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Sagesse , U w de la ( Théolog. ) l'un des livres de l’ancien
tertament. But de cet ouvrage. Le texte original de ce livre
crt le grec , & il ii'y ^ «l'ile apparence qu’il ait jamais été
écrit en hébreu. Traduélion latine que nous en avons. L’auteur
do ce livre ell entièrement inconnu. Quelques-uns l’ac-
tribiiciit à Salomon , d’autres à Philon ; Grotius penié que
ce livre d l d’un Juifqui l'écrivit en hébreu depuis Efdras ,
iji avant le pontificat du grand-prêtre Simon , & c . XIV.
497. l>. Cornclitis-à-Lapicle lotipçonne qu’il pourroit avoir
été écrit par l'im des léptante interprètes. Examen de ces
diftérens léntimens. Raii'ons pour & contre la canonicité de
ce livre. Quel en cil l’aiueiir , félon les Mufulmans. JM.
498. a.
Sagesse , foeurs de la ( Hiß. eccl. ) Voye^ H o s p it a *
E-IERES.
S.A.GGONAS, {Hifl. mod.) prêtres ou chefs d’une feéle
établie parmi les negres de l’intérieur de l’Afrique , & que
l'on nomme Belli. Cette fefte fc confacre à réducation de
h jeunefié. Objets de cct;e éducation. Fêtes qu’on célébré
lorl'qu'un faggona remet fon éleve à fes parens, ü b leiv a-
lions fur l'idole dtl dieu Belli. X IV . 498. a.
SA G IT T AIR E , {Aßron.) cette conllcllation nommée
C r o to n . S'üpp/. 11.65 6. b. Moyens d elà connoitre dans le ciel. 0 7 . b. Etoile changeante du lagitiaire. 896. b.
SAG ITT ALE,yumr« , {Anatom.) la féconde des vraies
futures du crâne. M. Htinauld a fait voir à l’académie des
fciences, le crâne d’un enfant de 7 ou ans , où il ne paroif-
füit aucun vefiige d e là future fagittale. X IV . 498./-.
S A G IT T A R IA , {Bot. exoï.) defeription de cette plante.
Lieux oil on la cultive. Propriété qu’on lui attribue. X IV . 498. b.
SAG IT T A R IU S , ( Gajpard) fa patrie , fes ouvrages. IX.
742. ,1.
SA G O N T E , voyei Sa g u n t u .m .
SAG OU , cfpece de fécule ilell'échèe qu'on tire dans les
Ind o orientales de la moelle cl'une efpece de palmier nommé
M.uiiere dont on rire & dont on prépare le fagoii.
X IV. 499. a.
S.\GOU , {Butan. Econ. domeß. Médecine) gomme-farine,
ou gluau des palmiers des Indes. C e i l la moelle de ces
arbres avec laquelle on fait le f.igoii. Terme de leur ac-
croilTement , auquel leur moelle eü le plus farineule. Comment
on connoit que la moelle ell prife a propos, 6c qu'elle
contient beaucoup de farine. Kétolte de cette fubltance.
Suppl. IV . (192. b. Maniéré de la préparer felon les ufages
ati.xqucls on la dcilinc. F.ibilcacion du pain de fagou. Ses
qualités. Propriétés médicinales du fagou. Ibtd. 693. a. Manières
de préparer celui qu'on a traiifporté en Europe. Q u a lités
qu'on lui attribue en médecine. Ibid. b.
S.:i’uu , palmier du J.ipon dont on le tire. X V I. 189. a.
X V l i . 689. a. Volume VI. des planches, Regne végétal ,
planche 97.
S.-VGOUIN , {Zoolog.) efpece de finge. X V . 209. b.
SA G R A , ( Geogr. anc. ) riviere de la grande Grece. Origine
dtl proverbe qu’on employoit quand quelqu’un refu-
î'oit de croire une chofe , cela eß plus vrai que la bataille
de Sagra. Conte qii’on a fait au fujet de cette bataille. XIV.
499. a.
S A G VM , {Littér.) cafaqtie des foldats romains. VIII.
13. b.
S A G U N TUM , { Geogr. anc.) ville d’Efpagne. Ses révolutions.
