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numifiiniic[iie. Ol^fcrwuhns •^cnà.ih's Jur Us muJ-iilUs £> fur
Uw On n voulu trop tôt ctabliv clans cctto icicnce des
prii:cipos indubitables , que les moins babiles ont clémms en
un municiu. übiervation Air les Otlious; iiir la coiiroiino de
laurier, que quelqu’un a dit n’avolr été donnée q iiau xA u -
culfes & jamais aux Cclars. FaiilTcs maximes qu’on voit
louvcnc fur les revers des médailles. C e l l une maxime généralement
adopiéü, epic les médailles, liir-iout les vomames,
étoicnr originairement la monnoie courante. /fc/J. b. t..epend.
iut on eu excepte les médaillons. Autres médaillés qui pa-
roilîcnt offrir des objets coiic-à-tait étrangers à 1 idee d une
monnoie courante. Lorfqu'ati revers d'un empereur romain ,
on trouve ienom d’une ville ou d'un peuple, &c. cette ville
ou ce peuple doit avoir été de la domination romame^Excep-
tions. Ibid. 258. -J. De dilïérens abus qui fc font gliiiés dans
j'éiudc des médailles. Combien il eff elTentici à un amateur
d'éire en état de juger pur lui-même du mérité de chaque
piece. Quelles font les médailles qu'un homme de leiires eiii-
mera le plus. Und. b. L'étude des méd.nlles ne doit point être
réparée de celle des inferiptions, & de la Icéliire des auteurs
anciens. Tenms auf-.^e djris l'.ut numf'mnlujui. Ame de la
médaille, Duffe. IbU. 239. n. Champ. Explication de certaines
lettres initiales c;ul fe ironveiu d.uis le champ des médaillés
du b.i5'Cmpirc. Coin ; corps ; exergue ; infcription ; legende ;
module; monogramme; nliulae; ordre; païuhees ; parazo-
jiium ; quinaire; relief; revers; liute ; fymlaoie ou typ e;
Ibid, i .t c i c ; volume, 240. e.
M:d.;ilU,tc:s , revers, exe-gue, infcription , légende d'une
médaille : royc^; ces mots. Nimbes de ccrtr.incs médailles. XI.
143. a. T y p e des médailles. X V I . 781- a. Des carait.r.s em- ,
pioyés dans les légendes & inferiptions. U. 646. b. Des abréviations,
ce mm Lettres géminées. iX. 414. a. Monograinmos.
X. 66t. b. 668. u. Points qu’on obferve fur certaines
médailles. XII. 875. b. Sigles. X V. 189. Exemples de
différentes inferiptions de niétlaliles. V l l l . 778. b. De quelques
médailles d'Auguffe & de Tibcre , où C trouve le mot
p.'oviJi/uU. XÎU. 517. i’. ReclicrJies fur la lignidcaiion des
lettres S. C. qui fe trouvem fur le revers de quelqtus m. d.ail-
les. XlV’. 735. ,z, b. Médailles qii'ou a préicndii être taiccs
de cuivre de Coriniiic. IV. 347. b. l)e> lymboles rcprelen-
tésd.msles médailles, & de leur lignification. X V. 728. .r,
b , &c. Chaifes curules. 379. J. R-préfeiuations de Junon. IX.
6'2. .1. Panihées. X L 823. b. Sceptres. X IV. 738. a. T ro phées.
X VI, 704. U, b. — Médailles appellees pieces de laince-
Hélcnc.XII. 366. b. Médailles trouvons à Herculanum. VIII.
133. .1. Suppl. 111. 334. b. £.mb.irras des aiuiqu.iires au fujet
des nié-ciailies d'imperatrices. VIII, 388. b. -Médaillés appellees
légions. IX. 3^6. b. Médailles du dieu Lunus. 743. 0. Def-
cvipiion &. explication d'une méda.ille de Néron , où l on voit
la forme du marché de Rome nomme Macellum. 789- b.
Médailles de la ville de Par.um. XI. 961. b. Médailles des
villes de Thracc. X il. 792. ./.Détails fur la maniéré de former
les fuites de médailles par le côté qu’on nomme la tête.
