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bncire monnoie u’appartient cjnaii iüuvciaiii. 9^9. b. Vues
economiques &. lages tic la plupart des Ibuvcrains de l’Europe.
7^0. a, b. Des devoirs des j'ûuver:ùns. IV. 917. li. Ses
devoirs à l’cgarcl des impôts. VIII, 60t. b. 6’t. Scutimens
que les ibuvcrains doivent à leurs X ll. 425. h. 426.
a. ProrcLlion qu’ils leur doivent. X l i l . 504. b. Ils ne doivent
ulcr de leur pouvoir que pour le bonheur de leurs
fujets. X V . 2^3. b. Devoirs des fonverains rchiiivemem aux
IciAes qui fépaient la Ibciété. XVI. 393. b. Quel eA le mrai-
vais l'ouverain. III. 486. a. E.vamen de la qucAion s’il (e
trouve des cas où le peuple ait droit de punir ibn fouve-
rain. XVII . 616. a. lidaiions des fonverains enir'eux. Les
fonverains abfolus rcAent dans l'état de nature les uns à l’égard
des autres. III. 486. .1. Obligation des fouverains à obfeiNcr
fidèlement leurs traites mutuels. X VI. 333. i-. &c. Cérémonial
entre les Ibiiverains. II. 838. b. D ’où dépend le crédit des
fouverains cnn’cux. IV. 430. So uv era ine té .
So u v e ra in , (^Jurijpr. ) confcils Ibnverains, cours foiive-
raincs. Ce qu’on entend à la table de marbre p<ar tenir le
fouverain. X V. 423. a.
Souveritir:, compagnies fonveiaines. III. 739. b. Confcils
fouverains. IV . 22. a. Cours fouveraines. 373. a, Juge fouverain.
IX. 16. Jullice fonveraine. 100. a. Seigneurie fou-
veraine. X IV. 897. b. 8y8. b.
Souverain. Les maitres des requêtes au nombre de fept,
jugent au fouverain. X V . 423. a.
So u v e r a in , ( Alunn. ) nom d’une monnoie frappée autrefois
en Flandres, Obfervarions fur cette monnoie. X V . 423. a.
SO U V E R AIN E T É , {Gouverneni.) nainre de la fouve*
raineté. X V . 423. ,1. Source de rauroricé fonveraine. Ses
caraiAsros font i". fon indépendance. 2-. Le privilege de
n’etre comptable à perfonne de l'exercice de Ion pouvoir.
Les limitations du pouvoir fouverain ne donnent aucune
atteinte à la fouveraineté.Parties eAentielles d e là fouventi-
neté. Ibid. b. i'^. Le pouvoir léglAatif. 2‘’. Le pouvoir coa-
(Aif. 3". Le pouvoir judiciaire. 4". Celui de régler ce qui
concerne la religion par rapport à ion infiucnce fur la fociéié.
J®. L'ufage de tousles moyens propres à mettre l’ctac en
sûreté à l’égard du dehors. 6“i Le droit de battre monnoie.
Des manières d'acquérir la fouveraineté. Ibid. 426. a.
Souver.iincte, clifi'érence entre le gouvernemeni bc la fouveraineté.
V. 338. a. Üriginc & bornes de l’aurorité fouve-
,raine. I. 898. b. Droits de la fouveraineté. V . 133. b. De
la fouveraineté acquife par droit de conquête. 111. 900. b.
901. a. Il ne peut y avoir de fouveraineté iUîmitée dans le
chriAianifme. IV. 888. b. 889. a. Le pouvoir fouverain
retourne au peuple dont il eA émané : il en peut dilpofer
comme il lui plait. VII. 789. a , b. Lcsloix fondamentales,
qui font une convention entre le peuple 6c le prince,ne
rendent point la louvcraineté imparfaite, aU’ contraire elles
la perfeffionnent. IX. 66o. b: La fouveraineté abfoiue n’eA
que le pouvoir abfolu de faire du bien. X V I. 786. a. D e l’abus
tic la fouveraineté, ^oye^ T yr an n ie .
SO U ZA , ( Zouis de ) fa patrie, fes ouvrages. X IV . 628. a.
SÜZ , {Géogr.) bourg d’Efpagne aux frontières de la
N a va rre , remarquable par la nailî'ance de Ferdinand V
fiirnommé le catholique. Cnraélere de ce r o i, principaux évé-
iicmens de fon regue. X V . 426. b.
