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rtgiiUeres & Irrégulicrcs. S:ippl. IV. 966. J. Regies fur leur
ul'aee. It'iJ. h. Anticipaliorl tie tranfition. Supp/. 1. 4^0. a.
f RAN S LA T ION , Trjnj'port. ( Synonym. ) Difference
d a n s lu&ee tie ces mots. XVI. ,54 . i
T r a n s l a t io n , {^Bdus-Uit.) iignifioit autrefois verlion
d’un livre ou d’un ccrit. f^oye^ T raduction, V ersion.
Reflexions liir les trndufteurs. X V I. $54’
T ranslation. {Junjpr.) Tranfiution d’un chanoine regulier
d’une congrégation dans un ordre. TranAation de do-
inicile en fait de taille. TranAation ad ifeâum heneficii. X V I.
^ ^ TranjÎJiion d’nn évêque d’un fiege à im antre , eA réprouv
ée lorfqii’ellc eA faite fans néceAicé ou utilité pour l’églife.
Formofe fut le premier qui contrevint à cette défenfe dans
le neuvième ficcle. X VI. 5^5. a. Tribunal auquel il appartient
de déterminer la néceAîté ou utilité de la tfanflation.
Ouvrages à confulter. IhiJ. b.
Trar:jlation de legs. TranAation d’ordre. TranAation d'un
prifonnier. TranAation d'une religieufe d’un inonaAere dans
un autre. X V I. 55 5-
Tranjldtion. d’un religieux d’un ordre dans un antre, Ce
fut S. Benoit qui joignit au voeu d’obéiOance perpétuelle
celui de Aabillté. Cependant on permit aux religieux de pal-
fer de leur monaAere dans un autre plus auAere. D e la
trauAation des mendians dans un autre ordre pour obtenir
bénéAcc. TranAation d’un religieux dans un ordre plus mitigé.
pour raifon de fauté. X \ l . 555. b. Maximes de jiirif-
prudence fur les formalités à obfe: ver dans le cas de iranf-
lation. Brefs de trauAation. Ouvrages à confulter. Ibid.
556. a.
T ranslation. {Mufime) X VI. 556. a.
T K AN SM lG R A T IO h ï des Juifs. {Hiß. des Hébreux^
Quatre tranfmigrations des Juifs .à Babylone fous Nabucho-
cloiiofor. Tranfmigrations des dix tribus. X V I. ^56. a.
T ransmigrations, {Hiß.) veyqCoLONiEs. Trcnfmi-
grarion ionique, époque célébré dans l’anuquité. VIII. 879. b.
T ransmigration des âmes, {Titcol. & Phüoj.) voyei
Métempsycose. X VI. 5^6. a. Jamais doflrine ne fut plus
générale que celle-ci. Opinion des caoaliAes fur ce fujet.
On attribue la même doélrme à quelques docteurs célébrés
d’entre les Chrétiens, comme à Origene , Synéfms ik Cal-
cidius. Elle fut aulfi un des dogmes des Manichéens. Ibid,
b. Opinions anciennes qui ont donné nailTance à celle de
la tranfmigration des âmes. Doftrine des anciens Juifs fur
ce fujet. Ibid. a.
TRANSMISSION. ( opiicjue ) Pourquoi cernins corps
trunfmettent, & poutsjuoi d’..utres réAcchilfun les rayons,
r u y q Diaphanéité, T ransparence, O pacité. C e que
Nt-wron entend par accès de facile réflexion & de faede
tranfmifll n- X VI. 5^7.
T ran sm is s io n , {Jurifpr.) tranflation qui fe fait de plein
droit de la perfonne du défimt , en celle de fon héritier,
de quelque droit qui étoit acquis au détunt au tems de (on
décès. De la tranfmiirion pour legs ou ficléi-commis. Dilpo-
fition de l’ordonnance des luLAicuiions fur ce fujet. XVI.
557- Tranfmlßon. En quoi elle différé de la repréfentaiion.
X IV . 146. b.
TR AN SM U T A T IO N , ( Géom. ) celle d’une figure ou
d’un corps en un autre. Tranfmutacion d’une courbe en
une autre dans la géométrie fublime. Ouvrages à confulter.
