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0 -;^ ÙOS. U. '>"• ill. 1. .Î. vciuribques. Xi.
X V II . 3 />. Cbnimcm pai'loit i'oraclc ds Delphes. Suppl. I.
4 8 9 . J X's ventriloques on engallrcinltlics qui leiidoiciit les
oracles d'Apollon. IbiJ. b. Oracles pavlans. X V, 158. a.
(.)rac!cs en Ibn^c. XVI. z ij. b. Oracles par le fort. X V. 376. b.
l.e phisrefpciU des o ra c ks , cut celui cle/upitcr Ain;non,5 /.yj^/.
l.-M .b .
Or.icl^s, Jii tuns oil Its oracles om ce£c. Obfcrvaiions qui
prouvent qu'ils ont duré plus de 400 ans après Jelus-Clnlil,
îx qu’ils ix; font devenus emiércmcnt m u e t ', qu'-tvec l'eii-
ticre clcllraclion du paganiinie. XI. 533. b. Caufes qui tirent
«léehcoir les oracles, iodépemlaniinem des progrès du clirii-
tiaiiifme. Ibid. 336. X Eloge des ouvrages de MM. Vaii-Dale Si
de l'outendic (iir les oracles, Ce dernier juditié par M. du
Mariais contre les imputations du F. Baltluis, jéfnire. L’ana-
iv fc de cette jnfUrication fe trouve à la tête du tome VII.
de l'Encyclopédie, dans l’èlogc de M. du M.irl'ais. Du nombre
prodigieu.x d’oracles accrédités dans le pag.uiifme. XI. 537. a.
O racle d'Ammon , ( Thèolog. paiai. ) Célébrité de cet
oracle. Les prêtres de ce dicti ne furent pas toujours également
faciles à corrompre. Comment ils rendoiem fes oracles.
Obfervations fur le nom de ce dieu. XI. 537. b. Voye^
Hammon.
Otacle de Ceres à Patrx. XII. I74. a.
Oracle de Claros, Comment le prêtre d’Apollon de Cla-
ros rendoit les réponfes du dieu. XI. 537. b. Palfage de T a cite
fur cet oracle. Ibid. 3-38. a.
Oracle de Cl'.tumne, dieu d’un fleuve d’Ombrie. Deferip-
rion que Plii?e le jeune donne de cet oracle. XI. 338. b.
Oracle de Delphes. IV. 794. b. Suppl. I. 489. a , b.
Or.ide de Dodoiine , l'on Origine. Fable fous laquelle on a
caché cette origine. Explications de cette fable. XI. 538. a.
D e la maniéré dont Jupiter reiulolt fes oracles à Dodone.
Keponfü de cet oracle qui devint tiinefte à la prêtreife qui
l ’avoit rendue. Ibid. b. Réponfe ambiguë de l’oracle de D o done
, qui fit périr Alexandre , roi d’Epire. Fin de cet oracle.
Véritable époque de fon conimcnccmem. Ibid. 539. a. Voyc-^
D odo.nï.
Oracle d’Efcnlape , dans l’ille du Tibre, Ce dieu rend la
vue à un aveugle. Deu.x autres giiérifons qn’on lui anri-
buoic. Übfervaiiüns fur les inferiptions où ces faits font ac-
tellés. XL 539../.
Oracle d'Heliopolis. Comment il rendoit fes réponfes. XL
539.
Or.zcles qu Hercule rendoit par le moyen des dés. IL 67.
a. l i l . ; j i .
Oracle de la lune dans une ifle près des côtes de Bretagne.
IX. 742. a.
Oracles de Alcrcnre ,i Pharès. Maniéré finguliere dont on
le co n fu lto it,& dont il répondoir. X L 539. b.
Oracle de Vefla <lc Pharès en Achaïc. XII. 489. b.
Oracle de Mopfus. Cet Oracle fe rendoit fur des billets
cachetés. Relation de la conftiltadon que fît de cet oracle un
gouverneur de Cilicie. XI. 539. b.
Oracles de Serapis, deux oracles de CO dieu , l’un à Ca-
nope, l’autre à Babylone. Rien de plus gai que les pèlerinages
qui fe faifoieiu à Canope en l'honnetir de ce dieu. Dcf-
cription de la fin nialbeurculé de ce temple. X L 539. b. Machines
difpolces pour les fourberies des prêtres , qui furent
trouvées dans cc temple, L’oracle de Sérapis à Babylone
rendoit fes réponfes en fonge. Réponfe de cet oracle à ceux
qui le confulterenc fur la maladie d’Alexandre. 7 é/t/. 540. b.
