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travail. 5«m/ .ll. OM- - . E lp '“ rhythmequi foulage
l'ouvrier dans certains genres de travaux. IV. 645. .
T r a v a il , { J n milit.) remuement des terres , arrangement
des gabions, & c. Travailleurs employés. X V I . 567.
T rav.vil , ( Miréch. ) efpecc de bâtis pour les chevaux.
Dcfcriniion du fr.ivrti/, de fes parties, & des pieces qui Un
app.irtienncnî. X VI. ^68. - Voyc^ vol. VII. des planch. Marévh.
ferrant, pi. i .
Tr^vj//, terme de mégiflicr , de peinture, de fauconnerie
& de commerce. XA'I. ^68. b.
TRAVAILLER , travailler à la tâche , à la'journée , &c.
XVI. 568. i-. rvyrj Journée (Comm ).
T ravailler, ( ) bâtiment qui travaille, bois qui
travaille. Travailler à la piece, à la tâche, à la toife, par
épaulées. X V I . 569. -i-
Tr.ivjilUr , en terme de marine, en terme de miifique ,
en terme de drier. XV'l. ^68. n.
TR AV AIL LEU RS , ( Comm. (TÀmJlerJarn ) ou gagne-de-
riers. Détails fur ces hommes deftinés au fervice des marchands.
XVI. 569.
T R A V A T £ S , ( ouragans de la côte de Guinée.
Comment ils fc forment. Leur violence & leur durée. X V I.
569. b.
T R A V A U X publics, voyci^ Corvee.
T R A V É E , {J rck it.) rang de lolives pofées entre deux
poutres dans un plancher. Travée de balniire , de comble,
de grille de fe r , d’imprelTlon. Travée de po n t , dans I ai-
chiteélure hydraulique. XVI. 569. b.
T ravée , ( Toijeric de peinture ) la travée, fuivant Icsus &
coutumes de Paris, eft de fix toifes en quarré , ou 216 piés
de fuperheie. X VI. 569. b.
T R A V E R S E , ( Fortifie. ) traverfes du chemin couvert.
Traverfe dans le folTéfec. Traverfe dans un folié plein d’eau.
X V I . 570. a. Traverfes tournantes, dans l’attaque des places.
IbiJ. b.
Tuverfe, appellee tambour. X V . 876. é.
Truverfe, terme employé dans le charonnage , le jardinage,
la meiuiiferie, la ferrurerie, le blafon. X V I . 570. b,
TR AV ER SER Us rivieres. DifFérens moyens qui ont été
employés pour cela. Suppl. I. 813. b
T R A V E R S IE R , (A ljrw e ) forte de bâtiment. Traverfier
de chaloupe. Traverfier deport. X V I. 371. j.
TRAVERSlER , OU drague, ( Pechc ) forte de filet ufité dans
l’ifle de Ré. Del'cript'ion de ce file t , & de la pèche ou il
ell employé. X V i. 571. u.
T R A V E R S IE R E , Finie. Voyc^ Flute traversiere.
T r avERSIERE à bec, ( Zii/ém'c ) iiifîrumem donc la tablature
cA en tout femblable à celle de la flûte à bec. Def-
cription & maniéré de jouer de cet inllruinent. XVI.
571. b.
TRA\ 'ERSIN , ([ Tûnnell. ) piece de bois deftinèe à former
le fond des futailles. Suppl. IV. 976. b. DifFérens ira-
verfuis repréléntés pl. 2 du tonnellier, vol. X. des pl.
T R A V E R T IN , ( Litholog.) ou pUne travertine, qui fc
trouve dans le territoire de Tivoli. Carafleres de cette p iece,
dont l’églife de S. Picire Ôcplufieurs grands édifices de R o me
font bâtis. X VI. 372. a.
T R A V E S , ( Nicolas ) favaiit eccléfiafiique. Suppl. IV . 8.
TR AV ESTISSEM ENT , Deguifement, ( Synon. ) IV. 769. b.
TR AN S I ou Thraufi, {Geogr. nric.) peuples de Thrace.
