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350 O R V
O R TH O X , {Giogr.) riviere d’Afle dans la Tartaric. Son
cours. C e il fur los hords que lo kaii des Kalcka-Mongules,
& Ic graud-prètre des Mougules de l'ouell font leur léjour.
Ob('erv.atioiis fur le commerce de l.i rluibarbe qui croit en
Sibérie aux environs de la riviere d'OrtIiou. XI. 671 . <3.
O R TH O PN É E , (A/t'ifc. ) rcfpiration courte, laborieufe
& bruyante. Etymologie du mot. Caufes de l’ortliopncc.
Cette indifpofition a lieu dans la peripneumonie , dans toutes
les affeélions afthmatiques, 6l dans Icfquinancie v iolente.
Orthopnée fcclie : XI. 671. a. exemple. Différentes
maladies qui produifent l’orthopnée. Secours à donner lorl-
que l’orthopnée annonce une crile dans quelques maladies
ai«ués. Difterens remedes à employer felon les difterentes
caufes d'ortiiopnéc. Ilid. b.
O R TH U S , (A/y/Ao/.) chien de Géryon tué par Hercule.
Dét.ailsoù Héfiode ell entré fur ce chien. XI. 671. A.
O R T IE , {Bottin.) caraéteres de ce genre de plante. XI.
671 . h. f G a LÉOPSIS.
Ortie-monc. Caraéleres de ce genre. Ses efpcces. Doferip-
lioii de rortie-morte à fleurs blanches : licu.x où elle ib
trouve. Ortie-morte a fleurs rougc.s. Ortie-morte à fleurs
jaunes. XI. 672. a. Defeription de l’ortie - morte puante.
Ibid. h.
ORTlE-mortr, mcdic.) ortie-blanche. Maladies pour
Icfquellcs elle eft recommandée. Son ufage contre les fleurs
blanches Sc les pertes des femmes. Propriétés & ufages des
autres efpeces d’orties-mortes. XI. 672. A.
ORTlE-/îù;«.înre, {B oun.) fes efpeces. Defeription de la
grande ortie-piquante, ou de la commune. Ortie màlei ortie
l'emelle. XI. 672. b. Lieux oit croit cette plante. Ufages
qu’on en tire ou qu’on en peut tirer. Defeription de la pe-
tirc ortie 011 ortie griefehe. Lieux où elle croît. Defeription
de l’ortie romaine , autrement l’ortie grecque o\i l’ortie
mâle. Lieux où elle croit, Ibid. 673. a. Vraie caufe de la
douleur £c de l’enflure que caufent les piquans dos orties.
Ibid. b.
Ortie. Obfervations fur notre ortie commune. Suppl. I.
832. n. Orties du Malabar. 390. b. 832. b. Plante du Malabar
qui relfembleà l’ortie. 831. b.
O r t ie , {Médcc.) trois efpeces d'orties qu’on emploie
indifféremment en médecine. Etymologie du mot unie.
Moyens d’adoucir la douleur caufee par les piquùres d’ortie,
Ufage médicinal du fuc de cette plante , de fon iu-
fufion théiforme , de fa décoéVion , Src. XI. 673. b.
O rt ie puante, ( Botan. ) voyex_ G aléo p s is . Defeription
de la grande Sc de la petite. Lieux où elles croillent.
Principes qu'elles contiennent. Vertus qu’on leur attribue.
XI. 674. J.
O rties de mer, {Ichthyol. ) infcéîes de mer, dont il y a
un grand nombre d’efpeces. M. de Reaumur les a dlvifées
en deux claffes, celles qui refient appliquées contre les rochers
, & celles que l’on trouve flottantes. XI. 674. n. Lenteur
du mouvement des premieres. Pourquoi ces infeéres
font appellees or/tfi. Leur defeription. Comment & de quoi
elles fe nourriirent. Defeription des orties de la fécondé clalTe.
Ibid. h.
Ortie de mer ou animal-fleur. Suppl.l. iç6 . a , A. Petite
ortie de mer. XII. 722. a. Ortie coralline. IV . 194. A.
O rtie , iode d ', ( Comm. ) XI. 673. a.
