin ou à l’e a u , ou autre piece à qui
faut en joindre une autre. Maniéré de l’exécuter. VII I.
529. b.
J E T T O N , {Litt. anc. é- mod.) tout ce qui fervoit chez
les anciens à faire des calculs fans é criture, comme petites
pierres , noyaux , coquillages , 8'c. Antiquité de l’ufage de
cette forte de jettons. Comment les Egyptiens, les G r e c s ,
8c les Romains l’ont pratiqué. VIII. 330. a. Expreffions proverbiales
qui prouvent que la maniéré de calculer avec des
jettons, étoit très-ordinaire chez ces derniers. C ’étoic la premiere
arithmétique qu’on apprenoit aux enfans. Comment
on appelloit ceux qui l’enfeignoient. Titre qu’on donnoit au
maître de cet art qui étoit engagé 8c demeuroit dans une
maifon confidérable. Ufage des pierres blanches 8c noires.
Marques de valeur imprimées fur les jettons. Jettons employés
pour les fuffrages. Lettres gravées fur ces jettons.
Autre efpece de bulletins pour décider du rang auquel les
athletes dévoient combattre. Ibid. b. Origine de nos jettons
modernes. Noms qu’on leur donna dans leur origine. Infcrip-
tions des plus anciens. Jettons diftribués aux officiers de la
maifon du r o i , qui étoient chargés des états des comptes.
Comment s’exprimoit la nature de ces comptes dans les légendes.
Autres légendes que portoient ces jettons. Multiplication
des jettons : leur ufage devenu fréquent & introduit dans les
états voifins de la France. Ils commencèrent à être employés
au jeu dans le dernier fiecle. Diftribution qui s’en fait dans
le royaume. Ibid. 331. ci. Parole de Charron fur les fujet^
des ro is , comparés aux jettons. Ibid. b.
Jettons, ( Monnaie) Origine de leur ufage en Angleterre.
Leur ancienneté en France. Différentes maniérés dont ils
ont été fabriqués. Hiftoire de la fabrication des monnoies dans
ce royaume. Suppl. III. 530. b.
7« ton i, calcul aux jettons. II. 343. b. jettons dont on fe
fervoit pour calculer 8c pour les fuftrages. X llI . 539. é. Tours
d’adrefle avec les jettons. X V I . 464. a , b.
Jetton , ( Fond, decaraèl. d’Imprim.) infiniment de cet
art. Sa defeription 8c fon ufage. VIII. 331. b.
JEU , {Droit nat. & Morale. ) Dans les jeux qui paffenc
pour être de pure habileté, le hazard même y entre pour
quelque chofe. D e toute antiquité, les hommes ont cherché
à fe récréer par les jeux , 8c ils ne furent bannis anciennement
que de la feule Lacédémone. Anecdote fur Chilon le Lacédémonien
envoyé pour traiter alliance avec les Corinthiens.
Excès du jeu dans lequel les Romains tombèrent, 8c
dont Juvenal fe plaint vivement. VIII. 331. b. Paftîon des
Germains pour ces mêmes amufemens. Quelles font les
caufes de ce puiffant attrait des jeux de hazard pour certaines
perfonnes. Le jeu dans lequel les conditions font égales
pour tous les joueurs , eft permis félon le droit naturel.
Ibid. 332. b. Excès prefque inévitables qui le font condamner.
Droits du fouverain pour les prévenir. Traité des jeux
par M. Barbeyrac. Utilité d’un jeu modère. Ibid, b.
Jeu , éloge des jeux par le P. Meiieftrier : leur diftribution
en trois claffes. II. 7 1 1 . b. Caufes qui font que le jeu
nqus plaît. V IL 764. b. 763. <*• Des promeffes 8c obligations
faites pour argent du jeu. IV. 124. a.
Jeu de hasard. Caufe de l’attrait des jeux de hazard. IV .
630. a. 647. b. V II . 764. b. Réflexions fur la paffion pour
c à u i de breland. II. 411- b. Conftdérarions qu’il faudroit
faire entrer dans les problèmes concernant les jeux , pour
rendre leurs folutions plus complettes. IV . 313. b. Analyfe
des jeux de hazard. VIII. 883. a , b. &c. Du pair 8c impair
dans ces jeux. XI. 734. h. O u v r é e s fur les jeux de hazard.
