^ilt ! L
■ i '
vr: i«'
. i
444 P Ï E pes. Mais or. n’a jamais cliiToiis laclicalcmciit aucim ilivcai.
La cliiToliiiion par le miroir ardent no pent mener l;‘*chy-
iniQe à aiiciiii luccès. XII. ■ J'’" ' londe d o r bien leparc
, & appliqué à de Targem ne teroit tpie changer en or
line maiTe d'argent égale à eellc d 'o r,d'ou il auroit éie tire.
Prétention chymétique de guérir toute mal.idie par la pierre plil-
lol'ophale. lùiJ. 578. • - 1
PUm phihfophalc. Premier auteur qm en a traite : a
théorie de la pierre philofophale expliquée dans la table
d'H ermès ; elTais de Caligula pour faire de l’or. I. 249. J.
Réflexions Ciir la découve--te de ce f'ecret. XII. 764. a. Confeil
aux adeptes qmvoudroient chercher lo r dans le -^er. V h
4,,?..7. Emblème du travail de la pierre philofophale, vol. iU
desphnehes, Ch ym ic , pbnehe 18. A deptes.
Pierresphiiofüphujucs , {H ij l nat. & Chym. ) voyc^ PHOSPHORE
, éle ci-defibiis, Pierue de Boulogne.
Pierre ibaice qtii s'allume avec de l’eau, ( Chym. ) 1. 741. a.
Pierres appellees phyllïws ou coquilLiires , ( b/i/?. /j.ir. )
•><ol. VI des pinnehes , Coquilles foiTiles , planche S. Elpece
de phyllites appellees ev.imj- , oüliics ouyrmi«j//vi. XI. 491.
é.X lV.Ç44 -é.
PlERRE-/'o«a', ( H:ß. n.ir. ) defeription de ces pierres.
Lieux oil elles fe trouvent. Recherches fur la ibnnation.
X ll. 178. <1. Elles entrent en fufion à im feu violent. L’on
a vu quelquefois la mer toute couverte de picrrcs-ponces.
Origine du mot- latin pumix, pierrc-ponce. Ufage de cette
pierre. li'id. b.
Picrrcsoncc. VIII. 92O. h. X. 9b. ‘i- XII. 5S4- ‘)9^‘
FUrrcdponcc. Abondance de cette pierre dans quelques
iîles lie rAmérlque, XII. 584. .n Ses bonnes qualités pour les
bàtimens. Elle ne rcfidc pas long-tcms à laclialeur d’un feu excité
par le vent cicsfüiifîlets./éiû'. b. Po nce.
/•’ri.'.-.'pc/rcc. Divers feniimens entre les naturalises fur fa nature
Si fou origine. XII. 598. .1. Son -afage dans les arts. ibid. b.
PONXE.
P ierres poraifes , ( Hijl. run.) pierres formées par le dépôt
des eaux. XII. 578. a.
Pierreporeiije , appellee pierre à filtrer. V I. 809. />.
Pier r es , (Abit. 7/u'./ic. ) elles doivent être bannies delà
ÎÜlc des reniedes. Pierres que les pharmacologifles ont mifes
ati ran«’ des medicamens. Pierres dangcreiiiés mifes dans la
mémehfte. La principale célébrité de la plupart de ces pierres
’ eut- cl\ venue de l'opinion qu’on a eue de leur efllcacité à titre
•d'amulette. X ll. 578. b P ierre hyßeritjue, ( L\tholo^.M.n.mèdic. ) VIII. 420. b.
P ierre infernulc , {Chyrn.'Mu.mcJk.) manière de fa préparer.
Ellbts de ce caiirtique. Comment les ciiirurgiens portent
leur pierre à cautère. X ll. ^78. .t.
Pierre infern.Pe. I. Ö41. b. IX. 737. a. 740. b. Porte pierre
infernale , 'X l lI . 158. é. vol. i l l des planches , C h ym ie , pl.
