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312 O B S
O b ie r v a t iu r , ( l ’ tyfij. Ml.!. ) [llfféiciice cnn-t le pliyS-
cicri oblervatcliV & le pliyficien cïpérimcnial ; fupénome du
l . cmicl-, Rcprodie aux .iioralillcSi ils écrivent beaucoiiç iSt
obfervent peu. L’oblervatloii lubniciroil peul-eire la fevericc
de leurs maximes. XI. î 10. i. Le rnemcur traité de morale
ieroit une peinture de la vie bumainc. Du mcdecm oblerva-
teur. Ses fondions. Qualités nécelîalres .à i’obtervateltr^ en
Biédecine. lUd. 31 1. u. Utilité d e là fréqucniation des liopt-
taiix , pour acquérir plus de facilité à faifir les fyinprôincs les
plus obfciirs. Conduite du médecin obfervatctit auprès du
malade. Combien il lui importe de batlutr toute preoccupation
, tout cfprie de lyftéme , 6-e. potir ne voir dans la mala-
tlic que les (ytnpfôirifs qu’elle ofire , ik tels qii elle les onre.
IbiJ?b. Talens néceiraires au médecin pour Lieu raconter ce
qu’il a vu. Caiulcur qu’on c<! exige. Exemple de Sydenham
digne d’être imité. Rareté des bons obfervateurs. Ibid. 312. a.
Eloge d’Hippocrate coolldéré fous ce point de vue. Repro-
clie qu’on peut lui faire. Principaux médecins obfervateurs
parmi les modernes. Obfervations de Sydenham. Ibid. b. Abus
qu’on a fait du titre d'objervaccur. Critique des iiphorilmcs de
Bücrhaave./ii/é/. 313. a- Objen’itieiir, qualités que doit avoir le médecin, obferva-
teur. IV. 488. ^.Principes pathologiqiies que le médecin obier-
vatcur ne doit pas perdre de vue. X V . 437. b.
OB-SERVATIONS CÉ LESTES, ( ^ijlron. ) iullrumens employés
pour CCS obfervations. iMoyen dont ou_ fe fert pour
eclairer de nuit les fils du micrometre placés au foyer de l’ob-
ic a i f du télefcopc. Verre noirci dont on fe fert pour les
©bfervatioiis du ibleil. XI. 313. Les obfervations ie font
orcTmairement avec une lunette à deux verres qut renyer-
fent les objets. Deux fortes d’obfervations, celles qui font
flûtes au pafTage des affres par le méridien, ou à leur palTage
clans les autres verticaux. Ibid. b. — Foye^ A stronomie ik
A stronomique. _ . , Obftrvaüons cCUJÎis. Suppl. I. 663. b. D e la difference entre
le calcul 6c l’obfervafion. Suppl. H. 867. b. Du milieu a prendre
entre plufieurs obfervations qui ne l'ont pas exaéfement
d ’accord. Suppl. \\\^ 9 3 SO
b se rv a t io n , {^Phyjïq. Mcdcc.^ Définition. Lexamen
des effets naturels qu’on ne peut découvrir fans la main de
l’ouvrier, doit être compris fous le nom générique d’obferya-
tion , pourvu que cette main ne les ait point changés, altéra ,
défigurés. En quoi l’obfervation différé de l’expérience. XI.
3 i3°é. Les connoiffances acquifes en médecine par le moyen
des expériences, même chymiques, font bieri médiocres,&
pour l’ordinaire démenties par 1 oblervatioB. L expérience fur
les corps bruts Sc inanimés eff beaucoup plus utile 6c faiisfai-
fame : cette pariie de la chymie a été pouffée très-loin. L’ob-
Icrvaûon efl le premier fondement de toutes les fciences. Les
faits font la matière de l’obfervation. Des fyffémes formés par
l ’alïcmblage 8c la combinaifon des faits. Ibid. 3 1 4. Il paroit
impoffible d’établir un fyfiême général qui foit toujours vrai.
