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ver autre chofe qxic ce qui efl en queftion. X V . 363, a.
Les fopliirmcs de la fécondé, fk'ppofcnt pour vrai ce qui
eft en quertion. Ceux de la iroifiejue prennent pour caule
ce qui n’d i point caufe. Les quatrièmes confillem dans un
dénombreiiionc imparfait. Ibid. b. Les cinquièmes font juger
d’une chofe par ce qui ne lui convient que par acciuent.
Les jlxicmcs paHent du lens divifé au fens compoß , ou
du fens compofé au fens divifé. Les fepticines palfencdece
qui cft vrai à quelques ég.irds , à ce qui eft vrai fimple-
ment, Ibid. 364. u. Les dernicres enfin fe rédiiifent à abufer
de lambiguité des mots. Ibid. b.
Sophijme. Inventeur de l’art du fophifme. IV. 934. b.
Diiîérence entre le fophifme & le paralogifmc. XI. 912. b.
SOPHISTE, {Hiß- rf«c>) étymologie de ce mot. Ce
terme qui maiinenaiit efl un reproche , étoit autrefois un
titre honorable. A. quelles perfonnes on le eJonnoit chez les
Grecs. En quel lems il commença à être pris dans tm fens
de blâme. Rien n’a plus contribué à accroître le nombre des
fophifte.s, que les difputes des écoles'de philofopliie. XV.
365.«.
Sophiße. Logique des anciens fopbiflcs. IX. 637./;. FaulTe
éloquence des lophilles athéniens. Suppl. IL 686. a. Coin-
tuent Socrate avoit coutume de les confondre. Ibid. Comment
ils contribuèrent dans Athènes à la chûte de l’éloquence.
XI. ^64. b.
SOPHO CLE , parallele entre ce poète & Euripide. XIV.
537. a. Gloire qu'il acquit par fa premiere piece. XVI.
2 1 1, a. Morceau de fon Ajax. 2. b. Obfervations fur ce
poète & fur fes ouvrages, 514. b. fur fon OEdipe, X lll.
861. a. X V I . 314. b. 315. a. 321. <i. XVII. 795 ./ ’. fur fon
Antigone. Suppl. I. 419. j . fur fon Elefire. b.
SüPHOiVlE , livre de, ( Criiiq.jacr. ) en quel tems vivoit
ce prophète. Sujet de fon livre. Son flyle. X V . 365./’.
SO P ITH E S , région des, (^Géogr. une.) contrées de l'Inde.
X V . 363. b. Obfervations fur quelques coutumes de ces
peuples. P.irticiilarité fur les chiens de ce pays. Ibid. 3 66. a.
SOPOREUSE, .iffcâion , ( Médec. ) voye^ Co.MA , C ar us ,
L é th a rg ie . Plaute à employer dans les affeélions foporcu-
{cs.SuppL\.%u).a.
SOTOR IF IQ ü ES , ( Médec. ) voye^ Na r c o t iq u e &
Sommeil.
S O R A , ( Géogr. anc. ) nom commun à plufieurs villes. Obfervations
fur les ouvrages de Quintus-Valerius-Soranus, né
à Sera, ville de Campanie. X V . 366.
SoRA, {^Géogr.mod.') ville d'Italie. X V . 366. a. Obfervations
fur Cefar Baronins, né dans cette ville , 8c fur fes
annales eccléfiafliqucs./Wif. b.
S oR A , ( Botan. ) efpece de builTon qui fe trouve en Guinée.
X V . 366. b.
SO R A ü E S , les, ( Géogr, apc.) peuples de la Germanie.
Il en Cil lüuvent parié dans les annales de Charlemagne. X V .
56Ö. h.
SOR A G I , ( PheiJe ) anatomIfte. Suppl. 1. 404. a.
SO R A C T E S , {Géogr. anc.) mont.igne d'Italie dans l'é criture.
X V . 366. b. PaiTages de quelques poètes latins ,
lelatits à cette montagne. Temple conlacré à ladéeiTeFé-
ronie an piè de ce mont. Infvilic que les Romains y reçu-
rem des Sabins. Il a été enfuice appelle Monte di S. SU-
vejfro. Bourg Sc monaflere fur cette montagne. C e fI fur
le mont Soracîes que les Hirpes marchoient fur les charbons
ardens. Ibid. 367. a.
