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Lcv.iin f.iùpUow afoibli. C e qu’on entend par-là. Ufages
■ des levains en médecine. Préparation que faifoit Amauld de
'Villeneuve d’une cfpetc de véficatoire avec levain. Suppl. 111.
74j.d.
Lewiin vtrd ou jeune. Qualité du levain qu’on doit prendre
pourpcirir. Lcsfermens ont un teins où ils font plus aélifs 6c
plus contagieux , qu'ils ne le font dans leur commencement
& dans leur dernière maturité. C e ft par-l.n qu’on peut expliquer
l’article de la loi pour chap.xiij. du Lévitiq.
qui dit que fi la Icpre couvre entièrement la chair, fi elle
efl à fon dernier degré , l'iitimme doit être pris comme s’il
éioit pur. C c d aiilTt par cette raifon que la petite vérole
cd plus contagieufe quand elle commence à fccher. Suppl. III.
73Î-
Zfvj/Vi, vo_)'fç Fermant. Levain de bierre , voyr^ L evure.
L E V A N A , {Myihol. ) divinité tutélaire des enfans. Cérémonie
qui lé pratiquoit à la naiiliince d’imenfant, 8c à laquelle
«lie pivfidoit. Elle uvoit les autels a Rome. IX. 433. b.
L E V A N T , te : l'Orient, ( Cioimm. ) Difiérence qu’on met
entre ces deux mots , dans le commerce 6c la navigation.
Ufage du mot arien: dans I’hidoirc. IX. 434. u.
L e v an t , {Ajbvrn. ) IX. 434. a.
L ev an t , fGfégr. ) iX . 434. a.
Levu/ti. Différence entre pays d’orient 6c pays du levant.
X L C42. i . Eehclles du levant. V. 23 3. i- Enfans de langue,
que le roi ciiiretieni au levant. 663. u. Droits qu’on paie
au levant pour l’entrée 6c la lortic des marcliandifes. 908. a.
Précaution à l’égard des vaiffeaux qui viennent du lcv.mt.
X m . 638. b.
Levant 6’ couchant, {^Jurifpr. j IX. 434. a.
L l U C .A D E , ijle, {^ücogr. une.) fa dtuation 8c fon étendue.
Elle ctoit jointe tiriginairement à la terre ferme. IX.
434. a. Con meiit elle en a été fcparce. Pourquoi quelques
écrivains ont continué de l’appelkr prdqu'ifle. Ibid. b. On
la nomme atijourd’liui jainte-Maurc ,voyct{^ ce mot.
Llucade , {^Geo^r. rt«c.) ville ancienne de Tide Lcucade.
Elle devint d'abord irès-liorillante. IX. 434. a.
\.LVC,\\>E,p!vinuntvirede , i^Géogr. anc.j promontoire d’A-
cainauit’ , auprès de la ville de Leutade. Pourquoi ou l’appdloit
Leiicude : divers feutimuns lur l'origine de ce nom. Dderip-
tion de ce promontoire IX. 434. é. Le tcmide d'Apollon étoit
bail fur le lommet de cette moiuagne. Sacrifice expiatoire que
les Leiica. iens lui offroicnt tous les ans en précipitant du haut
de ce rocher un criminel condamné à mort. Il y eut aiilfi des
particuliers qui pour le guérir des fureurs de l’amour fc précipitèrent
de ce ineme lieu. C e faut èioit regardé comme un re-
ïiiede l'üuvcraiii , auquel on rccouroit fans renoncer à l’efpé-
rancc de vivre. Cérémonies avec lefqucllcs cette aélion fe
pratiquoit. Ftélions fur lel'qucllcs cet étrange remede fut accrédité,
féié. 433. J. Noms de quelques-uns de ceux quioferent
l ’dTayer. Hiiloire tiagique des amours d’Artéinife , fille de
Lygdamis, 8c reine de Carie. Exemple d ’un Lacédémonien
qui en voyant la hauteur du rocher perdit la fantaifie d’accomplir
fon voeu. l ' vcmion des prêtres d’Apollon pour adoucir
la rigueur de leur remède contre l'amour, 6c lui rendre
le ciédit qu’il avoit perdu. ïb'id. b.
