
bO K
trois p arties. fuivant h cliff-renco de fon terroir. Prodnaiaits
de cette province. Ses rivières ; fe; medleurs poiflons les
principales villes; Tes ports. Princiiiaux cirons de cecto province
confirmés p.;r Guiliaiimc I. Hommes célèbres nés dans ccue
province ; Sidney , WaUingiiani, Wallis , Woltom Obici-
vntions fur chacun d’eu x , de fur les endroits par lclc[iiels ils
fc Idiu dlfHn£;ués. iX. 118. /’•
/ie.’if.Ébonlcmcncdeciuclqucs collines dans cotte province.
U. 78 6 ./-.Chambre haute & chambre badè de la province de.
Kent. IV. 160. b. . , . r, -r
KhPLER , loix de, ( Jflron.) Quelles font ces loix. llailon
de c^s loix donnée par Newton. IX. 1 19. .1.
Kepler. ( Je.m') Obfcrvations lur la vie Sc les ouvrages
de cct aHronomc. X VIÎ . 6 i i . n , b. Commentaires de Kepler
fur les mouvemens de mars. I. 792. h. En cpisl tems il donna
foil traité de dioptric|ue. IV . 74.4. n. Obfervntions fur ce qu il
a écrit touchant t'oprique. XL p 8 . é. Loix de Kepler ; clliplcs
nue décrivent le.s planeres , Klon cet allronomc. XL 576. .j.
XII. 7c 6. .1. 707. 708. n. X V II . Ö32. b. SupfA. 111. 7 7 1 . a.
Probléune ailronomiqiic de Kepler. XIIL 401. K loix de
Kepler renverfeiu le fyllöme de Ticlio-Brahé. X v . 779. ii. Sa
méthode pour déterminer la pofuion &. le mouvement des
aphélies. Suppl. I. 482. a , b. Ses calculs des palfagcs do iner-
a ir e & de venus fur le folcÜ. Suppl. IV . 243. b. Ses tables.
902. 1.’ , i.
KeplEx'i , (£o'.7i) lilsdcl'aftronoiTie. Sa phyfiologie. Suppl.
IV . t jo . .
K E IUM É E , ( GK^r. .me. ) lieu de la G rèc e, dansl Atti-
que. Fourcpioi il fut appelle Céruwique. Deux Céramiques
dilüngués par Ivl. Spon ; run incé;-ici:r & l’autre exteneur.
IX. t K).
KERAMIEN , {HIß. mcd. ) feftede mufulmans. Leur dcc-
tvine.l.X. 119. J.
K ER.ATOPHYTES ou Ccraiophytcs , { H ß .r .u .) efpcce
de folTilesaccidemels , qui viennent originairement de la mer.
Defeription de trois efpeces de tofhles de ce nom ; le kérato-
piiyte réticulé , le rameux , & le kératophyte entortille en
forme de bniyere ou (le buiffon.îX. 1 19.
Kcraiophytc , efpecc de corail pétrifié dans le fern de la
terre. IX. 1 19. k. Répàition de l'.iriicUprécèdent.
KEREN , ( Mufiq. infir. des Hébr. ) inftrument a v e n t , fait
de la corne d'un boeuf ou d’ tm bélier , ou d autres maticres cUl-
pofées en forme de corne. Différence entre le keren 8c le
fciooliar. Suppl. III. 684. a.
KERKRING , ( Théodore ) anatomifie. Suppl. I. 399. b.
K ÊRM AN , {Géogr.) province de Perfe;la Caian^ame des
anciens. Ses princinales villes. Ses bornes. Aridité de ce pays.
Travaux des Gaurcs dans cette contrée où ils fe font prelque
tous retirés. IX. 1 19. é.
KerniJ-n ; c’cll le pays do la Perfe ou il fe trouve le plus de
Gaures.VII. 529./-.
KEB.MÈS , {Baton.) excroiffance qui fe trouve lur les
feuilles du chêne verd ; defeription du kermès, écarlate on
vermillon : fon origine. Pourquoi on 1 appelle w-nnillon. Précaution
.à prendre avant de le faire lecher. Comment cm tiic
le fuc ou la pulpe du kermès. Sirop qu’on en fait. Paffel c e
kermès. Picpriétc.s médicinales du kermès; comment on le
prépare pour la reir.rure. IX. 120- u. Moyen de faite avec le
kermès , ou de l’encre ou du beau cramoifi. Sel volatil qu on
«n tire par la dllîillation. Ibid. b.