O R T O L A N , ( Ornith. ) defeription de cet oifeau. En
quoi il différé du moineau à collier. XI. 673. j .
O r t o l a n , {^Dicu & Cuijtn.') manière de l’apprcter. XI.
673. a. Qualité de cet aliment. Ibid. b.
O R T Y G IE , ( Gc'vgr. fl/jc.) petite ifle voifine de Syra-
eufe. Defeription qu’en donne Virgile. Son nom moderne,
L'Ùle de Délos appellee quelquefois Ortygie. XI.
Ortygie. Premier nom de l’ifle de Délos. C e fut aufli le
nom d’une ifle , fituée à l’orient de la Sic ile , dépendante
de Syraeufe. Obfervations fur cette ville , fur cette ifle ,
Suppl. IV . 191. rf. & fur la fontaine d’Arethufe. Ibid. A.
Ortygie , voyc:^ fur cette ifle de Syraeufe. X V . 767. A.
O R V A L A , {Bot.tn. ) nom donné par Linnæus à un genre
de plante , que Micheli appelle papia. Ses caraéleres. XI.
675. s. _
OR V A L E , ( Bot.in. ) principale efpece du genre des
fclarées de Tournefort. Sa defeription. XI. 673. A.
O r v a le , Mat.médic.') ufage qu’en font les cabarc-
tiers allemands pour falfitier les vins du Rhin. On s’en
fert dans les pays du nord pour faire de la biere. Ufages
médicinaux de l’orvale. XI. 676. u.
O R V A N N E , (G s ’ogr.) riviere du Gâfinois. Defeription
de fon cours. Bataille de Dormelle où Théodebert &
Tbierri défirent Clotaire II. Différens noms de la riviere
d’ürvanne.5 «^j^'/. IV. 191. A.
O RUDE , province d’Arabie. I. 306.(7.
O R V E T , OrvcTi, Àrivoye , ( Hijl.nat.') ferjicnt aufli appelle
aveugle , parce qu’il a les yeux fort peri Ls. Lieux où on
k trouve. Sa defeription. XI. 676. <7.
O S
O R V IE T T E , ( Géogr. ) obfervations fur Ludovico Mo-
naldclco , natif d’Orviette. XI. 676. A.
O R V IL L A , ( Géogr. ) village , moitié en Bourgogne ,
moitié en comté , fur la Venelle. Lieu où la reine Brune-
haut fut arrêtée pour être conduite au camp de Clotaire à
Reneve. Erreur des hilloriens fur le lieu oii fe palTa cet é vénement.
6'k/?/?/. IV . 191.A.
O R V IN IE , {Géûgr.anc.) ville d’Italie. Ruines &. monu-
nicn.s de cette ville qui fubfiftolent du tems de Denys d’Hali-
carnafTe. XI. 676. A.
O RU LA , ( Botan. ) arbre de Ceylan. Defeription de fon
fruit. Propriété de la liqueur qu’on en tire. X I. 676. A.
ORUS , ( Myth, égypt. ) le dernier des dieux qui rc-
encrent en Eevpte. Son hifloire. Comment on le repré*
lente. XI. 676. A.
O R Y C T O L O G IE , {H ip.nat.) F ossiles.
O S
OS , (^Anatom.') defeription des os. Petites bandes dont
ils font compofés. Difpofuion de leurs libres. XI. 677. a.
Situation 8c ufage de leurs pores. Les os font en général
plus gros à l'extrémité , mais leurs fibres font plus ferrées
vers le milieu. L’os étant creux n’eft pas fi facile ît être
brifé que s’il eût été plein & plus petit. Unions & articulations
des os. Leur énumération & leur nombre. Ibid. A.
Cavités externes que l’on remarque fur les os. Différentes
éminences qu’on y obferve. Ibid. 678. a.
Os. Struélurc des os longs. Lames dont ils font compofés.
Forme du tuyau de l’os. Doute fur l'exiftence du période
interne. Epiphyfe. Striiélure des os du carpe, du
tarfe , des vertebres , des côtes 8c du crâne. D e la
ftruflure primitive Sc vafculeufe des os. Artere principale
& médullaire de l’os. Vaiffeaux de l’épiphyfc. Suppl. IV .
