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tré. P ir qui ils ont é ti découverts. Mufeks qui les inetient
en Dans les animaux , ces olldets diftéreiit icion la
ditrércncc de leur elpece, X L 685. i>.
Oßck'.s * icK-Ulc & leur ufage. X V I . 776. a , b. Dcf-
cription de CCS oiTclccs. Suffi. iV . 177. b , 6v. Leur iil'age.
eoc>. b. 210. d. Foyc{ aulTi l’article O reille, XI. 611. b.
<‘i6. iiy b. 703. d. Pcriolle (le cc5 ofldcrs. X !l. 364. b. Situ.
itlon ik. ddeription do l'enclume : celui cjui eu a fait l.i
dccouverle. V. 629. a. D e l'étrier. VI. 80. i\ Du marteau.
X. 161. d. Olîelet de rovcille appellé i'oibiCuUirc de
l\]jcli:n à o .W '\.6.b .
Odf:!': terme d'ardierdu guet. XL 683, b.
O ssll’ t , ( M.iréJi. ) XL 68^. b.
O sselets , ;i-K i/r.f J ( Xi(/trd/. ) Indus talonim.'^om que lui
-donnoiemlcs Grecs. Détails fur ce jeu. X L 685. b. Cc i amii-
aeuient n'étoit au commencemem qu'un jeu d'enfant chez les
Giecs. Mais il devenoit une afiairc férieufe dans certaines
<livi:;ations. l in e faut pas coiilbiidre ce jeu avec celui dos
dez , tcjj'crdiuui. Jbid. 68&. *r. O/Telas, jeu des. Coup de ce jeu appelle Vsnerius jdchis.
X V i i. 37. b. Oracles rendus par le moyen des offolets. i l.
67. d. l i l , 331. -I.— l'oyei DÉ.
O SSEMLNS, fofftles, (Minéral.) divers lieux où l’on en
a trouvé, IvoiRE FOSSILE 6-LICOR^’£ FOSSlLh. OlTeiTiens
fmguliers trouvés à Cunlladt , à une Houe de Stut-
gaid , dans le duché de Wittcniberg. IXlTcrtation à cou-
fulter fur ce fiijet. Dlvcrfos liypotlicles liir l'origine de ces
olTeinens. XL 6S6. b. Dutérens lieux d’Allemagne où l'on
a déterré des olîcnjens î'oliiics. Découvertes lembl.ibles i'aires
en Gafeogne, en Angleterre , à Rome 6c en Champagne.
Ouvrage anglois à conlultcr. Ibid. 687. a. f’oy:^ ÜS 1 ÜS-
SILES.
OssEME.vs/u/ù'fj, ( H ijl . r u u . ) lieux 011 l’on a trouvé
de ces oiremens que l'on conjeAure ajïparceuir à l’hippopotame,
au manati , ou à quelque efpecc de boeufs d’uns
grandeur extraordinaire. Oifemens hiunains trouves dans
quelques iiles de la Méditerranée , 6c dans la Thuringe. Les
prétendus o5 de géant reconnus nujourd'luii pour cire des
os de quelque quadrupède. Suffi. IV. 193. .1. Voyc:^ FossiLtS.
O S b tÜ X , ( . ‘Inat. Cfiir.) rîo.xibilité de la hure oùcufe.
Suppl. III. 35..;. Morceaux olTcux que l’on trouve dans certaines
tumeurs. Suppl. I, 133 -
OSSIAN , (H ijl du Nord. Belles-U'Ar.) remarques fur ce
■ poste. Suppl. 1 . 806. LTraduAion de deux de l'es odes, Suppl.
III. 811. h. 821. n,é .
O S8 IF IC AT IU K , (P hyfiohf.) conjeAiires les plusvrai-
femblables i'iir la manière dont le forment les os. XL 687.
i>. Pourquoi les os des jeunes gens le rétmill'ent plus pronip-
rcinciH après imc fiaclure que ceux des vieillards. Oliidca-
tions de difterenres parries miifculeufes , cartilagineufcs &
valcnlcufes. Divers exemples ejui prouvent que la com-
prcfiion cll une des grandes caules de l'oiTiHcaiion. l^oiir-
quoi les os connaAent plus de dureté ver'S leur milieu.
