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P o is à gruncr^ ( Bot. cxot. ) XII. 88.[. h. J'oyc^ MUCUNA.
Pois de , c.iraflcrcs de ce genre de plante. X ll.
884. b. Ses dpeces. Dcl'cription de l’el'pece appellee corin-
ditm à larges feuilles & à gros fruit. Jbid. S85. a.
Po is , jrbre a ux{B oian.) arbre de la même famille que
le pfeiido-acacia. Pourquoi il cH .appelle arbre mix pe/A Lieu.\:
oil il croit naturellement. Ulages qu’on en fait en Sibérie.
Celui qu’on pourroit tirer de les teiiilles pour teindre en
bleu. XII. 885. -i.
Pois marnaux, ( Hd}. ru t.) e fp ea de mine de fer. Lieux
où elle fe trouve. XII. 88^. a.
PO ISO N , (Lirtér. ) fignirication du venenum. Confpira-
tion dont parle Tice-Live de plufieurs dames Romaines coupables
d’empoifonnemens. XII. 885. b.
Püifùn de Pharos. VIII. 339. b.
Poison , ( McJec.) lécours à employer felon les différentes
efpeces de poilbns,donton peut être atteint. XII. 885.
Poifor.s y (|iielques-uns produLl'enc un gr.tnd accablement.
IV . 630. b. Infiilion de graine de lin excellente contre les
poifons corroltfs. IX. 532. b. Pourquoi les odeurs peuvent
empoifonner. XI. 336. a. Des plantes vénéneiifcs. X. 723.
. . X v V v I i . 501. a . , /.b. Différences ____entre 1__les poifons.__ Suppl. I.i
64
Impoffibilité d’expliquer l’effet fubit de quelques-uns.
1,=
Poifons chymiques de la clulTe des acides : contniion
qu'ils excitent fur la peau. Suppl. III. 663.«.
Poison , ( Jurifpr. ) crime de poil'on. Cette maniéré de
procurer la mort eff plus criminelle que raffallinat par le fer.
XII. 885. b. Premiere loi publiée à Rome contre les empoi-
fonneurs. Confpiration de quelques dames Romaines, q u i,
par des poifons cauferent la mort de plufieurs perfonnes,
vers l'an de Rome 422. Singulier jugement prononcé par
l’aréopage contre une empoifonneufe contre fon mari. On
croit communément que le coeur imbu de venin , ne peut
pins être coniumé par les flammes. Exemples qui paroif-
fent confirmer cette opinion. Ulcere dans l'eiiomac que qucl-
c[ucs médecins regardent comment un indice ile poifon. IbiJ.
886. a. Loix romaines contre les empoifonnemens. Loix publiées
en France contre le même crime. Précautions prilès
pour prévenir tout crime 6c tout accident de poilbn. Ibid. b.
Fijyei Empoisonneuk.
Poiso.NS , ( Médec. légal. ) importance de connoitre les
effets du poifon pris intérieurement, lo.t pour être en état
de fecourir ceux qui ont eu le mallieur d’en avaler , foie
pour faciliter la conviélion de ceux qui le leur ont fait prendre.
Quelles font les chofes auxquelles on donne le nom
de poilbn. Il n’exiffe point de poilbn abfolu,/é/ù. é. La premiere
& la plus importante quertion médico-légale dans le
fujet dont il s’agit ic i , confiffe à évaluer les figues par lef-
quels on diflingue les effets des poifons & ceux des virus
intérieurs. Si l’cxiflence du poifon eff conffatcc , il refte
à rechercher fa nature pour décider s’il peut être caiifc
de mort. Connoiffanccs que cette difeuffton fuppofe. Effet
immédiat des poifons , fuivant les anciens. Remcde qu’ils
nommèrent alexipharmaques ou coiure-poifons. Dillinébon
qu’ils f.iilbicnt des poifons en froids & en chauds. Signes les
plusgénéraux felon divcrsauteurs, de l’cmpoifonnement, Ibid.
460. a. Ev.iluaiion de ces fignes. Critique de quelques
propofitlons ou affertions renfermées dans l’article Poifon.
