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Sur les phénomènes de la pluie qui ont rapport au baromètre,
voyei^^Bjromctre & Tems. Ouvrages ù confiücer pour
reconnoitre la quantité de pluie qui tombe, en quelle proportion
elle tombe, ù dilférens lieux en même tems, & au
même endroit en differens tems. Hauteur de l’eau de pluie
tombée en un an en differens lieux. Quantité de la pluie tombée
à Upminfter en pluricurs années, iiiife en proportion
avec ce qu'il en ell tombé à Paris dans les memes années.
Quantité de la pluie tombée à Pife , à Upminfter & à Zurich
chaque mois de l’année 1708. Ibid. 734. a. D es pluies
extraordinaires, qui doivent leur origine aux exhalaifons répandues
dans l’air. Exemples de pluies de foufre. Les cliymif-
tes en nient l.a poiribilicé. Pluies rouges que les amateurs du
merveilleux ont appellees pluies de fang. IbU. b. On doit
regarder comme de pures hélions ce qu'on a raconté de
pluies de fe r, de laine, de grenouilles ou de poitTons. Oh-
l’ervations fur de prétendues pluies de pierre. Naiiïancc de
la nouvelleillc de Sartorino dans l’Archipel, en 1707. D ivers
exemples de pierres lancées dans les mers, & dont la
chhte a été appellee du nom de pluie de pierres. Pluie fort
finguliere qui tomba en 167a , dans la partie occidentale de
l ’Angleterre. Ibid. 79^. a. Ravages qu’elle caufa. Ibid. b.
PLuic, efpecc de pluie qu’on a quelquefois remarquée en
é té , quoiqu’il ne parût aucun nuage dans l’air. Comment
fe forme la ploie. Suppl. IV . 41^. b. Caufes des ditFérentes
elpeces de pluie, à petites & à grofles gouttes, Sc quelques
autres particularités que préfence ce phénomène. Ibid. 416.
a. Des Califes des pluies en général. On obfcrve que les
vents occafionnent la pluie; 1 “. iorfqu'ils l'ouflent de haut
en bas contre une nuée; a”. Iorfqu’ils rencontrent quelques
nuées de vapeurs qui viennent de la mer , 6c qu’ils les pouffent
contre des hauteurs, des montagnes 6c des*ïbrèts; 3° .
lorfquc des vents contraires pouffent les nuées les unes contre
les autres, 6c les compriment ; Ibid. b. 4". comme il fe
forme beaucoup de nuées de vapeurs de la mer, les vents
qui viennent de la mer vers notre continent, font ordinairement
accompagnés de pluie. Obfervations faites en Hollande ,
fur la proportion dans laquelle les différentes efpeces de
vents procurent la pluie. 3". On peut encore regarder les
forées comme une des caufes de la pluie; car les arbres tranf-
pirent une grande quantité de vapeurs. Caufe des pluies
abondantes en Suede : comment on y a remédié. Diverfes
obfervqtions qui confirment que les forêts expofent un pays
à de fréquentes pluies. Ibid. 417. u. Proportion des jours
fees &. des jours pluvieux à Utrecht 6c à Leycle. D ’où dépend
le pins ou le moins de pluie qui tombe annuellement
dans un lieu. Nombre de jours humides dans le courant de
l’année à Petersbourg. Rofukatdes obfervations météorologiques
faites à Coire par M. Lambert. Ibid. b. Obfervations faites
fur la pluie en différens lieux de là terre; dans i’illcMi-
norqtic , à Rimiui en Italie , en É g yp te , en Abyffiiiie ,
dans la Nhgritie , au promontoire de Bonne-Efpérance , clans
rifle M aurice, dans l’Arabie, dans la ville d’A lep, dans Tifle
d’Amboine, Ibid. 418. a. fur la cote de Coromandel 6c fur
celle de Malab.ar, dans Pille de Ceylan, dans les ifles C a rolines
en Amérique, dans la colonie d'Amérique, connue
fous le nom de Sorrinama, dans cette partie du Pérou, qui
s'étend depuis Loxa jufqu’à Jaen, à Q u ito , à Carthagene
en Amérique, Ibid. f>. 6c à Biienos-Ayres dans le Paraguai.
