.P
I M M povirr.i dire d'fux , <iii.md ils ne Icront plus. U'ul. 577. a. J'oyc^
A mi-, , ^ ~ , u i
Imm oiitaC-ITI^ , ( SLiJ'ûn ) buciîcr du pheni.x. Suppl. 111.
IMMORTELLE, ( Bouu.)C^ni^crcs de ce ponre de isl.in-
tc. Defcrlption. Lieux où elle croit. Scs propriété.s. V l l l .
577. Pourquoi on lui u donné le nom A imiiiortcUc. I)ivei.s
iilav’ e) qu’on eu a cirés pour rorneiiient. IhU. h. l'oyci Hcli-
CHKYSl'M.
I.MMUABLE, /ni. IX. 663../.
l.MMUNITE, {Jurifpi.) Pourquoi les Romains nppellc-
renr leurs oiTiccs publies muncra. Acception que retint ce mo t,
loifq a c CCS ollices commencèrent it être réputés onéreux.
Comment du mot munu.< s’cll formé en droit le mot immunh.is.
Exclues ])ar lel'quelles, Iclon les loix du digeOe , on peut
icxenipter des fonélions ]nibliques. Titres fur les immimités
contenus dans le code. V lll. 377- /’• Didercnces entre tr.in-
chii'es , libertés, orivilcgcs, exemptions Jk immunités. Immunité
figniilc q u e l q u e f o i s 'F . i r qui l’immunité doit être
acconîée. Immunité ])erfonucUe , imimmité réelle. Ciiaquc
ordre de l'état a les immunités. Des immunités accordées ou
à l'églilé en général , ou à certaines églil'es en particulier.
Ces immimités f'onV, ou attachées à l'edilice & aux biens
d’une églllé , ou .'i laperibnne des miniArcs qui la dellérvciu,
ou à 1.1' teille ipialité d’cceRiiaAitpies. La premiere elpece
d’immunité conlllle, 1". en ce i[ue les biens de régltlé font
hors du commerce ; Ib’ul. 57S. .t. 2". la prefeription des biens
d’églife ne peut être accpiité que par 40 ans i 3". cotte imnm-
nirè confillc en ce que les églU'cs font tenues en francbc'
numôno.On diiVniguc la pure-anindue de la tenure en ti anclie-
sumdae. Le droit d’afyle écoit une autre immunité des
églifes. Ce (boit d’al'ylc établi autrefois chez les Juifs & chez
les païens , ik aujornd’luii dans quelques villes d Allemagne ,
»laiis les pahiis des princes, &c. IbU. b. L'empereur Arcadins
fut le premier cpii entreprit d'abolir le droit d'ufyle des égU-
fes , à rinlligatiou d’Eutropc fou favori. Comment cette
aboruic.n devint fundle à Eiuro])e lui-même. Loi tic Tlioo-
«lorc le fcimc fur cette forte d’alylcs. Autre loi de l’empereur
Léon. Les évêques 6c. les moines étendirent cette immunité
à tous les bàtimens dépendans de l'églife. Les lieux laints font
eiîcmc des afylcs en Italie. Ibid. 37«;. a. En France , fous la
premiere race , l'afyle des églifes étoit un droit très-facré.
Lieux déj>endans de’ l'églife, qui pai ticipoient de l’immunité.
Droits des réfugiés dans ces afylcs. Capiuilancs de Qiai lema-
gne fur cette matière. Loix de Fhilippe-le-lM 6c de François l,
thr ces imimimtés. Des immunités qui appartiemiciu aux ecclé-
iiailiques , foit en corps , foit en partieulicr. Il ne faut pas
croire qu'elles l'oient de droit divin , ni que l églite loit dans
line indépendance nbfoltic de la piiilfance leciiLere. IbiJ. b.
C e qui s’obfcrvoii fous la loi de IVIoiïe par rapport aux mini-
Jlrcs de la religion. Pourquoi l.i tribu de Lévi ne payoit ]>oint
de redevance. Düêdriiio de Jefus-Chriil , des apôtres 6c de
queh-,ucs anciens doéicurs fur l.i dépendance do l’églife à
l ’égard du fouverain. Immunités dont les ecclcfiafti([ucs com-
menccrein à jouir Ions les empercuis chréùens , iousCon-
Aamin , ^'alcns , Honorius 6c JuAlnicn. Les papes 6c les
fonds de l’égtil'e de Rome ont été niinnaires îles empereurs
romains ou grecs jiil'qu’à la Im du hunicme licclc. Epoque ,
depuis laqiiellc les papes ont été exempts de tout tribut, Ibid.