!5 .« i,& .C h ir iir g ic ,p l. 3. P ierre à c.nncre , ( Cbym. Mn. medic.) alkali fixe du tartre
'tendu plus caiiftiqucpar la chaux. Manieredepréparer la pierre
à cautère. XII. 579. u. C e l l le jihis aélif des caufiiqucs. Son
ufage chirurgical. Ibid. b. Pierre dP-^ur, (Af.n. medic.) Lipis Ui^idi. Ses propriétés
6c ufages en médecine. XII. 579. b. Pierre divine ou ophiulmique , ( pharrnac. Mdt. médic. )
manière de la préparer. Son ulage pour les collyres. X ll.
5-9./>. Pierre mcdk.rmcntcufe de Crollius, de Lémery ; pierre admi-
T.:ble , ( Ph.t:m. Mut. médic.) mélanges par lefqncls on forme
ces fortes de pierres. Übfcrvations fur leurs propriétés & leur
tilagc.Xll. 37g. é. Admirable.
néphrétique , \M,::ér. Aiut.médic.) XI. 97. b. Voyc[
Jad e. P ie r r e , (^ircÄ/r. ) deux fortes; la dure & la tendre. La
premiere qualité préférable à plufieurs égards. Obfervaiions
fur l'efFet que les carriers attribuent aux rayons de la luoe fur
les pierres de bâtiment. Caraéleres d’une bonne pierre dure ,
X ll. 3 80. <7.6: de pierres tendres, qu’ou trouve ou qu’on travaille
en France. Jbid. b. D e la pierre felon fes façons. Jhiil.
581. a. De la pierre par rapport à fes tilâges. Ibid. b. De la
pierre félon l'es défauts. Ibid. 582. m Pie r r e , { Archit.) à.'C la pierre confidcrcc par rapporta
la maçonnerie. IX. 808. b. 815. b. Coupe des pierres. IV.
-,47. b. Outils du tailleur de pierre. X V . 839. a. Voie de
pierre de taiüe. X \ il. 4 1 1 - é. Pierre d'aiplc, ( Hiß. r.,n. ) vertus merveilleufes qu’on
lui a attribuées. X ll. 382. b. Voyei Aetites ou Etites,
Pierre d’Arrné.nie, {Minérul.) fon rapport avec le lupts
lu^iiH. Recherches fur fa nature. Scs ufages. X ll. 382. b.
Pierre de Bolopnc, ( Miner. Phvßq.Chymie ) caraéleres de
cette pierre. Préparation qui la rend luiniuetifc. Principale caiilc
de ce phénomène. X ll. 382. b. Cette pierre n’eû Uimineufc que
pendaiu quelques années. Procédé par lequel ou peut donner
cette propriété à toute jutre elpcce de pierres, 583. n.
Foyei Bologne.
Pi e r r e ( Conchyl.) fortede'coquillcque les apotlii-
P I E
calres emploient dans dlft'ôrens medicamens. Defeription de la
pierre dentale. Sa rareté. Deux efpeces de dental. XII. 583. b.
Povei D entale.
Pierre éleélrique, {Minerai.) nommée tourmaline. XVI.
474. h. — 476. a.
Pierres feuilletées, {Minéral.) dont les veines & couches
de charbon minéral lont ordinairement couvertes. III. 190.
b. fur les pierres feuilletées, vuyei ScHlSTE. XIV. 76 7 .i .
Pierres figurées. Foyc{ FIGURÉES , pierres.
Vim K ld e foudre ,{P/iyfiq.) VII . 214.0.
Pierre ùfufil, {Lithohg.) endroits de laFrancequiprodni -
fent les meilleures pierres à i'ufil. Les lieux d’où on les tire n»
parollTent point s’épuifer. Comment ces pierres font du feu.
Expérience de M. Floock. X ll. 383. é, Voye;^ SiLUX.
P ierre de Florence , ( Litholog. ) 011 n’a pu imiter encore
cette forte de pierres. Efpece de pierres figurées que l’art imite
fort nlfément. XIT. 383.^1. /"bye^ Floren'CE.
Pierre juduique , ( Litholog. Mat. médic.) ufage qu’on en
fait en médecine.Xll. 384. d. Aby«^ Jud a ïq ue 6c L ithon-
TRIPTIQUE.
PiERREii’e /j/f, {Lhhol.) lieux où on la trouve. Vertus que
les Allemands lui attribuent. XII. 384. a.