688. d. D ’oii vient la dureté de ceux des vieillards. Pourquoi
rimprelHon des mul'cles 6c des vaiileaux elt beaucoup
plus forte fur la ftirface des os , felon l'âge, l’état Sc les
exercices des peri'onnes. L’oinficaiion dépend avùîl des vaif-
l'eaux des os 6c de la liqueur qu’ils féparem. Cette liqueur
cimente quelquefois les deux extrémités u’un os , quoique
la dihanee à laquelle ils font placés, Ibit alfez confidérable.
Pourquoi les peuples dos pays chauds accpiierciu plus
promptement leur grandeur 6c leurs forces que ceux des
pays froids. Pratique ufuée chez les dames pour empêcher
leurs jeunes chiens de groflir. Auteurs à conlultcr fur l’oßco-
fonie. Caufe de l'altération des os dans la vicillelTc. Ibid. b.
Caulê de roiriheation de toutes les parties molles. Comment
on peut leur rendre un certain degré de flc.xibilité. Différentes
parties molles du corps luiinain qii’on a trouvé olî';-
liées. Ibid. 689. d.
Ojjipcdûor.. Os contre nature, formés fans germe , par
quelque maladie , dans différentes parties du corps humain.
Leur origine 8c formation. Defeription de l’oiriffcacion ou
formation naturelle des os. Suppl. IV. 193. b. Suc gélatineux
dont il naît. Obfervarlons fur la nature de ce iiic qu’on
peut extraire de l’os par Li machine de Papin. Ce même
llic fe produit naturellement dans les fraAures Sc dans la
perforation des os ; Sc dans les vieilLards , il couvre fou-
veut les vertebres d'uue croûte égale Sc lilLe. On le rétablit
à tou: âge par la ddlriiAion de la terre caltaiie dont
il eff enveloppé. Caufe de ramoUiiTemem des os dans cer-
laines u.aiadies. Formation du cal dans les fraAures. Ibid. b.
StruAure du cartilage. Sentiment de l’auieiu-fur le principe
de la founaiion des 05. Ibid. 195. a. Comment fc forment
parriciiliérement les os plats. Formation des os courts 6c
(les os compoiês, qui peuvent être regardés coinine de la
jr.cine cUlTe. Coufidcrations fur le périofle , Jur Ion état
dans le Vcctus , Ibid. k. clans l’anima! adulte , Sc fur fon origine.
On a cru clans ce fiecle avoir découvert, que le pé-
iiohe eff l’otgane dans lequel fe forme l’os, Oblervations
OS T qui renvérfent cette liypothefe. Ibid. 196. a. Influence deS
mulcles fur la formation des o s , Sc fur leur ligure. Comment
quelques peuples d'Amérique .applatiflent la tête de
leursenfans. Ibid.b.hri dureté des o s , leur molleire , leur fo-
liclité dépend en partie de la nouriimre. Ibid. 197. .t. Voye^ Os.
0^92c,j(/o/7, formation des os. I. 88. d .’W . 66<). a. Suppl.
I. 130. rf, b. 151, , h. 132. d. Suppl. 1 1 1 . 73. d. Oinrication
d'une partie clel’aoite. 1 . 520. b. Olllffcations dans le
coeur. f il. 602. d. Oihrication de quelques parties dans la
vieillelTe. V I. 669. n. (.)irihcatioii de la matrice. X. 203.
d. Mémoires fur la l'otmation des os. Suppl. I. 410. b.
O ^ iL L E G iU M , ( Lin. ) os calcinés que l’on tiroir des
cendres du bûcher. Dernier devoir que rcinpliU'oleiu à cet
égard les jiarens du défunt. XI. 689. d.
OSSL'N ^ (Gtbg;. ) bourg du liigorre. C.amp lom.aiu fur
une liauteiir près (lu château. Sanghime bataille donnée prés
crOflun entre les Sarrazins Sc les Inbitans du pays. Obfc: varions
fur la niailbn d'O iîun , Sc en particulier fur Pierre
6c HeAor àOiiwj.S.'/ppl. IV. 197. a.
O s s v s , ( Pierre d ’ ) trait remarquable de fa vie. XVI.
799. a.