Sa fituatlon près de la me r, marquée fur quelques
médailles. Pavé de mofaïque trouvé près de cette ville eu
1745. X IV . 499. b. Morvedro.
S.iguntum. Deflruélion de cette ville. Suppl. I. 442. a.
SAHAB I , {Hiß. du mahomciifm.) compagnons de Mahomet.
X IV . 499. b. Q ui étoiem ceux à qui cet honneur
écüit accordé. Laiir nombre. Dilb'ibution de ces fahabi en
pitifieurs clalîés. Ibid. 500. a.
SAHAN , (Grogr.) mariages des habitans de Sahan en
Arabie. Suppl. I. 508. a. Eloge de leurs moeurs, Ibid,
SAH A R A , ( Géogr.) oexSara , Znra , 6* Za/iara , grand
défert d’Afrique. Defeription de ces dèfens. Précautions que
prennent les v cjagetirs qui les traverlcnt. Dangers qu’ils
courent. X IV . 500. a. Foyei ZaaRA.
SAHEL , jorct J e , ( Géogr. ) en Afrique. Suppl. I. 83. h.
86. a , b.
s a ï g a , ( Hiß. nat. ) animal quadrupède qu’on dit ref-
fembler alTez au chamois. Contrées qu’il liabite. Qualité
de fa chair. Vers dont il eft rempE entre cuir 6c chair.
X IV . 300. bé: . ■
Sa ïg a , {Monn. ) Valeur de ceteeancienne monnoie. Comment
elle nous elt connue. X IV . 300. b.
SAIGNÉE , {Médcc.) Hißoire de la faignée. Le premier
exemple que nous en a y ons , remonte à la guerre de Troye.
Doétrine d’Hippocrate fur la faignée. X IV . 301. a. Ufages
qu'en firent, 6c principes qu’adopterént fur ce fujet , Dio-
cles de Caryfic , Chryfippe médecin de Guide , Erafiilrate ,
Sérapion & Philiniis , Héraclide Tarentin , Afclépiadc qui
exerça la médecine a Rome , 8c Thémilbii fon difciple.
S A I
Ibid. b. Doârine de la feéle des anciens méthodiques fur
la faignée. Celles de Celfe , de Galien , Ibid. 302. a. d’A-
retée , d’Oribafe , d’Aètius , d’Alexandre de Tralles , 6c
de Paul d’Ægiue. Ibid. b. Regies qii’obferverent fur le même
fujet les médecins Arabes , 6c particuliérement Avicenne 8c
Albticafis. Ibid. 303. a. Les ouvrages des auteurs grecs
étant devenus communs au commencement du feizieme
fie cle , on négligea les Arab es, 6c les vrais léglllateurs de
la médecine rentrèrent dans leurs droits. Maximes de Brii-
fot , célébré médecin de Paris , fur la faignée. Les médecins
de ce fiecle partagés en fix opinions différentes , an
fujet de la faignée dans la pleuréfie. Ibid. b. Ouvrage de
Botal intitulé , de curaiione per fanguinis miffionem. Effets de
cet ouvrage : excès qu’on fit de la faignée. La découverte
de la circulation du fang publiée en 1628 par H a rv é e , ne
fervit qu’à aigrir 6c à multiplier les difputcs. Reproche qu’on
peut faire à Sydenham fur fa pratique dans la fiiignee.
Willis fouillis fur cette matière aux leçons de Botal. O uvrage
de Luc-Aïuoine Portius contre Willis. Ibid. 304. a.
M.iximes de Bellini lur la faignée 6c fur ■ fon ufage. Cet
auteur attaqué par Heyde. Hilloire de la faignée dans le dix-
huitième fiecle. Ibid. b. Difpiites entre MM. Hecquet ôc
Andry. Ouvrages de M. Sylva. Les feiitimens de MM.
Bianchi 8c Hccquet attaqués dans cet ouvrage. Defenfes
de ce dernier. Ibid. 303. a. Auteurs qui combattirent M. Sylva
dans tous les points de fa doélrine. Divers ouvrages publiés
fur la faignée jufqu’cn 1739. Ibid. b. Doflrines de
Stahl, d'Hoffman, 6c de Boerhaave , lur cet important objet.