192. a.
Os. Des os en général. VIII. 261. A. Formation des os.
I. 88. a. V I . 669. (Z. XI. 687. A. 688. a , A. 689. a. Suppl.
I. 126. A. 130. a , A. 131. a , A. 132. <7. Suppl. IV . 193.
A, &c. Subflances dont ils font compofés. II. 341. A. 544.
A. VIII. 262. 7Z.XV. 386. a. Subflance huileufe qui lie en-
femble les parties terreflres des os. 1 1 1 . 606. A. X. 606. A. Suppl.
I I I . 33. A, Des fibres offeufes. V I . 669. A. Périofte qui tapiffe
les os. X. 603. A. XII. 364. A. Incertitude fur l’exiftence d’un
périofte intérieur. Suppl. III. 941. A. .Vaiffeaux communs à
l’os 8c à la moelle. 942. a. La moelle peut contribuer à rendre
les os plus flexibles. Ibid. b. De leur nutrition. Suppl. IV . 74,
a. Comment les os fe durciffent 8c s’altèrent par l’àge. XVII .
239. A. Des os du fquelerte : dift'érence entre les os de la
femme 6c ceux de l’homme. X V . 483. a , A. Trois efpeces
d’éminences des os. V . 366. a. V o y e:^ A pOph y se 6* Ep i-
PHVSE. Des jointures des os. VIII. 869. A. 870. a. Sciffure
8c finuofité des os. XIV. 800. a. Différentes maniérés dont
ils fe terminent. X V I . 198. A. Cavité nommée acétabulc ,
dans certains os. I. 94. A. Jeux de la nature fur les os.
Suppl. III. 332. a. Expériences fur Us os & ufages qu’on en
tire'pour Us arts. Expériences fur les os 8c fur le fuc moelleux
qu’ils renferment. Suppl, IV . 836. a , A.— 838. .2, Expériences
fur la ténacité tics os. 931. A. — 933. A. Moyen
de leur donner de la flexibilité. Suppl. III. 3 3. a. Les os devenus
fragiles dans la machine de Pnpin , reprennent leur
conftftance lorfqu’on les a plongés dans l’huile. III. 606. A.
Maniéré de les amollir. IV . 247. a. Suppl. IV . 72. A. Os
d’animaux teints en rouge par i’eft'et de la nourriture. VII.
479. A. Suppl- III. 184. a. Suppl. IV. 72. A. Noir d’os. XI.
188. A. Calcination des o s , en chymie 3 c docimafie. III.
3 00. U, A. Oes maladies des os. D e leur amolliffement. Suppl,
IV. 72. A. De leur carie. II. 684. A. X V . 462. a , A. Effets
du contre-coup fur les os. Suppl. II. 371. A. Craquement
des os dans quelques maladies. III. 337. A. IV . 434. A.
Dénudation des os. IV. 849. A. Ecartement d’os. 931. A.
Leur exfoliation, V I. 232. A. leurs fraftnres. VII. 266. A.
Progreftîon dans l’os qui renaît après une fraéliire. Suppl.
I. 132. a. Couleur jaune qui in fefte l’os quand la moelle
eft corrompue. Suppl. III. 942. a. Les os fufccptibles d’inflammation.
VIII. 714. i. Maladie des os nommée rachitis.
XIII. 743. a , A. Inftrument deftiné à découvrir les o s ,
examiner leur fêlure, ou en ôter la carie. XIV. 433. a.
Régénération des os. XIII, 912. A. Suppl. IV. 606. A , S’c,
Hypothefe de Gagliardi fur les os. Suppl. II. 394. a. Voye^
OSSEU.Y.
O.S fiirnumtratres , {Anatom.') OS nommés clefs ou
ojfa IVormiana, f« iv en t, quand ils fe trouvent, la même
analosie que les autres os du crâne. Diverfes olsfervations
fur ces OS. X I. 678. «.
O s fpffiUs, {H ijl.nat.) ceux qui fe trouvent en Ruftîe*
TI. 192. .7. Os foffiles pris pour os de géans. VII. 337. A.