Soraâes. Temple de la déeffe Féronia fur cette montagne.
V I .S 4 I.Ä.
SO R AN ü S.,*( Quintus-Vaîerius ) poète latin. X V . 366. a.
Soranus. Quatre médecins de ce nom. X. 290. b. 462. a.
S O R AW , (Geogr.) ville d’Allemagne dans la haute Saxe.
Ouvrages de Michel Néander, littérateur , né dans ce lieu.
Il ne faut pas le confondre avec Michel Néander, pbyficien ,
né à Souchimeflal. Ouvrage de ce dernier. X V . 3 67. b.
SO R üE T , {Confit. 6’ boijjon des Turcs) Sorbet ordinaire
des Turcs. Autre efpece de forbet que fit Tournefort
fur le mont Ida en Crete. Sorbet des Turcs riches. X V .
367. b.
SO R B IER , {Botan.) caraéteres de ce genre de plante.
Defeription du forbier cultivé. X V . 367. h. Lieux où il vient
ratiirellement. Defeription du forbier faiivage. Ibid. 368.
Voye!^ atilfi l’article C ormier.
Sorbier. Noms de cet arbre en différentes langues. Son ca-
raftere générique. IV. S t o . i . Defeription de trois cf-
peces do forbier. Lieux où elles croiffent. Leur defeription ,
culture & ulâges. Ibid. 8 1 1. a. *
Sorbiers fauvages. Suppl. I, 284. a , b. Suppl. II. 481. a.
D e la greffe des Ibrbiers. Suppl. I. 284. b.
Sor bier on Cormier , {Dicte & Mat. médic.)' fes propriétés
analogues à celles de la cornouilic-& de la nefle. X V
368. a.
SORBIERES , {Samuel) Suppl. IV . 694. h.
SO R BO N N E , {Hifl.mod.) college de théologie à Paris4'
Hiftoirc de ce college fondé par Robert Sorbon en 1256.
S O R X V . 368. a. Edifices & appartemens qui en dépendent,'
Conditions pour être admis dans cette maifon. Dillinâion
de ceux qui font de cette inailon en deux fortes j les uns
font de la focièié , & les autres de l'holpitalité. Leurs titres.
Ecoles extérieures, proche de la borbonne. Places auxquelles
la inaiion de Sorbonne a droit de nommer. Provifcur, fénieur,
ta prieur de Sorbonne. Bibliotlieque de cette maifon. Ibid, b,
voyer;^ BIBLIOTHEQUE.
So/bonne. College de la Sorbonne. XI. 933. b. Prieur de
Sorbonne. XII. 3f>3' Provileur de Sorbonne. 513. 6. Thefe
lorbonnique : éloge, de cet exercice. 11. 227. b. Plan du
pavé de l'églilc de la Sorbonne. X. 78. b. vol. V . des planch.
Marbrerie, planche 8.
SORCELLERIE. ( Aljgie ) la forccllciie fut fur-tout en
régné dans les treiz:.- ée quatorzième fiecles. X V . 368. b.
Hiiioire des progrès de cette forte de Semence Ce des excès
ou lupcrffitieux ou barb.arcs auxquels elle a donné lieu.
Dccl-iraiion de Louis X IV , qui détendit en 1672 à tous fes
tribunaux d'admettre de fimpies accul'ations de forcellerie.
Hiiioire de cet atfr.iiuhi qui fut acculé d- forcellerie , parce
que tes champs éc la tain die piolpérojeiit. ibid.-^Gc/.a.
SORCIERS ta Sorcières, {Hifi.anc.Smod.) divers noms
que leur dounoienc les Grecs 6c les Romains. Les anciens
ne paroidem pas avoir révoqué en doute les enchantemens
des magiciens 6c des forciers. Témoignage de plufieurs
graves auteurs fur l’exlllence des Ibrcicrs. Le chriltianiluie
d accord avec ces témoignages. Preuves tirées de l’ancien
ia du nouveau tcflament fur l’exifience des Ibtciers. X V .