Ibid. 306. a. Des effets de la faignée. Tableau des effets
des hémorrhagies 6c de la faignée faite fans ligature dans
un adulte fain. Ibid. b. C e que les médecins entendent par
dérivation 6c révulfion. Ibid. 307. a , b. Examen des effets de
la faignée faite avec ligature, comme on la pratique communément.
D e la faignée au bras. Ibid. 308. a. De la faignée
du pisû.Ibid. b. D e celle de la jugulaire. Veines qu’on
a coutume d’ouvrir au bras. D e l’artériotomie 6c de fes
effets, ibid. 509. a. Ufage de la faignée. Mauvais effets des
abus de ce remede 6c de ce qu’on appelle faignée de précaution,
Ibid. b. Autre abus de la faignée , lorfqu’on la fait
précéder fous le nom de remedes généraux, avec les purgatifs
, aux remedes particuliers , quand il n’y a point de
Cüntv’indication grave. Ibid. 510. </. Indications de la jaignèe,
La pléthore générale ou particulière , 8c la confillance du
fang trop épaiffe , coéneufe , inflammatoire , font les deux
feules indications qui exigent ce remede. Comment le plus
grand nombre des médecins peclieiit contre cette maxime.
Ibid. b. Symptômes qui .annoncencAa pléthore 6c la con-
fifiancc inflammatoire, Ibid. 31 1. a. Curation de la plétliore
par la faignée. Les fréquentes faignées affujettiflént au be-
foin de laigner , 6c le fang n’eff jamais uulfi pur dans les
fiijets qui font tombés dans cet abus. D e la faignée dans les
inflammations. Ibid. b. Les hémorrhagies , la vivacité des
douleurs , l’excès de chaleur , une tievre t r ^ forte , ne
font point par eux-mèmes des indications fuffilantes de h
faignée. Effets de ce remede dans ces différens cas. Ibid.
312. a. Contre-indication de la faignée. Ibid. h. Tems de
taire la faignée. Ibid. 313. a. Choix du vailTeau dans la pléthore
générale : lorfque la pléthore eft particulière. Ibid,
b. Quantité du fang qu’il convient de tirer. Ibid. 314. a.
D u nombie des faignées dans les inflammations. Ibid. h.
Saignée, de la faignée dans les inflammatioiis. V l l I . 719.
4 , b. Dans les maladies inflammatoires. 723. a , h. Effets
de la faignée ; la déplétion 6c la fpoliation. IV . 861. b. La
dérivation 6c la révulfion. 868. b. Dérivation 8c accélération
du fang produite par la faignée. Suppl. IV . 728. b.
La faignée produit quelquefois des phénomènes qui peuvent
la faire regarder comme révulfive. XV II . 203. b. Danger
de s’accoutumer à des faignées périodiques. XII. 761. b.
Inconvénient de leur fréquence.-XIV. 612. b. Réflexions
fur i’ufage de la faignée. X V . 44. b. Perfonnes qui aifillenc
à la faignée du roi. XI. 781. a.
Sa ig n é e , ; Chir. ) l’ouverture de l’artcre fe nomme artériotomie
, 6c 'e lle de la veine phlébotomie. Voye^ ces mots.
On dit que l’hqipopotame a appris le premier aux hommes
l’iifage de la faignée. Veines que les anciens faignoienc à la
tête. On peut fe difpenfcr de les ouvrir en faignant la jugulaire.
X IV . 314. b. Veines qu’on a coutume d’ouvrir au
bras. Celles qu’ou ouvre au pied. Détails fur la manière
donc fc fait l’opération. Ibid, 313. a. Remarques particulières
fur cette opération , relativement au lieu où on la
pratique , Sc à diverfes précautions qu’un doit prendre.
Particularités à obfcrver dans la faignée de la jugulaire ,
6c dans celle du pied. Ibid. b. Des accidens de ia faignee.
Ouvrages à confulter. Ibid. 316. a.
Saignée , obfervatioits fur la maniéré de faigner des anciens.