L E U C A T E , (Gfé^r.) Ville du Languedoc. Obfervaiions
hilloriqucs fur ce lieu. Suppl. 111. 705. b.
L E L C É ou jiehillce Giogr. ,inc. j tfle du pont Euxin. Ce
qui la rendit fanieufe. Ses autres noms. Incertitudes fur fa
pofition. IX. 436. a.
L E U C IP E , atomifme de ce philofophc. I. 823. a. V.
431 . « , é.
L E U C Ü M A , ( Grectj.') regiflre public de la ville
d'A thencs. Ufage de ce regiflre. IX. 436. a.
L'euCOMA , ( C'/j/V. ) petite tache blanche fur la cornée de
l’ccil. IX. 436. a. Difiérence entre le leucomu & les cicatrices
qui font la fuite d’un ulcere dans cette membrane. Ibid. b.
f^oye^ A lbugo.
L E U CÜ PH LEGM AT IE , ( Médecine. ) efpece d’hydropl-
fie qui a fon ftege dans le tiffu cellulaire qui meut toutes
les parties du corps. Origine du nom de cette maladie. Def-
cription de la leucophlegmatie généiale. Scs progrès. Ses
caufes.IX.436.é. Expérience qui moiurc comment cette extra-
vafation de lérofué peut avoir lieu. Différente encre la Icuco-
phlcgmatie & l ’anaiargue. PrognolUc de cette maladie. R e mèdes
à employer. IX. 437.
Lcucoplilcgmatie, fignes qui ciahliffcnt la différence entre
cette maladie 8c l’hydropilie proprement dite. V llI . 379. j .
LEUCO PHYLE ,{Bot.m. j.ib,d.) planche fabuleiife. Vertus
que Ls anciens lui attrihuoient. Du teins 6c de la manière
de la cueillir. Autre plante des Athéniens qui avoit la même
propriété. Ibid. 437. b.
LEU CO TH O E , {^Myth. (,• L'itt.j ou Ino. Son hifioire felon
les postes. Réponlé du philofophe Xenopluane aux L.lcates,
qui lui demandoient s’ils fcroieni bien de comiimcr leurs
faerificcs àeetcc déelTe. iX . 438. a. Voye:^ Ino 6c M a t u t a .
LEUCTRE , ( Géogr. anc. ) trois différentes villes de ce
num. Journée d eLcuâ re fatale auxLacédcmomens.lX. 438. a.
Leuflre, ordre fur lequel Epaminonda,s combattit à Leuélre.
XL 608. b. Grandeur d'ame que manifeflerent les femmes
de Lacédémone après la bataille de Leuélre. IX. 133. b.
LEUD A , leudum , Iduda , termes de jurifprndence. IX.
628. h.
LE U D E S , ( ) Etymologie des mots Icudcs , leodes
8c allodes. Terres ancieamement appellees uUu dans les Gaules.
Ufages du mot Ltudes. Suppl. 111. 733. b.
LÉ V É E , en mufique. IX. 438. a.
Levée en blafon. IX. 438. a.
L evée, (^Hydr.) voye^ Jettée. Differentes caufes qui
obligent à faire aux rivieres des digues ou levées. IX. 438. <z.
L evée, {Marine.) IX. 438. a.
Levée des troupes , {Art milité) choix des officiers auxquels
cette ojiération devroit être confiée. Regies particulières à la
France fur la levée des troupes. Elle eft ou volontaire , pour
les troupes réglées 3 ou forcée , pour le fervicc de la milice.
IX. 438. b.
Troupes réglées. Regies pour la levée de ces troupes. Ibid,
b. Quelle étoit la taille militaire dans l’ancienne Rome. D ifférentes
qualités militaires qui dillinguent les nations de l’Europe.
Ibid. 439. a. Pratiques des Romains pour attaclier les
foldats nu fervicc après leur enrôlement. Ibid. b. Réflexions
fur les manoeuvres criminelles qui fe commettent en fait
d'enrôlemens. A qui appartient la connoiffance des con-
teflations pour raifon d’engagemens militaires. Regies
concernant la levée des troupes pour le fcrvice de lu milice.