369. b. Accord des jurifconuiltes 6c des théologiens fur ce
lujet. Sage milieu qu’on doit tenir entre un excès de crédulité
lur ce point , 6c une difpofition à rejetter tout ce
qifon raconte de la magie 6c de ceux qui rexercent. LiJ.
370. J. Doéhine de Mallebranche fur les forcieis. L'accu-
fation de forcellerie a fouvent été un prétexte pour accabler
les innocens. Exemple tiré de l'hifioirc de la ville d'Anas.
Ibid. b. Hifioirc d’un prétendu forcier nomme Tiois-Echellcs^
qui fut exécuté en Greve en 1371. Rapport de quelques
médecins qui avoient été chargés en 1589 de vifuer quatorze
perfonnes aceufées de forcellerie. Ibid. 371. T". En 1609 ,
F ile fac, doéleur de Sorbonne , fe plaignoit que rimpimité
des forciers en muliiplioit le nombre à l’infini. ObRrva-
tions fur quelques prétendus forciers du cÜx-fepiieme fieele-
La maréchale d’Ancre ; Urbain Grandier, curé deLoudun;
la Vigoureufe 8c la V o ifin , fameufes empoifonneiifes. Ibid,
.372. <7. Les perfonnes aceufées de forcellerie ne font pour
l’ordinaire que des ftupides , des payfans Sc des ruftres : réflexion
à laquelle cette remarque donne lieu. /iit/. b.
Sorcier. Etymologie de ce mot. X V . 382. h. Origine de
ce que le vulgaire débite fur les forciers. Suppl. IL 284.
•t. Sorciers appelles ramaffiers , chevauclieurs de ramon on
defeouvette. Suppl. IV . 366. a. Faux moyen qu’ont donné
quelques démonographes pour reconnoitre les forciers. III.
883. a. Caufe des vifions des forciers. IV, S i i .â . V L 416.
h. Comment on épronvoit les forciers. Y . 838. b. Caufes
fecretes qui ont fouvent accrédité devant les tribunaux la
prétendue exiftence des forciers. IX. 833. a. Pourquoi il
y a toujours eu plus de forcieres que de forciers. 854. a.
Commerce charnel des forcieres avec le démon , félon
Delrio. VIII. 639. b. Du fabbat des forciers. XIV.436 . a,
b. Sorcières de Thelfalic , vo ye z ci-deirotis.
SOR CIERE , {Conchyl.) elpece de fabot qui eff petite &
plate. Delcriptiende l’animal qui habite ce coquillage. X V .
372, b.
SORCIERES de Thi'(falic,{Aîythol.)K.'W. 372.i.
SO R E C , vigne, ( Géogr. ) vallée de la Paleffine où demeu-
roit D.ilila. Sa fituation.Son v ignob'e.5//y/>/. IV. 811. b.
SOREL , ( j4gncs ) maîtreffe de Charles V I I , roi de France.
Suppl. l î l . 677. a. Son to.mbcati. IX. 623. a , b.
SOR E ZE , {Géogr. ) ville du haut Languedoc. Obferva-
tions fur une ancienne abbaye de bénédiélins , fondée dans ce
lieu. Suppl. IV. 8 1 1. b.
SOR ISTAN ou Sourie , ( Géogr. ) province de la Turquie
afiatique. Fertilitédc ce pays. Languedes Souriens. XV . 373. b.
SO R IT E , {Logiq.) forte d'argument. Réglés à obferver
pour éviter ce qu’il a fouvent de captieux 8c d’embarraffajit.
X V . 373, a. Auteur à confulrer. Ibid. b.
.SORLINGUES, les, ( Géogr. ) ifles finiées fur la côte
de la Grande Bretagne. Leurs produélions. Obfervations fur
les fieux plus grandes. Ces ifles Sorlingues font les Sillincs
ou Caffiterides des anciens. Leurs mines connues anciennement.
Habits, nourriture 8c commerce de ceux qui les ha-
•bitoient autrefois. Rocher que la marée découvre dans le
voifinage de ces ifles. XV. 373. b.
