278 N A T N A T
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ont données de fa formation. Ibid. 38. j . Comment ou peut
concevoir qu’il fe forme. Ibid. b.
jVjcrumy voye^ fur cette forte de fel. I. 273. b- X IV. 906.
a. Différence entre notre nitre 8c le natrum des anciens.
V . ^53. n- XI. 131. b. Natrum des anciens appelle fleur
i'Afie. V I . 838. h. A utre , d;t hulmyraga. VIII. 30.^.
N A T T A , i^Chïrur^.') greffe tumeur qui vient en differentes
parties du corps. Defeription de cette tumeur. XI.
38. h.
N A T T E , ( 0 «vr.-rg-e de nutiier) defeription du travail
des nattes. Ufage des nattes de paille 8c de palmier. XI.
38. b. Outils du nattier. Ibid. 39. a.
Ndiies qui l'ervem de lits chez les Orientaux. X VII .
77 1 . a.
N.4TT IER S , faint qu’ils ont pris pour leur patron. Suppl.
IV, 238. i.
N A TU R A L ISA T IO N , (Juriflp.) XI. 39.
N a t u r a l is a t io n , {Uifl. d’A n fl.) aéle du parlement qui
donne à un étranger les droits des naturels du pays. Quef-
tion agitée en Angleterre , s’il feroit avantageux ou défa-
vantageiix à la nation , de paffer un aéle qui naturalisât tous
les étrangers. Railons pour & contre. Paffage de Tacite allégué
par les partifans de la naturalifation générale. XI.
39. a.
N A TU R A L IST E , auteurs de l’antiquité qtii ont traité de
rhilloirc naturelle. Q u el eft le plus ample & le plus complet
des naturaliffes modernes. Autre acception de ce mot.
X L 39. b.
Naiuralifle, confeils fur la maniéré d’étudier la nature.
\ '1I. 614. U. b. — 618. b. VIII. 229. U. b. Différence entre
les procédés du naturalifte 8: ceux du chymilie. VIII. 228.
a. Différentes vues felon lefqudlcs les naturaliftes travaillent.
Ibid. Foye^ Na tURE.
N A T Ü R A L IT É , (Ariyp. ) lettres de naturalité. La dif-
tinflion des naturels d’un pays d’avec les étrangers , admife
à Athènes , à Corinthe, à Rome. Diffinftion qu’on faifoi:
à Rome des parfaits citoyens, des citoyens de droit Icute-
nie :r, XI. 39. b. 8c des citoyens honoraires. Juge particulier
des étrangers. Ce qu’on entend en France par naturels ou
regiiicoles, 8c par aubains ou étrangers. Les lettres de naturalité
s’appclloLiit autrefois en France leitres de bourgeoifle.
A qui appartient le droit de naturalifer les étrangers. Comment
fe fait U naturalifation pour les habitans de Tournay.
Les lettres de naturalité accordées en France a des nations
emicres. Ibid. 4O- .1.
N j iu r j ih è , le droit de naturalité doit être confirmé aux
peuples qui en jotiilTent, toutes les fois que le feeptre
chan«« de main. L 863. u. Lettres de naturalité. IX.
426. a.
N A T U R E , {Pbiloflûfh.) différentes fignificaiions de ce
mot. On entend par là , 1“. le fyffême de l’univers. XL 40. a.
2”. Chacune des différentes chofes fpirltuelles ou corporelles.
3°. L’effence d’une chofe. 4°. L'ordre naturel ou la fuite
des caufes fécondés. 3". La réunion des facultés d’un corps.
6 ’ . L ’aiflion de la providence. Le P. Malebranche prétend
que tout ce qu’on dit dans les écoles fur la nature, efl
capable de nous jetter dans l’idolâtrie Ibid. b. Comment A rif- '
loie 6c les Stoïciens définiffoient la nature. Ce qu’on entend
par l'aélion de la nature. Diffinfïion de M. Bo y le entre la
nature générale 8c la nature particulière. Ibid. 41. a.
Nature, dift'érentes idées attachées à ce mot. IV . 746. b.