L ’obfervation a fait l’hifloire , ou la fcience des faits qui regardent
D ieu , l’homme Scia nature. 1 1 n’cft pas douteux que
l’obfervation, meme dans la phyfique des corps bruts, ne remporte
infiniment en certitude 6c en utilité furl’expérience.iin^.
h. En paffant enfulte à la phyfique des corps organifés, nous
verrons diminuer encore les droits de l’expérience ,.6c augmenter
l'empire 6c l’utilité de l’obfervaiion. Des obfervations par
rapport à l’homme confidéré comme un être moral, & comme
un être phyfique. Ibid. 3 1 5. »r. De l’obfervation en maiiere de
médecine.Premieres obfervaiions en ce genre,que 1 antiquité
nous offre. Les premiers ouvrages de médecine ne furent que
des recueils d 'obfcrvations.Les empiriques feuls avoient fondé
la médecine, l’exerçoient; l’obfervation ctoit leur guide. Infuf-
£fance derempirifmc. Obfervations d’Hippocrate. Ibid. b. Pourquoi
la médecine d’aujourd’hui cil bien éloignée de la per-
l'célion que le feul Hippocrate loi avoit donnée. Comment les
fucceffeurs de ce grand nomme ont par leurs hypothefes défiguré
la médecine. Hiftoire des différentes altérations qu’elle
a fouffertes jufqu’à nos jours. Ibtd. 316. a. Le goût de l’ob-
fervation paroit avoir repris depuis quelque tems. Différentes
<airfes qui contribuent à la ramener. Toutes les parties de la
médecine font d’autant plus certaines 8c plus claires, que l’ob-
fe rv a tiony a plus de part. C ’eff ce que l’auteur montre i''.
par rapport k\'anatomie. Ibid. b. Obfervations anatomiques
4.adavériques : elles font de deux fortes, les unes fe font fur
des cadavres d’hommes morts de mort violente , les autres
fur ceux qui font morts de maladie. Examen du préjugé qui
a flit regarder comme une fouilhire de toucher aux cadavres
humains.Premiers aaatomilles qui l’ont fecoué. Recueils d’ob-
•fei vations anatomiques. Il relie à préfent peu d’objets à décou-
% rir par les obfervations. Ibid. 3 17. a. On ne peut diffimuler
que les avantages de l’anatomie ne font pas aulTi grands qu’on
devoir fe le promettre. Cette cfpece d’obfervation auroitété
fans doute plus utile, fi l’on avoit examiné la llruélure du
corps dans l'homme vivant.Sujcts fur lefquels U devroit être
permis a l’anatomille de s’exercer. Peu de lumières qu’on a
retirées des obfervatiçns faites fur des fujets mens de maladie.
O B S
Quelles en font les caufes. Ibid. b. Quels font les cas où ce
genre d’obfeivations peut avoir quelque utilité. Quand oil
veut examiner un cadavre pour y découvrir quelque caufe
de mort, il faut tout le parcourir, ne biffer aucune partie
fins lobferver. Ouvrages que doivent confultcr ceux qui
feront curieux déliré beaucoup d’oblervaiions cadavériques.
Ibid. 318. a. 2“. Objervations phyjiologiijues. Leur utilité. Combien
elles ont été négligées. Défauts des ouvrages des phy-
fioiogilles. Cette dépendance mutuelle des diftéreutes parties
dont l’homme cil compofé, cxplicjuée par deux aiiceui s célébrés,
MM. dcBordeuék de Mauperniis. Ibid. b. Recueil d’obfervations
néceffaires pour faire une bonne ])hyfiologie. Eloge
d'un ouvrage intitulé, yprdme/j novi mcJiànx oonjpc^us,
Efpece de théorie qu’il faudroit avoir ^ felon rumeur de cet
ouvrage, pour tirer un plus grand parti de l’obfervation. La
féméiotique de la famé n’ell auffi qu’un recueil digéré ik rapproché
d’obfervations. 3°. Des obfervations hyfiétiques. H ippocrate
les recommande beaucoup. Ouvrages dans lefquels on
trouvera des obfervations Sc des regies d’hygiene. 4°. Olferva-
lions pathologiques ou pratiques. Ibid. 319. a. Expofé des détails
que doit embraffer une obfervation,felon k s préceptes d’Hippocrate.
Comment il faut s’y prendre pour parvenir à la con-
noiffance des maladies, iéi'i/. b. D e l’obfervation des maladies
épidémiques. Les recherches des caufes prochaines ne doivent
jamais entrer dans les obfervations. Avantages qu’on doit tirer
des obfervations recueillies en grande quantité. Chaque apho-
rifme d’Hippocrate cil le réfultat de plufieurs obfervations'.
Explication d’une table propofée par M. C iifio n , pour mettre
de l’ordre dans un recueil a obfervations. Ibid. 320. a. Divers
genres d’obfervarions dont il relie encore à emichir la médecine.