S O R O N , ( Géogr. anc. ) bois du Pcloponnefc. Paffage tiré
de Paufiinias fur ce bois. XV. 374. a.
SO R Q U E , ( Géogr. ) fontaine remarquable en France. XI.
633. O.
S O R R A T , ( ) poiffon du genre des chiens de mer.
Sa defeription. Qualité de la chair. X V . 374. a.
S O R SO R R E N T O , {Géogr. ) ville du royaume de Naples. Particularités
liir le ’T.-ilfe, né dans cette v ille , 6c fur fes ouvraees
X V . 374. « , é .
Sor/enro, vo ye z S c/r r£/ctc/m.
SO R REFERiE, {Comm.) lieu où l’on fait forrer les far-
dines. Maniéré dont on Ibrroit autrefois les fnrdines, dans
le reflbrt de l’amirauté de Quimper en Bretagne. X V . 373.
b. Préjudice porté au commerce de ces poiflbns par la nouvelle
maniéré de le forreter. Defeription de cette manière.
Jbid. 37Ó. a.
S O R T , {Gramm.) Diflérentes fignifications du mot latin
fors. X. 430. b. Différence entre fo rt, enchantement, charme,
III. 210. a. Sort, pris dans le fens de hazard , voyer
ce dernier mot.
So r t , {Jurifpr.) partage d’une fucccfllon i>ar le fort ou
lots. X V . 376. U.
So r t , {Ciitiq fiacr.) l’ufage du fort cft convenable dans
certaines occafions. Les Hébreux le pratiquèrent en diverfes
circonflances. X V . 376. a. Comment ils tiroient an fort. Le
mot Jort défigne quelquefois dans l’écriture l’cff'et du fo r t ,
le lo t , le part.aee. Ibid. b.
So r ts , féte^des. {Cntiq. fiacr.) XII. 334. b. XIII. 381. a.
So r ts , ( Tiiéobg. payen. ) efpcccs de dés dont on fe fer-
voit dans les oracles rendus par le fort. Cérémonies qui ac-
compagnolent ce jeu de dés. Ftincfle préfage que reçurent
les Lacédémoniens un jour qu’ils étoient allés confultcr les
forts de Dodone. Sorts de Prenefte 8c d'Antium. Statues
des dieux qui avoient la propriété de donner des figues de
leur volonté. X V . 376. b. Les fléchés employées dans quelques
forts. Dans la Grece 8c dans l’Afie , on tiroit fouvent
les forts de quelque poete célébré. Les chrétiens ont auffi
pris les forts dans les livres facrés. Efpece de fort qu’Hera-
cliiis cqnfulta pour favoir en quel lieu il feroic paffer l'hiv
er à fon armée. Ibid. 377. a.
Sorts. Origine des forts connus chez les Romains. Enumération
des principaux. IV. 1071. a. Divination par les forts.
^8^' ^ appartenoit la fonftion de jetter les forts. XV.
Sorts d'Homere , ( Divination) efpece de divination. Sur
quoi elle étoit fondée. XV. 377. a. Elle fut employée par
de grands perlonnages de ramiquité. Autres poètes célébrés
qui furent confultés comme Homere. Ibid. b. — Voyez R h a p -
SODOMANTIE.
Sorts de Prenefie , ( Divinat. des Rom. ) les plus célébrés
d’Italie. X V . 377. b. Découverte de ces forts. Comment on
les confultoit. Remarque fur un paffage de Tite-Live où il
efl d it , que les forts de Prénefle s’appétlfferent. Mépris des
philofophes, 8c en particulier de Cicéron, pour i’ufage des
forts ta pour ceux de Prenefle. Ibid. 378. a. Efpece de prodige
arrivé dans les forts de Prenefle fous les yeux de T ibère.
Ces forts étant tombés en cliferédit, ceux de Virailé
leur fuccéderent. Ibid. b.
Sorts ùt Virgile ■. {Divinat.) exemples de la ccnfiiltation
de CCS forts. Auteur qui a écrit fur ce fujet. X V . 378. b. —
R ha p so d om an tie .