Flammctte à reffort dont les chirurgiens allemands fc
fervent. VI. 842. a. Quatre fortes de lancettes , en ufage
pour cette opération, IX. 239, a , b. D e la maniéré d’apph-
quer la ligature. IX. 317. b. Ligature pour faigner U veine
S A I
jugulaire. Ihid. Machine approuvée pour la faignée de cette
veine. 318. a. Baud.ge pour la lâignée du pied. V I. 81.
a , b. Omervacions lur le mouvement par lequel le chi-
nirgieii incife la veine. V. 303. b. Mefure ordiimire d’une
faignée. XI. 781. a. Comment on juge de la quantité de
fang tiré dans une faignée du pied. ibid. b. Tumeur formée
par un fang éjiaiKlié en conféqucnce d’une faignée.
XVI. 300. b. D e , laiguées au bras, dans Icfquelles i’arierc
a été percée. Suppl. L 823. b. Ne rf 6c tendon qui peuvent
être bleffés d.m» la même opération. 824. a.
Sa ig n é e du ch e va l, {Mwech.) Suppl. III. 413. b.
Sa ig n é e , ( Anh.-t. ) XIV. 316. a.
Sa iGNEE de Jiiuciffon , { A i t milii.) X IV . 316. a.
Saignée d 'u n ju f é , {Art miUt.) XIV. 516. a.
SA iGN EM EN T , voyc^ H é m o r r h a g ie .
S a ig n e r du {À m l l .) piece de canon quifiùgnc du
nez. X IV . 316. a.
SA/I , ( Géogr. anc. ) ancien peuple de Thrace. Détails
fur ce peuple, tirés de Scrabon. X l \ . 316. b.
SA IK ILO , efpece de plante. S'/i/j/i/, II. 91. b.
SAILLIE , {Art d'ccnre) Pour peu qu’on confidere les
chofes avec une certaine étendue, les faillies s’évaiiouilfent.
Elles ne doivent leur fuccès qu’à la frivolité d’elprit. X IV .
516./».
Saillie , voye^ BON MOT. X. 763. b. 764. a.
Sa il lie , {Chirurg. ) Saillie de l’os apiès l’amputation par
1.1 forme conique qu'a prife le moianon : moyen d’v rtiué-
dier. IV . 849. b.
Sa il lie ou projeâure , {Archit.) X IV . 517. a.
^ Sa il lie , ( Danje ) ou pas échappés de deux pieds. Maniéré
clout ils s’exécutent. X IV. 317. a.
SAILLIES , ( Géogr. ) petite ville de France. X IV . 317. a.
SAIN , ( Critiq. Jjcr. ) acception de ce mot d.ms récriture ,
X IV . 317. a. 6c dans les auteurs profanes. Ibid. b.
Sa in , ißc de , ou Sayn , {Géogr.) petite ifle fur la cote
méridionale de la Balîé-Brctagnc , vis-à-vis la province de
Conioiiailles. Oracle que les cJruidefl'es rendoiem dans cette
ifle. Origine de fon nom. XIV. 317. b.
SAINFOIN , ) Caraiieres de ce genre déplanté.
Scs efpeces. Delcription de la principale. X IV . 317. b.
Sainfoin d'Ejpagne. V l l l . 93. b.
S a in f o in , {Agricult.) diftérens noms de cette plante.
X IV . 317. b. Culture du lainfoin felon la nouvelle méthode
d eM . Tull. Ibid. 318. J , i. Le fainfoin mérite d'être cultivé
avec foin , parce que c'elt une des- plantes de prés les
plus profitables. Ibid. 319. a. Du tems où on doit le faucher.
Sa paille ferrée à propos peut fervir de fourrage au
gros bétail. Façon de fanner le i'ainfoin. Ibid. b. Récolte de
celui qu’on a laüTé mûrir pour la graine Ibtd. 320. a. On
ne doit pas laifl'er paître les fainfoins par les belliaux. Moyen
de rajeunir des pieces de famfoin où le plant feroit laniiuif-
fimr. Ibid. b. e t .
Sainfoin , ufage de la houille pour fa culnire.^VIII. 324.
a. Danger de le lailTcr paître de trop prés. VI. 634. b. Tems
où l’on doit le faucher ; diverles onfervations relatives à
fa culture. V l i . 248. 9. d. Suppl. 111. 836. a , b.
Sa in f o in , {Mat. mcdic.) Ufage qu'en faifoient les anciens.