Kermès übfervations fur la nature du kermès , far le teins
& le lieu où il fc cueille. V. 219. /t. Arbre fur leqtiel fe forme
la coque du kermès. X V II . 668. a. ïi . 385./-. 386./-.
Kermès des racines deGcoffrol. 482. b. A lkermes.
Kermès de Pologne , ( lufeâologie ) in feffe qui s’attache à
la racine du knawel. Il cft connu fous le nom de graine d'écarlate
de Pologne. Qualité des icrrelns où on le trouve. Autres
plantes où l’on prétend trouver le même inleéle. Comment
on le diffingue du kermès de Languedoc. Etat dans lequel
on trouve ect in feffe , lorfqu'on le détache des racines de la
plante. Métamorphofe qu’il fubit. DilVmffion des kermès mâles
8c des kermès femelles: corn ment celles-ci font fécondées.
IX. 120. b. Ce que deviennent les vers fortis des ceufs. Au-
reiirs qui ont parlé de ce progallinfeiffe. On l’cmployoit autrefois
pour teindre en rouge dans les p.nys du nord. Pourquoi
cet ufage a été abandonné. Ibtd. 121. a.
K ermès du nord, Cochenille de Pologne , ou Coccus, ( Hiß.
not ) efpece d’iiifeéle. Plante à la racine de laquelle il s’attache.
Sa defeription. 5«pp/. HL 684. <t. Récolte du kermès ; fa
préparation. Commerce qu'on en fait en Pologne ; fes ufa-
ges Claffification de cet infcéle, felon Limiæns. Différentes
efpeces d'infeéles que ce naturalille range fous le nom de
coccus. Ibid. b. , . T
Kermès. ( Mar. medic. ) Maniéré dont on prepare en Languedoc
un fuc ou firop de kermès. Préparation d’une conferve,
fuc ou firop des coques de kermès. IX. 121. a. Compofttion
(le pilules de femecce de kermès , dont G eoffroi attelle Tufage
irès-eiïicace contre l’avonement. Autre ufage de la graine 8c
du firop de kermès , pour foutènk les forces abattues.
K H O Dix erfes propriétés attribuées au kermès. Compofitions d.uis
Icfaiielles on fait entrer la graine 8c le llrop de kermès.
Ibid. b.
Kermès minéral. {Chym. & Mat. médic.) Maniéré de préparer
le kermès niinénil , ou poudre des Charireux, IX. 121.. é.
Origine de cette denùore dénomination : propriétés 8c ufages
de ce remede. Dofe qu'on en doit prendre. Théorie chymi-
qne de l’opération du kermès minéral. Le kermès n’cll p.isle
toie de foufie antimonial entier; mais une partie, un des
m.icéfiaux feulement , ou mé'me un débris d'un compaile
réellement dilTous dans la liqueur où il croit auparavant fou-
tenu. Ibid. 122. a. Maniéré de préparer le kermès minéral par
la voie feche ou par la fonte Défauts du kermès ainfi préparé.
Autre kermès minéral donc parle M. Léméry le fils. Ses
défauts. Le ch.oix exclufif de la liqueur de nitre fixe , preferit
dans la recette pu'nliéc par ordre du r o i , cil abfoluinent puérile
8c fiiperfiiticiix. Ibid. h. Problème important fur la prén.i-
ration du kermès: les lotions cxaflcs 8c multipliées le renclcm-
elles plus a ft if, plus emétique, ou au contraire l Divers fcim-
mens fur ce fu)ct. Ibid. 12 y. a.
Kermès m:nc-.i!.l. 506. b. Son ufage. 308..?. 509. é. Comment
on le fiiir. X IV. 40.
KERMESSE ou picrmis , ( Ihint. ) mot d’ufngc clans la
langue hollan,'olfo , pour fignirier une foire , ou une fore de
vill.tge. IX. 123. II.
K'ERN-STONE , ( Hiß. nul. ) nom que le peuple donne
dans quelques provinces d’Angleceirre à une pierre Ipatlu-
quc. Lieux oii elle i'c trouve. Comment elle le forme. IX, 123..-.