X V . 6 30. it, f-, 6-.-. — 63 2. b. Ex linen de cette quelLon ; les
médailles font-elles d-;s preuves hifforiqiics? VIII- 224. b.
Emni-cmtes de médailles. V . 596. u ,b . Difcours d^Antoine
de Pois fur les médailles Si les gravures antiques. XII. 390.
b’. Ouvrage d'AddiiTon , Sc poëme de Pope fur les médailles.
XVU. 6 18 .-r. — yo y c i Num ism a t iq u e , a r t .
Méd a ill e s , ( G m v .) différence entre l’opération du mon-
noyage, vSc celle de frapper des médailles au buLincicr. X.
663. b. Obfervations fur la maniéré dont les regies de la pcrl-
peftivc font übfervées dans certaines médailles antiques. Xll.
458. b. Du relief des médailles. X IV . 68.*/. Manière de les
réparer. 125. b. D e la gravure en médailles. Vol. V des
plarKhes.
M édaille antique, { A^i numlfni.) il n'y a que trop de
médailles antiques fmguliercs, & qui renferment des con-
tracliéfions palpables avec la tradition hifforlque la plus
confiante, éè même avec les auties médailles. La caiife de
ces fmgiilaritcs vient fins doute d'une conlufion de coins, fçm-
blable à celle qu’un a remarquée fur les médailles fourrées.
X. 140. J. Exemples. Ibid. b. Moyens de s’ulTurer ü ces (mgula-
riiéb & ces coiuradifHons ne viennent point de quelque mépri-
fe du moncrairc. Obfervations fur le fentiment de quelques antiquaires
qui ont prétendu qu'il régnoit quelquefois fur les médailles
aniiqries des traits d'ironie Sc de plailanterie. Ibid. 241. b.
M édaille raoA’/77e, (A n ce font les médailles
frappées depuis environ trois ficelés. Premieres médailles qui
parurent à la rcnaifi'ance des lettres, & qui ne furent plus
frappées au coin de la barbarie. Caraéleres Sc dcfcripiion de
CCS médailles. X. 241. a. Oblérvatioiis fur cette penfée du P.
Jubert, t[ue furies médailles antiques on trouve plus que fur
les modernes, le faux mérite honoré. Suites qu'on peut former
par le fecour.s des monnoies , des jettons Si des médailles
modernes. O uvrag •$ qui traitent de ces médailles. Ibid. b.
Mcd.idUs modernes: cncreprife de médailles pour rcprélen-
ter les piincip.aux événemeiis du régné de Louis X IV . I. 32.
33. a. Médaille en mémoire de réiablifiemeiu de I’acadcmie
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des inferiptions. 33. b. Suites complcttes de médailles frappées
fous M. de Launay. Suppl. lli,-3 3l. a.
Médaille d’er, ( A n niimi/m. ) obfervations fur la qualité
de l’or des médailles grecques &. romaines faites de ce métal. I faut fe fouvenir que les Romains no commencèrent à lê
fervir de monnoies d’or que l’an 347 de Rome, afin que l’on
ne fint pas trompé à celles qui lé trouveront avant ce tems-
là. X, 242. ./.
MÉDAiLLE»<f’urgff«/, (A r t numifm.) l’ufige de CCS médailles
commença chez les Romains l’an 483 de Rome. Qualité
de l’argent employé à ces médailles. Premier empereur qui
corroinpli le titre des méd.2illes d'argent. Comment ce titre
alla toujours en baiffant. Faiifics médailles d'urgent pur. Tems
auquel on frappa furie cuivre feul couvert d'une feuille d’é-
taiii. Médailles faucées. X. 242. b. Pourquoi l'on celfa de frapper
de,s médailles d’argent,tandis qu’on continiioit ü'en frapper
en or. Caiifes de tet expédient à la fin ruineux pour l'état
par lequel on donnoit la valeur des pieces d'.ii-geiit à la
monnoie de cu iv re , en y ajoutant une feuille d’étain. Ibid.
243. ./.