T ransmutation des mé. taux. {ACTkAy m.N) SCu ppl/, Tl. 737. b.
738. a. Tranfmutation apparente du fer en cuivre. 11. 812.
b. 813. a. IV . 34Ö. a.
TR AN SOX AN E . {Géogr. anc.) Quel étoit ce pays. X.
114. a. Nom que les Arabes lui donnent. X VI, 837. b.
TR AN SPA REN CE , Diaphanèiié. ( Phyfiq. ) Caiifes de la
tranfparence , felon différens philofophes. Le defaut de tranf-
parence vient , felon Newton , de l’inégale denfité des
parties des corps , ou de ce que leurs pores font remplis
de matière hétérogène, ou de ce que ces pores font abfo-
himent ronds. La tranfparence du verre & du diamant
vientde ce que dans ces corps , les parties voifines font de
même denfité. X VI. 3^8. a.
Tranfparence, voye^ D ia ph a n ÉITÉ 6* OPACITÉ. Caufe de
la tranfparence. IV . 330. b. 943. a. D e la tranfparence de
la glace. VII. 682. a , b.
TR AN S P IR A T IO N , ( pores de la tranfpiration.
La tranfpiration diftinguée en fenfible & infenfible.
Efpece de tranfpiration de l’air, des vapeurs, & c . dans le
corps , par les pores d e là peau. La doéirine de la tranfpiration
infenfible perfeélionnée par Sanôoriiis. Struélure 8c
petiteffe inconcevable des vaifleaux par lefquels fe fait la
tranfpiration. D e la qualité de matière poulTéc en dehors
par cette voie : obfervations de Sanélorius , d’après lefquel-
les U paroît qu’on perd plu.s en un jour par la tranfpiration
, qu'en quinze jours par tous les autres émonéloires.
X V I , J 58. b. Utilité éc néceffjté de la tranlpiration. Priiici-
T R A
pal moy’en de conferver la famé, fondé fur la tranfpiration.
Moyens d’entretenir la tranfpiiation. Maux qui rélul-
tent des vices dans cette forte d'évacuation. Chaife de Sanc-
torius. Phénomènes les plus extraordinaires qu’il a obfcrvés
par le moyen de cette chaife. Ibid. 339. a.
Tranfpiration. Différence encre la tranfpiration 8c la fueur.
X V . 621. b. Tmnfpiration qui fe fait par les tégu’mens 8c
les poumons. XI. 286. b. Tranfpiration infenfible. VIII.
263. b. Obfcrv’ation microfeopique de cette forte d’excrétion.
XIII. 123. J. Rapport entre l’état dn ventre 8: la tranfpiration.
IV. 61. b. Tables faiiélorieiines fur la tranfpiration
infenfible. X IV . 608. b. Pourquoi la tranfpiration augmente
pendant le fomme',1 : matière de cette e.xcrétion. X V . 33 i.
b. 332. a. La tranfpiration beaucoup diminuée en hiver.
V l l l . 736. a. Une atmofpherc formée par la tranfpiration
liiimaine deviendroic pellilentiellc. I. 233. a. Influence de
la tranfpiratii n fur la famé. X V . 621. b. — 623. a. Tranfpiration
pliante fous les ailfolles; moyen de la corriger. I.
240. b. Maladies cutanées caufées par un vice de la tranfpiration.
Remedes. XII. 218. b. Crife finguliere qui guérit
un jeune homme dont la tranfpiration avoii été totalement
fupprimée pendant long-tems. X I ll. 123. a. Reinedes pour
exciter la tranfpiration. XV. 453. a. 621. b. 8cc. Ouvrages
fur la tranfpiration : de Sanélonus, I. 396. a. Suppl.
IV . 349. a. de Linings , Suppl. 1. 410. b. de Rye. Suppl.
IV . 338. A
T ranspiration du poil des animaux. {Z o olog .) III.
31S, b. XII. 864. a. Tranfpiration des oeufs. XI. 407. a.
T ranspiration des pUnus. {Bot.) X V I . 939. a , b.