Pourquoi les pluies qui tombent dans un pays , occafionnent
des léchereffes dans un autre. Si les vents peuvent être regardés
comme une des caufes de la pluie, ils font aulli une
des caufes de la fécliereffe. Mélange 8c altération que foiif-
frent les eaux de pluie par un effet des exluilalfons dont Pair
eff infeflé. Qualité des pluies du printems. Qualité de celle
qui tombe après une longue fécliereffe, 6c dans le tems des
grandes chaleurs. Pluies chargées des femenccs des plus petites
p lantes, & d e s oeufs de divers infeéles. Ibid. 419. ai^Les
pluies les plus pures font celles qui s'amaffent 8c retombent fur
l'Océan. Caufe des altérations que fubit l’eau de pluie con-
fervée dans une bouteille bien fermée. Pourquoi elle fournit
à la nourriture des plantes de toute efpece. Pureté de
Pair, 6c vivacité des couleurs après la pluie. De la groffeur
des gouttes de pluie. Pourquoi ces gouttes tombent quelquefois
proche les unes des autres, & quelquefois à de grandes
difbnces entr’elles. Pourquoi elles font plus greffes, 6c
plus éloignées les unes des autres en été qu’en hiver. Ré-
fiftance que la pluie éprouve dans fa chute. Ibid. b. Effet fa-
lutaire qui en réfulte. Viteffe d’une goutte de pluie en tombant.
Pourquoi il ne pleut que des vapeurs ou de Peau 6c
jamais des exhalaifons. Quantité moyenne d’eau de pluie qui
tombe annuellement en plufieurs endroits. Utilité des obfervations
météorologiques faites pendant un très-grand nombre
d’années, 8c foigneufement recueillies. Ibid. 420. a. Caufe de
la différence qu’on remarque dans la quantité de pluie qui
tombe en différens endroits. Enumération des avantages que
nous retirons de la pluie. 1°. Elle fert à humeéler 6c®raniol-
hr la terre defféchée par l’ardeur du fo leil, & à la fertilifer.
Quelles font les plus propres à procurer la fertilité, 6c celles
P L U
qu’on regarde au contraire comme dangereufes. 2°. La pluie
tombant des montagnes , cntraine ôc dépofe dans les vallées
une terre molle qui contribue à la fertilité. 3“ . La pluie purge
Pair de toutes les ordures nuifiblcs à la refpiration 6c à 1*
fauté ; 4 '. elle modere la chaleur de Pair ; 3“. elle entretient
les puits, les fontaines, les lacs 6c les rivières. Ibid. b.
Etat de la pluie tombée à Paris chaque année, depuis 1702.
jiifqii’à 1737 inclufivement. Terme moyen delà pluie tom-
l)ée à Paris de dix en dix ans, dans le même intervalle, ü b -
fervations faites par un habile phyficien fur la quantité de
pluie qui tombe à Rome. Ibid. 421, D e la tempéraïur«
du climat de cette ville. Du degré moyen de froid qu’on y
éprouve. DilBciilté de faire avec le thermomètre d’exaéles
oblcrvations. Ibid. b.
Pluie. Qualité de Peau de pluie. 'V. 191. h. Maniéré d«
la recueillir. Ibid. La compofiti*n de la pluie 8c de la neige
doit varier par différentes circonffances : Peau de pluie dif-
tillée cft inaliérabie. 192. a. Différence entre Peau de pluie
6c Peau de lolee. X IV . 368. b. Caufes de la pluie. V I. 127.
b. 128. a. XVII . 725. a. Caufes des pluies appellées bruines
, 6c de celles qui fe précipitent à greffes gouttes. II.
448. a. Il pleut davantage fur les endroits couverts de v é gétaux.