X V . 143. b. XVII . 363. a , b. Chances ou hazards du jeu
de
J E U J E U de tvifck calculés par quelques mathématiciens. 609. a , h.
— Sur les jeux de hazard, l’article DÉ.
Jeux U n.iture, {Anat. Phyjiolog.) dans le corps humain.
Utilité deconnoitre ces fingularitcs. V lII , 332. fi. Huit
exemples de divers jeux do la nature , tant à l’extérieur qu’à
rinrériciir du corps luimain. Ibid. 333- Exemples dos jeux
do la nature qui peuvent être utiles dans la pratique. Ob-
fervations générales : pourquoi il arrive quelquefois que dans
la même perfonne une partie n’eft point cxaélement fom-
blable à la partie c o r r e f p o n d a n t c . 335.
Jeux de l.i nature, 6’ monflres. {Anat'. Phyfiol. ) Définition
des monftres. Dos diftbnnités de la peau. La couleur d’un en-
fantpeut être extraordinaire. On en a vu de blancs ,nés d’uno
mere noire ou brime. Enfans nés velus. Enfant qui paroiflbit
avoir du poil de biche fur une bonne partie de fon corps. Peau
écailleufe. Cornes au front. Monftruofités dans la grandeur
de la taille, en excès Sc en défaut. Accroiffoniens extraordinaires
dans quelques parties du corps de l’animal. Suppl. III.
331. il. Différentes formes fingulieres , caufoes par certaines
accumulations locales de la gelée qui fe trouve naturellement
Ibus la peau de l’embryon. Fccuis qui parvenus à leur
plein accroiffemenc, n’ont eu pour cacher le coe u r , les in-
reilins , le cerveau , qu’une Ample membrane. Jeux de la
nature dans les vertébrés : dans le diaphragme. Déplacemens
extraordinaires dans la fituation des parties. Ibid. b. Exemples
de changemens dans la llruilure des os Sc dos vifeeres.
Foetus finguliérement monftnieux. Becs de lievre. Agneau
cy c lo p e, dont la mâchoire inférieure, mal coniiruite, n’a-
voit pas d’articulation avec l’os des tempes. Foetus qui avoit
deux veines ombilicales fans fo ie , dont le coeur n’avoic qu’un
ventricule fans aorte, en qui plufieurs vifeeres manquoient,
Ôc dont les inreftins étoient irrégulièrement conftruits. D iverfes
monftruofités dans la tête d’un foetus diffequé à Prague.
Ibid. 3 32. J. Enfans qui naiffentavec des parties fuper-
fiues Sc furnumératres. Exemples de deux uterus. Foetus mis
au jour avec une partie, 8c plufieurs parties meme de moins.
Foetus nés fans tète , fans coeur. Exemples de continuité de
parties interrompue. Ibid. b. Et de parties réunies contre
l’ordre naturel. Exemples de cyclopcs. Jeux de la nature
dans les reins. Ibid. 333. a. Monftres donc la tête eft femi-
double, 8c dont les deux têtes paroiffenc confondues pour
n’en faire qu’une. Animaux qui avoienc des jambes ou des
pics fuperflus. Exemples de foetus ,r i:n de la claffe des animaux
, l’autre de l’efpcce humaine, qui n’ayam qu’une tête
, ont eu le refte du corps , la poitrine, le bas-ventre 8c
les extrémités doubles, Ibid. b. Efjteces de foetus entés l’un
fur l’autre. Foetus à deux têtes. Ibid. 334. b. Foetps à deux
têtes 8c quatre mains. Foetus à deux têtes 8c trois piès. Foe tus
à deux têtes , quatre bras 8c quatre pies. Ibid. 333. a.
Les animaux à fang-froid fujets aux mêmes écarts dans leur
ftrufttire. Exemples de plufieurs foetus réunis 8c comme
fondus enfemble. Ibid. b. Jeux de la nature 8c monftruofi-
lés dans les plantes. Syjlcme fur la formation des monflres.
Le premier eft celui des caufes accidentelles. Démocrite a
le premier explique les monftres compofés par la réunion
des fomences parvenues à des tems inégaux dans la matrice
8c confondues. Ibid. 3 36. a. Le fécond fyltême admet les caufes
accidentelles , mais il en rccomioit d’autres , qui paroiffenc
au-deffus de la puiffance des accidens, 8c qui ne peuvent
provenir que d’une ftruélure primitive difl'érente de
la ftruîtiire ordinaire. Explications des monftruofités rapportées
ci-deffiis : application des fyftcmes aux cas particuliers.