P1E13.RE/miK , {Hifi.mcd.fuperß.) pierre afliijettic dans
la muraille du temple de la Mecque. Vénération des Ma-
iiométans pour cette pierre. Origine qu’ils lui attribuent. XII.
384.17.
Pierre noire du temple de la Mecaue. Elle fut enlevée par
Abiiclahert, puis renvoyée par les Carmaciens. Suppl. I. 77.
a. Lieti.x oil elle eft placée ; elle efi l’objet de la vénération des
pèlerins imifulmans. Suppl. II. 88. j .
Pierre , ( Hiß. de l'idolâtne ) pierres adorées ou vénérées
par difl'érentes nations. TI. 217. b. V . 440. b. VIII. 926. a.
IX. 67, a. 109. b. Premiers momimcns de pierre. V II I. 776.
a. Défcnfe de Moyfe aux Ifraélites d’adorer des pierres : il
y a apparence que les Chananéens confultoienc certaines
pierres comme des oracle-^. IX. 388. a. Grofie pierre qui
repréfentoit la Cj'bele de Pefilnuntc. IV . 383. XII. 432.
a. Efpece d’hyftérolite adorée fous le nom de la mere des
dieux. VIII. 421. rf. Pyramides de pierres que les Virginians
adorent. XIII. 724. b. Divinité qu’on adoroit fous la figure
d’un cône de pierre. V . 440. b. Origine de ces amas de
pierres dont on trouve encore les reftes dans quelques endroits
de l’Angleterre , de l’Allemagne 8c de la France.
Suppl. II. 282. b. Idole de pierre informe que les Lapofts
reverent. X V . 139, i. Pierre à laquelle les Brames facrifient.
X lV .3 3 2 .a > .
Pierre de S. Paul, {Hifl.nat.) efpece de craie de l’illede
Maltlie. Scs prétendues propriétés. Ufage qu’on en fuit. Origine
de fon nom. X II. 384. rf.
Piî-RRi. Je Périgord , {Hifi. nat. des fo J fil.)Xll. ^S4.a.
PllRKI. de Samos , ( Litholog.) X V I . 174. i.
Pierre de famé, vt)y^{ PTRITE.
VlZRR^ fpéaiLtire , {H iß . nac. des anciens) ufage qu’en fal-
foient les Romains. Les favans font fort partagés lur ce que
c’étoit que cette pierre. 11 paroit que les fenêtres de verre
étoienc déjà en ufage dans le cinquième fiecle. XII. 384. b.
Voyei Sp ÉCULAIRE.
p\i:RRZde touche ,{Orfev. Métall. )X V I . 443. IX. 774. b.
PlER.RZ végétale, {Chyrnic) vo yq C l ys su S.
Pierres vitrcfcibles, { Minéral. Chyniie) il n’y a aucune
pierre qui fans addition foit propre à fe vitrifier. A u miroir
ardent, il n’y a aucune pierre qui en plus ou moins
de tems ne fe convcrtUrc en verre. X II. 384./’. Voye[ ViTRl-
’fiable.
Pie r r e , {Médcc.) l'autenr rapporte dans cet article fix ob«
fervations différentes fur cette maladie, qui méritoient d’être
recueillies. X II. 383. rf.
Pierre , ( Médec. ) calculs de l’homme & des animaux.
Suppl. III. 96. b. Comment fe forment les concrétions pier-
reufes dans la vcffie & dans les conduits qui filtrent l'urine.
XVII. 208. é. 498. i . Ceux qui font ufage d’abforbans terreux
font fouvent expofés aux concrétions pierreufes. Suppl. I.
893. a. Autre caufe de la pierre dans la déconipofiiion de
la bile. Ibid. Calculs de la véficule du fiel. II. 232. a. Pierre
dans les reins. XIV. 43. b. 47. a , b. Symptômes qui accompagnent
quelquefois cette maladie. X V . 739. a. Pierre
d.ins la vefiîc ; pourquoi elle fait fentir de la douleur au
gland. Ibid. Petites pierres arrêtées quelquefois entre les
membranes de la veffic. XVII . 207. a. Irritation de la veffie
par la pierre. Ibid. b. Obfervaiions fur le calcul engendré
dans la veflie : fon principe : fes progrès,: fes remedes.