So rts des Saints, {Divination) efpece de divination qui
vers le troifieme ficelé s’introdiiifit chez les chrétiens. Maniéré
de confiiker la volonté de Dieu par cette voie. Sentiment
de S. Auguflin fur cette pratique. Ufage qu’en firent
Grégoire de T o u rs , Merouée, fils de Chilperic, X V . 379.
U. ta Chramne, lorfqu'il fe fut révolté contre Clotaire I.
Noii-fculeincnr on employoit les forts des faints pour fe déterminer
dans les occafions ordinaires de la vie , mais meme
dans les éleélions des évêques , lorfqu’il y uvoit partage.
C ’eft ainll que S. Aignan fut déclaré iucceffeur de S. £u-
v e i t e , evèque d Orléans./ânf b. Les Grecs, auffi bien que
!es Latins , confultoiem les forts des faims dans les conjonc-
Tiires critiques. Exemple de l’empereur Héraclius : cet ufage
liibfifla jiifqiies dans le quatorzième fiecle, 8c l’on en con-
ffirva même quelques traces dans les deux fiecles fuivans.
Comment on 1 employoit après féleélion d’un évêque. Mort
funefle d’A lb e r t , évêque de Liege , prédite par le fort tiré
des évangiles. Les forts pratiqués dans i’éleétion des chanoines
de Boulogne. Ibid. 380. a. S. Cyprien avoit quelquefois
recours aux forts. Dift'èrens conciles qui ont con-
riampé cet ufage, lorfqu’il étoit accompagné de pratiques
magiques. Quelques théologiens ont regardé les forts des
latins comme fupcrflitieiix ; mais ils ont cru néanmoins que
plinienrs de ceux qui les ont confultés, y ont été portés
par une fecrete inquifition du ciel. Ibid. b.
Sort des faims. Il fe pratique à Boulogne à l’éleélion des
chanoines. Suppl. II. 40. a.
So r t . {Divm.) Ouvrage fur la nature Sc l’ufage du fort.
^La voie du fort efliméc par les freres Mora-
X V .
ves. V i l l .
SORTIE. {Forificat.) Celle des affiégès. Les forties
peuvent beaucoup fcrvir à arrêter les progrès des affié-
geans. Dans quels cas on peut les entreprendre. X V . 381.
‘t- Choix du moment convenable. Grandes forties ; Jetu ob-
S O U 693
jet. Quel efl celui des petites forties. Tems le plus propre
pour les premieres. Comment fe font les fécondés Ibid b
Sortie. ( Hydraul.) X V . 382. a ' '
So r tie . I^Comm.) XV. 382. a.
Sonie, voyez. Exportation , Traite foraine , Traite d'.irfac.
1 erception des droits d’entrée ou de fonie; V . 72. b. Ta-
rfl de ces droits. 143. .j. Pourquoi l’on prohibe dans un
^at la lortie de quelques denrées nationales. IV. 120 b
Contrebande de fortie. 130. b. Gratification de fortie ufitée
en Angleterre pour certaines denrées. 333. De la fortie
des efpeces hors d’un pays pour acquitter la balance de ce
quon doit dans le commerce. X. 104. b — Vovez Errnilr
SO R T ILE G E , (A n y p r .) maléficrpar l’opéra^tiL, du £
b le , dont 1 objet efl de nuire aux hommes. Peines prononcées
contre ce crime par les loix divines Sc humaiucs.
Ouvrage à confulter. X V . 382. a ,b.
Sortilege. Difl'érence entre conjuratioji, fortilege, enclian-
tement, inalefices. III. 883. a. Des maladies caufées par
iortilcgc. VI. 416, b. Examen que les médecins faifoient
autrefois des fortilegcs. Suppl. III. 889. b.
SO.S ICR AfE de Rhodes, auteur dont les écrits font ner-
dus. X IV . 236. a. *
SOSIGENES, aftronome, auteur du calendrier julien II
SO S IP A T R A , femme comptée parmi les anciens philofophes
éclcéliques.iV. 278. a.