Caufes qui influent fur la couleur 8c fur la grandeur. D ’oii
peut venir le défaut des tégumens du crâne , de la poitrine,
du bas-ventre. D ’où vient le changement'dans la
fituation des parties. Caufes qui en altèrent la figure. Ibid,
b. D e la multiplication de certaines parties. Comment quelques
parties ont pu être détruites. jJes foetus formés de la
réunion de deux embryons. Ibid. 337. a. Examen des différences
ftruélures qui peuvent avoir été formées par la
réunion de deux corps. D e celle des reins. Des foetus
dont la tète eft demi-double. Ibid. b. Des foetus à deux tètes
parfaites avec un corps unique. Ibid. 358. a. Des enfans
qui portent un foetus imparfait forçant de l'cpigaftre.
Des foetus qui fe rencontrent par leurs baftîns oppofés ruii
à l’autre. D e la claffe des foetus à deux têtes , à quatre mains
8c à quatre pies. Obfervation fur les moiiftriiolicés des
animaux à fang froid qtii fait rejetier tour foupçon de l’imagination
fur la formation des monftres. Ibid. b.
Jeux Je U r..:tiire. Accroiffemens qui fe font quelquefois
dans le foetus contre l'ordre de la nature. 5upp/. 1. 133. b.
Accroiiïcinens (jtie prend quelquefois une portion du placenta
, fans foetus 8c fans ariere : exemple de foetus fans
coeur. 134. ,1. Enfancemens contre nature. Î.84. a , b. Enfans
nés fans cerveau, il. 864. b. X. 608. a. Jeux de la nature fur
le coeur. III. 364. a , b. bur le nombre de.s côtes. IV. 32a.
a ,b. Sur celui des doigts. V . 14. b. Sttr la véficule du fiel.
VI. 718. a. Sur le foie. VII. 31. a. Le fondement. 77. a,
b. Les finus fronraux. 240. a. Le eland. 700. b. Eufans nés
Tome II.
17
fitns langue ; autres nés avec deux langues. IX. 2.;7. a Jeux
de la nature j-ar rapport aux mains. S74. a. Sur le nombre
des maïuniclies. X. 4. a. Sur les muffles, 888. .? , b. 889. b.
Sur les nerfs. XI. jo i . é, 102. a. Foetus né l'.ms ycti.x. 388./;!
a. Autres parties dans lefqticlles la nature s'eft montrée
irrégulière: le cordonombical.XI.459., j , L e s ongles. 470.
a. Suppl. IV, 130. n. L’organe de l’ouic, XL 618. b. Les
pnupicres.XIl. 206. b. Les poumons. X lll. 241, a. La rate
281. L Les reins. X IV . 43, .7, b. Suppl. IV. 398. L Les
parues fexuclles, voyq Hermaphrodite. Les vaiffeaux
fpermatlques, X V . 450. i . Lesfiiuis de l’os fphénoide. 432.
b. Le ftertuim, 313, m Le canal thorachiqiie. XVI. 207. Z-
Les tefttcules. 196. Les trous du crâne. 7:0. b. L .s
uretcrcs,XVIÏ. 491. b , 8c l’iiretre. 494. Poy..r Larti-
cle Monstre.
Jeux de la nature, obfetvés dans les oeufs de poule. XI
406. a , b.
Jeux de la nature. {Litholog.) Pierres qui ont pris par
divers accidens qu’on ignore une forme étrangère au rc^ue
minéral. Ces pierres ne different point dans leur effuice des
pierres ordinaires. Elles doivent beaucoup à l’imagination des
curieux qui les poffedenr. Pierres ou marbres de Florcnte.
VIII. 533. a. Pierre fingulicrc dont parle Briickmann. Deux
agathes remarqtiables dans le cabinet d’Upfal. Jeux de la
nature contrefaits par l’art. On ne doit point confondre avee
les jeux de la nature les pierres qui doivent leurs figures
à des caufes connues , ni les corps que la nature produit
toujours fous une forme coiiflame 8c cléierminée. Ibid, b.—
PlERRFl-IGUUÉES. V I .yB z . />. b-c.