207. b. Pierre dans les ureieres. 492. a. Le fondement
donne fouvent paffage à des concrétions calculeufes. VII.
78. b. Pierres enkiftées dans la veflie. V. 691. a, b. Remèdes
à employer dans ces maladies, voyc^ L itho ntr ipti-
QUE : plante confiderée comme un Spécifique contre la
pierre. Des injeélloiis pour les calculs de la veïTie. VIIL
730. a. D e l’nfage des topiques & des bains lorfque la
pierre eft arrêtée dans les ureteres. X V I, 419. b. Opéra-
P I E
206 b Voye^ maladie de la pierre. Rétention
^pfERRES trouvées dans le corps des animaux, {HiJl. nat.)
voyez Be zo a r d . Pierres trouvées dans l’eftomac & le foie
des coqs. I. eS3- “ • '><= V Ç 7 >8- *■
Pierres trouvées dans le corps des chevaux. VIU. a ïo . a.
Suppl. 111. 393- 394- Tranchées qu’elles lui caufent.
d2i. b. dans l’eftomac des hirondelles, V II . 220. a. dans
celui des autruches. I. 90a. a. Concrétions pierreufes dans
le corps des animaux. X V . 386. U.
Pierre, ( Criùq. facr. ) pierres remarquables dont il eft parle
dans l’écriture. Différentes acceptions de ce mot pris au figuré.
XII. 383.L , ^ >
Pierres , graveur en, ( Gravure ) auteurs qui ont
donné l’éloge ou la vie de ces artiftes les plus diftingués. X l l .
Pierre gravée, i" . Ancienneté de l’art de la gravure. L’art
de graver en pierres fines, né en O rien t, y a laiis doute ete
cultivé fans interruption. X l l . 383. i . Aucun écrit n y étoit
tenu pour légitime , s’il n’étoit revêtu du fceau de la per-
fomic qui l’avoit difté. Les Egyptiens & les principales nations
de i’Afie , conferverent toujours leur attachement pour les
pierres gravées. Le commerce des Etrufques avec les peuples
de l’Orient tranfporta chez e u x , parmi les autres arts,
celui de la gravure. C e furent aiiffi les Egyptiens qui mirent
les inftrumens des arts entre les mains des Grecs. D é dale
fut le premier qui anima la fculpture. Mais ce ne fut
que dans le fiecle d’Alexandre, que les progrès des arts parurent
en Grece dans tout leur éclat. Alors il ne fallut plus
chercher de bons graveurs hors de ce pay.s, & les Grecs fe
maintinrent dans cette fupériorité./üb. 386. a. Les Romains
ne prirent du goût pour les beaux arts, que lorfqu ils eurent
pénétré dans la Grece &. dans l’Afie. Paflion avec laquelle ils
s’y attachèrent. Bagues pour toutes les faifons que portoienr
certains voluptueux. Morceaux de verre que les perfonnes
moins riches faifoient monter , au defaut de pierres fines.
Leurs bagues & anneaux leur fervoient à cacjietcr. La gravure
en pierre exercée encore aujourd’hui par les Oriemaux.
L ’hiftoire nous a décrit les iujets de plufieurs cachets des
Romains. Cachets que porcoieut les premiers chrétiens pour
fe reconnoître. Le luxe des Romains ne mit enfin plus de
bornes au nombre 8c aux ufages des pierres gravées. Ibid,
h. Efpeces de pierres gravées qui paroifl'ent n’avoir été faites
que pour la parure-Les anciennes pratiques ayant été abandonnées,
lorfque le chriftiauifme eut pris le deffuS’dans le
monde, les pierres gravées ne fervirent plus qu à cacheter.
Ufages qu’on en fit dans les fiecles d-e barbarie. C e f t au défaut
de lumières de ces tems , que nous fommes redevables
de la confervation -tle plufieurs morceaux de gravures antiques.
Utilités qu’oii peut retirer de ces précieux reftes d’an-
fiquitc. Ibid. 387. a. D e tels ouvrages ont l'avantage de ne
pouvoir s’ufer 6c d’être garantis d ’une infinité^^ d’accidens.