SOZOMENE, hlAorien ecclcfiaûique , fes ouvrages. XIV.
337. a. Son témoignage fur la viAonctJfAe de ConAamin.
X V II . 349. a.
S P
SPA, eaux de ( Géogr. ) autrefois Tungrorumfons.'KMl.-jb.
SPAH I-AGASl , ( Ä ’//?. turq.') commandant des fpaJiis.
X V . 427. a.
SPAH ILA R-AG A , ( Hifl. turq. ) colonel général des fpahls.
X V . 427. a.
SPAH IS , ( Hiß. turq. ) foldats qui compofent la cavalerie
turque. Origine de ce corps. Armes de ces foldats. X V . 427. a.
Autres explications qui les concernent. Ibid. b.
S P A L Â T O , {Géogr.) villa de l’état de Venife, capitale
de la Dalmatie vénitienne. Origine de fon nom. Palais de
Dioclétien dans ce lieu. Archevêché de Spalato. Obferva-
üons fur la vie 6c fur les ouvrages de Marco-Antonio de
Dominis , qui fut archevêque de cette ville. X V . 427. b.
SP A L L A N Z AN I , {Laeytre') anatomiAe, b'wpp/. 1. 414. 0.
& phyfiologiAe. Suppl. IV . 363. b.
. S PAR A Ô R AP , ( Chir. & Pharm. ) forte de toile enduite
d'emplâtre des deux côtés. Maniéré de la préparer, Son ufa<’ c.
X V . 428. a. ^
SPAR A IL LO N , (^Ichthyol.) poiAbn de mer ren«ntlnnt
à la dorade. Sa defeription. Qualité de fa chair. X V . 428. b.
S P A R E ,( A-y^tÂyoi.) efpeces de fpares nommées alpheÂc.
SuppLL 319./-. Blatvc-Aaar. 912. b. Coffer deNaffelaw.i'«;»«/.
IL 496. b. Cofter-vifeb. 497. a.
SPARTACU S,guerr« qu’il excita contre lesRomains. VII
697. b.
S P A S P À R T A R IU S campus, ( Géogr. anc. } campagne en Efpa-
gne. Elpecc de jonc appelle Jp.inum, que l’on nouvoit dam;
cette campagne. Ulagcs auxquels o n l’employou. X V . 428. b,
S P A R T E , (Geogr. anc.) voyc^ l'article L acédémone.
On appelloit autrefois fpaniates les habitans de la ville de
Sparte , & L.ncédemoniens, les habitans de la campagne. Origine
de Sparte. X V . 42S. />. Forme 6c grandenr de cette
ville. Dans les premiers teins elle n’eut point de murailles,
ce ne fut que du tems de Pyrrhus que le tyran Nabis lui
on éleva. Population de Sparte. Colonies qui en font foriios.
Elle tomba Ions la domination des Turcs l'an de J. G. 1460,
& fe nomme aujourd’hui Mifitr.i. Defeription de Sparte tirée
de Paiifanias. Ibid. 429. b. Il n’y, a pas jufqu’aux portes 6c
aux clés des anciens Spartiates, que l'hlAoire n’ait décrites.
Forme de ces portes. Ridicule qu’AriAopliane jette fur la
forme de leurs clés. Examen des loix de Lycurgue. Ibid.
432. b. Comment ces loix ont fait des Lacédémoniens felon
Platon, Plutarque & Xénoplion, le peuple le plus heureux
de la terre. Ibid. b. Comment Lacédémone commença
à fe corrompre. Jbid. 434. b.
SPART -G EN ÊT, {^ Bot. Jardin. ^noms de cette plante en
différentes langues. Son caiaélere générique. Enumération
de fes efpeces, au nombre de onze. Suppl. IV. 819. b. Leur
defeription. Lieux où elles croiAent. Maniéré de les culcL-
ver. Leurs qualités & iifages. Ibid. 820, a , i.
S P A R T I l/M , [Bot.) caraéleres de cc genre de plante.
Ses efpeces. ücicription de la principale. X V . 434. b.
SPASME , (Médec. Paiholûg.) diAinélion établie entre le
fpafmc 6c la convulfion. La convulfion cA une contraélion
involontaire qu'éprouvent les niufcles fournis à la volonté.