Les milices font la puiffancc naturelle des états. Corps
des milices de France. Ibid. 440. a. Comment on a concilié
l’intérêt du fcrvice avec l’économie intérieure des provinces
par rapport à la culture des terres. Regies pour la levée de
la milice & les engagemens du foldat. IbiJ. b. Différentes
clalTcs qui jouilTent de l’exemption de la milice. Ibid. 441. d. Réflexions
fur les privileges accordés à ragriculuire. Ibid. b.
Levée des troupes, v oye z Engagement, Enrôlement, Milice.
Levée des foldats chez les Romains. X. 303. é. X V I . 624. b.
Suppl. IV. 672. a , b. &’c.
Levée de tributs.\\l. 6 iJ . h. VII I. 61O. b. X'\'l. 632. tf,'
X \ II. 833. .J, é. — 890. b. Officiels qui les rcciicilloient
chez les anciens. IV . 662. a. Ceux qui les levoient en France
avant l'inflitution des élus. V . 439. h. Levée de la taille dans
les pays d’états. VIII. 809. b. Levées que les papes ont faites
en France. 111. 631. b. VII . iij. Préjuce. Levée des contributions
en pays ennemi. IV . 144. u , b.
Levée, {Lkir.) IX. 441. b.
L evée , ( Agric. ) IX. 441. b.
L evée, {Comm. d'étojf.) IX. 441. b.
L evée , urc de, ( Horlog. ) partie de I'cchappcnient par laquelle
la force motrice eff tranfmife fur le régulateur. D e
l'arc de levée dans une pendule. D e l’arc de levée lorfqu»
le régulateur cft un balancier. D e l’étendue de cet arc. Il iid
varie point par le plus ou le moins de force motrice qu’i&
peut recevoir. Caufes qui exigent plus de force motrice dans
les pendules, 8c dans les montres. Principe pour la grandeur
de l’arc de levée dans les pendules & dans les montres. D é terminer
exaélement la force précife qui doit être employée
fur l’arc de le v é e , eff un problème digne des plus grands
géomètres. Q ueftion difficile a réfoudre : pourquoi les vibrations
d’un balancier font accélérées par l’élafficité appliquée,
du reflort fpiral. IX. 442. a. Des avantages qu’on poiirroit
tirer de la force élaftique .dans plufieurs arts méchaniques.
Opération par laquelle on peut mcfuier la force précife 8c
iiéecffaire pour entretenir le mouvement dans les pendules
& dans les montres. D e l’arc de fupplément. Pourquoi il
faut dans les montres plus de force motrice furahondante.
à l’arc de levée , que dans les pendules. Ibid. b. Arc de l’Jior-
loger dans l’adminiffration de'la force motrice. Comment il
faut fe lérvlr de l’arc de levée pour marquer le ccnti'e d’é chappement./
iiZ 443. a. Poye^ A rC.
Levée , terme de lingere , de méclianique, de maréchalle-
r ie , de moulin à papier , de riviere , de rubannerie , de
tilî'crand, de jeu de cartes. IX. 443. a.
LE V E L IN G , (//«ri Pulmatius) anatomiffe.5u/>/?/. I. 414.«,
LE VEN TI , ( terme de relation) foldat turc de g a le re ,
qu'on rencontre en affez grand nombre à Conftantinople.
Moyens d’éviter l’infultc de cette canaille. IX. 443. b.
L E V E R , un plan, {Géom.) Détails fur la manière de
faire cette opération. IX. 443. b. — voyc^ Plan , ( lever un. )
Lever, ( Ajlron.) lever du folcil ou d’un affre. Effet
de 1.1 refla tion fur le moment du lever. Lever c o l i que
, acronyque 8c héliaque. Sirius caché par le Ibleil lef-
pace de 40 jours. Sauvages d’Amérique qui règlent leurs
années fur le cours de cctcc étoile. IX. 443. b. Poye:^ an
mot Globe , la manière de réfoudre quelques problèmes fur
le lever des affres.