%id. b. Les beaux arts abandonnés dep,uis la chute de l’empire
romain ne reparurent avec éclat que vers la fin du 13 '
fiecle. Laurent de Médicis fut le principal promoteur du renouvellement
de la gravure fur pierres fines. Graveurs célébrés
qui fe diftinguerent alors. Elèves qu’ils formèrent. Médiocrité
de leurs ouvrages en creux , mis en parallèle avec
les produélions de la G rece. Beautés de quelques-uns de leurs
camées ou g ravures en relief.
2” . Delarnatiere fur laquelle on grave. Les graveurs paroif-
fent n’avoir excepté aucune des pierres fines , ni même des
pierres précieufes pourgraver deffiis. Ibid. 388.u. Cependant
celles qui font le plus employées font les agates 8c les cornalines.
Gravures fmgulieres qui confiftent en figures en o r , m-
criiftées fur pierres. D e la gravure fur le diamant. Amftes qui
l ’ont exercée. ,
3“. De la dijlindion de pierres antiques d avec les modernes.
Quelques curieux fe font fait la-dcffus des règles q u i, toutes
incertaines qu’elles font, ont mérité cependant d’être rapportées
dans cet a r t i c l e . b. Quelles font celles de rantiquité
defquelleson ne peut douter, 8c celles qui méritent indépendamment
de leur antiquité l'eftime des curieux. Ibid. 389. a.
Comment on peut devenir bon juge du mérite des pierres
gravées. • ^ a
4” . Des illujîres graveurs en p'crres fines. Auteurs qui en
ont écrit la vie. Les ouvriers greffiers qui prirent la place
des grands maîtres, après la chine de l’empire romain, furent
néanmoins utiles à l’art, en ce qu’ils perpétuèrent les prati- ?ues manuelles des anciens. Les pontificats de Martin V 8c de
nul II furent témoins des premiers effais de ces artiftes qui
vinrent fe réfugier de Grece un Italie ; mais Laurent de Médicis
fut le principal moteur du grand changement qu’éprouva
l’art de la gravure. Principaux graveurs qui parurent en Italie.
Ibid. b. Obfervations fur ceux qui lu font ilîuftrés en Allemagne
, en France 8c en Angleterre.
5 °, De la pratique de la gravure en pierres fines. Le témoignage
Torne IL
P I E 445
de Pline m ostre que les anciens n’avoient pas d’autre métiiocle
pour graver fur pierres, que celle qui eft en ufage aujourd’hui.
6°. Des pierres gravées faélices. A n à'imitct \cs piertes pré-
deufes g ravées, pratiqué par les anciens. Ibid. 390. Ce
fecret retrouvé dans le quinzième fiecle; vo ye z Pâte de verre,
6c ci-defl'ous Pierre gravée faBue.
7». Sur la maniéré de tirer les empreintes, v«yr.j Empreinte.
8“. Sur la confervation des pierres gravées, vt»yrçEcRAiN.
9°. Des auteurs fur les pierres gravées. Auteur à confultcr ,
pour connoître ceux q u i, depuis Pline jufqu’à nous, ont traité
des pierres gravées. Ouvrages fur les anneaux des anciens-
Difeours fur les médailles 8c gravures antiques. Eloge du
livre de Baudelot le D o r iv a l, de l ’utilité des voyages. Recueils
de pierres gravées qui ont le plus de ré|niiation. Obfervations
fur l’ouvrage de Léonardo-Agoftini ; Ibid. b. fur ceux de Michel
Ange de la Chauffe; 8c fur le rnujceum Plorentinurn. Ant.-
Franç. Goti.
lo ”. Des colleÜions de pierres gravées. Céfar 8c Pompée aimèrent
paflionnément ces fortes de produélions de l’a r t , 8c pour
montrer l’eftime qu’ils en faifoient, ils voulurent que ie public
fut le dépofitaire de leurs cabinets. Ibid. 391. a. Collections
de quelques autres Romains. Prix exorbitant des belles
pierres dans le tems de la fplendeur de Rome. Paffion du fena-
teiir Nonius pour fa belle bague. Colleélions précieufes qui fe
voient chez quelques nations de l'Europe. Celles que pof-
fede rltalie.
II''. Des belles pierres gravées. Pour en avoir d’un travail
exquis, il faut remonter jufqii’au icms des Grecs. Leur habileté
en ce genre. Ibid. b. Pourquoi les Romains nom pu atteindre
jufqu’à eux.