O S T , ( ƒ ’;7/;^.) fervice de l’ofl. Etymologie de
ce mot. XL 689. b. Voye^ CHEVAUCHÉE.
O ST .AN ÈS, vojc'3; O tan ès .
OST EN DE J (Géug;-. ) ville des P.iys-Bas. Origihe Sc progrès
de cette ville. Détails fur le liege d’Offende par les
Efpagnols. Vers que compofa Grotius fur cette ville avant
la capitulation. XI. 689. b.
O stende , compagnie d’ , ( Comm. m.iritim. ) plan de cette
fociété. Comment l'es avantages caul'erem fa chiite. XI.
690. .1.
O ST EN SIF , ariide de l’Encyclopédie corrigé dans l’article
OflenJibU du Supplement. Suppl. IV. 197. d.
O S T E N T A T IO N , ( Morale ) réflexions fur ce fujet.
En quels cas Sc à qui roffencution peut être convenable,
XL (njo. b.
O S T E O C O L L E , (H ijl. nat.) fubAance fofllîe qui ref-
femble à des racines d’arbres pétrifiées. Defeription de cette
fiibffancc 3 terreins où elle fe trouve. Divers fentimens des
naturalillcs fur la nature Ik. fon origine. XL 690. b. 1 1 pi-
roîi que Ibfféocolle a été formée par des racines d’arbro.s,
qui après s’ètre pourries dans le fable, ont été remplies
peu à peu d’une terre calcaire , femblable à de la cra;e ou
a de la marne mêlée de fable , a qui ces racines pourries
ont fervi de moule. Obfervaiions Sc expériences qui
confiaient ce fentiment. Diff'érens noms que les iiaturaiiltss
ont donnés à rofiéocollc./WZ 691..;.
OsTÉocOLLE , ( M.it. médic. ) cette fubfiance rei^ardée
par quelques auteurs comme un fpéciriqiic pour la s’énéra-
lion du cal dans les fraAures. Obfervaiions de Fabrice de
Hildan fur Ibn ufage. XL 691. a. Sentiment de l’auteur fur
le même fujet. V enu imaginaire attribuée à l’ofiéoc(»Ilc contre
les fleurs blanches & la gonorrhée. Ibid. b.
O S T É O LO G IE , ( Pemiure ) détails l'ur l'étude que
l'éleve en peiatnre doit faire de l'ofiéologic. V I. 773. .z ,
b , Sic.
OSTÉOLOGIE du cheval, (Maréch. ) Suppl. IIL 377. b, 6v.
OSTERL INS, mdifon des, ( Comm. ) valle bâtiment à
Anvers , qui fervoic de comptoir aux villes nnféatiqiies , où
réfi'.lolt le dircAeur conltil de cette focictc , Sc où étoient
d’immenfes magafins de toute forte de marchandifes. X L
691. b. Autres comptoirs confidérabJes des villes anféati-
ques. Obfervaiion fur une maifon de Bergheu pareille à celle
(les oucrlins d’Anvers. IbiJ. 692. a.
O ST F A L E S , tes, (Geogr.) p.artic confidérable des an-,
clens Saxons. Autre.s noms qu’ils reccvoicnr. Etymologie du
mot Ojlfale. DéplacjinJiu de ces peuples. Origine du nom de
id'ejîphdHc. X L 692. d.
O SI 'FR ISE , ( Geogr.) différens pays défignés par ce mot
en divers rems. Quel cfi le pays aujourd’luii appellé de ce
nom ; on le nomme aiilli comie i'Embden. Diverfes obferva-
tioir. fur rOlifrifc. XL 692.
OST IAKS , (H ijl mod. G-Jogr.) caraAere Sc religion de
CCS peuples. X!. 692. d. Ivoire folfile trouvé chez les Olliaks.
Ibid. b.
O ST L -iQ U E S , (Gèogr.) peuple de Sibérie. P.iys qu'il
habite. Scs moeurs Sc fon caraclere. Ouvrage à confulter. X i.
692. b.
O ST IE , (Gèogr.) ancienne ville d’Italie. Son état [)ic-
fent. Obfcrvaiions bifioriques fur cette ville. XL 692. b.
O ST IEN SE, vmc , (Antiq.rom.) NVII, 421.U.