960. J,b Suppl. 11. 46.a. Celle du touvnefol. X V I . 836. 959-*r.
TR AN S P L AN T A T IO N . (Mèuifartr) Méthode de guérir
les maladies, imaginée par Paracelfe : elle coiififte à faire paf-
fer une maladie d’un homme dans un autre fujet, homme,
animal, ou plante. Les Allemands fe- font iong-iems occupés
de cette méthode. Auteurs qui en ont été partilans.
Comment Reifeiiiis rénffic à guérir deux enfans d’hydrocele
par la tranfpiration. Hernie inguinale guérie par cette méthode
en fe fervant du teUphium. Efpece de fympathle qui
s’établit, felon les Allemands , encre le malade 8c le fujet
en qui on a tranfplanté la maladie. Parmi les fecrets de
bonnes femmes, on trouve quelque idée de la iranfplanta-
tion. Etfet analogue à la tranfplantatioii dans ce qui arrive
aux vieillards qui couchent avec des jeunes gens. XVI.
339. b. Voyci Imposition. VII I. 600. a.
T ransplantation d'arbres. {JgrîcuU.) ElTal qu’un An-
glüls fit dans le dernier ficcle de tranfplamcr les grands ar-
bies fruitiers des vergers. Saifon qu’il faut choifir pour que
la tranfplantation réiiififlé. XVI. 360. a.
'I ranspiration. {Bot. Jatd.) Tous nos fruits, tous nos
grains , tous nos légumes nous font venus d’O rien t , 6c c’efl
l’Alie qu’on voit en Europe. L ’objet de toute tranfplantation
eft de nauiralifer un végétal dans un nouveau lieu :
pour cet effet, il faut lui faire vaincre, par l’habitude, les
répugnances qu’il éprouve à ce changement d’état. Suppl.
I^ . 966. f . Il y a bien peu de végétaux qui foient tellement
propres à tel fol paniculier, qu'on ne parvienne à les
accoutumer à une terre differente , pourvu qu’il y ait quelque
analogie, 8c qu’on leur prépare des palfages doux 8c
gradués. Précaution à prendre pour les leur ménager conve-
uablcmem. Différens i’aiis qui montrent que les végétaux
peuvent, jufqu’à un certain point, s’accoutumer à un fol
différent de celui qui leur efi propre. Obfervations qui prouvent
qu'on peut faire fiirmonter à une plante les influences
contraires d’une temperature nouvelle. Ibid. ^6y. a. Jufqu’à
quel point une plante peut fe prêter à un changement
gradué de température. Des précautions à prendre pour
accoutumer un individu, ou une efpece entière à un nouveau
climat. Ibid. h. Comment ces nouvelles efpeces peuvent
produire des variétés qui portent un caraélere particulier
du nouveau climat , & paroiiTent comme indigenes.
Moyen de fixer une variété efiiinable, de la mulripHer Sc de
l’améliorer. D e la dégénérarion des efpeces Sc des avantages
qu’on en peut retirer. Ibid. 968. a. Richeffes végétales
que l’homme auroit pu fe procurer, s’il eût fit tirer p.irti d®
la prodigieufe fécondité de la nature, 8c de la perfeélibilité
des elpeces. Ibid. b. Succès que nous avons obrenii, depuis
le peu d’années que nous femons des fruitiers dans la vue
d’obtenir de nouvelles efpeces. Du plus ou moins de dif-
pofition à changer, qu’on obferve dans les variétés. Il ne
paroit pas qu’il y ait d’efpcces invariables. Diflinélion de
plufietirs oriires de variétés 8c d’efpeces, felon leur difpo-
fition plus ou moins grande à fiibir des altérations. Ibid.
969. a. Travaux auxquels l’auteur invite les botaniftes 8c les
cultivateurs, dans la vue de pénétrer, s’il efi poflîble,dans
les voies les plus fecretes de la nature végétale, d’en re-
•cueillir les tréfors, 8c de les multiplier, Idée 8c projet d’une
fociété qui fe propoferolt une telle carrière. Une telle fo-
ciété exigeroit un écabliffément qui fut invariable , un efi
pace de tçrrein 6c des fruits confidérablcs qui ne font point
T R A
à la portée du commua des poireffeurs des terres , par con-
féqueat des puiflans fecours de la part du gouvernement.