Le fpafme eA la contraftion non-naturelle des parties dont
l’aélion eA indépendante de la volonté. X V . 434. b. Examen
des différentes opinions des phyfiotogiAes fur les caufes de
cette affeSion. Ibid. 433. a. Lumières que peuvent fournir
fur cet objet les differens écrits de M. de Bordeu. Tableau
de l’économie animale dans le corps humain. Ibid. b. Importance
des fonctions du diaphragme. Caufes du fpairne. L’a-
lAion du diaphragme eA entretenue dans rnniformité qui forme
létat lain, par I’eAort réciproque 5c toujours contrebalancé
de la tête 6c de i’épigaAic. Tout ce qui rompt l’équilibre
entre ces deux parties eA principe de maladie. Ibid. 436. a.
De-là la diAinélion des maladies en uerveufes 6c en humorales.
Ibid. b. Les maladies purement ncrveiifes , doivent
être appellees pins AricAement fpafmodiqucs. Mais le genre
mixte de maladies qui réfuke de l’afiéêlion immorale compliquée
avec l’affcAion iierveufe, eA le pins ordinaire. Def-
cripiion de l’état fpafmoclique des organes affcélés pendant
le cours d’une maladie, fécondité des principes pathologiques
qui viennent d’être établis. Ibid. 437. a. Avant.iges
que l’obfervateur peut tirer de cette théorie pour difeerner
les faits dans les difi'érentes efpeces de maladies , 6c procéder
avec plus de fuccès daos le traitement. Ibid. b.
^ Spafme : diAerence entre le fpafme, les convulfions &
lépilcpfie. V .79 6 . .1. La fievre, les fpafincs 6c les ctmvul-
fions font les trois inouvemens extraordinaires que la nature
emploie pour amener la guérifon. V . 409. b. Spafine cynique.
IV . 399. a , b. 1060. b. Spafme dans les fièvres humorales.
V î , 734. L Froid caufé par certains fpafmes.VII. 331. é.
Le fpafme nuifible à la nutrition. XI. 290. a. Singularités
dans certains fpaûnes. X V . 43. h. 46. a,
SPASMODIQUES , ou convuljlves, maladies, ( Aièdee. )
quelles font les maladies plus particuliérement appellées fpaf-
modiques OU nerveufes. Symptômes par lefquels le fpafme
fe manifcAe dans ces maladies. Enumération de ces maladies,
übfervations générales fur leur traitement, X V . 438. a.
Spa sm o d iq u e s , mouvemens, [Séméiotiq.) il s’agit ici des
maladies où ces inouvemens ne font que des accidens plus
ou moins graves. Le terme de fpafmc cA ici lynonyme à
celui de convulfion. Efpeces de convulA#ns prefque toujours
mortelles,fuivant les obfervations d’Hippocrate, frc. Progno-
Aics tirés de différentes fortes de convuifioiis, 6c des différentes
circonAances où elles fe manifeAem.XV. 438. b. Symptômes
qui annoncent dans pliifieurs maladies l’approche fies
convulAons. Moyens qui diffipent les mouVemeus convul-
fifs. D e l'écernument. Ibid. 439. a.
Spafnodique, colique fpafmodiqiie. III. 619. a. Emotion
fpafmodique, applications faliuaires en ce cas. V . 392. a.
Fievre fpafmodique. VI. 739. a. Maladies fpafmodiqucs. IX.
935. a. Des remedes à employer dans ces m.iladies. Suppl.
I. 468. <j,é. 819. û. D e l’ufage des narcotiques dans ces maladies.
XL 24. a. Spécifique contre les doileurs fpafmodiqucs.
X V . 443. a. Etrange maladie' fpafmodique nommée empro-
jlothonos. V . 597. a, b. _
S P A T A R A , [Géogr.) petite iAe de Laconic, fameufe
autrefois fous le nom de Cranaé, où Helene accorda fes
faveurs à Paris. Temple que ce prince y confacra à Vénus
Mi^onitis. Tableaux que Ménélas fit pofer aux deux côtés
de la Aatue de Vénus. Mort tragique fie la belle Hélene.
X V . 439. b. Voys^ MiOONlUM,
Spartara ,
S P E Spatar.i: cette îAe autrefois nommée Flélene. VIII. 98. b.