Quand de nouvelles obfervations ne ferviroient qu’à
vérifier 6c conffater celles qui ont été faites, ce feroit déjà
UN affez grand avantage. Défauts à reprocher à I.1 plupart de
ceux qui ont donné des recueils d’obfervations. Ibid. b. Ehw-
mération des principaux auteurs qui nous ont tranfmis des
colitifions générales. Critique d’un recueil d’obfervations de
médecine auquel on travaille à préfent, (bus foi me de journal.
Objervations météorologiques. Leur utilité. Ouvrages à coti-
fulter fur ce fujet. ibid. 321. .1. Avantages que la médecine
peut tirer de ces obfervations. Combien il importe en médecine
de remarquer la température des fiifons. Le traitemenc
de la dyffenierie doit varier felon la nature de l’été qui a
précédé cette maladie. Soins qu’Hippocrate a donnés aux
obfervations météorologiques. Utilité des inllrumens dont la
phyfique ell cnriclûe aujourd’hui. Ibid. b. Du nombre des
obfervations à faire chaque jour. Tables déjà conllruites fui-
vam lefquelles on peut difpofer les oblervations qu’on aura
faites. Explication de celle qui fe trouve à la tête de cha-:
que volume que donne la fociété des médecins d’Edimbourg.
Obfervations météorologiques inlérées dans le journal de
médecine. Ibid. 322. a. Acides répandus dans l’air, que las
expériences chymiques nous ont fait connoître. Comment on
pourroit s’affurer de l’état de l’air dans les maladies épidémiques.
Eloge d’une differtation fur cette quellion,//o/i peuc
par les moyens chymiques, découvrir les di férens états de l'air, 6*
de nuifible le rendre Jalutaire. Pour compléter les obfervations
météorologiques, il paroit qu’on devroit avoir égard à l’état
du c i e l , 6c y joindre quelques obfervations affronomiques.
Utilité qu’on en peut tirer. Ibid. b.
Obfervations thérapeutiques. La fuperffition, les préjugés,
rignorance,renihoufiafme,lathéürifümanic 6c rintérêtmème,
ont prefque toujours prêfidéaux obfervations qui fe font faites
fur k s remedes , 6c particuliérement fur ceux que la pharm.'i-
cle fournit. Ibid. 323. a. Pourquoi les remedes ont fait con-
llammcnr plus de bien dans les commenccmcns qu’après quelque
tems. Pour faire fur un rcmede des obfervations juffes ,
il faut attendre que le tems de fa vogue ait paffé. Eloges
outrés que M. Geoffroi donne à chaque remede dans fon traité
de matière médicale. Obfervaiionsfur l ’ouvrage de M. Bordeu,
intitulé. RecherchesJur le pouls. Ibid. b.
O bservations, {Phyjîq. & M'i/fc.) différence entre l’obfervation
6c l’expérience" V I . 298. a. C e f f particuliéiemciit
à l’obfervation que s’appliquèrent les anciens dans l’étude ds
la nature. Ibid. b. Les obfervations font les feuls fondement
de la phyfique. Suppl. IV . 310. b. Sans elles ros fyilême.s
ne peuvent qu’être erronés. I. 84a. a. Direclions fur l’arc
d’obferver en phyfique. V IL 614. a , b. — 6i6. b. Combien
il convient de s’attacher à obferver la parité des circonftan-
ces dans les expériences qu’on fait, 6c dans les phénomènes
qu’on obferve. V . 478. b. Comment le calcul doit s’allier aux
obfervations. XII. 537. a. Obfervations qu'un médecin doit
faire en tems d’épidémie. V . 789. a. Moyen de convaincre
les malades qui cherchent à tromper les obfervations de leuis
médecins. X l l l . 212. a , £ Ufnge de l'hygrometre dans les
obfervations en médecine. V llI . 389. b. O bkrvations météc-
rologiques, X. 44S- “ 7 - microfeopiquei.
X. 491. — 4 9 S- X L 7 2 ’ . b. 723. a, b.
O b s e r v a t io n , ( Morale 6» Beaux arts ) comment s’ac-
qaivrt l’efprit d’obfervation. SuppU IL 4^4. a. L’obfervatiora
* ‘ néceffaire
O B S
néceffaire à l’artifte. Suppl. IL 9I0. h. Coup d’c c il, qualité
nêceffaii'cûrartille pour bien obferver. 641. a. Obfervaiions
à faire pour connoîtré Thtmimc 6c les moeurs de la fociété.