Lever , ( Ajlron. ) d’un affre. Suppl. III. 733. b. Moment
du lover afhonomique. Métliude pour calculer l’arc fem:-
diunie d’un affre , par lequel on a l’heure de fon lever. Con-
vcrfion de cet arc en parties du teins. Application de cene
métjiode
P L E V I 'î ■ méthode i U recherche du lever & du Coucher de la lùne.
t ’ JpiJ, 736. a. Comment on peut trouver le lever & le cou-
. -f: . ,;(,er d'un affre par le moyen du globe. Diffinélion que les
■ i" anciens faifoient de trois fortes de lever 8c de coucher qu’ils
.ippelloieni liéliaqiie , cofmique 8c aciironiquc. Rap|>ort
- f - , } du lever héliaque de Syrius avec le calendrier des anciens
Egyptiens. Ibid. b. Recherche du coucher héliaque de cette
'i ' étoile en 1730 pour la latitude de Paris. Explication du lever
j: Sc du coucher des étoiles , Sppellé cofmique, & achroni-
% que. Sorte de confiifion qui fe trouve fur tous ces pheno-
1 nienes aftronomiques dans les anciens auteurs, 737. a.
V I, Lever-, achroiiique , cofmique, 6c héliaque. Voyer^^ ces
\\ mots. Etoiles qui ne fe lèvent jamais. 1. 491. rf. Couleurs des
-, ombres des corps lorfqiie le folcil le lève. IV. 332. b. Suppl.
^ >; IV. 143. a , b. D e la maniéré de compter le jour dqniis
- ; le lever dti foleil. VIII. 890. -r. Pourquoi k froid ou la frai-
X-- . cheur augmente après le lever du foleil. VU. 317.'/.
•' ■ Lever un fiege. ( A n milit. ) Raifons qui engagent à lever
■ un fiege. Moyen d’en cacher le delfcin aux affiégés. Précau-
. tion de détruire toute munition qu’on eff obligé de laiffer.
i- : Ordre dans lequel on doit lever un fie g c, lorfqu'on ne
craint pas les attaques de la garnifon. C e qu’on doit faire dès
* i qu’on s’apperçoit de la iiéceffîtè de lever le fiege. En quels
I- S cas la levée d’un fiege n’a rien d’humiliant. IX. 444. a. Lorfqu'on
eff obligé de lever un fie g e , on doit ravager une
'j bonne partie du pays. Motifs de cette conduite. Ib.d.
Lever , {Jurifpr. ) divers ufages de ce mot. IX. 444. b.
? Lever , ( Murine ) divers ufages de ce mot. IX. 444. a.
I Lever, en ternie de Finance. IX. 444. b,
'.À' j Lever , ( Comm. ) lever de l’étoffe. Lever boutique. IX.
J .1 444. b.
' 'ÿ, 1 Lever terme de blondier. IX. 445. 3.
-g Lever , {Boulang.) IX. 443.
• Lever , ( Jardin. ) maniéré de lever un arbre en motte.
^ Soins qu'il exige après le tranfplantation. IX. 443. a.
? \.V.\'EK la lettre , { Imprirn.) IX. 443, a.
'■ tj > Lever , {M.mcg. ) une des trois aélions des jambes d'un
•î; !| cheval. F'ojtq A ir. Comment doit être le lever des jambes
Æ- w pour être bon ; lever le devant à un clicval j lever haut ;
I lever le derrière. IX. 443. a.
I L t-VIK te fcmple , {M .um f.cn fo ie .)\y i. 4.^^. a. i L e v ih , ( r,uwtm. ) IX. 4 ,,î. 4.
I I.FV £R ,/ c , {P h y jio l.) aétion par laquelle l'homme fe
j levé dedeffusun fiege. IV . 637. a. V . 903.^.
I LEUGAIRE , colonne , ( Lin. ) colonne itinéraire des Ro-
.jé;' I mains , découverte dans les Gaules. Singularités qui tliffinjV
'1 guent ces colonies itinéraires de celles de tout antre pays.
jÉ Origine du mot leuga ou Iconga , qui fignifie lieue. IX. 443. b. 1 Leugaires, colonnes, découvertes en Allemagne. Suppl, IV .
:7' 3 56. b.
L E V I , qui r/Z lie, {Hiß. fac.) fils de Jacob 8c de Lia. Hlf-
loire de ce patriarche. Suppl. III. 737. b.
L E V IA TH A N , {Théolog.) nom de U baleine dont il eff
jsarlé. Job. XLI. Pbifantes chofes que les rabbins en ont
écrites. I.eviathan eff le nom hébreu du crocodile , felon
Bocliart. IX. 443. b.