Ufages qu’ils obfcrvoient à la nailTancc & à la mort de leurs
proches. X V I. 372. b,
TR AZENES , pierres de ( N f i. nat. ) nom donné par les
anciens à une cfpcce d’efcarboucles. XVI. 372. b.
TR E B L L L IAN IQ Ü E , quarte{Jurifpr.) quart que l’héritier
grevé de fidéi-conimis, cft en droit de retenir en remcitam
l'hoirie. X VI. 372. b. Origine du nom donné à cette quarte.
Comment ce droit efi établi. Détails qui en expliquent la
nature &. l’étendue. Ibid. 373. a. Ouvrages & autorités à
confulter. Ibïd. b. Voyer Q uarte.
TREBIE , journée de ( Hijl. rom. ) Suppl.l. 443. b. Suppl.
IV . 934. b.
TKEBISON DE , ( Geogr. & H fi. ) anciennement Trape,
ville des états du Tu rc dans la Natolie. Elle étoit regardée
anciennement comme une colonie de Sinope. Trifle aventure
qui arriva aux dix mille Grecs reconduits par Xenophon
, pour avoir trop mangé de miel. Accueil qui leur fut
fait à Trébifonde. X V I . 373. é. Hiftoire Sc defeription de
cette ville. Ibid. 374. a. Obfervations particulières fur fou
port. Obfervations fur quelques hommes célèbres dont elle
71 été la patrie. George de Trébifonde. Le Cardinal BelTarion.
Am y ru u e s , philofophe péripatéticien. Ibid. b.
T rÉBISONDE , ( George t/r ) pliilofoplic ariflotélicien. I.662.
b. Sa difpute avec le cardinal BelTarion. XII. 744. a , b.
TR É BU CH AN T , (^Alonnoie) 1“. droit accordé fur le poids
dès métaux aux officiers de monnoie dans le droit du change.
2°. Demi-grain départi à chaque cfpcce pour la faire
trébucher. X VI. 373. a.
T R E
T R E BU CH E R , {A I .) allronome. Ses tables'des pafTa-
ges de mercure &. de venus fur le folcil. Suppl. IV. 246.
b. 247. a , b.
T R É B U CH E T , {Balancier) forrc de balance. Son ufa-
gc. XVI. 373. a. — les phanch. du balancier, vol. II.
T rÉBUCHet , ( Cli.fie ) petite cage qui lert à attraper des
üifeaux. Defeription du trébucher qu’on emploie à prendre
les perdreaux. X V I. 373. b. Voyc^ la quinzième pl. de chalTe.
vol. III.
TR EF F LE , {Boian.) caraéleres de ce genre de plante.
Ses efpeccs. DoFcription du treffle des prés. X V I. 373. é. Petit
treffle des champs , Pie delievre. Defeription du
treffle bitumineux. Lieux où il croit. Ibid. 376. a.
T reffle i/e marais , ( Botan. ) ce treffle fait un genre à
part. Sa defeription. Lieux où il croît. X V I . 576. a. Ufage
qu’on en fait en Angleterre pour la prép.iration de la bicre
à la place du houblon. Ibid. b. — Voyei Méniante.
Tréfilé mufqué. Voye^ L otier ODORANT.
T r e f f l e / fj« ou de marais, {Alat, médic.) Voye^ MÉ-
NIANTE.
Tréfile faiivagc jaune. Voye[ LOTIER.
T r e f f l e , {Agrieuh.) bien que cette plante procure au
terrein. Efpece de treffle préférée. Qualité des terres qui lui
conviennent. Moyen de diflinguer la bonne graine de la
mauvaife. Teins de femer le treffle. Autres graines avec
lelquelles on peut Icfemcr. Temsde couper le premier treffle.
X V I . 376. b.
T reffle, {J.trdin.) ornement dans la broderie des par:
terres, qui imite le treffle des prés. XVI. 376. b.
T re f f le s , {Sculpt.) treffles de moderne. XVI. 376. b. ^
, terme de metteur en oe u v r e , de mineur, de blafon.
