868 V I s V I s
fic tlu vil'age. Topiques à employer en ce cas. Dlfferens
prnnoftics tirés de l’enflure du vilage. Les blelTures du vt-
fage ne permettent pas qu’on fafTeunc l'uture fanglante.XVII.
337.a. Sueur abondante autour duvil'age, dangereux fympcôme
clans les maladies. l'ifaqc, nuUdiesdu. Pronoftics tirés de la rougeur, de la
pâleur j de la couleur jaune du vifage. IV . 3^3. h. Des
topiques pour les maladies cutanées du viiage. X V I.
419. J.
V IS A P O U R , ( G.'agr. ) voyei ViSIAPOUR.
V ISC ACH O S , ( k i^ l nat. ) lapin liuivage du Pérou.
Ufage qu’on failbit de fon poil durant le regue des incas. XVII .
337. b.
VISC ELLIA , /oi. IX. 678. U.
V IS C E R A U X , nmedes, {M idti. M it. tncàic.') cette claffe
renferme les remedes hépatiques , fpléniques , pneumoniques,
utérins , cacheéliques , anti-liydropiques , anti-iéléri-
ques , anti-liyftériques, & anti-phtifiques. Enumération des
principaux remedes vifcéraux, tirés du regne végétal, des
gommes 5 c réfmes , X V II . 337. b. des eaux minérales , des
minéraux. Ces remedes font d’un effet alTez univerfel dans
les maladies longues que produit le vice des vifeeres (an-
guiiis, Ibit pour les guérir, foit pour s’en garantir. Choix
5 c dillinélion qu'il faut faire de ces remedes , fuivant la nature
des vifeeres 5 c des maladies. Remedes particuliers contre
l’obllruélion du foie d’où fuit la jauuiffe ; contre l’engor-
gemeiit 5 c relâchement du poumon, qui peut conduire à la
phthtfie ; contre le gonflement Sc rengorgenieiit de la race ,
d’où réftilte ia cachexie ; contre la néphrétique caufée par la
foiblelTe des reins. Remedes à employer dans les indilpofi-
lions que caufe I’affoibliffement de la tenfion de Tutérus 5 c
de fes vaifleaux, fur-tout après l’avortement. Ibid. 338. a.
Remedes propres à rendre aux inteflins 6c aux parties qui s’y '
rapportent, leur tenfion naturelle. Attentions à obferver
dans l’iila^e des vifccraux fortifians. Ibid, b,
VISC ERE, ( Pkyfiol. ) organe qui par fa conflitufion
change en grande partie les humeurs qui y font apportées ,
enforte que ce changement fuit utile à la famé. D ’où dépend
l’aélion des vifeeres fur les humeurs. Les fonfiions des vifeeres
fur les humeurs different fuivant l’àge 5 c le lexe.
X V II . 338. b. Degré de folidité nécelTaire aux liquides
mus par la force du coeur , pour qu’ils coiifervent plus
long-cems le mouvement reçu. /éii. 339.
Vifeere. Signification de ce mot. VIII. 263. a. En quel
tems les vifeeres commencent à paroitre dans l’embryon.
Suppl. I. 130. a. C’eft de l'afUon des vaiffeaux dont un vif-
cere eft eompofé , que dépend l’aélion du vifeere entier. IV.
649. b. Irritabilité des vifeeres. Suppl. IV. 634. é. Leurien-
fibilité. 778. b. Jeux de la nature dans la firuéture, la conformation
des vifeeres, le retmnehement ou le furnumé-
raire de quelques-uns, voyez Jeux de la nature. Jeux de la
nature clans la tranfpoficion des vifeeres d’un enfant. VIII.
■ Visc è r es , ( Jardinag. ) vifeeres d’une plante. XVII .
339. U.
V i s c o s i t é des humeurs du corps, {Médec.) caufes de
cet état. X V II . 339. rf. Ses effets. Traitement delà vifcofité.
Ibid, b.
Vifeofuédes humeurs. III. 389. a , b. Voye^ TÉNACITÉ.
V iscosité desalimens , ( Diete ) I. 263. b. X VII . 3 37. b.