Suppl, i l l . 947. a , b.& c.
Observations, ( Voy.ig.) utilité des obfervations qu’un
voyageur lCui faire chez lc.'> nations étrangères. X VU . 477. a.
O bservation , .mhie d‘ ( A n rnUlt. ) L 694. b.
O B S E R V A rO lR E , {Afaon.) oblo.-v.u oircs les plus célèbres.
1". L’obiérvatoiro de Gr..cr.\vich. Sv.-n ïie ih o n en 1676.
Ol'fervaiions faites dans ce li^u par M. I-i,iml!e>.J, publiées
eiifuitc fous le titre d’hiffuire célcile. XL 323. b. Liuiiudv de
cet oblèrvatoirc. Obfervations de M. Ha iicy, fucccn’eui-de
M. l'iamllced. Celles de M. Bradley, fucccffeiir de -VI. IL.hcy.
1'’. L’obfervatoire de Paris, commencé en 1664, 6c achevé en
1672. Sa dift'ércnce en longitude d’avee l’obl'ervatolic de
Greenwich. Cave de I’obfervatoirc. Ibid. 324. a. Efpccc tic
puit,s pratiqué depuis la plate-forme juiqu’en bastle la cave.
Difiéicnces choies remarquables dan-, cet obfeivatoire. 3“.
L’oblervatoire de Tychubrahé. O.bFcrv.itloiis de cet affro-
nomc. Inconvéniens aitaciics à la fuiiatioii de obfcfva-
toire. Foyc:^ U k a n ib o u rG. 4‘é L ’obiervatoiie de Pékin. Principaux
inllrumens dont il elt enrichi. IriJ. b.
Obfervatoires conffruics en divers ei.tl.oits. I. -91 , b. Obfer-
vatolre de Paris. Sa méridienne établie par Aï. Caffmi. Suppl.
II!. 240. b. Hauteur de fa balulltade. 317. b.
O bservatoire de Greenwich, {^Hifl. Adron. moi.') c'cll
une rodomontade d’un étranger érabli à Londres , qui a occa-
fioniiéla belle fondation de l’obl'ervatoirc de G reenwich, dont
on trouve ici l'hiflolre. XI. 324. b. D.lî'éreiice de longitude
entre l’obfervatolre de G reenwich 6c celui de Pans. Sa latitude. Ibid. 323. i. Voyci^ GREENWICH.
O B SERVER, i^Criiiq.fier.) clift'érentes acceptions de ce
mot dans le ffyle de l’écriture. XI. 313. b..
O bserver', Remarquer, {Synon.) X IV . 92. a.
OBSESSION du démon, ( Thèolog. ) différence entre l'ob-
feffion 6c la poffeffion. Foye:^^ Possession. Elles l'ont ou des
punitions ou des épreuves. Différentes marques de l’obfcihon.
XL 323. h Remedes que l’égilfe permet d'employer contre
CCS maux. Ibid. 32Ö. a.
O B S lD !.4N UM vitrum , ( Anliq. ) voyezPATE DE VERRE.
OBSII9 IENx\E , pierre ( Hiß. nul. ) force de marbre noir,
connu des anciens. Lieux d’où on le tiroir. 0 :i prévend qii'il
s’en trouve dans le Koulfilion. Les anciens en faifoieiu des
miroirs. Etymologie du nom de ce marbre. XI. 526. a.
OBSiDiO.N'ALE , couronne i^Aniiq rom. ) quelle étolc cette
couronne. Combien elle étoic effimée. XL 326. a.
Obfidionale coiuoane, v o ye z IV . 394. a.
Obfidionale, monnoie. L’uÉige de fr.apper des monnoics,
qui pondant le fiege ont cours dans les villes affiéj.ées, doit
être fort ancien. Defeription de ces monnoies. X L 326. j .
Quelles font les plus anciennes connues. Divers lieux où l’oti
en a frappé. Il ne fuit pas confondre ces monnoies avec
les médailles. Ibid. b. Foye^ MON.VOIE.
Obfidionalc, monnoie, voye z X . 648. b. Ö49. a.