Ibid. h. Difiiibution 8c culture du terrein que cette fociété
polTéderoit. Diverfes branches de travail qu’elle fe propofe-
roit. Ibid. 970. a. Son journal 8c regifire d’expériences.
Echelles de colonies 6c de pépinières que cet établiffement
exigeroit à des difiances à-peu-près égales, dans une étendue
confidérabie de pays. Moyens qu’on cmploicioit pour
faire paffer avec fiicwés les dtri'crentes plantes d'un foi ou
d'un climat dans un autre. Avantages qui réfulccroieni de
tous ces tr.3vaux. Ibid. b. Directions Iiir l’art de la tranfplan-
taiion, 8c fur les précautions qu’elle exige. Regies fur l’opé-
ration d’arracher le plant enraciné. Ihid. 971. a , b. Soins
que demandent l’emballage 6c le tranljjort de ce plan: : ces
foins font relatifs à la nature 6c à l’efpece du végéral, 6c
à la partie du végétal dont on tait choix : la maniéré d’emballer
efi très-importante. Ibid. 972. a , b. Atteiuions à ob-
ferver en déballant la cailfe arrivée à fa dellination. Sur les
foins qu’exige la plantation des arbufies de ces envois , voycr
leurs articles particuliers, 8c le mot Plantation. Préc'au-
tions à prendre lorfque ces plantes ont pouffé dans la caific.
D u tranfport des boutures, des morceaux de racine, des
feions 8c des greffes. Ibid. 973. b. Envoi des fegmens de
racines. Ibid. 975. a. Envoi des femences. Diviflon des fe-
mences, relative aux différentes précautions qu'elles exigent
pour être envoyées fûrement. Ibid. b.
Tranfplantation d’arbres en pépinière. XII. 322. a , b. 8cc.
Taille des arbres qu’on fe propofe de tranfplamer. X V . 834.
b. Obfervations de la Qiuniinie fur la tranfplantation des
,,arbres. VIII. 439. b. Maniéré de lever un arbre en motte.
IX. 443. a. Suppl. IV. 971. b. D e la fitiiation à donner aux
•arbres qu’on tranfplanté. I. 383. b. 737. a. Difiance à laquelle
ils doivent être efpacés. V . 952. />. Ceux qu’on a tirés
d’une pépinière doivent être armés. Suppl. 1. 361. a.
D e l’humidité qu’on doit procurer aux plantes nouvellement
tranfplantées. 377. b. Bâtardiere où l’on tranfplanté les
arbres tour greffés pour les y tenir en referve. Il, 140. a.
Il faut é viter, dans la tranfplantation , d’avoifiner ceux qui ne
fe conviennent pas. 300. a. Tranl'plantation des plantes de
h\é. Suppl. III. 219. a. Sur la traniplaniation , voye^ Plantation
& Pépinière.
T R A N S PO R T , Tranfation. {Synon.) XVI. 334. é.
T ranspo rt , {Ju njp r.) mot fynonyme à cejjion. Le
tranfport fe tait avec ou fans garantie. Le tranfport ne fai-
fit que du jour qu’il a .é ié figmfié. X V I . 560. a. Effets du
défaut de fignification au débiteur. Chofes dont pn ne peut
faire un tranfport. Différence entre la délégation & le trant-
port. Ibid. b.
Tranfport. En quoi il différé de la délégation. IV. 781. a.
Tranfport d’une dette , rente, ou autre-eff'et avec garantie
V i l . 480. b.
Tranfport, en terme de commerce, en terme de teneur
de livres. X V I . 360. b.
T'^A.'asvOKl desmatieresou des efpeces.{Financ.) X. 19 4 .é.
T ransport : {Jardin.) quatre maniérés de tranlporter
les terres. X V I. 360. b. Comment ,011 tranfporie les arbres
8c les orangers. Ibid. 561. a.
Tranjport des grains, Suppl. I. 923. a , b. des plantes ,
Suppl. IV . 972. a , b. des boutures, des morceaux de racine
, des feions 6c des greffes, 973. b. des femences. 973. b.