VISÉU ou Viféo, ( Giogr. ) ville de Portugal dans la
province de Beira. Obfervations fur Jean dos Barros , né
dans cette v ille , 5 c fur fon hilloire d’A fie ou des Indes. XV II .
340. a.
V IS IA PO U R , ( Giogr. ) royaume d’A fie , fes mines de
diamant. IV. 939. a.
V IS IB LE , ( Opiiq.) doftrine d’ArilIote , des philofophes
fcholalliqiies , 5 c des cartéfiens, fur les objets vifibles , 6c
la caufe de leur vifibilité. Deux efpeces d’objets vifibles felon
les philofophes fcliolafliques ; les uns propres , qu’il n’eff
pas pofiible de connoître par d’autre fens que par celui de
la v u e , les autres communs qui peuvent être connus par
différens fens. X VII . 340. a. Caufe qui les rend vifibles.
I. Un objet fe voit par les rayons qui en portent l’image
à la rétine , Sc il fe voit dans l’endroit où la faculté de voir
efi , pour ainfi dire , dirigée par ces rayons. Divers phénomènes
de la vifion expliqués fuivant te principe. II. L’ame
apperçoitia diftance des objets vifibles, enconféquence des
différentes configurations de l’oe i l, de la maniéré dont les
rayons viennent frapper cet organe , 8c de l’image qu’ils
impriment. Ibid. h. III. La grandeur ou l’étendue des objets
vifibles fe connoît principalement par l’angle compris entre
deux rayons tirés des deux, extrémités de l’objet au centre
de l'oe il, cet angle étant combiné avec la dlfiance apparente
de l’objet. Loix démontrées par les mathématiciens , auxquelles
la grandeur des objets vifibles eft foumife. Ibid. 341.
Recherches des philofophes fur la caufe qui fait paroitre
le foleil 8c la lune plus grands à l’horifon que lorfque ces
aftres font plus élevés. Ibid, b, IV . La figure des objets vifibles
s’efiime principalement par l’opinion que l’on a de la
fituation de leurs différentes parties. Loix de la villon par
rapport aux figures des objets vifibles. Ibid. 342. a. V . On
apperçoit le nombre des objets vifibles , non-feulement par
une ou plufieurs images qui fe forment au fond de l’oeil
mais encore par une certaine fituation de ces parties du cerveau
d’où les nerfs optiques prennent leur origine , fitiia-
tton à laquelle l’ame s’eff accoimimée, en faifant attention
aux objets fimples ou multiples. VI. Comment l’ame apper-
çoic le mouvement 8c le repos des objets vifibles. Pourquoi
les corps qui fc meuvent exccifivemenc vire , paroiffent en
repos. Loix de la vifion par rapport au mouvement des objets
vifibles. Ibid. h. Joignez à cet article les articles Vu£ &
V ision.
V IS IG O TH S , (H ijl.anc.) ces peuples habitoient originairement
la partie occidentale de la Siiede, du côté du Da-
nemarck. X VII . 343. a.Hifioire de ces peuples. Loix des V î-
fiigoths. Ibid. b. V o y ez L o i, 5 c Code des loix antiques , Code
d'Alaric , Code d'Anian , Code d'Evarix. V o y ez W is i-
goths.
V IS IO N , Apparition, {Synon.) différence entre ces mots.
Ufage du motvijïon au fingulier 5 c au pluriel. X V II . 343. b.
Foye^ A pparition.
V ision, {O ptiq.) V isible. Organes de I.1 vifion ,
voye z Rétine , Choroïde , N erf optique , Cerveau , Senforium.
Véhicule par lequel les images des objets font portés à l’oeil
vo ye z Lumière , Couleurs , Rayon.
Des différentes opinions fur U vifion, ou des différens fyf-
tènies que l’on a imaginés pour en expliquer le méchanifme.
On expofe Ici particuliérement les fyffèmes des platoniciens
& des lloïciens, des épicuriens,/éiV. 544, d.despéripatéiiciens
5 c des philofophes modernes.