M édaille de billon , ( A n numifm. ) toute médaille d’or ou
d’.argenc, mêlée de beaucoup d'alliage. Médailles faucées 8c
inéd.iilles fourrées, depuis le regne de Gullicn ik de fes liic-
celfeiirs. X. 243. a.
Médaille de bronze, ( A n numifin.\, grand, moyen Si
petit bronze. X. 243. u.
MÉd.-ville de cuivre , (A r t numifm.) médailles de cuivre
rouge éc de cuivre jaune, dés le teins d’Augufie. Pourquoi
le cuivre de Corinthe ne fut jamais introduit dans les nioa-
noies. Médailles de deux cuivres qui ne font point alliés. X.
243. b.
M édaille d’étain, ( A n numifm.) il ne nous en efi point
parvenu. Les anciens ont employé quelquefois l’étain à faire
de la monnoie. Efpece d’étain dont on a pu fe fervir. X.
243- b.
Médaille defer, ( A n numifm. ) peuples anciens qui fe fer-
voicm de monnoie de fer. X . 243. b.
xMÉDAILLE de plomb, (A rt numifm.) divers endroits où
Plaute parle dca moniioies de plomb. X. 243, b. Médailles de
plomb qui ont été confervees. Différence entre les médailles
de plomb modernes Si les anciennes. Ibid. 244. ./.
MÉD.AILLES de p a iin (A n numifm.) médailles d’.argent bas.
Alliage de ce métal. Origine de fon nom. On commença à
trouver de ces médailles dés le tems d'Augufie & de Tibcre.
X. 244.
M édaillé contreftiu, ( A n numifm.) comment on a contrefait
ies Emiliens de G B. Médailles de Gordien troifienie
qn’on a données aux Gordiens d’Afrique. X, 244. n. Moyen
de fe défabul'e-r fur celles-ci, Nérons de moyen bronze dégui-
fés quelquefois en Othons. 11 ne faut pas s’arrêter à la perruque
qui paroit fi nettement fur l’argent & fur l’or. Il y a
dc5 iniduilles très-communes qui ne laiffent pas d’etre con-
trcfiites. Ib:d. b.
Médaille dentelée, ( Art numifm. ) la dentelure efi une
preuve de la bonté de la médaille. Tems auquel ces médailles
font communes. Médailles dentelées des rois de Syrie. Pourquoi
l'on inventa l'art de denteler les médailles. X. 244. é.
Médaille édalêe ou fendue , ( Art numifm. ) les bords éclatés
des médailles font un figne qu’elles ne font point moulées.
X. 24.1. b.
M édaillé ftu jfe, ( A n numifm. ) X. 244. b.
Médaille fou rrà , (A n numifm.) rien de plus commun
quecesfories de pieces. X. 244. é. Les faux-monnoyeurs ont
été pour l’ordinaire des gens fans cduc.anon. Fautes groificrcs
qu'on remarque fur les médailles fourrées. Caiife dcces fautes.
Exemples. Peu de cas qu’on doit faire de ces médailles. Ibid.
243. a. Pourquoi les médailles fourrées font prefque toujours
rares, & même alTcz fouvent uniques. Pourquoi ces pieces
pouvoient avoir eu quelque cours autrefois, malgré les grof-
fieres méprifes de ceux qui les avoient fabriquées. Ibid, b,
II ne faut pas s'imaginer que les médailles qui ont été frappées
par ordre du prince. Si fous les yeux du magiftrat, foient
toujours exemptes de fautes. Enumération des principales.
Ibid. 246. U.
M édaille frappée fur l ’antique, (A r t numifm.) X. 1146.a.
Médaille nonf-appée,( A n numifm.) X. 246. a. Ouvrage
à confiilter fur ce fujet. X. 246. a.
Médaille fm f e , ( A r t numifni.)X. 246. a.
M édaillé inanimée, ( A n numi/m.) X. 246. a.
Médaille incertaine ou inconnue , (Artnumifm. ) X. 246. a.
Médaille ineufe, (A r t numifm.) ou marquée d’un feul
côté. Exemples de ces médailles. Leur conformation fingu-
liere. Cette dofeifiuoriiê venoit de la précipitation du mon-
noyeur. X. 246. a. Voye^ Incuse.