T R AN S PO R T E R , Porter, jdppouer. Emporter, {Lang,
franç. ) fignification de ces mots. XIII. 143. b.
TRANSPOSER. {Mujîq.) Tranfpofer en exécutant, en
écrivant, 6c en folfiant. Suppl. IV. 976. b. — Foyet^ T ransposition.
. T R A N S PO S IT IO N , {Algeb.) opération qu’on fait en
tranfpofant dans une équation un terme d’im côté à l’autre.
On ne fait en cela aiicun changement dans une équation,
pourvu qu’on obferve de donner aux termes tranfpu-
fés des fignes contraires. Axiome fur lequel font fondées
les regies des tranfpofitions. X V I . 361. a.
T ransposition. {Gramm.) Des iranlpofitions permifes
en françois. IV . 693. b. Voyes^ Inversion.
^ T ransposition. {Mufiq.) Comment, après avoir com-
j» o f é un air dans quelque ton , on peut le tranfpofer dans
autre. Difficultés attachées aux tranfpofitions pour les
inftrumcns. XVI. 361. a .— Voyet^ TRANSPOSER.
Tranjpoftion dans le plain-chant. X V I . 405. a. Clé tranf-
pofée. III. 317. a , b. Tranfpofition appellee réduélion. Suppl.
IV . 393. a. Foyer CONTREPOINT.
TRAN SPO SITIVES , langues , ( Gramm. ) clifiingnées des
langues dites analogues. V l l l . 833. b. IX. 238. a , b. 363.
b. 264. h. 263. b. Ceux dont l’idinme maternel efi tranf'po-
fit if, éprouvent moins de diifi(»ilté à apprendre une langue
auffi tranfpofitive. X 447 b
TR AN SU B ST AN T IA T IO N . {Théolog.) Ce mot fut introduit
dans 1 églife au concile de Latraii, en 1213. Seéles
chrétiennes qui le rejettent. Explication que le concile de
Trente donne du dogme de la iraniubftantiation. XVI. 361.
Tome H.
T R A 801
i. Trois fyftcmes différens fur la maniéré dont sonarc la
^anluoüaimatiqn ; celui des Péripatéticiens, celui de M.
t r / ^ Examen de ces fyfiémes.
Ibtd 362 , b. Trois autres fyfiémes par lefquels on pretend
expliquer quelle efi la nature des efpeces ct.charifii-
ques qui frappent nos fens après h tranfubfiamiation ; celui
des Penpatenciens, celui du P. Mai-nan Ibid a
6c celui de M. Rohauh le cartéfien. Ibid, b . ’
Tranjubjhniiatwn, EUCHARISTIE. Défenfe de ce
dogme. V i . 132. a , b. iku. Argument en fa faveur. Suppl
iV . 333. a. ,:ote. Liturgiedes Grecs fur la iranfubfiantiation
le f t des Anglois contre cedoame. X V I. i8o. b.
T jvANSVERSAIRE , ( Anatom. ) nom de quelques muf-
cles qmom leurs attaches aux apophyfes tranfverfcs. Grand
tra^verlaire du col. X V I . 363. b. Tranfvcrfaire crôle ou
collateral. Petits tranfverfaires du c o l , rojer Intep.t r ans-
■ VEKSAIRES. Le grand tranfverfaire dit dos , les pc-nrs iranf-
verfiiires du dos, voye^ Intertransversaires. Premier
antérieur de h tè te , ou le rengorgeur droit. Second rranfi
verfairc pofierieur de la tcic. Tranfverfaires épineux Ibid.
364. rf.
TR AN SVERSE de l'abdomen : defeription de ce niufcle.
Mufde tranfverfe de l’ureire. X V I . 364. a. Apopliyfcs tranf-
vcrles des vertébrés. Ibid. b.
Tranfverfe de l’abclomen. Suppl. 11. 613.*;. Nerf facial ou
tranfverfal. Suppl. IV. 39. h.
T ransverse , ( Maréchal. ) raufcle du clieval. Suppl
III. 383. b. " ’
T r.ansverse, {Géom.) diamètre tranfverle de l’hyperbole.