Oracles Sibillins. X V . 136. a , b.
Oracles du Sphinx d’Egypte. X V . 460. h.
Oracles de la déefTe Syrienne. X V . 772. b.
Oracle Je Trop/ionius. Hifioire de cc Trophoniiis Sc de
fon ticre Agamedès. Origine de cet or.icle. Defeription de
la maniéré dont on le confultoit & dont il répondoir. XI.
540. a. Defeription du lieu où fe rendoit l’oracle. Exemple
d'un homme qui étant entré dans la caverne de Tropho-
tiiiis r.’cn cil jamais forii. Réflexions de M. de Fonteneile
fur cet oracle- /bid. b. Foye^ T rophonius.
Oracle de Fénus Aphacite. Signes par lefquels la déelTe
agrcoic ou rejettoic les préfens qui lui écoient ofiêrts. Obfervations
fur le temple de Vénus. XI. 541. b.
Oracles {^Criùq.facr.') Différentes maniérés
dont l'Éterncl répondoit à ceiix qui le confulioient. Différentes
acceptions du mot oracle dans l’écriture. Quel étoit
le plus fameux de tous les faux oracles de la Paleüine. XI.
5 4 »- **- Oracles des Hébreux, réflexion générale fur l’obfciirité des
oracles facrés. X . 64. a. Oracles par l’iu-im Si le thuir,-
mim. X VII . <96- a , b. Diiîéreutcs juaniercs dont le .S. Ef-
prit a rendu fes oracles. 497. a. Bath - Kol ou fille de la
v o ix , oracie dont il efl parlé dans le talauid , qui a lîic-
céd é , felon les Rabbins, à la miflion des prophètes. II. 141.
a . Foyei PROPHÉTIE.
O R A G E , ^Pbyfiq.') Idée générale de la caufe qui produit
les orages & les phénomènes qui les accompagueiit. Ex-
O R A
plication plus détaillée de la tonnacion dos orages, XL 34t.
h. Pourquoi les orages deviennent plus dangereux toutes
les fois que le foleil paroit pcnduiii qu'ils fe forment ; &
pourquoi ils font fouvent précédés d’une rof'ée abondance qui
tombe pendant la nuit , ou d’un brouillard ou petite pluie
qui tombe le matin. Fixplication du vent impétueux qui fd
fait fentir ordinairement lorfque les or.tges commencent à
fondre. Ibid. 342. b. Gaule des ouragans éc des violens tourbillons
qui accompagnent les orages. Celle de la grêle. Ibid.
343. b. Différences entre la glace & la grêle. IhU. 344. b.
Principe,s d’où fe forment le toimene , la foudre Sc Icséclalrs
durant l’orage. Comment il peut arriver qtie le tonnerre fe
falîé entendre , fans avoir été précédé d’ancun éclair./L i.
343, .2. Quelquefois c’eil le tonnerre qui allume Tédair.
D.ms d'autres cas , c’efl l’éclair qui procure cette exploiion
de l’air dans laquelle confillc le tonnerre. Explication des
efléts 11 variés de la foudre. Comment il cll poifibie que
la foudre tombe en forme de pierre ou de corps dur Sc fo-
licle. Ibid. b. Explications des piiénomcnes luivans. i". Les
orages fe forment le pins fouvent l'ur le lo ir . Si font ordinairement
annoncés par un vent du levant , connu fous
le nom du vont d'autan ; il arrive fouvent que plufieurs
orages fe forment au meme endroit dans un même jour ,
quelquefois même le lendemain Si les jours luivans ; comme
auffi qu’ils fe jettent tous du même cô té , Si fuivent exactement
la même voie. Ibid. 346. a. 3^. On voit quckjue-
fois des orages fe divifer en deux parties, donc I'mie paroit
immobile, tandis que l'aime s’écarte de la premiete;
4". les deux parties d’im orage qui le divife, prennent quelquefois
differentes routes, êc vont fondre en même tems
l’ui) d’un côté 6c l’antre de l’autre. 3°. A melùre qu’un orage
fond en s’avançant vers nous , il paroir s’étendre de tous
côtés , 6c couvrir une plus grande partie de notre horizon.