Subfiitution des feuilles de lainfoin au thé verd. XIV.
520. b.
Sainfoin , fes propriétés falutalres. Comment on doit le
donner en nourriture aux clievaux. V II . 249. a.
S A IN T , {Théolog ) différens ordres d’iiommes auxquels
on a donné en divers tems le nom de faint. XIV. 320. b.
Le nombre des faims reconnus pour tels , eff prcfque infini.
Mais l’églife veut qu’on ne retonnoilTe pour faims, que
ceux dont on a des aftes authentiques. Ouvrages volumineux
fur ce fujet. Ibid. 321. a.
Saint , canonifation des faims. II. 619. b. Anecdotes fur
M. de Launoi , relatives à ce fujet. XVI. 823. a. Chroniques
des faims. 111. 388. b. Vies des faims. XVII . 237, a.
Obfervations fur ces vies écrites par les légendaires. IX.
346. b. 347. a , b. X. 1Ö9. b. Celles d’un auteur efpagnol
fur la maniéré dont les auteurs eccléfiatliques ont écrit les
vies des faims. X V . 904. a. Jéfuites d’Anvers qui recueillent
tout ce qui concerne ces vies. II. 314. b. Livre oîi les Grecs
ont recueilli la vie de leurs faims. X \ . 746. a. Saints thaumaturges.
X V I . 223, ^.Saints tutélaires. 763. b. Voyc[ Ma r t
y r s .
Sa in t e s , ( Théolog.) Caufe des excès d’adoration où les
chrétiens font tombés envers les faintes. IX. C i. b. Ob-
fervation fur la vie des faintes de ces derniers fiecles. XL
531. b.
Sa in ts , {Sorts des) efpece de divination. X V . 379. a ,
b. 380. a , b.
.Sa in ts , communion des ( Théolog. ) III. 731. b.
Sa in t , le {H iß .judaiq.) partie du temple de Jérufalem.
C e mot fe prend aufli pour tout le temple , ou même pour
le ciel. Partie du temple appellée le fiiim des faims ou le
fanéluairc. X IV . 521. a. Voye^ Sa n c tu a ir e .
S A I 623
Saint des famts : ce lieu du temple cfi fouvent appelié
loracle dan, le. livres facrés. XV II 497. **
AiNT , f iin u u , ( Cntiq. facr. ) Significaiions 6c ufages
de ces mots dans lécnture, XIV. 321. a.
Sa in t , {Géogr.) Origine du nom de 'faint & de fainie,
donne a plufieurs lieux. X IV . 321. a
Saints luux. VII. 213. h. 482.'é.‘ VIÎL 74. Q iofes
faunes. III. 373. b. Loi faime, IX. 670. j . '
^ morceau de Newton fur
cette niaiiere. Trois chofes , Iclon lui , donncicnt oc-
ca ion a ce culte ; les fêtes célébrées en méinoire des martyrs
, a coutume de prier auprès do leurs fi'pulcres , les
prenemius miracles opérés par leurs reliques. XIV. «21
b. Commencement du culte qu’on rendit aux faims. Ibid.
522. a.
Saints , culte des. V c il'e de la fête des faims. XVI, S74.
b. ^oyc^ FÊTE M a r t y r s.
''file de la Flandre fran-
çoile. Moiiafierc auquel elle doit fon origine. Moiumicns antiques
trouves dans k colline de Haute rive où étoii biii
le premier oratoire de S. Arnaud. Cette ville réunie à la
rance ions Louis XlSfi Sources minérales connues finis k:
nom de.uix 6c boucs de S. Ainnnd. Ouvrages à confiiher
fur ces uiux. Suppl. IV. 6 9 4 . Mommiens trouvés près de
ces fources. Evénement qui leur a donné de ia réputation.
Leur dcgie de thaleur. Ibtd. b.
SAIN F -AM BR ü lSE , ( Géogr. ) ville du bas Languedoc.
Obfervations lur S.unucl Sorbieres , né dans ce lieu. Suvpl.
IV. 694. b.
J (Géogr.) ville de k Franche-Comté.
Uolervations lur Guillaume de Saint-Amour, chanoine de
Beauvais. iV . 694. b.