O B S T A C L E , ( Mceh. ) im effet fimple d’une puiffaiice qui
prelle, dépend d’une aéhon momentanée. Mais un cnet continu
dépend de l’aélion continuée d’une puiffance. C n peut
découvrir l’aélion d'une puiffance par la grandeur de l’ohita-
cle en mouvement, 6c par la viteffe avec laquelle l'obffrcle
ell mu. XL 32^. b. Comment on peut effim-er la grandeur
d’une preffion. L’aélion mo.mencaiiée d’une puifi'ance dépend
de la grandeur de l’obflade. Propofiiioiis qui fuivent des principes
expofés dans cet article. Ibid. 327. .1.
O bstacle, (Jurifpr.) dans certaines coutumes, fignifie
fiifc 6c empêchement , éi fmguliéremcnt la faille cenjiieile
que le feigiieur fait des fruits. En quels cas 6c comment le
leigneur cenlier peur ufer de ce droit , félon la coutume
d’Orléans. XL 327 e.
ÛBSTiN.4 T IO N , réflexions fur ce vice. X L 327. a.
Ob/linatiun , en quoi différente de l’opiniâtreté. XL 306. b.
O B S TR U A N S , (MéJec.) remedes obftruans. Les fuppu-
ratifsfont des remedes de ce genre. XI. 327. L
O B S T R U C T IO N , ( Médec. ) Elle vient de l'étroite capacité
du vaiffeau , de la grandeur de la maffe qui doit y paffer
, ou de ces deux caufes à la fois. Comment les vaiff’eaux
peuvent être extérieurement comprimés. La cavité d'un vaiffeau
le rétrécit qu.md lit propre coniradion augmente. Caufes
de cette comraélion. D ’où vient raugmentarion de l’é-
paifieur des membranes d’un vailfeaii. Comment la mnfl'e
des parties fluides s’augir.cntc |u('qu’.i devenir imméable. XI.
3 27. b. Effets prochains ou immédiats qui réfultent des ofafiru-
ftions. Signes auxquels on i csonnoit les différentes fortes d’ob-
ffruflions. Moyens de le., diliiper. Ibid. 328. .z. Comment
on donne du reffort aux vaiffeaux. Remedes nrténuans. Ibid. b.
Objhudions caufées par repaifiîffementde' Ininieurs.V. 744.
^ , b. Par leur ténacité. X V I. 122. b. OWlruaioiis confidérées
comme principe d’inflammation. V llI . 7 I4 a , b. &e. Utilité
de la hevre pour diffiperles obftruélions. V L 738. a, Üfage
de 1 equitanon caûs le même b u t , voye:^ Équitation. Ob
O C E 30 fervations fur les remedes martiaux employés contre k s obf-
iruétions, X. 1 34. b.
OB'! URATEUR , {Anatom. ) nuifcle obciratcur interne.
Nerf obrui-at..ur. Ligament obturateur. Xi. 329. a.
O b tu ra teu r , ( Chir.) inilrumcnt deffiné à boucher un
trou contic lan.iturc à la voûte du palais. Caufes de ces trous.
Leurs effets. 329. .2. Des moyens d'y appliquer des ob-
tiuvreiirs. Diff'éremcs cfpeccs d’obturateurs. linJ. b.
O o l ü r A T Iü N , ( Lhir. ) maniéré donc les ouvertures fe
büiichein. XI. 329. /«, C.ommeiu fe referment !i.s ouvertures
ilu crauc après ropéraiion du trépan, Piécamions que
Ics^ perior.iijs rpii oiu été trépanées doivent prendre pour
préieryer tette partie des iniure'. extérieures, Inlliiiineni invente
par iCilül'tc p..sur botteiter le trou du crâne , d’un pau-
i'eincnt a l’autre. Inemnnucii.s de cct inîlrumeiit. Autres
moyens à employer, u.,.:
C‘! > 1 URA 1 R i'C t ., {^A.i..i.) ancre obu;r.itr,..., X L 330. b .-F o y .- 6.-.;.yd. III. 4S4. b.
OBUS , h.iubii^ ou ülujur, { Artil. ) efpecc de mortier.
II- s oous cju on a vus c
1-
O B Y , ( Cre.t^r. ) rivière d’.Afie. Sun cours. Diverfes obfervations
fur ceicc riviere. XI. 330. b. — Fcye^ ÜBi.
O C
O C , ( Artmilit. ) flèche dont les Turcs font ufacc. Supul.
IV . 78. b.
O C C AM , doéleiir fcholaffiquc. X IV . 776. a.