Jeux de mots, {(yramm.) Quelle eft la veritable place
des jeux de mots quand ils font fpiriuiels. Eloge de M.
Deftouches, fondé fur un jeu de mots, pai'iM. de Voltaire.
Cas oîilcs jeux de mots font déplacés. V l l l . 333. Z>. Le mauvais
goût des jetix de mots tient à l’amour d e là frivolité,
de la plaifanterie 6c du ridicule. Ibid. 336. a.
Jeu de mots. XII. 77. a. 876. a , b. Suppl. III, 366. a , h.
Jeux de mots que le.s anciens fe permettoienc dans le récit
des faits hiftoriques. VIII. dans leurs étymologies.
Ibid. Jeux tic mors en kalembmirs. Suppl. III. 683. b. Voyez
auffi les articles Pointe , Équivoque.
Jeux {Amiq. grccq. 6’ loni.) La religion confacraccs fortes
de fpeélacles. Les jeux publics des Grecs divifés en gymniques
8c en feeniques. Comment les juges étoient placés
en diftribuanc les prix. Quels étoient les quatre jeux folcm-
nels des Grecs. VIII, 336. a. Couronnes criierbcs qu'on dlftri-
buoic aux vainqueurs. La gloire feule étoit le but des com-
battans. Autres jeux paffagers qu’on célébroir clans la Grece.
Des jeux Romains. On les diftingua par le lieu où ils étoient
célébrés, ou par la qualité du dieu auquel ils étoient déclics.
Magiftrats qui régloient les jeux. Inftitutions des grands jeux
appcllés ludi maximi. Jeux infticués pour honorer les dieux
infernaux. Ibid. b. En quoi confiftoient les jeux fcéniques.
Jeux qui n’avoient point de tems marqué. Jeux féculaires.
Jeux aéliaques, auguftaiix , néroniens, & c . Les Romains
devenus maures du monde accordèrent des jeux à la plupart
des villes qui en demandèrent. Magnificence dans les
jeux donnés par les édiles. Certe magnificence furpaffée par
Céfar. Lifte des principaux jeux célébrés citez les anciens.
Ibid. 337. <7.
Jeux publics des anciens. Q uel étoit le principal but
des jeux célébrés chez les Grecs. VI. 243. b , 8c chez les
Romains. XII. 317. a. Dans quel Jntt les anciens propo-
foient des prix pour ceux qui s’y dillinguolent. VI. 244. b.
Les Ecrufqucs introduifirent les jeux dans leur culte. Suppl.
IL 899. b. Les jeux publics font un moyen dont le légifta-
teur doit fe fervir pour unir les citoyens. IX. 361. b. Cinq
exercices qui compofoient les jeux des anciens. XII. 317. .7.
Combat qu’ils cêlébroient. III. 663. a. Tems oîi l’on ne couronna
plus que ceux qui le diftinguoient dans les cinq fortes
d’exercices qui compofoient le pentathle. IV. 1031. b. Des
combats de la lutte. IX. 737. b— j6 o. a. Coureurs dans les
jeux, IV. 934. b. Difcoboles diez les Grecs. 1031. b. Cour-
fes des chars. XIII. 642. a , b. Jeux qui confiftoient en cour-
fes de chevaux. IV . 397. b. Faélions des combatrans dans
les jeux du cirque. V L 360. a , h. Des préfidens. I. zSi. a.
VIII. 106. <1. Officier nommé brabenthe chez les Grec s, qui
préfidoit aux jeux folemnels, 8c fur-tout aux jeux facrés.
II. 390. a. Hérauts employés dans les jeux athlétiques. VIIL
143. b. Huiffiers qui puniffoient ceux qui contrevenoient à
la police des jeux chez les Grecs. X. 183. a , b. Médailles
qui avoient rapport aux jeux publics.247. b. U paroîc que les
jeux facrés furent beaucoup plus profanés par les Grecs que
par les Romains. XIV. 87. b. 88. a. Figure fymholique des
jeux publics. XV. 735. b. — Sur les jeu x , Combat,
Exercice, Fête, Spectacle.
Jeux augu^aux. {A n ’ iq. 1 •«»,.) VIII. 537. l.
Jeux c.imicns , {Anuq. grecq.)Eèx.c célébrée à Sparte en
l’honneur d’Apollon. Origine de cette fête. Sa defeription.
Affront qucTimothée y reçut pour avoir introduit dans la mu