Leviathan, voycç à l’article Messie , quelques-unes des
rêveries des Thalinudiffes fur le léviaihan. X. 404. a.
Leviathan , ouvrage de Hobbes. V . 133. a. V l l l . 232. é.
137. a , b. &c.
L E V IE R , ( Médian. ) étym. Sc définition. IX. 443. b. Le
levier eff la premiere des machines funplcs. Trois chofes h
confidérer dans un levier. Leviers de trois cfpeces. Principe
ou théorème fur la force du levier. La puiffancc doit être
au poids en raifon réciproque de leurs diffances de l’appui.
Etant donné le poids , fa diffance a l’appui, Si la diffancc de
la puiffancc au même appui, trouver la puiflance qui foutien-
dra le poids. Le p in qu’on fait du côté de la force eff toujours
accompagne d’une perte du côté du tems Sc réciproquement.
La pulffaiicê eff plus grande, ou plus petite, ou
égale au poids , félon que la diuance du poids a l’appui cft
plus grande ,o u plus petite ou égale à celle de la puiffijncc.
Ibid. 446. a. Efjicce de levier que la nature a employé le
plus fréquemment dans le corps humain, Quand deux puif-
fances agiffent parallèlement aux extrémités d’uii levier 8c que
le point d’appui eff entre deux , la charge du point d’appui
fera égales la fomme des deuxpuiffances , 8cc. Les propriétés
du levier font plus difficiles a démontrer rigoureufement
lorfque les puiffances font paralleles,que lorfqu’elles ne le
font pas. Ibid. é. Explication d’un paradoxe de méclianique,
par lequel on embarraffe ordinairement les commençans,
au fujet de la propriété du levier. Inventeur de ce para-
do.xc. Ibid. 447. a.
ievRT, point d’appui d’iin levier: charge du point d’appui. 1- 3 39- Z». 360. a. Levier hétérodromc, VIH. 190. .t, b. Levier
liomodrome. 281. b. Sur la théorie des leviers, voye^ Balance
& Point d’appui. I. 339. é. II. 23. u , i!>. Payez aufTi
l’article Poid s . XII. 830. é.
àms l’art de bâtir, IX, 447, i.
L E 117
I,EVIER, (charpente. ) IX. 447. b.
Levier , {Horlog. ) qui fort à égaler la fufée :m reffort.
Dc-ftripiiüii ÖC ufage. IX. 447. b.
L evier, {J.udm.) IX. 448. a.
L E V IS , pont- ( A n wilit. ) XIII. 40. b. 73. a , b. 74. ei.
Lev is , /;u«r- {KUmege.) XIII. 74. b.
LEVITE-, {Théolog.) D ’oii vient le nom de Levi, chef
de la tribu des Lévites. Obfervatlüiis fur les Lévites. IX.
448. a. Dénombrement des Lévites pur Salomon. Divers
enipleis auxquels il les voua. IX. 448. b.
Lévites , diffribués en différentes chiffes nomméc.s éjihé-
méries. V. 772, b. Pourquoi ils ne payoient aucune redevance.
VIII. 380. a. Fonction de portiers du temple que faifoient
les Lévites. X lll. 147. b. Danfe.s des Lévites. FV. 623.
b. Perfonne chez les Juifs modernes ne peut fc dire de race
L-évicique fans des prétemions imaginaires ; peiits privileges
de ceu.x qui y prétendent au m oyen de quelques titres ajipa-
rens. III. 603. b.
Lévitique, ( Théolog.) livre de Moifo. Origine de fon
nom. IX. 448. b.
Lévitique. Obfervations fur ch. XIII. '5^. 13. Suppl. III. 73 3- -t-
Lévitiqües, {Hiß. c cd.) btanchc des Gnofliques 8c des
Nicolajtes. IX. 448. b.
LE VRAU F , ( 67i,///é. ) En quel mois naiffciu les meilleurs
levrauts. Comment on s’affui-e de la joimeffe d’un levraut
de trois quarts. IX. 448-. b.
LEVRES , ( Anatom. ) Parties dont elles font compofées.