6'^. Il arrive fouvent qu’un orage qui a été pouffé pendant quelque
tems vers un certain point de l'horizon , change tout-
à-coup de direélion, 6c fe jette d’un autre côté. Ibid. b. 7".
Tous les orages ne donnent pas de la grclc. 8°. Le bruit du
tonnerre varie 6c reçoit différentes modifications. Ibid. 547.
a. Autres obfervations qui viennent à l’appui du principe
du fyfléme de l'auteur, favoir que l’imique caufe des orages
6c des phénomènes qui.les accompagnent, c’efl la fermen.^
talion. Des moyens de prévenir les orages 6c leurs fiineffes
effets. Efl'ai qu’on doit fiiire du canon. Ibid. 7 . Eft'cts qii’oii
en pourrait attendre. Ufage plus commode des boites-à-feii
qu’on pourroit tenter au défaut du canon. XJ. 348. a. Expérience
qu’on pourroit faire dans le même bue de boites-à-
v en f dans lefquell-s on comprlmcroit l’air , Si qui produiraient
cette explofion à-peu-près fcmblable à celle de 1a poudre.
Ibtd. b.
Orages. Pourquoi la plupart fiirviennent après de grandes
chalturs , particuliérement vers le foir 6c pendant la nuit.
Suppl. III. 101. b. D e la fcufatioii que fait fur nous la chaleur
qui précédé un orage. Ibid. Il el't rare qu’un orage accompagné
d’éclairs 6c de tonnerres coininue quelque tems
fans qu’il furviemie une grolTe pluie. V . 268. a. Efpece d’orage
appelle fyphon. X V I. 781. b. Orage paffager appelle
grain de vent. V IL 833. a. Vertu éleétrique des nuages orageux.
VI. 613. b. D e leur formation Si de leur él^Uricicé.
Suppl. III. 102. a , b. Foye:^ ÜURAGAN, T eMPÉTE.
O rage , ( Poéjïe. ) Traduélion françoife d’une deferip«
tlon que fait M. Thomploii d’un orage d’automne dans les
ifles Britanniques. XI, 548. b.
Or.ige, {P byf“j- & Linér.) Defeription des orages que la
chaleur excite fous la zone torride. XVII . 728. a. Pourquoi
on a regardé I’licrilTon de mer fur le rivage comme un
prognoftic d'iin orage prochain. VIII. i6 i . a. Prêtres citez
les Grecs qui obfervoiencles orages 6c lescempêtes. II. 341./?.
Du l'on des cloches pendant les orages. X V I. 413. a. Suppl.
III. 105. b.
O R A IR E , {Litnrg.) Différentes fignlfications de ce mot;
XI. 548. b. Dilpofiiioii du quatrième concile de Tolede fur
l'orarium ou êtole des prêtres. Etym. du mot orarium. Ibid. 349;
b. Foyer^ ce mot traité à fon article.
O R A ISO N , Difeours. (^Synem.) Différences dans la fignifi-
cation & l’iifage de ces mots. Leur étymologie. Comment
M. l’abbé Girard expofe la diflérence entre les mots harangue,
difeours 6c orai/b/i. XL 349. a.
Oraison, parties d’ (Gr-r/Kw.) diftinguéesen deux efpe-
ces, dont les unes font les figues naturels des fentimens, les
autres les fignes arbitraires des idées. "V lîl. 828. a. Ces parties
d’oraifon font le nom, l’adjeflif, l’article, la prépofition ,
le v erb e , l'adverbe, la conjonélion Si l'interjeélion. Fuye^
ces mots. Parties d'oraifon indéclinables defignées fous le
nom de particules. XII. 99. a. Foyc^ l’article Mot.
Oraison dominicale , ( Critiq. j.icr. ) explication des demandes
renfermées dan,s cette prière, übûrvatioii fur la do.xolo-
gie qui la termine. XL 349. b.