K ESITA , ( Püß.anc.) mot hébreu , qui fignifie un agneau.
Divers fenrimens des interprètes fur le fous de ce mo t, employé
dans la Gen. XXXlIi.3^. 19. 8c JobLXII.3^.11.IX. 123.C.
KESLAR . peintre. Ouvrage qu’il a publié. VII. 248. 8. a.
K ESROAN , ( Géogr.) cliaine de montagnes , en Syrie.
Eloge de ce pays8cdefes habitans.IX. 123.À
KETMLV. ( /jom/i.)CaraéIeres de ce genre de plante. Noni-
breufe.s efpeces de ce genre. Celles queTon cultive en Angleterre.
IX. 123. b. Details fui leur culture. Diverfités remarquables
entre ces efpeces. On appelle aujourd’hui \tikctmia,
gombaut dans les ifies françolfes. Ibid. 124. a. P'oye^ ce mot.
K etmi.x fyronim , ou Althea frutex, {Botan. Jardin. ) noms
de cette plante en différences langues ; fon caraéïere générique.
Efpeces 8c variétés. Lieux où cet arbriffeau croît naturellement.
Sa defeription. Suppl, l i l . 685. a. Sa culture ; fes
propriétés Sc ufages. Ibid. b.
Kchnia , de Syrie , nommée ain-p.irhr. Suppl. I. 234. a.
Kermia , oieilic de Guinée. Suppl. IV. 192. b.
K E TU LE , ( Botan. ) cfpece d’arbre de l’ifle de Ceyhm. Sa
defeription. Liciueur qu’on en rire par incifion, Sucre qu’on lait
avec cette liqueur. IX. 124. a.
KEUMÉESTERS , ( Comm. ) efpece de commis établis h
Amllerdam pour les niarclundifes. Keuméefiers établis pour
différentes fortes de marcbandifes. IX. 1 24, a. Leur rapport raie
foi en juiVicc. Ibid. b. K H
K H A A TH ou Cat: , ( Botan. ) lùc affringcnt tiré des frtnts
ou des plantes. Ufage qu'en font les Indiens. Q u el eff celai
qu’on elllme le plus. IX. 124. b. Hoyci^C.KTS.
KH.AN , ( Hiß. mod. ) édifice public en Turquie pour loger
les étrangers. Defeription de celui de Conllantinople , qui ell
réputé le plus beau. Loy er des chambres. Sûreté de ces lieux.
U faut s’y pourvoir foi-mé:ne de meubles 8c d’ufienfiles de
ctiifine.lX. i24.é. Koyf^HAN.
Kh.tn , petits fort ou châteaux fur les grandes routes, def-
tinés à fervir de retraite aux voyagcurS/lX. 125. lî.
K H A N ß lL , {Hiß.n at.MIiUc.) fubib.nce ou poudre qui
rclTemble au précipité rouge. Ufage qu’on en fai: en P erfe 8c
en Arabie. IX. 125. a.
KH.ANBLIG ou Camb.sla, { Géogr. ) ville de la C h in e,
premiere conquête de Gengis-Kan , après qu’il fe fut rendu
maître de la grande Tartaric. Khanbalig , Kanblig , Cam-
bala Sc Pékin font autant de noms d’une même ville. IX.
123. <î.
KH A S IN E , ( Hiß. mod. ) tréfor du grand-feigneur. Régif-
tres Sc habits du grand-feigneur , ferrés dans ce tréfor. En
quel tems on l’ouvre. Cérémonies obfcrvécs en l’ouvrant 8c
en le fermant. Autres apparremens où l’on enferme l’argent.
IX. 123.17.
K H ltR , arbre de ce nom clans les Indes , d’où l’on tire le
kaath ou cachou. IL 306. b.
KHOSP«.OÈS, voye^ COSROÈS.
K H O V A G E H - ILG A R , {Géogr.) ville de la grande Bou-
karie , dans laquelle naquit T.imerlancl. Hi.Roire de ce conqiic-
r.iiic. En quoi il fut inférieur à Alexandre. Auteurs qui ont
écrit fa vie. IX. 123.6.