380. -i. Des immunités ecclélialliqncs en France , dès les
premiers teins. Droit de glAc 6c de |)roairaiion que les ecclé-
fialliqiics dévoient à caul'e de leurs leries. Service militaire
auquel ils éroicin obligé-.. Secours d’argent qu'ils fournifl'oicnt
quelquefois pour les befoins extraordinaires de l’état. Exemptions
de dimes en faveur des egUios. Concédions qui leur
furent faites dn droit a â ifd e dîmes ; cependant elles ctoient
fujectes à certaines impofiiions dont quelques rois d’Aullralie .
exenipterent quelques-unes. Coniribution que Cliarles iMaricl
exigea des égliiés , pour récomi)cnler la noiilclTc qui lui
avüit aidé à combattre les Sarralms. Ibid. b. Tribut annuel
(lue les eccléfi.illiques payèrent au roi fous la fécondé race.
Commeiu 6c en quelle proportion ces contributions le fai-
foient. Lovée extraordinaiie de deniers Ions Charlcs le-Chaii-
ve. Emprunts que les rois faifoicuit quelquefois fur les fiefs
de l’églii'c. Les l'ubveniions i[ue le clergé a fournies dans la
fuite , lé irouvem expliquées aux mots Dc^imus 6c Don gr.i-
iitii. l'Jioits que k s ccdéfiafliqucs iraient. Charges dont ils
font exempts. JnrifdiéHon accordée à l’églife fur les membres,
Jurisdiction ccdcjïjlhquc. Ibid. 381. n. D es immimltés
accordées par les papes. Immunités pavticuheies à l’églife gallicane,
v e jf{ LiBHRTils. Sources auxquelles on peut recourir
fur cette matière. Ibid. b.
luimunihls. Des immunités ou e.xcniptions du clergé en
France. III. 328. 330. e. Leur origine. 771 . b. Congrégation
de l'iminimité ccclélia(VK|ue. 868. b. Imimmltés des ecclé-
fiadiques fous divers empereurs. V . 224. b. Seniimcnt des
Sociniens fur ces immunités. X VII . 393. h. Exemptions.
Immunité, {ITifl. grccc^.) celles que les villes grecques.
I M P &: fur-tout la ville d’Aihones accordoient à ceux qui avoient
rendu des fcrvices à l’état. Exemptions. Marques d’honneur.
Privileges accordés quchjucfois aux familles même de ceux
qu’on vouloir récoiiqicnfer. VUE 381. b.
IMOL.A , (frcogr, ) ville tl’lialie. Divers auteurs anciens
qui en parlent. Hilloire de ccctc ville. Le.s gens de lettres
qu’elle a piochiits loin Elanilniopoète,Taitagni )iirifconfulte,
Valfalva anatomilk. Ohlcrvaiions fur eux 6c fur leurs ouvrages.
V l l l . 381. b.
IMPAIR, {Anrhm.) tout impair eft terminé à la droite
par un chifl re impair. To ut impair devient pair par l’addition.
Comhinailbns d’im impair avec un autre nombre qiielconquc-
Propriétés que le caprice 6c la iuperfiition ont attrilniées
aux nombres impairs. ProgrcAion arithmétique appcUé fuiie
t / r r V l l l . 382. A tonte puillance luimériquc (l’une
racine 6c d’un expofant quelcoiuiucs, répond dans la fuite
générale des impair.s-, une fuite fnhaltcrnc des termes confé-
ciitifs, dont la fomnio efl cette puiAancc même. Démonftra-
tions. Corollaire : élever une racine quelconque à une puif-
iancc donnée. Ibid. h.
Ir/rp.iir, dos nombres impairs. XI. 203. <1.734. u. Du pair 6c
impair dans les jeux de hazard. 734. b- Nombre pairement iin-,
pair. 767. .7.
IM PALANC A, [Zoolop.) animal quadrupède d’Afrique.Sa
defeription. Propriété du bézoard qu’on en retire. V l l l . 383. b.
IMPAN A T E L R S , ( Théohp. ) pourquoi les luthériens ont
aiiifi été nommés. L’opinion des impanatcurs fut rcnouvel-
lée par Ofiandcr , 6c tomba pur fa .propre nbfmdité. V l l l ,
583. b. — royni AdESSENAIRES.