X V I . 377. a.
T reffle , ufage de la houille pour la culture des treffles.
VIII. 324. a. Danger de laiiTer paître cette herbe de trop
près. V I . 634. b.
TREGUIER , ( Géogr. ) ville de France en Bretagne. Son
évêché. X V I . 377. a.
TR E IL L AG E , ( Décorations de Jardins & d'ArchiteB. )
Ufage des treillages dans les jardins. Maniéré de les orner
& de les rendre Iblides. Treillages à différentes mailles. C o lonnes
de treillage. X V I . 377. b.
Treillage. Cabinet de treillage. II. 480. a. Salle de treilla-;
ge. X IV . 373. J.'Vafe de treillage. X V l . 831. a.
T R EM A , ï- ( Gramm. ) V l l I . 424. a , b.
TR EM AM EN TO LO N C O , ( Mufiq. ) efpece d’agrément
qu’on indiquoit autrefois par ces mors. Suppl. IV. 976. b,
TRKMBLAI , ( Purre-Jofeph le Clerc du ) capucin. Suppl.
IV . 689. b.
TR EM B L AN T D O U X , ( iwéer. ) Defeription de cette
partie de l’orgue. Maniéré de la coimruire. X V I . 378. a.
T remblement fort ou à vent perdu, ( Luth. ) D e feription
& conftruétion de cette partie de l ’orgue. X V I,
579. b.
Tremblement fort : reflorts qui fervent à ce mouvcinenr.
XIV. 191. b.
TR EM B L E , {Botan.) efpece de peuplier, la plus commune
, la plus ignoble & la moins utile. Sa defeription.
X V I . 380. a. Voyei PEUPLIER. ^
TREMBLEMENS de terre, ( H fi, nat. Aiinér. &• Phyfiq. )
D e tous les phénomènes de la nature, il n’en efl point dont
les effets foient pins terribles &. plus étendus que ceux
des tremblcmens de terre. Suppofition d’un feu central imaginé
pour rendre ralfon de ces phénomènes. Sans recourir à
cette fuppofitlon , on rencontre en plufieurs endroits des
amas de matières aiTez agUTantes pour produire tous ces
efiéis. La terre en une infinité d’endroits efi remplie de matières
combuftibles , propres à exciter des embràfemens, Si
à leur fervir d’aliment, lorfqu’ils ont été une fois excités.
D ’ailleurs nous favons que les foiiterreins des mines, 6c
fur-tout de celles de charbon de terre , font remplis de
vapeurs qui prennent très-aifément feu , 8c qui produifent
alors des effets auffi violens que ceux du tonnerre. XVI.
380. b. Expérience inventée par M. L cm e r y , par laquelle
plufieurs pliyficiens ont voulu expliquer la formation des
embràfemens foiiterreins. Difficulté qii’oppofc M. Rouelle^ ,
cette explication. De quelque façon que les embràfemens
fe produifent dans le feia de la terre , ils ont un befoin in-
difpenfablc de Tair ; or on ne peut nier que la terre ne renferme
une quantité d’air très-confidérable. Alors aidé de
Taflion du feu qu’il a allumé , il fait effort en tout fens pour
s’ouvrir un paffage. A Tcgard de l’eau , toutes les obfervu-
tions prouvent que la terre en contient une quantité pro-
digieufe. Ibid. 381. a. Et il eft certain que cette eau peut
contribuer en plufieurs mÿfieres aux tremblcmens de terre ,
foit par la force des vapeurs que Je feu élevé de cette e.nu,
foit lorfqu’elle vient à tomber tout-à-coup dans les amas de
matières embrafées , foit en agitant Tair par leur chiite , ou
enfin par les excavations 6c les écroulcmcns qu’elle occa-
fionne. Phénomènes qui précèdent & qui accompagnent'le
T R E
pins ordinairement les trcnihlemcns de terre. Ibid. b.
Lfpece de fccouffes que caufent les tremblernens ; mouvement
qu’ils impriment à la terre. On a vu en Amérique
des tremblcmens de terre durer plus d’une année entière.