KI-IOVAREZM , ( GEig'. ) grand pays d'Aüe , la Choraf-
mle cle.s anciens. Srs bornes '8c fon érendue. Ses habitans.
Qualité du terroir. IX. 1 26. a.
^ K l.
K I O
K I
K l. ( Hiß. mod. ) En perfan Sc en turc, fignifie roi ou empereur.
Les anciens fopbis, avant leur nom propre , metioienc
fouvent le nom de ki. IX. 1 26. a.
K i , étendard des Tartares Mongules. Figures ou fentenccs
peintes fur ces étendards. IX. 126. a.
K i , la fixieme partie du fécond cy cle des Khatayens Sc
des iguriens. Ufage de ce cycle. ’Autres fignifications qu’ils
donnent à ce mot. Acceptions du mot ki chez les Chinois.
IX. 126. <7.
K l , nom de cliverfes villes de la Chine. IX. 1 26. b.
K IA K K IA K , ( Hijc. mod. Mythol. ) divinité adorée aux
Indes, dans le royaume de Pégu. Détails fur ccdicu. IX. 1 16.6.
K IAM , ( Géogr.) fleuve de la Chine. Defeription de fon
cours. IX. 126. 6.
K IAN G N A N ou Nanquin, ( Géogr.) province de la Chine.
Son commerce 8c fes ouvrages. Sa population. Ses bornes.
Fleuve qui la traverfe. IX. 1 26. 6.
K IAN S I , {Géogr.) province de la Chine. Ses bornes ; fa
population ; fa porcelaine. IX. 126. 6.
K IBO U R G , ( Géogr.) ville de Suiffe , au canton de Zurich.
Obfervarions fur Louis Lavater 6c Rodolphe Hofpinien ,
nés dans cette v ille ; 8c fur leurs ouvrages. IX. 12 7 .0.
K ID D E R , {Richard ) théologien, X V . 703. a.
K IE LD E R , ( Ornith. ) oifeau de Norwege , pie de mer. Sa
defeription. Pourquoi les Norvégiens en font grand cas. IX.
127.^.
K IE L L , {Géogr.) ville d’Allemagne, en bafle-Saxe.Fondateur
de la ville 6c du château. Sa fituation. Auteur qui l’a
décrite. IX. 127. <7.
K IENH OLZ , ( Géogr. ) lieu autrefois remarquable du canton
de Berne. SuppL III. 630. 6.
K IH A IA , ou Kïehaia , OU Ketchudaberg , ( Hiß. mod. )
lieutenant-général du grancl-vifir. Importance de cet emploi.
IX. 117. 6.
K IJO VN , {H iß . nat.) idole que les Ifraélites avoienr
honorée dans le délert. Obfcrvations fur la maniéré donc ce
mot eft traduit par D . Calmet ; fur l’iifage de porter les images
des faiiits dans les proceflioiis ; 8c fur celui des païens, de
Î'orter, dans des cérémonies femblables, les images des dieux.
X. 127. 6.11 paroît qu’on doit entendre par kijun, le premier
des dieux , le foleil. Obfervarions qui appifient ce fenti-
mem. Interprétation d’un paflage du prophète Amos , oii ce
mot eft employé. S. Etienne , citant ce paflage, a6I. ch. V I I ,
43, fubftitue au mot kijun , le mot remphan. Remphan ou kijun
font une même divinité , à laquelle le titre de moloch eft
toujours attaché , avec des attributs qui, fous le nom de fatur-
ïie , ne peuvent convenir qu’au foleil. Paflliges de Macrobe 6c
d ’Orphée. Ibid. 128. a.
K ILIST INO NS , ou Kirifiinous , ou Chrißinaux, ou Krigs,
peuple de l’Amérique feptemrionale. Caraéiere de ces faiiva-
ges. Leurs moeurs. IX. 128. 6.
K IL L A S , ( Hiß. nat. ) nom donné par les ouvriers des mines
de Cornouailles , à une efpece de terre. Sa defeription. Autre
Jignification de ce mot. IX. 128.6.
KIMPER ou Q^uimpercorencin. ( Géogr. ) Origine de ce
rom. Ville de France , en baffe-Bretagne. Elle eil la patrie
du P. Hardouin , jéfuite. Son épitaphe par M. de Boze, qui
peint alTez bien fon caraftere. IX. 129. a. Voyet(_ Q u i .mper.