O ST R A C ISM E , (Polit, d'Athènes) étymologie de ce
mot. En quelles occalions le ban de l’ofiracifme avoit lion.
Comment on y procédoit. Nombre de fufi'rages nécelfaire
pour qu’un homme fût banni par l’ofiracifi ne. XI. 653. n.
En quel tems cet ufage s établit. Premier athénien condamné
par rofiracifmc. Comment ou en retrancha ce que
le bannilTement a de déshonorant par lui-même. Malgré
ces adoucilTemcns , cette peine ne laWTa pas d’avoir quelque
cliolb
O T T
chofe d'iuiufle & d’odieux. Abus que le peuple eft fit.
Aventure arrivée à Arifiide dans l’alfemblée du peuple le
jour de fon baiinifiemcnt. Thémifioele , auteur de l’iiijiiftice
exercée à l’égard d’Ariftidc , éprouva bientôt à fon tour un
pareil jugement. Ibid, b. Comment l’ofiracifme fut le principe
du mal qu'on vouloit prévenir par fon moyen. A vantage
qu'en fut tirer Pcriclès. Le peuple convaincu par de
fie-quemes expériences du tort que l’ofiracifme avoit fait à
la république. Evénement qui donna lieu à l’abolition de
cet ufage. Ibid. 694. a. L’ofiracifme adopté d.ins d’autres
états (lé^îiocraiiqucs. Réflexion fur la nature Sc les eft'ets de
cette loi. V'id. b.
Ojhacijinc. IX. 666. b. Son origine. Suppl. I. 674. a. Ef-
pece d'ofiracifme qui fut en ufage à Syraeufe. XII. 460. .r.
Efpcce d'ofiracifme pratiqué dans le Vallais. X V I . 822. />.
ÜSTRA.CITES , ( Af;.rér.î/. ) difl'éreiues cfpeces d’iniitics
qui fe trouvent dans le fein de la terre. Difiérens états d.ins
lefquels on les trouve. Ofifacites dont on ne connoit point
les analogues vivaiis. Le nom d\>ßr.icite donné à la pierre
nÜairc, Sc à une efpecc de fuie qui s’attache ;i i'intériciir
(le cerrains fourneaux oîi l’on traite des mines qui con-
ricnnent du zinc. XI. 694. b.
Oßr.-,eitcs repréfentées Vol. V I . des planch. Coquilles
fofiiles , pl. I.
O ST R EO P E C T IN IT E S , (H iß. nat. ) forte de coquilles
foiTiles. Leurs différons noms. Leur caraéferc. XI. 694, b.
foyc:^ T é kébratu lite.
O SF R O G O TH S , ( Hiß. anc.) Iiicurfion.s, & divers cta-
WilVemcns de ces peuples. Invafion de l’halic par les Ofiro-
gotiis fous Théodoric leur roi. Le royaume d'Italie réuni
tnluicc à l’empire romain par Narl'ès, fous renipcreur Jul-
tinien. XL 693 a. /-hijc;; GOTHS.
O.SlihVL-LNDIAS , roi d’Egypte. Biblioihccnic qu’il fonda.
II. 229. b.
O T
O T A G E , (Droit poliiiq.) gage de la fureté d’une convention.
Le füuverain pent , en vertu de fon autorité , contraindre
(ludqiies-uns de l'es fiijcts à fe mettre entre les
mains de l'ciincini pour ôtage. Examen de d-ciix quefiions ;
favoir , fi im orage donné par le fouverain , peut fe (auver :
Sc , fi celui à qui l’on a donné des otages peut les faire
mourir, au cas que l’on n'exécute pas les engag'tmens. XI.
693. i. Les otages donnés pour un certain fuje t, font libres
dès qu’on y a fatisfair. Ils peuvent être retenus, fi l’un a
contra Aé enfiiite quelque nouvelle dette. Ün otage cfi-il en
liberté par la mort du prince qui l’avoit donné i Képonfe à
cette quelfion. Ibid. 696. a.
O T A L G IE , (Médec.) douleur d’oreille. Traitcnieiu des
douleurs internes d’oreille venant à la fuite d’une intlamnia-
t ion, 8c de celles qui procèdent d’un catliarre. XI. 696.
