1 1
I
’ i'll* •
1 iilllh,*
iiii %.
Ih ’- IWH1
r' s' ^ 1.
m 'ilH'
' M If'
' ,v
f l I1f ill'
ïi f i
l1 'IJ
'1J ’
i 1 ;; '1 :
i l
n
4 5 2 P I S
Saxe. Avantage quelle tire de fa navigation de l’Elbe. Di-
verfes confiderations qui la rendent remarquable. Son bailliage.
Suppl. IV. 348. b.
P IRO G U E , bâtiment de mer des Camibes & antres fau-
vages. Deieription de ce bâtiment Sc de fes parties. XII.
654. l>.
Pirogue^ voye:^ C a n ot . Piece d’une pirogue fur laquelle
les Caraïbes repréfenrem la figure de leurs idoles. XI.
a. Rame de pirogue. 744. b. Bois dont les Indiens font leurs
pirogues. Suppl. *1. 44S. j , 770. b.
P lR O N , ( ) épitaplie de ce poete. XII. 122. <j , b.
P IR O U E T T E , {Manège.) vol. V i l. des plancli. Manege
, pl. 8.
P ir o u e t t e , ( Horhg. ) efpcce de pendule. VIII. 304. a.
Pir o u e t t e , [Da nfe ) pas qui fe fait en place. Maniéré
de l’exilcuter. XII. 653. u.
PISA , ( Géagr. )v ille du Peloponncfc dansl’Elide. Sa def-
trudlion. Origine de la ville d’Olympie. Célébrité qu'elle acquit.
Obfcrvacion fur la ville de Pife dans l’Étruiic. Suppl.
IV. 384. é. PiSE.
P ISÆ , ( Giogr. itne. ) ville d’Italie dans l'Etrurie. Scs fondateurs.
Cette ville autrefois nommée Alphee. Elle eut le titre
de colonie romaine. XII. 6<ç. b. Keyc? PisE.
PISAN , ( Thùmjs ) aftrologue. XVII . y. b.
PiSAN , ( ChrijUne ) fille du précédent. X V ll. 9. b.
P ISAN I , ( fculptcur. X IV . 831.^.
PISA Y , Pijey, P i ß , ( Archil.) defeription de la manière
de bâtir en pifé. Suppl. IV . 'i84. b. Ouvrage à con-
fuiter. Jbid. 383. a. " ^
P IS C A D O R E S , ißes, {Geogr.) VIII. 924. .j.
( Gt'ugr.) villes des Gaules. Suppl. IV. iz . a.
^ PISCINA , ( Geogr. ) bourgade du royaume de Naples ,
où naquit Jules Mazarini, qui devint cardinal, & premier
miniflre d’état en France. Obfervations de i\l. de Voltaire
fur le minillere de ce cardinal. Parallele de ce minlllrc Sc
du cardinal de Ricbclicu. XII. 636. u.
P ISC IN E , {N iß . anc.) grand baÛln oii la jcunciTe R o maine
apprenoit à nager. Origine du mot pi/ciue. XII. 656. j .
VlSCl^^£ probaii^ue , ( Hiji. J.i.r.) rélervoir d’eau |jroclie
le temple de Salomon. XII. 636. u. l’’ourquoi on l’appel-
loit ptubaiique. Relations de quelques voyageurs fur l’état
préfent de cette pifeine. Ibid. b.
Pijcine , chez les Turcs ; bafTin au milieu de la cour d’une
mofquée. Sa forme & fon iifage. XII. 636. b.
PtSC IOTA y ( Gtügr. ) autrefois Yelcia , v ille de la Lucanie.
X VI. 878. J.
_ PISCO , ( Geogr. ) ville du Pérou , bâtie après qu'une autre
vi'le^ célébré , ficuée à peii-près dans le même lien , eut été
ruinée par un tremblement do terre, en 1682, Habirans de
Pifeo. l'crtilité de fes campagnes. Rade de Pifeo. XII. 636, b.
P ISE, {Geogr.) ville d'Italie fur l’A rno , autrefois caj)i-
tale d’une république fameufe. Pvévoliitions de cette ville. Sa
dépopulation. Obfervatio.ns liir ce qu’elle a de remarquable.