Théorie de livijïon. Examen de ce qui arrive aux rayons
de lumière lorfqu’ils'paflent dans l’oeil. Ibid. h. Changement
qui arrive dans l’ceil même, felon que les objets qu’il con-
ficierefont plus ou moins éloignés. Ibid. 343. a. Image de
l’objet iiir la rétine. Ibid. b. D ’où dépend la vue claire 5c
(liftiiiéle d’un oh\cit. Ibid. 346. a. Vifion direfte ou lîmpte.
Vifion réfléehie. Vifion réfrpélée. Sur la vifion , confultez
les articles O ptique , Catoptrique 8c Dioptrique.
Solutions de plufeurs quejlions fur la vifion. 1°. Pourquoi,'
lorfque nous avons été quelque tems dans un lieu fort cla ir,
8c que nous entrons enfuite fubitement dans une chambre
moins éclairée , tous les objets nous paroiffent alors obfcurs,
2". Pourquoi une perfonne, qui de l’intérieur d'une chamb
r e , regarde ceux qui paffent au dehors , n’en eff apperçue
qu’avec peine , 8c d’autant moins que le jour eft ptus»rand.
3°. Pourquoi,lorfqu’on cligne les y e u x , ou qu’on pleure , 8c
qu’on envifage en même tems une chandelle allumée , les
rayons paroiffent alors être dardés de la partie filpérieure 5c inférieure
de la flamme vers les yeux. Ibid. b. 4°. Pourquoi l’on
voit de l’oe il, lorfqu’on le frotte avec force , qu’on le
preffe ou qu’on le frappe. Ibid. 347. a, Foyes;_ V ue 5c V i sible.
Vifion. Hypothefes des anciens 8c des modernes fur la vi-
fion. V . 933. b. Celle des pythagoriciens Sc des platoniciens.
V. 367. b. Doflrine- de Louis Kepler fur ce fiiier.
Suppl. IV. 349. a. Celle de M. le Roi. 364. b. Ufages de U
rétine 8c de la choroïde dans la vifion. III. 374. a. X IV ,
204. b. & c . Vifion direéle d’un objet. IV . 1023, b. Si tous
les hommes voient le même objet de la même couleur. IV .
327. b. Suite de faits allez fingiiliers touchant les couleurs
accidentelles que nous voyons fur les objets 5 c qui ne dépendent
que de la difpofition de l’organe. 332. u , é. Maniéré
dont paroiffent les objets au travers des brouillards.
II. 443. b. Problèmes relatifs à la vifioû , fur la diftance
apparente des objets. IV. 1051. a , On dit dans l’ancienne
optique, que des chofes qui font vues fous des angles égaux
paroiffent égales: examen de cette propofition. V. 414. a.
Pourquoi les objets nous paroiffent quelquefois doubles. V IîI.
3 II. b. Examen de la queftion , fi l’on voit les objets
par un feul oeil ou par les deux à la fois. Suppl. IV.
63 I. b.
V ision, ( Tbéol.) vifions des prophètes 8c des faints. X V II .
347. a. Expofition du fentiment de ceux qui prétendent que la
tentation de Jefus-Chrift s’eft plutôt paffée en vifion pendant
le fommeil, qu’en fait 8c en réalité. Les critiques fe font donné
la torture, tant pour trouver l’accompliffement des vifions
dont il eft parlé dans le v ieux 8c le nouveau teftainent, que
pour l’application des prophéties elles-mêmes. Auteurs à con-
fulier fur ce fujet. Jétif. é, '
V ision , ( Théol. ) connoiffance que nous avons ou que nous
aurons de Dieu. Les théologiens en diftinguent trois fortes;
l’une abftractive, la fécondé intuitive, 8c la troifieme qu’ils
appelleincompréhenfive. X VII. 347. é. Quelques hérétiques
fe font vantés de parvenir à la vifion intuitive de Dieu p,.r les
feules forces delà nature. Cette opinion contraire aux principes
de la faine théologie a été condamnée par le concile de
Vien ne , on 13 11 . L ’églife catholique penfe que les juftes
jouillenc
V I S jouîffcnt de la vifion intuitive de Dieu dès l'inftant de leur
mort. Les millénaires avoient imaginé que les juftes ne ver-
roient Dieu qu’après avoir régné mille ans fur la terre avec
Jefus-Chrift. Aucune créature vivante n’a joui fur la terre
de la vifion béacifique. La vifion comprehenfive ou la
parfaite connoilfaiicc de Dieu , n’appartient qu’à Dieu.