IM P AN A T IO N , veyi’3^ CONSUBSTANTIATION.
IMPANG A ZZA , ( Zool. ) animal quadrupède d’Afrique ,
auiTi appelle du nom de d-intc. Sa defeription. VIII. 383. b,
Ul'age que les Africains font de fa peau. Particularités fur
la challe de cet animal. Sa chair cfl lionne à manger. Différentes
couleurs des .animaux de cette efpcce. Ufage médicinal
(le leur moelle. Ibid. 384. a.
IMPA RD ON NA BLE , il n’y a point d’aélion impar(lonn.a-
blc devant l.)ieiii il y en a que les hommes ne pardonnent
jamais. Voyc^ IRRÉMISSIBLE.
IM P A R F A IT , rien d’imparfait dans la nature. Il n’y ;i
(rimpcrfeélion que dans l’art. Nous ne fommes pas dignes de
louer ni de blàmerrenfemblegénéraldcschofes. V l l l . 384.
Imparfait , ( Cnimm. ) tems du verbe. Il paroit cju’on n’a
eu encore que des notions vagues 6c faufles fur la nature
de ce tems. VIII. 384. u.
Imp.trf.iit de l’indicatif, nouvelle dénomination de ce tems«
X V I . 98. b.
I.MPAKFAITS , {Arirhm.) nombres. XI. 203. a.
Imparfait, accord imparfait. Tems on mode'
imiiarfait. Cadence imparfaite. Confonnance imparfaite. Modes
inqiavlaits dans le plain-chant. Suppl. III. 369.
IM P A R T IA L , (Gr.;m m.)il n’y a guere de qualité plus
cffenticlle 6c plus rare que l’impartialité. VIII. 384. b.
IMPASSIBLE, (^T/ico/op.) corps de Jefus-Cihrifi impafTi-'
blc. L’amc préoccupée de quelque grande pallion, devient
pour ainfi d ire , inip.inîble. /'u) c^ dans le livre de la cité de
de Dieu l'hhloirc du iirètre de C.ilamc, qui lavoit fe rendre
impaffible. VU E 384. b.
IM P A S T A T IO N , (F /u™ .) V I Î l. ^84,
Impastation, {A rchii.) colonnes 6c obélifques antiques'
faii.s par impallation ou par fufion. V l l l . 384. b.
IM P A T IE N C E , [Morale) caufes d’impatience dans le
tempérament. Princes impatiens dans l’exécution de leurs
volontés. VIII. 384. />. L’impatience cil une foibleffe. Ses
effets fouvent f'uneües. Moyens de nous garantir de l'impatience.
Ibid. 3S3. a.
Impatience, facilité avec laquelle on s’y liv re , avec laquelle
on fe la juflific, 6c meme en certains cas on s’en applaudir.
XII. 172. U.
IM PEC CA BIL ITÉ , [Théolop.) différons degrés d’inipec-'
cabilité. Différence entre impeccancc 6c impeccabilité. VIII.
383. a.
IMPÉNÉTRABILITÉ, 6'/-’/;/ƒ) preuves quî
montrent l’impénétrabilité des liquides, du mercure, tics
cfprits , de l'air. De l’impénétrabilité de rétcndiie felon les
Cartéf'icns. La vue fcu’e ne peut nous faire coiinoitre l’im-
pénétrabilité des corps. VIII. 383. a. Les plülofopbcs qui
dérivent l'inqrénétrahilité de l’étendue, le font parce qu’ils
veulent établir dans la feule étendue la nature 6c l’effence du
corps. V l l l . 383. b.
Impcnètrabiliié (les corps, L v. dife. prc'lim. Voye^ SOLIDITÉ.'
IMPENSES, [Jurifpr. ) trois fortes d'impenfes diftingiiécs
en droit ; les néceffaircs , les utiles 6c les volupiuaires. Maxk
mes de jiirifpi udence fur cette matière. Loix 6c autres ouvrages
à COiifulter. VII I 383./-. Frais.
IMPÉR AT IF , ( Gramm. ) deux formes différentes que les
latins admettent dans leur impératif. Elles expriment la meme
relation temporelle; mais l'une exprime une hmple exhortation,
un confeil, 6c l'autre marque un commandement-
VIII.