SPATH , ( Minéralog. ) caraftert's de l'ef pece de pierre
c.alcaire appellee de ce nom. Neuf cfjjeces de fpath ,
felon Wallerius, Leurs deferiptions. X V . 439. b. D ’oii
dépend le plus ou le moins de dureté de cette pierre. Plus
le l'patli eu tendre dans la mine, plus on efpere que l’un
trouvi.ra des métaux précieux. En quoi le fpath différé du
(|iiai tz. Ibid. 440. a. F.fpece de fpath fuiible. Principe de cette
fufibilito. D e la fufibilité du fjjath avec le marbre. Examen
de la queAion s'il contient quelque fubAancc métalhque.
AfHon des diffolvans fur le fpath. Expériences de M.M. Port
6c de JuAi fur le fpath pefant. Ibid. b. Le fpath fufible ii’en-
tre point en fufion tout fe ii l, mais il procure une fiifibilité
étonnante aux pierres 6c aux terres les moins fufibles par
elles-mêmes. Principe de la tliA'érence que l’on remarque
entre le fpath calcaire 6c le fpath fufible. Mines de plomb
6c mines de fer fixitlnqucs. Ibid. 441. a. On peut donner
le nom de fpath cale,lire à toute pierre calcaire qui paroit
compofée d’uu affemblage fie lames ou de feuillets hiifans.
Ibid. b.
, efpece fie fpath nommé cryAal d'illancle. IV . 324,
a. Autre dit fiiillus lapis. X V . O43, b. Spath qui contient
du zinc. X V ll. 716-. a. Pierre fpatliiqiie nommée kern-Ih>ne,
qui fe trouve dans quelques provinces d’Angleterre. IX.
123. a. Spath phofphorique. 388. b. Mine de plomb fpa-
tiiique. X ll. 773. b. Spath en lames, vol. V I des planches,
crylbllifations, pl. 3. Spath cryllalhfé, pl. 1 6c 4 Spath
rhomboïdal, pl, 3, Spath en lames cryAatlifé , pl. 7. Autre
cryAallifaiion fpaihiqiie, pl. 8. Spath Aric, pi, 9. Eiiài qu'il
faut faire du fpath, avant de l’employer pour les coupelles.
IV . 349,
S P A T U L E , [Chir. Apathie.) les chirurgiens 6c les apothicaires
ont (les fpaniles. Defeription ôc ulage de celles
des chirurgiens. X V . 441. L
Sp a t u l e , ( Omiih. )oifer-urepréfeneé vol. V I des planch.
Rcgne animal, pl. 47.
Spatule , inArument de blaiichifferie, de cirier , de peintre ,
de doreur,de pâtiAier 6c de rafïincur de fucre. X V . 442.
S P A U T A , [Géogr.) lac fa le de la Meclie-Acropati... Üb-
fc-rvr.tinns fur la faiure de cciac. X V . 442. a.
SP É C IF IQ U E , [Hydrojt.,tiq ) pefantcur parïiculiere
à chaque efpece de corps, par laijiieÜc on le dilim
gue de tous les autres. XV. 442. b. Loix de la pefanteur 6c
de la légèreté fpécilique des corps. Conféquciices de ces
loix. Maniéré de trouver 1-a pcf.uueur fpétafique d'un fluide.
Ibid. 443. a. Les pefameurs fpécifique> ties mêmes fluides
varient dans les différentes fail'ons de l’année. Table des
pefameurs fpécifiques de dift'érens fluides , pour Paris, en
été 6c en hiver. Moyen de déicrmijier en quelle raifon la
pefanteur fpécifique d’un fluide, eit à la pelanteur fpécifi
que d'un foiide , qui eA fpéufiqiiement plus pelant que le
fluide. Comment on trouve la railon des pefanteur» fpeeiri-
ques des folitles. Auteurs qui ont déterminé le» pcfantcurs
fpécifiques de differens foHdcs. Ibid. b. fable de» pel'.inteiirs
fpécifiques de differens folides. Voye^ à l’urtlcle Balance
HYDROSTATIQUE line table plus étendue. Dcfce.uc cl’im
foiide dans un fluide fpccifiquement plus léger. Degré d'en
foiicement que prend un luhde dans un fluide fpécirique-
ir.cm plus pcfuit. La pefanteur 6c la malTe d’un corps , 6c
la pefanteur d'un fluide fpéciriquement plus pef.ait étant
données , trouver la force requife pour tenir le iolide plongé
entièrement dans le fluide, ibtd. 444. a. Trouver l.( f .ic e
avec laquelle un corps fpécifiquement plus Lg cr monte,
on tend à monter , fians un fluide plus pel'aiu. La peian-
teur d'un corps qui doit être conAruir d’une matière fpé-
cifiqiiement plus pefmtc ; 6c celle d'im fluide ('pécifiquemem
plu.s lé g e r , étant données, determiner la cavité que le corps
doitavoir pour nager furie fluide. Ouvr.igcà confuher. Ibid.b.