XII. 636. b. Ouvrages à confulrcr. Parmi les gens de lettres
nés .à Pile , 011 difliiigue particuliérement-4,lbizzi ou Barthc- 1cmi de Pile. Ecrit fmgulicr de ce francilcaiii, intitulé con-
jormiüs de U vu de S. François avec celle de Jefus-Chriß. Ré-
compenfe que cet ouvrage lui procura. Son manuferit con-
fervé précieufemcnt. Eduious de ce fameux ouvrage. Refutations
qui en furent faites. Ibid. 6^7. .1. Quelques auteurs
francifeams fentam le tort que cet ouvrage leur faifoit, ont
tâché de le fupprimer , ou ne l’ont produit de tems en
tems, tpie fous quelque nouvelle face. Itifcription que le P.
le Franc fit graver au haut du frontifpice du portail des C ordeliers
de Rhciiiis. Suite des réflexions fur Barihclcmi de
Vifc.IbiJ. b. Voyeç^ PiSÆ.
PiSE , (Gcegr. ) ville d'Italie fur l’Arno. Sa population.
Son origine. Autours qui en ont parlé. Ses révolutions. Ce
qu’elle offre de remarquable. Hommes célébrés nés dans
cette v]\\c. Suppl. IV . 383. a. Voyei P i s a .
Pij'c. Obfervations fur f i cathédrale. Suppl. I. 339. a.
Difpofition fmguüerc du cloclier de cette ville. III. 343. a.
Defeription du combat qui fe pratique à la S. Antoine, fur
le pont de Pife. 663. a. Temple des douze grands dieux dans
cette ville. IV . 33. V iao iie s des Génois fur les Pifans.
VII. 37d. .7.
P ISÆ U S , ( .PfyMo/. ) fiirnom de Jupiter, que les Piféens
d’Llide lui donnoient , en reconnoilTance de la protection
qu’il leur aveit accordée. XII. 637. b.
P IS ISTR AT E , {H iß . anc.) tyran d’Athenes. 5.ïjcp/. IV,
383. a. Principaux èvénemens de fa vie. Ibid. b.
Pißßrate : obfervations fur ce tyran d’Athenes. Suppl. I.
^>70. a. 673. b. Rufe par laquelle il s’empara de la fouverai-
neté dans Athènes. VIII. to i. b. Bibliothèque qu’il fonda.
IL 230. b. Nous lui fommes redcvablcsdcs noéfies d’Homere
X!I. S i—, a. X IV. 244. b.
P ISQU ET : ( Ichthy.) efpece de poilTon. X VI. 338. E
PISSEMENT Je f.ingy {Médec.) en quel cas il efl falutaire
Ä facile à arrêter p.tr la faignée. PUTement de fang daiigc-
P I T
reiix. Dlfférens traltemens de cette maladie , félon les ca«-
fes dont elle dépend. Accidens que peut canfer la concrétion
du fang. X ll. 638. b.
Pijfcrneiu de fang ; fos caufcs, fes remedes. XIV. 46. b.
47. À. 6 1 3 . . : , b. XVII . 498. b. 310. b. Comment il peut
caufer une fuppreflîon d’urine. XVII . 207. b.
P issement Je jang. {Maréeh.) Suppl. III. 422. a.
Pifemeni de poils : piffement de pus. XVII. 3 1 2 .^ , b.
PISSENL IT, {B o:.vi.) principale efpcce du genre de
plante, nommé dent Je lion. Sa defeription. XII. 658. b.
P iss en l it , {Mat. medic.) fes verms femblables à celles
de la chicorée fauvage. X ll.6 3 9 . f'Gy c C h ic o r é e Sa u -
VAGE.
P IS T A CH E , {Bûtan.) fruit du piflncliier. X ll. 639. a.
Defeription de ce fruit. Doux fortes de pifiaches, fa y o lr ,
les grandes Si les petites. Ces dernicres font moins connues.
Par qui les pifiaches furent apportées en Italie. Ibid. b.
P ist a c h e . ( Bot. c.vur. ) Fruit des Indes occidentales , improprement
appelle piflache. X. 48. a.
P ist a c h e . {Confij.) XII. 639. h.
PISTAC.HIER, {B o u n .) fes noms en botanique. Defeription
de cet arbre XII. 639. b. Lieux où il croit. Diftinélion
du pillachier mâle , Sc du piüachier femelle. Maniéré de féconder
les piftacliiers femelles, lorfque ceux-ci font éloignés
des mâles. X ll. 660. a.