Diverfes obfervations fur les grands os foffiles qui ont
donné lieu en divers endroits à la fable des géans. SuppU
m
OSE ÎIÏ. 189. a , A. — 193. a. Os fofftlcs trouvés en Amérique.'
■ Suppl. I. 347- É Os foffdes trouvés dans la montagne de
Montmartre. VII. 1024. a. Pierres qui reffemblcnt à des
os pétrifiés. V . 631. a. Voyct^ FOSSILES & OsîEMENS
FOSSILES.
O s , {C ritiq.facr.) différentes acceptions de ce mot dans
récriture fainte. XI. 678. a.
O s de cerf, daim ou chevreuil, ( Véntr. ) XI. 678. a.
O s de feche, ( Comm.) XL 6yS.a.
O SB E R T , roi des Northumbres. Crime qu’il commet
dans la maifon de Bruen-Bocard. II. 783. A. Scs fuites
funeftes. 884. a.
O S C A , {Géogr. anc.) ancienne ville de l’Elpagne Tar-
ragonoife. Education que Sertorius fit donner dans cette
ville aux enfans des plus nobles maifons d’Efpagne. Autre
ville de même nom dans la Bétique. XI. 678. A.
O SC AB R IÜ N , ( Conchyl.) coquillage multivalve. Autres
noms qu’on lui donne. Sa defeription. Ofcabr'ion ca-
rolinum, Olcabrion gallicum : animal qui habite ce coquillage.
XI. 678. A.
Ofenbrion , voye^ fur ce coquillage. X. 860. A.
O .S CH A T Z , {Géogr.) ville du cercle de Mifnie dans l’é-
Iciftorat de Saxe. Ce qu’elle renferxne de plus remarquable.
Suppl. IV. 192. a. Ses privileges. Son bailliage. Ibid. A.
O.SCHOPHORIE, ( Antiq.grecq.) fête en l'honneur de
Bacchus & de Minerve. Signification de fon nom, Defeription
des cérémonies pratiquées dans cette fête. XI. 679. a.
O SC IL L A T IO N , {Médian.) axe cl’ofcillation. Comment
on rend les ofcillations d’un pendule ifochroncs. Diverfes
propofitions fur les ofcillations d’un pendule. Voye^ à l’article
Pen d u l e , les loix du snouvement du pendule ftmple.
XI. 679. a. Des ofcillations du pendule compofé. Problème :
trouver un pendule Ample qui faffe fes ofcillations dans le
tems que tel pendule compofé fait les fiennes , ou en d’autres
termes, trouver le centre d’ofcillation. Doélrine de
M. Huyghens fur ce fujet. Son hypothefe combattue. Solutions
du même problème , données par MM. Jacques 8c
Jean Bernoulli, 8c par M. T a y lo r , géomètre Anglois. Ibid.
A. Précis de la théorie de M. Jean Bernoulli. Méthode plus
iimple pour refondre ce problème. Détermination du centre
d’ofcillarion. Ibid. 680. a.
Ofcillaiion , voyc^ V ib r a t io n . Loix du centre d’ofcvlla-
tlon. II. 826. A. Propriété des ofcillations du pendule décrivant
une cycloide. IV. 391. a. Problème des centres
tl’ofclllation. 'V. 174, A. 173. a , A. Nouvelle théorie du
centre d’ofcillaiion. XII. 324. A. Ofcillations d’un corps
folide fur un fluide. V I . 880. a , b. Foye^ AXE d’o scil -
LATIONS.
O sc il la t io n , {Antiq. grccq.&rom.) balancement que
les anciens avoient imaginé pour donner une apparence de
fépulture à ceux qui fe défaifoient eux-mêmes. Maniéré
dont le peintre Polygnotte défigna le genre de mort dont
on dit que la malheureufe Phedre finit fes jours. XL
<S8o. A.
O S C IN , faéllon qu’il forme contre le calife Yefid. Suppl.
II. 128. .7.
O SC L A G E , {Jurifpr.) étymologie du mot; nom qu’on
donne au douaire dans quelques coutumes. Baifer que fe
donnoicm les futurs époux chez les Romains après avoir etc
accordés. Dons faits pro ofculo. Diverfes maximes fur le droit
d'ofclage. XI. 680. A.