Ibid. 348. <1, é.
Vifiionbéatifique ; état de l’ame jufte au premier inflant où elle
jouira de la vue de Dieu. II. 243.
V ision céleficdc Conflantin , ( Hiß.eccl. ) vifion d’une croix
lumineufe, qui, félon quelques hilloriens, apparut à cet em-
Sereur, lorl'qu’il eut réfolu de faire la guerre à Maxence.
.VII. 348. U. Extrait d’une difl'ertation de M. de Cbaiifepié
furcefujet. Les hiftoriens qui ont parlé de cet événement Sc
dont on rapporte ici les témoignages, fo n t , Eufebc , Ruflin ,
Socrate,/éiij'. b. Sozoniene , Pliiloftorge, Nicépbore, Callifte,
Ibid. 349. a. Laélancc 5 c Arthemius. Il y a deux obfervations
à faire fur ces difi'ércns témoignages : la premiere , qu’on ne
produit d’autres témoins que des chrétiens, donc la dépofition
peut être fufpeéle dans ce cas ; la fécondé , que ces témoins ne
font nullement d’accord entr’eüx , 6c qu’ils rapportent même
des cliüfcs oppofées. Ibid. b. Obfervations fur le degré de crédibilité
que méritent quelques-uns des auteurs qui nous ont
iranfmis cet événement ; Eufebc comme hiftoricn , Ibid. 330.
h. 5 c Artemius 5 c Conftantin , comme témoins oculaires. Sur
Conflantin en particulier , l’auteur fait les réflexions fuivames ;
1° . que le ferment par lequel cet empereur a confirmé fon af-
fe rtio ii, n’cft pas d’un aiilTi grand poids qu’on le prétend ;
Ibid. 3 31.<3.2°. qu’il étoic tout-à-fait de l’imérètde Conftantin
d’inventer nu fait de cette efpcce ; Ibid. b. 3“. qu’il rapporte de
lui même des chofes qui ne lui conviennent point ; 4“. enfin
qu’il attribue à notre leignenr Jefus-Chrift des chofes indignes
de lui. Examen des preuves alléguées par M. Abbadie, pour
démontrer la certitude de la vifion célefte de Conftantin; i° .il
cite le témoignage de quantité d’auteurs de toute nation, tant
anciens que modernes , tant catholiques romains, que protef-
taiis ; 3 32. a. 2'ù il fait valoir le témoignage des Ariens;
3“. il allégué en preuve le filencc de Zofime 5 c de l’empereur
Julien; Ibid. b. 4°. ü prétend prouver la vérité du fait par les
inoniunens qui l’atteftent; 5“. par les vertus & lesviéioires
contiiuiellcs de Conftantin, qui depuis ce tems-là ne trouva
plus d'ennemis capables de luiréfifter; Ibid. 333. a. 6®. enfin
par les prodiges qui rendirent inutiles les efforts de Julien ,
pour le réiabliffement du temple de Jériifalem. Obfervations
par lefqnclies toutes ces preuves font réduites à leur jufte valeur.
Le P. de Grain ville croit fur-tout trouver des preuves in-
conteftables de ce fait dans les médailles antiques. Examen de
cette preuve. Ibid. b.
\ \ s \ 0 ’itsdcsfiorciers ,(^Magie') leur caufe. IV . 821. b. VI.
4 1 6 .é.
V IS IR , Gnind- ( Hi fi. turqj) en quoi confiftentles fondions
attacliécsà cette dignité.Exemples degrands-vifirs qui ontfait
l'admiration de leur fiecle. X V ll. 334. a. Pouvoir du grand-
vifir. Magnificence avec laquelle il foutient l’éclat de facharge.
Formalitépratiquée par le üiltan lorfqu’il honore legrand-vifir
du commandement de fes armées. Quoique le fultan difpofe
des premiers emplois, le grand-vifir nelailfe pas de contribuer
beaucoup à les faire donner à qui il veut. Pouvoir qu’il exerce
fur la xfie de fes ennemis. Revenus donc un grand-vifir jouit.