Voye^ F luide.
Spécifque , pefanteur. Des principales matières connues. II.
27. b. X ll. 446. a , Z>, 6CC.
Sp é c if iq u e , [Aledec. ) médicamens fpècifiqiies. La rhubarbe
eA un fpécifique contre la diarrhée. Differentes acceptions
du mot fpécifique parmi les médecins. XV. 444. b.
Courte indication des Ipécifiques qui conviennent davantage
pour la guérifon de quelques maladies ; pour les ficvi e» intermittentes,
les fièvres quartes, les inflammarions accompagnées
de fie v re, les himieurs difpofées à la pinrcfaélion
& à la diffülutlon , les douleurs caiifées par un refl'erre-
ment fpafmodique , les vent» dans l’eAomac Sc les imcAins,
la goutte, la traiifpiration arrêtée, Icsaccidens liyAériques
& hypochondriaqiies, la pituite dans les poumons , Ibid. 443.
« . la phihifie commençante, l'hydropifie, la difpofition tlvs
reins à former le g ravier, la dilTcnicrie, les v e r s , les maladies
vénériennes, les maladies cutanées , la Aagnation des
humeurs 6c du fang, qui procède d’une contulion des parties
extérieures. Obfervations fur l’ufage 8c les vertus des
fpédfiqiics indiqués pour ces differentes maladies. Réflexion
contre l’exiAence d’un fpécifique univcrfel. Ibid, b,
Tome II.
S P E 701
spécifiques prétendus, mis en vogue par les charlatans.
3 1 1. b. Abus des fpéciri(|iies. Cet abus ne doit pa> nous les"
hure rejcitcr entièrement. Suppl. I. 273. a.
SPECLE, (Z>a/7;<;/) premier auceuralJemand qui a écrit de
ia fortihcation. V 11, 192. .1.
S P E C fA C L E S , (/«vt/K'.rf'tc.fi'/nu.y.) caufe du goût que
CS hommes ont pour les Ipeélacles. XV. 446. a, Q u d s font
les IpeA.idcs les plus projire» à les intéreltcr : on les diAin-
gue en deux fortes , dont les mis ont rapport au corps , cC
les autres découvrent les reffources du g.nie 6: les reff’ .rts
des paffions. Sur (|uoi il faut remarqma- que les jiremiers
ne demandent prelque point d’art , 6c qu’ils doivent faire
une impreflion très-vive 6c rrés-foite : ils conviennent fur-
tout à un peuple guerrier. Au heu que hs féconds , propres
.à hcr enir’uux k s citoyens par la conipalhon 6c 1 lui-
maniié, font beaucoup plus dignes de nous. Ibid. b. Dans
unitc el'pece de fpeétaclcs, on veut être ému, Depenfes
exceilivcs des Grecs 6c des Romains en fait de fpLfflicics,
Jur-tom (le ceux qui tendoient à exciter l’émotion. Ces dé-
penfes chez les Romains avoient deux objets, le paiement
des comédiens 6c la magnificence des lieux dcAuiés aux repré-
Icmations théâtrales. Jt-ia. 447. a.
Spcélaclts, voyc{ C omb a ts , Fêtes , Jeux , T héâtre.
Paflion des Atliénieu» pour les fp^ftaclcs. Sup/d. I. 394. a.
675. b. Spefiacle des païuominie.» chez les Romains. X L
827. b. SpciAadcs barbares qu’ils donnoient au moyeu d’une
machine a p p e l l e e Xl l . 2 59. b. Sp dacles ne chaffes
connés ciicz cc peuple. III, 228, .i. Spcfoides que certains
magiArats dévoient donner au peiijile. V. 31 6. b. Plu es ..r-»
tificielles pour rafraichir les Ipedaieurs à Rome. X ll. 797.
a. A„clamntion'. aux fpedacles des anciens. I. 73. a. Goût
des habnaiii d’Herculamim pour les fpcda.Ies. V l l l . i5 i .< ; .