VU. 89. b. Comment les forêts attirent la pluie
Suppl. I. 321-. a. Caufe des pluies fréquentes dans certaines
parties de l’Océan. XVII . 18. b. Pronoftics de la pluie 8c du
vent. XVI. 118. b. Pourquoi il ne pleut point dans certains
pays. VU. 623. b. Comment le Créateur a fuppléé à ce défaut
de pluie. Suppl. III. 476. a , b. Obfervations fur la viteffe
de» gouttes d’eau de pluie dans leur chute. XII. 443.
b. Quantité moyenne d’eaii de pluie qui tombe annuellement
à Paris, en Holhnde , en Italie, V ll. 89. b. dans certains
endroits d’Angleterre, 90. a. à Padoue, à Pile 8c à
Rom e, ibid. b. D e la quantité de pluie. Suppl. III. 4 76 .« .
Obfervations météorologiques fur la quantité d’eau de pluie.
X y i . 118. a. Phyficiens qui fe font affurés de cette quantité
, fuivant la diverfité des climats 8c des années. V i l . 88.
a. Machine qui fert à faire cette obfervation. XI. 467. a.
Comparaifon de ce qui tombe de pluie fur la terre , avec
les produits de l’évaporation 8c la dépenfe des fleuves. VII.
88. b. Suffifance des pluies pour l’entretien des fontaines,
89. a , b .D c la pénétration de l’eau pluviale dans les pre»
mieres couches de la terre. 91. é. Les pluies três-falutaires
dans les tems d'épidémie. V . 788. b. Effets de la pluie fur
les plantes, X V I. 119. a. Suppl, I. 376. b. particuliérement
fur les bleds. 917. a , b. Celle qui tombe lorfqu’il tonne,
fur-tout propre à féconder la terre. VU. 214. a. Pourquoi
une grande pluie fait ceffer la foudre./Wi/. b. Pourquoi le foleil
qui vient immédiatement après la pluie brûle les plantes.
XII. 724. b. Changement que les eaux de pluie produifenc
fur la furfàcc de la terre. VIL 624. a. X V I. 171. b. Lespliiies
regardées comme caufes de certains vents. XVII . 19. b.
Pluie prodigieufe , ( Hiflûire ) Pluie de pierres , la plus
ancienne dont il foit fait mention dans rhifroire romaine. Celles
que le Vefuv e 8c les volcans de fon voifmage ont fôuveni
caiifées. XTI. 793. b. Pluie de terre dont Tite-Live a fait
mention. Effets femblables caufés par rembrafemem du mont
Etna. Pierre qui tomba dans la Tlirace la deuxieme année
de la 78“. Olympiade. Autres chûtes de pierres dans le même
pays. Pierre qui tomba auprès de Lariffé en Macédoine l’an
1706. Phénomène du même genre obfcrvé en Provence par
Gaffendi l’an i 6 y . Ibid. 796. a. Pluie de fer qui tomba dans
la Lucanie l’année qui précéda la mort de Craffus. Pluie de
tuiles ou de briques cuites. Pluie de chair dont Pline a parlé.
Caufe des prétendnes pluies de fang. Obfervations de
M. de Peirefc fur ces pluies. Ibid. b. Ouvrage à confuker
fur le même fiijet. Ibid. 797. a.
Pluies de cendre. II. 814. b. Pluies de foufre. X V .
402. b.
Pluie artificielle , {Hi^. des fpcüacl. de Rome) Comment
ces pluies s'exécutoiem fur le théâtre où les fpeélateurs étoiem
raffcmblés. XII. 797. a.
Pluie artificielle fur le théâtre des anciens. X V I . 210. b.
236. b.
Pluie , (^Criiiq. f i e r .) Deux fortes de pluiesfavorables
dans la Palefline. Acceptions du mot pluie dans l’écriture.
XII. 797. a.
'd im t de feu , Garniture de feules étincelles ,
dont on remplit un pot pour en faire une pluie de feu.
XII. 797. a. Fufées volantes qui en tombant font des petites
ondes en l’air , 8c qui finilfent par une pluie appellée
pluie d’or. Maniéré de faire cette pluie. Ibid. b.
Pluie de feu produite par l’art de l’artificier. VH. 390. b.
Pluie , ÇMunufuH.) efnece de droguet. XII. 797. b.
P LU KNE TE , ( Botan.) Caraélcres de ce genre de plante,
félon Toiirnefort 8c félon le P. Plumier. XII. 707. b.
PLUM AC E AU X , (^Chirurg.) Vol. III des pl. Chirurgie,
pl. 2.