O SCOPHO RIES, ( Hifl. ai 1C. ) fêtes inftituces par The-
•féc en mémoire de fa viftoire fur le minotaurc. F.tymo-
- logie du nom de ces fêtes. Cérémonie qu’on y pvatiquoit.
XI. 680. A.
O SCU LARI S U A V IA R I, {Lang.l.itine) X V . 361. .7.
O b C U L Â T E ü R , {Géorn.) rayon 8c cercle ofculateurs.
Dans le c e r c le , tous les rayons ofculateurs font égaux.
Différentes propofitions fur les rayons ofculateurs. O u vrage
à confulter fur les courbes qui en fe développant s’en-
geiulrent en elles-mêmes. XI. 681. a.
Ofcnlateur, r.tyon. XIII. 834. A.
O SC U L A T IO N , {Géom.) point d'ofciilatlon. XI. 681./7.
La théorie de l’ofculation eft duc à M. Leibnitz. Ibid. A.
Ofculaüon , point d’attouchement de deux branches d’une
courbe qui fe touchent. Différence entre le point d’ofculation
^ le point de rebrouffement. Ofculation appellee cmbraJJ'c-
«uw. XI. 681. A.
OjcuLitton de deux courbes.W. 23. .2.
OSCULUM P AGIS , {Théolog.) baifer de paix que les
ftdelcs fc donnoient dans la célébration de la meffe. Coutume
qui lui fuccéda, celle de baifer une image qu’on
appclloit 1.2 paix. Baifer de paix que fe donnent dans certains
diocefes, les eccléftaftiques alfiilans aux meffes folem-
nclles. XI. 68t.
OSÉE , ( Théol. ) tems auquel a vécu ce prophète. Ca-
nOere de fes livres 8c de fon ftyle. XI. 681. A.
O sé e , {H ifl. facr. ) fils d’Êla, roi d'îfiaël. Hiftoire de
fon regne. Fin du royaume d'Ifraël. IV. 192, A,
O S S 3 5 Ï
O s e i l l e , {Botan.) caraâeres de ce genre de plante.
Ses efpeces. Defeription de l’ofeille ordinaire, XI. 681. A.
Defeription de l’ofeille ronde. Principes contenus dans ces
plantes. Propriétés de leurs dift'érentes parties. Leurs ufages
en médecine. Ibid.ù^i.a.
OfeilU. Dift'érence entre l’ofeille 8c la patience. XII. 171.
a. Graine de l’ofeille fauvage, XIV. 943.77.
O seille c/f Aizri ou begonia obliqua, { Botan.) plante commune
dans les bois de la Martinique. IV. 192. A.
O seille de Guinée, ( Botan. 6* Jardin. ) efpcce de ketmie
à feuille de cocon. Sa defeription. Ufages qu’on en rire. IV. 192. A.
O se ille , {D icte, Mat. médk.) efpece d’ufago. Obfervations
fur les affaifonnemens d’ofeille. XI. 682, a. L’ofcUle
8c le cochlearia combinés font un fpécifique contre le feor-
buc, 8c croiffeni l’iin à côté de l’autre dans le Groenland,
où le feorbur eft endémique. Qualité des remedes tirés des
feuilles d’ofeillo. Inutilité de l’eau diftillée de ces feuilles.
Propriétés 8c ufages de la racine. Propriétés de la fcmence.
Ufage extérieur des feuilles d’ofeille. Conferve8c fyrop fun-
plc de ces feuilles. Ibid. A.
OSELLES , ( grotte d’ ) Suppl. IV. 360. <1, A.
O S I , ( Géogr. anc. ) ancien peuple d’Allemagne. XI.
683. 77.
O S IAN D E R , deux hommes de lettres de ce nom , André
, VII. 1014. a. 8c Luc. XL 283. A.
OSIAN D RIENS, {Hifl.cccl.) feéle de Luthériens. Doctrine
qui les diftingue.Demi-oftandriens. XI. 683. <7.
OSIER , ( Jardin. ) cl'pccc de faulc. Lieux où on le plante.