Jurifpr.) de 1 Encyclopédie. Ibid. b. Confidérations effen-
ticllcs que doit faire un expert, avant de décider dans des
cas oil l’on prcfiimc l’emploi du j)oifon. Quellions à faire
aux perfonnes empoifonnées qui lont encore en vie. Autres
figues a examiner. Ibid. 461. a. La plupart des fyniptomcs
caufés par les poifons, font équivoques, lorfqu’on les con-
fidcre fcparémenc. Ils n’ont la force de l’évidence que lorl-
qu’ils font réunis. Comment on s’affiire de rempoifonnement
par l’examen du cadavre. Ibid. b. Différentes voies par Icf-
qiiellcs le poifon peut avoir pénétré dans le corp,s. Ibid. 462.
a. Examen des differentes fubftances venimeufes dont les
fcélératsont iifé quelquefois, ou que le hafard met à portée
de nous nuire. Différentes manières dont elles nient. Divers
degrés d’afbvité qu’elles ont. Confidérations fur les fubrtaiiccs
minérales qui agiffent à la manière du poifon. De l’arfenic.
D u cuivre 8c du verd-cle-gris. Ibid. b. Du plomb & de lés
préparations. Du fublimé corrofif 8c de fes dilfércns précipités.
Le v er re , les fleurs , le régule, le foie 8c le beurre
dancimoine , mis au rang des poifons , lorfque la dole
en cfl exccflîvc. Les différens acides minéraux confidérés
comme appartenans à la même claffe. Vapeurs empoifonnan-
tes. Fluides 6c liqueurs, qui injeélés dans les vailfcaux d’un
animal, caufent là mort. Ibid. 463. a. Caufes pcrnicicufcs
à la vie des hommes , uuc fournit le regne animal. Obfer-
vaiions fur la morfurc tic quelques animaux venimeux , de
la vipere , de la^ tarentule. Animaux qui avalés intérieurement
ou appliqués extérieurement, excitent dans le coriis
des ravages confidérnblcs. V.ipeur dangereufe des foiirmil-
lieres. Ibid. b. Signes de rempoifonnement caiifé jiar les
caïuliaridcs. Poifons tirés du regne végétal. Examen de qiiel-
S'JCS plantes qui ont communément paffé pour venimeufes.
Aconit ®u napcl. Anthora, cfpece de napcl. Anachardium
Renoncule, 8cc. Suc confervé de certaines plantes, ü i i ne
peut s’affurcr de la nature de ces poifons , que lorfqu’on
en trouve des tragmens dans les premieres voies. On elt encore
moins fondé à prétendre affirmer quelque chol’e , lorfque
le poifon n’agir que lentement. Ouvrages à coiifiilter fur
les poifons. Obfervation fur les philtres. L ’e.xpérience démontre
que des dégénérations intérieures peuvent produire les
mêmes effets que les poifons. Le plus infaillible des lignes
du poifon , c’ell la féparation du velouté de l’efloniae. Des
plaies regardées comme faites par des armes empoifonnées.
Ibid. i. Des fccours qui conviennent .aux perfonnes qui ont
avalé du poifon. Ibid. 463. a.
PO IS SO N , ( Ichthyolog. ) différences dans les poiflbns
par rapport à leurs nageoires. Obfcrvations fur la q ueue,
la tête, la bouche, le bec 8c les dents des poifl'ons. Remarques
fur leurs narines Sc leurs yeux. XII. 887. b. Dit-
fcrcnces entre les poiffons dans la lonne du dos, dans les
cotes, la poitrine 8c le ventre. Leurs parties do la génération.
Leurs écailles. Ligne formée le long des côtés du corps
par une luite de points ou de petites ouvcrcui'Cs , ou par une
conformation particulière de quelques écailles. Barbillons des
poiffons. Tubercules 8c piquans fur le corps de certains poif-
îbns. Il n’y a que les cétacées qui aient des conduiis auditifs.
Divers faits & obfcrvations qui pourroient faire croire que
les poiffons entendent. Ibid. 888. a. Explication de ces faits ,
qui no fuppofe point en eux le fens de l’oiiie. Organes des
poiffons qui portent le nom d’ouies. Obfervations lur la langue
(les poiflbns 8c fur leur coeur. Veille par le moyen de
laquelle il s'élèvent 8c ils s’abaiffent. Obfervations fur leurs
os , leurs offelets 8c leurs arêtes. Alimens des poiflbns.
Diitérentes méthodes à confiilter fur la noincnclatiirc des
poiffons. iéiff. é. Précis de celle d’Artédi. Nouvelle méthode
de M. Liniueus. 889. æ.
Poiffons y dcl'cription des parties qui les compofent : arêtes.
I. 633. b. De leur cerveau. 11. 863. a. Suppl. II. a.
Suppl. 299. /i. Smiélurc de leur foie. VII. 33. b. Obferva-
tions fur la mâchoire d’un poiffon qui fe pêche en Canada.