Des phénomènes de la nature. Suppl. IV. 319. b. La nature
agit toujours par les voies les plus Amples : ufage
que Leibnitz fait de ce principe. II. 789. a. Réfutation de
ce principe, que la nature agit toujours par les voies les
plus courtes. Ibid. b. X I ll. 889. a , b. Des phénomènes de la
nature. XII. 300. a. Suppl. IV. 319. b. Loi de la continuité
dans la nature. IV . 116. a. b. Tout eff lié dans la nature:
loix générales qu’elle fuit. 294. a , b. 671. a. IX. 434,
a , b. — 433. a. C ’eff dans la fucteffion, le renouvellement
6c la durée des efpeccs, que la nature paroit tout à fait inconcevable.
L 470. *r. Rien d’imparfait dans la nature; nous
ne fommes pas dignes de louer ni de blâmer i’enfcmble général
des chofes. "VIII. 384. a. Si l’ordre des cliofes eftné-
ceffüire ,\1 u’eûni mal ni bien. 807. a. Circonfpeâion dans nos
jugemens fur les irrégularités de la nature. 907. a. Beauté de
i'es ouvrages. Suppl. I. 838. b. Effets que leur contemplation
produit fur notre ame. 387. b. Elle a raffemblé les attraits les
plus touchans fur les objets les plus néceffaires à l’homme.
388. a. Comparaifon des ouvrages de l’art avec ceux de la
nature. XI. 722. i . — 723. a , b. Pourquoi nous fommes peu
frappés des merveilles qu’elle produit. I. 494. b. Science de
la nature. L Difeours prélimin.urc. xljx. Confeils fur la manière
de l’étudier. 1. 388. b. VIII, 614. «r, b. — 618. b. VIII,
2 2 9 , é. Emulation générale qui fe maiilfcfte aujourd’hui
pour cette étude. VIII. 228. a.— Foyee^ U n iv e r s.
N ature , luix de la ( Philofoph. ) loix de la nature ou du
mouvement , établies par Newton. XI. 41. a. Foye^ ci-
jdeffus l'article N ature.
N a tu r e {Droit nat. ) droit de la nature. V . 128. i . — 13 1,
D e l'écat de nature. VI. 17, a , b. Loi de la nature. X L
N ature , ( Mythol. ) mere , fille , ou compagne de Jupiter.
XL 41. a.
Nature, projet d’un temple digne de lui être élevé. II.
492. b.
N a tu r e , ( Morde ) inclinations naturelles : ce que nous
prenons pour la nature ne llfou v en t qu’une premiere coutume.
IV. 410. b. Ce qui nous relie de notre premiere nature
ell plus fort que ce qu’oii acquiei i par coutume ou réflexion.
4 i i .d . Ltiyi'3; Na ture l .
Na tu r e , ( Phyflolog. ) ce que les médecins entendent par
nature. V I. 362. b. F a cul té vi/.j/r. Doélrine d’Hippocrate
fu r ie principe qu’il appelloit mmts. Suppl. III. 428.
a. Fonélions que les aniniilles ou écleéliques attribuent à la nature
dans la maladie 8cd.ansla famé. V l i l . 712. a. b. Les plus
grands médecins ont borné leur méthode à aider l’effort delà
nature, y . 409. d , é. En quoi con flle cet e f f o r t . L a nature
ell le vrai médecin qui guérit les maladies, 8c le* vrai principe
qui conferve la famé. VIII. 212. a. Elle tend couioiirs à la
lamé. X V . 43. d.
NATVlXi.plaflique , {Mctaphyflq.') voyc^ PLASTIQUE.
Na t u r e , ( Beaux-ans ) détermination du feus de ce mot.
La nature confidérée fous deux points de vue différens.