Pist a c h ie r , {Bot. Jardin.) nom de cct arbre en différentes
langues. Son caraélere générique. Suppl. IV . 385. b.
Enumération de neuf efpccos de pillachiers , Iciiiifques Sc
térébinthes. Liuix où elles croiffem. Leur defeription , cultu-
ture , qu.ilités Sc ulages. Ibid. 386. a.
Pifachier. Defeription de cet arbre , & du piflacbier ù
trois feuilles. X V I . 131. i. 132, a. Faux piffachicr. XI. 127.
b. 128. a. Suppl. IV. 828. b.
P IST IL , {Büc.in.) ciym. de ce mot. Malpiglii a nommé
cette partie de la fleur j'iylus. Le pifiil eff l’organe femelle de
la génération dans les fleurs. Defeription de fes parties. XII.
660. b.
P ifiil3 des fleurs. Suppl. IV. 787. b. Différence entre le
flylc Sc le pifiil. X V . 320. a. Formation 6c iifage du pifiil.
-W I . 962. a. Sa defeription pour recevoir la pouflïere des
étamines : les plantes devenues flériles par la feélion de cet
organe. X ll. 714- b.
P lb T O IE , {Géogr.) ville d'Italie, autrefois république.
Sa fuuation. Obfervations fur quelques hommes difiingués,
natifs de cette ville. Fr.-mçois Bracciolini, poète. Fécondité
do fa veine. Sinus, jurifconfulte. Clément IX. pape ; caiife
de fa mort. X ll. 660. b.
P ISTO LE , {Monn.) ce mot défignc le plus fbuventunc
foinme do dix livres. Origine de cet ufage. X ll. 661. a.
PISTOLET . {Ann e ) Origine de cette arme &. de fon
nom. Troupes qui en ont fait ufage en France. X ll. 661- a.
Pifiolct ,! rouet. Origine de cette arme : fa defeription : fon
ufage. I. 702. b. X IV . 397. a.
l 'I S T C R , {Mythol.S furnom donné à Jupiter. Origine de
ce furnom. X ll. C61. a.
P iS TO R IU S , (A u / i) X V IL 4 1 t. a.
P IT A N C E , ( Term, nio/iajliq.) portion de chaque reiigicu.x
pour fon repas. Etym. de ce mot. C e t ufage pris des Romains
, qui tiroient des greniers publics la fubfifi.ince de leurs
fohlats. Billet donné h ces foldats, par lequel ils obtcnoienc
la portion qui leur étoit duo. XII. 661. b.
r l lA N E , {Geogr, une.) i^. ville de l’A fic mineure. 2".
lieu de la Laconie ; c’éioit un quartier ou un fauxbourg do
Lacédémone. La premiere eglife des chrétiens à Lacédémone
, fut bâtie dans cc lieu, ftlénélas y avoir reçu la naiffance.
XII. 661. b. Ruine de Piiane. Vignoble près de ce lieu. 3".
Ville de l’Eolide , voifinc d e laT ro a d e , célèbre jiar la naiffance
d’A rcéfilas, fondateur do la moyenne academie. Ma-
iiieTC dcllc.ite dont il exerçoit la générofué. Scs dogmes contraires
à la morale qu’il pratiquoit. Il foiiffroic la douleur en
Stoïcien. Penfée de ce philofophe fur la mort. Ouvrages à
confiiltcr. Ibi./. 66z. a.
Pi 1 A N G U A G U A C U , ( OmitA.) oifeau du Brefil ; fa def-
cription. XII. 662.
P IT A O , {M:d.
I. 792. b.
) maladie endémique du Malabar. Suppl.
P l l CA IRN , ( Archibald) anatomifle, Suppl. I. 402. b. Sc
phyfiologifie. Suppl. IV. 334. a.
P IT E , {B o t.) efpcce de chanvre d’Amérique. Plante qui
le fournil. Ufage que font les Indiens du lil qu’ils tirent de
de fes feuilles. XII. 662. a.
PiTE. ( Mo/in. ) X ll. 662. b.
P ITH E A S, altronomc. X. 137. b.
P IT H O , {M y th .) voyfçSuADA, déeffe de la perfuafion.