M édaille martelée, (A n numifm.) moyen de faire une
médaille rare d’une médaille commune par le martelage.
Comment on rcconnoît la fiipercherie. X. 246. b.
M édaille moulée, (A r t numifm.) defcripcion des moules
de médailles antiques, découverts à Lyon au commencement
de
ME D â e ce fiecle. Epoque du tems de leur fabrique. X. 146. h. Ces
moules fervoient à jeteer en fable des monnoies d’argent. La
maniéré dont les anciens jettoieiit en fonte, étoit allez lem-
blable à la nôtre. Conjeélure formée fur le grand nombre de
moules trouvés à Lyon. Caufe de la diiîérence du titre qn’oii
obferve fouvent dans beaucoup de pieces d'argent de meme
époque. Multitude étonnante des fin.x-monnoyeurs fous Sep-
time Severe S ite s fuccelTeurs. Ibid. 247. a.
M édaille Uparce , ( A n numijm. ) X. 247. a.
MÉDAiLLE/u««e,(Ar//m7r//yw.) En quel tems cette monnoie
devint commune. X. 247.
Médaillé Jans tcie, ( A n numifm. ) Comment on place ces
médailles. Antiquaires qui en out ramalTé. Tems auquel on
les fraj'pa. X. 247. b.
Médaille contorniaie, (A r t numifm.) on ignore en quel
tems on a commencé d’en frapper. Un favaiit anonyme croit
que ces médailles éioient une invention des perlonnes employées
aux jeux publics, fur la feene ou dansie cirque. X.
247. b. Cependant il fe trompe s’il ne croit pas qu’il y ait
d’autres contoriiiates que celles qui fe rapportent aux jeux
publics. Médaille contoiniate que M. H.avercamp rapporte à
Alexandre le grand. Cette médaille ne peut avoir rapport
qu’aux jeux fcéniques. Ibid. 248. a. Voye^ C o n to r n ia te .
Médaille (A n numifm.) pourquoi le métal
de ces niéd.iilles formoit une efpece de boife. Origine de l’art
& d e l’iifage de contremarqiier les médailles. X. 248. a. Tems
auquel cet ufage a commencé chez les Romains. Différence
clans les contremarques des Grecs Si des Romains. On a fouvent
appliqué deux 8c même trois contremarques fur les
médailles latines. Le nombre des médailles de bronze contre-
marquées efi fort rare, en comparaifon de celles du même
empereur, du même type Si du même coin qui ne l’ont jamais
été. Les contremarques portent un caraélere d’authenticité ,
qui ne permet pas de penfer qu’elles alem été l'ouvrage du
caprice des monétaires. Ibid. b. Des motifs qui'om engagé
les Romains à contreinarquer quelques-unes de leurs pieces
de m o n n o i e s . 249. a. P'oye^ C o n tr em a r q u e .
M édaille rare, (A r t numifm.) médailles rares dans un
pays , & communes dans un autre. Ce n’efi ni le métal ni le
volume qui rend les médailles précieufes , mais la rareté ou
de la tête, ou du revers, ou de la légende. Il y a des médailles
qui ne font rares que dans certaines fuites. Quelques-unes
font rares dans toutes les fuites d’un métal, 6c j.Jinats dans
les autres. X. 249. a. Quand les médailles palTcnc un certain
prix, elles n’en ont plus que celui que leur donne I’envie des
acquéreurs. Quand il y a pliifieurs tètes fur le même côté
de la médaille, elle en devient plus rare Si plus curiciife. Du
prix des médailles. Ibid. b.
M édaille rejbtuée , ( Art numifm. ) exemples de médailles
refiituées. Médailles auxquelles on donne improprement ce
nom. X. 249. b. Quels font les empereurs fous-Icfquels on
a vu des médailles refiituées. Médailles refiituées des familles
romaines. D e celles q^uiont été refiituées par Trajan. Senti-
inens des antiquaires lur le mot refuuii. Ibid. 230. a. Quand
l’infcription fc gravoit fur le monument même qu’on laifoit
rétablir , fouvent on omettott le nom du monument refiitiié.