1“. Comme caufe aélive. En ce feus elle n’e ll autre chofe
que la fageffe même de l’auteur de la nature , dont les def-
feins tendent à la plus grande perfeélion , donc les procédés
font de la plus exaéle julldTe. Aiufices procédés lom l’unique
école de l’artillc; ik c’ell-là où il doit apprendre les regies de
fon art. Suppl. 1\ . 19. a. C ’ell d’eile qu’il doit apprendre à
n’agir jamais fans quelque vue bien déterminée, à préférer
dansj’anangement des parties, l’cffemiel à ce qui l’ell m oins,
à dilpefer les ouvrages de façon que chaque objet s’offre
aux yeux comme failam un tout qui exiile à part ; c’ell d’elle
aiiffi qu’il peut apprendre fa dellinaiion, 8c le but général
auquel il doit rapporter fon travail. Ibid. b. Il ell encore de
la deinitie nécelTité que l’arcille éprouve au fond de fon
efpi-it 8c de fon coe u r, l’inlligation 8c I’infpiration de la nature.
En joignant à cela la connolffance du monde corpoi e i,
celle du inonde moral, l’exercice 8c une application foutenue,
voilà l’artille tout formé. Pourquoi ç ’a toujours été le premier
période du tems où les arcs ont fleuri chez quelque
nation , qui a vu naitre les plus beaux ouvrages. 2°. La nature
confidérée comme effet. Elle ell le magufin toujours ou v e rt,
d’où l’artiflc tire les objets qu’il veut rappomr à fes vues.
Ibtd. 20. a. Et s'il ne rencontre pas tout de luire dans la nature
ce qui lui leroit néceffaire , il doit à l’aide de fon génie,
inventer d’après le modèle des objets exiffans , des objets
imaginaires qui fe rapportent à fon but. Dans l’un & l’autre
cas , il a beloin d’une connolffance étendue 8c approfondie
des choies qui exifiem dans le r’ ionde , 6c des forces qui y
font renfermées. Ceux qui ne connoiffein la nature que de la
fécondé main, feront toujours foibles imitateui s , 8c ne pourront
tout au plus le dillingucr que par la maniéré de travailler
qui leur ell propre. C e que' doit faire l’ariifle, lorf-
qu’il ne peut trouver tout de fuite dans la nature, l’objet dont
il a beloin , 8c tel qu’il le lui faudroic. Ibid. b. S’il efl vrai
que l’artille puiffe embellir les objets que la nature lui fournit.
Ibid. 21. a.
Na tu r e , la (Poefle) trois mondes où le génie poétique
peut clioifir ce qui lui convient, le monde r é e l, le monde hifi
torique 8c le monde poffible. XI. 41. b.
Na tu r e , {Critiq. j'acr. ) les mots riature 8c naturellement
employés dans l’écriture par oppofition à la voie de l’inllruc-
tion. Exemples. XI. 42. a.
Nature , la belle , ( Beaux arts ) les iiommes ennuyés d’une
jouiffance trop uniforme des objets que leur offroit la nature
toute fimple , durent néceffairemein lé réduire à faire un choix
des plus belles parties de la nature, pour en former un tout
exquis. Il y a une nature dont on jouit par les yeux , 8c qui
ell l’objet de la peinture , de la fculpture , 8c de l’art du gelle ;
8c une nature dont on jouit par les oreilles , 6c qui eft l’objet
de la poéfie 8c de la mulique. X L 42. a. S’il arrive quelquefois
que ces arts fe mêlent, ce font des ferviecs qu’ils fe rendent
mutuellement, mais fans préjudice à leurs droits particuliers.
Les arts doivent chercher à perfeélionner les expreflions qu’ils
empruntent de la nature. C e ne fut point dans des tems de
trouble 8c de ténèbres qu’on vit éclore les beaux ans ; Us ne
loot les enfans que de l’abondance 8c de la paix. Comment ils
fortirent de la nature. Ibid.'b. C e fut d’abord une imitation , il
eft vrai ; mais une imiiaiion grolliere, 8c de la nature grof-
fiere elle-même. Progrès des beaux arts chez les Grecs, Ib'id.