IX. 448. b.
Levies , leur defci iption. V I t l. 268. b. Mufdcs des levres ,
appcllés incifits. VIII. 749. b. Orbiculaires. XI. 373. b. Quatre
de la levre inférieure. X l l l . üéi-^.a. Triangulaire de la même.
XVI. 617. a. Miifcle élévateur des deux \cvvc9,. Suppl.
IL 343. é. Pourquoi lesNegres ont desgioffcs Icvrcs. XL 117.
a. Dillércntesformcsde levrcs.S«/!;;/. 11.343. Labial.
L evres, ou grandes Lèvres, {A n u t.) IX. 448. b.
Levres , ( Phyjiolog. ) expreffions des paflions par les lèvres.
Des niüiivemens que chaque articulation, chaque fon
y pioduifciu. Explication méclianique de tous ces mouve-
mens fi vari-és. Smiéture aiiifi curieufe que peu connue que
les levres offrent à la méditation. IX. 449. a.
L evres , plaies des, ( Chirur. ) Ce qu’on doit faire dans les
plaies occationnccs par desinffrunieiis tranchans > & dans les
plaies faites par ces corps émoiiflês. IX. 449. b.
Livres gerçure des levres. X IV . 243. a. Difformité des
levres appelléc bec de lievre. II. 183. a.
Levres, {Hijl.mod.) anneaux aux levres par ornement.
I. 479-
L e v k e , {Bot. ) levre des fleurs. Fhycç Fleurs LABiÉESi
IX. 449. b.
L e v r e s , {Conchyl.) IX. 449. b.
L evre , ( Archie. ) Foye:^ Gampane. IX. 449. b.
Levre de cheval, { Maréch. )cheval qui s’arme de la levre
ou fe défend de fes levres. Qnellc-doit être l’cmboucimre
pour rcnipcclier. IX. 449. b.
L E V R E T , fon traité fur les accouchemens. VII. 123.
A .Sur les polypes de la matrice, de la gorge 8c du nez.
XII. 931. b. Ses ouvrages phyfiologiques. Suppl. IV. 361. a.
LÉVRIERS , (C/ru/Jé.) Diftéremes cfpcccs. D e quels pays
viennent les meilleurs. Différentes clvaffcs auxquelles ces
cfpeces font propres. Levrons d’Angleterre. Lévriers h arpes,
gigotes , nobles, ouvres. Comment on leur parle à la chaffe.
IX. 449. b.
L évriers , ( Aßron. ) Conffcllation. Suppl. II. 397. b.
L evrier , {BLijon. ) Differentes manières de repréfenter
les lévriers dans les armoiries. Etymologie du mot. Jeune
lévrier am)cllé lévron. Suppl. 111. 7'37- b.
LE V R O U X , (Géogr. ) ville de France dans le Berry. Marques
de fon antiquité. Momimcns qu’on y a trouvés. Etymologie
du nom de cette ville. IX. 430. a.
LEURRE , ( Fauconn. ) acharner le leurre. Duire un oifeau
au leurre. I.eiirrer bec au vent. IX. 430. a.
Surprendre,Duper Tromper,{Synon.) X V. 693. b.
LEUSD EN, )profeffeur d’iiébrcu à Utrecht. X V I I .
563. a.
L E U T K IR CH , {Géogr.) ville d’Allemagne en Souabe.
Obfervations fur la vie 8c les ouvrages de Jean Faber, de
l’ordre de S. Dominique, qui naquit dans Leutkirch. IX,
430. a.
L E U TM AN N , {Jean-George) fon ouvrage intitulé Vulca-
nus framulans. VII . I48. 8. b.
LE U T SCH A U , ou ou Lewoi^ , ( Géogr. ) v ille de la
haute Hongrie, capitale du comté de Zyps. Son origine. D é-
faffres qu’elle a elTuyés. Suppl. III. 737. b.
L E V U R E , ( Brajferie ) écume qu’on tire de la biere lorf-
qu’elle fermente. Pourquoi l'on s’en fert en faifant le pain.
IX. 430. a. Origine de cet ufage en France. La faculté de
médecine l’a déclaré niiifible. Ibid. b.
h^vVKZ, {Boulang. Br.ijf.) levure de biere. Comment
on la tire de la biere. Deux fortes de levain qu’on en forme,
C g
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