SA IN F -AN D EO L , {Geogr.) ville du b.as Laiigiieduc.
Origine de fon nom. Suppl. IV. 694. b. Celui qu’elle por-
toit anciennement. Fontaine remarquable ptés de k ville.
Monimieiu 6c infeription dans le voifinage de cette fon-
taine. Autre inlcriptioa fur k porte de l’éclife de S. Aii-
deol. Ibid. 693. b.
SAIN'F -ANTHOST , {Nicolas de) Suppl. III. oc8. n.
SAIN F -A N T O iN E , {Ordre de) Hifioire abrégée de cet
ordre militaire. .Marqué des chi.vai;ers. Suppl. IV, 693. a.
Sa in t -A n to in e ife Vienne, {H ijl. eccl.) Abbaye régulière
de S. Antoine , chef d’ordre, fous la réglé de S. Àu-
giiltin, à deux lieues de S. M.irccllin , diocele de Vienne.
Hiffoire abrégée de cette niaifon religieufe. Suppl. IV. 693,
a. Origine du nom qu’elle porte. Dévotion qu’avoit le peu»
pie pour le faim dont le.s reliques y étoient dépofées. Privilège
dont les pourceaux de cette abbaye joiiiiToient chaque
année. Ibid. b.
SAINT -AU BIN du Cormier, {Geogr.) ville de Bretagne.
Vicloire remportée près de ce lieu par Charles V i l l . 'f u r
les Bretons ik les .alliés. Anecdote rapportée à cette occafion ,
mais dont k faulleté efi enliiite démontrée. Suppl. IV. 60t. b.
SA lN T -B R I, ( Gi-egr. ) ville (le Binirgogne. Oblérvations
hillonqucs fur ce lieu. Suppl. IV. 6qt. b.
SAIN F-BRIEUC , ( Gtvgr, ) ville de la haute - Bretagne.
Origine de fon nom. Son monafi^re. Fondation de l’è vè-
ché. Hilloire de cette ville , publiée par M, Ruff'elet. Actes
d’humanité 6c de bienfaif incc auxquels l’inondation uu’elie
foufirit en 1773 a donné lieu. Suppl. IV . 696. a.
SA IN T CH ÀM A S , {Géogr.) village de Provence. O b fervations
fur un pont antique, fiiué à une petite dillance
de ce lieu , fur la petite rivicre de Toububre. Suppl. IV .
696. a.
SA IN T -CH EF , (Géogr.) bourg de Fiance, près Boiir-
goin en Dauphiné. Obfervations Vur i’nbbaye à laquelle ce
bourg doit fon origine. Suppl. IV. 696. b.
SA IN T CHAU.MÜNT , (Géogr.) ville du Lyonnois. Scs
fabriques 6c ni iniikélures. Oufervations fur les pierres empreintes,
que M. de /ulhcu a trouvées aux environs de ce
lien. Révolutions qui peuvent avoir donné lieu à ces empreintes
, qui ne repiéfentent toutes que des plantes étrangères
à nos climats. Suppl. IV . 696. b.
SA INT -CHERO N ; obfervation fur cette maifon noble.
Suppl. IV. 768. a.
SA IN T -C LA IR , (Géogr.) bourg du Languedoc, au dio-
cefe de Tonloufe. Obfervations fur D . Raimodon de la Mot-
tlie, né dans ce lieu, 6c fur fes ouvrages. Suppl. IV . 607. a.
SA IN T -C L A U D E , (Géogr.) ville épifcopale de la Franche
Comté. Abbaye à laquelle elle doit fou origine. Etat
de fervitude dans lequel les chanoines tiennent les habitans
des environs. Dilfertatioii fur Saint-Claude, publiée par M. de
Voltaire, pour faire connoître l’injuHe opprelfion que fouf-
frent ces malheureux habitans, 8c leur en obtenir la délivrance.
Mémoire préfenté au confeil du r o i, par ces opprimés.
Suppl. IV . 697. a. Principal commerce de S. Claude
: la promenade. Anciens manuferits dans k bibliothèque
du chapitre. Le monaftere fouvent vifité par Louis XI. Pauvreté
6c raifere du pays. Revenu confidérable que le cha