43. a. Certains arriftes difpuiant aux Grecs l’avantage d’uns
plus belle nature, ont pen!é de plus, que la nature favoit
donner à toutes fes parties la beauté convenable, 8c que l’arc
neconfiftoit qu’à lu faifir. Cependant il eft certain, i®. que
la beauté des ftatues grecques eft plus facile à faifir que celle
de la nature même ; a“, que l’étude de la nature eft une route
N A T plus longue que celle des antiques. Ibid. b. Avantages que les
Grecs avoient fur nous pour étudier la belle nature. Un artifte
qui fe laiffera guider pur h regie que les Grecs avoient adoptée
pour la beauté, fe trouvera fur le chemin qui le conduira
à l’imitation de la nature. C e qui fait le caraeftere de leurs
ouvrages c’eft rexprcflion d’un beau idéal, en deçà duquel
relie toujours la plus belle nature. Pour perfeélioimer la nature,
il faut l’cnulieravec foin; le beau idéal ne doit être que
le beau réel perfeftionné. Régné des beaux arts chez les Romains.
Révolutions qui fuivirent. Ibid. 44, a. Décadence des
beaux arts dont nous fommes menacés. Ibid. b.
Nature , la belle, B-n quoi elle confiftc. Suppl. L 840. a , b.
Suppl. III. 629. a , b. 642. b. Suppl. IV . 998. b. D e la perception
& de l’imitation de la belle nature dans les arts, I. D 'if
cours préliminaire, xj. II. 177. a. V I. 679. b. 680. a , b. V llI .
3 67. b. Comment l’art efl rcxprelfion de la belle nature. Suppl.
III. 316. b. 317. rf.Jufqu’à quel point l’imitation delà nature
doit en même tems l’embellir clans la tragédie. 362. a. Clioix de
la belle nature dans la déclamation théâtrale. IV . 682. b. On a
trouvé plus facile d’exagérer la nature que de l'embellir. VI.
681. U, L Foyez IMITATION.
N A T U R E L ,! P/ù/q/û/;. ) guérifons naturelles, enfans naturels
, phiiofophie naturelle ; ouvrage de Newton intitulé
principes malhcrnatiques de la phiiofophie naturelle. XI.
44. b.
N a tu r e l , {Mèth.jphyf.)\<î naturel confidéré , i". comme
oppolé au furnaturcl ou au miraculeux. Difficulté de diftin-,
gucr I un de 1 autre. XI, 44. b. Caraélere auquel tout homme
Icnfé les dillingiiera dans bien des cas. Le naturel confidéré
2^. comme oppolé à l’artificiel. En ce fe n s , il ii’eft prcl'que
rien dans l’ufage des chofes qui foit totalement n aturel, ciue
ce qui u’a point été à ta difpofition des hommes. En quel lens
on d it , parlant d’une forte de vin , qu’il ell naturel. Ibid. 43.
a. C e qu’on entend par un cfprit naturel. El'pric cultivé ou
affeélé par oppofition à un cfprit naturel. Talens naturels
Ibid. b.
N a ture l , ( Beaux ans) on défigne par ce mot les objets
artificiels qui fc*préfentent à nous, comme fi l’on ne s’en étoii
point m êlé, 8c qu'ils fufl'ent desproduétionsdela nature. Q u elquefois
ce mot eft employé pour indiquer ce qui n’elt pas
g ên é , ce qu’on appelle coiihnn dans la manière de reprélénter
ime chofe ; enfin ce qui ne laiffe appercevoir aucune contrainte
, ce qui n’cft point déterminé par des regies qui fe
faflem (cwiv. Suppl. W . 21. a. Non feulement l’arcifte ne
doit rien produire de fantallique , 8c qui répugne à la nature •
mais encore les objets peints d’après nature , doivent l’étre
de la maniéré b plus natureile pour obtenir leur entier effet.
L e defaut de naturel dans un ouvrage lui fait fouvent pro-
<îuire un eftet tout contraire au bur auquel il a été deftiné.
L ’intérêt de l’artiftc eft que fon ouvrage plaife ; or il ne peut
plaire qu’autant qu’il fera naturel. Difficulté de faifir 8c d imi-
ler le naturel. Cette dïHculic eft particuliérementfenfible dans
les poemes dramatiques. Ibid. b. C ’eft encore une chofe extraordinairement
difficile, que de bien faifir le naturel dans
les caraéleres, les moeurs 8c les pallions. Poètes anciens 8c
modernes qui ont le mieux reufli dans cette partie de l’art.