O raison , {Rhét. & Eloq.) définûi on. Différence entre le
talent de l’oraifon 6c l’arc qui aide â le former. XI. 549. b.
d
O R A
’foutes Ici quefllôns dans iefquelles la perfuafion peut avoir
h e ii, réduites à trois genres; le demonfiratif, le délibératif6c
le judiciaire.^ Objets de ces trois genres. Ils ne font pas tel-
lemcnrféparés,qu'ils ne fe réuniffciu jam.iis ; le contraire arrive
dans prcfque toutes les oraifons. Ibid. 330.
O r a k OS funèbre, {A n orat. des anciens) onfm e de ces
difeours chez les Grecs. XI, 330. a. Eloge que l^eridés prononça
des citoyens qui étoient morts à la guerre de Samos.
1! ])luc tellement, qu’ou cùoifit clans la fuite les plus habiles
orateurs pour cc- fortes d’oraifons. Habileté des orateurs
chargés de ces éloges funèbres. Imprelfion que faifoient leurs
difeours. Le premier qui h,irangua à Rome aux funérailles
<le.s citoyens fut Valerius Pubiicola. Eloge qu’il fit de Junius
Brutus fon collègue. Cet ufage confacré dès-lors par les
Romains. Ibtd. b. Celui de faire l’oraifon funebre des femmes
illuilres, établi fur la fin de la république. Les Romains
ont fur les Grecs l’avantage d’avoir difiribué cette force d’hoii-
neur avec plus de juflice & d’équité. Cependant il y a toute
app.ircnce que cette partie de l’art oratoire fut trés-négligée
à Rome. Les Grecs au contraire aimoienc palfionnéinent à
s’exercer en ce genre. Ibid. 331. a.
Oraifon funebre, comment s’appeiloit à Rome l’aélion de la
Droiioiicer. Epoque depuis laquelle les dames romaines furent
louées publiquement après leur mort. V IL 370. b. La grande
éloquence s’efi réfugiée parmi nous dans les oraifons funèbres.
V. 330. a.
O raison funebre, {H iß. de l eloq. en France) origine de
cet ufage en France. Quels doivent être les difeours de ce
genre. Des oraifons funèbres de M. Bo/ruet. XI. 331, <7, C e lles
de Flechier, (Efpric) 6c de Mafc.iron (Jules). Depuis
cinquante ans, il ne s efl point élevé d’orateurs à coté de ces
grands maîtres. Ibid. b.
O raison mentale , ( Thcolog. rnyjliq. ) cette forte d'oraifon
qui efl en effet l’ame de la rel gioii chrétienne, a fervi de prétexte
a bien des abus. XI, 5 31. />. L oraifon mentale convertie
par quelques doéleurs en art long 6c pénible. Ori-inc de
la théologie myllique. /éÀ/. 532. .z, °
O R A L , ( Gr.imm. ) différences acceptions de ce mot. XI
3 3 ^ 27.
O ral, {Liturg.) fortes de voiles confacrcs. XI. 332.27.
O rale,/ oi {Théolog.jud.uq.) deux fortes de loix reconnues
par le-s Juifs, la loi écrite, Foyei 6c la loi orale. XL 332. a. Misna 6c T almud.
Orale, tradition. II. 832. b.
O R A N G -O U T A N G , voycç O ü r a n g -o u t a n g .
O R A N G E , ( /Xtf/e , Mr./ec. ) lieux d’où l’on tire les meilleures
oranges. Orange douce 6c orange aniere. Propriétés du
fuc 5 c des autres préparations de ce fruit. Ecorce d’orant’ c :
huile effciuiclle 6c teinture qii’on en tire. Boiilon appeflée
orangeade. Fleurs d’orange. Eau que l’on tire de ces fleurs
par diflillation. XI, 332. b. Conferves 6c tablettes qu’on fait
auffi avec ces fleurs. Eau diffillée des feuilles vertes. Huile
effentiêlle de fleur d’orange. Ibul. 333. a.
, figue de leur maturité. X. 209. 7 . Comment oh
entire 1 huile effencielle. VIII. 334. b. '
O range, {Géogr.) ville de France. Différons fouverains
quelle a eus. Conciles d’Orange. Situation de cette ville.
Révolutions anciennes de la ville d'O range. Détails l'ur l’arc
de triomphe d’Orange. XI. 333. Sa defeription. Reclierches
fur fou origine. Ibtd. b. Ouvrages à confulter fur t’iiifioire 6c
les antiquités d’Orange. Cette ville a été la patrie de la mere
de Cicéron. Ibid. 334. a.