Maniéré de l’élever. XI. 683. a. Ufage qu’en font les vignerons
, les vanniers 8c les tonneliers. Ibid. A.
Oficr. Defeription de cet arbre 8c de fes variétés : fa
culture : fes ufages , 6-c. XIV. 713. <z, A. 714. .7.
OSIMO , {Géogr.) ancienne ville d’Italie. Evêché d’O -
fmio. XI. 683. A.
OSIRIS, {Mythol.) un des grands dieux Egyptiens. Des
voyages 8c exploits attribués à Ofiris. Les mythologues ont
feint que l’ari: de naviger avoit été trouvé Ibus le régné
d'Ifis 8c d’Oftris. Le navire d'Oftris mis au rang des con-
ftellations. Habits d’Oftris. Symbole de ce dieu. Comment
on le repréfencoit. XI. 683. A.
O f ris, roi d’Egypte , fes loix. IX. 648. a. Amiral de fa
flotte , qui l’accompagna dans la conquête des Indes. Suppl.
I I . 213. A. Le dieu Ofiris furnommé Myrionime. X. 914.
a. Les Egyptiens adoroient le Nil fous le nom dOfiris.
XI. 142. a. Statue compoféc de Mercure 8c d'Oftris. VIII.
174. A. Prêtres d'Oftris nommés hicracobofques. 203. a. Livre
de Plutarque fur Ifis 8c Ofiris. 913. A. OEuf d’Oftris.
XI. 410. A. Fêtes en l’honneur d’Oftris nommées pammilUs.
804. A,
OSISMIENS , ( Géogr. anc. ) anciens peuples de la Gaule.
Divers fentimens fur ces peuples. XI. 684. a.
OSMA , {Géogr.) ancienne ville d’Efpagne. Ses révolutions.
XI. 684. 77.
O SM A N , fondateur de l’empire ottomaü. X V I. 733.
a , b.
O SM ONDE , {Botan. ) carafteres de ce genre déplanté.
Scs efpeces. Defeription de la plus commune. Lieux où elle
profpcre. XL 684. a.
OsMONDE, {Mat.médic.) fougere fleurie. Propriétés de
fa racine. XI. 684.77.
O SN AB RÜCK , ( Géogr. ) ville d’Allemagne. Diverfes
obfervations fur cette ville. Origine de fon nom. Fondations
de Charlemagne à Ofnnbruck. Ôbfervations fur le pays 6c
l’évêché d’Ofuabruck. X L 684. A. |
Ofnabruck , évêque d'. IV. 68. A. Suppl. II. 906. A.
OSQÜE S , Us, {Géogr. anc.) ancien peuple d’Italie.
Le mot d’obfcene vient de ce peuple , dont la corruption
étoit extrême, C e que les Latins eiucndoiem par oyée Loqui,
XL 684. A. Ofques. Anciens peuples d'Icalie auflî nommés OpicUns,
Leurs principales villes. Moeurs corrompues de cette nation.
Singulier fort qu’elle éprouva. Suppl. IV. 192. a.
Ofquc. Differtation de M. TenaiTon fur la langue ofque.
III. 383.77.
OsQUES , jeux, ( Thé.tt. de Rome ) pourquoi CCS ;eux
écoient appelles de ce nom. XI. 684. A.
O SRHOENE, ( Géo^r. anc.) contrée de la Méfopotamie.
Révolutions de ce royaume. Edeffe, métropole de l’O frhoene,
lorfqii’elle devint province eccléftaftiqiie. XI. 683.77.
OSSA , ( Géogr. anc. ) montagne de Theffalie , fameufe
dans les fables des poètes. Autre montagne , ville 8c riviere
de ce nom. XI. 683. 77.
O ssA, ( Myth. ) entaffement de l’Offa 8c du Pélion par les
Géans. XII. 283. t7.
OSSPCT, {Arnauld,cardinal d’) fes lettres politiques. V .
816. A.
O SSEEN, (/f/y?. «ce/. ) v<7W3;E lcésaïte. XI. 683. a.
OiSï-LYHS de l'oreille, { Anaiom.) leur périofte démoti-
^ 4 1