P LU M A R IUM OPUS ^ {.Critiq. facr.) ouvrage en broderie.
Endroit de l’écriture où il en eft parlé. Ouvrier cé-
' Jebi'8
P L U
îebre en ce genre. Pourquoi ces ouvrages font appelles plum.
iria. Voiles lacrés , ceinture du grànd-prêne , travaillés
en broderie. XH. 798. a.
PLUM.ASSIER, { A n median.) Négoce des pliimaffiers.
Principales operations de ces ouvriers. Diff'crentos façons
qu’ils donnent aux plumes avant de les monter. Comîmi-
jiaïué 6c principaux ftatuts des maitres plumafkers de Paris.
XII. 798. a.
^^P^imaJj'ier-panackkr, planches de cet art dans le volume
P LUM B A G O , ( Boun. ) Carafteres de ce genre de niante.
Ses efpeces. Dcfcrijnion de celle qu’on nomme la dcnfdhhx
de Rondelet. Exemple qui marque la force de ce cauffiquc.
Prétendu leeret tiré de cette plante pour guérir les c.-uiccrs
les plus cléléfpérés. XII. 798. b.
PLUMB A T A , {Hijl. anc.) Inftrument de fupplice. Javelots
chargés de morce.-uix de plomb. XII.
PLUMES des oijeaux, {Oruiili.) Différences qui les di-
ffingucnr. Oblcrvations fur le tuyau 5c la barbe des plumes.
Maniéré .artificlcufe dont elles font coupées à leur bord'
Filets dont la tiffure tic la btirbe ell compofée. XH. 79g’
U. Difpolltion des plumes favorable au vol des oifeaii’x , &
propre .à les garantir des injures du dehors. Boiirfe hiiilciife
})ar le moyen de laquelle l’oifeau iuimcéle 6c engraiffe fes
jilumes. Renouvellement annuel des plumes des° oifeaux
Uoye^ Mue Ouvrages à confultcr. Ibid. b. rayez Oiseau!
„ fupérieurc du germe d’une graine.
Radicule 8c plume du germe. XII, 799, b.
Plume de mer, Panade de mer, ( Injdlol. ) Infeac de mer.
Sa rcprelemation dans le vol. VI. anima!, pl. des planches , Rctme 61. ®
Plume rner, {H iß . nai.) Plufienrs zoophytes portent
ce nom. Suppl. IV. 421. b. Defeription de la plume de mer
rouge, 6c delà plume de mer ù figure de doisit. Ibid. 422.
a. Voye;^ pl, 2. d’Hill. nat. Suppl.
Plume ,la , {Gèogr.) ville de France. XII. 800. a.
Plu.me .i écrire, {Ecritur.) On en dillinnue de deux for-
tes , es grolîes plumes 8c les boucs d'ailes. Choix de la plume.
Ail. OOO. d. ^
P im ,i àrire , des myail.-r de plumes. X V I, 76g. h. Ma-
mere de les railler. V . , 7 , . a. X V . 83a. i. Vol IL des
plandi. Lcnmre , pl. 4 & . . . Maniéré d’en f.rirc u dee cl ins
lecrkiire. V . 371. a , b. 372. a. °
Plu.me , {Comm.) Différens marchands 8c artifans qui
trahqiiciK des plumes , les apprêtent ou les emploient. XH
ÖOO. a.
Plu.mes , {Murédial.) Donner des plumes à un cheval
opération du maréchal. Manière de la pratiquer. X il, 800!
a. Suiie du traitement Ibid. b.
Plumes, (AW i . démodes) XIT. 800. b.
\ LVrA\i perpétuelle, {Papetier) cljjcce de plume faite do
maniéré a contenir une grande quantité d’encre. Defeription
de cet inltrument. Son iiiage. XII. 800 b
Plume hollandée, {Papetier) XÎl. 8oo.’ i.
Plumes employées pour l’orncmcnr. Vol. VIII. des plancii
Plumaffier, planch. 3 6c 4,
Plumes d autruche, {Plumaßicr) plumes premieres, fécondés
, plumes d’autruches apprêtées. XII. 80a. b.