I M P Vin. 386. a. Obfervàtions fur la difilnétion que M. llcgiiicr
a faite de deux impératifs en f’rançois, run préi'ciu , l'autre
futur. On s’.ibfliem de la forme impérative par énergie ou
par oiiphéiullme ; mais le choix entre cette forme Ce celle
(ju’..ii lui luLliiîue , ell uniquenieur une affaire de goût.
Les deux formes, l’indicative 6c rinipérative, expriment une
jiiejii.- I elation temporelle , 6c doivent preiuire chaeune dan.i
le mode qui leur oit propre, la mémo dénomin.uroii du pré-
l'cnt podéiieiir. Les Grecs emploient iiiditféicmmenc le pré-
fent poiléi ieur de l'indicatif pour rhnpératif, 6c récijirocpie-
ment. La forme impérative eU la raeine immédiate de la
forme indicative conefpondame dans la langue hébraïque,
6c les grammairiens Iiébi eux reg,;rdent ftine 6c l’autre eoimne
des luuirs- Ibid. b. Pouiquoi le tems que l'auteur nomme
préleiit pollérieur de l’impératif doit être infeiit dans la dalle
d».s préfens. Ou doit reconnoitre dan.s none impératif un
prétérit. Ce prétérit a les mêmes jiioprietes c[ue le préfenc.
11 ell également bien remplacé par le prétérit polléneur de
l ’indicatif. l i f e trouve dans l’aiuilogie de tous les piéiorits
fiançois. Ibid. 387. ü b i’ei valions fur ce qu’a dit M, l'iihbé
G.i.iid , que l’ui'age n’a point fait dans nos v^rl.es demode
impératd. Réponle à Ct tie (picfiion; commem il fepeue faire
qu'il y ait un imiiératif dans le verbe p a lff, vu que ce qui
non., vi^n: des autres ne lemble pas dép-.iulre de nous , pour
nous écie commantic à noiis-mcmcs. Tems 6c perlomies du
«iode impératif en fr.mçots. Ibid. b. Üii ne trouve a l’impé-
raul d'auame langue, de futur proprement d it , qui foit (l.ius
l ’aiiulogie des futurs des autres modes; 6c le.r tems qui y font
d’ufage , font véritablement iin ptéfenc pofkrieur ou un prêtent
pufléùeur. La vrtiic racine des verbes ell dans l’impé-
xaiii au préfeiu poiléiieur. Ibid. 38S. ,1.
ImpèraiiJ , motle dans les verbes. IH, 879. Les impératifs
n’ont que les l'ccondes peiToiincs du ftngulier 6c du jrlu-
iiel. X V . 363. U, b. Des tems de ce mode. XVI. 109. .1,
b. 6a foniucion. Suppl. Ill, 127. a
IM P ÉR ATO IR E , [D o u n .) cataéleres de ce genre de
plante. Defeription de i’impéraioire coinuume. VHL 388.
G'uallté ciel huile renfermée dans certe plante. Lieux cl’oii
0.1^ l.i lire. Caraéleres de f'a racine. Ibid. b.
1.MVERAT01R.E, [Mar. rnèdic.) carnilercs de cette racine.
Son analyl'e. Ses propriétés. Préparations dans leftiuelles elle
c;t einiiloyce. V l l l . 388. b.
i M P LR A TO R , titre accordé chez les Romains aux com-
«ianclaiis des armées. X. 313. a.
IMÎ-'LRAT’rvK.E, (E/.y/. .J/7C. ) le fénar donnolt le nom
d’Auguflc à la femme 6: aux filles de l’cnipereur. Principale
«laïque d'honneur attachée à leurs perlomies. Embarras des
antiquaires au (ttjet des médailles d'impérntriccs. VIII, 388. b.
I.VIPÉKATRICE ,[h'iJL i/iod. Droit fiibL ) rimpératricc reçoit
aprév i’empercur la couronne 6t les autres marques de fa dignité.
Son ciiancclier. Son grand aum()nicr, V l l l . 388. />. L’impéra-
tnee peur avoir la tutelle de fes enfans. Le titre ci’;//i;>cTu/rkt-
(il mué aujourd’hui à la princeife (jiii rogne en RiiÜie. Ibid.