IX. 801. a. Narines. XI. 28. b. Dents. 624.. b. Figure du
cryflalin de l'oeil des poiffons. 589. b. 390. a. Suppl. II. 634.
b. Ouvrage fur les y eux des poillons. Suppl. I. 401. a. Suppl.
1.4 2 7 . b. Ouics des poiffons, leur ufage. X l.y o ô .b . — 708.
b. XIII. 242. a. Suppl. 210. b. Mêchanilnic qui répare dans
les poiffons le défaut de dilatation de lu poitrine. III. 396.
b. Singularités fur le pancréas de quelques poiffons. XI. 813.
a. Oblervations fur les paupières (ie ces animaux. X ll. 286,
a. Leur péritoine. 382. b. Ecailles. I. 29. b. V . 218. a. X ll.
8S9. b. 890. a. Efpccc d'huiJe dont les poiffons font enduits.
X V . 482. é. Leurs tcfficiiles. X V I . 197. /-. Obfervations fur
le coeur des poiffons qui ne refpirenr point. 228. a. Comment
fe fait la digeftion dans les poiffons. Suppl, II. 877. b.
Méclianifme d’oii dépend leur faculté de nager. Struélure du
poiffon qui empêche qu’il ne foit dans l’eau dans une fitua-
tion renverfée. XI. 3. a. Comment il peut fe mouvoir de
haut en bas & de bas en haut. X V II . a , b. Ufages des nageoires.
XI. 3. Æ, é. Ufage de la queue pour n a g e r ,/W .é .
Defciiption détaillée de la carpe. II. 694. b. 697. b. D e
ràgc des poiffons ; moyen de les connoitre à-pcii-près : de
leur longue vie. I. 89. b. D e la chaleur natiiiclle de ces
animaux. 111. 38. ,7. VU . 362.^7. Suppl. W. 310. a. Chaleur
des cétacées. 111. 39.77. Accouplement des poiffons. j.
124.77. Comment ils fécondent les oeufs de leurs femelles.
I. 86. a. Poiffons iicrmaphrodites. II. 697. b. Pourquoi les
poiffons jouiffent de la faculté de pouvoir jeûner long-
tems. VI, 374. 77. Infcâc que l’on trouve fur le corps de
divers poiffons marins. X V . 894. a. Expériences faites fur
les poiffons dans la machine du viiide. XII. 808. 77. X V I ';
209. b. Plante de Cayenne qui les enivre. Suppl. II, 336. a.
Fruit d’un arbre d’Amboine qui les empoifonne. Suppl. 1. 729.
b. Décifion des poiffons en trois cinfles ; des cara^^crcs qui
diflingucnc ces clafl'e.s & les genres qu’elles renferment. VIIL
438. a , b. 484. tz, b. Poiffons cétacées. 11. 870. b. Poiffons qui
ne viennent ni de la mer , ni d’aucune eau ffagnantc 01!
courante. NU. 837. b. Quel cft le plus grand des animaux de
mer. Suppl. 690. a. Auteurs qui ont écrit fur les jtoiflbns. VIII.
483. 77, b. 486. t7. Ouvrage de M. Aurele -Séverino fur cet
objet d’hilloirc naturelle. Suppl. I. 396. b. Planches qui re-
préfentent quelques efpeces de poiffons. VI. voj. Regne
animal, pl. 31 — 36.
Po is so n s , empreintes de y {UiP- nm. ) X. 47. t. 48. „.
Voyc^ Empreinte.
Poi.SSON y ( Pe'c/ie ) plantes qui rengourdiffent. X V I . 337.
b. Faire dégorger le poiffon. IV. 73b. a.
Poi.SSON armé , Porc-épic de mer , (IcM yol. ) XII. 889. ,7.'
PoiSSON-RCEUF, ( Ichthyol. ) le plus grand des poiffons
connus d’eau douce. Sa defeription. Comment il paît l’herbe
des bords de la riviere. XU. 889. a. Rivieres (l’Amérique
dans Icfquellcs on le trouve. O u 1e nomme lamaiiin dajis
le» illes françoifes. Ibid. b.
P®ISSOH-COfFRC J
Poisson-c o f f r e , (/e/iz/iy.) vo1. V I des pbnch.Piegneanimal
, planche 36. C o ffre.
Boxs-iO'et-femmeyi^l'.biky. ) el'pcce finguücre de poiffon. XII,
^ VoissONS , menus , défignés par le nom dcehcvron , mani-
gu e t to ,(/ ’ a-//0 ill. 323. é.