Son cuite établi par Thefée. Chapelle ciu’Hipennencfirc lui
détiia. XII. 662. b.
P ITH OM , {Gèo^. anc.) ville d'Eg ypte , l’une des deux
que Pharaon fit bâtir par les defceiidans de Jacob, & que
ivl.ü'sham croit être la ville de Pelufe. Lo nom de Pitliom filt
allulion
P I V
allufion à celui de Typlion. Pourquoi la ville de Typhon fut
apijcllée Nome Sétroïie. X ll. 662. b.
PITHOU. {Pierre) IX. 475. XVI. 720. a , b.
PlTHOU. {François) XVI. 720. a , b.
PITIÉ. { Morale) Il n’eft pas vrai que ce fentiment doive
fon origine à un retour fur nous-mêmes, excité par la vue
des maux du prochain. X ll. 66z. b. Rien ne fait tant d’honneur
a rhumanité, que ce généreux fentiment. Eloge qu’il
mcriie. Secours que nous devons aux malheureux. Ibid. 663.
a . — Fùyrî C om pa s s ion .
Pjt ié , {Po ifi dram.) comment le poète tragique parvient
.U’cxciter. X V I. 318. A 321. i.
PITISCUS. {Samuel) XVII. 34S. b.
P n O N , {Horlog.) Defeription des pitons d’une montre.
XII. 663. U.
Piton, terme de femirier, XII. 663. a. de marine, d’im-
• prinierie ôc de foicrie. Ibid. b.
P ito ns , ( Géogr. ) hantes montagnes dans les ifies Antilles.
Defeription de ces montagnes. Pitons les plus renommés.
XII. 663./.. ‘
P it o n , fon ouvrage fur la manoeuvre des vaiffeaux. X.
49. a.
P ITO Y A B LE ; deux fignifications de ce mot ; deux fortes
de pitié. X ll. 663. b.
P ITR E , nom d’im brillant du rnl de France repréfenté,
vol. VIII. des pianch. Orfevre-Jouaillicr, pl. i.
P IT T A C U S , l’un des fept fages de la (ji'cce. VIII. 909.
b. X. 926. a y h.
P IT TO R E SQ U E , compofition. ( PG/n. ) Celle qui fait un
grand e f ic t , fiiivaiu riiueniion du peintre , 6c le but qu'il
s e fi propolé. Préceptes à obierver pour y parvenir. X ll.
664. a.
Pmorefque y compofition. III. 363. a. En quoi elle difiéic
de la compofition poétique. XI. 304. b. Vraifemblancc pit-
lorcfque. XVII . 484. b.
P I T , U IS CH , {Ichthyol.) nom liollanclois d’iin ])oifion
des Indes orientales. Sa defeription. Qualité de fa chair. X ll.
664. a.
P ITU IT A IR E , glande. ( Anatom. ) Glande dans le cerveau.
Sa defeription, fa iltuation , fon ulâge. Elle fe trouve dans
les quadrupèdes, les poiffons 6c les oifeaux. Maladie caufêe
- par ion obllriuffion. X ll. 664. a.
r k y glande y peux [Aexus de vaiffeaux qui l’entoure
dans certains animaux. X IV . 222. b.
Pit u it a ir e , membrane. {Anat. ) Defeription de cette membrane.
X ll. 664. a. Origine de fon nom. Lymphe qu’elle fé-
pare du fang artériel. Ànatomilles qui fe font appliqués à
découvrir la firuélurc de cette membrane. Petits vaiffeaux
artériels, 6c corps glanduleux dont elle efi parfemée. Comment
riuimeur muqueufe s’en fcpare. Ufage de cette humeur.
Ibid. b. Foyeiç M u c o sit É DU N ez. Deux fortes de fe-
crciicms 3 l’une artérielle, 6c l’autre glanduleufe. Comment
s’en tait l’écoulement. Moyen par lequel la nature a prévenu
le trop grand cpaiffiffemenc, 6c l’accumulation de cette liqueur
dans les fmus frontaux, tpliénoïdcs, maxillaires. Caufe
des polypes formés dans le nez. Diftércnce dans l’écoiile-
niont de la miicofité du nez en été 8c en hiver. Nerfs ol-
faffifs répandus par la membrane pituitaire. Ibid. 663. a.