K IM -TE -TCH IM , (Ge'ogr.) magnifique bourg de la Chine.
Porcelaine qu'on en tire. Sa fituation. Pourquoi ce lieu eft lujet
aux incendies. IX, 1 29. a. Génie du feu adoré dans ce bourg.
Bon ordre qui s’y obferve. Ibid. b.
K IN D R A , efpece de plante. Suppl. I. 822. 6.
K IN G , ( Hiß. mod. Philofopk. ) ce mot fignifie doRrine fu-
blhne. Livres auxquels les Chinois donnent ce nom , 8c qui
font l’objet de l’étude des lettrés. Expofé de chacun des cinq
livres qui portent ce nom. Commentaire que Confucius a fait
du premier. IX. 1 29. 6.
KIN-KI ou Poule d'or , ( Hiß. nat. ) oifeau d'une beauté
merveilleufe, qui ne fe trouve qu’à la Chine. Éclat de fon
plumage. Qualité de fa chair. IX. 1 30. a.
KIN-Na MON. Obfcrvations & recherches fur cette fub-
ftance. IL 393. (7,6. —
K INNOR , {Mußq. inßr. des Hébr. ) divers fentiincns fur le
kiiinor. C e l l de cet inllrument que D.ivid joiioit devant
Saül. On en attribue i'invention k Jiibal. Suppl. III. 686.(7.
K IN O , ( /e P. ) géographe. 5k/’/?/. IL 132.6. 133.6.
K IN -YU , poijfon d'or. ( Hiß. nat. ) Dclcriprion du poilTon
auquel le,s Chinois donnent ce nom. Speélade agréable que ces
poiffons donnent fur la furface de l’eau. IX, 1 30, 6.
K îO S C H E , pavillon , ( A'chit. turque ) bàtimeait turc élevé
au-deflùs du terrein. Defeription très-détaillée de cette forte
de bâtiment. IX. 130.6.
K IO V , capitale de l’Ukraine. X IV . 442. 6. XVII . 371, 6.
K IO V IE , ( Géogr. ) palatinat de la petite Pologne. Qualité
du pays. L ieux qu’il comprend. Suppl. III. 686. a.
Tome IJ.
K N O '81
K 1PSCH.4 C K , ou Kapfchack, ( Gc'o^r. ) grand pays entre
le Jaïk & le Borifthene. Princes fouverains de ce pays. Peuples
anciens qui en forcirent. Ses rivieres. Sa capitale. Auteur à
confulter. IX. 13 i. <7.
KIRCHER , {Conrad) théologien. Remarques fur fa grammaire
Sc fon diflionnaire copte. Suppl. II. 392. a.
K IR CH M AN , ( Jean ) homme de lettres. IX, 709. a.
K IR I , ( Botan. ) arbre du Japon. Sa defeription. Huile
qu’on tire de fa femeiicc. Armoiries des dairis du Japon. IX.
I3T_. a.
KIRMEU , {Ornith.) oife.au du Spitzberg. Sa defeription.
Celle de fes oeufs. IX. 131. (/.
KIRNBERGER. Analyfe de fon fyftéme fur rharmonie.
Suppl. IV . 873. (7,6. — 877. 6.
K IRSTENIUS , ( George & Michel) médecins. X V . 317.6,
KIS , ( £'/7rr7«r ) ^oye^SEGEDlN.
K 1SLÄR A G A , ( Hifl. mod. ) chef des eunuques noirs dans
le fcrrall. Importance de ce pofte 8c de lès fonflions. Officiers;
qu’il afousfes ordres. IX. 131.6.
KISTE , ( Médecine) comment il fe forme. V . 691. <7.
KISTITÜ.MIE , ( Chirurg. ) opér.acioiipar laquelle on ouvre
la veffic urinaire , pour en tirer l’urine. En quel cas elle eft
iiéceflairc. Suppl. III. 686. 6. On faifoit jadis la poiiélion au
périnée. En quoi elle confiftoir. Comment fe fait aujourd'hui
la kiftitomie. Ibid. 687. a. Canule que celui qui a été opéré
dans fa vicilIclTc doit fe réfouche à porter le refte de fa vie.