Poisson d ‘or , ( IJnliy. ) particulier à la Cliinc. IX.
150. b.
J \ à fo n rond. Lieux où on le trouve. Sa defeription. XII.
Poifjbn volant , fa defeription. Qualités de fa chair. X ll.
889. b- l'oye:^ v,.|. V I des planches , Regne animal, plan-
clic 56.
Poissons , , ( Sdenc. rnia-ofeop. ) variétés qu’elles
préfentent d.ins les différentes efpeces de poiffons, &dans
un même polifon. X ll. 889. b. Acerolflemcnt annuel de ces
êc.illle.'7. OblCivarions faites par M. Lcuwenhocck fur quelques
êc.iilks de cai]>e. Ecailles des anguilles. Maniéré de
préparer les éc.!illc.s, Ibid. 890.
Pois.soNS, les, {ylfron. ) figiio du zodiaque & coiiffclla-
tinii. PoiiVon \’(ihmt ; poillbn auflnil , autres conflcllations.
X li. 890, a.
Poiffons. Moyen (le connoitre dans le cio! la conflcllation
(les poiflbns. 6/7.--p/, 11. 368. i. Principale étoile du poillbn nié-
viilioiial , t'cijr;; FüMAJIANT.
Pois.SüN de me'y (cb//;«.) apprêt du poiffon mariné.
Poiffons fees. l\ùff>Ti-. .ipjjcllés royaux en France. Poillons à
bird. Poilion de iomme. Huile du poifl'on. XU. 890. l>.
Poisson , ( Louvu. ) comment on l'ale le jsoiflbn quand
on 1 encaqué d’ai'ord. U. 393. a. Voye:^ les planches de pèche.
Marchand dcpoiflbn aiipellé chaffe-m.uec. 111. 250. .7. Poif-
lon liilé , Sa u n e .
Poisson , ) chamlire (jiii a la ])olicc fur le fut
de la marchandife de tout le poilion de mer. lli. 34. u , b.
ivl.;giflrat (jiii eoonoit ilu ce (jui conecnic la vente du
imillon. IX. 3 U . b. Poiffons royaux en Angleterre XIV.
ihaisstTN , ( 6‘/797/;f ) poiffon au bien, manicic de l'accommoder.
U. 284./>. Le jJüiffon enveloppé dans des feuilles de
{cnoui! en devient plus ferme 8c plus favoureux. XI. 4<;i. b.
Mamorede pi éparcr le poiffon d’eau douce, ufitêe en Hollande.
X V 11. 392. b.
Poisson , ( Crnup faer. ) Moïfc met les poiffons au nom-
1)10 des reptiles. Dillinélion qu'il tait des poifl'ons purs 8c immondes.
Les hommes dcfignés flgmément par E/.écliicl fous
le nom i\n poiffons. Porte de lé i ulalcm appeilée none des noif-
yo/iAXIi.Spo.b. ^
Po is so n s . ( A/7//7e/,) comment la mythologie envifage
le figne do ce nom dans le zodiaque. X ll. 890. b.
Po is so n s , tesy { L n t .) poifl'ons, objets de culte chez
quelques nationsde l’antiquicé. X ll. 890. b.
Poifons. Divination par l’inlpcéfion de leurs entrailles. VII.
486, b. Poiffons, figure fy’mbolique. X V . 734. a.
ihliSSONS , peuples m.ingeurs de , ( Geogr. ) VIIT. 486. b.
Poisson , ( Wajon ) ditiéromos maniérés dont on diflinouc
les poiflbns. X ll, 890. b. ^
Poifjon. Manière de repréfenrer différentes efpeces de poif-
Suppl, l'v', 463. A,
/'i-Y/ü/i pâmé. Sitppl.lW 218. b. Qiicuc de poiffon peau-
tree. r 6 4 ./).
]'•> l'-sON , ( Comm. ) incfurc de liqueur. XII. 890. b.
Fer.ssON d .ivril y^Iiif. //ic./. ) diilereiues origines attachées
à ce jeu popiilaiie. Suppl. IV. 463. b.
Poisson , aéfeur comique ; l'on impromptu fur Colbert,
'f iii. 630./<.
PO iSSONN IFRE, L t, ( Géogr. ) cli.itcau ou x'illai’ c do 1:; (.outiire , eu l.i S aromie du t)a^ N'eiulomols. Obl'ervaiions
fur le poète Ronl'ard, né dans ce lieu. Suppl. I\' ^63 /,
POi.SSY ju , Seine y ( Gêogi. ) ville de rifle de’ France.