Impôt dcAiné à fournir aux frais des fpedades , chez les
aiickns. Ô04. a. Des fpeüacUs modernes. Sped.idc pyrique,
X lli. t>02. .1 , b. Salles (le fpeélacle, vol. X. des planches,
Ai-tide '1 H'tATRE. Salle de (pedacle élevée par le maiéchal
(le Richeheu dans le grand manege. VI. 382. a. Speilacles
de ballets, II, 44. U, b. Réjhxions fur Us //'cÆ,;r/ea. Le peuple
doit participer aux g/ancls fp<.6lado.s. VI. 379. b. Caufe
de l’emprcliéinent aVvC lequel le peuple coiiit à un fpec-
tacle qui lui fait horreur. VU. 697. a. Il fuit profenre t>uic
fpeélacle qui familiar,feroit les hommes avec des principes
oppofésjila compi.inom Ihii. b. Aucun fpeéCde contraire au
bon goût ne dcvioit être ptrmis. Supp. I. 391. a. Plaihr
dont fe privent à nos fpcélades les vains raifonneurs 8c les
flo.ds critiques. Suppl. IV. 640. b. Des falles des fpeélacle.
T hé â tre ,
SI'l C I ATEURS. D e ceux du parterre, Suppl. l'V. 24 f:
S P E C T R E , [ Meutphyfi.) l’opinion touchant l’exiAcnce
d^s Jpeétres a été commune chez les païens, les juifs, les
turc» 6c les cluétiens. Excnijjle d’une apparition regardée
par B ronuis comme indubicade. Cinq op.nions différentes
lur les fpeélres. 1“. Les uns ont cm que c ’éioient les âmes
des détuiir» qui re\ienneni 6c fo in'iitrcin fur la terre.
2“’. D .m ire s, que c'eto-t une tro'ifu.me panic dont l'homme
cA compolé. 3“. D ’au f es ont aiirioiié les nppavitions aux
elpiits elcmuiiaires. X V . 447, b. f . Quelquevuns ont regardé
les fpeélies comme l’effet des cxli .lalfons des corps
qui fc pourrilfent. 3“. Enfi 1 la cinquième opùri >n donne
pour Caille des fptÂres des opérations c la k o lq u c . Tiois
clailes dephüolbplîes qui ont nié l'exiAence d.s fpcclre». loA .
448. a.
Speélre. Origine de l’opinion des fpeiAres felon Hobbes.
^ 'lü . 236. U. Speélres appelles lamies. IX. 2 2 9 . Réflexions
lur tainaiiv..ifc coiiiun.c des m.unices d’appail'er Ks enfms
en hur imp rant la frayeur. h>id. a , b. Speétre que le» .Liifs
appellent iluh. 332. a. Divinatioiipar l'appantion de.s fpeélres.
XVI. 146. b. / b_ye{O mbres , R evenans , A p p a r it io n .
Spectres , Us , [ ConchyUol. ) efpcce de volute. Figures
dont C'. coquihage clt diargo. XV. 448. a.
S pectre tv/uré, [U p tiq .) C o uleu r ,
S P É CU L A lR t , ( A h , p i e r r e fpéculairc. VII. 1023,
a. IX. 814. b. X ll. 384. é. De l’ufage des pierres fpéculaires
chez les Romains. X. 371. b, Mme de fer fpéculaire. V I .
494. a.
S P E C U LU M , [Chirurg.) nom donné à differens inAru-
mens qui dilatent des cavités. Spéculum ani. Speculum ma-
tricis ou uteri. Speculum oris, deux fortes d’uiArumens d e c s
nom pour la bouche. DLfcripiion de celui qui fert à ouvrir
6c à dilater la bouche par force. Defeription de celui qu’a
inventé M. Lev rer, pour opérer dans la bouche. X V . 448. é.
Speculum oculi. Différentes fortes d'inArumens de ce rom
pour l'oeil. Defeription d’un jpeculum pour l’opération de la
cataraéte. Ibid. 449. a.
Speculum uteri. L'objet de cet inArument eA de trouver
pluficurs puiffance» qui écartent Sc foutiennent uniformément
les parties de l’orifice du vagin , 6c le vagin même,
à une certaine profondeur. Suppl, IV. 821. a. Defeription
P P P P P P j> P