Les plus grands ennemis du grand-vifir font ceux qui comman-
dentdansleferrailapréslefultr-U.JéiW.é-DépenfesauxquelIesce
miniftre eft obligé envers le grand-Iéigncur. Son palais eft le
marché où toutes les graces fe vendent. Si le grand-vifir a le
génie belliqueux , il y trouve mieux fon compte que dans la
paix. Autres niiniftrcs de la cour Ottomane, qui portent le nom
de vifirs. Jéirf. 3 33.u. Voye:^ VlZIR.
L’écabliffemcntd'un vifir découle d’un principe fondamental
des états defpotiques. IV. 887. a. Lieutenant du,
grand-vifir. II. 336. a. Son confeil ou divan. IV. 1067. b.
Son étendard. V . 712. j . Son cortege m ilitaire.XV. 8 1 1. é. Son
turban. X V I. 749. b. Comment il aborde le fultan. X V . 633. j .
Comment il doit recevoir la fcntcncc de l’empereur lorfqu'il le
condamne à mort. Ibid. b.
V IS IT A T IO N , ( Théolog. ) fête inftituceen mémoire de la
vifitc que la fainte Vierge renditàfainteElifabeth.Relation de
cette vifite. XVII . 335. .e. Origine de la fête de la vifitation.
Ibid. b.
V isitation, i^Hifl. eccl.) ordre de religieufes, fondé
par faine François de Sales & par la mere de Chantal. XVII.
333. é.
V isitation, {^Jurifpr. & Comm.") i®. examen ou vifite
que les juges font d’un procès. 2°. Vifite des maîtres &
gardes , 5 c des jurés des corps 8c commiinaiités clicz les
marchands 8c maîtres de leur corps & communauté. XVII.
3 5 5 -
"VISITE , ( Jurifpr. ) différentes fignificarions de ce
m o t , felon les objets auxquels la vifite s’applique. X V II .
3 5 5 * Fijhe, contre^, IV . 143. b.
Tome II,
V I T 869
Tlfiue des archevêques & évêques , dans les églifesde leur dio-
cefe. Ce droit efld’inftituiion divine;auffieft-i! imprefcriptible.
X V i l, 333. é. Obligation impofée aux évêques de vifiter leur
diocefe. Formalités attachées à ces vifites. Objet de ccsvifircs.
Eglifes , monafteres , chapelles 6c bénéfices, &c, qui y font fii-
jets. Droitdc procuration dû à l’évêque pourfa vifite. Loix à
confulicr. Ibid. 336.
Vifite de T archidiacre. Begles 8c maximes établies par rapport
à CCS vifites.XVII. 3 36.é,
Vifite d'experts. XVII . 3 36. b.
Vifite des gardes & jurés. X VII . 336. h.
Vijiie des médecins & chirurgiens. X V II . 336.
Vtfitest\x\Q font les médecins Scchirurgiensexperts-jurès, de
la part des juges. SuppLlW. 882. é. Suppl. iV . 390. b.Scc. Voye^
Expert.
Vifites des médecins & chirurgiens. Des rapports comprenant
les cftimations de vifite , panfemens 5 c médicamens.
XIII. 803. a , b. 803. a. Eftimation de vifites. Suppl. III.
883.V
ifite des prifions & prifionniers. XVII . 3 5Ö. b.
Vifite du procès. X VII . 3 36. é.
\is n E , (H iß. anc.&mod.) heure à laquelle les Romains
faifoient leurs vifites. X V ll. 233. a. Ufage des Turcs dans
leurs vifites de cérémonie. X V . 936. é. Comment les dames
dans les iftes françoifes reçoivent leurs vifites. VIII. 33. a.
VISITER , (Hifi.facr. ) Dieu vifite les hommes par les bien-,
faits ÖC par les punitions. X V ll. 356. b.
V i s i t e r lettre, { Fond, de caraclere) X V ll. 337.
V ISITEU R , ( Jurijpr. ) ufages de ce mot dans l’ancienne
jurifprudcnce fraiiçoifc. Vjfiteur dans les monafteres.
Vifiteur général. Vifitcur établi dans un port. X V l l .