Ibid. b. Vove^ BOUTONNIERE.
K IT A IK Â , ( Comm. ) toile de coton qu’on apporte de la
Chine en Sibérie 8c en Ruflie.Couleurs donc on la teint. Suppl,
111.687.6.
K IT T IS , ( Géogr. ) montagne de la Laponie fiiédoife. Fontaine
remarquable qui s’y trouve, dont l’eau ne gcle jamais.
IX. 132. a.
K IÜ-GIN , ( Hiß. mod. ) fécond grade des lettrés chinois.
Examen à fubir avancd’obt.anir ce grade.Habit c(ui le diftingue.
Gracies plus élevés auxquels il conduit. IX. 132.(7.
K IZ IL B A C H E , ( Hiß. mod. ) mot turc qui fignifie tête
rouge. Pourquoi les Turcs appellent les Perfans de ce notn.
Obfervations de Vigenere fur les douze plis du bonnet qui a
donné lieu à ce nom. IX, 1 3 2. d. K L KLEIN , {Jacques-Théodore ) Diftrlbiition métliodique des
quadrupèdes par ce naturalifte. XIII. 646. 6. &c. Ses ouvmges
anatomiques. Suppl, l. 408. a. Son ouvrage fur les cchinites.
Suppl. IV . 213. 6.
K L IN G S T E T , peintre. V . 313.6.
K L IN K OSCH , {Jofeph-Thaddée) anatomifte. Suppl. I,
414. (7.
JC LO PSTOCK, poète allemand. Obfervations fur fes odes,
Suppl. IV . 93. b. 99. 6. 100. a. fur fa mefliade. 437, <7,Il a peint
dans ce poème l’état d’aiigoiffe dans la plus grande vérité.
Suppl. I. 430. a.
K LU F F T o u , ( A/7>:eV.7/o^. ) mot allemand, qui
fignifie les fentes des rochers qui accompagnent les filons métalliques,
& conrribuem quelquefois à les rendre plusabon-
dans. IX. 1 3 2. d. Diverfes obfcrvations fur ces kluffcs. Ibid. b.
Voyci F ilo n . K N K N AH , ( Hiß. des drog. ) nciii donné par les Turcs à Va
feuille de l’alcana , réduite eu poudre. Arbriffeau qui la produit.
Lieu d’où on la tire. Ul'ige qu’on en fait au Levant. IX.
132^.6.
K N AW E L , ( Botan. ) Cataéleies de ce genre de plante. Ses
efpeces. C ’eft fur les racines de ccîtc plante qu’on trouve le
kermès de Pologne. IX. 132. 6.
K N É E S , (A/y?. mod. ) dignité ruffe , qui répond à la qualité
de prince. Trois efpeces de kiiées. IX. 1 32. 6.
KNELLER , ( Godefroi) peintre. V. 313. 6.
K N E TH , ro id ’Ecoffe , quidétniifitlesPiéles. XIÎ. 332.(7.
KNEUSS , Kneiß'ou Gneiß', {Minéral.) nom allemand,
qui fignifie une efpece de roche qui accompagne très-fréquemment
les mines 8t les métaux dans le fein de la terre. Caraèlcrcs
de cette pierre. Elle nuit à l’exploitation. Matières cju’clle renferme.
Sa formation & fa nature, IX. 1 3 3 - *7.
K N iGH T . Ses expériences fur l’aimant. L 219-6.
K N IG TH O N , ( Géogr. ) ville de la principauté de Galles ,
en Angleterre. Obfervations f'ur la fameufe digue d'O fta ,
roi de iviercie, qu’il fit conftruire près de ce lieu. Suppl. III.
688.(7.
K N IT T IN G EN , ( Géogr. ) ville d’Allemagne en Souabe.
Saccagémeiis qu’elle a effuyés. Suppl. î l l 688. a.
K N O R C O C K , ( Hiß. nat. ) oiioau du cap de Bonne-Efpé-
rance. Obfervations fur cet oifeau. IX. 133 - a.
K N O U T ou Kr.ut, ( Hiß. mod. ) fuppllcc en ufage parmi
les Ruffes. En quoi il confifte. Il n’eft point tenu pour un
déshonneur. Efpece de quellion appellee de ce même nom,
IX, 133.0.