Exemples cirés de l’infcripiion de la colonne milliaire qii’on
vo yo it fur le chemin de Nîmes, Sc de r.ancienne infcription
du pont Fabricius à Rome. Ibid. b. Syfiéme de M. le Bean
fiir l’origine des médailles de refiieution. Ibid. 231. a. Voye^
R estitut ion.
Médaille u n iq u e ,(A n numifm.) exemples de quelques
médailles uniques. Celles dont le type efi extraordinaire , Si
dont les antiquaires n’ont jamais fait mention, doivent pafTer
poin' fufpeéles. Mais il ne faut pas conclure abfoUiment que
celles qui ne font point encore connues dans un métal ou
dans une certaine grandeur, n’ont jamais été frappées liir ce
métal ou dans cette grandeur. X. 231. a.
"bAtziklLLt votive, (Art numifm.) ees médailles portent le
mot de vota quinquennalia, vicennalia. Dans le bas empire, on
rencontre perpétuellement ces fortes de voeux. Détails fur
CCS médailles du bas empire. Origine de la coutume de ces
.voeux. Auteurs à coiifulter. X. 231. k
M édailles fur les allocutions, ( A n numifm. ) fur lefquel-
les les empereurs romains font repréfentés haranguant les
troupes. X. 231. b. Defcriptioii de celle de Caligula, qui efi
la premiere' qu’on connoiffe. Enumération des principales
connues. Ibid. 232. a.
yiioKlLL^ ciftophore , (A n numifm.) mèàtûWe qu’on frap-
poit au fujet des orgies. Origine du nom ciflophore. Ce que
repréfentoient ces médailles. X. 232. a. royqCiSTOPHORE.
Médailles de confécraùon, ( A n numifm.) frappées en
Ihoniieur des empereurs lorfqu’on les plaçoit au rang des
dieux. Aigle qu’on faifoit partir du bûcher où l’on brûloir le
corps de l’empereur. Détails fur ces médailles, 8c en parti-
Galien a refiituées. X. 231. a.
M édaillés de colonies, ( Art numifm.) obfervations fur
*’*^1, Ml dans lefqvielles on les frappoit. Ces
roédailles font rares en comparaifon des amrçs. Médailles de
T»me II.
M E D 201 colonies qui palTcnt pour communes. Nous apprenons de-là
quels ont été les premiers habitans de la colonie. Les colonies
portent ordiiuiiremciu fur les médailles le nom de celui qui
les a fondées, 8c de celui qui les a fortiiiées ou rérablie.s.
Aucune colonie d’iialien’a jamais mis la tète du prince fur
fes médailles. Des villes qui avaient droit de battre monnoie.
Depuis Caligula, on ne trouve plus aucune médaille frappée
dans les colonies d’Efpagne. X. 232. b. Depuis Gallien, on
ne trouve prefque plus de médailles d'empereurs fnppées
dans les colonies. Ouvrage à confulter. Ibid. 233. <j. P'oyei^
Suite.
MÉDAiLLESco//y«/*jjrer, diverfes obfervations
fur ces médailles. Antiquaires qui en ont fait des recueils.
X. 233. a. Voye:^ SUITE.
M édaillés grecques, (A r t numifm.) c’eft à Phédon qu’on
doit rinveiition des poids, des mefures Sc des monnoies dans
la Grece. Tems auquel il vivoit. Médaille qu'on a cm avoir
été frappée du tems de Phédon. Defcriptioii d’une des pins
anciennes monnoies grecques qui nous refie. Médaille d’A -
myntas, roi de Macédoine. Monnoies d’or 8c d’argenr de
Cyrene que l’on voit dans le cabinet du roi. Degré de per-
feélion auquel les Grecs ont porté la monnoie. X. 233. b.
Nombreul'es fuites que forment les médailles grecques. Tems
auquel celfa l’ufage de frapper des médailles grecques avec la
tète des empereurs. Eclaircilfemens fur les caraéteres grecs
qu’on voit fur les médailles. Ibid. 2^4. a.