337. rf.
Vifiteur. Garde-vifiteiir à Bordeaux. VII. 310. a. Huifiler-
vifiteur dans les jurifdiétions m?rifunes. VU I. 342..t.
V ISO R IU M , ( Imprim. ) c’eft ce qui porte la copie
devant les yeux du compofueur. Defciiptlon. X V I I .
337.
VISPE ou Ufipe, (Géogr. anc.) ville du pays des Sora-
c e s , auvoifinagedu bofphore de Tlirace ; c'étoit une place
force, qui fut miférablemcnt faccagée par les Romains, dans
leur guerre contre Mithridatc. XVII. 337.^.
V ISQ U E U X , (Médec. ) mraivais eff'ets de la trop grande
vifeofité decertainsalimens. XVII . 337. b.
V IS T N O ü , (My?. mod. Alyi/i.) c ’eft, feloniesBramines,l’un
des trois grands dieux de la premiere claffc , dont les autres
font Brama 5 c Ruddiren. X V I I . 337. b. Doftrine des Bramt-
ncs fur l’ordre, l’origine 8c les fonéHotis de ces trois divinités.
Femmes 8c fils de Vùlnou. Ses dix incarnations. Ce dieu eft le
plus refpeélé dans le royaume de Carnate. Ouvrage à conful-
ter. Ibid. 338. a.
Vifinou. Doélrine des Siamois fur cette divinité. X V . 149.
a. Arbre qui lui eft confacré dans le Malabar. Suppl. I.
344. a. Métamorpliofe do Viftnou en ver ou en caillou.
Suppl. IV . 706. a.
V IS T N O U V A , (H iß. des bramincs) fcéle de braminos
qui regardent Viftuou comme le dieu fiiprême. Subdivifion de
cette feCleen deux autres. X V ll. 3 38. a. Marques qui les diftin-»
gueiiî. Ibid. b.
V IS T R E , ( Géogr. ) fontaine près de Nîmes. XI, 89, b.
V IS T U L A , (Géogr. anc.) grand fleuve que les anciens
ont pris pour^borne, entre la Germanie 8c la Sarmaiie. XVJI.
338. b.
V istule, la , (Géogr. rnod. ) defeription du cours de ce
fleuve. Rivieres qu’il reçoit. Pont de la Viftule dans la ville de
Thorn. X V l l . 338. b.
VISUEL , rayon , ( Optiq. ) XIII. 836. a.
VISU RG IS , ( Géogr. anc. ) aujourd’hui le Wefer ; il
faifoit la féparation entre les Romains Sc les Chérufques.
Défaite de l’armée romaine fur fes bo.-ds. XVII. 3 38. b.
V IT AK ER ^ ( Guiâaiime) théologien anglois. IX. 236. b.
V IT A L , ( Econom. anim. ) fohftions vitales. Efprits vitaux.
X V l I . 3 3 9 .<t. Vital. Aélion vitale. L 122. a. Subftance vitale répandue
dans l’air, felon B oyle. 236. a. Faculté vitale. VI. 363.é —
371. rf. Chaleur vitale. III. 31. u ,Z>.Feu vital. VI. 839. u.Fonc-,
. tions vit.ales. V II . 31. tf. Forces vitales. V II. 124. b.
V IT E L L IU S , ( Lucius ) trait de flatterie de ce courtifan à
l’égard de Caligula. VI. 846. a,
VITEREE , ( Géogr. ) ville d’Italie dans l’état de, l’é glife,
capitale du patrimoine de faim Pierre. Fondation de cette
ville par Didier, dernier roi des Lombards. X V l l . 539. a.
Defeription de Viterbe. Fertilité de fon territoire. Obfervations
fur les eaux chaudes qu’on trouve au fud-oueft , à un
mille de Viterbe. Couvens à une petite diftance de cette
ville. Ouvrage à confulter. Obfervations fur deux hommes
de lettres, nés à Viterbe 8c fur leurs ouvrages : Jean Nannius,
appelle ordinairement Anuius de V iterbe : Latinus Latinius.
Ibid. b.
VIT ES SE, ( Méchan.) comment on doit eftimer la force
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