Rien de plus terrible 8c de plus varié que les effets qu’ils
produifent. Mais un de leurs phénomènes les plus étranges ,
c ’ell la maniéré dont ils fe communiquent à des diftances
Ibuvent prodigieufes, en un efpace de tems très-court. Maniéré
d’expliquer cette propagation. Ibid. 382, L ’on a
foiivent contondu avec des trcmbleniens de terre , certains
jiiouvemens extraordinaires qui fe font femir quelquefois
dans Tair, 6c qui fouvent font affez forts pour ren-
verfer des maifons 8c faire des ravages confidérables, fans
qu’on s’apperçùt que la terre fut ébranlée. Caufe de ces phénomènes.
Oufervations fur les tremblemens de terre les plus
confidérables dont Thilloire fait mention. Tremblemens de
terre arrivés fous le confiilat de L. Marcius 6c de Sextus
Julius, fous l’empire de T ib ere ; la ville d'Antioche renver-
fée Tan 113. Tremblement de terre arrivé en Egypte 8c
dans tout TOrient en 742. Details fur le tremblement de
terre qui renverfa la ville de Lisbonne en 1735. Ibid. b.
Climats 8c contrées qui paroiffent fur-tout expofes à ces agitations.
Les tremblemens de terres regardés comme la principale
caufe des changemens continuels qui arrivent à notre
globe. Ibid. 583. a.
Tremblemens de terre qui ruinèrent Herculannm. VIII. 130.
a. i3 i.r f. Celui qui combla prefque entièrement le lac Lu-
crin. IX. 714. b. Celui qui arriva en 1330. V I . 613. a.
Bouleverfement arrivé en 1396 dans le comté de Kent en
Angleterre. XV II . 398. b. Tremblement de terre qii’effiiya la
Sicile en 1693. X V . 163. b. Terribles tremblemens arrivés
dans Tille do Ténériffc en 1704. X V I . 136. a. Defeription
de celui qui renverfa Lima en 1746. IX. 534. a. Tremblement
de terre de Tannée 1733. 613.^. 639. a. IX. 373.
a , b. Ceux qu’a elfuyés la ville de San-Iago, capitale du
Chili. VIII. 434. a. Les tremblemens de terre frequens au Japon
, VIII. 453. b. 8c dans les ifies Antilles. 924. b. Obfervations
philofophiques fur ces phénomènes. V ll, 624. b.
Leurs caufes. I. 232. b. V I. 234. a. 613. a. Foree du feu
fouterreiii. V . 740. a , b. Leurs effets. VII. 624. b. Ils ont
fouvent dérangé la circulation des eaux fouterreines, VII.
54. a , b. Sc produit de grandes altérations fur notre globe.
X V l . 164. b. 171. a. Des révolutions qu’ils ont caillées.
Suppl. IV . 78. b. Leur utilité. 79. a.
T remblement , ( Aiédec. ) deux efpeces de tremblemens ,
le tremblement affif, celui qui arrive dans de violentes paffions,
& le tremblement p allif, quieff dû à une eaule particulière
8c approche des affeélions demi-paralytiques. Caillés. Pro-
nollics. Méthodes curatives. X V I . 383. é.
T remblement fébrile , ( Aledee. ) fes caufes. X V I . 384.
a. Diriéreiis pronollics qu’offrent les tremblemens dans les
fievres continues, ardentes, aiguës, infiammatoires. Méthode
curative des tremblemens fébriles. Ibid. b.
Tremblement, diftingiié du friffonnement, VIT. 310. é. 8c
de riiorripilatiou. V llI . 312. b.
T remblement , ( Aiujiq. ) Foyer Cadence.
TREMBLLURS , {H f i . eccl. ) Foyet^ Q uakers.
T R EM B L cY , {Abraham) de Geneve , fes obfervations
Sc experiences fur les polypes d’eau-douce. XII. 943. a , b.—
Ç47. b. Ses ouvrages. Suppl. I. 4 1 1. b. Suppl. IV . 360. b.