M édailles impériales, ( A n numifm.) celles du haut Sc
du bas empire. Dégénération des médailles impériales depuis
le regne de Caracalla 8c celui de Macrin. X. 234. a. Indication
de quatre manières différentes de former les fuites des médailles
impériales. Ibid. b. Voye^ SuiTE.
M édaillés romaines, (A n numifm.) de l’état où écoit la
gravure fous chaque empereur. Dégénération des médailles
impériales, depuis le regne deCaracalia 8c celui de Macrin.
Obfervailons fur l’ancienne maniéré d’écrire que les médailles
1-itmes nous confervent. X. 234. b.
Médailles arabes, ( A n numijm. ) médailles malionictanes
modernes. Obfervations fur ces médailles. Le cabinet du roi
en efi abondamment pourvu. Médaille du grand SaLidin. X.
233, a.
M édailles égyptiennes, ( A n numifm. ) en quoi ces médailles
font précieufes. Tems auquel on commença à battre la
monnoie en Egypte avec des légendes latines. X. 233. a.
Médailles ejpagnoies, (A n numijm.) divers peuples par
lefqiiels I’Efpagne fut anciennement habitée. Livre publié fur
ces médailles. Différence entre les médailles puniques Si les
médailles efpagnoles. X. 233. a. En quelle langue font conçues
les légendes de ces dernieres. Ouvrage à confulter. X.
233. b.
Médailles étrufques, (A n numifm.) foin qu’on a donné
de nos jours à ramalfer les médailles étrufques. Avantages
qu'on en pourra retirer. Travaux de l’académie étrufqiie établie
à Cortone. Ouvrages à confulter fur ces médailles. X. Z5 3.L
M édailles gothiques, ( A n numijm. ^ X. 2 36. a.
M édaillés hébraïques, (Artnumifm.) favans qui ontcJier-
ché à expliquer les médailles hébraïques qu- fe font conf'er-
vecs jiifqii'à nos jours. Sentiment expofé dans la differtation
du P. Soucici fur ces médailles. Celui du P.Hardoiiin. X. 236../.
M édailles phéniciennes ou puniques, (A r t numijm.) X.
236. a.
M édailles famaritaines , ( A n numifm.) différentes fortes
de médailles de ce nom. X. 236. a.
MtDAlLLls d'Athenes , (A r t numifm.) nous n’en avons
point de frappées au coin des empereurs de Rome. Médailles
d’Athenes confervees au cabinet du roi. Rien ne marque mieux
l’étendue Si la durée de la dévotion des Athéniens à Minerve
que leurs monnoies. L’olivier Sc la chouette confacrés 4 cette
déelTe. Nom de chouette donné aux monnoies de rAttique.
Des difïérens noms par lefquels on difiingiie les médailles cf’ar-
gont de la ville d'A thenes. Peu d’iiifiruélions que, fourniffent
en général les médailles de cette ville. X. 236. b.
Médailles de Crotonc, (Arc numifm.)'i'ems de la fondation
de cette v ille. Obfervations de M . de Boze fur les médailles
de Crotone. Pourquoi Apollon y efi fi fouvent t epréfenté.
Le culte des crotoniates envers Junon Lacinia efi fouvent
marqué fur ces médailles. Pourquoi Hercule qui occupe la
plupart des revers éloit finguliérement honoré à Crotone.
Force naturelle aux Crotoniates. X. 237. a.
MtoAlLLï-S de Lacédémone, (A n numifm.) Comment les
Lacédémoniens furent fe conferver i’efiime & l’amitié des
Romains. Defeription de quelques-unes de leurs médailles
frappées en l’honneur des empereurs. Epoque à laquelle ces
médailles finifTent. Raifons du culte que les Lacédémoniens
rendoient à Hercule. Quelles font les fetiles médailles lacé*
démoniennes qui ne font point fufpefles. X. 237. b.
M édailles d'Olba , ( A n numifm. ) droits de fouveralneté
qu’exerçoient les prêtres d’Olba en Sicile. Defeription de fept
médailles d’Olba, les feules que nous connoifTions. X. 238. a.
Ouvrages à confulter. Ibid. b.
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