^ Pituitaire y membrane. Suppl. IV . 13. ,7, Scs maladies. X.
Pituitaire , finus. Suppl. I. 439. a. Suppl. IV . 13. a.
.PITU ITE. {Mèdcc.) Définition générale de totite humeur
defignee par ce nom. X ll. 663. a. Caufes de la pituite. Effets
de la pituite retenue long-tems. Moyens à employer
pour éviter ces maux. Ibid. b. ^
Pituite y^ pourquoi l’on ne fent pas de faim quand les parois
de l’cfiomac font couvertes d’une pituite épaiile. VI. 37Ï- U. Pituite ou mucofité chinez. X. 84T. ,7, /-.Spécifique
contre la pituite épaifiîe dans le tillu veficiüaire des pou-
nions. X V . 443. a y b.
Pituite 7/ei-ye/7A.-, {Mc.lec.) vieille fluxion qui rend les
yciix tendres, chaflîeux 6c ronges. Remede preferitpar Hippocrate.
Explication d’un vers d’H orace, .à i’occafion de ce
<]ui vient d’êue dit fur la pituite des yeux. XII. 663 b
P ITU IT E U X , tempérament y voyeiç_ PilLEGMATlQUE.
P IT Y U S SÆ y {Géogr. anc.) ifies d’Efpagne dans la mer
Mediterranée. Origine de ce nom. XII. 666. a.
P IV E R T , {Ornith.) voyc{ P ic -V e r d .
. {Botan.) caraékrc de ce genre de plante.Xll.
666. U. Ses cfpcces. Defeription de la pivoine mâle commune.
Celle de la femelle. Ibid. b.
P iv o in e . {Mat. médic.) Pivoine mâle : fes propriétés. Elle
clt un des pliis anciens remedes de la médecine. Expérience
qiiavo itftitc Galien «le l’efficacité de cette plante, con trcl’c-
^leplie 1 cmoienages contimres .à cette prétendue expérience.
1. 666. / '.u fa ge qu’on fuit aujourd’hui de la racine de pi-
voine, (le fes faneuces ik do fes fleurs. Ibid. 667. t.
d'o ifeeu .ee yrj B o uvreu il.
ZoriT'// '''°'
P L A 453
Ictire manière de fiifpciulrc les portes. Poflcs du Pantiiéon à
Rome. X ll, 667. a.
PIVOT.S, {Horlog.) dcfiiiiiion. Force.s motrices dansl’hor-
logcnc. Force que les pivots cloivcnr avoir. Réfifiance qu’ils
éprouvent par le frottement. XII. 667. a. IÇ^pêrienccs furies
rotieineiis , par Icfqiidlcs on voit que le froitemem des
pivots de différens diamètres leur c il parfaiteinciu proponion-
nel. Ibid. b. Premieres expériences, d’où réfiilrc (|uc la force
exprimée parles différens dcgi-cs de tenfion doimée au re!-
lort Ipiral, doii_ être prife pour mie puiffance aélivc,cjui fert
1' '"'-'rA**’ ''^ '’ ■^'‘^nlement l’incriie du balancier, mais encore
refifiance qu’ap|iortc au mmivemciu du balancier le lïotic-
itient des piVots. Dans toutes ces expériences, ic nombre des
vibrations a toujours été fenfiblemeut proportionnel aux degrés
detenliondonnécàla pefite iiime. Ibid. 668. .7. Autres c.xpé-
neiices qui fervent à déterminer dans quoi rapjiort elt celte
l elifiance , fur des pivots de difi'ércns diamoties, l’inertie des
balanciers étant oxaélcment l.i mémo. ibtd. /•.Tableau d’otpé-
luonccs fuiyies a vec difiérens lialancicrs ,mais tous du poids de
cmquanre-lix grains , avec le même rofibrt fjùial, pai un mê-
nie degré^ de icnfion , l’axe étant bonzonial, auquel i auteur
a lubfiituü de pivots de difl'érens diamoties. Ibul. 669. a.
J/vüt; dos moyens de juirvenir à la porfoélion des pivots,
d en dimimier le frottemem. VU. 331, b. ixc. Pivoi uoo
338./>, Tigeron d’un |)ivot. XVI. 326. b. Moyen
d enipoclier que i'Iuiiie lies pivots no moine dans los pignons,
^ no s extravafe contre les roues. 327. .7. Bouchon dos nous
ues^ivots. Suppl. 11. 33. b. Limes à pivots, I.X. 338. b.