O range, {Géogr) fa population. Des antiquités de cette
ville. Suppl. IV. 163. a. Conciles tenus à Orange. Auteurs
qui en ont écrit l’hiftoire. Ibid. b.
Ortf/rgc.ObferVations fur Orange ancienne. 5 //;>;j/.I'V. 10. b.
Defeription de l’arc de triomphe qui fait une des portes de
cette ville, l. 600. b. C ’eft aux princes d’Orange qu’on doit
le retablifl'ementde la difcipline militaire en Euroiie. II. 733. a.
Orange, {Géogr.) cap d'Orange, 6c fort d'O range en
Amérique. XL 334. a.
Orange. {B U fon) XL 334. a.
O range. ( 7 'er/u.)XI, 334.27.
ORANGÉ,( rf2/m7r.)orangénntiireklesétoffes.XL 334.27.
Oiangé de garance. Comment fe doivent teindre les foies
orangées, 6c les laines couleurs de feu , orangées 6c nacarats
A l 334. b.
O R A N G E R , {Bot. Jardin.) caraélcres de ce genre de
plame, Lieux où il vient naturellenient. Hauteur à laquelle
U s eleve. Defeription de l'oranger de nos climats. El02c.de
cet arbnfleau. XL 334. b. A quoi fe réduit la culture de
^ran g era laquelle nos jardiniers mettent tant de myflerc
yetails fur cette culture. Ibid. 333. 27. Moyen de fe procurer
ÿ beaux plants d’orangers. Ibid. b. Comment on rétablit les
gouvernés. Si dont les têtes
t L ■ Oo la tf.llode cette forte de plam^
qu’ellc eft malatle.
craneers n '. Utilités tics
g . Ifiur bois. Enumératiou des variétés dç cet
O R A 3 3 9
arbre. U U j 57. a. Obfervations fur les orangers nains à fruit
aigre. leid. b.
1 l’ornnger bergamotte. II. 208. 27. Oian-er
du Malabar nomme Carcapuli. 674. b. Oranger du Toi.quin
nomme cham-chain. 369. ,7. Citromers-oranger-. [II. 490. b.
Oranger fauvage du Japon, X V . 483- Ir- Soins qu’il faut prendre
des orangers lorfqii’ils font enfermés IV t - i b ('n,,,
Z Z n r ' V n r ” étoienVfu; le pom;
de pvrir. V ü l . 323. b. Bouillon pour les or.mgcrs. S u L / ]
378. *7. Avantage de tenir les orangers dans de {x-tites cCiffes.
Aü. 724. .7. Manière de les marcotter. Xili. ciS b de les
tranfporter en caiffe. XVL 361. .7. Greffe en écuflon des oran-
geis. Suppl. III. 262. <7. Toupillons qui viennent fur quelques
branches dorang-ers. 434 a ^
O r a n g e r . <, ^
doux, & orangor aigrc Propnorcs tlo l'huile cITenticIle des
or,inge„. a 1 article Huile , la manière dont les Italiens
ramiiHent celle-ci. Comment on fépare des fleurs l'iuiile que
les Italiens appellent nemfi. Eau de fleurs d'oranee ■ priiKfoe
qui conftitiie cette liqueur. à l'article Ea u DISTILLÉE
la m.iriicte de la préparer, & fou elfcnce cliymiqae; & rc^
propriétés médicinales au mot Odorant. XI 337 Confu-
ves & conhtures d'écorce d'orange. Le fuc exprimé de la
chair de ce fruit regarde comme auffi falupirc qu'agréable.
Manière de tirer 8e de préparer ce fuc de l'orange ™,ir le
rendre plus gracieux. Le fuc de l’orange douce fe couferve
moins que celui du citron. Ufage de l’orange nmerc à titre
cl aflaifonnement. Ibid. 338. -r. Les pépins cl’orangc font ver-
mihiges. Propriétés des écorces d’oranges douces Ôc .-imcres
de la conferveou gàieau de fleurs d’oranges, de la marmelade
& du rat.ihar de ces fleurs. Propriétés 6c iifapes de l’eau
de fleur d’orange. Efpece de jtomm.ide de ûeiu^ d’oranse
6a pre))aration. Scs propriétés. Ibid. b. ®
O R A Î -yE R IE , (jrc h k . ) defciipfion de ce bâtiment. XI.