JXvei -, étahliiiemens ou édifives remarquables de cette S'illc.
Collot]iie de Poill'y reiiii en 1361. Ce lieu fe nomme en la-
ini t ’ i/uiaeum. Obl'ervaiions fur le caraélerc , la vie 8c le
l'cgne (le Loui.8 IX , connu (bus le nom de Saint Louis
ne a l'.Miry en 1213. Xil. 891. .7, b. Auteurs qui ont éu it fa
vie. Uiivr.iiies de Nicolas M e rcie r, liommc de lettrc.s né à
Poifly. /W. 892../.
Seigneurs qui ont poffédé le pays des environs nommé
le Pin/er.ue. ( :li;nles-lc cliauvc tint un parlement à Poifl’y. l.es
rois de la Moifiemc race en aimoient le f'éjour. Obfei vaiioiis
fn rK g li ie d e Notre-Dame. L o i iis iX , né à Poifly. Leçons
<[ue lui doniKiit la leiiie Blanche f'a mere. Momiflore des j.icobi-
"P'i'hs's enirc la France 8c rAiigletcrro , renouveilés à
oiffy (mis Philip])e-Ie-l)el. Ohf'ervaiions fur le colloque de
Poiily , temu CM 1361. Suppl. IV .466. .7. Promotion de chevaliers
(te S. Midu l , f.iite par F'rançois H , dans cette ville.
Pillage (pi elle elTuya en ,389. OI^^ervations fur Anne de Mar-
tpict/., rehgicufe de Poifl’y , f „ , R^ié V a li, 8c fur Gérard , ri-
ciie hnancier, I un 6c l’autre nés dans ce lieu. On voit aux
io m e I I .
P O I 481 j.aeobines l'agrafte fur laquelle cioit la devife de Louis XL
attachée an manteau qu’il porta le jour de ('es noces. Ibid. b.
POî-SSY , ( Contra: de ) iV . 126. u. 676. b. ^ . 38. b.
PÜIT lERb , ( Géügr. ) ville de France. Ktab'il’ emens remarquables
dans cette ville. XII. 892. a. Elle cfl une des
plus tlefertcs 6c des plus ruinées du royaume. Ol.fervaiious
(iir les ruines qu’on trouve an \icux i’oiticis. CXivr.T’ es
des Romains dont la ville de Poitiers a été déctTrée. D lser-
fes remarques fur l’andennccé de cciie ville. Bataille do
Poitiers donnée en 13 36, entre ic roi Je.,11 8c Edouard ,
prince dc_ G alles, dans laquelle le roi .fean fut (ùit prifon-
nicr. Oblervations fur quelques hommes tic lettres (le Poitiers;
S. Hilaire ; Guillaume Aiihen ; Pierre Bérenger ;
(biles fillenu desBillcttcs ; Philippe.Guihaut du Boi.s; Ibid.
/'.Jean Bouchcl ; Aiiguflin Natlal ; jean de la Quiutinie;
Catherine des Roches 8c fa tille. Ibi.i. 8.^3. a.
Poitiers. Edit de Poitiers, en 13—’ .X I , 73b. b. Cliance-
licr des comtes de Poltict.s. 111. 103. b. Chancelleries de
Poitiers. 1 18. é. Confeitlers-jurés de la ville de Poitiers. IV.
30. b. Parlemcnsde Poitiers. X ll, 62. b.
P O IT O U , le y (Grog.’, ) province de France. Ses lior-
nes. Sa divifion géographique, (touvciiiemeiu du Poitou.
Se.s prodnélions. Scs principales rivieres. Territoire des anciens
Piélaves. XII. 893. a. Révolutions de celte urovlnce.
Ibid. b.