Plu.me brute , ( Plumaj]'. ) XII. 800. b.
Plume de paon, {Pie'rr. précuuf.) XIT. 800. é.
Plu.me , deffm à la ( Dcjfmat.) A qui convient cette manière
de dclliner. XII. 800. b. Modelés à fs propofer en ce
genre. Encres employées par ceux qui deffinent à la plume
Ibid. 801. a.
PLUMERIA , {Botan.) Caraélercsdc ce genre de plante,
-e s efpeces. Lieux où elles croiffent naturellement. Ces
plantes cultivées dans les colonies anglolfcs. XII. 8ûi a
PLU,MET de chapc.vi, {Chapel.) III. i6o. h.
PLUM IER, {Charles) botnniffe. X. 158. a.
P LU M IT IF , {.rurifpr.) cfpccc de rcgillrc des greffiers,
x i l 8 ^ ^plumitif. Plumitif des experts dreffé fur les lieux.
Plumitif, ereßer. VII. 928. a.
P LU M Ü IA G E , {R .ßn agc de fucrc) Le plumotage dé-
loiu ii aux raftnciirs à caufe du dommage que le maître
de la fucreric en reçoit. XH. 801. b.
PLUNTER1E8 , ( Antiq. grecq. ) fête des Athéniens en
Uioiinciir de Minerve Agraulc. Etym. du nom de cette fête.
Ceremonies de ce jour qui ctoit regardé comme malheureux.
A il, 801. b. Voyci PlYNTERIES.
PLURALITÉ' des bénéfices, {Jurifpr. ) la modicité des bé-
nehees a d abord fervi de prétexte :i leur pluralité. Cet
abus défendu fous Alexandre II I , 8c Innocent III. Inutilité
V , le pape accorde des difpenfes
^ S n y rD lr '’t évêchés enfemble. XII. 801. b.
lLU K _ lL L ,y ( Gramm.) On difoit autrefois p/ü/ât. Ouatre
leg es principales fur ce qui concerne le pluriel des noms
Ix des adjeilffsfranço.s. Obfervation fur l’ufage d’cniplover
tians 1’^ 6c le ^ pour c^raajériüiq.ic du plu-
P L Y 469
M que pliifieurï icvVain.
out allefie Je rcîrimcher .eu pluriel des „um. ou des adjcc-
its eu m ou cni . l.i leure f qui les tenuiuc .su fineiiljer
Lu quelles occalions les mots ail & ciedont im o-nru.l r/-
giiher. JbnLb. Dans toutes les langues , il arrive’ fouvcnc
quon emploie un nom Imgulicr pour un nom pluriel, comme
le m-iofirul 6’ le citoyen conjpircnc à l'cr'bc'l'lfeirent de
sô', ‘ f ' “ ’“ - >1= « t ic tttÇOf de pirlei « r i
P lm l UOÇÎ N ombre. Fonr.ation des pluriels des uon-s
& des sd,eehts frsngois. i ’, l u . ,s8 . „. Des noms qui
clianpiK de Iciis iclon qu'ils (ont employés au fmaulier ou
au pluriel. X V . 212. a.
PLUS g. (Synmj7,J.) D e l'ufage de ces mots Se
de leurs diitcrence». XII, S03. a.
Plus , {Gr.imm.) Obfervations fur une regie de Vaii"e-
1ns à l occffion de ce mot précédé d’un fubUamif, 8c fu%i
dun acljcciif. X V . 668. a , b.
De plus d'Ailleurs , Outre cela ,{Synon.) IV . 612.
iL u s {Géom.) Ulage de cc mot en algèbre. Son caractère.
XH. 803. a.
Plus-Petition , {Jurifpr.) Différentes maniérés dont la
pliis-pctition a jie ii. Peine de la plus-pétition dans l’andcn
droit roinam. Comment on I’cvite aujourd'hui. XH. 803. ,z.
En quel cas celui qui a fait la plus-pétition cA condamné
en France. Ibid. b.