SSS. i . Orangerie de Verlaillcs. Autres ufages du mot ermi- gerie. Ibid. 339. a.
O R A R IU M , {Hifl. cccl.) étolc des prè tres .k ing e que
les diacres portoientliir le bras gauche. Il étoit à l'ulage de
tous les citoyens. Maniéré d’applaudir aux fpeflacles ‘en le
lettaiitcn Pair. Etymologie du motorerimn. XI. etq.u. Vover
O r a IRE 8c ÉTOLE. ’ ^
O R A T E U R , {Eloq. & Rhétoriq.) trois fondions que l’orateur
doit remplir , Cinvention, la difpofition , l’exprAfion
V o y ez CCS mots. L ’orateur doit auffi inUruire, phire 6c'
émouvoir. XI, 3 39.27. De l’art d’exciter les paffions. Les orateurs
chez les Grecs Si les Romains écoient des Itommes d’état,
6i les matières qu’ils traitoient, offVent des tableaux
vivansdu gouvernement, 6c des intérêts d e . peuples. Boffuet,
Flechier, Hourdaloue, ont été parmi nous des orateurs diré-
tiens ; maïs rien n’engage aujourd’hui à cultiver le talent
d orateur au barreau. XI. 339. b.
Orateur, différence entre le poète 6c l’orateur. XII. 837, a.
Suppl. IV. 440. b. Préceptes adreffés à l’ornteur fu/ l.i
manière de traiter les genres délibératif, démonffiatif 8c
judiciaire, voye^ ces mots. Aéfion de l’orateur I 120 é
Foye^ Pr o n o n c ia t io n , D é cl am a t io n , G este Caraéiere* du (enciment dont il doit être rempli. V. 321.27. Defesmoeurs.
oitppl. IV. 237. b. Lemoiion comnnunquée par l’orateur eff
cl nutant plus v iv e , que l’auditeur a pius de génie 6c de talent.
V 32t. é .L nrtd e varierrexténeur efl'entielà l’orateur. Supp'
i. 648. 27. L orateur a encore plus befoin de l’aaicn Sc du
gelle que de rél.ocinion. V . 322. b. Tatens que Platon exige
d^ns un orateur. 329. b. Décence qu’il doit obferver : afffirance
6c confiance qui lui convient. IL 683 27 é Des
convenances qu’il doit obferver. 386. b. Du livre de Cicéron
intitulé de l’orateur. 330. a. Enthoufiafme de l’orateur. 721. b
Coiifidération dont les orateurs joiiiffoicut dans Athènes. X Î v !
13 3. Orateurs auxquels les Grecs donnoient le nom de fyn-
d ic s.X V . 730. b. Les orateurs de l’antiquité ne peuvent être
coiuparé'ànos prédicateurs 6c à nos avocats. Suppl. 1.417. b.
Obfervations fur leur g o û t , rclativemem à l’éloquence. 418.
b. — 420. b. Orateurs méthodiques à l’excès. X, 4Ö0. b. Des
fonélions de l’avocat confidéré comme orateur. Suppl. 1 ,814. b.
8 1 3. 2 7 , b. Oc.
O hateubs g e e c s , { Hiß. dt f t h i i . ) l'hlfloire des orateurs
grecs partagée en trois âges.
Premier âge. Gorgias de Léomium. Hippias d’Elée. Périclès.
XI. 339. b. Socrate. Lyfias. Tiiucydide. Ibid. 360. 27.
Second âge. Ifocrate. Platon. Ifée. Ibid. b. Hyperide. Efchine.
Démofiliene. Ibid. 361. a , b. Affaires d’Efchine 6c de
Démofihene. Ibid. 362.27, h.
Troifieme âge. Chute de l’éloquence. Déméirius de Phalere.
Ibid. 363 27. Canfes de cette décadence. 1°. La perte de la
liberté d.ins Athènes. 2“. Le delîr paflîonné des richeffes. 30.
La corruption des moeurs. 4“. La maiivaife éducation. Ibtd^.b.
3". Les matières dont on s’occiipoir dans les écoles. 6°. La'
néceffité du commerce avec les barbares, inirodnifit les mau-
Vaifes moeurs 6c le mauvais goût, 7°. Les difeuffions 6c les