Po ito u , {H ifoire des hommes Ulnfr. & fay.ms) ubfcrva-
tions fur plufieurs hommes célehres nés dans cette jiro-
vincc ; S. Maximiii ; S. Paulin; S. llil.iire; S. Probien ;
Stc Ratlegoiule ; S. Paterne; Suppl. W . 467. ^'ell:lmius-
Hoiioriiis-Fonunatus ; B.izile; (»iiilbiime V , duc d’Aquitaine
8( comte de Poitiers ; Ibeirc Bcrenger ; (.ilbert de La
Potée ; Richard , eeeur de lion , roi d’Angleterre, duc d’A quitaine
, comte (le Poitiers; Ibid. b. Jean tle la Baltic ;
Anne l'A rchevêque de P.ntlienay; Jean BouJu-i ; André
Tiraqueau; Barn.ihé Briflbn ; Ibid. 468. ,j. Nicolas Rapin ;
Armand-Jean du Pleflis , c.irdiiial de Riihclieii ; Guillaume
Rivi-i; François Gicoys; Théophrafle Ren.imioi ; George
Broflin; Jean Fileati de la Cliail'e ; ]fliili|)pc (.ioih.iud Dubois
; Ilhiael Boullitiu ; Andre-Manin ; Michel Lambert ; Urbain
C.hevreaii ; ibid. b. l'.iiennc (..ibriaii de Riparfont ;
M.utliicu ilbré d’Hervaui; FrançoH'e d Aubigné ; îfiac de
Beaufobre ; Auguflin Nadal; Antoine Kivet de la Gia im e,
Jean Baptifle le Scliic d’ Lùtcm.n ; Joteph Albert le Ltnge
de Ligniac ; MM. de Stc M.n ihe. Ibid. b.
Po ito u , colujuc de, ( M.-d.r. ) V.neç CouQUE, Eloge (l'iiii
ouvrage de M. Troncliin de Geneve , fur ceue maladie. XU.
8 93. /'. /byejCoLiQUF.
POiTR'AlL</77i-/7cv.)/, Suppl, lu . 3,78. m
P ü l FRINE , ( ^luiom.) les anaiüiullles l’appelleiu thorax.
Divifion du thorax. Ses (unies externes 8< inunics. X il.
894. .7. Forme de la poiu inc dans l’homme 8e d.iiis les ani-
maii.x. Obfervations fur l.\ (liuRure des côtes , 8c (Itr la
maniéré dont l.t poiiiine ell fiirpcnduo. Mufelcs qtii é!c-
vent les côtes. IG-elierdics (iir l’ul.ige du plan interne 8c
(lu plan externe. La caiffe qui len/cniic le.s poumons eff
haiuléc ])ar les mulclcs inicRollaux , 8c la force .avec laquelle
ils agiflent paroitroit furprcnailte, fi l’on en ji!<>eoit
par certains tours, <|iii ont ibuvein attiré l’admiration du
public. (Jblervations fur ces hommes q u i, ayant une eii-
dume fur la (loitrinc , foufl'rciu qu’on eafl'e fur cette enclume
une barre de ferre à grands coups de marteau. Ac-
croiffemeiu tle la capacité de la. poitrine dans le foe c s
Ibul. h.
Poitrine, fa defeription, VUE 2-0.77,/». celle du l'oetus.
Suppl. III. 69. .7. .Membrane qui tapiOc la cavité de la poitrine,
reyi'î I^'l e v r E. Augmcmation dans le diametredeh
poitrine peiulain le jour. l. 90. .7. /bye^ T hot. a .X.
Po it r in e , maladies de la , {Medcc.) bleiîure.s de cette
partie, Eilhile de la poitrine. Amas de quelque luimciir clans
la cavité : (on cntiiirc extérieure : comment on év.icne Cct.e
humeur. Fidiymofe 8c abcès dans les parties cxiéi ieiires.bym-
paihie entre la poitrine, les voies urinaires, & les extrémités
intéiieures. Battemens tle la pcitiinc. Autres obfcrvations
crès-couties (itr les maladies de cette narcie. iXIl.
875..,.
Poitrine, maladies de la. Des ]i!aics dans cette partie.
X ll. 683. b. Maladies de poitrine caufée.s p.ir des pereuf-
(lons Sc contre-coups. Suppl. II. 372. b. Maladies qui ('ur-
cliargciu (riiimieurs tous les vifcercs de i;i poitrine. Suppl.
IV. 68. b, 69. a. Ejianchemens du (jiig dans la poitrine.
VUE 1 19.,;, Amas de pus. \é 399- a , b. E.xemple de la
giiérifon d'un abcès do la poitiiac accomi>agné des fymp-
lômcs de la plitliifie 8c d'nn déplacement de l’épine du dos
8c (les épaules. 1. 16. a. Traitement qu’exigent les épan-
ehemens ('iitulens d.ms la ]K)itrinc. VUE 749. De l'iifage
de la chaile diiriirgieale pour les opérations de la poitrine.
Suppi. U. 308. b. Fluxions de (loicviiie , vevf- C-xth ar k e .
Obù-i vaiion fur l’nfage du fpam.i ceii, dans les fluxions 8c
obiliuélious de poitrine. Suppl. 11. 91. Propriété nierveil-
F F F i f f