IM P ER CEP T IBLE, corps organifés imperceptibles. Réflexion
fur ce fujet. Mouvcmcns de coeur & ci’elbrir rrès-
imperceptihlcs qui nous cléierminent fouvent. V l l l . 389. a.
i.MPERFKCiflON. Défaut, T k e , ( 5ym)/t. ) IV . 73 1. k
IMPER FO RATIO N , [Chir.) l’aiuis, le vagin 6c l’nre-
irc font les parties les plus fujeties à rimperforatioii. Diffe-
1 .lues obfervàtions fur celle de l’amis. Moyens d'y reiné-
cicT. V l l l . 389. a. D e i'imperforation de riirccre. De
l’imperforaiion du vagin, bouché par la membrane de l’hymen:
deux exemples. L’hymen fans être imperforé foDiic
«jiielqnefois une cloifon qu’il efl ncccflaire d’incifer. Ibid. b.
Ohfervariim fur la fuuation trop fupéricurc du trou de l'hy-
mciv Ibid. 390. a.
Impaforation i\c l’h ymen, voyrç H ymen, V.vGiN 6c V ulv e .
Impcrforation du gland. VII. 700. b.
IMPÉRIAL, [H ijl. mod.) dicte impériale. Elle cfltlivi-
fée en trois colleges. Chaque college a Ion direélenr. Voix
de chaque membre de la dicte. Quand les trois colleges l’ont
tl’aecord, il faut encore le confentement do l’cmpcrcur. VIII.
590. a.
Impéri.tl, capitulation impériale. ï l, 633. i». Chambi-e impériale.
III. 32. b. IV. 3. b. Dicte impériale. 972. b. Dignité
impériale. V . 373. , b. Décrets impériaux. IV . 717. b.
Médailles impér'uilcs.X. 234.^, b. Notaire impérial, XI. 244, b.
If.WYWlA.US, villes [Droit piibl. perm.) origine des villes
impériales. V l l l . 390. a. Diveifes révolutions auxquelles plu-
lieiirs villes impériales om été fujeties. Les villes imiiériales
d’Allemagne partagées fous deux bancs. Ouvrage à conful-
tcr. Ib:d. 391. a.
Impériale, ville [Geopr.) ces villes partagées en deux
bancs. Villes du banc du Rhin. Villes du banc de Souabe.
Villes impériales démembrées qui fe trouvent en Alface.
Ohf'ervations fur le college des villes impériales dans la
dicte. Quels font fes droits. Direéloire de ce college. V l l l .
II.
I M P 25
Impériales, viHcs, Suppl. I, 310./-. College ,de ces villcî.
JH. 633..;. Poiiiquoi elles font appellées impériales; dejuii,
quel tems elles ont voix delibér.uive: leur nombre; ])..r qui
ell excieé le tlir.é'toiie de tes ville-». IbJ. b. IV. 69. />. B.me
des villes impéii.iles à la di.te. 973. L. — VilLs impéi*.iles
du Japon. XVI!. 282..;.
Im ;mhiall.s , [M .uw f doutdifitp.) VIII. 39,. a.
Im p e r ia l e , [J eu ) origine ix e.vplieation de ce jeu de
tartes. V l l l . 391./'. 392,./,/!,
Imi' l iu a l e , [Géopr.) ville d’Amérique. Son fomlatcur.
Sa fmiation. V 111. 393. a.
iiMPÉKlEUX, [Morale) portrait de l’bomme impericLi.t.
Amis, bicnfaiieurs impérieux, L amour ell imc paillon impe-
rieufe :’i hupielleon l;ieritie tout. Fcmme.s impérieulés. Hommes
impérieux avec les femmes. VTil, 393..;.
IiMI'ÈRlSb AB L E , ( F'ii'ojop/i. ) doélrine de ceux qui regardent
la m,liiere comme éternelle Cx impérilhible. V l l l , 393. ,7.
IMPEiUT , Impenrie , ( Giaium. ) exemple où l'on Voit Ic
premier de tes deux mots employé. V l l i , 393-u.
IMRE IUUM, ( Zi//. ) double pouvoir que recevoit un
conlul ou un préteur qu'oii envoyoit gouverner les provinces
: l’un fe- iiommoii pou-jl.ts , '.’autre iwpaium. V l l l . 393.
a. Par qui cliatim de ces pouvoir» lui éiuit transféré. En
quoi ils confiftoieiu. Ibid. b.
Imperium, à (pii ce pouvoir éiüit accordé. X llI . 408. é.
IMPERSONNEL, ( Giamm. ) verbe» qualiii.isimporlbiineis
par les gramm iiriens. Cette qualilicaiiunpeu d’aceo;d avec la
nature de ces vt-rbes, telle que ceS gramim.iricns la tonçol-
veut, Obfervàtions fiir la maniéré dont quelques grammairiens
piiilüfophes ont défini les verbes imperlomiels. V llf .