SOSIPOLIS , {Myth, grecq.) dieu des Eléens. Prodige
qui procura aux Eléens une viftoire fur les Arcadieu,s. Ori-
gine du dieu Sofipolis. Defeription de fon temple. Culte
qu’on lu^rendoit. Comment on le repréfenroit. X V . 383./j.
SOSPEL LO, ( Géogr. ) ville du comté de Nice. Obfcr-
vanons lur le caraélere 6c les ouvrages du perc Théophile
Rainaud, jéfuite, né à Sofpello. X V . 383, a.
SO S T R A T E de Guide , architcéle. Infcriptlons qu’il mit
a la tour du Phare. XII. 488. b. Autre Soflrate, fameux nart-
cratiafle. XI. 812. a.
S O T , F a t , Impertinent. { Syn. ) Différences entre ces mots.
Le fat merveillcufement caraflérifé par Séneque.XV. 383. b.
Sots. Comment on les flatte. Suppl. III. 48. a.
SO TH IA Q U E , période ou caniculaire, {Afiron.) celle
qui, fuivant les aflronomcs, ramenoit les faifons aux mêmes
jours de l’année civile des Égyptiens , qui étoit de 363
jours; Suppl. IV . 8 1 1. b. différence entre cette année v a gue
, Sc l’année aflronomlque 8c naturelle. Sa différence de
l’année fydéréale. Ibid. 812. a.
Sotkiaque, période. {H iß . anc.) III. 388. a.
SO T IA T E S , {Geogr. anc.) peuples de la Gaule. Variété
des opinions des favans fur ces peuples. Il efl iinpoffible de
deviner aujourd’hui quelle étoitleur pofition. X V . 38 4 .0 ,i.
SO T IO N , philofophe pythagoricien. XIII. 623. a.
' ( ôomirr/ÿKe) tbéologienfcholaflique. I. 663. a , b.
SO T T ISE ou Sottie, {Belles-leitr.) efpece de drame qui,
fur la fin du quinzième fiecle, 8c au commencement du
feixieme , faifoit la fatyre des moeurs. Elle attaquoit les
états , 8c plus expreffément l’égUfe. Détails fur quelques-
unes de ces pieces intitulées, l’ancien monde, le nouveau
monde , la mere-fotte. Suppl. IV . 81 a. a.
SOUABE , {Géogr. ) voyfç SUABE,
SO U B A S , ( Hifl. mod. ) gouverneurs dans les états du
MogoL XI. 3. a.
SO U BO R , livre de. {Comm. maritim.) IX. 617. b.
SO U C H A Y , {Jean-Baptifie) membre de l’ucadcmie des
inferiptions. X V l. 9 1 1. i.
SOUCHE. {Jurifpr.) Les immeubles qui n’ont pas en*»
core été tranfmis par fucceffion , ne forment que des acquêts
quand ils ont fait fouche. Succéder par fouclies. X V . 383.^7.
Souche comimine, dont plufieurs perfonnes font iffues. V-
1005. b. Succeffion par fouclies. X V . 600. a. Voix par fou-
ches. XVII. 438. ,2.
So uche de cheminée, {Archït.) tuyau compofé de plufieurs
tuyaux de cheminée, qui paroit au-delfus d’un comble.
Comment on difpofe les tuyaux d’une fouche. X V .
383. a. Matière dont on les conflruit. Souche feinte, Souche
ronde. Ibid. b.
Souche, terme d'hydraulique, de commerce en détail,
d’exploitation des bois. X V . 383. b.
So u ch e . {Jardin.) Defeription d’une machine pour arracher
les fouches avec leurs racines. Voyei^ planches du jardinage,
vol. I.
SOU CH É RES , coutumes. {Jurifpr.) IV . 418. a.
SO U CH E T , {B o t.) caraÀeres de ce genre de plante.
Defeription des deux efjjeces de fouchet en ufage dans les
boutiques ; le long & le rond du Levant. X V . 3 83. A Lieux
où elles croiffent. Troifieme efpece de fouchet. Propriétés
des racines & des graines de ces plantes. Ibid. 386. a
Souchet, voyez Cyperus. Efpece de fouchet nommé trafi.
XVI. 367. a. Souchet du Malabar, nommé bcera. Suppl.
I. 844. a.
Al