P ivot, terme do jariiiii.igc , d'imprimerie, ik do maïuifuc-
ture en foie. XII. 669, b.
P lZ A R ü , {François) caj)itaiiic Efiiagnol. XI. 32. b. Pillage
qu'il fit du temple de Fachacamac au Péiou. 733. b. P L
V L^ÇAGE. {Menuiferie) XII. 670. <7.
P l a c a g e par compartiment, { Ebénifl. ) difiinélion des
mcmiifiors, en iiiemiilicrs de placage, & niemiifiers d'affem-
blage. iMaticrcs que l’on emploie nu placage, Deux fortes de
placages ; ia vo ir , celui par cempariinient, 6c celui qu’on appelle
marqueterie ; on ne traite ici que du premier. Def-
ciiption de cc travail. XII. 670. a.
P L A C A R D , {Jurifpr.) afte c.xpcdié en placard. Ordonnances
des anciens fouvcralns de Flandres 6c de Brabant
appellees du nom de plac.irds. Diverfes obfervations fur ces
placards. XII. 670. b.
Vl k c a k d . {Affiche de Hollan.Ie) XII, 670. b.
Placards 6c réfolutions des états généraux. X IV . 180. b.
P l a c a r d . {Architefî.) Placard cintré , placard doublé
placard feint. XII. 670. b. *
Pl a c a r d , ( Imprim. ) en quoi il diffère de raftiche, XII.
671. a. A f f ic h e . .
P L A C C IU S , {Vincent) fes ouvrages. V ü l . 34, b.
P L A C E , Lieu, Endroit, (Synonym.) différence entre ces
mots. Différentes acceptions du mot place. X il. S-'i. a.
P l a c e , {Jurifpr.) dift'éremes fignifications de ce mot. X ll,
671. a.
/•'/ucrr monachalcs, Obfervations fur ces places. XII. 671. /•.
P lac e. (Archit.) Place publique. Defcripiion des places
publiques des Grecs. X ll. 671. b.
Pl a c e ; {en terme de guerre) [>lacc forte; place régulière;
place iiTcgulierc ; places d’aniics en forcificaiion ; places d’armes
dans line ville ou dans une gariiifou : forme qui convient
à celles-ci. X ll. 671. b. Obfervation fur leur graïulcur.
Place d’armes dans im fiege. Place d'armes particulières dans
une garnifon. Places d’armes dans un camp. Place d’armes
d’une troupe ou d’une compagnie ; fac e , fe u , tenaille de la
place , voyei ces mots. Place d'armes dans Je foiTé fcc ; place
d’armes du chemin cou v e r t; j)laces d’armes fiiillaiites; places
d’armes rentrantes : confiniéfion de celles-ci. Ibid, 671. a.
Place d'armes y des chemins-couverts, leur demi-gor«®.
IV. 8 1 1. É Places d’armes dans I’acratpic des places. iV ! 8” 3,
b. IX. 321. b. &c. Places rafâmes. VII. 693. b.
P lace fortifiée, Fortereffe, Fortification, {Archit. milit.)
pieces qui compofent une place fortifiée, felon la méthode '
des modernes. Différentes parties dont ces pieces font com-
pofées. XII. 672. b. Voyeç^ FORTERESSE.
Place fortifiée y voycç FORTERESSE. I^accs fortes où les Romains
mettoiciit garnifon. X llf. 239. a. D e l’art de fortifier
les places. VII. 19 1 .7 :, b. Flanquer une place. IV .
843. b. Gouverneur de la place, officier général qui a ic
commandement des troupes. VII. 792.77. Quelle doi't cira
la garnifon d’une place bien fortifiée. 317. b. Attaque 8t
défenfe d’une place , voye^ ces mots , 6c l’article Siege.
Affaut d’une place. I. 766. a. Répoufe à ceux qui fe plaignent
du peu de réfifiance des places. XV. 779. b. Il cfl dangereux
d’en multiplier le nombre fans néceffué. VII. 193, p
Avantages & inconvéniens d’un grand nombre de places
fortifiées dans un royaume. 317. b. Des places à attacmer
Y S t y y y
p'il
r i