Caraélere des paflions chez les peuples dont la raif'on s’eft
peu encore développée. Lorlque le poète ne veut que tou-
tlicr par la force des fentimens naturels, il peut alors prendre
fes fujets dans la nature fauvage. Mais s’il veut de plus
être utile , il doit peindre la nature telle qu’elle fé montre
parmi nous. Ibid. h.
Naturel, différence entre le naturel Sc le naïf. XL 10. b.
Na tu r e l , U, {Morale) on vient à bout quelquefois de
le vaincre, jamais on ne l'étouflé. Il eft cependant un art
de former l’ame comme de façonner le corps. En quoi ii
confifto. Nos fentimens ne tiennent pas moins au naturel
que nos aftions à l’habitude. Réflexions fur le bon naturel!
"our en tenir lieu on s’eft vu réduit à forger une humanité
artificielle, qu’on exprime par le mot de bonne éducation,
importance de prendre un genre de vie conforme à fon naturel.
XI, 43. b. Foye^ N ature.
Naturel , Huf.) convention naturelle. IV. 163
Droit naturel. V . i i 3 . u , L 131. b. Egalité naturelle. 413
‘t ,b . Loi naturelle. IX. 663. a , b. 666. a. Relations natu-
reUes. X IV . 62. b. Religion naturelle. 79. b. D e b fànétion des
loix naturelles. 608. b.
N a t u r e l , {.^rithm.) nombres naturels dans les tables des
logarithmes. XL“47. a.
Na turel , ( Mufiq.) Divers fens de ce mot. XL 47. a.
Na turel , ( Muflq. ) les Italiens notent toujours leur rcci-
IV* 22 entend par folfier au naturel. Suppl.
Na tu r e l , ( Blafon ) animaux, fruits ou fleurs peints dans
un ecu avec burs couleurs naturelles. X L 47. a.
p U m l .'s i ''''' U. d tspLmh. Blafon,
î/^ r’ ^Oroitnat.'j définition de cette forte de
lout. Pointjuoi elles font appellees namtdUs. La loi q ui, en im-
N A V 279
primant en nous l’idée du créateur, nous porte vers lui eft la
premiere par fon importance, mais non dans l’ordre des loix
naturelles. La pa.x eft la premiere de ces loix. Une fécondé
ell celle qui infpire a 1 homme b foin de fe nourrir. Une
troifier. Ç eft cehe de linvrc les imprclTions du charme que
les deux iexes mfpirent. Une quatrième eft b defir de v ivre
en focicte. Trois principes généraux des loix naturelles ; la
rcltgion , 1 amour de foi-mems , XL 46. rf. & la fociabdité
ou la bienveillance envers les autres. Caraéleres efl'enticls
aux loix naturelles. F . Elles font p,',........... ,, loiu lfuumffiifnnmmmmccnntt ccoonnnnuueess..
Elles ne dependent point d’une inftiturion arbitraire.
iV umverldlcs. -I-b-i-d--. b. 4°. Elles "fo"n'ct uimniiuuuiiaa-'
b b s, 8c n admettent aucune diljienlc*. Paflùges de Cicéron fur
Ce liijct. Ouvrages a coulultcr. Ibid 47 a
Na™ ™ “ “ ’ VU- “ S- i- r-ortc
N a turelles , non-,{MiJoc.) fis diofcs non-m tii-
aiu iv reà ie ia -é g ard . VIII. 383. i . 386. u. XI.
{Pconom. anim.) T. 122. a. V L
N A V A L conronne nsvale parmi les anciens Romains. A
qui elle le doimoit. XL 47. b.
Navale, couronne. \ï\. 307. <j. IV. 394. <r.