TR EM BOW LA , ( Géogr. ) fortereffo célébré dans Thilloire
de la Pologne, à l'entrée de la Podolie. Sa fitiiation. Anecdotes
remarquables .i Toccafion de l’attaque faite de cette
place par les Turcs eu 1673. XVI. 384. b.
TREMECEN , ( Geogr. ) province d’Afrique, dans la Barbarie
, au royaume d Alger. Ses bornes. Qualité de fes terres.
Révolutions de cette province. Peuples qui l’habitent. Sa capitale.
X V L 383. a.
TR EM E L LA , {Botan.) caraéleres de ce genre déplantes.
Ses efpeccs. X V l. 383. .2. Vo y ez la defeription de Time de
CCS efpeces à l’article Nostoch.
TR EM O LO , ( Alujjq. ) on nonimoit ainfi autrefois Tagrc-
ment qu’on nomme aujourd’hui cadence. Quatre efpeces de
Tremolo. Suppl. IV . 976. b.
TR EMPE, ( Art fie. ) forte de compofition où Ton trempe
les ballesù feu. XVI. 383.é.
T rempe de Pacicr, {Chym. Aiétall. A n s ) {zireds Tacier,
c’ eft ciiarger le for d’autant de phlogiffiqiie qu’il en peut
contenir. Matières dont on fe fert pour produire cet effet.
X V l. 383. b. Pour faire de bon acier, il eff d’abord important
d’avoir un fer de la meilleure qualité. 11 faut enfuite
le combiner avec des matières qui lui founiilTent du phlo-
gillique. Mais ce fer converti en acier perd les parties in-
tlammables dont il avoir été pénétré , fi on le fait rougir,
ou entrer en fufion , & qu'on le laiffe refroidir peu-à-peii.
C ’eff fur cé principe qiTcft fondée l’opération qiTon appelle
trempe de L'acier. Il y a donc deux opérations à diftSgiier
ic i , Tune par laquelle on fait Tacier, l’autre par laquelle on
le trempe. Deux maniérés de faire Tacier , Tune par le tra-
T R E 8 0 J
I val! en grand , Taiitre par la cémentation ; celle ci eff la
meilleure. Manière de la pratiquer (iir des barres de ffr .
Ibid. 586. .2.' Manière de fonder cnfembic cjuelqiies-iines de
ces barres converties en acier , p.our en fiiirc toutes fortes
d'infirumens tranchans 6c autres. Autre ojjérarion qui per-
feéhonne la qualité de cet acier. Ibid. b. Moyen d’empêcher
que Tacier expofé au,^u à plufi-eurs reprilés ne perde
fon phlogiflique. Defeription de la manière de donner aux
ouvrages d’acier la meilleure trempe. Methode de M. de
Juffi , Ibid. 387. J. celle de M. Lanroeus. Comment o a
conferve aux ouvrages d’acier de la flexibilité. Obfervacioti
fur Tufage de tremper les refforts dans du plomb fondu
Ibid. b.
^ Trempe. Celle qu'on appelle trempe en parquet eff uns
cémentation. II. 811. b. Théorie de cette trempe. 812. a.
V I , 913. a. Explication de la dureté 6c de la fragilité que
Tacier acquiert par la trempe. XIII. 902. a. Fleuve d’Efpa-
gne auquel on attribuoit la vertu de donner une trempe excellente
à Tacier. III. 42. a.
TREMPER les aiguilles, ( Aiguillier ) préparation qui
donne aux aiguilles la dureté nécelîaire. En quoi elle confiffe.
X V I . 387. b.
TREftivtR U papier, {Imprtm.) fonffion de l’ouvrier de
la preffo. Defeription de cette opération. X V L 387. b.
T remper , ( Relieur ) tremper à la colle. Tremper les cou-,
vcrtiires à la colle. XVI. 587. b.
TR END EL INDU RG , ( Chrétien-Frédéric) phyfiologiffe.
Suppl. IV. 361. a.
"TRENIERE , Tofe , ( Botan. ) Rofe trcnicre ou rofe d’outremer
, efpece de mauve. Sa defeription. O bfervaiion de culture.