OTANHS , übfervations fur ce mage. XII. 422. a.
O T B E R G , évêque de Liège. Suppl. II. 3Ö. a.
O FH E N , ou Wode, ou Odin, (H ijl. du Nord) régnoit
en Afie du temps de Pompée. Suppl. IV . 197. a. Nouvel
établifi'emcnt qu’il alla former avec fon peuple dans le nord.
Hifioire de ce prince. Ibid. b. F’eyrr O d in.
ÜTK?'-1 AN , calife fucceiî'eur d’Omar, Suppl. I. 279. b.
Suppl. IL I 26. d , b.
Ü TH O N , ( Hiß. rom. ) hifioire (le la vie & du regne
de ect empereur. Suppl IV. 197. b.
O th on , ( A n numifm. ) obferv.-.tions fur les médailles
de ce nom. X. 230./'. 231. a. 237. b.
O TH O N IE L , (ewrùr D ieu, (/ƒ/,?./Izcr. ) fils de Cenés,
de la tribu de Jiida, juge Sc lioéinteur de fa nation. Suppl.
IV. 198. b.
O TLING U A S A X O N IA , ( Geogr. ) quartier que les
Saxons > qui fiiivirent les Francs dans les Gaules , IiabL-
tcrcin dans le diocefe de Bayeux. Village nommé Heidnetn
dans ce canton. Les Saxons nommés 6'./.ve/)cf B.ijocdjjîni,
Sc dans la fuite S.iifnes de Bnyetix. Villages noitiiné.s Saon
Sc , peu difians de Bayeux. Suppl. IV. 198. b.
O TR AN EE , ( Gèogr, ) province crit.ilie. Scs produAions.
Dcllcin que conçut Pyrrhus de joindre par un pont l'Italie
a la Grèce. Etendue de cette province. Pillages auxquels
elle cil expofèe de la part des corlaire.s. XL 6<j6. u.
O tran te , ( Geogr.) ancienne ville d’Iv.iÜe. Obfervations
fur fou port. XI. 6()6. b.
O t t o de Gucrike , inventeur de la madùne pneumatique
XII, 806. a.
D T I OMAN empire : foibleffe do la puilLmce ottomane.
XIH. 337. ,1. l'oycr Po rte. Ibid. 136. b. Sc les articles
T urcs 6c T urquie.
O T TOM A N E , efpecc de fienc repréfonté vol. IX.
des pl Taphfier , pl. 10.
O T T O N I. furnonimé le grand , ( Hiß. d'Allem.) trc'
fiem
yiemi
: roi ou empereur de Germanie dejniis Conrad I. Ncu-
e empereur d’Occident depuis Charlemagne. Prin-
U A 353
cîpanx événemens de fon regne. Suppl. IV. 199. a.
O t to n i l furnommé le Roux, ( Hiß. d' Allem. ) quatrième
rol ou empereur de Germanie depuis Conrad 1 , dixième
emjiereur d Occident depuis Cliariemagne. Principaux évé-
nemens de fon regne. Suppl. IV. 202. a , b.
O t to n III , dit l'enfant Si la merveille du monde , ( Hiß,
d'Allan. ) cinquième roi ou empereur de Gei manie depuis
Conrad. I , onzième empereur d’Occident depuis Charlemagne.
Flifioire de fa vie Sc de fon regne. Suppl IV .
203. a , b.
O t to n III, empereur d’Allemagne. Il couronne Bolefias,
roi (le Pologne , Sc le délivre de la vaffaliié de l’empire. Suppl. II. 6. d , b.
O t to n IV , dit U Superbe Scie pere de la jußiee , ( Hiß.
d'Allem. ) feizieme roi ou empereur de Gcrm.mle , depuis
Conrad 1 , vingt - deuxieme empereur d'Oe^; ident dejtnis
Qiarleinagne. Hifioire de fa vie Sc de fon regne. Suppl. IV .
204. d , b.
O t t o n , duc de Saxe , refufe le feeptre d’Allemagne. Suppl. IL 530. b.
O tton , vicomte de Milan. VîAoire qu’il remporte à la
guerre do la terre-faime. Suppl. 1 1 1 , 279. a.