12'’. De lapins belle pierre gravée connue. Hiftoire du cachet
de M ichel-Ange.
13°. Des pierres gravées de l ’ancienne Rome,
14“. Des gravures des modernes fur le cryflal en particulier.
Auteur à confiilter. Petit coffre de cryftal g rav é, donc Clément
■ yil fit préfent à François 1.
Pierres gravées des anciens Etrufques. Suppl. II. 900. b.
903. a. Pourquoi les anciens ont peu gravé fnr le rubis.
Xl'V. 426. a. Gravure que les anciens faifoient fur les
onyx. XL 488. a , b. D e la maniéré dont les réglés de la
pcrfpeélive font obfervées dans les pierres gravées antiques.
X l l . 438. b. 439. a. Pierres gravées, trouvées dansHercu-
lanum. Suppl. III. 334. b. D e l’art de tailler , de polir 8c.
graver les pierres précieufes. IX. 282. a , b. 283. , h .X Y .
838. d. Moulin à pierres précieufes. X. 813. b. Machine
pour faires des moulures fur les pierres dures 8c les pierres
précieufes. 819. h. Touret du graveur, X'VI. 474. a. voy«^
dans le vol. "V des planches, l’article G r a v u r e en pierres
FINES.
Pierre gravée f iB ic e , {Gravure) manipulation ufitée pour
faire de telles pierres d’une leule couleur. XII. 3 92. b. Procède
qu’il faut fuivre pour imiter le.s variétés 6c les différens acci-
dens que l’on voit dans les camées. Ibid. 393. a.
Pierre gravée faBice. Imitation de la gravure en pierre ap-
pellée pâte de verre. XII. i6'^.a,b. 390. a , b.
Pierres précieufes, {Minéral.) Caraéleres des vraies. XIL
593, b. Enumération de ces pierres. Lieux 6c maniéré donc
on les trouve. Ce qu’on entend par la diftinélion de pierres
orientales 8c. de pierres occidentales. Difficulté d’expliquer
pourquoi les Indes font plus difpofécs que d’autres pays à produire
des pierres précieufes. Figures régulières qu’elles affectent
dans leurs matrices ou minières. D e celles qui fe trouvent
dans le lit des rivières, 8c mclécs dans le fein de la terre
avec le fable. Cailloux de Bohême au centre defquels on voit
des rubis. Des pierres précieufes colorées. Ibid. 394. a. Une
des chofes qui contribuent le plus au prix des pierres précieu-
fos, c’eft leur grandeur. Expériences chymiqiies tentées par
ordre de l’empereur François I , fur le diamant , le rubis, 6c
fur plufieurs autres efpeces de pierres précieufes. Rcfultats de
ces expériences. Ibid. h. Effets des mêmes expériences fur
l’éméraude. Ibid. 393. **•
Pierres précieujés. Défaut dans la métliode des iionienda-
teurs qui ont cliftribué les pierres fines en différentes efpeces.
IV . 245. a. Pierres précieufes orientales. XI. 644. b. Celle
dont parle P lin e , où étoient naturellementgravé-sApollon
6c les nuifes. Suppl. I. 142. b. Riviere de Sicile qui paflbit
pour produire des pierres précieufes. Ibid. Découverte de
M Daubemon pour conferver les noms des pierres précieufes
fur les pierres même. I. 110. b. Des effets du feu fur ces
pierres. 5W . II. 7 1 1 . , b. Comment on peut chaneer
la couleur de la plupart. I. 168. é. Divers moyens d’imiter
les pierres précieufes. IV. 5^6. , f i Art des anciens
à les imiter. X ll. i6 y a , b. Fauffes pierres appellees
doublets. V . 81. a , b. Pierres appcllées/?uorr , qui reffem-
blent aux pierres précieufes. V L 892. b. Pierres précieufes
repréfentées, vol. VIII des planches , Orfevre-jouaillicr, pl,
I. Poème d'O rphée fur les pierres précieufes. Suppl. IV .
188. b.
Pierres oùoriîm<ri, {Hifi.. nat.) XL 334-<*• Pierres qui
V y Y V V
m