OCC.zASiON, ( Afyt/’u/.) comment on repiclcntoic cette
divinité. XL 331. a.
Ü-v,z/;o/i. Reflexion fur la maniéré dont on la repréfentoit;
1 O ccalion elt le plu> jeune des enfans de S.uunie. 1 1 . 8 6 6 b.
OCCASiOiNNl'.LLES , caujes , {^Maliebrar.diijme. ) II. 787.
b. Détcnfe de ce fy'téme. il. 788. a. Son explication : con-
fequenccs ridicules qui en réfultent. A-'III. 729. <z.
O C C 'lD E N l , ( N/?/-0 7 z. ) occitlern d'ecé , d’iilvc r , Sc des
équinoxes. XI. 3 3 1 .^ .- - /byr^ CoüCHANT.
OcCiUliNT , ( Geùgr. ) Divers ufages de ce mot. XI 3 31. i.
Occident, empile d’occident. V . 3S2. h. Invafion des peuples
du nord en occident. VI. 689. a. Eglifc ü occident. Voyc^
Latine , église.
O C C lP n A L , ( N/iizt. ) Defeription de l’os occipital. Sinus
occipital poftcrleur de la dure-merc, Ancre occipit.i!c.
Mulcles occipitaux. X L 332. a.
O .àpit.il, drtere occipitale , brandie de la carotide. Suppl.
II. 243. .1 , b. Sinus occipiiaiix. Suppl. IV. 79S. a.
O C C O , -médecin : defeription des méd.d!les impériales
qu’il a données. X V . 632.
O C C U L l AT IO N . [Ajhon.) Cercle d’occultation perpétuelle,
dans la ipnero oblique. Occultation d’une étoile. XL 332.
Occultation , dtfiérence entre occultation, éclijjfe 6c paf-
fage. V. 293. h. Cercle d’occultation perpétucHc. H. 836. a.
Des ücciiiiaiions des étoiles par la lune, Suppl. 1 1 . 761. u ,
b. Sc des planète:;. Jbtd. b. Occultation des étoiles par quelques
planètes, 762. .z.Des planètes par d’autres planètes. Ibid.
D e la méthode de découvrir les longitudes lerrellres par lc.s
occulituioiis dos étoiles iixes par l.\ lune. IX. 686. b. Supul.
m . 773- h.
O C C U L T E , fciences occultes. XL 332. a. Auteurs qui
cn ont écrit. Des qu-aliics occultes, felon les anciens phi-
lofüphcs. s'éi./. 332. b.
Occulte,philojophie , expofition de fes principes. XIII. 628. a , />. — 630. a.
Occulte , ( Gé(im.)lignes occultes. XI. 332. b.
O cculte , ( Médec. ) le dit des maladies qui ne font annoncées
par aucun fympiômc avant de fe maniféller. Caufe
ordinaire de ces maladies. XL 332. b.
O C C U P A N T , droit du premier, ( /.'jf. ) XIII. 291.
U, b. Foyc^ Occupation.
0 CCUPA.T I0 N , ( Bell. /(.Vf.)figure do rhétorique. Exemple
tiré de l’oraifoji fuuebre de M. de Turenne. On appelle
autfi cette dgv.re Préoccupation. XI. 332. A Foye;;_ ce mot.
Occupation , ( Jurijpr. ) fignifie quelquefois habitation.
XI. 3 32. £
Occupation, moyen d'acquérir du droit des gens. Cinq
manières d’acquérir par occupation liiivant le droit Romain.
XI. 333. a. — Foyci OCCUPANT.
O CE AN , ( Geogr. ) Différence établie dans l’ufage du mot
mer Sc du mut Océan. Plufieurs géographes ont divifé l’Océan
pvincij)al en quatre parties 3 favoir, l’Océau atlantique , l'O céan
pacifique, l’Océan hvperborccn , 8c l’Océan méridional.
Autres divilioiis de l’Océan. XI. 333. a. L’Océan environne
toute la terre 3 il y a feulement des endroits où
la communication ne fe fait que par des trajets plus étroits.
Divers navigateurs de qui nous tenons ces connoiffances.
Opinion des anciens fur l’ étendue de l’OcCan. Leur fenti-
meiit confirmé pur l’expérience. Examen de quelques quef-
tions lut L’Océan. 1“ . On recheivhe pourquoi l’Océan, appercu
K K k É