IV. 941. b.
T R A O U ou Traw, {Géogr.) ville des états de la république
de V en d e , dans la Dalmatie. Sa iiopitlntion. Cette
ville dépourvue d’hôtelleries. Sa fituation. Obfervations fur
un mnmifcrit trouvé dans cctie ville en 1663 , contenant
un fragment de Pétrone , qui manquoit à fes ouvrages.
Ce manuferit efi aujourd'liui dans la bibliorltecjue du rofde
France. X V I . 564. b. Edition des ouvrages de Pétrone. Ibid.
T R A P E Z E , {Géom.) propriétés de cette figure. X V I .
563. a.
T rapeze, {Anatom.) mufclcde l’omophtc. Premier des
os du fécond rang du carpe. Defeription de ces parties.
X V I . 363. b. ‘
T R A P IC H E , ( terme de Mines ) moulin pour calTer le
minerai en Amérique. Sa defcripiion. X V l. 366. a.
TR AP P ,{Minéralog. ) Les Suédois dcfigneiu par ce nom
une pierre compofée d’un jafpe ferrugineux , tendre , Sc
dune argille durcie. Nature 8c caraéleies de cette pierre
Ses variétés. Ufages qu’on en fait en Suede X V l 36?
T R A P P E , Moines de la { Géogr.) abbaye de l’ordtc'de’
Citeaux. Safituation. X V I . 366. u. Sa fondation en 1140 par
Rocrou, comte de Perche. Exercices des religieux de la Trappe :
leur genre de vie. Réforme de la Trappe par M. l’abbe de
Rancé. Obfervations fur fa vie. Ouvrage à confulter. Ibid.
366. .J.
T rappe , Abbaye de la { Hiß. eccl. ) Hifioire de cette
abbaye. XVI. 366. b. Quelles fout les perfonnes qui s’v retirent.
Ibid. 367. a.
T rappe, ( C h a ff ) voye^ Piece.
T R A Q U E N A R D , {C h .ife ) piege qu’on tend au lo u p ,
&c. vol. III. des planch. Chafic , pl. 16 . 19 , 20. Maniéré
de le tendre. Ibid. Si IX. 702. a.
TR AQ U F .T , tarier groulard, {Ornil/i.) Defeription de
cet oifeau. X V l. 56-. .1.
T R A S I , ( Bocan. ) nom vulgaire qu’on donne au fotidiet
rond 8c bon à manger. Lieux où il croit. Sa defeription. XVI.
367. a.
TRASIMENE , ( Géog. Hiß. rom. ) bataille prés de ce lac
où les Romains furent défaits, vuyep l’article Ar.nib.il. Pro-
diélateur créé après cette bataille. X i l l 421 a. ■
T R A S T E V E R E , ( Hiß. mod. ) ancienneté que s’attribuent
les habititns du Trafievere à Rome. X ll. 178. a.
T R A T R A T R A T R A , ( Hijl. nat. ) animal qu.idi upede de
rifle de Madagafcar. XVI. 367. b.
T R A V A IL , { Critiq. facr.) Ufages de ce mot dans !es
auteurs facrés. X V l. 367. b.
T ravail, (Afortf/c )joursoù lesRom. in.sfiifpencloient tout
travail. VI. 306. d. Loi de l’empereur Antonin en faveur du
travail. 364./’. Travail 6c économie , deux grands moyens de
s’enrichir. 363. é. 369.^. 370. a.Le travail néceffaire à la fanré.
XII. 761. d. Utilité du travail contre l’ennui. V. 1^94. h. Foyc:^
les réflexions furie danger de l’oifivecé. XI. 443 b. 446. a.
Le gouvernement doit fournir des moyen- de tr-’ v-ail à
ceux qui vivent dans l’oifiveté. Suppl, lil. 897. u. .Movea
d’encourager les hommes au travail. X. 913. b. L ’ rabl'ffe-
ment arbitraire des fêtes efi une violation de la loi divine
qui nous commande de travailler pendant fix jours. V ( . 363. b;
Tr.avail qu’on pourroit permettre aux pauvres le jour de dimanche.
IV. 1007. é. 8cc. Maux qui réfuitent de l’excès du
R R R R rrrrr