393. b. Des mode.» perfonnels 6c des impei limn. Is. On ne
peut dire d’aucun verbe qu’il fuit totalement pcilonnel ou
toi.ilemenr imperlirnuel./i/L/, 394, a. On l'.ippli.pie ma l, &
il fuppofê faux r t ’eil à prouver cetic propouioii que le rdle
de l’.itticlc ell defiiné. Des verbes préieiKlus imperlonnels
qui ont une tenniiiaifon aflive. Ces verbes font véritable-
muir perfonnels. Ibid. b. l! en eft de même de ceux que
I ou allégué fur la tcrniinaifltn paffive. Ibid. 393, b. Oblérvu-
lions liir ecitc cfpete d’idiotifine, iiur, fictur, jiaiur, 6tc.
Qiicflion que rauteiir propof'c : cos tours eomniims en latin,
inan efl,ßecum rß ,fl.tti:m eji , font ils aliUfs ou paliifs i Képonfe
à cette quefliom Ibid. 396. a. Oliléryations l'ur le pioiiom
on qu’on regarde ordiiiaiieuicut tomme ligne d impei ibuna-
lité , (le même que le pronom il placé devant certains verbes.
Ibid. b.
Impafonnd, du génitif après ces prétendus im pcrfonnels,
pipet ,pa-niict ,pudet, utdet, mijerit. V i l . 387. e. Modes imper-
lüiincls. X. 393. il. 394. a.
IMPER TIN ENCE, ( MomU-) .ancienne 6û nouvelle acception
de ce mot. VIÜ. 596. b.
IM PER TIN ENT, ( Gt.tmm. Moral.) celui qui a die ou fait
une impertinence n'eff pas toujours un liomme impertinent.
V l l l . 396. b. Portrait de rimpertinenr. Moyens de coniger
de l’impcrtinencc. Des femmes impertinentes. Ibid. 597. a.
Impi RTiNi;NT,yy/,/.'//j [Syho/i.) X V . 383. b.
IMf^ tR TU RBABLE , moyen de nous rendre imperturbables
tl.nns nos fcntimciis, nos relohirions, nos projets. VIH,
397. a. Voyex^ Ff.RME.
IMPIE , clitiévenee entre l’incrédule 6t l’impie. Réflexions
fur cette différence qu’on n’a pas toujours bien femie, V l l l .
397. .2. Quels font les ouvrages qui doivent être qualifiés
d’impies. D e l’iifage de brûler les livres regardés comme
dangereux par rapport ;'i la foi. Moyeu plus ellieace d’en
prévenir le danger. Ibid. b.
I.VIPIÉTÉ, inconviHion, inaèduliù ; diftérenec entre ces
trois difpofirions de l’cfprit. IV. 431. b. Piindpcs fecrers
d’impiété. XVII . 460. ./.
IM P IT O Y A B L É , en quel cas on doit être impitoyable
envers Ic.s méchans. Q uel eft le fcul cas où l.i ftti nous
empêche de prendre le mot impitoyable en maiivaife part.
V l l l . 397. b.
IMP-LICITE, implicitement. Volonté implicite. Foi implicite:
rc'lc eft celle de la plupart des hommes. VIU. 397. b.
Ils ont toujours allez de coniioiffancc pour faifir le principal
objet que la ft/i de J. C. nous demande. La confiance, l4 uii
invariable en fa puilTance & en fa médiation , eft prelquc k;
feiil article qu’il exige clé nous. Divers p.iiî’ages où il l’a
témoigné. Promeffes faires à cette foi- La pluitart des dogmes
énoncés par l’églif'e, ne tiennent que le fécond rang dans 1«
fyllème de notre croyance. Significaiiou du mot unphdumenc.
Ibid. 398. a.
Imphciie, propofition implicite. IV . 84. a. Volonté implicite.
307. é. Foi implicite, ibid. ÖCVII..21. a , b.
IM P LO R ER , les ecclcfiaftic[ues qui implorent le bias
féculicr contre ceux qui refiifenc dé les écouter avec d(x.H-
lité , oublient que leur conduite eft proferite dans l'cvaneile.
V m . 398. b.
IM P üR T .AN C E , combien de queftiöns futiles auxquelles
le gouvenicuieuc a donné de i’importnncc -par la part
-