PLU S-Q U E -PA R FA IT , ( Gramm. ) C e tems exprime l’an-
terioi-itede l'c.xiffcnce à l’égard d’une époque antérieure clle-
meme à laélc de la parole. La dénomination du plus-que-
parfait a tous les vices les plus propres à la faire profciirc
XII. 803. />. *
PLUSIEURS , Beaucoup. ( Gr.imm. ) Diff'érence dans la ü~
gmfication 6c l’ufage de ces mots. 11. t8 i . b. Obfervaùo.-ii
lur la nature du mot plufieurs. X ü l. 4Ç4. b.
avoir de l’efprir.
y i l l . 370. b. Examen de fa morale. X. 701. a. Obiervations
fur fes vies des hommes iiJullres. X V i l. 256. a , b. iJa la
leélure de cet ouvrage. 741. ./ , b. Son traité de’ phyfiolo-
gic. Suppl. IV. 346. b.
PLUTEUS , {Machin, mtlh. Antiq.) machine de guerre
des anciens. Erreur du P. Daniel fur le pluteus. Suppl. IV .
422. a. .Sa delcription. Les modernes ont leurs comme
les anciens, fous le nom de mantelets. Oblcrvatiun qui montre
que les anciens ménageuient mieux que nous la vie des
hommes dans les fieges 6c les batailles. Ibid. b.
P LU T O N , {Mythol.) Pourquoi l’on a dit que Pluton fut
élevé j)ar ta paix. Comment on explique la fable de l’empire
des enfers affigné à Pluton. Divers noms donnés à ce
dieu. Verni mcrveilleiife de fon cafque. XII. 803. b. Comment
Pluton croit roprclcnce. Flamc générale qu’on portoit
a tous les dieux infeuiaux. Principale cérémonie de fes fa-
cnrices. Tout ce qui étoit de mauvais augure lui écoit con-
iacrê Tons les Gaulois le vantent, dit C é fa r , de defeendre
de Pluton. Obfervacion fur dix fùte. Statues de Pluton , d<i
Mercure 6c de la Terre dans le temple de.s Euménides. Ju-
piier confidéié fous doux rapports,5c repréfenié dans quelques
mcdailles comme le dieu du ciel 6c le dieu des enfers.
Ibid. 804. <t.
Pluton, Voyc:^ Okcus. Jupiter Plucon. XV . 79. a , b. 80.
a , b. Pluton appelle X V . 638. a. Ses ciicvaux*
I. 243, b. fon cafque. U, 743. a. Les poètes lui inettoient
en m.iin la lérule. VI. 337. a.
PLU r u s , {Mythol.) Il croit mis au nombre des dieux
infernaux. Son origine félon Héfiodc. La fable dit que Jupiter
l’avoir aveuglé pour lui oicr le difccrnenient. Lucien
(lit que depuis ce teins-là , il va prefque toujours avec les
medians. Fixions de Lucien fur la façon de marcher de
cc dieu. Statues de Plutus à Athenes’ 6c à Thebes. XII
804. b.
Plutus , Jupiter Plutus ou Sérapis. X V . jo . a , b 80. a , b.
PLUVIER , {Ornith.) Defeiijiiion de cet oifeau , défi-
gué fous le nom de pluvier verd. XII. 804. b.
Pluvier gris. Defeription de cet oifeau. XH. 803. a.
Pluvier üuwe da Sénégal. Vol. VL des pl. Règne animal,
pl. 46.
Pluvier , ( Dietc) Qualités diététiques de la chair de cet
oifeau.XlI. 803. cr.
Pluviers , ( Geogr. ) ville de France. Obfervations fur
fon nom. XII. 805. a.
^ P LUVINE L , {Antoine) le premier qui ouvrit en Fiance
à la nobleffe de.s écoles de manege qu’on nomma académies.
V I . 247. b. X. 683. b.
PLUVIUS , ( Myt/i. Antiq. rom. ) nom donné à Jupiter.
Figure de Jupiter Piuvius, gravée fur la colonne trajane. XH.
803. a.
P LYN TER IES, {Hifi.anc.) fête des Athéniens en l’honneur
de Minerve. Maniéré de jurer dans ces jours-là. C é rémonies
célébrées daijs cette ciiconftancc. XH. S03. a,
foyc:^ PluNTERIES,
C C C c e t