AV AL, (dot. milit. ) arehiteflure navale.'l. 617. a. Armée
navale. 691. h. 694. é. Extrait de l’ordonnance de lôSo . for
le^ armées navales. Hl- 5°<>- i. Divifion d'une armée navale-
i v . lo b i. é. V, 9 1 9 . Evolutions navales. VI. 201 b 206 b
Guerre .Rivale. VÎI. 993. a , b. Utilité des armées navales;
Ibid. Dftpofiiion dune armee navale pour le combat IX
3 2 5 - Manoeuvre des anciens dans un combat naval. XVI*
003. J. Symbole d une viéloire navale. X V I I 246 a
N A \ A L , quarrê , ( A b r b f )X I I L 663. 4. ' ' *
Na v a l e , {Giogr. 4/ic.)différentes fignificaiions de ce mot
latin. Le port ou navale n’étoit pas toujours contieu -i I-,
Ville dont il dépendoit. XI. 47. b. ^
comte palatin. III. 801. 4. IX. 364. b. XI.
Na V a RRE {Géogr ) royaume d’Eiuope. Haute &
d p d = v T l " 4 8 r V,Hesp,in-
Navarre, chancelier de Navarre. III. 102. 4 , b Chirtrc«
de Navarre. 221. b Affeftation de b cour de Rome à éviter
de donner au roi de France le titre de roi de Navarre XV II
004. b.
N a v a r r e ,la ham , ( Gmoo ) Scs bornes. Scs princiindes
nvieres. Son etendue. Qmlité de ce-pays. Précis d e l’hifloue-
de ce royaume. XI. 48. a.
■ ’ (Gcâigr.) Ses premiers habitans. Tems
ou elle lut demembree de b li.mte-Navarre. Oualitc du n ,vs
Il devint pays d’états fous Henri d’AJbret. Dons ordinViL*
que les états de ce pays font au roi. XI. 4S. b.
N a v a r r e {G eog,.) étendue de la baffe - Nas-arre. Ses
principales villes. Son union à b couronne en lô-’ o Cu/I
un pays d’états. Suppl. IV . 22. b.
N a v a r r e , ( » , oioax corps) il s’efi fi.nalé
dans toutes les occafions. Diftinélions qu’il reçut tic Henri IV
& de Louis XIII. Son drapeau, Suppl. IV' 22 b
A'.iv4rr<;, dofteur. X V L 8 3 8 .4 ' ' '
fn 7 ‘ ) ''■ "° '’'^sypte. Reclierdies
lur fa tondanon. Celebme de fon commerce. Coiitiifannes
qms y retirerenr.XI. 48 4. Vénus & Sérapis honorés dans
cene v,lle. Obfervarjons for Atlienée & Julius Pollux , nés i
Naucrafis, 8c fur leurs ouvrages. XI. 40. 4.
N A U C YD È S , fciilpteur ancien. X IV . 823. 4.
) défenfe qu’il a faite des grands hommes
aceufes de nuigie, IX. 833. b. Style de fes ouvrages. Suppl. I.
N A V E T , {Bûtan.) Caraflere de ce genre depLime Ses
efpeces. Deicription du navet le plus commun. XL 49 4
Ublervations de culture. Différentes fortes de navets. Ibid. b.
N a v et , {Chym. Phann. Dicte. Mat. médk.) Principes
contenus dans le navet. Corps doux-muqueux de cette plante.
Propriétés du navet confidéré comme aliment. Ufa<^e des
bouillons de navet. Ib'td. b. °
N A V E T T E , {Comm. des grains.) Lieux où la navette eft
cultivée. Ufages de l’Iuiile de navette. Qualités de la bonne.
Différence entre la navette de Flandres 8c celle de France
XI. 50. 4. Sur la navette, voy«3; CoLS.iT.
N a v e t t e fauvage , ( Mat. mèik. ) Ufage de fa femence
8c de l’huile qu’on en tire par expreffion. XI. 30. 4
N a v e t t e , {Conchyliol.)vo\. V I. ries plancli. Rcgiieani-
mal, pl. 67. Foyei auffi PORCELAINE.
N a v e t t e , {ManufaÜ.) Defeription de cette forte d’outil.
Ouvriers de b grande navette. Ouvriers de la petite
miveite. XI. 30. a.
Navette. De b navette angloife, ou defeription de la fabrique
du drap par un homme feul. IX. 190. b. Ouvriers
de la grande navette. XI. 726. b. Navettes pour b dra