O t t o n , ( Jean ) phyfiologifie , Suppl IV. 364. b.
O T W A Y , ( Thonids ) fameux tragique anglois. X V .
703. b. X V I . 317. a.
OU
O U , ( Langue franc. ) obfervation fur la nature de e t
mot. X lli. 433. b.
^ O Ü AG E ou Ouaiche , (M arine) fillage du vaHTeau.
iir e r un vaiiTeau en ouaiclie : comment fe fait cette opération.
Trainer un pavillon ennemi en ouaiclie. XI 697 a
O V A lR E , ( i?e(. ) XI.697. <7.
O v a ir e , ( Anatom. ) fimation des ovaires. Leurs liga-
mens , leur figure Sc leur grandeur. Membranes , fubfiance,
vaiffeaux des ov.iircs. Petites véficu es auxquelles on a
donné le nom à'reufs. XL 697. h. Faux oeufs qu’on appelle
hyd.itu!es. Les oeufs different beaucoup les uns des
autres dans un même ovaire ; diverfes obfervaiions faite?
à cet égard. Expofé du fyfiême des oviftes. Raifons fur
Icfquelles ils le fondent. Ibid. 698. a. '
Ovaires. Suppl. III. 866. b. Leur découverte. VII. 364. a.
365. b. Vcficules dans les ovaires , qu’on regarde comme
(les oeufs. XL 403. a. Suppl. III. 197. a. S67. ,7. Ellc.s ne
font point des oeufs, 197. a , b. Liqueur qui en fort au
moment de la conception. Ibid. Si 198. a. Changement
qui arrive à celle dont la liqueur cfi fortie. 197. b. 867.
O v a ir e , Pierre, (Hißoire naturelle) XI. 698. a. Foyc^
O olite.
O V A L E , (B o t.) fruit ovale. XL 698. »7.
O va le , ( Geom. ) Différence entre l’eilipfe Sc l’ovale
proprement dite. Comment on décrit l’ovale du jardinier.
Autre maniéré de décrire une ovale. XL 608. b.
Ovales conjuguées. III. 884. a.
O v a le , ( Anat. ) partie du cerveau appellee centre
ovale. l'oyct(_ IL 828. a. Trous ovales en anatomie. X L
698. b.
O v a le , trou, ( Anat. ) defeription très - détaillée de
cette partie du coeur , <h fa fmiation Sc des autres parties
du coeur qui s’y rapportent. Sinus droit Sc fmus gauche.
FolTe ovale. Anneau ovale. Suppl. IV. 205. b. Valvule
d’Euftaclie. Son état dans l’adulte Sc dans le foetus. Son
utilité. Rapport entre le trou ovale Sc cette valvule. Etat
du trou ovale dans le foetus. Changement qu’il éprouve.
Ibid. 206. a. Sa valvule. D e la circulation du fang par le
trou ovale. Ibid. b. Examen des difputes qui fe font élevées
fur ce fujet , dans l’académie des fciences de Paris. Ibid.
207. a. Des canfes qui , après la naiffancc, ferment dans
la plupart des fujets le trou ovale , ou entièrement, ou en
ne lailfant fubfifier qu’une petite ouverture. Ibid b.
Ov.ilc , trous ovales. III. 469. a. VIL 3. a. XVI. 709.'
b. Comment le trou ovale fe ferme après la naiffance. V i l.
3. <7.
O v a le ralongée ou rampante. ( Archit. ) XL 698. b.
Ovales dans l’orgue. XI. 698. b.
Ovale de jardioier. XL 698. b.
O v a le , couronne , (Ansiq. rom. ) IV. 394. a.
Ovale pour la laine, v o l.IV . des planches. Fil Si laine;
pl. 4. Ovale pour la foie. XV. 281. a. vol. XI. des planch.
Soierie , pl. 19. 20.
Ovales , tours , ( Tourneur) vol. X. des planch. Tourneur
pl. 26. 32 Sc 53.
O UAND ERÜ U , ( Zuolog. ) cfpece de finge babouin
qui fe trouve à Ceylan. Defeription Si moeurs de cet animal.
Suppl. IV. 208. a.
Ou.tn./erou, efpece de finge, vol. V I, des pl. Règne animal.
pl. 20.
V V v T
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