X V L 388. d.
T R EN T E -E T -U N , { J e u ) defeription de ce jeu. X V L
388. b.
TRENTE-mni//i’ , ( Pêche û forte de filet tramaillé. Son ufaee.
X V L 589. *2.
T rente , ( Géogr. ) ville d'Italie dans la Marche trévifane.
Sa fitiiation & fa defeription. Intempéries 8c accidens auxquels
elle eff expofée. Origine de fon'nom. Ses révolutions.
Son évêché. X V I . 389. a. Tableau du concile de
T r en te , qui fe voit dans Téglife où les affemblées de ce
concile fe tinrent. Obfervations fur le cardinal de Lorraine
qui y affiffa, fur Jacques A conc e, philofophe 8c théologien,
né à Trente , au feizieme fiede , 6c furie jilu iie Martini, auffi
natif de T rente. Ibid. b.
T r zü t e , concile de , { H fi. eccl.) fa durée. XVI. 389. bl
Comment les décrets de ce concile furent reçus en France. Ce
qui arriva dans ce concile au comte de Luna , ambaffadeur
d’Efpagne. 390.^2.
Trente, concile de, Difputcs entre les pcres qui le coni-
pofoient ,ftir la prédeffination & le libre arbitre. XIII. 277.
a. Conduite d eAlavadaiis ce concile. XVII . 367. Comment
U eff oblérvé en France , 8c a été reçu en Efpagne.
IV . 716. a. Hiftoire de ce concile par le pere Paul 8c par le
cardinal Pallavicinl. X VII . 8. a.
T rente-/ * mois, ( Comm. ) nom que Ton donne quelquefois
à ceux qui s’engagent pour aller fervir aux Indes occidentales
, 8c particuliérement aux ifles Antilles. On en dif-
tingue de deux fortes parmi les François , les uns qui fervent
les hâbitans des ifies, les autres qui s’engagent avec les
boucaniers. XVI. 390. u.
t r é p a n , ( CÂtrtrrg. ) defeription de trois inffrnmcns de
ce nom; le trépan exfoliatif {voye^ Ex f o l ia t if ) , le trépan
perforatif, XVI. 390. a. 8c le couronné. Leur ufage,
Ibid. b. V o y ez la planche 16 de chirurgie , vol. III.
TR ÉPAN ER, {Chir.) but de cette opération. En quel
cas elle fe pratique. Defeription de la maniéré de la pratiquer.
XVI. 391. é. Panfement de l’opération. Ouvrage à confulter.
Expofition des raifons qui peuvent déterminer à pratiquer
ou à éviter l’opération du trépan. Ibid. 392. b.
Trépaner. Cas de Tapplication du trépan. V. 349. b. Ufage
du trépan dans la compreffion du cerveau. III. 778, b. Dans
les maladies du cerveau caufées par quelque contre-coup :
voye z ce dernier mot. Ufage de la chailé chirurgicale dans
l’opération du trépan. Suppl. II. 308. a. Précaution à prendre
dans Toperation du trépan , lorfqu’on perce la fécondé
table du crâne. X V . 801. a. Après Tapplication du trépan ,
on fait expirer fortement le malade , dans la vue de faire
évacuer les matières contenues entre la dure-mere 8c le
crâne. IV . 933. b. luffrumcnt qui fert à enlever la piece
d’os fciée par le trépan. XVI. 342. b. Contr’ouvertures par
le moyen du trépan. IV. 138. h. Couteau en ufage dans
Toperation. 406. a. Inffriimens dont on fe fert pour le pan-
fement. X. 334. a. Comment fe’ referment les ouvertures
du crâne après l’opération. Précautions que ceux qui ont
été trépanés doivent prendre pour préferver cette partie
des injures extérieures. Inftrument inventé par Belloffe pour
boucher le trou du crâne, d’un panfement à Taucre : incon-
véniens de cet inftmment : autres moyens à employer. XL
330. a. Toyc{Vol. III des pl. Chirurgie, planche i 6 , 17.